Les Douleurs De L’Enfantement

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Date: 65-0124 | La durée est de: 1 heure et 45 minutes | La traduction: VGR
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1 Courbons la tête.

2 Dieu bien-aimé, nous sommes très reconnaissants aujourd’hui, de la grande effusion de Ta Présence, qui est déjà parmi nous. Nous nous attendons à l’infinie abondance de ceci, cet après-midi. Nous Te remercions pour ce chant merveilleux de cette brave Chrétienne qui vient de chanter ce cantique; et pour Ton Esprit, qui est descendu, ainsi que pour l’interprétation de cela. Seigneur, qu’il en soit ainsi, nous T’en prions. Et, ô Dieu, je Te prie de bénir chacun de nous sans exception, et puissent nos coeurs être remplis de joie alors que nous verrons ceci se produire.

3 Dieu bien-aimé, nous prions, cet après-midi, s’il y en avait ici qui ne soient pas prêts à Te rencontrer, que cette heure soit celle où ils prendront cette décision finale, et où ils entreront en Toi par la nouvelle Naissance. Accorde-le.

4 Bénis-nous tous, Seigneur, nous qui sommes depuis longtemps sur le chemin. Nous Te prions de nous enseigner des choses nouvelles, par Ta Parole. Donne-nous de mieux comprendre, par Ton Esprit, Seigneur. Puisse-t-Il venir interpréter la Parole. Le seul interprète que nous avons, c’est l’Esprit. Nous Le prions de nous accorder cela aujourd’hui. Nous demandons ceci au Nom de Jésus. Amen.
[Une soeur se met à prophétiser. Espace non enregistré sur la bande.–N.D.É.]

5 Cela nous suffit. [Un frère parle à un autre frère.–N.D.É.] Quel moment! Je ne connais pas de lieu où on serait mieux, si ce n’est au Ciel, car c’est l’onction de Cela que nous sentons en ce moment, voyez-vous, assis ensemble dans les lieux Célestes, en Jésus-Christ, rassemblés dans les lieux Célestes.

6 Que Dieu bénisse Soeur Florence! Elle traverse un temps de chagrin et d’ombres; son père qui vient d’être emporté. Et je–je prie : “Ô Dieu, bénis cette enfant.”

7 Et Frère Démos, qui porte le fardeau sur ses deux épaules, et le poids de toutes ces conventions et tout. Lui aussi a besoin de nos prières. Que Dieu bénisse Frère Shakarian!

8 Frère Carl Williams, je suis vraiment heureux d’être ici, dans cette convention, avec vous, parmi tous ces braves frères. Et j’ai eu le privilège d’en rencontrer quelques-uns. Et maintenant, pour autant que je sache, ceci sera pour moi la dernière partie du service; alors, maintenant, eh bien, je compte pouvoir serrer la main de quelques-uns de ces braves hommes, et–et avoir l’occasion de faire leur connaissance, car je compte passer l’Éternité avec eux, dans un–dans un Pays meilleur.

9 Juste une–une petite chose, j’espère que je ne serai pas mal compris. Et ce n’était pas une coïncidence, je ne le pense pas, car je–je pense que c’était providentiel. C’est qu’hier, un ami, ici, m’a remis un cadeau de la part d’un de mes amis, Danny Henry. Celui-ci était le jeune homme... Un jour, à la convention des Hommes d’Affaires Chrétiens, en Californie, je tenais une–une réunion. Je parlais très énergiquement contre la–la situation actuelle.

10 Et je–j’espère que tout le monde comprend que ce n’est pas que j’aie quoi que ce soit de mauvais dans mon coeur. Ce n’est pas ça. Non. Vous comprenez sûrement que je ne le dis pas dans cette intention. Mais je dois simplement dire ce qui me vient à l’esprit de dire.

11 Et alors, après ça, ce jeune homme, un frère baptiste... Et je pense qu’il a un lien de parenté avec une vedette de cinéma. Il est venu passer son bras autour de mes épaules, dire : “Que le Seigneur vous bénisse, Frère Branham. Je voudrais seulement prononcer un mot de prière.” Et il s’est mis à parler en français. Et ce jeune homme ne connaît pas un seul mot de français.

