Pourquoi Crier? Parle!
1 Que le Seigneur vous bénisse ! Restons debout un moment, alors que nous inclinons la tête. Y a-t-il une requête spéciale ? Si vous le désirez, faites-la connaître en levant la main vers Dieu pour dire : « Seigneur, Tu connais mon besoin. »
2 Père céleste, nous sommes vraiment un–un peuple privilégié ce matin d’être rassemblés dans la maison de Dieu, sachant qu’il y en a tellement qui voudraient être dans la maison de Dieu ce matin, mais qui sont dans des hôpitaux, sur des lits de maladie. Mais Tu nous as accordé ce privilège de venir ici aujourd’hui. Nous ne venons jamais, Seigneur, pour être vus des autres, bien que nous aimions fraterniser les uns avec les autres; mais nous pouvons le faire dans nos maisons. Mais nous sommes venus ici communier avec Celui qui nous a rassemblés comme des enfants bien-aimés et des frères.
3 Nous Te rendons grâces maintenant. Et le seul moyen que nous connaissons pour communier correctement avec Toi, c’est d’être autour de Ta Parole. Ta Parole est la Vérité. Nous nous rassemblons ici pour recevoir une force spirituelle; nous en avons besoin, Seigneur. Nous devons être fortifiés pour supporter la croix que nous portons. Nous Te prions d’envoyer aujourd’hui le glorieux Saint-Esprit et de nous fortifier tous. Exauce les requêtes de Ton peuple, alors qu’il s’est rassemblé et a levé les mains vers Toi, montrant par là qu’il avait besoin de ces choses-là. Réponds à chacune d’elles, Seigneur !
4 Nous Te rendons grâces d’avoir épargné la vie de notre soeur Ungren, hier soir, dans l’accident qu’elle a connu là-bas, sur la route. Tu as été bienveillant envers elles, Seigneur, et nous T’en remercions. Et maintenant, nous Te prions, Père céleste, de continuer d’être avec nous et de nous aider dans notre pèlerinage, chacun de nous. Revêts-nous de Ta puissance et donne-nous la foi pour savoir que Ta Présence infaillible sera avec nous. À l’heure où nous ne pouvons pas nous en sortir par nous-mêmes, nous savons que les anges de Dieu campent autour de ceux qui Le craignent et qu’ils nous porteront de peur qu’à n’importe quel moment notre pied ne heurte contre une pierre. Nous Te prions maintenant de bénir pour nous Ta Parole et de parler au travers de nous et en nous, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
5 Je suis reconnaissant pour la lumière du soleil dehors, du fait que le soleil brille. Le temps était très mauvais ce matin. Et je pense que, spécialement dans cette région, le temps est très sombre et maussade. C’est vraiment réjouissant de voir le soleil apparaître et briller.
6 Concernant la petite réunion de famille aujourd’hui, je rencontre mes frères chez ma soeur, ainsi que certains de nos parents qui vivent dans la ville et aux alentours. Il y a une grande équipe des Branham. S’ils venaient tous du Kentucky ici, je pense que nous devrions louer la ville. Ils sont si nombreux. Mais c’est simplement un petit retour à la maison. Nous avions l’habitude de nous rencontrer tous chez maman, et elle était le vieux poteau d’attache qui nous a, en quelque sorte, gardés ensemble. Mais Dieu a repris au Ciel le poteau d’attache, et j’espère que nous nous rencontrerons tous un jour là-bas.
7 Eh bien, en parlant l’autre jour, j’ai dit : « Vous savez, je crois que je ramènerai mes messages du dimanche à environ vingt ou trente minutes, et ensuite je prierai pour les malades. » Et je pensais à cela ce matin.
8 Et j’y pensais aussi hier soir, lorsque soeur Downing m’a appelé et a dit que... a appelé Billy et a dit qu’elle et soeur Ungren étaient en route et qu’elles avaient dérapé sur la route et avaient eu un accident. Et alors que Billy était toujours à la fenêtre, vers je ne sais quelle heure, c’était peut-être ce matin, à une heure donnée ; j’avais déjà dormi pendant un bon moment. J’ai regardé du côté de chez frère Wood, les lumières étaient éteintes. Et je me suis simplement agenouillé pour prier et, alors, Quelque Chose m’a dit : « Tout va bien. » J’ai donc dit à Billy : « Dis-lui que je crois que tout ira bien. »
Je suis si content de les voir ici, ce matin, assises dans la maison du Seigneur, derrière ici après... sur la route.
9 Dire qu’il y a des gens qui vous aiment à tel point qu’ils parcourent des centaines de kilomètres pour entendre l’Evangile. Alors, j’ai pensé qu’un message de vingt minutes, vu que je suis si lent, ne ferait aucun bien. Ainsi, j’ai pensé que simplement je... de cette longueur.
10 Et alors, d’entendre ce matin frère Ungren, son fils, chanter : Que Tu es grand ! Il a... Cela veut dire plus pour lui ce matin qu’hier après-midi, parce que le Grand Dieu du Ciel a épargné sa chère et précieuse mère, sa soeur aussi.
11 Eh bien, aujourd’hui, nous comptons avoir un moment très béni dans le Seigneur. J’avais ici deux ou trois textes différents que je regardais, et je ne pouvais pas me fixer sur celui dont je devais parler ce matin. L’un d’entre eux était : Déchargez-vous sur Lui de vos soucis, car Il prend soin de vous. Maintenant, s’Il prend soin de vous, alors pourquoi pas vous ?
12 Et l’autre, c’est Billy Paul, non, pas Billy Paul, mais mon autre fils, Joseph, qui m’a apporté ce texte, il y a longtemps. Un jour, il était assis dans la chambre et, après qu’il a levé les yeux vers le tableau, il m’a dit (Billy... Joseph plutôt aime beaucoup les bateaux, comme les autres petits garçons, les bateaux et les chevaux, vous savez), et il m’a dit : « Papa, Jésus a-t-Il un bateau ? » Je lui ai répondu : « Je ne sais pas. »
13 Alors, après qu’il s’était levé et qu’il était sorti, je me suis mis à réfléchir : « A-t-Il un bateau ? » Et j’en ai tiré un sujet que j’ai noté ici sur mon carnet : Jésus a-t-Il un bateau ?
J’ai pensé : Lorsqu’Il était ici sur terre, Il a dû emprunter un sein pour y naître, une tombe pour y être enterré, un bateau à partir duquel prêcher, pourtant Il est le Capitaine du vieux bateau de Sion. Certainement. Mais j’ai pensé que je pourrais peut-être prendre plus tard ces sujets auxquels je pensais, avant de rentrer.
14 Vous savez, j’aime parler ici, au tabernacle, parce que c’est notre propre église. Nous nous sentons libres d’apporter tout ce que le Saint-Esprit dit. Ailleurs, même si on vous souhaite la bienvenue, vous vous sentez un peu comprimé, parce que vous êtes dans l’église de quelqu’un d’autre; aussi vous désirez être assez gentleman pour respecter leurs–leurs pensées et leur doctrine.
15 J’ai eu un moment merveilleux cette semaine chez frère Burcham. Je suis allé dans leur usine de fromage. (Je vois que lui, sa femme, son fils et les autres sont présents ce matin.) J’avais toujours pensé qu’une fabrique de fromage devait ressembler à d’autres endroits où j’ai été : oh ! assez sales, malpropres ! Oh ! la la ! Je peux vous dire une chose — et vous pouvez en être assurés — ce n’est pas le cas là : C’est l’endroit le plus propre où je suis jamais entré, spécialement dans une fabrique. Je ne réalisais pas... Je pensais : « Oh ! peut-être qu’ils fabriquent 100 livres [45 kg] de fromage par jour. » Mais ils en fabriquent six tonnes par jour ! Il y a trois fabriques qui marchent. J’ai pensé : « Oh ! la la ! Qui mange tout ce fromage ? »
16 Et le Seigneur a vraiment béni cet homme. J’ai eu le privilège d’être chez lui ; c’est un cadre très charmant, et il a une bonne épouse consacrée. Et ils n’auraient aucune raison de ne pas vivre chaque jour pour Christ comme ils le font. J’ai aussi rencontré ses fils, et ce sont de très braves enfants. Nous sommes si reconnaissants de cette communion que nous avons les uns avec les autres.
17 J’ai découvert que leur ancien pasteur était un–un homme que je connaissais : frère Gurley, un homme très bien, de foi pentecôtiste unie. Je l’ai rencontré il y a plusieurs années, à Jonesboro dans l’Arkansas, mais je ne savais pas qu’ils étaient... que c’était cependant leur pasteur.
18 Maintenant, souvenez-vous des réunions de ce soir. Et aussi, le Seigneur voulant, nous espérons parler de nouveau dimanche prochain. Je pense donc que le dimanche prochain, il me faudra aller à Chicago; alors, je serai loin pendant un certain temps. Je dois ramener ma famille chez nous, ramener, ou plutôt les ramener en Arizona, afin que les enfants puissent s’inscrire de nouveau à l’école. Et alors, nous arrêterons d’importuner le pasteur en prenant ses services.
19 Ainsi, nous sommes très reconnaissant à frère Neville pour son hospitalité, vous le savez, en–en m’invitant, il est tellement, pas... J’aime frère... un homme comme cela, dans lequel il n’y a pas de fraude; il n’y a pas d’égoïsme, seulement un véritable christianisme. J’aime ça.
20 Nous allons lire un passage des Ecritures et, ensuite, nous ferons des commentaires. Je ne sais pas exactement à quelle heure nous sortirons, avec ces longs messages, mais je pense... Je parlais, l’autre jour, du fait que je parle si longtemps, et quelqu’un m’a dit : « Eh bien, alors, si vous–si vous ne parliez que quelques minutes, comme vous prêchez un peu par des mystères, de toute façon, a-t-il dit, nous–nous ne pourrions jamais comprendre cela. » Il a dit : « Continuez seulement à parler et, après un moment, cela sort », a-t-il dit. Alors, peut-être que le Seigneur désire que nous nous y prenons ainsi.
Inclinons-nous de nouveau.
21 Seigneur, Ta Parole est ouverte sur la chaire, et nous réalisons qu’un jour, Elle se fermera pour la dernière fois; alors, la Parole sera chair. Nous sommes donc–nous sommes reconnaissants pour ce moment que nous avons ce matin et, par Ton Saint-Esprit, ouvre pour nous le contenu de cette Parole que nous allons lire. Puisse le Saint-Esprit nous enseigner aujourd’hui les choses que nous devrions connaître, et qu’alors, en retour, nous écoutions attentivement chaque Parole et que nous pesions profondément cela. Et que ceux qui écoutent au moyen de la bande soient aussi attentifs. Puissions-nous saisir ce que le Saint-Esprit essaie de nous révéler, car nous réalisons que, s’Il nous oint, alors l’onction n’est pas vaine. C’est dans un but : que cela puisse concourir au bien pour le Seigneur. Et puissent nos coeurs et notre entendement être ouverts, Seigneur.
22 Puissions-nous avoir la liberté de parler et la liberté d’écouter, et puissions-nous aussi accéder à la foi pour croire ce que nous avons entendu, comme cela vient de la Parole de Dieu, afin que cela nous amène à la Vie Eternelle, au grand Jour qui doit venir. Bénis-nous aujourd’hui. Réprimande-nous quand nous sommes dans l’erreur. Fais-nous connaître nos défauts et bénis-nous dans la voie qui est juste, afin que nous puissions savoir dans quelle direction aller et comment agir dans le monde présent pour que, par nos vies, nous puissions honorer Jésus-Christ qui mourut pour nous donner la Vie dans le glorieux Au-delà. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen !
23 Maintenant, je désire lire ce matin juste deux passages des Ecritures; l’un d’eux se trouve dans le Livre de l’Exode. En fait, les deux se trouvent dans le Livre de l’Exode, l’un au chapitre 13, versets 21 et 22, et l’autre au chapitre 14, les versets 10, 11 et 12. Je vais lire maintenant dans Exode 13.21. L’Eternel allait devant eux, le jour dans une colonne de nuée pour les guider dans leur chemin, et la nuit dans une colonne de feu pour les éclairer, afin qu’ils marchassent jour et nuit. La colonne de nuée ne se retirait point de devant le peuple pendant le jour, ni la colonne de feu pendant la nuit.
24 Maintenant, dans Exode 14, verset 10 : Pharaon approchait. Les enfants d’Israël levèrent les yeux, et voici, les Egyptiens étaient en marche derrière eux. Et les enfants d’Israël eurent une grande frayeur, et crièrent à l’Eternel. Moïse dit alors : N’y avait-il... (Excusez-moi.) Ils dirent à Moïse : N’y avait-il pas des sépulcres en Egypte, sans qu’il fût besoin de nous mener mourir au désert ? Que nous as-tu fait en nous faisant sortir d’Egypte? N’est-ce pas là ce que nous te disions en Egypte : Laisse-nous servir les Egyptiens, car nous aimons mieux servir les Egyptiens que de mourir au désert ?
25 Je vais encore lire quelques versets. Moïse répondit au peuple : Ne craignez rien... (Maintenant, écoutez attentivement ceci.) ... Moïse répondit au peuple : Ne craignez rien, restez en place, et regardez la délivrance que l’Eternel va vous accorder en ce jour; car les Egyptiens que vous voyez aujourd’hui, vous ne les verrez plus jamais. L’Eternel combattra pour vous; et vous, gardez le silence. L’Eternel dit à Moïse : Pourquoi ces cris ? Parle aux enfants d’Israël, et qu’ils marchent. Toi, lève ta verge, étends ta main sur la mer, et fends-la; et les enfants d’Israël entreront au milieu de la mer à sec. Et moi, je vais endurcir le coeur des Egyptiens, pour qu’ils y entrent après eux; et Pharaon et toute son armée, ses chars et ses cavaliers, feront éclater ma gloire. Et les Egyptiens sauront que je suis l’Eternel, quand Pharaon, ses chars et ses cavaliers, auront fait éclater ma gloire. L’ange de Dieu, qui allait devant le camp d’Israël, partit et alla derrière eux; et la colonne de nuée qui les précédait, partit et se tint derrière eux. Elle se plaça entre le camp des Egyptiens et le camp d’Israël. Cette nuée était ténébreuse d’un côté, et de l’autre elle éclairait la nuit. Et les deux camps n’approchèrent point l’un de l’autre pendant toute la nuit. Moïse étendit sa main sur la mer. Et l’Eternel refoula la mer par un vent d’orient, qui souffla avec impétuosité toute la nuit; il mit la mer à sec, et les eaux se fendirent. Les enfants d’Israël entrèrent au milieu de la mer à sec, et les eaux formaient comme une muraille à leur droite et à leur gauche. Les Egyptiens les poursuivirent; et tous les chevaux de Pharaon, ses chars et ses cavaliers entrèrent après eux au milieu de la mer. A la veille du matin, l’Eternel, de la colonne de feu et de la nuée, regarda le camp des Egyptiens, et mit en désordre le camp des Egyptiens. Il ôta les roues de leurs chars et en rendit la marche difficile. Les Egyptiens dirent alors : Fuyons devant Israël, car l’Eternel combat pour lui contre les Egyptiens.
26 La Parole du Seigneur est si merveilleuse, si bonne, qu’il n’y a simplement pas moyen d’arrêter de La lire. Elle devient simplement vivante, alors que nous La lisons. Je pense que, dans ce texte ce matin, bien que cela soit enregistré, je désire dire ceci pour commencer. Il se fait... Je me retrouve... Et la raison pour laquelle je... Hier, alors que j’étudiais, je suis tombé sur ce sujet et j’ai alors pensé : « Je vais, le Seigneur voulant, parler sur ça, parce que cela m’abaisse. » Et j’espère que cela nous abaissera tous, afin que nous puissions voir... que cela nous fasse regarder en haut et étudier un peu, en comparant le jour d’alors avec aujourd’hui.
27 Je désire prendre trois mots comme sujet, et c’est : Pourquoi crier ? Parle ! Dieu dit à Moïse, ici, au verset 15 : « Pourquoi ces cris ? Parle au peuple, et qu’il marche. » Donc : Pourquoi crier ? Parle !
28 Eh bien, nous avons là un bon sujet, et j’essaierai de le traiter aussi rapidement que possible, selon la conduite du Saint-Esprit. Je désire penser au… à ce texte, à Moïse qui criait à Dieu dans un moment d’ennuis; et Dieu réprimanda Moïse juste en pleine épreuve. Il semble que ce soit naturel pour une personne de crier. Et alors, quelle réprimande, lorsque Dieu le reprend pour avoir dit cela, pour avoir crié à Lui ! Cela semble très dur.
29 Souvent, lorsque nous considérons les Ecritures selon notre propre façon de voir, cela semble très dur. Mais si nous étudions cela un peu, nous découvrons que le Dieu infiniment sage sait exactement ce qu’Il fait. Et Il sait comment faire ces choses et comment traiter avec l’homme. Il sait ce qui est dans l’homme. Il–Il le connaît, mais pas nous. Nous savons cela seulement d’une façon intellectuelle. Il sait ce qui est réellement dans l’homme.
30 Lorsque Moïse vint au monde, c’était un garçon doué. Il naquit pour être un prophète, un libérateur. Il naquit avec l’équipement déjà en lui, de même que chaque homme qui vient au monde naît avec cet équipement. Je crois fermement dans la prescience de Dieu et dans la prédestination.
31 Ce n’est pas que Dieu veuille qu’il y en ait qui périssent, mais que tous puissent arriver à la repentance. Mais, étant Dieu, Il devait connaître, et Il connaît effectivement la fin dès le commencement. Voyez-vous ? S’Il ne connaît pas cela, alors Il n’est pas infini; et s’Il n’est pas infini, Il n’est pas Dieu. Ainsi, Il ne voulait certainement pas qu’il y en ait qui périssent, mais Il–Il savait qui périrait et qui ne périrait pas.
La raison, le but même pour lequel Jésus vint sur la terre, était de sauver ceux dont Dieu, au travers de Sa prescience, avait vu le désir d’être sauvés, voyez, parce que le monde entier était condamné. Je ne vois pas comment nous pourrions enseigner cela autrement qu’en parlant de la prescience de Dieu. Et la Bible dit clairement qu’Il connaît la fin dès le commencement, et qu’Il peut l’annoncer.
32 C’est pourquoi, lorsqu’une–une personne essaie d’être quelque chose qu’elle n’est pas, elle en fait simplement une imitation et, tôt ou tard, elle sera démasquée. Vos péchés vous démasqueront. Vous ne pouvez pas les couvrir. Il n’y a qu’une chose qui couvre le péché, c’est le Sang de Jésus-Christ; et Il ne peut pas être appliqué, à moins que Dieu ne vous ait appelé dès la fondation du monde.
C’est pour cela que ce Sang fut répandu, pas pour qu’on Le foule aux pieds, qu’on s’en moque, qu’on Le tripote, qu’on En parle en mal, et–et tout le reste, mais c’était dans un but précis. C’est vrai. Pas pour qu’on s’En serve comme d’un jouet, pas pour qu’on L’imite, en disant que les péchés sont couverts, alors qu’ils ne le sont pas; et aucun homme ne peut avoir ses péchés couverts, à moins que son nom ait été inscrit dans le Livre de Vie de l’Agneau avant la fondation du monde. Jésus, Lui-même, a dit : « Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire, et tous ceux que le Père M’a donnés (au passé) viendront à Moi. » C’est juste. Vous ne pouvez donc pas faire mentir ces Paroles, Elles sont là pour témoigner de la Vérité et pour corriger.
33 Moïse naquit avec un don de foi. Moïse avait une grande foi, nous voyons cela se manifester en lui au bout de quelque temps. Il naquit dans une famille remarquable, car nous savons que son père et sa mère étaient issus de la famille de Lévi. En fait, le récit qui précède celui-ci, dans le Livre d’Exode, relate si magnifiquement la vie de ce grand personnage. Il était l’un des plus grands personnages de la Bible, car il était exactement un type du Seigneur Jésus.
34 Il eut une naissance très étrange, comme le Seigneur Jésus. Il naquit dans un temps de persécution, comme le Seigneur Jésus. Il naquit pour être un libérateur, comme le Seigneur Jésus. Ses parents le cachèrent pour le protéger de l’ennemi, comme le Seigneur Jésus. Il commença son ministère, comme le Seigneur Jésus. Il était un leader, comme le Seigneur Jésus. Il était un prophète, comme le Seigneur Jésus, et il était un législateur, comme le Seigneur Jésus.
35 Et nous voyons qu’il mourut sur le Rocher, et il doit avoir ressuscité et tout, car huit cents ans plus tard, il se tenait sur la montagne de la Transfiguration, parlant au Seigneur Jésus, voyez-vous? Les anges l’avaient emporté. Personne ne sait où il fut enseveli; même le diable ne le savait pas. Franchement, je ne crois pas qu’il ait donc été enterré. Je–je crois que Dieu l’avait emporté et–et qu’il mourut sur le Rocher qu’il avait suivi tous les jours de sa vie.
36 Il était un type parfait de Christ. Il était roi pour le peuple; il était un législateur; il était un–il était un–un soutien pour le peuple; il était en–en tout le type de Christ.
37 Eh bien, nous voyons donc qu’il vint au monde avec, en lui, ces grands dons et ces merveilleuses qualités. Il a seulement fallu que Quelque Chose luise là-dessus pour l’amener à la Vie.
38 En fait, vous voyez, la semence de Dieu est placée en nous dès la fondation du monde. Et, quand cette Lumière frappe pour la première fois cette semence, Elle l’amène à la Vie, mais la Lumière doit premièrement venir sur la semence.
39 Comme je l’ai souvent enseigné, concernant la petite femme au puits, dans la condition où elle était. Bien qu’elle fût une–une personne de mauvaise vie, bien que sa–sa vie ait été corrompue –– et elle était dans cette condition parce que les traditions ne l’avaient jamais touchée –– mais, cependant, lorsque cette Lumière la frappa pour la première fois, elle La reconnut rapidement, parce qu’il y avait là quelque chose pour Y répondre. Quand la profondeur appelle la profondeur, il doit y avoir une profondeur quelque part pour répondre à cet appel.
40 Moïse était né prophète, mais il fut élevé dans une école intellectuelle et dans la cour de Pharaon. Le pharaon Séti, sous le règne duquel il a grandi, était un homme qui avait encore de l’honneur et qui croyait que Joseph était le prophète du Seigneur. Mais Ramsès vint après Séti, et Ramsès ne se soucia pas de Joseph. Ce fut alors là le commencement des difficultés, lorsqu’il y eut un pharaon qui ne connaissait pas Joseph.
41 Mais ces grandes qualités... Parlons-en pendant un petit moment, avant d’aborder la partie principale du texte. J’ai une drôle de façon de choisir un texte et, ensuite, de construire à partir de là. Que le Seigneur nous aide ce matin, alors que nous construisons là-dessus.
42 Moïse vint au monde avec ce grand don de foi; ensuite, il fut oint et commissionné au buisson ardent pour délivrer le peuple de Dieu. Maintenant, on voit quelles étaient les grandes qualités de cet homme ! Il vint au monde pour une certaine chose; Dieu avait un dessein dans cela.
43 Dieu a un dessein dans le fait que vous soyez ici. Voyez ? Si seulement vous pouvez être... atteindre ce niveau-là, combien de difficultés vous épargnerez à Dieu et aussi à vous-même !
44 Moïse est né, et plus tard il fut... il en vint à–à être oint. Et remarquez : La semence se trouvait là, avec une conception intellectuelle et toute la foi dans le fait qu’il était né pour délivrer ce peuple. Et pourtant, cette semence n’est jamais venue à la Vie avant que la Lumière du buisson ardent ne l’illumine et avant qu’il ne voie... non pas quelque chose qu’il aurait lu, mais Quelque Chose qu’il voyait de ses yeux, Quelque Chose qui lui parla et à quoi il répondit ! Oh ! combien cela amena certainement les choses à la Vie !
45 Je pense que tout homme avec un… ou une femme, un garçon ou une fille, je pense, avec une conception intellectuelle de la Parole et tout, ne peuvent jamais avoir un parfait fondement avant d’avoir rencontré cette Lumière qui amène cette Parole à une réalité.
46 Je pense qu’aucune église, malgré sa pratique, peu importe combien elle est intellectuelle et fondamentaliste, cette église ne peut jamais prospérer avant que le Surnaturel ne se soit fait connaître parmi ces gens-là et qu’ils L’aient vu, Quelque Chose avec lequel ils peuvent parler, qui leur répondra et confirmera cette Parole écrite.
47 Maintenant, souvenez-vous, lorsque Moïse rencontra ce buisson ardent, cette Parole fut confirmée exactement. C’était la Parole. Moïse n’avait pas à s’inquiéter : « Qu’est-ce que cette Voix ? Qui est cet Être ici ? » Parce que Dieu, dans les Ecritures, dans la Genèse, avait déjà écrit ceci : « Ton peuple séjournera dans un pays étranger, mais il sera ramené après quatre cents ans; il reviendra de nouveau dans ce pays, car la–l’iniquité des Amoréens n’est pas encore à son comble. »
Eh bien, des centaines et des centaines d’années auparavant, Dieu avait dit qu’Israël séjournerait et serait maltraité dans un pays étranger et qu’il resterait là pendant quatre cents ans, mais que Dieu, par une main puissante, les en ferait sortir. Ainsi, vous voyez, avec ce buisson ardent...
48 Moïse connaissait ceci intellectuellement, et la semence qui était née en lui reposait dans son coeur. Et il essaya, par son expérience intellectuelle de la Parole, de–de–de les en faire sortir, de les délivrer, parce qu’il savait qu’il était né dans ce but-là. Il le savait, que c’était le temps. Tout, dans les Ecritures, mentionnait que cela faisait déjà quatre cents ans qu’ils se trouvaient là.
49 De même, nous savons maintenant, comme me l’a demandé un homme il y a quelques instants, ce qu’il en est de la Venue et de l’Enlèvement. Nous le savons. Nous avons vécu tout le temps qui nous était attribué. Le temps de l’Enlèvement est proche. Et nous recherchons une « foi de l’Enlèvement », qui puisse rassembler l’Eglise et Lui donner une force surnaturelle, capable de changer ces corps dans lesquels nous vivons. Lorsque nous voyons un Dieu qui peut relever les morts, étendus sur le plancher ou dans la cour, les ramener à la vie et les présenter devant nous ; quand nous voyons un Dieu qui peut prendre un homme rongé par le cancer, qui n’est plus que l’ombre de lui-même, le relever et faire de lui un homme fort et en bonne santé, cela devrait donner aux gens la foi de l’Enlèvement. Lorsque cette Lumière brillera du ciel et que la trompette sonnera, le Corps de Christ sera rapidement rassemblé et changé en un instant, pour être enlevé dans les cieux.
Oui, quelque chose comme cela doit arriver, et nos écoles de théologie ne peuvent jamais produire cela; pourtant, elles sont bien, intellectuellement. Mais vous devez rencontrer cette Lumière ! Vous devez trouver cette certaine Chose.
50 Ici, Moïse avait basé son glorieux appel sur la Parole (et c’était bien), jusqu’au jour où il rencontra cette Lumière, et la Parole Elle-même lui répondit. Alors, il reçut son onction. Cela oignit ce qu’il avait en lui, ce qui était à l’intérieur, le–l’intellect qui croyait cela, la foi qui reposait sur sa croyance en Dieu qui l’avait séparé de sa mère. Et, maintenant, lorsqu’il entra dans la Présence de cette Lumière, Celle-ci oignit ce qu’il croyait. Voyez-vous ? Quelle onction ! Et il fut commissionné.
51 Nous savons donc qu’intellectuellement, il avait écouté sa mère. Il savait ce qui allait arriver et il savait qu’il vivait en ce jour-là. Mais, ici, il découvrit qu’il était un raté, et il se peut que sa foi eut diminué un peu. Mais alors, lorsqu’il arriva au buisson, Dieu dit : « J’ai entendu les cris de Mon peuple et Je me souviens de la promesse que J’ai faite à leurs pères Abraham, Isaac et Jacob, et Je suis descendu. » Je, là, le–le pronom personnel. « Je suis descendu pour les délivrer. »
52 Et maintenant, puis-je juste ajouter ceci si ce… et que Dieu me pardonne si cela paraît sacrilège : « Je ne fais rien sur la terre, si ce n’est au travers des hommes. Je–je–je suis le Cep, vous êtes les sarments, et Je me manifeste seulement lorsque Je peux trouver un homme. Et Je t’ai choisi et Je t’envoie là-bas pour les faire sortir. » Voyez-vous ? Eh bien, remarquez : « Je serai avec ta bouche et Je... Prends ce bâton. »
53 Et Moïse dit : « Puis-je voir l’évidence que Tu m’as envoyé, et que Tu m’as oint, et que Tu vas faire ces choses ? »
Il dit : « Qu’as-tu dans la main ? »
Il répondit : « Une verge. »
Il dit : « Jette-la par terre. » Et elle devint un serpent; et Moïse fuit.
54 Il dit : « Ramasse-le. » Et elle redevint une verge. Il dit : « Mets la main dans ton sein. » Il la retira, et elle était couverte de lèpre; il la remit, et elle fut guérie. « Il vit la Gloire de Dieu. »
55 Il est dit : « Il vit la Gloire de Dieu. » Moïse n’avait plus de questions. Avez-vous remarqué qu’il ne s’est plus jamais enfui au désert ? Il savait qu’il était oint. Il savait que toutes ces choses qui avaient été dans son coeur, ces très grandes qualités, il–il savait qu’elles étaient ointes à présent. Il–il est prêt. Il est prêt à partir; il s’en va donc en Egypte.
56 Dieu avait dit : « Je serai avec toi. » Ainsi, cela–cela était réglé. Si… Ce Je serai avec toi, c’était tout ce que Moïse devait savoir pour ce glorieux appel dans son coeur. Et Dieu avait donc dit : « Je serai avec toi. »
57 Dieu avait aussi confirmé les prétentions de Moïse. Moïse déclarait : « J’ai rencontré l’Eternel. » Et Il m’a dit de vous dire : « Je suis m’a envoyé. » Voyez-vous ?
58 Eh bien, ils dirent : « Voici un homme, un autre Juif ; c’est probablement un de ces fanatiques qui vient, comme nous en avons eu tout le temps, avec toutes sortes de projets pour nous libérer de l’esclavage. » Et vous savez comment sont les gens. Lorsqu’ils sont des esclaves ou en esclavage pour une certaine raison, on leur présente toujours une espèce de truc pour faire cela, vous savez.