12 Et quelqu’un s’est levé, une femme assez corpulente. De... je crois qu’elle était de la Louisiane. Elle a dit : “C’est du français.”
Ensuite il y avait là un homme, qui a dit : “C’est du français.”

13 Et ils avaient écrit ce que c’était. J’ai la copie originale ici. Et puis, il s’est trouvé qu’un jeune homme qui était au fond s’est avancé, il voulait voir leurs notes. Lui, il était interprète pour le français, à l’O.N.U. “C’est tout à fait du français.”

14 Et je voudrais lire cette note. C’est la note originale de l’un d’eux, celle de cet homme qui avait interprété, – je ne serai peut-être pas capable de mentionner son nom comme il faut, – Le Doux, Victor Le Doux, c’est un Français de race pure. Maintenant, voici le message : Parce que tu as choisi le sentier étroit, le chemin plus difficile; tu y as marché de ton propre choix. Tu as pris la décision correcte et exacte, et c’est Mon Chemin. À cause de cette décision capitale, une vaste portion du Ciel t’attend. Quelle décision glorieuse tu as prise! Cette chose en soi est ce qui produira et fera s’accomplir la victoire formidable dans l’Amour Divin.

15 Quand j’ai eu ça... Vous savez, les premières fois que j’ai entendu des gens parler en langues, je–je ne me serais pas permis de critiquer quoi que ce soit, voyez-vous, parce que j’en ai vu d’authentiques. Par contre, je me posais toujours des questions. Mais quand ça, c’est arrivé, et comme je savais quelle était la commission qui s’y rattachait, je–j’ai su que c’était venu de Dieu.

16 Et puis, son frère, qui est assis ici, un–un avocat très célèbre, m’a remis un cadeau de la part de Danny. Danny revient de la Terre Sainte. Il s’était allongé sur le sépulcre, ou plutôt dans le sépulcre où Jésus avait été déposé après Sa mort, et, à ce moment-là, il a dit qu’il s’est mis à penser à moi. Et–et l’Esprit du Seigneur est descendu sur lui; il est monté au Calvaire, là où la crucifixion avait eu lieu, et il a détaché un morceau du rocher. Il est revenu, et il m’en a fait une paire de boutons de manchette. Et je les aime vraiment beaucoup.

17 Or ceci, évidemment, Danny ne le sait pas. Mais, ce matin, pendant que j’étais en prière, j’ai simplement baissé les yeux vers ces boutons de manchette; et chacun d’eux, si vous remarquez, est taché de sang, et aussi, il y a une ligne droite qui traverse chacun, d’un bout à l’autre. Et voici, dans le message qu’il avait donné de la part de Dieu : le chemin étroit et resserré. Comme ça cadrait parfaitement bien! J’ai pensé que c’était peut-être, en quelque sorte, providentiel, ou, et je remercie vraiment Danny. Dites-lui, frère, combien j’apprécie. Et la chose étran-... Une autre chose étrange : j’ai demandé à ma femme, le matin où j’ai mis une chemise qui s’attachait avec des boutons de manchette, et elle a dit : “J’ai oublié d’apporter tes boutons de manchette”, donc, le Seigneur en avait pourvu pour moi.

18 Oh, c’est une vie glorieuse! N’est-ce pas, frères? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Simplement de marcher dans la simplicité de–de l’Évangile! Et pourtant, dans Sa simplicité, C’est la plus grande chose que je connaisse. Je n’Y connais encore rien. Et, comme Cela a été fait comme ça, simple, alors j’ai eu la possibilité d’Y entrer, voyez-vous, aussi, par la grâce de Dieu.

19 Maintenant, cet après-midi, je ne voudrais pas prendre beaucoup de temps, parce que je sais que, ce soir, vous irez à l’église. Je pense que vous tous, les visiteurs, ici, vous devriez regarder sur l’estrade, voir ces ministres, et ils, oh, ils seront contents de vous recevoir chez eux, au culte de ce soir. Ça vous fera du bien de les écouter. Sans doute que ce matin vous êtes allés à une école du dimanche de la ville. Et pendant ces conventions, étant donné que ce sont celles des Hommes d’Affaires du Plein Évangile, je pense que nous devrions donner tout le soutien possible à nos églises, puisque c’est là que vont nos hommes d’affaires. Et puis, c’est une maison de Dieu, alors j’espère que vous vous rendrez à une église ce soir.