59 Donc Moïse... Dieu avait fait cette promesse à Moïse : « Je serai avec toi; Je serai en toi. Mes Paroles seront tes paroles. Tu prononceras Mes Paroles, et tu diras simplement ce que Je dis. »
60 Et alors, lorsque Moïse descendit, leur fit entendre cet appel et se tint devant Pharaon, lui disant que l’Eternel, le Dieu des Hébreux, avait dit : « Fais sortir les enfants d’Israël », il ne voulut pas les laisser partir. Alors, Moïse accomplit un signe devant les anciens et devant Pharaon; et ce sont les signes que Dieu a accomplis.
Il dit : « Eh bien, demain, vers cette heure-ci, le soleil disparaîtra. Il y aura des ténèbres sur toute l’Egypte. » Et cela arriva exactement. Ensuite, il dit : « Des mouches viendront sur le pays. » Et il étendit son bâton et il appela des mouches ; et les mouches arrivèrent. Il prophétisa ; et tout ce qu’il avait prophétisé arriva exactement. C’était Dieu. Voyez-vous ?
61 Dieu l’avait appelé dès sa naissance et Il avait mis en lui les qualités d’une grande foi; et ensuite, Il descendit avec Sa Présence, oignit cette grande chose qui était en lui et Il l’envoya avec Sa Parole. Et il fut correctement justifié de ses prétentions. Peu importait combien il y avait eu des charlatans et combien d’autres choses étaient arrivées, Dieu parlait au... Moïse était identifié. Moïse... Ce que Moïse disait, Dieu l’honorait ! Je veux que vous n’oubliiez jamais cette parole : Ce que Moïse disait, Dieu l’honorait, parce que la Parole de Dieu était en Moïse. « Je serai avec ta bouche. Elle dira les choses justes. »
Eh bien, ce que Dieu disait–ce que Dieu disait, Il le disait à travers Moïse, et cela confirmait et justifiait ses prétentions.
62 Sa mère lui parla aussi de sa naissance mystérieuse et du temps devenu proche où il devait y avoir une délivrance. Amram et–et Jokébed, le fils et la fille de Lévi, commencèrent à prier Dieu d’envoyer un libérateur. Et cela prend... Lorsque vous voyez le temps de la promesse approcher, cela pousse les gens à prier et à avoir soif de cela. Et sans doute, Jokébed lui avait dit souvent (c’était sa mère, et elle était aussi sa préceptrice, d’après le récit), elle lui avait raconté comment elle avait prié. « Et, Moïse, mon fils, lorsque tu es venu au monde, tu étais un bel enfant. Tu étais différent. Quelque chose est arrivé à ta naissance. »
63 J’ai illustré cela pour les enfants, il n’y a pas longtemps, et j’ai dit que, pendant qu’Amram priait dans sa chambre, il vit un Ange tirer Son épée, la diriger vers le nord et dire : « Tu auras un enfant, et il emmènera les enfants d’Israël en direction du nord, vers la Terre promise. » J’ai ainsi illustré cela pour que les petits enfants comprennent cela. Leur intelligence n’est pas arrivée au stade où, comme vous les adultes, elle peut saisir les choses telles que le Saint-Esprit vous les révèle.
64 Bien que sa mère lui ait dit ces choses et qu’il ait su cela, il avait cependant besoin d’un autre contact. L’enseignement était bon, mais il avait besoin d’un contact personnel.
65 C’est ce dont le monde a besoin aujourd’hui. C’est ce dont l’église a besoin aujourd’hui. C’est ce dont chacun a besoin, en tant que fils et filles de Dieu. Afin d’être cela, vous avez besoin d’un contact personnel, voyez, Quelque Chose. Peu importe... Vous savez que la Parole est vraie; vous savez qu’Elle est juste, mais lorsqu’il y a ce contact et qu’ensuite vous voyiez la chose accomplie, alors, vous savez que vous êtes sur la bonne voie, voyez-vous. Et, regardez, cela sera toujours scripturaire. Cela s’accordera tout à fait avec les Ecritures, parce que ceci l’a fait.
66 La prière d’Amram s’accordait exactement avec les Ecritures. Leurs prières se conformaient à la Parole promise. Dieu avait promis de faire cela, à ce moment-là. Ils prièrent pour cela, et l’enfant attendu vint au monde. Et ils...
67 Suivez bien ! Oh ! comme j’aime ceci ! Voyez. A l’heure où Pharaon mettait à mort tous les enfants, voyez, on les passait au fil de l’épée, l’épée guardenian, et on–on mettait les petits enfants dans une écurie, on les jetait en pâture aux crocodiles, leurs petits corps, au point que les crocodiles étaient peut-être devenus gras à force de manger ces enfants hébreux.
Mais la Bible dit que les parents ne craignirent pas l’ordre qu’avait donné Pharaon de tuer les enfants. Ils ne le craignirent pas. Ils n’avaient pas peur, parce qu’ils avaient vu, dès le commencement, quelque chose dans ce bébé. Ils avaient vu là une réponse à leurs prières.
68 Moïse avait donc tout ce passé derrière lui ; ainsi, il sut qu’il était envoyé dans le but même de délivrer les enfants d’Israël.
69 Vous voyez, tous les faits du passé s’accumulent. Lorsque vous recevez quelque chose et que vous pouvez le confirmer par la Bible et dire : « Ceci va arriver », le voici qui arrive ; « Il y aura cela à tel moment », et le voilà qui arrive ; « Cela va arriver à tel moment », et le voilà qui arrive, alors, tout s’accumule et dessine pour nous une image.
70 Oh ! combien ce tabernacle, ce matin... combien nous, gens de cette heure... Frère Neville, alors que nous voyons nos cheveux grisonner et nos épaules s’arrondir, et quand nous voyons le monde tituber et vaciller, on dirait, combien nous pouvons regarder autour de nous et voir que la promesse est sur le point de s’accomplir ! C’est cela... J’ai souvent pensé que, si quelqu’un pouvait sauter là-dedans d’un seul coup et qu’il ne comprenait pas cela, ou plutôt qu’il comprenait cela et qu’il y entrait du coup, cela l’enverrait presque jusque dans l’éternité, avec simplement... — tellement cette chose pourrait vous enlever — et cela, sans même le réaliser. Oh ! juste pénétrer dans les choses que nous avons vues, que nous connaissons et que nous comprenons, et sauter là-dedans d’un seul coup. Cet homme ou cette femme, ce garçon ou cette fille, lèverait probablement les mains et dirait : « Allons-y, Seigneur Jésus ! » Voyez-vous ? Oh ! l’heure est si proche !
71 Moïse, sachant qu’il était né dans ce but-là, regarda dehors par les fenêtres et observa ces Hébreux qui travaillaient durement. Il regarda ensuite dans les Ecritures et il y était écrit : « Et ils séjourneront là-bas quatre cents ans (voyez), mais Je les ferai sortir avec une main puissante. » Puis, après que Moïse eut reçu sa commission et son onction, il revint; il savait qu’il était né... et sa foi... et, par la foi, il vit ces gens et il sut qu’ils étaient les enfants de Dieu, parce que le monde… la–la Parole le disait. Ils n’étaient pas du monde et ils n’étaient pas comme les autres. Ils étaient différents. Ils étaient des excentriques et des fanatiques, face au–au grand prestige de l’Egypte. Lui devait être le fils de Pharaon qui succéderait au prochain dans le royaume.
Mais il y avait quelque chose au fond de lui, une–une foi réelle, qui ne regardait pas à ces choses et au prestige qu’il allait hériter. Il regarda à la promesse de Dieu, et il sut que le temps approchait. Et ce qui a bien pu traverser sa pensée!
72 Je voudrais en parler un jour avec lui, lorsque je le rencontrerai de l’autre côté. Vous dites : « Ah ! c’est insensé, frère ! » Mais non ! Je vais le rencontrer, par la grâce de Dieu. Oui, oui. Un jour, je parlerai à Moïse lui-même. Comme j’aimerais lui demander juste comment… quand il a vu sa préparation.
73 Quelle confusion, avec le diable qui disait : « Ah ! le peuple ne va pas te croire. Oui, oui, il n’y a rien de valable dans tout cela. »
74 Mais lorsque cette semence vint à la Vie, là en haut, quelque chose le frappa et il sut que quelque chose allait arriver. Il le sut. Il regarda son horloge, et il vit l’heure qu’il était. Et il sut cela. Combien il dut réfléchir, alors qu’il observait.
Eh bien, quand il eut rassemblé tout cela et toutes ces grandes choses qu’il avait vues, le temps indiqué par les Ecritures, la prière de sa mère et de son père, sa naissance particulière, son enfance étrange... Tout le temps, il y avait eu quelque chose là, tout au fond de lui.
75 Et, alors, il s’éclipsa et pensa qu’il pourrait utiliser sa formation militaire reçue à l’école pour délivrer les enfants d’Israël, et ce fut un échec.
76 Ensuite, il alla dans le désert et, là, il épousa une–une charmante jeune fille éthiopienne, et ils eurent un petit garçon qu’ils appelèrent Guerschom.
77 Un jour, pendant qu’il surveillait le troupeau, il vit tout à coup un buisson ardent au sommet de la montagne, qui brûlait. Il y monta et ce n’était pas une chose intellectuelle ou une–une imagination, une hallucination ou une illusion d’optique, mais en lui... Là se trouvait le Dieu d’Abraham dans une Lumière, une Colonne de Feu dans un buisson, ce Feu s’en dégageait sous forme d’ondulations sans toutefois affecter le buisson. Et la Voix de l’Ecriture, la Voix de Dieu, lui parla à travers cela et lui dit : « Je t’ai choisi. C’est toi l’homme. Je t’ai suscité dans ce dessein. Je te prouve ici, par des signes, que tu vas aller délivrer les enfants d’Israël, parce que Ma Parole doit s’accomplir. »
78 Oh ! Sa Parole pour ce jour-ci doit s’accomplir ! Nous vivons dans cette heure-là. Peu importe ce que quelqu’un d’autre dit, la Parole doit s’accomplir. Les cieux et la terre passeront, mais pas Sa Parole.
79 Eh bien, quand Moïse eut réuni tous ces éléments pour obtenir une vue d’ensemble, cela oignit sa foi. Amen ! Oh ! la la ! Quelle pensée ! Le fait de voir ceci dans l’Ecriture qui indiquait exactement ce que c’était, le fait que Dieu ait parlé, l’évidence de cela qui se trouvait là, tout cela oignit la foi qui était en lui pour se mettre au travail.
80 Qu’est-ce que cela devrait nous faire ! Nous avons besoin d’une repentance. Nous avons besoin d’un réveil. Je parle de moi. Voyez ? J’ai besoin d’être secoué. J’ai besoin de quelque chose. J’ai dit que je parlais de moi, ce matin, ou à mon sujet. Je–je–j’ai besoin d’être réveillé.
81 Et quand je pense à cette grande évidence, tout est si parfaitement disposé. Et cela oignit la foi de Moïse. Et, oh ! la la ! il vit qu’il n’y avait rien.
82 Le voici qui s’enfuit d’Egypte, alors qu’en fait il aurait pu commencer une–une révolte ou quelque chose comme cela; il aurait pu–il aurait pu se lever et commencer une révolution en Egypte, il aurait pu prendre une armée et se battre, mais, voyez-vous... et en avoir des milliers de son côté. Mais, au lieu de cela, il craignit de le faire, bien qu’ayant des armées de son côté.
83 Mais maintenant, il revient, quarante ans plus tard, âgé de quatre-vingts ans, avec seulement un bâton à la main. Pourquoi ? Parce que ce qui brûlait au fond de son coeur était devenu une réalité. Il était alors oint, et il savait qu’il avait l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Rien n’allait donc l’arrêter. Il n’avait pas besoin d’armée. Dieu était avec lui; c’est tout ce dont il avait besoin : avoir Dieu avec lui.
84 Oh ! quand vous savez que Dieu vous a envoyé faire une certaine chose et que vous voyez cela prospérer, il–il n’y a rien qui puisse le remplacer. C’est tout.
85 Je me souviens des fois où le Seigneur m’a parlé de certaines choses qui allaient arriver ; et alors, quand j’y allais, je trouvais cela là même, comment… Oh ! quelle impression ! La situation est déjà sous contrôle. C’est tout, voyez-vous, parce que Dieu l’a dit.
86 Je me souviens... Beaucoup parmi vous se souviennent de ce petit garçon qui fut donc ressuscité des morts, en Finlande, après avoir été tué par une automobile. Je me tenais là, au bord de la route, et j’ai commencé à m’éloigner de cet enfant; je me suis retourné et j’ai regardé en arrière. Et quelqu’un avait mis sa main sur mon épaule, et je pensai que c’était frère Moore, mais il n’y avait personne autour de moi.
Et j’ai regardé en arrière et, ensuite, j’ai regardé vers la montagne. J’ai vu... Je pensai : « Bien, j’ai vu cette colline quelque part; pourtant, nous ne sommes pas venus par là, nous sommes venus d’une autre direction. Où se trouve cette colline ?»
87 Et j’ai regardé et j’ai vu cette voiture qui était démolie là-bas, j’ai vu ce petit garçon là avec son… étendu là avec une–une chevelure ...?... comme nous le dirions ici, les yeux révulsés, comme ceux de frère Way l’autre jour, lorsqu’il s’était affaissé; et le petit pied qui sortait de la chaussette, laissait voir ses petits membres brisés; et le sang qui sortait de ses yeux, de son nez et de ses oreilles. Et je voyais son petit pantalon court, retenu par des boutons, son… ici, sur le côté à la hauteur de sa petite taille, et ses petites chaussettes montantes, comme nous en portions il y a bien des années.
88 Et j’ai regardé tout autour de moi, et c’était là, exactement–exactement comme le Saint-Esprit me l’avait dit deux ans auparavant, et que vous tous, dans tout le pays, l’aviez inscrit dans vos Bibles, disant que cela arriverait. Oh ! là, alors la situation est bien en main ! Peu importe s’il est tout à fait mort; peu importe ce que n’importe dit; tout est terminé. Il doit revenir à la vie.
89 J’ai dit : « Si cet enfant ne ressuscite pas des morts, alors je suis un faux prophète; je suis une fausse représentation de Dieu, car, dans mon pays, il y a deux ans, Il m’a dit que ceci arriverait. » Et, tenez, ces prédicateurs et tous... c’est écrit sur la page de garde de notre Bible, et le voici exactement. Lisez sur cette page de garde où il est dit que ce serait dans un pays où il y a un amoncellement de rochers et tout, qu’il serait tué et sur… qu’il se trouverait sur le côté droit de la route. J’ai dit : « Le voilà; rien ne peut l’arrêter. » La situation est déjà sous contrôle.
90 La foi qui était dans mon coeur fut ointe. Oh ! si seulement je pouvais expliquer cela ! La foi que Dieu... que j’avais en Dieu, qui m’avait dit (et cela n’a jamais failli), Il m’a dit : « La situation est maintenant sous contrôle. Voilà exactement ce que Je t’avais montré, il y a deux ans, et tout se trouve là, exactement dans l’ordre. Tout ce que tu dois faire, c’est prononcer la Parole ! » Et le petit garçon ressuscita des morts. Voyez-vous ?
91 En regardant là et en voyant frère Fred Sothmann, frère Banks Wood et les autres, cela me fait penser à ce qui est arrivé l’autre jour sur la–la route de l’Alaska, alors qu’ici, à l’église, je vous avais parlé à tous d’un animal qui devait ressembler à un cerf, avec des bois de 42 pouces [106,6 cm] de long, et d’un ours grizzly argenté. Je n’étais jamais allé là-bas auparavant, et comment le… j’y allais pour attraper cela, et comment ça serait, et combien de personnes seraient avec moi, et comment elles seraient vêtues. Vous le saviez, chacun d’entre vous, des semaines et des semaines avant que cela arrive.
92 Et quand j’y suis allé, sans le savoir, cet animal était là. Je me suis approché et–et il... C’était impossible. Si un chasseur savait… ou plutôt écoutait cette bande, il saurait que vous ne pouvez pas approcher un animal de face sans qu’il bondisse et se mette à courir. Mais celui-ci ne le fit pas.
93 Il est suspendu là, dans mon bureau, et l’ours argenté aussi, exactement tels quels. Et–et il y a à côté une règle, un mètre à ruban, pour attester la longueur de ses bois. Or, un bois se rétrécit d’au moins 2 pouces [5 cm] ou plus entre le moment où il est humide sur l’animal et le moment où il est sec, mais celui-ci ne s’est jamais rétréci. Il mesure toujours exactement 42 pouces [106,6 cm], voyez. Et cet ours argenté est étendu là, et il mesure exactement 7 pieds [2,10 m] de long, et tout est encore exactement comme c’était alors.
94 Mais alors, cet homme m’a dit : « Maintenant, regardez, Frère Branham, nous avons attrapé cet animal dont vous parliez, mais vous m’avez dit que vous attraperiez un grizzly argenté avant que vous n’atteigniez le bas de la colline, où il y a ces garçons et celui à la chemise verte. »
95 Je lui ai dit : « C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Dieu l’a dit. »
96 « Mais, Frère Branham, a-t-il dit, je peux tout voir sur des kilomètres ici tout autour ; il n’y a rien. D’où viendra-t-il ? »
97 J’ai répondu : « Ce n’est pas à moi de poser des questions. Dieu l’a dit, et Il est Jéhovah-Jiré. Il peut amener là un ours. Il peut en mettre un là. » Et Il le fit, et le voilà. C’est une situation sous contrôle.
98 Et lorsque Moïse vit qu’il avait été suscité dans ce but et qu’il avait rencontré face à face ce Grand Dieu qui l’avait appelé, oint et identifié, et qui lui avait dit : « C’est ton appel, Moïse, Je t’envoie. Je vais te montrer Ma Gloire et Me voici ici dans le buisson ardent. Va là-bas ! Je serai avec toi. », il n’avait même pas besoin d’un bâton. Il avait la Parole, la Parole confirmée. Et il s’en alla. Cela oignit la foi qui était en lui.
99 Et cela nous oint lorsque nous voyons que nous vivons dans les derniers jours et que nous découvrons que tous ces signes que nous voyons arriver, qui ont été annoncés dans les Ecritures que ça se produirait dans les derniers jours, tant dans le ciel qu’au niveau des puissances politiques, tant dans la nature des gens que dans la dépravation des moeurs au monde et parmi les femmes. Ce qu’elles feraient dans les derniers jours, ce que les hommes feraient, ce que les églises feraient, ce que les nations feraient, et ce que Dieu ferait. Et nous voyons tout cela devant nous.
100 Oh ! cela oint notre foi. Cela nous amène dans de grands cycles, voyez-vous. Cela–cela nous sépare des autres choses du monde, voyez ? Peu importe combien nous sommes petits, combien nous sommes une minorité, combien l’on se rit de nous et l’on se moque de nous, cela ne fait aucune différence. C’est tout. Nous le voyons; il y a quelque chose au-dedans de nous. Nous étions prédestinés à voir cette heure et rien ne nous empêchera de la voir. Amen ! Assurément, Dieu l’a prononcé. Cela est–cela est déjà arrivé. Nous le voyons. Oh ! combien nous remercions Dieu pour ceci ! Oh ! cela fait donc ressortir votre foi, lorsque nous voyons ces choses arriver ici.
101 Nous lisons donc ici, de nouveau, que Moïse estima l’opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l’Egypte. Il estima le–l’opprobre de Christ...
102 Maintenant, souvenez-vous : l’opprobre de Christ. Voyez-vous ? Il y a de l’opprobre à servir Christ. Si vous êtes très populaire pour le monde, alors vous ne pouvez pas servir... vous ne servez pas Christ. Non. Vous ne le pouvez pas, parce que, voyez-vous, il y a de l’opprobre qui va avec cela. Le monde a toujours jeté l’opprobre.
103 Il y a des milliers d’années, il y avait de l’opprobre qui allait avec cela. Et Moïse, le futur pharaon, — il devait succéder à Pharaon, étant son fils —, allait devenir le nouveau pharaon, ayant la faveur des gens, et, cependant, il regarda… (Estimer signifie regarder) il regarda l’opprobre de Christ comme une richesse plus grande que tout ce que l’Egypte pouvait bien lui donner. L’Egypte était entre ses mains. Mais cependant, il savait qu’il y avait de l’opprobre à prendre la voie de Christ. Mais il était si heureux de savoir qu’il y avait en lui quelque chose qui le faisait regarder l’approche de Christ... l’opprobre de Christ plutôt comme quelque chose de plus grand que tout le prestige qu’il–il avait hérité. Il avait au-dedans de lui un héritage infiniment plus grand que ce que l’héritage extérieur lui avait donné.
104 Oh ! si nous pouvions être comme cela, aujourd’hui, et laisser le Saint-Esprit oindre ce que nous avons en nous, cette foi, pour produire une vie pieuse et consacrée à Christ !
105 Eh bien, avec une foi telle que celle qu’il avait, il regarda et considéra cet opprobre comme un honneur.
106 Aujourd’hui, lorsque quelqu’un pourrait dire : « Hé, êtes-vous l’un de ceux-là ? Ces... »
« Eh bien, euh, euh... »
Vous avez un peu honte de cela.
107 Mais il regarda cela comme un trésor plus grand que le monde entier, parce qu’il y avait en lui quelque chose dont il pouvait parler et dire : « Oui, je–je regarde à ceci. Ceci est hautement honoré. Je suis content d’être l’un d’eux. » Voyez-vous ? « Je suis content d’être compté au nombre des Hébreux plutôt que des Egyptiens. »
108 Les chrétiens, aujourd’hui, devraient dire la même chose : « Je suis content de me considérer comme chrétien et de m’abstenir des choses du monde et de l’ordre du monde, pas simplement comme un membre d’église, mais comme un chrétien né de nouveau qui vit suivant les Ecritures. Bien que je sois taxé de fanatique même par les membres de l’église, je–je–je regarde néanmoins cela comme une chose plus grande–plus grande que si j’étais la personne la plus populaire de la ville ou de la nation. Je préfère être cela plutôt que président des États-Unis d’Amérique ou–ou roi sur la terre. (Voyez-vous ?) Je regarde cela avec une très haute estime, parce que Dieu, dans Sa miséricorde, m’a vu avant la fondation du monde–monde et–et a placé une petite semence là-dedans, afin que ma foi s’élève au-dessus de ces choses du monde. Et maintenant, Il m’a appelé et je–je considère ma place.
109 Comme Paul disait, il considérait sa fonction avec une haute... Voyez, et, oh ! que Dieu l’a appelé et l’a empêché d’être un grand docteur comme Gamaliel. Mais Paul avait été appelé à être un sacrifice pour Christ. Voyez ? Et là, c’est la même chose.
110 Remarquez, avec une telle foi, il ne se fia jamais à sa vue, à ce qu’il pouvait voir. Eh bien, il ne voyait là-bas rien qu’un tas de–de tripoteurs de boue, des esclaves, en prison, que l’on tuait chaque jour, que l’on fouettait, qui subissaient la moquerie ; on se moquait de leurs croyances religieuses. Et il y avait un pharaon assis sur le trône, qui ne connaissait ni n’avait aucune estime pour leur religion. Il ne savait rien à ce sujet. Il était un païen, ainsi il...
Comme c’est l’image d’aujourd’hui ! Et c’est cela, une religion différente ! Et alors, si–si ce Moïse, qui était pourtant assis avec le président, — ou le–le grand homme, Pharaon — et qui allait prendre sa place à sa mort, car il était âgé... Et, cependant, Moïse pensait que cet appel... Il regarda dehors par la même fenêtre que Pharaon, parce qu’il était dans sa maison.
111 Et Pharaon regarda dehors et vit ces gens qui levaient les mains, à qui on infligeait le fouet, jusqu’à ce que mort s’ensuive, parce qu’ils priaient. On les transperçait avec une épée, même pour avoir manqué d’obéir, à n’importe quel moment, et on les faisait travailler jusqu’à ce que leurs pauvres corps usés tombent d’épuisement, et on leur donnait la moitié d’un repas. Eh bien, ce n’était rien d’autre qu’un tas de fanatiques, à peine des humains.
112 Et pourtant, Moïse, ayant cette foi en lui, les regarda et dit : « Ils sont le peuple béni de Dieu. » Amen ! J’aime cela.
Avec une telle foi, ses yeux ne se posèrent pas sur le prestige de l’Egypte; ils se posèrent sur la promesse de Dieu. Son oeil d’aigle de la foi vit au-delà du prestige de l’Egypte. Il… Souvenez-vous, il devient maintenant « un aigle »; il est prophète, et son oeil d’aigle voit au-dessus de ces choses. Oh ! combien j’aime cela ! Oui. Oh ! la la !
113 Oh ! combien de fois, aujourd’hui–aujourd’hui, les chrétiens se fient à leurs sens et à ce qu’ils peuvent voir ou ce qu’ils peuvent comprendre, plutôt qu’à leur foi ! Vous vous fiez à ce que vous voyez de vos yeux et au prestige. C’est comme vous, les femmes, je vous répète toujours que vous devez laisser croître vos cheveux et que vous ne devez pas porter de maquillage, et que vous devez agir comme des dames et comme des chrétiennes. Vous regardez dans la rue et vous voyez les femmes aujourd’hui, habillées d’une façon immorale. Vous pensez alors : « Eh bien, elle est membre de l’église; pourquoi est-ce que moi, je ne pourrais pas le faire ? » Voyez-vous ? « Elle se coupe les cheveux; pourquoi–pourquoi est-ce que moi, je ne pourrais pas le faire ? Eh bien, elle semble être tout aussi douce et tout aussi intellectuelle que les autres, et elle a même plus de personnalité que moi. Bien. Pourquoi ne puis-je pas faire cela ? Je devrais le faire. » Lorsque vous faites cela, vous paralysez votre foi, voyez-vous? Vous ne donnez pas à votre foi une chance de grandir. Commencez par cela, comme je l’ai dit.
114 Quelqu’un m’a dit : « Frère Branham, le pays... les gens vous considèrent comme un prophète. Vous ne devriez pas crier contre les femmes, comme vous le faites, et contre les hommes pour ces choses. Vous–vous devriez leur enseigner comment prophétiser et comment recevoir des dons. »
115 J’ai répondu : « Comment puis-je leur enseigner l’algèbre, alors qu’ils ne connaissent même pas leur ABC ? » Voyez-vous ?
116 Maintenant, commencez donc par là. Purifiez-vous, afin que, lorsque vous marchez dans la rue, vous ayez au moins l’air d’une chrétienne, voyez-vous. Et ensuite, mettez-vous à agir comme une chrétienne. Voyez-vous ? Et vous ne pouvez pas le faire par vous-même, il faut que Christ vienne en vous. Et si cette semence se trouve là et que cette Lumière la frappe, elle viendra à la Vie. Si elle ne vient pas à la Vie, c’est qu’il n’y avait là rien qui puisse venir à la Vie, car cela a été assurément démontré sur d’autres. Vous voyez ? Elle vient immédiatement à la Vie aussitôt que la Lumière la frappe.
117 C’est une réprimande pour les femmes, je le sais, qui écoutent cette bande ou qui l’écouteront. C’est une réprimande pour vous, soeur. Cela devrait l’être ! Cela devrait l’être, parce que cela montre... Peu m’importe ce que vous avez fait. Vous pouvez avoir été religieuse toute votre vie. Vous pouvez avoir vécu dans l’église. Votre père peut être prédicateur, ou votre mari peut être prédicateur, mais aussi longtemps que vous désobéissez à la–la Parole de Dieu, cela montre que là, il n’y a pas de Vie. Lorsque vous voyez la chose mise en évidence et la Vie du Saint-Esprit... Observez lorsque Cela en frappe d’autres. Regardez ce qu’ils font. Si c’est ce que ça produit sur eux, ce n’est pas étonnant...
118 Quelle–quelle réprimande pour ces pharisiens qui taxèrent Jésus, alors qu’Il pouvait percevoir leurs pensées, qui Le taxèrent de Béelzébul !
119 Mais cette petite prostituée déclara : « Eh bien, cet Homme est le Messie ! Les Ecritures disent que c’est ce qu’Il fera. » Voyez-vous ? Cette semence prédestinée se trouvait là. Et quand la Lumière la frappa, elle vint à la Vie. Vous ne pouvez pas la garder au fond; vous ne pouvez pas cacher la vie.
120 Vous pouvez prendre et couler du béton sur de l’herbe et la tuer pendant l’hiver. Le printemps suivant, où est la majeure partie de cette herbe ? Tout autour du béton. En effet, vous ne pouvez pas retenir cette semence fécondée qui est sous le béton lorsque le soleil commence à briller. Elle va se frayer un chemin en se tortillant là-dessous et ressortira au bord de cette chose, levant la tête à la gloire de Dieu. Voyez-vous ? Vous ne pouvez pas cacher la vie.
121 Quand le soleil frappe la vie botanique, elle doit vivre. Et quand le Saint-Esprit frappe la Vie scripturaire qui est dans un homme, elle produit son fruit, sur-le-champ. [Frère Branham claque les doigts. – N.D.E..]
122 Ainsi, malgré votre fidélité, votre honnêteté et vos déclarations disant que vous n’êtes pas cela, parlant, disant qu’elles étaient... Ces femmes portant ces–ces vêtements indécents et tout, là, font simplement du vulgaire strip-tease dans la rue... Bien que vous ne croyiez pas que ce soit votre cas, que vous ne puissiez pas le croire et que vous puissiez prouver que vous n’êtes pas coupable d’adultère, mais d’après le Livre de Dieu, vous commettez quand même adultère. Jésus a dit : « Quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son coeur. » Et c’est vous qui vous êtes exposée comme cela. Voyez-vous, vous ne pouvez pas voir cela, à moins que cette Vie s’y trouve.
123 Vous regardez quelqu’un d’autre, vous regardez et vous dites : « Eh bien, je connais soeur Jones. Frère Jones est un… c’est un ministre. Sa femme fait ceci et cela. »
124 Peu m’importe ce qu’elle fait, Ceci est la Parole. Jésus a dit : « Que toute parole d’homme soit reconnue comme un mensonge, et la Mienne comme vraie. » C’est la Bible. Et quand cette Lumière la frappe vraiment, elle doit venir à la Vie. Elle doit tout simplement venir à la Vie.