20 Demain soir, je crois, c’est la clôture de la convention, et je suppose qu’ils ont déjà annoncé qui sera le prédicateur. Et j’ai l’intention d’être ici, si le Seigneur le veut, pour écouter son message.
Que Dieu bénisse chacun de vous sans exception.

21 Maintenant, moi, je ne prétends pas être un prédicateur. Je suis–je suis plutôt... je n’ai pas assez d’instruction pour me dire prédicateur. Prédicateur, quand vous dites ça, on s’attend à ce que vous ayez deux ou trois diplômes universitaires. Et–et moi, je n’ai rien d’autre que Ceci, cette petite fronde. Voyez? J’essaie de venir à la rescousse des brebis malades, si je le peux, pour les ramener au pâturage du Père.

22 Si je commets des erreurs, pardonnez-moi. Je ne suis pas un théologien. Je ne critique pas les théologiens. La théolo-... La théologie, c’est bien. Il nous en faut. Mais quelquefois je critique l’état dans lequel nous nous sommes retrouvés. Ça ne vise pas un individu en particulier. C’est seulement le Message. Je–j’aurais bien voulu que ce ne soit pas à moi de L’apporter. Ça me fend le coeur; en effet, vous savez ce que vous ressentez, quand il s’agit de vos propres enfants. Voyez? Mais, est-ce que vous ne détestez pas devoir gronder un enfant, le reprendre sévèrement, ou quelque chose comme ça? Moi aussi, je suis un parent, je sais ce que ça veut dire. Et je–j’ai confiance que vous me pardonnerez.

23 Et je voudrais que vous fassiez comme ceci. Alors que vous êtes assis, cet après-midi, je vais vous demander un service. J’ai simplement noté quelques petits points ici. Comme je vous l’ai dit, je suis obligé de le faire, de mettre mes passages de l’Écriture par écrit. Autrefois, je pouvais citer la Bible presque par coeur, mais plus maintenant. J’ai vécu trop de durs combats, je suis trop vieux pour ça. Mais j’ai confiance que–que vous allez m’écouter pendant un petit moment, cet après-midi, et vraiment ouvrir vos coeurs et essayer de comprendre le but que je poursuis. Alors je pense que ça ira mieux; en particulier les pasteurs de cette ville et de différents endroits, je–j’ai confiance que vous allez écouter très attentivement.

24 Alors, faites ça, et en le faisant, faites comme moi, quand je mange ma tarte préférée, la tarte aux cerises; l’une de mes viandes préférées, le poulet. Mais quand je mange un beau morceau de tarte aux cerises, et que mes dents s’arrêtent sur un noyau, je ne laisse pas tomber la tarte. Je jette simplement le noyau, et je continue à manger la tarte. Voyez? Quand mes dents s’arrêtent sur un os de poulet, je ne jette pas le poulet. Je ne jette que l’os.

25 Et alors, si, à un moment donné, je disais quelque chose sur lequel vous ne seriez pas d’accord? Ne jetez que cette partie-là. Et, mais regardez-y de près, là, assurez-vous bien que c’est un os. Voyez? [L’assemblée rit.–N.D.É.] Et puis, permettez-moi aussi de dire ceci : si c’est un noyau, souvenez-vous, la Semence, c’est Elle qui produit la nouvelle Vie. Donc regardez-y de très près, et que le Seigneur ajoute Sa bénédiction.