125 Eh bien, le grand oeil de Moïse, son oeil d’aigle, regarda au-delà du prestige de l’Egypte.
126 Pour les véritables croyants chrétiens aujourd’hui, peu leur importe ce que l’église dit, ce que quiconque dit, lorsque cette Lumière frappe la semence — qu’ils voient la confirmation même de Dieu, cette Colonne de Feu suspendue là, et les signes et les prodiges promis, l’Ecriture jointe à cela —, elle vient à la Vie. Peu importe si c’est petit et s’ils ne sont qu’une minorité. Le groupe de Dieu a toujours été une minorité. Voyez-vous ? « Ne crains point, petit–petit troupeau, car votre Père a trouvé bon de vous donner le Royaume. » Voyez-vous ? Ils saisissent cela. Dieu est obligé de les faire venir de toutes les dénominations, de tous les ordres, de partout, pour voir Cela, s’ils sont ordonnés à la Vie.
127 Regardez le vieux Siméon, qui était ordonné à la Vie. Lorsque le Messie entra dans le temple, sous la forme d’un Bébé dans les bras de Sa mère, Siméon, quelque part dans une pièce en train de lire, le Saint-Esprit le fit se lever, car il attendait. Cette Vie était en lui. Il dit : « Je ne mourrai point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. » Et le Christ du Seigneur était dans le temple. Le Saint-Esprit le retira de son travail et le conduisit, il marcha jusque là-bas et prit ce Bébé dans ses bras, disant : « Laisse le… Laisse Ton serviteur s’en aller en paix, car mes yeux ont vu Ton salut. »
128 Il y avait dans le coin une vieille femme aveugle, du nom d’Anne, qui servait le Seigneur jour et nuit. Elle aussi prédisait, disant : « Le Messie vient. Je peux Le voir venir. » Pourtant, elle était aveugle. Au même moment qu’Il vint là… Cette petite Vie qui était en elle, qui prédisait qu’Il serait là, qu’Il serait là, qu’Il serait là... Alors, cette même Vie, la Lumière entra dans le bâtiment sous la forme d’un Bébé, d’un Enfant illégitime, emmailloté dans Ses langes, traversant le bâtiment. Le Saint-Esprit frappa alors cette vieille femme aveugle, elle passa au milieu des gens, conduite par l’Esprit, et se tint près de ce Bébé. Elle bénit la mère et l’Enfant, et lui prédit Son avenir. Voyez-vous ? Ordonnée à la Vie. Voyez-vous ? Regardez-les, il n’y en avait pas une douzaine.
129 Seulement huit âmes furent sauvées au jour de Noé. A peine quelques-unes, mais toutes celles qui étaient ordonnées à la Vie entrèrent à ce moment-là. Voyez-vous comment le Saint-Esprit opère dans chaque âge ? Attirant les gens.
130 Maintenant, nous voyons que la foi de Moïse le conduisit à considérer ce qui serait, non pas ce qui était. Regarder à demain plutôt qu’à aujourd’hui. Regarder à la promesse plutôt qu’au prestige. Regarder aux gens plutôt qu’à l’organisation. Voyez-vous, c’est ce que Dieu a fait.
131 Lot pouvait voir le prestige de la prospérité là en Egypte, ou plutôt là à Sodome. Lot pouvait voir les possibilités d’avoir–d’avoir–d’avoir beaucoup de–d’argent. Lot pouvait voir, en regardant vers Sodome, la pros… la possibilité pour lui de devenir peut-être… Etant Hébreu, il pouvait devenir un homme important là-bas, parce qu’il était une grande figure intellectuelle et le neveu d’Abraham. Il choisit donc d’aller vers Sodome. L’intelligence de Lot le conduisit à voir le prestige de la–de la prospérité. L’intelligence de Lot le conduisit à voir les bénédictions du–du prestige. Mais sa foi était si paralysée par cela qu’il ne vit pas le feu qui allait détruire ce genre de vie.
132 Et c’est ainsi que sont les gens aujourd’hui. Ils voient les possibilités de devenir membre d’une grande organisation, ou d’avoir une position sociale dans la ville, mais ils ne voient pas la possibi... ils ne voient pas que leur foi est paralysée Laissez-moi répéter cela, afin que cela ne soit pas mal compris. Les femmes, aujourd’hui, comme je l’ai dit, veulent–veulent agir comme les stars de cinéma. Les hommes, aujourd’hui, veulent agir comme les comédiens à la télévision.
133 Les prédicateurs, aujourd’hui, semblent vouloir transformer leurs églises en une sorte de loge moderniste, avec des membres et autres. Ils voient la possibilité de devenir peut-être évêque ou surveillant général, ou quelque chose comme cela, s’ils continuent à s’accorder avec l’église, abandonnant les Ecritures alors qu’Elles se trouvent devant eux, pleinement confirmées par la puissance de Dieu et par la Parole vivante de Dieu, vivant dans les gens. Cependant, ils ne veulent pas cela. Ils disent : « Nous ne voulons pas être mêlés à quelque chose comme cela. » Cela leur enlèverait leur carte de membre. Cela leur enlèverait leur ordre dénominationnel. Pourtant, ce sont des hommes honnêtes comme Lot, qui était là à Sodome et qui savait que cela était faux. Voyez-vous ? Voyez-vous ? Que font-ils en faisant cela ? Ils paralysent le peu de foi qu’ils avaient. Elle ne peut pas opérer.
134 Eh bien, Moïse abandonna cela, et il... sa foi paralysa le monde.
135 Soit votre foi paralysera le prestige, soit le prestige paralysera votre foi. Vous devez donc choisir l’un ou l’autre. Et, vous voyez, la Bible ne change pas; Dieu ne change pas. Il est le Dieu immuable.
136 Et nous voyons aujourd’hui que les gens de ce jour, voyez, regardent les grandes choses, aux grandes organisations. « Je suis membre de telle église. » Voyez-vous ? Et ils vont là-bas. Et, regardez, il n’y a pas de différence avec les gens de la rue. Il n’y a rien. Ils ont un petit quelque chose d’intellectuel, et ils avancent avec ça. Quand vous parlez de la guérison divine, de la Colonne de Feu, de la Lumière de Dieu, ils disent : « C’est mental. »
137 Un homme a pris cette photo de l’Ange du Seigneur, l’autre jour; c’était un prédicateur baptiste, et il s’En est moqué. Voyez-vous, c’est–c’est un blasphème, voyez ? Il n’y a pas de pardon pour cela.
138 C’est ce que Jésus a dit, voyez. C’est un blasphème. Lorsque vous Le voyez faire les mêmes oeuvres que Christ. Et Il a dit... Lorsqu’ils virent ces oeuvres en Christ, qui était le Sacrifice, ils L’appelèrent Béelzébul, un démon, parce qu’Il faisait cela. Et maintenant, ils disent... Il a dit : « Je vous pardonne pour cela, mais lorsque le Saint-Esprit viendra faire la même chose, si vous prononcez un mot contre Lui, cela ne vous sera jamais pardonné, ni dans ce monde, ni dans le monde à venir. » Voyez ? Juste un mot, c’est tout ce que vous avez à dire contre Cela, voyez ? Et alors...
139 En effet, si cette Vie, si vous aviez été ordonnés à la Vie Eternelle, alors cette Vie jaillirait quand vous verriez cela. Vous reconnaîtriez Cela, comme la petite femme au puits et–et différents autres. Mais si elle n’est pas là, elle ne peut pas venir à la Vie, car il n’y a là rien qui puisse venir à la Vie. Comme ma vieille mère avait l’habitude de dire : « Vous ne pouvez pas faire sortir du sang d’un navet », parce qu’il n’y a pas de sang en lui. Maintenant, c’est la même chose.
140 Et cela paralyse le peu de foi que vous avez. Lot pouvait voir le prestige, mais il n’avait pas assez de foi pour voir le feu qui détruirait un tel prestige.
141 Je me demande si nous en avons assez, aujourd’hui. Je me demande si nous, eh bien, comme les femmes qui veulent être populaires, qui désirent agir comme le–le reste des femmes de l’église, si elles voient qu’elles veulent agir comme les autres. Elles–elles peuvent voir la possibilité d’être une–une–une femme plus jolie en étant fardées; ou elles peuvent voir la possibilité d’être une femme plus jolie en ayant une apparence plus jeune, en se coupant les cheveux et en agissant comme les autres, ou comme des stars de cinéma.
Mais je me demande si cela n’a pas paralysé leur foi, sachant que la Bible dit qu’une femme qui fait cela n’est pas une femme honorable. Et une femme qui porte un vêtement d’homme est une abomination devant Dieu ; les pantalons, et autres, et les shorts qu’elles portent. Et–et les gens sont devenus si endurcis que cela devient normal pour eux. Je me demande s’ils ne paralysent pas le très peu de foi qu’ils avaient même pour aller à l’église, voyez-vous. C’est la chose que cela produit.
142 Lot fit cela, et cela le paralysa et paralysa aussi son entourage là-bas. Ils ne pouvaient pas voir cela.
143 Mais Abraham, son oncle, ayant une–une foi confirmée, ne regarda pas au prestige, il ne voulait rien avoir à faire avec cela, bien qu’il dût mener une vie difficile dans la solitude, ainsi que Sara, dans un endroit désert où les choses étaient difficiles, sur une terre aride, mais ils ne regardèrent pas au prestige, ni à la possibilité de devenir populaires.
144 Sara était la plus belle femme du pays, la Bible le dit; elle était belle, la plus belle de toutes les femmes. Elle resta donc et obéit à son mari jusqu’à l’appeler même son seigneur. La Bible se réfère à elle jusque dans–dans le Nouveau Testament, en disant : « ... d’elle que vous êtes devenues les filles, aussi longtemps que vous obéissez à la foi. » Voyez-vous ? Elle appelait son mari son seigneur.
145 L’Ange du Seigneur visita leur temple, et… ou plutôt leur petite tente là-bas, et leur parla. Ils n’avaient même pas une maison où habiter, ils vivaient sur des terres arides. Eh bien, voilà ! Vous voyez ce jour revenir exactement comme il en était donc autrefois.
146 Bien. Moïse, grâce à sa grande foi, a pu dire non aux choses présentes du monde présent et faire un choix juste. Il choisit de supporter les afflictions avec le peuple de Dieu. Il choisit d’aller avec lui. Pourquoi ? Sa foi. Il vit la promesse; il vit le temps de la fin; il vit le lendemain et laissa libre cours à sa foi. Il ne fit pas attention à ce que ses yeux voyaient, suivant les possibilités qu’il y avait là d’être le pharaon ou de devenir le pharaon, mais il regarda droit au lendemain.
147 Oh ! si seulement les gens pouvaient faire cela ! Il ne vit pas le monde présent. Si vous regardez le monde présent, vous ferez le choix avec. Détournez vos yeux de cela, et regardez la promesse de Dieu pour le lendemain.
148 Par la foi, il put choisir. Il choisit donc d’être appelé le fils d’Abraham et refusa d’être appelé le fils de Pharaon. Comment put-il le faire, alors que le royaume entier... L’Egypte avait vaincu le monde. Il était roi du monde; il était un jeune homme de quarante ans, prêt à prendre le trône, mais il ne regarda jamais à son intelle...
149 Regardez les femmes qui seraient restées autour de lui continuellement, ces harems de femmes. Regardez le prestige : il pouvait s’asseoir et boire du vin, et observer les strip-teaseuses devant lui, pendant qu’elles dansaient et l’éventaient avec un... des femmes venant du monde entier, et les joyaux et les trésors et son armée. Tout ce qu’il aurait eu à faire, c’eut été de s’asseoir et de manger les meilleurs mets, et de dire : « Envoyez une... Envoyez la garnison numéro tel à tel endroit et prenez ce pays-là. Je crois que je le veux pour moi. » C’est tout ce qu’il aurait eu à faire : s’asseoir là, les laisser l’éventer et garder la bouche ouverte pour laisser les–les belles et charmantes strip-teaseuses de ce jour-là y verser du vin, et lui donner sa nourriture, l’enlaçant de leurs bras, toutes les plus jolies femmes du monde. Tout le prestige possible se trouvait là, près de lui.
150 Mais, que fit-il ? Il détourna les yeux de cela. Il savait que le feu était prêt à détruire cela. Il savait que la mort se trouvait dans cette ligne-là, voyez-vous. Il le savait et regarda plutôt vers un groupe de gens méprisés et rejetés; et par la foi, il choisit de subir l’opprobre de Christ et se dit : « Je suis un fils d’Abraham; je ne suis pas le fils de ce pharaon. Même si vous faites de moi un évêque, ou un diacre, ou un archevêque, ou un pape, je ne suis pas le fils de cette chose. Je suis un fils d’Abraham ! Et je me suis séparé des choses du monde. » Amen, amen et amen ! Par la foi, il fit cela.
151 Il refusa le prestige. Il refusa la possibilité de devenir le prochain évêque. Il déclina la–l’offre d’être élu archevêque ou le prochain surveillant général à la prochaine élection; ou je ne sais quoi c’était, il refusa. Il refusa de regarder cela
152 « Eh bien, si je deviens l’évêque, quand j’entrerai, les gens diront : ‘Saint père, ou–ou Docteur Untel, ou–ou–ou–ou Ancien Untel...’ Tous les prédicateurs à la réunion me tapoteront au dos et diront : ‘Dites donc, mon vieux, ce gars-là a quelque chose, je vous assure.’ ‘Oh ! Chut ! Chut ! Chut ! restez tranquilles, voici venir l’évêque.’ Voyez ? ‘Ce qu’il dit a force de loi.’ Voyez ? ‘Voici venir monsieur Untel.’ » Les gens prendront l’avion de partout dans le monde pour être le… pour voir le pape et lui baiser le pied, les bagues, et tout. Oh ! Quelle possibilité pour les catholiques, quelle possibilité pour les protestants, de devenir évêque ou surveillant général, ou quelque chose comme cela, un homme important dans une organisation !
153 En regardant, bien que… mais, voyez-vous, l’oeil de la foi regarde par-dessus cela. Vous en voyez la fin là et vous savez que Dieu a dit que le tout serait détruit. La foi, cet oeil d’aigle, vous élève au-dessus de cela, et vous voyez le lendemain, pas aujourd’hui, et vous choisissez d’être appelé un fils d’Abraham.
154 Pharaon, n’ayant pas de foi, considéra les enfants de Dieu comme des fanatiques. N’ayant pas de foi, il en a fait des esclaves, parce qu’il n’avait pas peur de ce qu’il disait. Il n’avait pas peur de Dieu. Il pensait qu’il était dieu. Il pensait que les–les dieux qu’il servait — lui étant un évêque, le principal surveillant général —, il pensait que c’étaient ses dieux qui faisaient cela et que cette Chose-là ne valait rien. C’est pourquoi il a fait d’eux des esclaves. Il s’est moqué d’eux, les a tournés en ridicule, tout comme l’ont fait les gens aujourd’hui, c’est exactement pareil.
155 La foi de Moïse les vit dans la Terre promise, comme un peuple béni. Cela pouvait être un dur combat pour les amener à la promesse, mais Moïse choisit d’aller avec eux. (Combien je pourrais rester là-dessus, mais mon temps s’écoule.) Voyez ?
156 Notez, c’était peut-être une chose difficile, faire changer d’idée à ces gens. « Tu dois aller vivre avec eux. Tu dois être l’un d’entre eux; et ils sont déjà si intellectuels que tu ne peux pas les remuer. (Voyez-vous ?) Mais quelque chose doit arriver là-bas. Le surnaturel doit être démontré devant eux. Cela sera une chose difficile : les organisations te rejetteront et toutes ces choses arriveront. C’est–c’est terrible, ce que tu dois faire, mais fais quand même ton choix. »
157 « Je suis l’un d’entre eux. » Oui, sa foi fit cela. Sa foi produisit des étincelles. Oui, oui. Il vit cela. C’était une chose difficile de les amener à cette promesse. Mais il choisit d’aller de toute façon avec eux. Sans se soucier de leur comportement à son égard et combien ils le rejetaient, il alla malgré tout. Il allait sortir avec eux.
158 J’espère donc que vous comprenez ce que je veux dire ! Bon. « Va quand même avec eux. Fais… sois l’un d’entre eux ! C’est juste, parce que c’est ton devoir. Il se peut que ce soit un dur combat et qu’il y ait beaucoup de difficultés à endurer, mais vas-y quand même. »
159 Mais sa foi le conduisit à choisir la Parole plutôt que le prestige. Il prit la Parole. C’est ce que fit la foi de Moïse. Lorsque la foi regarde au pire côté de ce que Dieu offre... Souvenez-vous qu’il y avait là le prestige, le monde, ce qu’il y avait de plus élevé, le roi du monde. Et, où était la promesse de Dieu ? Dans le bourbier, des tripoteurs de boue.
160 Mais, quand la foi–quand la foi regarde au pire côté de ce que Dieu offre, elle le considère comme étant plus grand et plus précieux que ce que le monde peut montrer de meilleur ! Oui, oui. Quand la foi regarde cela, quand la foi peut voir cela, quand la foi dans la Parole peut voir Celle-ci rendue manifeste, cela vaut plus que tout le prestige, l’archevêché et tout le reste dont vous pouvez parler. La foi fait cela. Voyez ? Vous pouvez voir ce qu’il y a de pire, ce qui est méprisé et rejeté, quoi que ce soit, que ce soit dans sa pire condition, et pourtant la foi le considérera comme étant à un million de kilomètres plus haut que ce que le monde peut produire de meilleur. Amen ! C’est ainsi que nous chantons ce cantique : « Je prendrai le chemin avec le petit nombre des méprisés du Seigneur. » Voyez-vous ? Oh ! la la !
161 Car, voyez-vous, la foi voit ce que Dieu veut que ça soit fait. Oh ! j’espère que cela entre ! La foi ne regarde pas au temps présent. La foi ne voit pas ce qui est ici. La foi regarde pour voir ce que Dieu veut et agit en conséquence. C’est ce que fait la foi. Elle voit ce que Dieu veut et ce que Dieu veut que ça soit fait, et la foi opère au travers de cela.
162 La foi est une vision à longue portée. Elle ne baisse pas son viseur, elle reste sur la cible. Amen ! N’importe quel bon tireur sait cela. Voyez ? ça, c’est une longue vue. C’est un–c’est un télescope. Ce ne sont pas des jumelles pour regarder tout autour ici. Vous n’utilisez pas des jumelles pour regarder l’heure qu’il est ; voyez, vous ne les utilisez pas pour cela, mais vous utilisez des jumelles pour regarder au loin.
163 Et c’est ce que fait la foi. La foi prend les jumelles de Dieu, les deux, les deux côtés, l’Ancien et le Nouveau Testaments, et elle voit chaque promesse qu’Il a faite. Et la foi voit cela là-bas. La foi choisit cela, sans se soucier de ce que le temps présent dit ici. Elle regarde la fin. Elle n’abaisse pas son viseur pour regarder dans cette direction-ci. Elle regarde là-bas. Elle garde le réticule centré exactement sur la Parole. C’est ce que fait la foi. C’est la foi qui est dans un homme, qui fait ces choses.
164 Maintenant, observez ! Ce que Pharaon appela, d’un appel, ce que Pharaon appela grand, Dieu l’appela une abomination. Pharaon pouvait dire : « Regarde ici, Moïse ; eh bien, tu seras le futur pharaon. Je–je te tendrai ce sépulcre quand je partirai d’ici. Je te tendrai ce sceptre ; il est à toi. » Voyez-vous ? Cela est donc grand. « Tu seras un grand homme, Moïse. Tu seras l’évêque. Tu seras ceci, cela, ou autre. Ne nous quitte pas. Reste ici. » Mais, voyez-vous, il appela cela grand, mais Dieu dit que c’était une abomination.
165 Maintenant, vous les femmes, pensez-y une minute, vous les hommes aussi. Ce que le monde appelle grand, Dieu l’appelle souillure. La Bible ne dit-Elle pas que c’est une abomination pour une femme de porter un vêtement qui appartient à un homme ? Et vous vous croyez intelligentes en faisant cela. Voyez-vous ? Vous ne faites qu’exposer votre chair de femme pour le diable, c’est tout. Ne le faites donc pas !
166 Et vous, les hommes, qui vivez selon le train de ce monde et qui courez après ces choses et les affectionnez ! Et vous, les hommes, qui n’avez pas assez de courage pour faire que vos femmes et autres cessent de faire cela : Honte à vous ! Et vous vous dites fils de Dieu ? Pour moi, ça a l’air des Sodomites. Voyez-vous ? Ce n’est pas pour blesser vos sentiments, mais pour vous dire la Vérité. L’amour est correctif. Il l’est toujours. Une mère qui ne prend pas soin de son enfant, qui ne le corrige pas, qui ne le fesse pas et qui ne le fait pas obéir, n’est pas une vraie mère pour lui. C’est vrai.
167 Maintenant, regardez donc ce qui arrive. Moïse a vu ceci dans sa vision, mais Pharaon a dit : « Ceci est grand. »
Dieu a dit : « C’est une abomination. » Ainsi, Dieu... Moïse a choisi ce que Dieu avait dit.
168 Maintenant, remarquez : La foi voit ce que Dieu désire que vous voyiez. Voyez-vous ? La foi voit ce que Dieu voit.
169 Mais le raisonnement et les sens voient ce que le monde veut que vous voyiez. Remarquez, le raisonnement : « Eh bien, c’est seulement du bon sens humain. C’est seulement–seulement raisonnable que... Eh bien, ceci n’est-il pas tout aussi bon ? » Voyez-vous ? C’est exactement ce qui arrive, lorsque vous utilisez ces sens qui sont contraires à la Parole, voyez, c’est alors ce que le monde désire que vous voyiez.
170 Mais la foi ne regarde pas cela. La foi regarde ce que Dieu a dit, voyez-vous. Vous savez, vous renversez les raisonnements.
171 Les raisonnements, le sens du raisonnement voit ce que le monde désire que vous voyiez, c’est-à-dire de grandes dénominations.
« Eh bien, êtes-vous chrétien ? »
« Oh ! je suis–je suis presbytérien, méthodiste, luthérien, pentecôtiste » et quoi d’autre. « Je suis ceci, cela, ou autre. » Voyez, ça, ce sont les sens. « Je suis membre de la Première Eglise. » Voyez-vous ? « Oh ! je suis catholique. » « Je suis–je suis ceci, cela. » Voyez-vous ? Vous dites cela. Mais ça, ce sont les sens. Vous aimez dire cela, parce que c’est une dénomination, quelque chose de grand : « Eh bien, nous–nous–nous avons plus de membres, pratiquement, que n’importe quelle église dans le monde (voyez), nous… »
172 Mais il n’y a qu’une seule véritable Eglise, et vous n’y adhérez pas. Vous y naissez, voyez. Et si vous y naissez, le Dieu vivant Lui-même oeuvre au travers de vous pour se faire connaître. Voyez, c’est là que Dieu habite, dans Son Eglise. Dieu va à l’église chaque jour, Il vit dans l’Eglise. Il vit en vous. Vous êtes Son Eglise. Vous êtes Son Eglise. Vous êtes le tabernacle dans lequel Dieu habite. Vous êtes vous-même l’Eglise du Dieu vivant. Et si le Dieu vivant vit dans Ses créatures vivantes, alors vos actions sont de Dieu. Si elles ne le sont pas, alors Dieu n’est pas là. Il ne vous ferait pas agir comme cela. Alors qu’Il dit ici dans la Parole, Son plan : « Ne faites pas cela », mais vous le faites quand même ; voyez-vous, c’est faux. Quand vous niez cela, cela montre donc que la Vie n’est même pas en vous. Vous voyez ? C’est juste.
173 La foi conduisit Moïse sur le chemin de l’obéissance. Remarquez : Moïse fit... Voilà le jeune Pharaon ; voilà le jeune Moïse, tous deux avec cette perspective. Moïse vit l’opprobre du peuple, et il regarda cela comme un trésor plus grand que tout ce que l’Egypte possédait. Et lui, conduit par la foi, il suivit ce que sa foi dans la Parole disait, et elle le conduisit sur le chemin de l’obéissance et, finalement, à la Gloire ; immortel — ne devant jamais mourir — dans la Présence de Dieu.
La vue, les sens ont conduit, ainsi que le prestige, ont conduit Pharaon à sa mort, à la destruction de l’Egypte, sa nation, et elle ne s’est jamais relevée depuis lors.
174 Vous y êtes. Si vous regardez à ceci, vous mourrez. Si vous regardez à Cela, vous vivrez. Maintenant, faites votre choix. Dieu plaça la même chose devant Adam et Ève dans le jardin d’Éden. Voyez-vous ? Vous devez faire votre choix par la foi.
175 Maintenant, remarquez : La vue conduisit Pharaon à sa mort et à la destruction de sa ville.
176 Moïse, avec sa foi, ne craignit jamais Pharaon. Voyez ? Il ne se soucia pas de ce que Pharaon disait. Il ne se soucia pas plus de Pharaon que sa mère et son père ne le firent au sujet de la menace. Lorsque Moïse reçut la confirmation qu’il était la personne qui devait délivrer l’Egypte… ou plutôt conduire Israël hors d’Egypte, il ne se soucia jamais de ce que Pharaon disait. Il n’eut pas peur de lui. Amen ! Amen ! Amen ! Voyez-vous ce que je veux dire ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]
177 Il n’y a pas de crainte dans la foi. La foi sait ce qu’il en est. La foi, comme je l’ai toujours dit, a de gros muscles et des poils sur la poitrine. La foi dit : « Taisez-vous ! », et tout le monde se tait. C’est tout. « Je connais ma position ! »
Les autres disent : « Eh bien, là, peut-être qu’il a fait. » Voyez ?
178 Mais vous devez vous lever et montrer vos muscles. C’est tout. La foi fait cela.
179 Remarquez, Moïse ne craignit jamais Pharaon, après que Dieu eut confirmé son appel. Moïse croyait qu’il était appelé pour cela, mais, après que Dieu lui a dit là-haut : « C’est ça », alors il est descendu et a montré devant Pharaon et tous les autres qu’il était envoyé dans ce but, Moïse ne craignit jamais Pharaon.
180 Remarquez, Pharaon utilisa néanmoins sa sagesse contre Moïse. Observez! Il lui dit : « Laisse-moi te dire, je–je vais conclure un accord avec toi. » Après que les plaies l’eurent frappé, il dit : « Je conclurai un pacte avec toi. Va simplement adorer un petit peu pendant trois jours. Va jusque là-bas, mais ne va pas plus loin. » Mais, vous savez, le... ce sont les sens de Pharaon qui lui dirent cela, (voyez-vous) : « Va jusque là-bas, mais ne va pas plus loin. »
181 N’avons-nous pas ce genre de personnes aujourd’hui ? « Si seulement vous adhérez à l’église, tout va bien. »
182 Mais, vous savez, la foi que Moïse possédait ne croyait pas dans une « religion qui va seulement jusque là-bas. »
Il dit : « Nous y allons tous, nous allons jusqu’au bout. (C’est vrai.) Nous allons dans la Terre promise. Nous n’allons pas juste ici pour former une dénomination et nous arrêter là. Nous allons jusqu’au bout. » Amen ! « Je vais jusqu’à la Terre promise. Dieu nous a fait la promesse. »
183 Combien de pharaons avons-nous à la chaire aujourd’hui, des chefs d’organisations ! « Maintenant, si vous faites juste ceci et cela, c’est tout. » Eh bien, voyez-vous, « seulement jusque là-bas ».
Mais Moïse a dit : « Oh ! non ! Non, non; non ! Non. » Voyez ?
184 Pharaon a dit : « Eh bien, pourquoi pas ? Si tu veux avoir cette espèce de religion, je vais te dire ce qu’il faut faire : Que seulement les anciens et toi alliez adorer, vois-tu ? Seulement les anciens et toi, allez adorer, puisque vous, vous pouvez tous avoir ce genre de religion, mais ne l’amenez pas parmi le peuple. »
185 Savez-vous ce que Moïse répondit ? « Il ne restera même pas un ongle. Nous allons jusqu’au bout. Nous y allons tous ! Je ne pars pas sans eux. Et aussi longtemps que je suis ici, tu m’as sur les bras. (Amen !) Je ne pars pas, à moins qu’ils ne viennent aussi. C’est tout. »
Oh ! quel vaillant serviteur ! Amen ! « Je veux les prendre avec moi. Juste parce que moi, je l’ai, je m’assiérais et dirais : ‘Eh bien, maintenant, tout va-t-il bien’? Non, non ! Nous En voulons aussi pour les gens. Chacun de nous va partir ! » Amen. Il a dit : « Et nous n’allons même pas laisser derrière nous un seul mouton ni rien. Il ne restera même pas un sabot. Nous allons tous dans la Terre promise. » Amen !
186 « Chacun de nous. Que vous soyez une–une ménagère, une–une petite bonne, une femme âgée, un jeune homme, un homme âgé, qui que vous soyez, nous y allons quand même. Pas un seul de nous ne restera. (Amen !) Chacun de nous s’en va. Rien ne nous arrêtera. » C’est vrai. Oh ! la la ! Ces religions étaient en pleine argumentation à ce moment-là, n’est-ce pas ? Oh ! la la !
187 Non, Moïse ne croyait pas dans cette « religion qui va seulement jusque là-bas ». Non, il n’y croyait pas. Si, si. Oui, oui ! Oh ! la la !
188 Nous pourrions rester là-dessus tout le jour, mais je dois en arriver, finalement, à mon texte et commencer à prêcher.
189 Remarquez. Remarquez ceci. Comme c’est merveilleux ! Oh ! j’aime ceci ! Vous savez, finalement, Pharaon leur a dit : « Sortez ! » Dieu le tourmenta à travers la voix de Moïse, Il frappa tout. Il fit tout ce qui devait être fait. Il arrêta le... Il fit descendre le soleil au milieu du jour; il–il fit tout le reste. Il–il assombrit les jours, il amena des grenouilles, des mouches, des poux, et tout le reste; du feu, de la fumée et la mort, pour ses familles, et tout le reste. Il fit tout, jusqu’à ce que, finalement, Pharaon fût obligé de dire : « Sortez ! Prenez toutes vos affaires et partez ! » Oh ! la la ! Gloire à Dieu !
190 Je suis vraiment content qu’un homme puisse servir Dieu si parfaitement que le diable ne sache plus que faire avec lui. C’est vrai. Il obéit à Dieu si parfaitement que le diable dit à la fin : « Oh ! la la ! Va-t’en ! Je–je ne veux plus entendre cela. » C’est vrai. Vous pouvez le faire si parfaitement.
191 Vous voyez maintenant, si–si Dieu n’avait pas soutenu Moïse, il serait alors devenu un objet de risée, mais Dieu était là confirmant cela. Tout ce qu’il disait arrivait.
192 Pharaon devait garder sa position, parce qu’il était un évêque, vous savez; ainsi il–il devait rester là. Il ne pouvait pas nier cela. Il ne pouvait pas dire non, parce que cela était déjà en train d’arriver. Voyez, il ne pouvait pas–il ne pouvait pas nier cela, parce que c’était déjà en train d’arriver. Ainsi, il dit finalement : « Oh ! sortez ! Je ne veux plus vous entendre. Sortez d’ici ! Prenez toutes vos affaires et partez ! » Oh ! la la !
193 Bien. Nous voyons ici Moïse, après que Dieu eut fait tellement pour lui et qu’Il lui eut montré autant de signes et de miracles. Maintenant, pendant les quinze prochaines minutes, parlons de ceci. Observez très attentivement. Moïse arriva au point où il...
194 Dieu lui avait dit : « Je suis avec toi. Tes paroles sont Ma Parole. Je te l’ai prouvé, Moïse. Tu... Alors qu’il n’y avait pas de mouches dans le pays, ce n’était pas la saison, tu as dit : ‘Que les mouches viennent.’ Et les mouches sont venues. » C’est une création. Qui peut amener des ténèbres sur la terre, si ce n’est Dieu ? « Tu as dit : ‘Qu’il y ait des ténèbres !’ Et il y eut des ténèbres. Tu as dit : ‘Qu’il y ait des grenouilles !’ Et les grenouilles entrèrent même dans la maison de Pharaon, dans les lits, et on les entassa en grands tas.» Créateur ! « J’ai parlé à travers toi, Moïse, et–et J’ai fait que Ma Parole crée par tes lèvres. J’ai véritablement fait de toi un dieu devant Pharaon. » Oui, oui. « J’ai fait tout cela. »
195 Et les voilà qui arrivent à un endroit où survient une petite épreuve, et Moïse se met à crier : « Que faire ? »
196 Je désire que vous remarquiez ceci. C’est une grande leçon, maintenant. J’aime ceci, voyez-vous ? Voyez, Moïse... Si nous lisons correctement ici que Mo-… Les enfants d’Israël commencèrent à avoir peur lorsqu’ils virent Pharaon les poursuivre, alors qu’ils accomplissaient leur devoir.
197 Dieu avait tout accompli parfaitement. Maintenant, Il leur fit entreprendre ce voyage. Il rassembla l’église. Ils avaient été appelés à sortir. Ils venaient de chaque dénomination. Ils se rassemblèrent tous. Moïse allait là-bas et disait : « Seigneur, que dois-je faire ? »
198 Dieu lui disait : « Eh bien, va faire ceci. Très bien, va de l’avant. Maintenant, Moïse, tu sais que Je t’ai appelé pour faire ceci. »
« Oui, Seigneur. »
199 « Très bien, va prononcer ceci, et cela arrivera. » Voici venir les mouches. « Prononce ceci. » Voici cela s’accomplir. « Fais ceci. » Voici cela s’accomplir. Tout était AINSI PARLE L’ETERNEL, AINSI PARLE L’ETERNEL, AINSI PARLE L’ETERNEL ! Maintenant, il connaît des ennuis.
200 Et Dieu dit : « Maintenant, Je leur ai fait entreprendre ce voyage; ils ont tous été appelés à sortir. L’église est rassemblée, Je les ai donc mis en marche. Maintenant, Moïse, conduis-les là-bas. Je te l’ai dit. Je vais M’asseoir et Me reposer un moment. »
201 Moïse dit : « Ô Seigneur, regarde qui vient ici ! Voici Pharaon ! Les gens sont tous... Que dois-je faire ? Que dois-je faire ? » Voyez-vous cela, n’est-ce pas là une réaction humaine ? Certainement. Il commence à crier : « Que dois-je faire ? »
202 Nous voyons ici Moïse, exprimant pleinement la nature humaine qui veut toujours que Dieu soit derrière et vous pousse dans quelque chose. Eh bien, c’est nous aujourd’hui. Vous vous attendez à ce que Dieu, après tout ce que nous avons vu jusqu’ici, pourtant, vous vous attendez à ce que Dieu vous pousse à l’action. Voyez?
203 Moïse s’était relâché et a dit : « Ô Dieu, je vais Te demander, voir ce que Tu dis. Oui, oui. C’est ce que vous dites. Eh bien, très bien, moi aussi je le dirai. » Voyez-vous ?
204 Mais, ici, Dieu l’avait établi pour ce travail, et Il avait prouvé qu’Il était avec lui. Et voilà qu’un événement lui arrive, il se met alors à crier : « Que puis-je faire ? Seigneur, que puis-je faire ? »
205 Maintenant, souvenez-vous qu’il avait déjà prophétisé, car il avait dit : « Ces Egyptiens que vous voyez aujourd’hui, vous ne les verrez plus jamais. » Et, aussitôt après, il s’est mis à crier : « Ô Dieu, que pouvons-nous faire ? » Voyez ? Après qu’il eut fait un assez bon travail en prophétisant là. Voyez-vous, il leur avait déjà dit ce qui allait arriver. Si la Parole de Dieu était en lui, Elle était en lui. Ce qu’il disait arrivait effectivement. Ce qu’il avait dit allait arriver, et il était là à crier : « Que vais-je faire ? »
206 Oh ! si les êtres humains ne sont pas ainsi ! Si je ne suis pas ainsi ! Si je ne suis pas ainsi ! Voyez ?
207 Il l’avait déjà prouvé : « Ce que tu dis arrivera. Je suis avec toi. »
208 Et, ici, une difficulté surgit subitement. « Que dois-je faire ? Que dois-je faire, Seigneur ? Hé, Seigneur, où es-Tu ? Hé, m’entends-Tu ? Que dois-je faire ? » Pourtant, Il l’avait déjà ordonné, confirmé, lui en avait donné la preuve et avait tout fait par lui. Et ici... « Ô Dieu ! » Oh ! la la ! pleinement exprimé. L’homme veut se reposer et laisser à Dieu le soin de pousser.
209 Et pourtant, il savait que Dieu l’avait oint pour ce travail, pour faire cela, et Dieu avait clairement confirmé ses prétentions. C’était le moment pour que le peuple soit délivré. Dieu, à travers les miracles et les prodiges de Moïse, les avait tous rassemblés en un seul groupe. Me suivez-vous ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Il les avait tous rassemblés en un seul groupe et avait confirmé les déclarations de Moïse. Les Ecritures le disent ainsi. Un signe était là, l’évidence était là, tout ce qu’il disait. Ensuite, il vint parmi eux comme prophète. Tout, quoi qu’il dise, Dieu l’honorait, même jusqu’à créer et à faire venir des mouches, et Il a amené des choses à l’existence. Tout ce qu’Il lui avait promis, Il le fit là.
210 Mais il voulait attendre l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Voyez ? Il aurait dû savoir que la confirmation même de son appel était AINSI DIT LE SEIGNEUR. Le travail pour lequel il avait été ordonné était AINSI DIT LE SEIGNEUR. Pouvez-vous saisir cela ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Hum ! Pourquoi attendait-il l’AINSI DIT LE SEIGNEUR ?
211 Il voulait : « Seigneur, que puis-je faire ? J’ai amené les enfants d’Israël jusqu’ici. Voilà la situation : Pharaon arrive; ils vont tous mourir. Que dois-je faire ? Que dois-je faire ? » Hum ! Hum !
212 Il avait déjà prédit ce qu’ils allaient faire. Il avait déjà dit exactement ce qu’il fallait faire. Il avait prédit la fin de la nation même dans laquelle il avait grandi. J’espère que vous comprenez. [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Voyez? Moïse avait déjà dit : « Vous ne les verrez plus jamais. Dieu va les détruire. Ils se sont assez longtemps moqués de vous, Dieu les détruira. » Il avait déjà prédit ce qui leur arriverait.
213 Puis : « Seigneur, que dois-je faire ? » Voyez-vous là, la nature humaine ? Voyez-vous ? « Que dois-je faire ? Je vais attendre l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. » Oui, oui. « Je verrai ce que le Seigneur dit, et ensuite je le ferai. » Oui.
214 Souvenez-vous qu’il y eut un pharaon, en ce temps-là, qui ne connaissait pas Joseph, vous savez, juste à ce moment-là. Voyez ? Voyez ? Et Moïse s’était levé et avait prédit la fin de cette nation.
215 Et il était exactement à l’endroit où cela devait arriver, alors il cria : « Que dois-je faire, Seigneur ? Que dois-je faire ? » Voyez-vous ? Les êtres humains ne sont-ils pas ainsi ? La nature humaine n’est-elle pas tout à fait ainsi ? « Que ferai-je ? » Huh !
216 Il avait déjà prophétisé. Dieu avait honoré tout ce qu’il disait et il était appelé pour cette tâche ; pourquoi devait-il donc dire : « Que dois-je faire ? » S’il y avait un besoin, c’était à lui de parler pour ça. Dieu voulait que Moïse mette en action ce don de foi qu’Il lui avait donné. Dieu l’avait confirmé. C’était la Vérité. Et Dieu voulait que Moïse... que le peuple voie qu’Il était avec Moïse.
217 Et lui, là-bas, attendait, disant : « Bon, Seigneur, je ne suis qu’un enfant. J’attends que Tu me parles maintenant. » « Oui, j’irai faire ceci. J’ai l’AINSI PARLE L’ETERNEL. » « Frère, est-ce AINSI PARLE L’ETERNEL ? »
218 « Oui, oui, Frère Moïse, c’est AINSI PARLE L’ETERNEL. » Oui.
219 « D’accord. Nous l’avons maintenant, AINSI DIT LE SEIGNEUR. » Et cela arriva. Cela ne faillit pas une seule fois. Cela ne faillit jamais.
220 Et, ici, dans ces circonstances, cela revient de nouveau. Maintenant, Il lui a fait faire le voyage. L’Église est déjà appelée à sortir. Ils ont commencé le voyage et ils avancent. Et Moïse se mit à crier : « Seigneur, est-ce AINSI PARLE L’ETERNEL ? Que dois-je faire ? » Très bien.
221 Dieu voulait que Moïse place la foi qu’Il lui avait donnée dans ce don qu’Il avait clairement confirmé. Dieu avait clairement prouvé à Moïse et au peuple que c’était bien Lui, par la Parole et par l’accomplissement des choses annoncées. Cela était clairement identifié. Il n’avait pas besoin de s’inquiéter encore à ce sujet. Voyez-vous ? Il n’avait plus besoin de penser à cela, parce que c’était déjà tiré au clair. Il avait déjà fait ces choses. Il avait déjà prouvé par des mouches et des poux qu’à sa parole, des choses étaient créées, que la Parole de Dieu était en lui.
222 Ici, il va Lui demander ce qu’il faut faire, parce qu’il se trouve confronté à certaines circonstances. Voyez-vous ? Oh ! la la !
223 J’espère que ceci va profondément en nous, et que nous pouvons voir où nous en sommes. Voyez-vous ? Cela ne vous amène-t-il pas à vous sentir à peu près grand comme ça ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Alors que nous pensons à Moïse et que nous relevons ses fautes, regardons les nôtres ! Oui. Voyez-vous ?
224 Il se tenait là, voyez-vous. Il savait que les Ecritures disaient que c’était l’heure et le jour où cela devait arriver, et il savait que Dieu l’avait rencontré dans une Colonne de Feu. Il alla devant les gens, et il accomplit ces miracles. Et tout ce qu’il disait arrivait, même jusqu’à créer des choses, jusqu’à faire ce que Dieu seul pouvait faire, démontrant ainsi que sa voix était la Voix de Dieu.
225 Et ici, en face de ces circonstances, alors qu’il conduisait ce peuple vers la Terre promise, on le voit alors debout, crier : « Que dois-je faire ? » ça, c’est un être humain, il veut juste...
226 Comme frère Roy Slaughter (je crois qu’il est assis là, derrière la porte) m’a dit une fois au sujet de quelqu’un qui me faisait quelque chose. Je lui ai dit : « Eh bien, j’ai fait ceci, et maintenant il y a telle chose. »
227 Il m’a dit : « Frère Branham, si vous les laissez s’appuyer sur votre épaule aujourd’hui, demain, vous devrez les porter. » C’est ainsi que sont les êtres humains. Ils s’appuient sur votre épaule aujourd’hui et, demain, vous devez les porter.
228 C’est ça. C’est ce que Moïse faisait. Dieu dut le porter, après l’avoir ordonné et lui avoir prouvé qu’il devait faire cela ! Les gens auraient dû dire : « Moïse, prononce la Parole, je t’ai vu le faire là-bas, Dieu t’a honoré là ; et tu es le même aujourd’hui. » Amen ! Voyez-vous ? « Fais-le ! » Amen ! Il aurait dû savoir cela, mais il ne le savait pas. Bien. Ce qu’il y a aujourd’hui, c’est exactement ce qu’il y avait alors. C’est ce que nous voyons. Il dit donc : « Mo-… »
229 Dieu dut en avoir assez. Dieu dut finir par en être excédé. Il dit : « Pourquoi cries-tu à Moi ? N’ai-Je pas déjà prouvé Mon identification ? Ne t’ai-Je pas dit que Je t’envoyais pour faire ce travail ? Ne t’ai-Je pas dit d’aller faire ceci ? N’ai-Je pas promis que Je ferais ceci, que Je serais avec ta bouche et que Je parlerais à travers toi, que Je ferais ceci, et que tu accomplirais des signes et des prodiges ? N’ai-Je pas promis de faire cela ? N’ai-Je pas fait cela exactement, et n’ai-Je pas détruit tous les ennemis qui étaient autour de toi ? Et tu es là, maintenant, au bord de la mer Rouge, précisément dans l’exercice de tes fonctions, faisant ce que Je t’avais dit de faire, et tu es encore en train de hurler et de crier à Moi ! Ne Me crois-tu pas ? Ne peux-tu pas voir que Je t’ai envoyé pour faire ceci ? » Oh ! si cela n’est pas l’être humain ! Oh ! la la ! Ainsi, Dieu dut en avoir assez.
230 Il dit : « Tu sais que tu as besoin de cela. Tu sais que si tu vas amener ces enfants à cette Terre promise, c’est exact. Tu es acculé ici dans un coin. Tu ne peux rien faire d’autre. Il y a donc un besoin ! Pourquoi cries-tu à Moi ? Pourquoi t’attends-tu à Moi ? Pourquoi M’appelles-tu ? N’ai-Je pas prouvé cela aux gens ? Ne te l’ai-Je pas prouvé ? N’ai-Je pas appelé cela ? Cela n’est-il pas scripturaire ? N’ai-Je pas promis d’amener ce peuple vers ce pays ? Ne t’ai-Je pas appelé, et ne t’ai-Je pas dit que Je le ferais ? Ne t’ai-Je pas appelé, et n’ai-Je pas dit que Je t’envoyais pour le faire et que ce n’était pas toi, mais Moi ? Et que Je descendrais, et que Je serais avec tes lèvres ? Quoi que tu dises, Je le confirmerais et Je le prouverais ? Ne l’ai-Je pas fait ? »
231 « Alors, quand n’importe quelle petite chose survient, pourquoi agis-tu comme un enfant ? Tu devrais être un homme. Parle au peuple ! » Amen ! « Ensuite, avance ! » Amen ! Voilà, c’est ça ! « Ne crie pas, parle ! » Amen ! Oh ! j’aime cela ! « Pourquoi cries-tu à Moi ? Parle simplement au peuple et va de l’avant vers ton objectif. » « Quoi que ce soit, que ce soit la maladie ou autre chose, comme ressusciter les morts ou quoi que ce soit, parle ! Je l’ai prouvé. Parle au peuple ! »
232 Quelle leçon ! Quelle leçon ! Oh ! la la ! A cette étape du voyage où nous sommes... Regardez où nous en sommes maintenant — oui, monsieur ! — au troisième Pull. Remarquez, nous sommes juste là, à la porte… de la Venue du Seigneur.
233 Il était oint pour ce travail, et il attendait toujours l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Dieu doit en avoir eu assez. Il a dit : « Ne crie plus, parle ! Je t’ai envoyé. »
234 Ô Dieu ! Que devrait être cette église, ce matin ? Avec la parfaite confirmation de Dieu, avec la Colonne de Feu, les signes et les prodiges, tout est comme au temps de Sodome. Il a dit que cela reviendrait.
235 Le monde est dans cette condition; la nation est dans cette condition. Les femmes sont dans cette condition. Les hommes sont dans cette condition. L’église est dans cette condition. Tout en est là : les éléments, les signes, les soucoupes volantes et tout, dans le ciel, toutes sortes de choses mystérieuses; le mugissement de la mer, les raz-de-marée, le coeur des hommes qui défaille de peur, le temps de perplexité, la détresse parmi les nations, l’apostasie de l’église.
236 Et l’homme de péché est apparu, s’élevant au-dessus de tout qui s’appelle Dieu, il s’assoit dans le temple de Dieu, s’exhibant. Oh ! la la ! Et il est venu à cette nation. L’église s’est organisée, et toutes se sont rassemblées comme des prostituées autour de la grande prostituée, et tout est absolument dans la ligne de la prostitution.
237 La prostitution ! Qu’est-ce ? C’est dire aux femmes qu’elles peuvent se couper les cheveux, dire aux femmes qu’elles peuvent porter des shorts, dire aux hommes qu’ils peuvent faire ceci et cela. Et les prédicateurs qui font ceci, l’évangile social et tout. Ne voyez-vous pas que c’est commettre adultère envers la véritable Parole de Dieu ?
238 Dieu nous a envoyé Sa véritable Parole, non dénominationnelle, aucune ficelle n’y est attachée. Il nous a donné la Colonne de Feu, le Saint-Esprit, qui est avec nous depuis trente ans maintenant. Et tout ce qu’Il a dit et prédit est arrivé exactement comme annoncé.
239 « Parle au peuple, et allons de l’avant. » Amen ! Nous avons un objectif, c’est la Gloire. Avançons vers Cela. Nous nous dirigeons vers la Terre promise : « Tout est possible à celui qui croit. » « Parle au peuple. N’ai-Je pas prouvé cela ? Ne suis-Je pas allé jusqu’à vous laisser prendre Ma photographie parmi vous, et tout le reste, et n’ai-Je pas fait tout ce qui pouvait être fait pour prouver que J’étais avec toi ? N’y a-t-il pas eu un article à ce sujet dans les magazines, il y a quelques semaines, alors que tu avais dit à la chaire, trois mois auparavant, ce qui arriverait, et cela est arrivé et a été confirmé ? Même la science est au courant de cela. Après tout ce que J’ai fait, tu attends encore. Parle aux gens, et avance vers l’objectif. » Amen !
240 Nathan, n’a-t-il pas parlé à David ? Une fois, le prophète Nathan était assis, il a regardé David, le roi oint, il a dit : « Fais tout ce qui est dans ton coeur, car Dieu est avec toi. » Il a dit à David : « Fais tout ce qui est dans ton coeur, car Dieu est avec toi. »
241 Josué était oint pour conquérir le pays pour Dieu et pour son peuple. Le jour était court; il avait besoin de plus de temps pour accomplir le travail pour lequel il avait été oint et commissionné. Josué, un homme, il était oint. Dieu lui avait dit : « Je serai avec toi, comme J’ai été avec Moïse. » Amen ! « Ce pays, Je vais le leur donner. Je veux que tu ailles là-bas et que tu extermines les Amalécites et–et les Hett… tous–tous les autres, les Philistins et–et les Phérésiens, et tous les autres. Chasse-les complètement. Je suis avec toi. Je vais… Nul ne tiendra devant toi, tant que tu vivras. Nul ne peut t’importuner. Va là-bas. » Et Josué sortit son épée et dit : « Suivez-moi. »
242 Et il alla là-bas et les combattit. Et que fit-il ? Il mit l’ennemi en déroute. Ils n’étaient plus que de petits groupes ici et là. Lorsque le soir viendrait, ils se rassembleraient tous, se mettraient en garnison et viendraient avec force contre lui. Le soleil était en train de se coucher. Il avait besoin de plus de lumière. Le soleil était en train de se coucher ! Il n’est pas tombé sur ses genoux et n’a pas dit : « Eternel Dieu, que ferai-je ? Que ferai-je ? » Il parla ! Il avait un besoin. Il a dit : « Soleil, arrête-toi ! » Il ne poussa pas des cris, il commanda : « Soleil, arrête-toi; j’ai besoin de ceci. Je suis le serviteur de l’Eternel, oint pour ce travail, et j’ai un besoin. Arrête-toi et ne brille pas. Et toi, lune, reste où tu es », jusqu’à ce qu’il eût terminé la bataille et qu’il les eût entièrement vaincus. Et le soleil lui obéit.
243 Il ne poussa pas des cris, il parla au soleil, disant : « Arrête-toi. Soleil, reste là; et toi, lune, reste où tu es. » Il ne s’écria pas : « Seigneur, maintenant, que puis-je faire ? Donne-moi plus de lumière. » Il avait besoin de lumière ; ainsi, il exigea cela, et le soleil lui obéit. Oh ! la la ! Il commanda au soleil de s’arrêter.
244 Samson, un homme oint, suscité et ordonné de Dieu, avec un don de puissance, il était établi pour détruire la nation des Philistins. Ordonné, né sur la terre, et oint de Dieu pour détruire les Philistins ! Un jour, ils l’attrapèrent dans les champs, sans son épée et sans lance, et mille Philistins armés lui sautèrent dessus d’un seul coup. S’est-il agenouillé pour dire : « Ô Seigneur, j’attends une vision. Ô Seigneur, que dois-je faire ? Indique-moi maintenant ce qu’il faut faire. » ? Il savait qu’il avait un besoin. Il ne découvrit rien d’autre qu’une vieille mâchoire d’âne et, avec elle, il tua mille Philistins. Amen !
245 Il ne cria point à Dieu. Il utilisa son don oint. Il savait qu’il était envoyé pour ce travail. Il savait qu’il était né pour cela. Il savait qu’il était oint d’un don, et il battit mille Philistins. Il ne cria pas à Dieu; Dieu l’avait ordonné et avait confirmé cela par les autres choses qu’il avait faites; il était un serviteur de Dieu confirmé et oint pour détruire les Philistins, et il le fit ! Peu importe ce qu’étaient les circonstances, il le fit. Il ne demanda jamais rien. C’était son travail. Dieu opérait à travers lui. Il ramassa cette mâchoire d’âne et se mit à taper sur les Philistins. Comment les…
246 Eh bien, un coup de cette mâchoire sur un de ces casques d’airain d’un pouce et demi [3 cm] d’épaisseur aurait fait voler cet os en un million de morceaux, mais il en battit mille et les tua, et elle était encore là, intacte dans sa main.
247 Il ne posa pas de question. Il ne cria pas, il parla. Il les mit en déroute. Oh ! la la ! Prendre les Philistins ! « Puis-je prendre les Philistins, Seigneur ? Je–je sais que Tu m’as envoyé pour le faire, Seigneur. Oui, Seigneur, je sais que Tu m’as envoyé pour détruire cette nation des Philistins. Maintenant, ici, il y en a mille autour de moi; je n’ai rien. Maintenant, que–que vais-je faire, Seigneur ? » Oh ! la la ! Rien ne va le déranger. Il est oint pour ce travail. Rien ne peut vous faire du tort, non, pas une seule chose. Alléluia ! Il prit simplement ce qu’il avait, et il les battit. C’est juste.
248 Lorsque l’ennemi l’encercla, il dit : « Maintenant, nous l’avons dans nos murs, nous l’avons maintenant. Nous l’avons à l’intérieur, avec cette femme. Nous avons fermé les portes tout autour, partout, et il ne peut pas sortir. Nous l’avons. »
249 Samson ne cria pas : « ô Seigneur, ils m’ont encerclé avec cette dénomination. Huh ! Que vais-je faire ? Je me suis joint à eux, que vais-je faire ? » Il ne fit jamais cela.
250 Il sortit simplement, arracha les portes et, les mettant sur son épaule, les emporta. Amen ! Il était oint pour ce travail. Dieu l’avait appelé. Ils ne réussirent pas à le garder enfermé. Non, certes non ! Il emporta les portes avec lui. Il ne pria pas à ce sujet. Il ne demanda pas à Dieu s’il fallait le faire ou pas. C’était précisément dans l’exercice de ses fonctions. Amen ! Amen ! Amen ! Précisément dans l’exercice de ses fonctions. « Pourquoi crier à Moi ? Parle, et continue. » Amen ! « Ne crie pas, parle. » Il a fini maintenant de geindre et de pleurnicher. Il devrait être assez âgé pour parler, c’est vrai. Il savait que son don de puissance oint pouvait détruire n’importe quel Philistin qui se tenait devant lui. Amen !
251 Mais nous ne savons pas cela, vous voyez. Nous sommes encore des petits bébés, le biberon à la bouche.
252 Lui le savait ! Il savait que Dieu l’avait suscité dans ce but-là, et que rien n’allait pouvoir tenir devant lui, tous les jours de sa vie. Rien ne pouvait le détruire. Il était suscité dans ce but, comme Moïse l’était. Rien n’allait l’arrêter, ni Amalécites, ni aucun autre ne pouvait l’arrêter. Il était sur la route pour la Terre promise. Samson savait qu’il était sur la route.
253 Josué savait qu’il prendrait le pays. Il était confirmé. La Parole de Dieu l’avait promis, et le Saint-Esprit était là, confirmant cela.
254 Il était en route, donc rien n’allait se mettre en travers de son chemin. Absolument pas ! Il était précisément dans l’exercice de ses fonctions avec Dieu. Rien n’allait se mettre en travers de son chemin. Ainsi, il prit simplement les portes et les mit sur ses épaules — elles pesaient environ quatre à cinq tonnes — et il marcha jusqu’au sommet de la colline et s’assit sur elles; rien n’allait se mettre en travers de son chemin. Il avait un don oint de Dieu. Il n’avait pas besoin de crier : « Seigneur, que dois-je faire maintenant ? » Il était déjà oint pour le faire. C’était AINSI DIT LE SEIGNEUR. « Débarrasse-toi d’eux ! » Alléluia ! « Débarrasse-toi d’eux ! Je t’ai suscité dans ce but. » Amen !
255 « Que dois-je faire, Seigneur ? Heuh ! Que vais-je faire, ici, à la mer Rouge ? »
256 « Ne t’ai-Je pas dit que Je t’avais donné une montagne, là, comme signe ? Tu es en train de revenir à cette montagne, et tu vas amener ces enfants dans le pays. Ne t’ai-Je pas appelé dans ce but-là ? Pourquoi t’inquiètes-tu à propos de quelque chose d’autre qui se mettrait en travers du chemin ? Parle, et commence à avancer. » Amen et amen ! « Oui, Je t’ai appelé dans ce but. »
257 David savait qu’il était oint et avait été confirmé comme tireur d’élite. Il savait qu’eux savaient qu’il était un tireur d’élite. David était oint; il le savait. Et, lorsqu’il se tint devant Goliath, il ne cria jamais : « Ô Dieu, que dois-je faire maintenant ? Attendez, dois-je... Je–je sais ce que Tu as fait dans le passé; Tu–Tu m’as permis de tuer un ours et Tu m’as permis de tuer un lion, mais, qu’en est-il de ce Goliath par ici ? » Oui, il ne fit jamais cela; il parla simplement. Que dit-il ? « Tu seras comme ils étaient à tes yeux. » Il parla et alla de l’avant.
258 Il n’offrit jamais une prière; il n’offrit rien. Il savait qu’il était oint. Amen ! Il était oint, et cette fronde avait prouvé être ce qu’il fallait. Il avait foi dans son onction. Il avait la foi que Dieu pouvait diriger cette pierre directement au milieu de ce casque, où se trouvait le seul endroit vulnérable. Il se tenait là.
259 Il savait qu’il était un tireur d’élite. Amen ! Il savait que c’est ce que Dieu avait fait de lui. Amen ! Il savait qu’il avait tué un lion. Il savait qu’il avait tué un ours, mais cela, c’était en rapport avec la possession de son père terrestre. Cette fois-ci, il s’agissait de la possession de son Père céleste. Amen ! Il ne s’agenouilla pas pour dire : « Dois… Que dois-je faire maintenant, Seigneur ? » Il parla et dit : « Tu seras comme le lion et l’ours, et me voici ! » Amen ! Gloire à Dieu ! Oui, oui ! Il parla et s’avança pour rencontrer ce Goliath. Oh ! la la !
260 Sans tenir compte de sa grandeur ! Il était un petit jeune homme au teint rosé, vous savez ; il n’était pas très grand, pas très beau à regarder. Il avait l’air chétif. La Bible dit qu’il était de teint rosé. Eh bien, sans regarder à sa taille et à sa soi-disant capacité de faire.
261 Vous savez, le–l’évêque lui parla, disant : « Maintenant, fiston, regarde un peu. Cet homme est un théologien, voyez, c’est un combattant, il est né combattant, et il a un… il a combattu dès sa jeunesse. Tu ne peux rivaliser avec lui. » Ses frères lui dirent : « Oh ! espèce de polisson, tu viens ici pour faire une chose pareille; retourne à la maison ! »
262 Cela ne le gêna pas. Pourquoi ? Il savait qu’il était oint. « Le Dieu qui m’a délivré de ce lion, le Dieu qui m’a délivré des pattes de cet ours, est plus que capable de me délivrer des mains de ce Philistin. Me voici ! Je te rencontre au Nom de l’Eternel, le Dieu d’Israël. » Amen ! Il ne pria pas jusqu’à l’exaucement. On avait déjà prié ainsi pour lui. Avant la fondation du monde, Dieu avait prié pour lui. Il était oint pour ce travail. Il devait parler et aller de l’avant. C’est tout ce qu’il y avait à faire, seulement parler, et aller de l’avant. Oh ! c’est tout ce qu’il en était.