26 L’autre soir, Frère Carl Williams a dit quelque chose au sujet de prier pour les malades en toute liberté, ce qui serait très bien. Je sais que ce serait bien. Mais seulement nous... ici, nous ne sommes pas bien installés pour ça, pour former une ligne de prière. Et je ne sais pas si Frère Oral, ou si un des autres frères a déjà fait des lignes de prière dans les conventions ou pas. Je ne sais pas. J’ai essayé ça, deux ou trois fois. Mais, d’habitude, dans une foule comme celle-ci, il faut distribuer des cartes de prière, voyez-vous, pour faire ça. En effet, on ne peut pas. Ce lieu n’est pas un stade. C’est une maison de Dieu. Voyez? Il a été consacré pour ça. Et nous... Les gens se bousculent et se poussent. Si on a des cartes, on les aligne, en ordre.

27 Alors, Billy m’a demandé, il a dit : “Veux-tu que j’aille distribuer des cartes? Les gens me demandent des cartes de prière.”

28 J’ai dit : “Non, Billy. Laissons simplement le Saint-Esprit faire ce qu’Il veut.” Voyez? Alors, voyez-vous, laissons-Le peut-être faire grandir la foi, et que vous soyez simplement guéris là où vous êtes. Voyez? Mais... Voyez?

29 La guérison Divine est secondaire, dans l’Évangile. Et on ne peut jamais accorder une importance primordiale à quelque chose qui est secondaire. Tout le monde sait ça. Mais ils... C’est un appât qui sert à amener les gens à croire à la Présence surnaturelle, ou, que Dieu, que le Surnaturel est présent. Et alors, par ça, s’ils peuvent reconnaître Sa Présence, alors ils sont guéris, voyez-vous, par la foi, en Y croyant.

30 Maintenant, je veux lire un passage dans la Parole de Dieu, dans le Nouveau Testament. Et alors, je veux tirer un texte de ce Nouveau Testament, et de ce passage de l’Écriture, et parler cet après-midi sur un sujet, pendant un–un petit moment seulement. Je ne voudrais pas vous retenir trop longtemps, à cause des services de ce soir. Mais, souvenez-vous, j’espère que je me suis bien fait comprendre. Accordez-y simplement votre attention pendant un instant, si vous le voulez bien.
Maintenant, avant de le faire, courbons encore la tête.

31 Vous savez, nous pourrions trop chanter. Nous pourrions trop crier, au point de nous enrouer. Et nous pourrions chanter au moment où il ne faut pas, ou crier au moment où il ne faut pas. Mais voici une chose que nous pouvons faire, qui n’est jamais déplacée, c’est quand nous prions. “Je veux que les hommes prient en tout lieu, en élevant des mains pures, sans douter.” Ou...

32 Père, le plus grand privilège qu’un mortel ait jamais eu, c’est de fermer les yeux, d’ouvrir son coeur, et de Te parler. Et nous savons que Tu écoutes; pourvu que nous puissions croire que Tu écoutes. En effet, Jésus a dit : “Si vous demandez quoi que ce soit au Père en Mon Nom, ce sera accordé.” C’était à condition que nous n’en doutions pas. Alors, Père, aide-nous à croire, cet après-midi, que nos demandes seront accordées. Et qu’il n’y ait pas la moindre ombre de doute, nulle part. Mais que se réalisent ces choses que nous demandons. C’est-à-dire ceci, ô Dieu : que Ton grand Nom soit honoré aujourd’hui, en faisant entrer dans Ton Royaume chaque âme perdue et errante qui écoute le son de notre voix, ou à qui parviendra cette bande, dans les contrées païennes, là où elles vont, partout dans le monde.

33 Je prie, Père Céleste, qu’il n’y ait pas une seule personne faible parmi nous aujourd’hui. À la fin du service, puisse l’Éternel Dieu sauver chaque âme perdue, guérir chaque corps malade, et remplir de joie le coeur de Ses enfants. Voici pourquoi nous avons la foi, Seigneur, pour demander au Nom de Jésus, à Dieu notre Père, c’est parce qu’Il a promis qu’Il écouterait. Et ceci, c’est pour Sa gloire. Amen.

34 C’est dans l’Évangile de Jean, au chapitre 17, et à partir du verset 20, que j’aimerais lire un–un texte. Je pense que c’est bien ça. Ce n’est pas pour eux seulement que je prie, mais encore pour ceux qui croiront en moi par leurs paroles, Afin que...