263 Oh ! il ne… Ses frères dénominationnels, ces moqueurs, se tenaient aussi là, vous savez. Oh ! oui ! Ils se tenaient là, disant, en se moquant, en rigolant et disant… ses frères, vous savez, ils disaient : « Ah ! Ah ! Ah ! tu ne le peux pas. Tu n’es qu’un polisson. » Cela ne l’ébranla pas du tout. « Tu veux être différent des autres; tu cherches simplement à te faire valoir. » Si cela avait été le cas, cela aurait été ainsi; mais ils regardaient seulement le côté intellectuel.
264 David savait que l’huile d’onction était sur lui. Amen ! Cela ne changea rien pour lui. Il dit : « Ce Philistin sera comme l’ours et le lion, car me voici. » Il prédit cela avant que cela arrivât. Qu’avait-il fait ? Il avait tué l’ours, il avait tué le lion. Il avait assommé le lion avec… Avec quoi ? Avec une–avec une fronde. Et, ensuite, il avait pris un couteau et puis avait tué l’ours. Le lion, il avait tué le lion avec un couteau. Il fit la même chose avec Goliath. Il l’assomma avec une pierre, et il tira son épée et lui coupa la tête juste là devant. Qu’avait-il prédit avant que cela arrive ? « Tu seras comme eux. » Pourquoi ? Il prononça la Parole, disant que cela arriverait, et, ensuite, il alla de l’avant pour l’accomplir. Amen ! Oh ! frère ! Il parla et prit la situation sous contrôle.
265 S’il y a jamais eu un temps où l’homme devrait parler, c’est bien maintenant. Je vais terminer dans quelques minutes, si seulement vous pouvez patienter encore quelques minutes. J’ai là encore quelques points que j’ai inscrits ici, quelques passages des Ecritures auxquels je veux arriver.
266 Pierre ne cria point lorsqu’il trouva un homme qui avait assez de foi pour être guéri et qui était couché à la porte appelée La Belle. Il ne s’est jamais agenouillé, et il n’a pas prié toute la nuit et... ou toute la journée, ou fait une très longue prière, disant : « Seigneur, je Te prie maintenant d’aider ce pauvre infirme. Je vois qu’il a la foi. Je sais qu’il est un croyant, je le lui ai demandé, et il–il…je–je–je... Il m’a dit qu’il avait la foi et qu’il croyait ce que je lui avais dit. Je lui ai dit le… ce que Tu avais fait, et je–je pense maintenant, Seigneur, que–que... Peux-Tu me donner un AINSI DIT LE SEIGNEUR pour lui ? »
267 Non, il savait qu’il était oint comme apôtre. Il savait que Jésus-Christ l’avait commissionné : « Guéris les malades, ressuscite les morts, purifie les lépreux, chasse les démons; tu as reçu gratuitement, donne gratuitement. » Il dit : « Pierre, va faire cela ! » Il n’avait pas besoin de prier jusqu’à l’exaucement, il était commissionné.
268 Qu’a-t-il dit ? Il a dit : « Au Nom de Jésus-Christ ! » Il prononça le Nom de Jésus-Christ, et l’homme est resté bien étendu là. Il le prit par la main et dit : « Lève-toi ! » Il le tint là jusqu’à ce que ses chevilles reçoivent la force, et il commença à marcher. Pourquoi ? Il n’eut jamais de réunion de prière pendant toute une nuit. Il ne cria jamais à Dieu. Il savait, d’une manière positive, des lèvres de Jésus-Christ, qu’il était oint pour ce travail. Oui, il parla et le releva, parce qu’il savait qu’il était un apôtre oint dans ce but-là.
269 Les gens qui étaient couchés dans son ombre ne dirent jamais : « Oh ! viens, apôtre Pierre, crie sur nous et offre à Dieu pour nous la prière de la foi. » Non, non, ils ne dirent jamais cela. Ils savaient qu’il était un apôtre de Dieu, oint et confirmé. Il dirent donc : « Laisse-nous juste être couchés dans son ombre. Tu n’as pas à dire un mot. Nous savons cela; nous croyons cela. » La Vie était en eux. L’apôtre ne pouvait pas aller vers eux tous, mais ils étaient eux-mêmes une partie de cela.
270 Moïse a dit : « Je n’irai pas seul, nous partons tous. Nous avons tous quelque chose à faire. Nous devons tous être oints. »
271 Ils virent cet apôtre debout là, ils le virent guérir ce malade et faire ces choses, ils savaient qu’il ne pouvait pas aller vers eux, ainsi, ils ne dirent jamais : « Pierre, viens offrir une prière, et attends jusqu’à ce que tu aies l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, et ensuite, viens me dire. Vois ce que le Seigneur dit. » Ils dirent : « Si seulement nous pouvons nous coucher dans son ombre... parce que le Dieu même qui était en Jésus-Christ est en lui, et nous voyons la même chose se passer. » Ils touchèrent donc le bord du vêtement de Jésus et ils se couchèrent dans Son ombre, et Jésus était dans cet homme. « Si cette ombre peut nous toucher, nous serons guéris. »
272 Et la Bible dit qu’ils furent tous guéris. Il n’y eut pas de réunions de prière durant toute la nuit. Ils ne dirent pas : « Seigneur, si je vais me coucher dans l’ombre de cet apôtre... » Non, ils en étaient sûrs. La Lumière les avait frappés. Leurs coeurs étaient pleins. Leur foi était libérée. Amen ! Ils croyaient cela, ils avaient vu cela. C’était la même chose au sujet des mouchoirs de Paul. (Maintenant, pour terminer.)
273 Jésus ne cria point, lorsqu’on Lui amena ce garçon fou, atteint d’épilepsie et qui tombait dans le feu. Il ne dit jamais : « Père, Je suis Ton Fils, et Tu M’as envoyé maintenant ici pour faire telle ou telle chose. Puis-Je guérir ce garçon ? » Il ne dit jamais cela. Il dit : « Sors de lui, Satan ! » Il parla, et le garçon fut guéri.
274 Lorsqu’Il rencontra Légion, qui avait deux mille démons en lui, ce n’était pas Jésus qui criait, c’étaient les démons qui criaient : « Si Tu nous chasses (oh ! la la !), permets-nous d’aller dans ce troupeau de pourceaux. »
275 Jésus ne dit jamais : « Maintenant, Père, suis-Je capable de faire ceci ? » Il dit : « Sortez de lui. » Et les démons sortirent précipitamment. Assurément, Il savait qu’Il était le Messie.
276 Au tombeau de Lazare (celui-ci était mort depuis quatre jours), ils Lui dirent : « Si Tu avais été ici, Seigneur, il ne serait pas mort. »
277 Il dit : « Je suis la Résurrection et la Vie. » Amen ! Pas où, quand, ou comment. « Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort. » Amen ! Il savait qui Il était. Il savait ce qu’Il était. Il savait qu’Il était Emmanuel. Il savait qu’Il était la Résurrection. Il savait qu’Il était la Vie. Il savait qu’en Lui habitait corporellement la plénitude de la Divinité. Il vit ces pauvres gens là-bas, et Il vit ce que Dieu Lui avait alors dit de faire, et Il était là. Il alla là-bas.
278 Il ne dit jamais : « Maintenant, attendez, Je vais m’agenouiller ici. Vous tous, agenouillez-vous et priez. » Il dit : « Croyez-vous que Je peux faire ceci ? » Amen. Il demanda cela.
279 Ce n’était pas Lui, c’était eux. « Oui, Seigneur, je crois que Tu es le Fils de Dieu, qui devait venir dans le monde. » Oh ! la la ! Là, Il est identifié. Quelque chose doit arriver.
280 « Lazare, sors ! » Il parla, et un mort sortit. Pas : « Puis-Je ? » Il parla simplement. Lorsqu’on trouva la foi, la chose arriva.
281 Il parle… Il parla, et l’aveugle vit; le boiteux marcha; le sourd entendit; les démons crièrent et sortirent; les morts ressuscitèrent, tout. Pourquoi ? Il ne pria pas jusqu’à l’exaucement. Il était oint, le Messie. Il était ce Messie. Il savait qu’Il l’était. Il connaissait Sa position. Il savait pourquoi Il avait été envoyé. Il savait que le Père L’avait identifié pour être le Messie pour les croyants. Et lorsqu’Il rencontra ce croyant ayant la foi, Il prononça simplement la Parole. Les démons se dispersèrent. Oui, oui. Parle; ne crie pas, parle ! Amen.
282 Il connaissait Ses droits que Dieu lui a donnés, mais pas nous. Il savait ce qu’Il était, pas nous.
283 Moïse l’avait oublié. Samson le comprit. D’autres le comprirent. Josué le comprit. Moïse l’oublia. Dieu dut attirer son attention sur cela. Il dit : « Pourquoi cries-tu à Moi ? C’est Moi qui t’ai envoyé faire ce travail. Parle ! et continue à avancer vers ton objectif. Je t’ai dit que tu viendrais à cette montagne; prends ces enfants et conduis-les plus loin. Parle simplement. Peu M’importe ce qu’il y a en travers de ton chemin, enlève-le. Je t’ai donné l’autorité pour le faire. J’ai parlé. Tu as créé, par ta parole, des mouches, des poux et des choses comme cela. Maintenant, pourquoi pousses-tu des cris vers Moi ? Pourquoi viens-tu vers Moi en criant ces paroles ? Parle simplement et regarde-le agir, c’est tout. » Oh ! la la ! Oh ! comme j’aime cela !
284 Tenez, Jésus, tout ce qu’Il disait, Il prononçait simplement la Parole, et ça arrivait comme tel. Dieu avait correctement confirmé qu’Il était Son Fils. Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, en qui J’ai mis toute Mon affection; écoutez-Le.
285 Observez-Le. (J’aime ceci.) Regardez avec quel courage et quelle majesté Il se tint devant Ses critiques. Amen ! A-t-il dit : « Détruisez ce temple, Je prierai le Père pour voir ce qu’Il fera à ce sujet » ? « Détruisez ce temple, et Je le relèverai en trois jours. » Non pas : « J’espère le faire, Je vais essayer de le faire. » « Je le ferai ! » Pourquoi ? L’Ecriture l’a dit.
286 La même Ecriture qui a dit qu’Il ressusciterait Son corps nous donne l’autorité, la puissance. Amen ! « En Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; ils saisiront des serpents; ou s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. »
« Pourquoi crier à Moi ? Parle, et va de l’avant. » Oh ! courageusement, je... « Détruisez ce temple, Je le relèverai. » Oh !
287 Et souvenez-vous maintenant (nous terminons) que c’était le même qui dit, dans Jean 14.12, le… : « Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais. » Est-ce vrai ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] C’est Lui qui l’a dit.
288 C’est Jésus qui, dans Marc 11.24, a dit : « Si tu dis à cette montagne... » (non pas « si tu pries pour que cette montagne ») « ... si tu dis à cette montagne : Ôte-toi de là, et si tu ne doutes pas en ton coeur, mais crois que ce que tu dis arrive, tu peux avoir ce que tu as dit. » Eh bien, toi, si tu le dis présomptueusement, cela n’arrivera pas, mais si c’est quelque chose en toi, que tu es–tu es oint pour ce travail, et que tu sais que c’est la volonté de Dieu de faire cela, et que tu le dises, cela doit arriver. « Si vous... »
289 C’était Lui qui avait dit ceci : « Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. » Oh ! la la ! Oh ! la la ! Voyez-vous ce que je veux dire ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]
290 Pardonnez-moi pour ceci, mais je viens de le recevoir, je dois le dire. C’est Lui qui a dit, ce jour-là, là-bas dans les bois : « Tu n’as pas de gibier. » Et Il créa trois écureuils là devant nous. Qu’est-ce ? Simplement prononcer la Parole, dire : « Ils seront là, là et là », et ils étaient là. C’est Lui qui fit cela.
291 Charlie, Rodney, c’était Lui, là-bas au Kentucky ; Nellie, Margie, et vous autres aussi, c’était Lui, ce même Dieu qui était là-bas et qui parla à Moïse, disant : « Pourquoi cries-tu à Moi ? Prononce la Parole. » C’était Lui qui les créa. C’est Lui. C’est Lui. Oh ! la la !
292 C’est Lui qui donna la vision, il y a environ une année, disant que nous irions là-bas et que ces Sept Sceaux... et qu’il y aurait, tout d’abord, un–un–un–un grand tonnerre qui gronderait, et qu’ils seraient en forme de pyramide. Et là, le magazine Look, ou plutôt le magazine Life l’a publié ; c’est affiché là-bas, au mur. C’est Lui qui a dit cela.
293 C’est Lui, ce soir-là, alors que je descendais cette route, et que j’ai vu ce grand serpent mamba sur le point d’atteindre mon frère, c’est Lui qui a dit : « Tu as donné… Il t’a été donné la puissance de le lier, lui ou n’importe quel autre. » C’est Lui qui a dit cela.
294 A ma petite femme grisonnante, assise là au fond : C’est Lui qui m’a réveillé ce matin-là, là-bas dans la chambre; Il était debout dans le coin et a dit : « Ne crains pas de faire quelque chose ou d’aller quelque part, ou de dire quelque chose, car l’infaillible Présence de Jésus-Christ est avec toi, où que tu ailles. »
295 C’est Lui qui a dit là-bas, au Sabino Canyon, il y a environ trois mois, alors que je priais et que je me demandais ce qui allait arriver... Et comme je me tenais là, une épée est tombée dans ma main, et Il a dit : « C’est l’Épée du Roi. » C’était Lui.
296 C’est Lui qui m’a dit : « Comme J’étais avec Moïse, ainsi Je t’enverrai. »
297 C’est Lui qui m’a parlé, il y a trente ans, là-bas au fleuve, alors que je n’étais qu’un jeune homme, un petit prédicateur, debout dans le fleuve, il y a de cela trente ans. Je me tenais là, lorsque cette Lumière, cette même Colonne de Feu, descendit des cieux, s’arrêta là et dit : « De même que J’ai envoyé Jean-Baptiste pour être le précurseur de la Première Venue de Christ, ton Message sera le précurseur de Sa Seconde Venue » dans le monde entier. Comment cela se pouvait-il, alors que mon propre pasteur rit et se moqua de cela ? Mais, c’est arrivé exactement ainsi. C’est Lui qui a dit cela. Oui, oui !
298 Oh ! c’est Lui qui a donné cette prophétie en rapport avec la vision : « Cela arrivera. » C’est Lui qui a dit : « S’il y en a un parmi vous, qui prophétise ou qui a une vision et qui la fait connaître, et que cela arrive, souvenez-vous alors que ce n’est pas lui, c’est Moi. Je suis avec lui. » Oh ! la la ! Oh! comme je pourrais continuer à dire : c’est Lui, c’est Lui, c’est Lui.
299 C’est Lui qui descendit... Lorsque je leur dis qu’il y avait une Colonne de Feu, là-bas sur le fleuve, ils ne pouvaient pas croire cela. C’était Lui, là-bas, parmi... avec ce prédicateur baptiste devant trente mille personnes, ce soir-là, au « Sam Houston Colosseum, lorsqu’on a pris la photographie de cet Ange du Seigneur qui se tenait là. C’était Lui, le même hier, aujourd’hui et Eternellement.
300 C’est Lui qui a prédit où ces choses seraient. C’est Lui qui a dit ceci. C’est Lui qui a fait ces choses. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il a fait toutes choses exactement comme Il l’a dit. Amen !
301 Pourquoi devrais-je attendre ? Dieu a confirmé la Parole. C’est la Vérité. Voyageons. Marchons. Continuons sur les traces du Seigneur, rejetant tous les doutes, tous les péchés. Nettoyez la maison; frottez-la bien.
302 Comme la vision ou le songe de Junior Jackson le disait (s’il est assis ici), il ne restait plus que des lampes. Il ne restait plus que des lampes et elles avaient des bandes dorées autour d’elles, dans le songe qu’il m’a donné l’autre soir. Oh ! la la !
303 Frère Collins, ne vous inquiétez pas au sujet de ce poisson. Il était blanc; vous ne saviez simplement pas comment le manipuler.
304 Rejetez tout ce qui est contraire à cela. Souvenez-vous que ceci est la Vérité, peu importe combien Cela paraît fanatique, et tout le reste, parfois. Avancez avec Cela. C’est le Saint-Esprit, le même Dieu qui ressuscita Jésus-Christ d’entre les morts, le Même qui peut créer des choses par Sa Parole. Celui qui vécut aux jours de Moïse est le même aujourd’hui.
305 Son appel, en ce dernier jour... Il a confirmé que « ce qui arriva aux jours de Sodome, arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme. » Il a fait... Sodome est là ! Il y a un Billy Graham et un Oral Roberts là-bas. Et l’église avance par les mêmes signes qu’Il a promis aux deux endroits, et les voilà. C’est Lui qui a dit cela.
306 ô Seigneur, donne-moi du courage, je Te prie. Aide-moi, ô Seigneur Dieu ! (Je dois arrêter ici. Il se fait tard.)
307 « Pourquoi crier à Moi ? Pourquoi criez-vous à Moi, alors que J’ai prouvé que J’étais avec vous ? N’ai-Je pas guéri vos malades ? », pourrait-Il dire. « Ne vous ai-Je pas dit des choses qui sont arrivées exactement ? Votre pasteur ne peut pas faire cela. C’est Moi. Lui ne le peut pas, c’est un homme. C’est Moi, le Seigneur », dirait-Il. « C’est Moi qui ai fait cela. C’est Moi qui lui révèle ces choses qu’il dit. Ce n’est pas lui, c’est Ma Voix. C’est Moi qui ressuscite les morts, lorsqu’ils s’effondrent. C’est Moi qui guéris les malades. C’est Moi qui prédis ces choses. C’est Moi qui sauve. C’est Moi qui donne la promesse. »
308 Ô Dieu ! donne-moi le courage de prendre cette Epée de la Parole qu’Il a placée dans ma main il y a environ trente-trois ans, de La tenir et de m’avancer vers ce troisième Pull ; c’est ma prière. Inclinons la tête.
309 Père céleste, il se fait tard, mais la Parole devient précieuse. Comme nous le voyons, Seigneur, fois après fois, l’infaillible Présence de Christ est toujours au rendez-vous. Combien je Te remercie de Ta bonté et de nous avoir épargnés et... et bénis ! Combien nous T’en remercions !
310 Alors que je tiens ces mouchoirs dans ma main, Seigneur, ce sont des gens qui ont la foi et qui croient Ceci. Que chaque démon, chaque maladie, quitte ces gens. Et j’ordonne à chaque esprit, qui est ici venant du malin et non de Dieu, que chaque esprit de maladie, toutes les infirmités et les afflictions... Nous ne sommes pas couchés dans l’ombre d’un homme, ce qui serait bien, mais nous sommes dans l’ombre de l’Evangile, l’Evangile confirmé.
311 Alors que la glorieuse Colonne de Feu se déplace ici et là, à travers ce bâtiment, la même que Celle à travers Laquelle Dieu regarda, et la mer Rouge s’ouvrit et Israël la traversa... Mais, maintenant, alors qu’Il regarde, c’est aspergé du Sang de Son propre Fils. Quand la miséricorde et la grâce... Puissions-nous être obéissants; puissions-nous, aujourd’hui, arrêter de parler, arrêter de crier. Puissions-nous réaliser que Tu nous as appelés à ce travail. C’est maintenant l’heure. Je prononce cela au Nom de Jésus-Christ. Que toute maladie quitte cet endroit.
312 Puisse chaque homme, ainsi que chaque femme, qui invoque le Nom de Jésus-Christ, consacrer sa vie à nouveau aujourd’hui. Je consacre la mienne, Seigneur, sur l’autel de la prière. Je m’incline et je me couvre de honte, en tournant ma tête vers le sol d’où Tu m’as tiré. Seigneur Dieu, j’ai honte de ma faiblesse et de mon incrédulité. Pardonne cela, Seigneur; donne-moi du courage. Donne-nous du courage, à nous tous.
313 Je sens, comme Moïse, que nous sommes tous sur la route qui conduit dehors. Nous ne voulons pas en laisser un seul. Nous voulons les prendre tous, Seigneur. Ils sont à Toi. Je les réclame pour Toi. Bénis ces gens aujourd’hui, Seigneur. Accorde-le. Bénis-moi avec eux, Père, et Ton Nom sera loué. Qu’a Toi soit la gloire. Donne-nous cette foi éternelle, Seigneur, alors que nous nous consacrons à Toi, maintenant.
314 Me tenant au-dessus de cette Bible, sur ce pupitre, je Te confie ma vie, Seigneur. Je compte sur chaque promesse que Tu donnes. Je sais qu’elles seront confirmées. Je sais qu’elles sont la Vérité. Donne-moi le courage de prononcer ces paroles. Donne-moi du courage, Seigneur. Dirige-moi dans ce que je dois faire et dire. Je m’abandonne à Toi avec cette église, avec cela, Seigneur, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Ma foi… à Toi,
Toi, Agneau du Calvaire,
Sauveur divin !
Ecoute maintenant ma prière,
Efface tous mes péchés,
Oh ! que dès ce jour
Je sois tout à Toi
315 Maintenant, levons-nous très silencieusement, pendant que nous fredonnons cela. [Frère Branham et l’assemblée se mettent à fredonner Ma Foi regarde à Toi. – N.D.E..]
... à Toi,
Toi, Agneau...
(Levons simplement nos mains vers Lui maintenant.)
Ô Sauveur...
(Consacrez-vous maintenant à Dieu.)
Ecoute maintenant ma prière,
Enlève tous mes doutes,
Oh ! que dès ce jour
Je sois tout à Toi !
316 Maintenant, disons ensemble, avec nos mains levées : [L’assemblée répète cette prière après frère Branham. – N.D.E.] « Seigneur Jésus, [Seigneur Jésus,] maintenant, [maintenant,] je me consacre à Toi. [je me consacre à Toi.] Que ce soit une vie de service [Que ce soit une vie de service] plus pure encore. [plus pure encore.] J’implore plus de foi, [J’implore plus de foi,] afin que je [afin que je] puisse être un serviteur plus convenable [puisse être un serviteur plus convenable] dans ma vie future, [dans ma vie future,] que je ne l’ai été [que je ne l’ai été] dans ma vie passée. [dans ma vie passé.] Pardonne mon incrédulité [Pardonne mon incrédulité] et redonne-nous [et redonne-nous] la foi [la foi] qui a été une fois transmise aux saints. [qui a été une fois transmise aux saints.] Je m’abandonne à Toi, [Je m’abandonne à Toi,] au Nom de Jésus-Christ. [au Nom de Jésus de Jésus-Christ.] »
317 Maintenant, alors que nous inclinons la tête :
Comme je marche dans le sombre labyrinthe de la vie,
Et que les chagrins autour de moi se multiplient,
Toi, sois mon Guide ;
Ordonne que les ténèbres se changent en jour,
Enlève toutes mes craintes,
Que je ne m’égare plus jamais
Loin de Toi !
318 Alors que nous inclinons la tête maintenant : Avez-vous l’impression que le message de ce matin vous a fait du bien ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Vous a donné du courage ? [« Amen. »] Si vous le voulez, levez simplement la main vers Dieu et dites : « Ô Dieu, je Te remercie. » [ô Dieu, je Te remercie.] J’ai levé mes deux mains, parce que je sens que cela–cela m’a aidé. Cela m’a donné du courage.
319 Certaines des choses que j’ai dites, je ne pensais pas les dire, mais c’est déjà fait. C’était une réprimande pour moi. Je ne me suis pas trouvé dans l’état que je pensais, mais j’ai découvert que j’étais coupable de crier tout le temps plutôt que de parler.
320 Ô Dieu, aide-moi dès cette heure-ci, afin que je sois un serviteur plus consacré.
321 Je ne prie pas seulement pour moi, je prie aussi pour vous, afin qu’ensemble, en tant que Corps de Christ appelé hors du monde, nous nous préparions pour la Terre promise. Et puisse Dieu me donner le courage de parler et vous montrer clairement le chemin, afin que vous ne manquiez pas de suivre les traces. Je vous dirai, par la grâce de Dieu, que je suivrai les empreintes ensanglantées de Celui qui nous a précédés.
Et cette croix consacrée je porterai,
Jusqu’à ce que la mort me libère,
Et ensuite j’irai à la Maison pour recevoir une couronne,
Il y a une couronne pour moi.
322 Nous Te donnons ceci, Père, en signe de consécration, au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils. Amen.
323 [Un frère se met à parler dans une autre langue. Espace vide sur la bande. – N.D.E.]
324 Nous remercions le Seigneur pour ceci. Que votre marche reflète une vie consacrée. Abandonnez-vous. Soyez remplis de douceur et d’humilité; marchez dans l’Esprit : Marchez, parlez, habillez-vous, agissez comme des chrétiens, humbles et doux. Maintenant, ne laissez pas ceci faillir. La Voix de Dieu parle à travers la Parole; Elle parle à travers les dons. Comme un don vient, un autre l’exprime. Un autre don vient et exprime la même chose. Voyez-vous ? C’est certainement conforme à la Parole et approprié à l’heure. Dieu est avec nous. Combien nous L’en remercions. Maintenant, si notre…
325 Avec nos têtes inclinées, si notre soeur veut bien nous donner un accord sur :
Prends le Nom de Jésus avec toi,
Comme un bouclier contre tous les pièges;
Lorsque les tentations t’entourent,
Murmure simplement ce saint Nom en priant.
326 Faites simplement–simplement cela, prononcez la Parole. Prononcez Son Nom. Chantons-le maintenant, alors que nous–alors que nous partons :
Prends le Nom de Jésus avec toi,
Comme un bouclier… de tristesse;
Cela te donnera la joie et le réconfort,
Oh ! Prends-le partout où tu vas.
Précieux Nom...
327 Maintenant, serrons-nous la main les uns les autres et disons : Je prierai pour vous, frère; priez pour moi.
... ciel;
Précieux Nom, précieux Nom, oh ! combien Il est doux !
Espoir de la terre et joie…
328 Maintenant, avec nos têtes inclinées, chantons le couplet suivant.
Prends le Nom de Jésus avec toi,
Comme un bouclier contre tous les pièges;
Lorsque les tentations t’entourent,
Murmure ce saint Nom en priant.
Précieux Nom, précieux Nom, oh ! combien Il est doux !
Espoir de la terre et joie du Ciel;
Précieux Nom, oh ! combien Il est doux !
Espoir de la terre et joie du ciel.
329 Avec nos têtes inclinées, maintenant, et nos coeurs avec elles, réalisons que Jésus a dit : « Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. » Nous savons par la grâce de Dieu que nous possédons cela dans notre sein ; nous nous sommes consacrés à Lui, ce matin, pour que nos vies changent dès aujourd’hui, et que nous soyons plus positifs dans notre façon de penser. Nous essayerons de vivre en toute douceur et humilité, en croyant que ce que nous demandons à Dieu, Il le donnera à chacun d’entre nous. Nous ne dirons pas de mal les uns des autres, ni de personne. Nous prierons pour nos ennemis et nous les aimerons; nous ferons du bien à ceux qui nous font du mal. Dieu est le Juge de celui qui a raison et de celui qui a tort. Avec le…
330 Sur la base de ceci et avec nos têtes inclinées, je vais demander à notre cher ami, frère Lee Vayle, de bien vouloir congédier l’auditoire par un mot de prière. Frère Vayle.
1-1 Lord bless you...?... Let's just remain standing a moment as we bow our heads. Is there a special request? If you would, let it be known as you lift your hands to God and say by that, "Lord, You know my need."
1-2 Heavenly Father, we are indeed a privileged people this morning to be assembled in the house of God, when we know that there's so many that would want to be in the house of God this morning and is in hospitals and on beds of sickness, and Thou has given us this privilege to be out here today. And we never come, Lord, to be seen of each other, though we love our fellowship one with another; but we could do that at our homes; but we have come here to fellowship with He Who has brought us together as beloved children and brethren.
We thank Thee now. And the only way that we know to correctly fellowship with Thee is around Thy Word; Thy Word is the Truth. We gather here for spiritual strength; we need it, Lord. We must have strength to endure the crosses that we bear. And we pray that You'll send the great Holy Spirit today, and will strengthen us all. Grant the requests of Your people as they have assembled and raised their hands to You that they have need of such things. Answer each one, Lord.
1-4 We thank Thee for sparing the life of our Sister Ungren last night in the accident on the road up here. Thou was gracious to them, Lord, and we thank Thee for that.
And now, we pray, heavenly Father, that You will continue to be with us, and help us as we journey on, each and every one of us. Give us Thy undergirding power and the--the faith of knowing that Thy never-failing Presence will be with us. That hour when we cannot help ourself, we know the Angels of God are encamped about those who fear Him, and they'll bear us up lest anytime we dash our foot against a stone. We pray now that You'll give us of Thy blessings for the Word, and speak through us and in us, in Jesus Christ's Name. Amen.
2-1 I am grateful that the sunshine of the outside, the solar sun, is shining. It was very bad this morning, and I think in this country especially, we have so much gloomy, weary weather; and to see the sun shining, coming out, it's very good.
The little family reunion today, I meet my brothers up at my sister's house and some of our relation around the city and round about... The big bunch of the Branhams, if they'd all come together from Kentucky and here, I guess we'd have to rent the city; there's so many of them. But just a little homecoming... We used to all meet at mama's house and she was the old tie-post that held us together, kinda. But God taken the tie-post to heaven, and I hope that we'll all meet there someday.
2-3 And now I spoke the other day; I said, "You know I believe that I will--will cut my Sunday messages down to about twenty minutes and--and thirty, and then pray for the sick." And I thought of that this morning, and I thought last night when Sister Downing called me and said that--called Billy and said that she and Sister Ungren on the road up had slid across the road and had a wreck. And while Billy was still at the window, along... I don't know what time it was, maybe this morning sometime; I'd been asleep for quite a little bit. I looked down at Brother Wood's; the lights was out. And I just knelt to pray, and when I did something just said to me, "It's all right." So then I told Billy, "Tell her everything, I thought, would be all right."
I'm so glad to see them in this morning, setting in the house of the Lord back here after on the road... A people that love you that much to come for hundreds of miles to hear the Gospel, then I thought, a twenty minutes message and as slow as I am, they would be no good. So I thought I would just... that long...
So then here Brother Ungren, her son, this morning was singing, "How Great Thou Art." He has--He means more to him this morning than it did yesterday afternoon, because the great God of heaven spared his precious, darling mother and sister.
2-6 Now, today we are expecting a great time in the Lord, and I had two or three different texts here that I was looking at, and did--I couldn't figure just which one I would talk on this morning. One of them was cast your cares on Him, for He cares for you. Now, if He cares, why not you? So then, another one... Billy Paul, or not Billy Paul, my other son, Joseph, brought me this text a long time ago. He was setting in the room one day, and he said, looking up toward the picture (Billy--or Joseph is very fond of boats like little boys: boats and horses, you know.), and he said to me, "Daddy, has Jesus got a boat?"
And I said, "I don't know."
So then after he got up and went out, I happened to think, "Has He got a boat?" and I took a text from that, and just marked it down here on my book: Has Jesus Got a Boat?
3-1 I happened to think when He was here on earth He had to borrow a womb to be borned in, a grave to be buried in, a boat to preach from, but He's the Pilot of the old ship of Zion...?... But in those texts that I was thinking, think maybe I could get them later, before we leave to go back...
You know, I like to speak from the Tabernacle here, because it's our own church. We feel at liberty to say whatever the Holy Spirit says. At other places, even though the men wants to make you welcome, you feel kind of a little cramped because that--that you're in somebody else's church, and you want to be a gentleman enough to respect their--their thoughts and their doctrine.
3-3 Had a wonderful time this week down at Brother Burcham's place there. I went into the factory where they made the cheese. (I see he, and his wife, and son, and them are present this morning.) And always thought that a cheese factory would be something like other places I've been in, oh, kind of sloppy and dirty. My, I can say one thing, you can sure rest assured that place is not dirty. That was the cleanest place I ever went into, especially in a factory. And I didn't realize; I thought, oh, maybe they make a hundred pound of cheese a day, and they make six tons each day, and three of the factories going. I thought, "Oh, my, who eats all those cheese." But the Lord has blessed this man. I've had the privilege of being in his home, a very lovely home, a fine consecrated wife. And there's no reason why they shouldn't live for Christ each day as they're doing. Met his son, and they're very fine children. We're so grateful for this fellowship that we have one with another.
Found out their former pastor was a man that I know: Brother Gurley, a very fine man of the United Pentecostal faith that I met years ago, Jonesboro, Arkansas. And I didn't know that they were--that was his pastor, though.
4-2 Now, remember the services this evening, and then the Lord willing, next Sunday again we hope to speak. And then I think the following Sunday then I have to go to Chicago; then I'll be gone for a while. I have to take the family back home back--or back to Arizona so that they--the children can enroll in school again, and then we quit pestering the pastor, taking his services up. So we are very grateful to Brother Neville for his hospitality. You know, of him inviting me, and he's so... I like Brother--a man like that where there's no guile; there's no selfishness; it's just genuine Christianity. I like that.
4-3 Now, we're going to read some of the Scripture and then pass the comments, and I don't know just what time that we'll get out on these long messages, but I think... I was talking the other day about speaking so long, and someone said, "Well now, if you--if you just spoke a few minutes, and you speak kind of in mysteries anyhow," said, "we'd--we'd never be able to understand it." Said, "Just keep on talking, and after while it comes out." He said... So maybe the Lord wants us to do it that way.
4-4 Let's just bow again. Lord, Thy Word lays open on the pulpit, and realizing that someday It'll be closed for Its last time, then the Word will be flesh. And then we are--we're grateful for this time this morning. And open to us by Thy Holy Spirit, the contents of this Word that we shall read. May the Holy Spirit teach us today the things that we ought to know, and may we then in return listen closely to every word, weigh it deeply, and then may those who are listening by the way of tape, may they listen close, and may we be able to catch what the Holy Spirit's trying to reveal to us; for we realize if You should anoint us, then the anointing is not in vain; it's for a purpose--that it might work to the good to the Lord. And may our hearts and understanding be open, Lord.
May we have freedom to speak, and freedom to hear, and access to faith to believe what we have heard as it comes from God's Word, that it might count up to us Eternal Life in the great day that is to come. Bless us today; condemn us when we're wrong. Let us know the faults that we have, and bless us in the way that is right, that we might know which way to go and how to act in this present world, that we might bring honor in our living here to Jesus Christ, Who died to give us Life in the great hereafter. We ask this in Jesus' Name. Amen.
5-2 Now, I want to read just out of two places out of the Scriptures this morning, and one of them is just found over in the Book of Exodus; frankly, both of them are out of the Book of Exodus: one, the 13th chapter and 21st and 22nd verse, and the next one is the 14th chapter, the 10th, 11th, and 12th verses. Now, I'll read from Exodus 13:21.
And the LORD went before them by day in a pillar of a cloud, to lead them the way; and by night... a Pillar of Fire, to give them light; to go by day and night:
He took not away the pillar of the cloud by day, nor the Pillar of Fire by night, from before the people.
Now, in Exodus 14 and the 10th verse,
And when Pharaoh drew nigh, the children of Israel lifted up their eyes, and, behold, the Egyptians marched after them; and they were sore afraid: and the children of Israel cried out unto the LORD.
And then said... Moses, Because there... (Beg your pardon)... And they said unto Moses, Because there were no graves in Egypt, hast thou taken us away to die in the wilderness? wherefore hast thou dealt thus with us, to carry us forth out of Egypt?
Is not this the word that we did tell thee in Egypt, saying, Let us alone, that we may serve the Egyptians? For it had been better for us to serve the Egyptians than that we should die in the wilderness.
I'm going to read a couple more verses.
And Moses said unto the people, Fear... not... (Now, listen close here.)... Moses said unto the people, Fear ye not, stand still, and see the salvation of the LORD, which he will shew... you to day: for the Egyptians whom ye have seen to day, ye shall see them again no more for ever.
The LORD shall fight for you, and ye shall hold your peace.
... the LORD said unto Moses, Wherefore criest thou unto me? speak to the children of Israel, that they go forward:
But lift thou up thy rod, and stretch out thine hand over the sea, and divide it: and the children of Israel shall go on dry ground through the midst of the sea.
And I, behold, I will harden the heart of the Egyptians, that they shall follow them: and I will get me honor upon Pharaoh, and upon all of his host, and upon his chariots, and upon his horsemen.
And the Egyptians shall know that I am the LORD, when I have gotten me honour upon Pharaoh, and upon his chariots, and upon his horsemen.
And the angel of God, which went before the camp of Israel, removed and went behind them; and the Pillar of the cloud went... before their face, and stood behind them:
And it became between the camp of the Egyptians and the camp of Israel;... it was a cloud of darkness to them, but it gave light by night to these: so that the one come not near the other all the night.
And Moses stretched out his hand over the sea; and the LORD caused the sea to go back by a strong east wind all that night, and made the sea dry land, and the waters were divided.
And the children of Israel went into the midst of the sea upon the dry ground: and the waters were a wall unto them on the right hand, and on the left.
And the Egyptians pursued, and went in after them in the midst of the sea, even all Pharaoh's horses, his chariots, and his horsemen.
And it came to pass, that in the morning watch the LORD looked down unto the host of the Egyptians through the Pillar of Fire and... the cloud, and troubled the host of the Egyptians,
And took off their chariot wheels, that they drave them heavily: so that the Egyptians said, Let us flee from the face of Israel; for the LORD fights for them and against the Egyptians.
7-1 The Word of the Lord is so great, so good, there's just no way to stop reading It. It just becomes Life as we read It. I think in this text this morning, though it's being taped, I want to say this in beginning: It finds... I find myself... And the reason that I... Yesterday while in study--and I come upon this subject, and then I thought, "I'm just going, if the Lord willing, to speak upon that because it drives me down." And I hope it drives us all down that we might see, and cause us to look up, and to study a little bit in comparing the day that was then the--and to the day that is now.
7-2 I want to take three words for a text, and that is: "Why Cry? Speak!" God said to Moses here in the 15th verse, "Why criest thou unto Me? Speak to the people that they go forward." And, "Why Cry? Speak!"
Now, we've got quite a subject, and I'll try to hurry through as quick as possible as the Holy Spirit leads. And I want to think of the--of this text of Moses crying out to God in the time of trouble, and God rebuking Moses back, right when trouble was in--in session. And it's just nature, seeming like for a person to cry out, and then what a rebuke it is for God to turn around and rebuke him for saying it--for crying out to Him. It looks like it's a very hard thing.
7-4 Many times when we look at the Scriptures in our own way of looking, it seems very hard, but if we It study a little while, we find out that the all-wise God knows just what He's doing. And He knows how to do these things and how to deal with men. He knows what's in man. He--He knows him. We don't. We only know from the intellectual side. He knows what's really in the man.
Moses was born in this world as a gifted boy; He was born to be a prophet, a deliverer. He was born with the equipment born in him, as every man that comes into the world is born with this equipment.
As I firmly believe in the--in the foreknowledge of God, the predestination, not that God is willing that any would perish, but all might come to repentance; but being God, He had to know, and does know the end from the beginning. See? If He doesn't, then He isn't infinite; and if He is not infinite, He isn't God. So He wasn't willing, certainly, that any should perish, but He--He, knowing who would perish and who would not perish...
8-1 That's the reason, the very purpose that Jesus came to the earth was to save those that God through His foreknowledge seen that wanted to be saved, because the whole world was condemned. And I don't see how we could teach it any other way than the foreknowledge of God. And the Bible plainly says that He knows the end from the beginning and could tell it. Therefore, when a person tries to be something that they are not, they're only making it an impersonation; and sooner or later it'll find you out. Your sins finds you out. You cannot cover them. There's only one covering for sin; that's the Blood of Jesus Christ, and it cannot be applied unless God has called you from the foundation of the world.
That's what that Blood was shed for--not to be tramped upon, and made fun of, and--and jobbed at, and--and evilly spoke of, and--and so forth; it was for a direct purpose (That's right.), not to be played with, not to be impersonated by saying that the sins are covered when they're not, and no man can have his sins covered 'less his name was put on the Lamb's Book of Life before the foundation of the world. Jesus said Himself, "No man can come to Me except My Father draws him, and all that the Father hath (past tense) given Me will come to Me." That's right. So you can't make the words lie. They are there for Truth and for a correction.
8-3 And Moses was born with a gift of faith: great faith Moses had. We see it after while coming out in him. And he was born in a great family, as we know how that his father and his mother and come from a family of Levi, which the story here previously to this in the Book of--of Exodus, so beautifully gives the life of this great character. And he was one of the greatest characters of the Bible, for he was strictly a type of the Lord Jesus.
He was borned in a very odd birth like the Lord Jesus; he was born in a time of persecution like the Lord Jesus; he was born to be a deliverer like the Lord Jesus; he was hid of his parents away from the enemy like the Lord Jesus; and he come to his time of service like the Lord Jesus. He was a leader like the Lord Jesus; he was a prophet like the Lord Jesus; and he was a law-giver like the Lord Jesus.
And we find out that he died on the rock, and he must've rose again, and everything, because eight hundred years later he was standing on Mount Transfiguration, talking to the Lord Jesus. See? Angels packed him away. No one knows where he's buried; even the devil didn't know that. Frankly, I don't believe he ever was buried. I--I believe that the God packed him away in--and he died on the Rock that he'd followed all the days of his life. And he was a perfect type of Christ. He was a king over the people; he was a law-giver; he was a--he was a--a sustainer to the people; he was everything in--in type that Christ was.
9-3 Now, then, see that he was born with this great gift and quality within him. Then it only taken something to flash across that to bring that thing to Life. See, the seed of God is actually placed in us from the foundation of the world. And when that Light first strikes that seed, it brings it to Life, but the Light first has to come upon the seed.
Like the--I've taught many times of the little woman at the well, her in that condition. Though she be an ill-famed person, though her--her life was degraded, and she was in that condition, because that traditions had never touched her. But though when that Light first struck her, quickly she recognized It, 'cause there was something there to respond to It.
When the deep calls to the deep, there must be a deep somewhere to respond to that call.
And Moses here was born this prophet, but he was raised in an intellectual school in Pharaoh's palace. The Pharaoh Seti, that he was raised up under, was a man that still had honor and believed Joseph being the prophet of the Lord. But there come Rameses after Seti, and Rameses did not care about Joseph. And so therefore, there's when the trouble started, now when there raised up a Pharaoh who did not know Joseph.
But these great qualities, let's speak of them just a little while and before we get to the main part of the text. I have an odd way of setting a text and then building to it, and the Lord help us this morning as we build to it.
10-2 Moses, being born with this great gift of faith, then he was anointed and commissioned at the burning bush to deliver God's people. Now, see what great qualities this man had. He was born for a certain thing. God had a purpose in it. God's got a purpose of you being here. See? If you can only be--get to that place, how much trouble you save God and yourself too.
Moses borned and then he was... Afterwards he was brought to the--the place where he was anointed. And notice the seed laying there with the intellectual conception, with all the faith that he was born to deliver this people, and yet it never come to Life until that Light from the burning bush flashed across it, until he seen, not something he read about, but something he'd seen with his eyes, something that spoke to him, and he spoke back to It. Oh, how that did bring things to Life.
10-4 I think any man with a--or woman, boy or girl... And I think in the intellectual conception of what they think the Word is and so forth, never can have a full foundation stand until they have met that Light that brings that Word to a reality.
I think no church in its practice, no matter how intellectual and fundamental it might be, that church cannot thrive until the supernatural is made known among that people, and they see it, something that they can talk to that'll talk back to them that a-vindicates this written Word.
Now, remember, when Moses met this burning bush that Word was a-vindicated exactly. It was the Word. Moses didn't have to worry, "What's this voice all about? What is this Being here?" Because God had already wrote on the Scripture in Genesis that, "Your people will sojourn in this strange land, but they'll be brought back after four hundred years--will come back into this country again, for the iniquity of the--the Amorites is not yet fulfilled."
10-7 Now, hundreds and hundreds of years before God had said that Israel would sojourn and be mistreated in a strange country and would stay there four hundred years, but God, with a mighty hand, would bring them out. So you see with this burning bush, Moses knowed this intellectually, and the seed that was born in him was laying in his heart. And he tried through his intellectual experience with the Word to try to--to--to bring them out, to deliver them, because he knowed he was born for that purpose. He knowed that the time the Scriptures all said that they'd already been there four hundred years...
Just as we know now, as a man asked me a few moments ago about the coming and the rapture. We know we've lived the time out. The time of the rapture is at hand. And we're looking for a rapturing faith that can pull the churches together and give it some supernatural strength that can change these bodies that we live in. We see a God that can raise the dead off the floor, or out in the yard, and bring him back to life again, and present him before us. When we see a God who can take a cancer that's eat a man to a shadow, and raise him up to a strong healthy man, that ought to give rapturing faith to the people. That when that Light flashes from the sky, and the trumpet sounds, the Body of Christ will be quickly gathered together, and changed in a moment, and taken into the heavens.
Yes, there's got to be something like that happen, and our schools of theology can never produce that, yet they intellectually are all right; but you've got to meet that Light. You've got to find that something.
11-3 And here Moses basing his great call upon the Word (and it was great), until one day he met this Light, and the very Word Itself spoke back to him. Then he got his anointing. That anointed what he had in him, that on the inside, the intellects that believed it, the faith that was based upon his belief in God that separated him from his mother. And now, when he strikes in the presence of this Light, It anointed that that he believed. See?
What an anointing, and he was commissioned. Now, we know intellectually he'd heard his mother. He knew what was going to take place, and he knew he was living in that day. But here he found out that he was a failure, so he might've--his--his faith might've dropped back a little bit. But then when he comes to the bush, God said, "I have heard the cries of My people, and I remember My promise to their fathers, Abraham, Isaac, and Jacob, and I have come down." 'I,' there the--the personal pronoun, "I have come down to deliver them."
12-1 And now, and may I just add this if it... God forgive me if it sounds sacrilegious: "I do not work upon the earth only through man. I--I am the Vine; ye are the branches, and I only declare Myself when I can find a man, and I've chose you, and I'm sending you down to take them out." See? Now, notice, "I'll be with your mouth and I... You take this rod."
And Moses said, "Can I see an evidence that You'll send me and You've anointed me and You're going to do these things?"
Said, "What you got in your hand?"
He said, "A stick."
Said, "Throw it down." It turned to a serpent; he fled.
He said, "Take it up." It turned back to a stick. Said, "Put your hands in your bosom," took it out, and it was leprosy; put it back, and it was healed. Said he saw the glory of God.
12-3 There was no more question to Moses. Did you ever notice, he never run to the wilderness again? He knew he was anointed. He knew where all these things that had been in his heart, these great fine qualities; and he--they were anointed. Now, he--he's ready. He's ready to go; so down towards Egypt he goes. God had said, "I'll be with you," so that--that settles it. If "I'll be with you," that's all Moses had to know for this great call in his heart. And now, God said, "I'll be with you."
Now, God also had vindicated his--Moses' claim. Moses claimed, "I met the Lord." And He said, "Tell you I AM sent me." See?
Now, they said, "Here's a man, another Jew, probably some of these fanatics that's been coming along all the time with all kind of scheme to take us out of bondage." And you know how people are when they're slaves or in bondage for something, there's always some kind of a gimmick coming around, you know, to do it. So Moses... God promised Moses, "I'll be with you; I'll be in you. My Words will be your word. You speak My Words, and just say what I say."
13-1 And now, when Moses went down and give them this call and stood before Pharaoh and told him the Lord God of the Hebrews said, "Bring the children out."... And he wouldn't let them go. So he performed a sign before the elders and before Pharaoh. And the signs that God did...
He said, "Now, tomorrow about this time the sun will go down. It'll be darkness all over Egypt." And it come to pass just exactly. And then he said, "There--there's coming flies upon the--upon the land," and he stretched forth his rod and called for flies, and flies come. And he prophesied, and everything that he prophesied happened just exactly the way. It was God. See?
13-3 God had called him from his birth, put qualities in him of great faith, and then come down with His Presence and anointed that great something in him, and sent him down with His Word; and he was properly a-vindicated of his claims. No matter how many quacks had raised up, how many these other things had happened; God was speaking at... Moses was identified. Moses... What Moses said, God honored. I want you to never to forget that Word. What Moses said, God honored, because God's Word was in Moses. "I'll be with your mouth. It'll speak the right things."
Now, what God says--what God says, He speaks it through Moses, and it confirmed and a-vindicated his claim.
13-4 Also, he was told by his mother of his mysterious birth, and how that the time of hand come close to the hour that there was to be a deliverance. Amram and--and Jochebed, the son and daughter of Levi, begin to pray to God to send a deliverer. And it take... When you see the time of the promise drawing nigh, it sets people to praying and to hungering. And no doubt that--that Jochebed had told him many times (his mother--she was his tutor also as we know the story)--and had told him how that she'd prayed. "And, Moses, when you were born, son, you were a proper child. You were different. There was something taken place at your birth."
"I gave a drama on it for the children not long ago and said while Amram was in the room praying, he saw an Angel pull his sword and point it towards the north and said, 'You'll have a child, and he'll take the children north to the promised land.'" Giving a drama for the little fellows so they'd understand it... That their intellect hasn't come up to the place that you adults, and can grasp the thing as the Holy Spirit reveals it to you.
14-1 Now, though his mother told him these things and he knowed this, yet he needed another touch. The--the teaching was fine, but he needed a personal contact.
That's what the world needs today. That's what the church needs today. That's what everyone needs, as sons and daughters of God. In order to be that, you need a personal contact (See?), something. No matter... You know the Word's true; you know It's right. But then when It contacts, and then you see the thing done, then you know you're on the right road. See? And watch, it'll always be Scriptural. It'll stand right with the Scripture 'cause this did.
Amram's prayer was just exactly with the Scripture. Their prayers is with the promised Word. God promised at that time to do it. They prayed for it, and here was a proper child born. And they...
14-4 Watch. Oh, how I love this. See? In the hour that Pharaoh was putting to death all the children (See?), putting them to the--to the sword--the "guardenian sword"; they--they--they stabbed these little children to death, fed them to the crocodiles, the little bodies, until the crocodiles were perhaps fat upon the bodies of Hebrew children.
But the Bible said that the parents did not fear Pharaoh's command to kill the children. They didn't--they wasn't a-scared because they seen something in this baby to begin with. They saw it, that this was a answer of prayer.
And now Moses had all this as a background, so Moses knew he was sent for the very purpose to deliver the children of Israel. See, all the background just heaps up. When you get anything and can bring the Bible saying, "This is going to happen," and here it happens, "This is going to be at that time"; here it happens. "This is going to be at a certain time," there it happens, then it all accumulates together and draws a picture for us.
15-1 Oh, how this Tabernacle this morning, how we people of this hour, Brother Neville, as we see the gray striking our hair and our shoulders stooping, when we see the world weaving and rocking as it is, and how we can look around and see the promise is drawing nigh. It's--it--it... I think many times if someone could just bounce into it at once and wouldn't understand it--or would understand it, rather, come into it at once, it would almost send you to eternity, just with a--such a rapturing thing and never knowed it. Just, oh, break through the things that we've seen, and know, and understand, and all bounce in at one time. The man or the woman, boy or girl will just probably lift up their hands and say, "Let's go, Lord Jesus." You see? Oh, how the hour is so close.
15-2 Moses knowing that he was born for that purpose, and looked out of the windows and watched them Hebrews as they toiled, looked back here in the Scripture, and it said, "And they shall sojourn four hundred years (See?), but I will bring them out with a mighty hand." Then when he comes back after a commission, anointed, knowed that he was born, and his faith, look--by faith he saw those people and knowed they were the children of God 'cause the world--the Word said so. They wasn't of the world, wasn't like the rest of them. They were different. And they were cranks and fanatics to the--the high glamour of Egypt, and he was to be the son of Pharaoh, taking the kingdom over and next, but he...
15-3 There was something down in him, a real faith that looked not at those things--the glamour that he was to inherit. He looked at the promise of God, and he knowed that the time was drawing nigh. And what that man must've thought of... I want to talk it over with him someday when I meet him on the other side.
You say, "That's crazy, brother..."
No, it isn't. I'm going to meet him by the grace of God. Yes, sir. I'll talk to him someday, Moses himself. And how I would like to ask him just how when he seen his preparation, how the flusteration the devil saying, "Aw, the people ain't going to believe you. Aw, the--there's nothing to that," but when that seed come to life up there, something struck him, and he knew there was something going to take place. He knew--looked at his clock and seen what time it was. And he knew. And how he must've thought as he watched.
16-1 Now, when he got all this together, all this great thing that he seen: the Scripture time, the prayer of his mother and his father, and he was born a peculiar birth, an odd child... And all along there'd been something way down in him, and now he slips off and tries to think he'd take his military training from his school and deliver the children, and that failed. Then he goes up into the wilderness and marries a lovely Ethiopian girl, and they had a little boy named Gershom.
One day while tending the flock, all at once he seen a burn--bush up on top of the mountain, burning. And he went up there and not an intellectual, not an imagination, not a delusion, a optical illusion; but in him there was the God of Abraham in a Light, a Pillar of Fire back in a bush, that fire, like waves going out, but it didn't bother the bush. And the voice of the Scripture, the voice of God spoke through there and said, "I have chosen you. You are the man. I raised you up for this purpose. I'm proving to you here by signs; you're going down to deliver the children because that My Word's got to be fulfilled."
Oh, His Word of this day's got to be fulfilled. We're living in the hour. No matter what anyone else says, the Word has to be fulfilled. Heavens and earth will pass away but not His Word.
16-4 Now, when Moses got all this together and seen by every direction, it anointed his faith. Amen. Oh, my, what a thought. This, itself, seen in the Scripture pointing right straight to what it was, and the speaking of God, and the evidence of it there, it anointed what faith he had in him to go to work. What ought it to do to us.
We need a repentance. We need a revival. I'm saying myself. I need a shaking. I need something. I said I was speaking to myself this morning, or about myself. I--I--I need a wakening up. And when I think of that great evidence, everything's so perfectly laid out there. And it anointed the faith of Moses, and my, he seen there was nothing.
16-6 Here he run from Egypt with actually he could've start a mutiny or--or something, and he could've--could've rose up and started a revolutionary in Egypt and could've took an army and fought, but you see--and had many thousands on his side. But instead of that he was a-scared to even do that with armies on his side. But now here he comes back forty years later, eighty years old with only a stick in his hand. Why? What was burning down in his heart had become a reality. He was anointed then, and he knowed he had THUS SAITH THE LORD. There was nothing going to stop him now. He needed no army; God was with him; that's all he needed: God with him.
Oh, when you know God has sent you to do a certain something, and you see it moving up there, there--there just isn't nothing can take its place. That's all.
17-2 I remember times when the Lord has told me about certain things was going to happen, and then I move up and see it laying right there, oh, what a feeling. The situation's already under control. That's all. See? Because God said so.
I remember... Many of you remember about the little boy being raised up in Finland, and then--from the dead, been killed by an automobile. And I stood there on the side of the road and started to walk away from that child, and turned, and looked back, and something put its hand on my shoulder, and I thought it was Brother Moore; and nobody was around me.
And I looked back, and then I looked up the mountain, I saw... I said, "Well, I've seen that hill somewhere, but we didn't come up this way. We come another way. Where is that hill?" And I looked and seen that car down there wrecked, seen that little boy there with his--laying there with the crock like haircut (as we call it here); the eyes turned back like brother Way's was the other day when he fell; and the little foot run through the sock where his little limbs was broke; and blood out of his eyes, and nose, and ears; and seen his little short trousers and tied up by buttons as--here along the side of his little waist, and his little stockings up, like long stockings like we wore many years ago. And I looked around, and there it was exactly, exactly the way the Holy Spirit had told me two years before, when all of you wrote it in your Bibles across the nation that it would happen.
17-5 Oh there... Then the situation is in hand. No matter how dead he is, no matter what anybody else says; it's all over. He's got to come back.
I said, "If this child doesn't raise up from this dead, then I'm a false prophet; I'm a misrepresentation of God; for in the homeland two years ago He told me this would happen." And there these ministers and all; it's wrote on the flyleaf of our Bible, and here it is exactly. Read it off the flyleaf how it would be in a country lapping rocks, and so forth, be killed on--be on the right hand side of the road. I said, "There it is; nothing can stop it." The situation's already under control.
The faith that was within my heart was anointed. Oh, if I could only explain that, the faith that God--I had in God that told me, and had never failed, told me, "The situation is under control now. Here's exactly what I showed you two years ago, and here it is laying just exactly in order. The only thing you have to do is speak the Word." And the little boy rose up from the dead. See?
18-3 I was thinking and looking back here. Brother Fred Sothmann's setting there, Brother Banks Wood, and them... The other day up on the Alaskan Highway, how I stood here at the church and told you all of an animal that looked like deer horns forty-two inches and a silver tip grizzly bear. I'd never been there before and how that the--that I was going to get this, and how it would be, and how many would be with me, and how they'd be dressed. You know it, everyone of you, weeks and weeks before it happened.
And there, when I moved in there, not knowing it, there laid that animal. And I went and--and he... It was impossibility, if a hunter would know or be listening to this tape, how you can't walk up in the face of an animal; it'd jump up and run. But he didn't.
18-5 And there he hangs in my den room. There hangs the silver tip just exactly the way, and a--and a rule laying there, a tape measure to show his exact... And a horn will at least shrink two inches or more when it's green on the animal and when it dries, but this never shrank. It's still exactly on the nose forty-two inches. See? There lays the silver tip; it's seven foot long just exactly and everything exactly the way it was, laying there now.
But when this man said to me, "Now, look Brother Branham, we got this animal that you talked about, but you told me you'd get a silver tip grizzly before you got to the bottom of the hill, back over to where them boys are, that with the green shirt." I said, "It's THUS SAITH THE LORD. God said so."
"But Brother Branham," He said, "I can see all over everything here for miles; there's nothing. Where's he coming from?"
I said, "That's not for me to question. God said so, and He's Jehovah-Jireh. He can bring a bear there. He could put one there." And He did, and there he is.
19-4 It's a situation under control. And when Moses saw that he was raised up for this purpose and that he had met face to face this great God Who had made the call, and had anointed him, and identified him, and said, "This is your call, Moses. I'm sending you. And I'm going to show you My glory, and here I am in the bush, burning. Go down there; I'll be with you." He didn't even need a stick. He had the Word, the vindicated Word. There he went.
It anointed the faith that was in him. And it anoints us when we see that we're living in the last days, to find out that all these signs that we see being taken place that's spoke of in the Scripture would take place in the last days: all the way from heaven to the political powers, and the nature of the people, and the demoralization of the world and among the women, and how they would do in the last days, and how the men would do, and how the churches would do, how the nations would do, and how God would do. And we see it all laying right here on us.
Oh, it anoints our faith. It moves us out in the great cycles. See? It--it--it separates us from other things of the world. See? No matter how little we are, how much a minority we are, how much we're laughed at, made fun of, it don't make a bit of difference. That's all. We see it. There's something within us. We were predestinated to see this hour; there's nothing going to stop us from seeing it. Amen. Sure, God has spoke it. It's--it's already happened. We see it. Oh, how we thank God for this. Oh. Then it brings out your faith when we see these things happening here.
20-1 Now, here again we read that Moses esteemed the reproach of Christ greater riches than the treasures of Egypt. Now, he esteemed the--the reproach of Christ. Now, remember: the reproach of Christ. See?
There's a reproach in serving Christ. If you're very popular with the world, then you cannot serve--you're not serving Christ. No. You cannot, because (See?), there's a reproach that goes with It. The world always has reproached.
Way back there thousands of years ago, there was a reproach that went with it. And Moses, to--be Pharaoh (he was the next coming Pharaoh, Pharaoh's son), and he was coming the next Pharaoh with favor amongst the people, and yet he regarded... ("Esteem" means "to--to regard.") He regarded the reproach of Christ greater things than all that Egypt could afford to give him. Egypt was in his hand. But yet he knew to take the way of Christ was a reproach, but he was so happy to know that there was something within him that made him regard this approach of Christ--reproach of Christ, rather, greater than all the glamour that he--he inherited. He had an inheritance inside of him that was far greater than what the outside inheritance had given him.
20-4 Oh, if we could be like that today and let the Holy Spirit anoint that that we have within us, that faith, to a godly life, consecrated to Christ.
Now, with such faith as this that he had, he noticed and he regarded that reproach a honor.
Today somebody say, "Hey, are you one of those people? Those ah...?"
"Well, ah,..."
You're just a little ashamed of it. But he regarded it a greater treasure than all the world, because that there was something in him that he could speak out and say, "Yes, I--I regard this. This is highly honored. I'm glad to be one of them." See? "I'm glad to number myself as a Hebrew and not an Egyptian."