35 Je crois que je n’ai pas le bon endroit. Bon, excusez-moi un petit instant. Je cherche la prière de Jésus, là où... Ou plutôt, non pas la prière de Jésus, mais là où Il... Il se peut que j’aie fait une faute quand j’ai noté ça, ici, dans mon texte. Il s’agit du passage où Jésus a prié que... ou du passage où Il disait que, comme une femme qui éprouve les douleurs de l’enfantement, de la naissance de son enfant, l’accouchement.

36 Est-ce que c’est dans Luc ou dans Jean? Jack, c’est dans lequel? [Quelqu’un dit : “Jean 16.”–N.D.É.] Jean, chapitre 16. Je pensais bien que c’était ça, mais ça n’y ressemblait pas beaucoup. Jean, chapitre 16. [“Au verset 21.”] Le verset 21. [Quelqu’un d’autre dit : “Oui.”] Bien sûr, au verset 21. Bien sûr. Nous y voilà. Jean, Jean 16.21. Afin qu’ils soient...

37 Non, Frère Jack, ce n’est toujours pas le bon. [Quelqu’un dit : “Essayez Jean, verset 21.” Quelqu’un d’autre dit : “21.” Quelqu’un d’autre dit : “Le verset 21 du chapitre 16.” Quelqu’un d’autre dit : “16.”–N.D.É.] C’est vingt-... 16.21. J’ai le chapitre 16 de Jean, au verset 21. Mais ce... Est-ce que je me trompe? [Un frère dit : “Je vais vous passer ça, le passage où ça se trouve.”]

38 Eh bien, il y a un méli-mélo dans cette, un mélange dans cette Bible. Oui monsieur. [Un frère dit : “On–on l’a mal imprimée.”–N.D.É.] On l’a mal imprimée. Oui monsieur. [L’assemblée rit.] Vous savez quoi? C’est tout à fait la vérité. C’est une Bible toute neuve. Je viens de la recevoir. Et elle a–elle a... Elle est mal imprimée. [Les pages mille cent trente-huit et mille cent trente-neuf de la Bible Scofield de Frère Branham étaient collées. Reportez-vous au Message Aujourd’hui cette Écriture est accomplie, 65--021 9.]

39 [Un archevêque catholique qui se trouve sur l’estrade, le révérend Jean S. Stanley, s’avance pour remettre sa Bible à Frère Branham, et il dit : “Prenez–prenez le temps de respirer. Il y a une raison pour laquelle c’est arrivé, et vous le savez. Dieu va vous montrer quelque chose en rapport avec ceci, quelque chose de merveilleux.”–N.D.É.] Très bien. [“Vous n’avez qu’à utiliser la mienne, frère.”] Merci. Merci beaucoup. 16.21. Merci beaucoup. C’est vrai. La femme, lorsqu’elle... En vérité, en vérité, je vous le dis, vous dormirez, pleurerez et vous vous lamenterez, et le monde se réjouira; vous serez dans la tristesse,... votre tristesse se changera en joie. La femme, lorsqu’elle enfante–enfante, éprouve de la tristesse, parce que son heure vient; mais, lorsqu’elle a donné le jour à l’enfant, elle ne se souvient plus de la souffrance–souffrance, à cause de la joie qu’elle a de ce qu’un homme est né dans le monde.

40 Merci beaucoup, mon frère. J’apprécie, vraiment. [Frère Branham remet la Bible au prêtre catholique.–N.D.É.]

41 Or, ça c’est certainement une faute d’impression dans cette Bible; la page y a été mal placée. J’avais simplement trouvé le passage dans ma vieille Bible Scofield, puis j’ai emporté celle-ci et je suis venu ici en vitesse, il y a quelques instants seulement; c’est que ma femme me l’a donnée comme cadeau de Noël.

42 Maintenant, je voudrais–voudrais parler, cet après-midi, sur un sujet que j’ai annoncé : Les douleurs de l’enfantement. Or ça sonne très mal, ça, mais c’est dans la Bible.