20-6 The Christians today should say the same thing: "I'm glad to regard myself a Christian, to abstain from the things of the world and the order of the world" not just as a church member, but as a born again Christian who lives according to the Scripture. Though I be called even by the members of the church a fanatic, yet I esteem that a greater, greater thing than what if I was the most popular person in the city or in the nation. I'd rather be that than President of the United States or the king over the earth. (You see?) I--I esteem that so highly, because God in His mercy before the foundation of the world saw me and--and placed a little seed in there that my faith would fly above these things of the world, and now He's called me, and I--I regard my place, as Paul said he regarded his office with highness. Oh, that God had called him from being a great teacher like Gamaliel, but Paul had been called to be a sacrifice for Christ. See?
21-1 Now, the same thing. Notice, with such faith he never relied on his sight, what he could see. Now, he seen nothing out there but a bunch of mud-handling people, slaves, in prison, being killed everyday, beat with whips, made fun of. Their religious beliefs was fanatic. And there was a Pharaoh setting on the throne that didn't know or regard anything about their religion. He knowed nothing about it; he was a heathen, and so he just...
What a picture of today. And there it is, a different religion and how that if--if this Moses, yet in the very seat with the President or the--or the great man Pharaoh, to take his place at his death, and he was an old man. And yet Moses thought that that call... He looked out there. And the same window that Pharaoh looked out of, 'cause he was in his home... And Pharaoh looked out and seen those people that were lifting up their hands, and they'd take a whip and beat them to death because they were praying. They'd run a sword through them because they even failed to disobey at anytime and making them work till their little old bodies would fall out and give them half enough to eat. Well, there wasn't nothing but a bunch of fanatics, not hardly human; and yet Moses, that faith in him looked upon them, and he said, "They're God's blessed people." Amen. I like that.
21-3 With such faith... His eyes didn't fall on the glamour of Egypt; it fell on the promise of God. His eagle eye of faith seen beyond the glamour of Egypt. He... Remember he's becoming an eagle now; he's a prophet, and his eagle eye raises above those things. Oh, how I like that. Oh, my.
How ought today... Today Christians rely on their senses of what they can see or what they can understand, instead of their faith, to rely on what you see with your eye and the glamour. Like you women, I'm always call to you about you must let your hair grow out; you mustn't wear makeup; you must act like ladies and Christians. You look out upon the street and see the women today dressed immorally. Well, you think, "Well, the--she belongs to the church; why can't I do that?" See? "And she cuts her hair; why--why can't I do that? Well, she seems to be just as sweet and as much intellectual, and a personality that I haven't even got. Well, why can't I do that? I ought to do it." When you do that, you paralyze your faith. See? You don't give your faith a chance to grow. Start on that.
22-2 As I said... someone said, "Brother Branham, the country--the people regard you as a prophet. You oughtn't not to be bawling women out like that and men out for these things. You--you ought to be teaching them how to--to prophesy and receive gifts."
I said, "How can I teach them algebra, when they don't even know their abc's?" See? Now, just start from that. Clean yourself up, so that when you walk out on the street you look like a Christian anyhow. See? And then go to acting like one. See? And you can't do it within yourself. It's got to have Christ come within you. And if that seed's laying in there, and that Light hits it, it's going to come to Life. If it doesn't come to Life, there's nothing there to come to Life, because it sure proved it on others. See? It comes to Life immediately as soon as the Light hits it.
22-4 That's a rebuke to women, I know, that's listening in to this tape or will listen in to it. It's a rebuke to you, sister. It should be. It should be, because it shows... I don't care what you've done. You might've been religious all your life. You might've lived in the church. Your father may be a minister, or your husband might be a minister; but as long as you disobey the--the Word of God, it shows there's no Light there. When you see the thing brought out and the Life of the Holy Spirit, watch It when it strikes others. See what they do. If It brings it on them... no wonder...
Why would a... What a rebuke to those Pharisees that called Jesus, when He could perceive their thoughts, he called Him Beelzebub, and that little prostitute said, "Why, this Fellow is the Messiah. The Scriptures says He'll do this." See? That predestinated seed was laying there, and when the Light struck it, it come to Life. See?
You can't keep it down, you can't hide Life. You can take a... Pour concrete upon a bunch of grass and kill it in the wintertime. The next spring where is your most grass at? Right around the edge of the concrete, 'cause that germitized seed under that stone, when the sun begins to shine, you can't hold it. It'll wiggle its way around through there and come right out at the edge of that and stick its head up to the glory of God. See, you can't hide life.
23-2 When sun strikes botany life, it's got to live. And when the Holy Spirit strikes the Scriptural Life that's in a man, it brings forth its fruit right there. So regardless of how true and honest you are, how you say you're not speaking... Saying they were... These women wearing these--these bad clothes and things out there, just a common striptease for the street, though you don't believe you are, you can't make you believe. You can prove that your innocent of an adultery, but in the Book of God you're committing adultery. Jesus said, "Whosoever looketh upon a woman to lust after her has committed adultery with her in his heart already. And you presented yourself in that manner. See? You can't see it unless that Life is laying there.
You look at somebody else, you look and say, "Well, I know Sister Jones--Brother Jones is a--he's a minister, his wife does this and does that." I don't care what that does; this is the Word.
Jesus said, "Let every man's word be a lie, and Mine be true." It's the Bible, and when that Light really strikes it, it's got to come to Life. It just has to come to Life.
23-5 Now, Moses' great eye, his eagle eye looked beyond the glamour of Egypt. The real Christian believer today, no matter what the church says, what anybody else says, when that Light strikes it, they see the very vindication of God, that Pillar of Fire hanging there, and the signs and wonders that promised, the Scripture being laid in it, it comes to Life. No matter how little it is and how many in the minority; God's group has always been the minority. See?
"Fear not little, little flock, it's your Father's good will to give you the Kingdom." See? They catch it. God is obligated to send them in from every denomination, every order, everywhere, to see it, if they are ordained to Life.
24-2 Look at old Simeon, ordained to Life. When the Messiah come in the temple in the form of a Baby in His mother's arms, Simeon, back in a room somewhere reading, the Holy Spirit raised him up, for he was waiting. That Life was in him. He said, "I'll not die until I see the Lord's Christ." And there was the Lord's Christ in the temple. The Holy Spirit led him from his duty out, and walked down through there, and picked that baby up, and said, "Let the... Let Thy servant depart in peace, for my eyes see Thy salvation."
There was an old blind woman in the corner by the name of Anna who served the Lord day and night. She also was predicting and saying, "The Messiah is coming. I can see Him coming." Yet she was blind, and that same time when He was there, that little Life that was in her that was predicted it would be there; it would be there; it would be there. Then that same Life, the Light, came in the building in the form of a Baby as an illegitimate child, wrapped in His swaddling clothes, coming up through the building; and the Holy Spirit struck that old blind woman, and she come by the Spirit, led to the people, and stood over this Baby, and blessed the mother and blessed the Baby, and told what would be the future for it. See? Ordained to Life. See? Look at them. There wasn't a dozen of them.
There was only eight souls saved in the day of Noah. Hardly very many, but all that was ordained to Life come in at that time. See how the Holy Spirit works in each age, drawing the people?
24-5 Now, we find out that Moses' faith led him to watch what would be, not what was. Look at tomorrow, instead of today. Look at the promise instead of the glamour. Look at the people instead of the organization. See? God did that.
Lot could see the glamour of prosperity down in Egypt--or down in Sodom. Lot could see the possibilities of a--of a--of a lot of--of money. Lot could see the possibilities of when he looked over to Sodom and he could maybe become... Being that he was a Hebrew, he might become a great man there because he was a great intellectual figure and the nephew of Abraham. So he chose to go towards Sodom.
Lot's intellects led him to see the glamour of--of prosperity. Lot's intellects led him to see the blessings of glamour. But his faith was so paralyzed by it, he didn't see the fire that was going to destroy that sort of a life. And that's the way people are today. They see the possibilities of belonging to a great organization. They see the possibilities of having social standing with the people of the city, but they don't see the possible... They don't see their faith is paralyzed.
25-2 Let me repeat that so it won't be misunderstood. Women today, they, as I say, they want to--they want to act like the movie stars. The men today want to act like the television comedians. The preachers today seem to want to make their churches like some modernistic lodge of some sort: membership and so forth. They see the possibilities of maybe becoming a bishop, or a general overseer, or something like that if they go along with the church, forsaking the Scriptures when it's laying right before them with thoroughly vindicated by the power of God and by the Living Word of God, living in the people. Yet they don't want it. They say, "We don't want to get mixed up with something like that." It would take their fellowship card. It would take their denominational order. Yet honest men like Lot, setting down in Sodom, knowing that that's wrong... See? See, what do they do when they do that? They paralyze the little faith that they did have. It can't work.
25-3 Now, Moses give away to that, and he set his faith paralyzed the world. Either your faith will paralyze glamour, or either the glamour will paralyze your faith. Now, you have to take one or the other. And you see the Bible don't change; God don't change. He's the unchangeable God.
And now we find today that people of this day (See?), they look to the big things, the big organizations. "I belong to the So--and--so," See? And they go down there and look; there's no difference from the street people. There's no other things... They have a little intellectual something he want... When you talk about Divine healing, the Pillar of Fire, the Light of God; they say, "That's mental."
25-5 A man picked up that picture of The Angel of The Lord the other day, a Baptist minister, and laughed at it. See? That's--that's blasphemy. See? There's no forgiveness for that.
That's what Jesus said. It's blasphemy when you see it doing the very works that Christ did, and He said when they seen that works in Christ. He was the Sacrifice, and they called Him Beelzebub, a devil, for--'cause he was doing it. And now they say... He said, "I forgive you for that, but when the Holy Ghost comes to do the same thing, you speak a word against It, it'll never be forgiven you in this world or the world to come." See?
Just one word's all you have to say against It. See? And then... Because if that Life... If you've been ordained to Eternal Life, then that Life would burst forth when you seen It. You'd recognize, just like the little woman at the well and the different ones; but if it's not there, it can't come to Life, for there's nothing there to come to Life with. As my old mother used to say, "You can't get blood from a turnip," because there's no blood in it. Now, that's the same thing, and it paralyzes what little faith you have got.
26-3 Lot could see the glamour, but he didn't have enough faith to see the fire that would destroy such glamour. I wonder if we have today? I wonder if us--the women that wants to be popular, that wants to act like the--the rest of the women in the church, if they see that they want to act like the rest, they--they can see the possibilities of being a prettier woman by being painted; they can see a prettier woman by having a younger appearance by cutting their hair, and--and acting like some of the others of the movie stars, but I wonder if that hasn't paralyzed their faith to know that the Bible says that a woman does that is a unhonorable woman. And a woman that puts on a garment pertains to a man is an abomination before God: slacks and so forth and shorts that they're wearing. It just becomes so callused till it becomes a regular routine of the people doing it. I wonder if they don't paralyze the very little faith that you had even to go to church. You see? That's the thing it does.
26-4 Lot did that and it paralyzed him and it paralyzed his people down there. They couldn't see it, but Abraham with an a-vindicated faith (his uncle), he looked not upon the glamour, he wanted nothing to do with it, though he had to live hard and live to himself and Sarah: lived out in the wilderness where it was hard goings on the barren ground, but they seen not the glamour or the possibilities of becoming popular. Sarah, the most beautiful woman in the land, Bible said so. She's fair, the fairest of all the women. And now she even stayed and obeyed her husband to even she called him her lord, who the Bible refers to plumb over in the New Testament said, "Whose daughter you are as long as you obey the faith." See? Called her husband her lord...
And the Angel of the Lord visited their temple or their little tent out there and told them; they didn't even have a house to live in, living out in the barren lands, and there you are. You see the day patterned back again just exactly like it was then.
27-2 Now, Moses with his great faith again could say "No" to the present things of the present world and make a righteous choice. He chose to suffer the afflictions with the people of God. He chose to go with it. Why? His faith. He saw the promise; he saw the end time; he saw over in tomorrow, and he let his faith loose. And he didn't pay no attention to what his eyes saw in the possibilities here that he was the Pharaoh and was going to be the Pharaoh, he looked plumb over in tomorrow.
Oh, if people could only do that. Didn't see the present world. If you look at the present world, you make a choice with it. Hide your eyes from that and look at the promise of God, way over in tomorrow. By his faith he could choose. He did choose to be called the son of Abraham and refused to be called the son of Pharaoh. How could he, when all the whole kingdom... Egypt had the world whipped. He was king of the world, and was a young man of forty years old here ready to take the throne, but he never looked at his inter...
27-4 Look at the women would've laid around him day by day, harems of them. Look at the glamour, set and drink wine and watch the striptease before him as they danced and fanned him with the--and the women from all over the world, and the jewels and treasures and his army out there. The only thing he had to do is set and eat his fine food and say, "Send an--send army garrison number so-and-so down to so-and-so; take that nation. I believe I just want it." That's all he had to do: set there, and them fan him, and hold his mouth open, let the--the lovely, beautiful stripteases of that day pour wine into his mouth, feed him his food with their arms around him, all the prettiest women in the world.
All the glamour that there was, was laying right there by him, but what did he do? He looked away from that. He knowed fire was ready for that. He knowed death laid in that line. See? He knowed that it was, and he looked over to a bunch of despised and rejected people, and by faith he chose to suffer the reproach of Christ and called himself, "I'm a son of Abraham; I'm no son of this Pharaoh. Though you make me a bishop, or a deacon, or an archbishop, or a pope, I'm no son of this thing. I'm a son of Abraham, and separate myself from the things of the world." Amen, amen, and amen.
28-2 By faith, did that. He took the glamour away. He took the possibilities of being the next bishop; he took the--the possibilities of being the next archbishop, or the next general overseer at the next election or whatever it was; he took that away. He refused to look at it.
Now, "If I become the bishop, I'll walk in. The people will say, 'Holy father' or 'Doctor So-and-so' or--or--or--or 'Elder So-and--so.' How they'll... All the ministers at the gathering, they'll pat me on the back and say, 'Say, boy, that guy's got something. I'm telling you.' Oh! 'Sh-sh-sh, keep still; here comes the bishop.' See? What he says, that's law. See? 'Here comes the So--and-so.'"
People will fly over the world to be the--see the pope, and kiss the foot and the rings and so forth. How... What a possibility to the Catholic, what a possibility to the Protestant to be bishop or general overseer or something, some great man in an organization.
Looking... Oh, but you see the eye of faith looks over the top of that. And you see the end of it down there where God says the whole thing will be destroyed. Faith, that eagle eye lifts you up above that and you see tomorrow, not today, and choose to be called a son of Abraham.
28-5 Pharaoh, with no faith seen God's children as fanatics. No faith, he made them slaves because he wasn't scared what he said. He wasn't afraid of God. He thought he was God. He thought his--his gods that he served, that he was a bishop, he was the head general overseer; his god is the one that did it; nothing to this thing here. So he made them slaves. He laughed at them, made fun of them just as the people did today, the same thing exactly.
Moses' faith seen them in the promised land, a blessed people. It might be a hard fight to get them to the promise, but Moses chose to go with them. (How I could lay on that, but my time's getting away. See?)
29-2 Notice, it might be a hard thing to turn those people around. You have to go live with them. You have to be one of them, and they're already so intellectual that you can't move them. See? But there's got to be something happen out there. There's got to be the supernatural demonstrated before them. It's going to be a hard thing. The organizations will turn you down, and all these things will happen. It's--it's terrible what you have to do, but yet, make your choice. "I'm one of them." Yeah, his faith did that. His faith sparked. Yes, sir. He saw it.
It was a hard thing to get them to that promise, but he took his choice to go with them anyhow. Regardless of what they did to him, and what they turned him down, he went anyhow, and was going out with them. I hope you're reading. All right.
Go with them anyhow. May... Be one of them (That's right.), because it's your duty. Might be a hard fight and lot to go through, but go anyhow. But his faith led him to take the choice of the Word and not the glamour. He took the Word. That's what Moses' faith did.
29-5 When faith looks on God's worst... Remember, here was the glamour now, the world, oh, the highest, king of the world. And where was God's promised? In the mud hole, a mud daubers, but when faith, when faith looks at God's worst, it esteems it greater and more valuable than the best the world can show (Yes, sir.), when faith looks at it, when faith can see it.
When faith in the Word can see the Word made manifest, it's more than all the glamour and archbishopry and everything else you can speak of. Faith does it. See? You can see the worst, the despised, the rejected, the whatever it might be; let it be at its worst, and yet faith will esteem that a million miles higher than the best the world can produce. Amen.
30-1 That's the way we sing that song, "I'll take the way with the Lord's despised few..." See? Oh, my. For, you see, faith sees what God wants done.
Oh I hope this goes in. Faith doesn't look at the present time. Faith doesn't see this here. Faith looks to see what God wants, and works accordingly. That's what faith does. It sees what God wants, and what God wants done, and faith operates through that.
Faith is a long range vision. It don't lower its sights. It holds to the target. Amen. Any good shooter knows that (See?), that it's long range; it's a--it's a telescope; it's a binocular that you don't look around here; you don't use binoculars to look to see what time it is. See? You don't use that, but you use binoculars to look away off, and faith does that. Faith picks up God's Binoculars, both of them, both sides, the New and Old Testament and sees every promise that He made, and faith sees it out yonder. And faith chooses that, regardless of what the present tense says here.
He looks at the end. He don't drop his sights down to look this way; he looks out yonder. He keeps the crosshair dead center on the Word. That's what faith does. That's the faith that's in a man that does those things.
30-5 Now, watch. What Pharaoh called--called... What Pharaoh called great, God called abomination. Pharaoh could said, "Look, Moses, here... Why, you're next Pharaoh; I hand this scepter to you when I leave here. I hand this scepter; it's yours." See? Now, this is great. "You're going to be a great man, Moses. You're going to be the bishop. You're going to be this, that, or other. Don't leave us. You stay here." But you see, he called that great, and God said it was an abomination.
Now, you women think a minute, so you men. What the world calls great, God calls filth. Don't the Bible say it's an abomination for a woman to wear a garment that pertains to a man? And you think you're smart in doing it. See? You're just displaying female flesh for the devil; that's all. So don't do it.
And you men who live after the things of the world and huddle and cuddle after this, and you men with not enough audacity about you to make your wives and things quit doing that: Shame on you. Call yourself sons of God, looks like Sodomites to me. See? Not to hurt your feelings, but to tell you the truth. Love is corrective. It always is.
A mother won't take care of her child, or correct it, and spank it, and make it mind, is not much of a mother for it. That's right.
31-2 Now, watch what takes place now. Moses saw this by his vision and Pharaoh said that, "This is great."
God said, "It's an abomination." So God... Moses chose what God said.
Now, notice, faith sees what God wants you to see. See? Faith sees what God sees, and reasoning and senses see what the world wants you to see. Notice, reasoning. "Why, it's only human sense; it's only--only reason it's this. This is... Well, ain't this just as good." See? That's just exactly when you use those senses which is contrary to the Word (See?), then that's what the world wants you to see. But faith don't look at that; faith looks what God said. See, see? You don't... You cast down reasons. Reasons... Reasoning sense sees what the world wants you to see: big denominations.
"Well, are you a Christian?"
"Oh, I'm--I'm Presbyterian, Methodist, Lutheran, Pentecostal, whatmore. I'm this, that, or the other. See, that's--that's senses. "I belong to the First church," (See?) "Oh, I'm Catholic." "I'm--I'm this, that." See? You say that.
31-5 Now, that--that's senses. You like to say it because it's a denomination, something big. "Well, we--we got more members nearly than any church in the world." See? "We..." But there's only one real church, and you don't join it; you're born in it. See? And if you're born in it, the living God works Himself through you, and make Himself known. See? That's where God dwells: in His church.
God goes to church everyday: just lives in church; He lives in you. You're His church. You are His church. You're the tabernacle that God dwells in. You are the church of the living God yourself. And if the living God lives in His living being, then your action is of God. If it isn't, then God isn't in there. He wouldn't make you act like that when He says in the Word here, His blueprint, "Don't do it," and you go do it. See, that's wrong. When you deny it, that shows the Life isn't even in you. See? That's right.
32-1 Faith led Moses to the path of obedience. Notice, Moses make... There's young Pharaoh; there is young Moses: both of them with the opportunity.
Moses seen the reproach of the people and counted it greater treasures than all Egypt had, and he led... By faith he followed what his faith said in the Word and it led him to the path of obedience and finally to glory, immortal, never to die in the presence of God.
Sight and senses led--and glamour led Pharaoh to his death and the destruction of Egypt, his nation, and it's never come back since.
There you are. Look at this, you die. Look at that, you live. Now, make your choice.
32-4 That's the same thing God put before Adam and Eve in the garden of Eden. See? By faith you must make your choice. Now, notice, sight led Pharaoh to his death, and to destruction of his city. Moses, with his faith, never did fear Pharaoh. See? He didn't care what Pharaoh said. He cared not about Pharaoh no more than his mother and his daddy cared about the threat. When Moses was confirmed to him that he was that person that was to deliver the Egypt--to lead Israel out of Egypt, he never cared what Pharaoh said. He wasn't scared of him. Amen, amen, amen. You see what I mean?
There's no fear in faith. Faith knows about it. Faith as I've always said, has got great big muscles and hairs on the chest. Faith said, "Shut up." And everybody shuts up. That's all. "I know where I'm at."
Rest of them say, "Well, maybe he does." See? But you've got to stand up and show your muscles. That's all; faith does it.
32-6 Notice, Moses never feared Pharaoh after God a-vindicated his call. When... Moses believed he was called for that, but when God told him up there, "It's so," and come down and showed before Pharaoh and all the rest of them that he was sent to do it, Moses never was scared of Pharaoh.
Notice, Pharaoh used his wisdom on Moses though. Watch. He said, "I'll tell you what; I'll make an agreement with you (after the plagues done eat him up)," he said, "I'll make an agreement with you. You just go for a little worship for three days. Just go so far, and don't go no farther." But you know that was Pharaoh's senses told him that. See? "You just go so far and don't go no farther."
Haven't we got that kind today? "If you'll just join church, that's all right."
But, you know the faith that Moses had didn't believe in a so-far religion.
33-3 He said, "We're all going. We're going all the way. That's right. We're going to the promised land. We just don't go out here and make a denomination and stop; we go on through." Amen. "I'm going on to the promised land. God promised us."
How many Pharaohs have we got today standing in the pulpit, heads of organizations? "Now, if you just do this and do that, that's all... Well, see, just so far."
But Moses said, "Oh, no. No, no, no, no." See?
Pharaoh said, "Well, why not--if you're going to have that kind of religion, I'll tell you what you do. Just you and the elders go worship. See? Just you and the elders go worship, 'cause you all can have that kind of religion, but don't get it among the people."
You know what Moses said? "There won't even be a hoof left behind. We're going all the way. We're all going. I'm not going 'less they go; and as long as I'm here, I'm on your hands. Amen. I'm not going unless they can go too. That's all."
33-7 Oh, what a gallant servant. Amen, "I want to take them with me. Just because I've got it, and I set down and say, 'Well, now, this is all right.' No, sir; we want the people too. Every one of us is going." Amen. He said, "The land... Don't even leave every sheep or anything behind. There's not going to be a hoof left back. We're all going to the promised land (Amen.) every one of us. Whether you're a housewife, or whether you're a little maid, or whether you're an old woman, or a young man, or an old man, or whatever you are; we're going anyhow. There isn't going to be one of us left. Amen. Every one of us is going. And we ain't going to stop at nothing else." That's right.
My, them religions is really in a debate there, wasn't it? Oh, my. No, Moses did not believe in this here just so far religion. No, he didn't believe in that. Yes, sir. Oh, my.
We could stay all day on that but I got to get to my text after while and start preaching.
34-2 Notice, notice this. How beautiful. Oh, I love this. You know, finally Pharaoh said, "Get out." God just plagued him with the voice of Moses. And he struck everything. He done everything there was to be done. He stopped the... He put the sun down in the middle of the day; He done everything else. He--he blackened the days; he brought frogs, fleas, lice, everything else; fire, smoke and death to his families and everything else. He done everything till finally Pharaoh had to say, "Get out. Take all you got and go." Oh, my. Praise be to God.
I'm so glad that a man can so completely serve God till he--the devil don't know what to do with him. Just obey God so completely till the devil said, "Oh, my. Get away. I--I don't want to hear it no more." That's right. You can do it--so completely.
34-4 See now, if--if God wouldn't have backed up Moses, then he'd become a laughingstock; but God was right there confirming. Everything he said come to pass.
And Pharaoh had to hold his positions 'cause he was a bishop you know, so he--he had to stay there. He couldn't...?... He couldn't say "No," because it was already happening. See? He couldn't--he couldn't deny it 'cause it was already happening. So finally he said, "Oh, just get out; I don't want to hear you no more. Get out of here; take all you got and go." Oh, my.
Now, we find Moses, here, after God had done so much for him and had showed him so many signs and wonders...
Now, for the next fifteen minutes let's lay this down here. Watch real close.
34-6 Moses come to this spot where he... God had said, "I'm with you. Your words is My Word. I proved it to you, Moses. You are the one called flies in the land. It was out of season. And you said, 'Let there come flies,' and there come flies." That's creation. Who can bring darkness over the earth but God? "You said, 'Let there be darkness,' and there was darkness. You said, 'Let there be frogs,' and the frogs even got in Pharaoh's house, in the beds, and when they piled them up, in--in great heaps..." Creator... "And I have spoke through you, Moses, and made My Word create through your lips. I'll made you actually a god before Pharaoh." Yes, sir. "I've done all this." And here they come to a place, a little trial come up, and Moses begin to cry, "What shall I do?"
35-1 I want you to notice. This is a great lesson here now. I love this. See? See, Moses, if we read here right, that when the children begin to get scared, they seen Pharaoh coming after them in the line of duty...
God had performed everything perfectly; now He started them on their journey. He got the church together. They'd been called out; they come from every denomination; they all got together. Moses had went back there and said, "Lord, what must I do?"
He'd say, "Well, go do this." All right, go ahead. "Now, Moses, you know I've called you to do this."
"Yes, Lord."
"All right, you go speak this; it'll be." Here come the flies. "Speak for this." Here it come. "Do this." Here it come. Everything was THUS SAITH THE LORD, THUS SAITH THE LORD, THUS SAITH THE LORD.
35-4 Now, he gets into a trouble, and God said, "Now, I've got them started on the journey; they're all done called out. The church is together, so I've got them on their journey. Now, Moses, take them on over. I told you. See, I'm going and set down and rest awhile."
Moses said, "Oh, Lord, look coming here. Here comes Pharaoh. The people are all... What must I do? What must I do?" See there, isn't that just human being. Yes, sir. Begin to cry, "What must I do?"
Here we see Moses expressingly fully human nature--always wants God to get behind you and push you into something. Now, that's us today. You want God after we seen all we seen, yet you want God to push you to do something. See? Moses had just laxed around, said, "God, I'm going to ask You, and see what You say."
"Yeah, yeah," you say, "Well, all right. I'll say it too." See?
But here God had ordained him for the job, proved that He was with him; and here he is the circumstance comes up, and then he begins to cry, "What can I do? Lord, what can I do?"
36-2 Now, remember, he'd already prophesied here, for he said, "These Egyptians that you see today, you'll see no more," and then immediately begin to cry out, "God, what can we do?" See, after he'd done done a pretty good job in prophesying there. See, he had done told them what would happen. If the Word of God was in him, It was in him. And when he was telling that, it actually come to pass; what he said was already going to come to pass, and here he was crying out, "What am I going to do?"
Oh, if that isn't human beings. If that isn't me... If that isn't me... See? He'd already proved, "What you say will happen. I'm with you. And here a circumstance rose in a moment. "What must I do? What must I do, Lord? Hey, Lord, where are You at? Hey, do You hear me? What must I do?" And He'd already ordained him, and a-vindicated him, and proved and worked everything through him, and here, "God..." Oh, my, fully express it.
36-4 Man wants to rest and let God do the pushing. And yet he knew that God had anointed him for this job, to do this, and God had clearly a-vindicated his claims. It was time for the people to be delivered. God through his miracles and wonders had drawed them all together in one group (You follow me?), drawed them all together in one group, vindicated his claims. Scripture said so. Here was a sign; here was the evidence. Here everything that he said... Then he come among them as a prophet. Well, whatever he said, God honored it, even to create and bring up flies and put things in existence. And everything that He'd promised him, here He done it. But he wanted to wait on THUS SAITH THE LORD. See?
He should've known that the very vindication of his call was THUS SAITH THE LORD. His job that he was ordained to was THUS SAITH THE LORD. Can you get it? Why did he wait on THUS SAITH THE LORD?
36-6 He wanted, "Lord, what can I do? Here I've brought these children out here this far. Here's the circumstance: Pharaoh's coming; they're all going to die. What must I do? What must I do?"
He had already predicted what they was going to do. He'd already told just exactly what to do. He predicted the end of the very nation he was brought up in. I hope you understand. See? Moses had already said, "You'll not see them anymore. God's going to destroy them. They made fun of you long enough. God will destroy them." He'd already predicted what would happen to them, then, "Lord, what must I do?" See the human nature there? See? "What must I do? I'm going to wait for THUS SAITH THE LORD." Yes, sir. "I'll see what the Lord says, and then I'll do it." Remember, there was a Pharaoh had raised up that didn't know Joseph, you know, in that time, right at that time. See, see? And Moses stood right up and predicted the end of the nation. And here he was right to the place where it was to be happening, and then he cries out, "What must I do, Lord? What must I do?" See?
37-2 Isn't that human beings? Isn't that just human nature? "What shall I do?" He was--already prophesied. God had honored everything he said, and he was called for the job, so why did he have to say, "What must I do?" There was a need; it was just up to him to speak for it. God wanted Moses to put that gift of faith that He had given him to work. God had vindicated it. It was the Truth, and God wanted Moses--wanted the people to see that He was with Moses. And he, back there he waited, say "Now, Lord, I'm just a baby. Let You tell me now. Yeah, I'll go do this. I got THUS SAITH THE LORD."
"Brother, is that THUS SAITH THE LORD?"
"Yes, yes, Brother Moses, that's THUS SAITH THE LORD."
"Yeah, okay. We got it now, THUS SAITH THE LORD," and it happened, never failed one time, never did fail.
And here it is under circumstances, comes up again. Now, He's got them on the journey. The church is already called out. Got them on the journey, and they're moving up. And Moses started crying out, "Lord, is it THUS SAITH THE LORD? What must I do?"