43 Je crois que ce de quoi Jésus parlait ici, quand Il a dit : “Vous serez dans la tristesse, mais votre tristesse se changera en joie”, Il parlait à Ses disciples, ici, en sachant que la naissance du–du Christianisme commençait à se faire jour. Et alors, il faut que l’ancien meure, afin que le nouveau naisse. Il faut que tout ce qui donne naissance éprouve les douleurs de la détresse. Et ils allaient certainement ressentir la douleur de la détresse et de l’angoisse, pour passer de la loi à la grâce.

44 La naissance naturelle normale est le type de la naissance spirituelle. Toutes les choses naturelles sont des types des choses spirituelles. Et nous constatons, si nous regardons ici sur–sur le sol, et que nous voyons un arbre qui pousse sur la terre : il lutte pour rester en vie. Ça prouve qu’il y a quelque part un arbre qui ne meurt pas, parce qu’il–qu’il réclame quelque chose.

45 Nous constatons que les gens, peu importe combien ils sont âgés, combien ils sont malades, quel que soit leur état, ils réclament la vie à grands cris; en effet, ça prouve qu’il y a une vie quelque part, où nous vivons, vivons pour toujours. Remarquez comme c’est parfait.

46 Maintenant, je crois que c’est dans I Jean 5.7, si je ne me trompe pas, qu’il est dit : “Il y en a trois qui rendent témoignage dans le Ciel : le Père, la Parole et le Saint-Esprit; ces trois-là sont Un. Il y en a trois qui rendent témoignage sur la terre, ce sont l’eau, le Sang et l’Esprit, et ils sont d’accord.” Maintenant, remarquez. Les trois premiers sont Un. Les trois derniers sont terrestres, et ils sont d’accord. Vous ne pouvez pas avoir le Père sans le Fils; vous ne pouvez pas avoir le Fils sans avoir le Saint-Esprit. Mais vous pouvez avoir l’eau sans le Sang, et le Sang sans l’Esprit.

47 Je pense que tout au long de nos âges, la vérité de ceci a été démontrée; l’eau, le Sang, l’Esprit; la justification, la sanctification, le baptême du Saint-Esprit. Ça, c’est le type, ou ça constitue... ou, c’est un antitype, qui se dégage de la naissance naturelle.

48 Regardez, quand une–une femme, ou quoi que ce soit éprouve les douleurs de l’enfantement. La première chose qui arrive, c’est la rupture de la poche des eaux, dans une naissance normale; la deuxième chose, c’est le sang; puis vient la vie. L’eau, le sang, l’esprit; et c’est ce qui constitue la naissance naturelle normale.

49 Et c’est pareil dans le domaine spirituel. Il y a l’eau : la justification par la foi, en croyant en Dieu, en Le recevant comme votre Sauveur personnel, et en vous faisant baptiser. Deuxièmement, il y a la sanctification de l’esprit, alors que Dieu purifie l’esprit de tous les éléments du monde et du désir du monde. Et puis, le Saint-Esprit entre, donne la nouvelle Naissance et remplit ce vase sanctifié.

50 Par exemple, c’est comme ceci. Bon, je vous l’ai dit : Ce que vous ne croyez pas, mettez-le de côté, ensuite prenez la tarte. Remarquez. Maintenant, il y a un–un verre par terre dans la basse-cour. Vous ne faites pas que le ramasser, et ensuite le mettre sur la table et le remplir d’eau ou de lait. Non. Le fait de le ramasser, c’est la justification. Le nettoyer, c’est la sanctification, parce que le mot grec sanctifier est un mot composé, qui veut dire “nettoyé, et mis à part pour le service”. Non pas en service, mais pour le service. Ensuite, quand vous le remplissez, il est mis en service.

51 Maintenant excusez-moi de dire ceci, ce n’est pas dans l’intention de vous blesser. C’est ainsi que vous, les pèlerins de la sainteté, les nazaréens, vous ne continuez pas à avancer jusqu’à la Pentecôte. Vous aviez été purifiés par la sanctification; mais, quand vous avez été sur le point d’être mis en service, par les dons du parler en langues et d’autres choses, vous avez rejeté ça, vous êtes retombés dans l’enclos. Voyez? Or, voilà–voilà ce qui arrive. C’est toujours ce qui arrive.