37-4 All right, God wanted Moses to have faith that He'd put in that gift that He'd clearly a-vindicated. God had clearly proved to Moses and the people that it was Him by the Word and by the things that was said come to pass. It was clearly identified. There was no need of him worrying anymore about it. See? There was no more of him to think anything about it 'cause it was already cleared up. He'd already done these things. He'd already proved by flies and fleas that he spoke things into creation, that the Word of God was in him. So here he is going to ask now what to do when the circumstances lays right before him. See? Oh, my.
I hope this goes way down to us, and we can see where we're at. See? Don't it make you feel about that big? Thinking about Moses, telling his faults, and look at ours.
38-2 Here he was standing there. See? Knowed that the Scriptures said that that was the hour and day for that to happen, and knowed that God had met him in a Pillar of Fire. And it went right down before the people and performed these miracles, and everything he said, it come to pass, even to bring things into creation, doing the things that only God could do, showing that his voice was God's voice. And here was the circumstances with that people that he was raising up, bringing on to the promised land, and then was standing crying, "What must I do?"
That's a human being just wanting to... As Brother Roy Slaughter (I believe he's setting outside the door there.) told me one time about somebody doing something to me, and I said, "Well, I did this and now that..."
And he said, "Brother Branham, let them lean on your shoulder today, and tomorrow you pack them."
And that's just the way human beings is. Lean on your shoulder today, and tomorrow you pack them. That's what Moses was doing. God had to pack him along after He'd ordained him and proved it to do it. And the people ought to have said, "Moses, say the Word. I seen you do it there. God honored you there. And you're the same one today." Amen. See? "Do it." Amen. He ought to have knowed it, but he didn't. All right.
38-5 Just as it was then, so is it now. We find out that... So he said... God must've just got enough of it. God must've got fed up on it. He said, "What are you crying to Me about? Haven't I already proved My identification? Haven't I told you that I sent you for the job? Didn't I tell you to go do this? Didn't I promise that I'd do this, that I'd be with your mouth, and I'd speak through you, and I'd do this, and you'd show signs and wonders; didn't I promise to do it? Have not I did just exactly and destroyed every enemy from around you? And here you are standing out here now at the Red Sea right in the line of duty, what I told you to do and then still hollering and crying to Me. Don't you believe Me? Can't you see that I sent you to do this?"
39-1 Oh, if that isn't human being, my. So He just must've got pretty well fed up on it. And He said, "You know you have need of it. You know if you're going to take these children over there to the promised land... That's exactly. You're penned up here in a corner. There ain't nothing else you can do. So there's a need. What are you crying to Me about? (Amen.) What you looking at Me for? What you calling on Me about? Haven't I proven it to the people? Haven't I proven it to you? Haven't I called it? Isn't it Scriptural? Didn't I promise to take this people to that land? Didn't I call you and tell you I would do it? Didn't I call and say I sent you to do it, and it wasn't you, it was Me? And I go down, and I'd be with your lips. Whatever you said, I'd vindicate it and prove it. Haven't I done it? Then when any little thing comes up, why do you act like a baby? You ought to be a man. Speak to the people. (Amen.) Then move forward." Amen. There you are. "Don't cry, speak!" Amen.
Oh, I like that. "What are you crying to Me about? Just speak to the people and go forward to your objective." Whatever it is, if it's sickness, or whatever, whether it's to raise the dead or whatever it is, speak. I proved it. Speak to the people."
39-3 What a lesson. What a lesson. Oh, my. At this stage of the journey where we're standing, look where we're at now (Yes, sir.), at the third pull. Notice, we're right here at the door of the coming of the Lord.
He was anointed for the job and still waiting for THUS SAITH THE LORD. God must've just got enough of it. He said, "Don't cry anymore; speak. I sent you."
Oh, God. What this church ought to be this morning. God's perfect a-vindication with the Pillar of Fire and the signs and the wonders, everything just like it was in the days of Sodom. He said it would return back. Here's the world in its condition; there's the nation in its condition. There's the women in the condition. There's the men in the condition. There's the church in the condition, There's everything. The elements, the signs, flying saucers and everything in the skies and all kind of mysterious things, and the sea a-roaring, tidal waves, man's heart failing, fear, perplexed of time, distress between nations, the church falling away, and the man of sin rising up who upholds himself above all that's is called god, he that setteth in a temple of God showing himself. Oh, my. And it has come to this nation.
40-2 And the church has organized, and all of them gathered together as harlots to the whore, and everything exactly in the way of whoredom. Whoredom, what is it? Telling women they can cut their hair, telling women they can wear shorts, tell men they can do this and they can do that, and a preacher saying, "Do this," and the social gospel and things. Don't you see it's committing adultery with the true Word of God. And God has sent us His true Word undenominational, no strings tied to It, and give us a Pillar of Fire, the Holy Ghost that's been with us now for thirty years, and everything that He's predicted and said come to pass exactly the way He said it.
40-3 "Speak to the people; and let's go forward." Amen. We got an objective, that's glory. Let's move to it. We're heading to the promised land. All things are possible to them that believe."
"Speak to the people. Haven't I proved it? Haven't I even had My picture made among you and everything else, and done everything that could be done to prove that I'm with you? Doesn't the magazines just a few weeks ago pack the article, when you said here at the pulpit what would take place out here three months beforehand, and there it went taking place and vindicating; even the science knows about it. And everything that I've done, and you're still waiting. Speak to the people and go forward to your objective." Amen.
Didn't Nathan tell David... Nathan, the prophet, one time setting seeing David the anointed king, he said, "Do all that's in your heart, for God is with you." Told David, "Do all that's in your heart; God's with you."
41-1 Joshua was anointed to take the land for God and for his people. The day was short; he needed more time for the job that he was anointed and commissioned to do. Joshua, a man, he was anointed. God told him, "As I was with Moses, I'll be with you." Amen. "That land, I'm going to give it to them. I want you to go over there and clean out the Amalekites and--and the Hitt--all--all the others, the Philistines, and--and Perizzites, and all the different ones; clean them out. I'm with you. I'll... No man will stand before you all the days of your life. No man can bother you. Go on in there."
And Joshua drawed that sword and said, "Follow me." And he got over there, and here he was fighting. And what was it? He routed the enemy. They were little bunches here and little bunches there. When nighttime come they'd all get together and garrison together and come with a big force against him. And the sun was going down; he needed more light. The sun was going down; he didn't fall on his knees and say, "Lord God, what shall I do? What shall I do?" He spoke. He had a need. He said, "Sun, stand still." And he cried at nothing; he commanded: "Sun, stand still; I've got a need of this. I'm the servant of the Lord, anointed for this job, and I got a need. Stand still and don't you shine, and moon, you hang where you're at," till he fought the battle through and whipped the whole thing out.
41-3 And the sun obeyed him. No crying out, he spoke to the sun; said, "You stand still. Sun, hang there, and moon, you stay where you're at." He didn't cry out, "Lord, now what can I do? Give me some more sunlight." He had need of sunlight, so he commanded it, and the sun obeyed him. Oh, my. He commanded the sun to stand still.
Samson, anointed, raised up, ordained of God, given a gift of power, was ordained to destroy the nation of the Philistines: ordained, born on the earth, anointed of God to destroy the Philistines. One day they caught him out in the field without his sword, without a spear, and a thousand of those armored Philistines run upon him at one time. Did he get down and say, "Oh, Lord, I'm waiting for a vision? Oh, Lord, what must I do? Direct me now what to do." He knowed he had a need. He found nothing but an old jawbone of a mule, and he beat down a thousand Philistines. Amen. He never cried to God. He used his anointed gift. He knowed that he was sent for the job. He knowed he was born for that. He knowed he was anointed with a gift, and he beat down a thousand Philistines. He didn't cry to God. God ordained him and vindicated that he was by other things that he had done, and he was a vindicated, anointed servant of God to destroy the Philistines, and he did it. No matter what the circumstances was, he did it. He never asked nothing. That was his job. That... God was dealing through... He picked up that mule bone and go to beating Philistines.
42-1 How the... Why, one lick with that thing across one of them inch and a half brass skulls like that would've shattered that bone into a million pieces, and he beat a thousand of them down and killed them, and still stood with it in his hand. Didn't ask no questions. He didn't cry out; he spoke. He routed them.
Oh, my. Take the Philistines. "Can I take the Philistines, Lord? I--I know You sent me to do it, Lord. Yes, Lord, I know You sent me to destroy this nation of the Philistines. Now, here a thousand of them around me. I ain't got nothing. What--what am I going to do now, Lord." Oh, my. Nothing going to bother him. He's anointed for the work. There's nothing can harm you. No, not one thing. Hallelujah. He just took what he had and beat into them. That's right.
42-3 When the enemy fenced him in and said, "Now, we got him in the walls; we got him now. We got him on the inside here with this woman. Now, we got this good door shut all around everywhere, and he can't get out. We got him."
Samson didn't cry, "Oh, Lord, they got me all fenced in with this denomination. What am I going to do? I've joined up with them. What am I going to do?" He never did that. He just walked out, and pulled down the gates, put it on his shoulder, and walked away with it. Amen.
He was anointed for the job. He was called of God: didn't fence him in. No, indeedy. He took the gates with him. He didn't pray about it. He didn't ask God whether to do it or not. It's right in the line of duty. Amen and amen, amen. Right in the line of duty...
43-1 "Why cry to Me? Speak, and go on." Amen. "Don't cry, speak." He done quit whining and whimpering now: ought to be old enough to speak. That's right. He knew his anointed gift of power could destroy any Philistine that stood before him. Amen. But we don't know that. You see? We're still little babies with the bottle in our mouth and--and... He know it. He knowed that God raised him up for that purpose, and there was nothing going to stand before him all the days of his life. Nothing could destroy him. He was raised for that purpose like Moses was: nothing going to stop him. No Amalekites or nothing else can stop him. He's on the road to the promised land. Samson knowed he was on the road.
Joshua know he was taking the land. He was a-vindicated. God's Word promised it, and the Holy Ghost was there vindicating it. He was on his road, so there's nothing going to stand in his way. No, sir.
43-2 Right in the line of duty with God, there was nothing going to stand in his way, so he just picked up the gates, and put them on his shoulders (weighed about four or five tons), and walked up on top of the hill and set down on them: nothing going to stand in his way. He had an anointed gift from God.
He didn't have to cry out, "Lord, what must I do now." He's already anointed to do it. That was THUS SAITH THE LORD, "Get rid of them." Hallelujah. "Get rid of them. I've raised you up for that purpose." Amen.
"What must I do, Lord? Oh...?... What am I going to do here at the Red Sea?"
"Didn't I tell you that I gave you a mountain for a sign right here? You're coming back to that mountain, and you're going to take these children into the land. Didn't I call you for that purpose? What are you worried about anything else standing in the way. Speak and start moving." Amen and amen. "I--I called you for this purpose."
43-5 David, he knowed he was anointed, and was a-vindicated to be a good shot. He knowed that they knowed he was a good shot. David was anointed; he know it. And when he stood before Goliath, he never cried, "Oh, God, what must I do now? But what--what must I... I--I know what You did in times past; You--You let me kill a bear, and You let me kill a lion, but what about this Goliath out here?" He never did that; he just spoke. What did he say? "You'll be like they were."...?... He spoke and went forward.
He never prayed a prayer; he never offered nothing. He knowed he was anointed. Amen. He was anointed, and that slingshot had proved the right kind of a thing. He had faith in his anointing. He had faith that God could direct that rock right straight in the middle of that helmet there where the only place to be hit. He was standing there. He knowed he was a good shot. Amen. He knowed God made him that. Amen. He knowed he'd killed a lion. He knowed he'd killed a bear, but that was with his earthly father's possession. Here's his heavenly Father's possession. Amen.
44-2 He didn't get down, "Look, what must I do now, Lord?" He spoke and said, "You'll be like the lion and the bear, and here I come." Glory to God. Yes, sir.
He spoke and went forward to meet this Goliath (Oh, my.) regardless of his size. He was a little ruddy looking fellow, you know. He wasn't very big, wasn't very handsome to look at, little bitty drawed-up sort of a fellow. The Bible said he was ruddy. Now, regardless of his size and his so-called ability to do so...
You know, the Bishop told him, said, "Now, look here, son, that man's a theologian. See? He is a fighter. He was borned a fighter and he's a--he's been a fighter from his youth; and you're no match for him."
And his brothers said, "Oh, you naughty thing, come out here to do such a thing as that; get on back home." That didn't bother him. Why? He knew he was anointed.
"The God that delivered me from that lion, the God that delivered me from the paws of that bear, He'll more than that deliver me from that Philistine. Here I come. I meet you in the Name of the Lord God of Israel." Amen.
Didn't pray through; he was already prayed through; God prayed him through before the foundation of the world. He was anointed for the job. He had to speak and go forward. That's all there was to do about it. Just speak and go forward.
44-8 Oh, that's all there was to it. He didn't... About his denominational brothers, them scoffers standing there too, you know... Oh, yes. They was standing there saying, scoffing, and making fun, and saying (his brothers you know) and tell... "Aw, you--you--you're just naughty." That didn't move him a bit. "You want to be different from somebody else; you just want to show off."
If that'd been showing off, it'd been so. But they only looked at the intellectual side. David knowed the anointing oil was on him. Amen. Didn't make any difference to him. He said, "That Philistine will be like the bear and lion, so here I come." He predicted it before it happened. What did he do? He killed the bear; he killed the lion. He knocked the lion down. What with? With the--with a slingshot, and took a knife, and then the bear--lion, he killed the lion with the knife. That's the same thing he done to Goliath. He knocked him down with a rock, and pulled up his sword, and cut his own head off right there before... What did he predict before it happened? "And you will be as they are." Why? He spoke the word that it would be, and then went forward to make it be fulfilled. Amen. Oh, brother. He spake and took over the situation that day.
45-2 If there ever was a time that man should speak, it's now. (Closing just the next few minutes if you can just bear just a few minutes longer. I got some more things wrote down here, some Scriptures I want to get to.)
Peter never cried when he found a man that had faith enough to be healed, laying at the gate called Beautiful. He never got down and had an all night's prayer, and or all day's prayer, or a big long prayer, and said, "Lord, I pray, You now, that You'll help this poor lame man. I see that he's got faith. I know he's a believer, and I've asked him, and he--he--I--I--I... He said he had faith; he'd believe what I told him. I told him about the--what You did, and I just think now, Lord, that--that it... You... Can You give me a THUS SAITH THE LORD for him?"
No, he knew that he was anointed apostle. He knowed that Jesus Christ commissioned him: "Heal the sick; raise the dead; cleanse the lepers; cast out devils; freely as you receive, freely give." He said, "Peter, go do that." He didn't have to pray through; he was commissioned.
45-5 What did he say? He said, "In the Name of Jesus Christ..." He spoke the Name of Jesus Christ, and the man just laid there. He picked him up by the hand and said, "Stand up on your feet." He held him there till his ankle bones got strength, and he started to walking.
Why? He never had an all night's prayer meeting. He never cried out to God. He knew positive from the lips of Jesus Christ he was anointed for this work. And he spake and raised him up for he knowed he was anointed apostle for the purpose.
The people that laid in his shadow never said, "Oh, come, Apostle Peter, and cry over us and pray the prayer of faith for us to God." No, no, they never said that. They knew he was anointed and a-vindicated apostle of God. So they said, "Just let us lay in his shadow. You don't have to say a word. We know it; we believe it." Life was in them... The apostle couldn't get to them all and they themselves, they are a part of it.
46-3 Moses said, "It's just not me going; we're all going. We all got something to do. We've all got to be anointed." And they seen that apostle stand there, and seen him heal the sick man, and do the things he did, they knowed he couldn't get to them, so they never said, "Peter, come and--and offer prayer and wait now until you got THUS SAITH THE LORD and come tell me (See?), what the Lord said." They said, "If we can only lay in his shadow, because the very God that was in Jesus Christ is in him, and we see the same thing doing." So they touched the border of Jesus' garment and laid in his shadow, and Jesus was in this man. If that shadow can reflect upon them, they'd be healed. And the Bible said every one of them was healed. No all night prayer meetings. Said, "Lord, if I go lay in the shadows of this apostle..." Oh, no, they knew it. The Light had struck them. Their hearts was full; their faith was let loose. Amen. They believed it; they seen it. Paul's hankies, the same way. (Now, in closing.)
46-4 Jesus never cried when they brought the maniac boy to Him that had epilepsy, falling into the fire. He never said, "Father, I'm Your Son, and now You sent Me here to do so-and-so and-so; can I heal this boy?" He never said... He said, "Come out of him, Satan." He spoke and the boy was made well.
When He met Legion with two thousand devils in him, it wasn't Jesus a-crying; it was the devils a-crying. "If you're going to cast us out (Oh, my.), suffer us to go in that herd of swine."
Jesus never said, "Now, Father, am I able to do this?" He said, "Come out of him," and the devils took their flight. Sure, He knowed He was Messiah.
47-2 At the grave of Lazarus (he'd been dead four days). They said, "If You would've been here, Lord, he would've not have died."
He said, "I am the Resurrection and Life," not where, when, or how. "He that believeth in Me though he were dead, yet shall he live." Amen. He knowed Who He was. He knowed what He was. He knowed that He was Emmanuel. He knowed He was the Resurrection. He knowed He was Life. He knowed that in Him dwelt the Fullness of the Godhead bodily. He seen them little people there, and He seen that what God had told Him, said to do and there He was; He went down there.
He never said, "Now, wait, I will kneel down here and all of you kneel down, pray." He said, "You believe that I'm able to do this?" Amen. He asked for it. It wasn't Him; it was them.
"Yea, Lord, I believe that You're the Son of God that was to come in the world." Oh, my. There He is identified. Something's got to happen.
"Lazarus, come forth." He spoke, and a dead man come forth. Not, can I? He just spoke. When the faith was met, the thing happened.
47-6 He speaks--He spoke and the blind saw; the lame walked; the deaf heard; devils screamed and come out; the dead was raised up; everything. Why? He didn't pray through; He was anointed the Messiah. He was that Messiah. He knew He was. He knew His position; He knowed what He was sent to do. He knowed that the Father had identified Him to be the Messiah to the believer; and when he met that believer with faith, He just spoke the Word. Devils scattered. Yes, sir. Speak; don't cry, speak. Amen.
And He knew His God-given rights, but we don't. He knew what He was; we don't.
Moses had forgot. Samson understood. Others understood. Joshua understood. Moses forgot. God had to call his attention to it. He said, "Why are you crying to Me? I sent you to do the job; speak, and go on to your objective. I told you you'd come to this mountain; take them children and lead them on. Just speak; I don't care what's in your way; move it out of the way. I give you authority to do it. I spoke; you spoke flies and fleas, and creation and things like that. Now, what are you hollering to Me about? Why are you coming to Me, hollering these things? Just speak and watch it move; that's all." Oh, my. Oh, how I love it.
48-1 Here Jesus, everything that He said, He just spoke the Word, and it was so. God properly had a-vindicated Him to be His Son. "This is My beloved Son, in whom I'm well pleased. Hear ye Him."
Watch Him. (I like this) How bravely, how majestically He stood before His critics. Amen. He said, "Destroy this temple, and I'll pray to the Father, and see what He does about it." " Destroy this temple, and I'll raise it up again." Not: "I hope to; I'm going to try to--I will do it." Why? The Scripture said so.
The same Scripture that said He'd raise up His body, give us the authority, the power. Amen. "In My Name they shall cast out devils; they'll speak with new tongues; if they take up serpents or drink deadly things; it won't harm them. If they lay their hands on the sick, they shall recover."
"Why cry unto Me? Speak and go forward." Oh, bravely, "I... Destroy this temple, I'll raise it up again."
48-3 Oh, and remember now (we're closing) it was that same He; it was He that said in John 14:12: "He that believeth on Me, the works that I do, shall he do also." Is that right? It was He that said so. It was Jesus in Mark 11:24 that said, "If you say to this mountain (not 'if you pray to this mountain')--if you say to this mountain 'Be moved,' and don't doubt in your heart, but believe that what you said will come to pass, you can have what you've said." Now, you--if you say it just presumptuously, it won't happen; but if something in you--that's you're--you're anointed for the job, and will know that it's the will of God to do it, and will say it, it's got to happen. "If ye..." It was He that said this: "If ye abide in Me and My Words abide in you, ask what you will, and it shall be done to you." Oh, my. Oh, my. You see what I mean?
49-1 Pardon this, but it's just coming up in me. I've got to say it. It was He that said that day up there on the side that woods, "You have no game," and He created three squirrels standing there before us. What is it? Just speaking the word, say they'll be there, and there, and there, and there they was. It was He that did that. Charlie, Rodney, it was He down there in Kentucky. Nellie, Margie, and the rest of you, it was He, that same God that was back there and spoke to Moses, said, "Why do you cry to Me? Speak the word." It was He that brought them into existence. It's He. It's Him. Oh, my.
It was He that give the vision about a year ago that said we would go over there, and these Seven Seals and how they would be a great thunder that would start it off, and it'd be in the shape of the pyramid. And there the "Look" mag--the "Life" magazine's packed it--hanging on the wall there. It was He that said that.
49-3 It was He that night when I was going down that road and seen that big mamba snake about to get my brother. He said, "You've been given the power to bind him or any of the rest of them."
It was He that said that. To my little gray headed wife setting back there, it was He that morning that woke me up there in the room and standing in the corner said, "Don't fear to do anything, or go anywhere, or say anything, for the never failing Presence of Jesus Christ is with you wherever you go."
It was He up yonder in Sabino Canyon about three months ago when I was praying, wondering what was going to happen, and I was standing there and a sword dropped in my hand, and said, "This is The King's Sword." It was He.
It was He that said to me, "As I was with Moses, so I'll send you."
49-6 It was He that said to me thirty years ago down on the river yonder as a little boy, standing there as a little preacher on the river thirty years ago, standing there when that Light and same Pillar of Fire come down from the heavens and stood there and said, "As I sent John the Baptist to forerun the first coming of Christ, your Message shall forerun the second coming," to all the world. How could it be when my own pastor laughed and made fun of it? But it's happened just exactly that way. It was He that said it. Yes, sir.
Oh, how it was He that said in prophecy to the vision, "It shall come to pass." It was He that said, "If one among you prophesies or sees a vision and tells it, and it comes to pass, then remember it's not him; it's Me. I am with him." Oh, my. What could I go on and say, it's He, it's He, it's He.
50-2 It's He that come down... When I told them that there was the Pillar of Fire that was down there on the river, and they couldn't believe it. It was He down there amongst, when that Baptist preacher before thirty thousand people that night in the Sam Houston Coliseum when that Angel of the Lord had His picture taken standing there. It was He, the same yesterday, today and forever. It was He that foretold where these things would be. It was He that said this. It was He that done these things. He's the same yesterday, today, and forever. He's done everything just exactly like He said He would do it. Amen.
Why should I wait? God's a-vindicated the Word. It's the Truth. Let's journey. Let's walk. Let's go on the walk of the Lord, laying aside all doubts, all sins. Clean up the house; scrub it up. As Junior Jackson's vision said, there wasn't nothing left but lamps--or his dream (if he's setting here). Nothing left but lamps, and they had gold bands around them--in the dream that he give me the other night. Oh, my.
50-4 Brother Collins, don't worry about that fish. It was white; you just didn't know how to handle it. Lay aside everything else contrary to it. Remember this is truth regardless of how fanatically it seems, and everything else sometimes. Move right on.
It's the Holy Spirit, the same God that raised up Jesus Christ from the dead. The same One that can speak things into existence, the same One that lived in the days of Moses is the same today. His call in this last day, He's a-vindicated, "As it was in the days of Sodom, so shall it be in the coming of the Son of man." He's done... There's Sodom down there. There's a Billy Graham and an Oral Roberts out there, and the church is moving on by the same signs that He promised both places, and there they are. It's He that said it. Oh, Lord, give me courage, is my prayer. Help me, oh, Lord God. I have to quit here. It's getting late.
51-1 "Why cry to Me? Why are you crying to Me when I proved to be with you? Haven't I healed your sick," He'd say? "Haven't I told you things that's happened just exactly? Your pastor can't do that; Me. He can't. He's a man. It's Me, the Lord," that He would say. "I'm the One that did it. I'm the One that tells him these things to say. It's not him; It's My Voice. I'm the One that raises up your dead when they drop down. I'm the One that heals the sick. I'm the One that foretells these things. I'm the One that does the saving. I'm the One that give the promise."
God, give me courage to take that Sword of the Word that He put in my hand about thirty-three years ago and hold it and march forward to the third pull is my prayer. Let's bow our heads.
51-3 Heavenly Father, the hour's growing late, but the Word is getting precious. As we see it, Lord, time after time, never failing Presence of Christ always meets with us. How I thank You for Your goodness, how You've spared us and been--and blessed us; how we thank You for it.
As I hold these handkerchiefs in my hand, Lord, it's people that has faith that believes this. May every devil, every sickness depart from them people. And I charge every spirit in here that's foul and not of God, every spirit of sickness, all diseases and afflictions, we're not laying in the shadow of man, which would be all right, but we're in the shadow of the Gospel: vindicated Gospel.
As the great Pillar of Fire moves back and forth through this building, the same One that God looked down through, and the Red Sea give up its course, and Israel passed through. But now, as He looks, it's sprinkled with the Blood of His Own Son, when mercy and grace... May we be obedient; may we today quit saying--crying out. May we realize that You've called us for this work. This is the hour. I speak it in the Name of Jesus Christ. Let every sickness depart from this place.
51-6 May every man and woman that calls on the Name of Jesus Christ consecrate their life anew today. I consecrate mine, Lord, upon the altar of prayer. I lay myself down and shame my own self and turn my head towards the ground from where You took me.
Lord God, I'm ashamed of my weakness and my unbelief. Forgive it, Lord; give me courage. Give us all courage. I feel like Moses; we're all on the road out. We don't want to leave one. We want to take everyone, Lord. They're Yours. I claim them for You.
Bless this people today, Lord; grant it. And bless me with them, Father, and Thy Name shall be praised; Thy glory shall be Thine. Give us this eternal faith, Lord, as we consecrate ourselves to Thee now. Me, over this Bible, over this stand, I give You my life, Lord. I'm depending on every promise that You give. I know they will be confirmed. I know they are Truth. Give me courage to speak these words. Give me courage, Lord. Direct me in what I shall do and say. I give myself to You with this church along with it, Lord, in the Name of Jesus Christ. Amen.
52-1 My faith looks up to Thee,
Thou Lamb of Calvary,
Saviour Divine!
Now, hear me while I pray,
Take all my sins away,
O let me from this day
Be wholly Thine!
Now, let's stand real quiet while we hum it. [Brother Branham and congregation hums song--Ed.]
... to Thee,
Thou Lamb... (Let's just raise our hands to Him.)
O Saviour (Consecrate yourselves to God now.)
Now, hear me while I pray,
Take all my doubts away,
O let me from this day,
Be wholly Thine!
52-3 [Congregation repeats after Brother Branham this prayer--Ed.]
Now, together with our hands up: Lord Jesus, I now consecrate myself to Thee, a life of service, more purely, more faith, I cry, that I might be a more acceptable servant in my coming life, than I have been in the life that's passed. Forgive my unbelief and restore to us the faith that was once delivered to the saints. I give myself to Thee in the Name of Jesus Christ. As we bow our heads...
While life's dark maze I tread,
And grief around me spread,
Be Thou my Guide;
Bid darkness turn to day,
Wash all my fears away,
Nor let me ever stray
From Thee aside.
53-1 As we bow our heads now... You feel like that the morning message has done you good, give you courage? If you would, just raise your hands to God saying, "God, I thank You." I got both my hands up because up I just feel so that it's--it's helped me; it's give me courage.
Some things I said, I didn't think I was going to say it, but it's already said. It's a rebuke to me. I found myself in a--in the way not that I thought I did, but I found myself guilty of crying out all the time instead of speaking. God, help me from this hour on that I'll be a more consecrated servant. Not only me I pray for, I pray for you also, that together as a Body of Christ, called out from the world, making ready for the promised land, that God will give me courage to speak the way--make the way clear that you won't miss the trail. I'll tell you by the grace of God. I'll follow the bloody footprints of Him Who went on before us, and...
This consecrated cross I'll bear,
Till death shall set me free.
And then go home a crown to wear,
There's a crown for me.
We give this to Thee, Father, our consecration, in the Name of Jesus Christ, Thy Son. Amen.
53-3 How we thank the Lord for this; walk a consecrated life. Give yourself over to sweetness, humility, walk in the Spirit, walk, talk, dress, act like Christians, humble and sweet; don't let this fail now. The voice of God speaks through the Word, speaks through gifts. As one gift comes, another expresses it. Another gift comes and expresses the same thing. See? That's sure right with the Word and right with the hour. God is with us. How we thank Him for it.
Now, if our... With our heads bowed, if our sister would give us a chord on...
Take the Name of Jesus with you,
As a shield from every snare;
And when temptations 'round you gather,
Just breathe that holy Name in prayer.
Just--just do that; speak the Word. Speak His Name. Let's sing now as we--as we being dismissed:
Take the Name of Jesus with you,
As a...?... and of woe;
It will joy and comfort give you,
O take it everywhere you go.
Precious name... (Now, let's shake one another's hands and say, "I'll pray for you, brother; you pray for me.")
Hope of earth and joy of heaven;
Precious name, (Precious Name) O how sweet!
Hope of earth and joy of...
Now, with our heads bowed, let's sing this next verse.
Take the Name of Jesus with you,
As a shield from every snare;
When temptations 'round you gather,
Breathe that holy name in prayer.
Precious... (Precious name)... (O how sweet!)
Hope of earth and joy of heaven;
Precious name, O how sweet!
Hope of earth and joy of heaven.
54-4 With our heads bowed now and our hearts with it, with the realization that Jesus said, "He that heareth My Words and believeth on Him that sent Me, has Everlasting Life and shall not come up in the judgment, but has passed from death unto Life..." knowing that we, by the grace of God possess that within our bosom, with a consecration to Him this morning that our lives shall change from this day on, that we'll be more positive in our thinking. We will try to live in such sweetness and humility, that believing in what we ask God, God will give it to each other. And we will not speak evil against each other or no man. We shall pray for our enemies and love them, do good to them that do bad to us. God is the Judge of who's right and wrong. With the... On the basis of this, and our heads bowed, I'm going to ask our good friend, Brother Lee Vayle, if he will dismiss the audience in a word of prayer: Brother Vayle. [Brother Vayle prays--Ed.]