52 Maintenant, ce n’est pas pour vous critiquer, là, mais c’est que je–je veux me vider le coeur. Je brûle d’en parler depuis que je suis ici, alors autant le faire. Si je peux seulement trouver grâce auprès de Carl, de Démos et des autres, et de vous tous, je–je vais faire de mon mieux pour dégager mon âme de ces choses, voyez-vous, ensuite ce sera à vous de décider.
Le normal, qui est le type du spirituel.

53 Alors, nous voyons que c’est là que la naissance est complète. Quand le bébé, d’habitude... Bon, à la rupture de la poche des eaux, vous n’avez pas besoin de beaucoup intervenir là-dedans. Et quand le sang vient, vous n’avez pas tellement besoin d’intervenir là-dedans. Mais, pour que la vie entre dans le bébé, il faut que vous lui donniez une fessée, que vous le fassiez hurler. Et c’est... Or, étant sans instruction, alors que mes frères ici ont vraiment reçu une très bonne formation là-dedans, eux, mais moi je dois prendre la nature pour typifier ces choses. Alors voilà. C’est ce qui est arrivé. Il a fallu une vraie fessée, pour les amener à recevoir ceci.

54 Alors, vous recevez un petit... un genre de choc. Peut-être qu’on n’aura pas à lui donner une fessée, mais seulement lui donner un petit choc. L’idée même qu’il soit né, parfois, produira cet effet-là. Saisissez-le, secouez-le. S’il ne se met pas à respirer, donnez-lui une petite fessée, et alors il va hurler, en langues inconnues, à lui-même, je suppose. Mais, il–il, en tout cas, il fait un bruit.

55 Et je pense que si un bébé naît mort-né, tout simplement, qu’il n’y a aucun bruit, aucune émotion, ce bébé-là est mort.

56 C’est là le problème de l’église aujourd’hui, du système : nous avons trop d’enfants mort-nés. C’est vrai. Il ont besoin d’une fessée de l’Évangile, voyez-vous, et alors, pour les réveiller, pour les ramener à la raison, afin que Dieu souffle en eux le souffle de Vie. Et maintenant, nous constatons que c’est tellement vrai, ça. C’est de la théologie sans raffinement, mais c’est la Vérité quand même.

57 Alors, remarquez, dans la naissance d’une semence, l’ancienne semence doit mourir avant que la nouvelle puisse naître. Ainsi donc, la mort, c’est toujours quelque chose de difficile. Alors, c’est douloureux. C’est pénible. C’est pareil pour la naissance, parce que vous mettez au monde une vie, et c’est–c’est douloureux.

58 Jésus a dit que Sa Parole était une Semence qu’un semeur était sorti pour semer. Or, ça, nous le savons tous. Et je veux enseigner ceci comme une leçon de l’école du dimanche, parce que c’est dimanche. Remarquez, alors, cette Parole, qui est une semence, mais, souvenez-vous, la–la semence ne produit une nouvelle vie que quand elle meurt.

59 Et c’est pour ça qu’il était si difficile pour les pharisiens de comprendre notre Seigneur Jésus-Christ, c’est parce qu’ils étaient sous la loi. Et la loi, c’était la Parole de Dieu sous forme de semence. Mais, quand la Parole a été faite chair, et qu’Elle est devenue, non pas la loi, mais la grâce. Or, la grâce et la loi ne peuvent pas exister en même temps. C’est que la grâce est tellement supérieure à la loi que la loi n’entre même pas en ligne de compte. Et, donc, c’est tellement difficile pour les pharisiens de mourir à leur loi, pour que la grâce puisse naître. Mais elle doit disparaître. Les deux lois ne peuvent pas exister en même temps.

60 Il ne peut pas y avoir une loi qui dit que vous pouvez traverser au sémaphore, l’autre qui dit que vous pouvez traverser; une qui dit que vous pouvez, l’autre qui dit que vous ne pouvez pas. Ils... il faut qu’il y ait une seule loi à la fois. Peut-être qu’à un moment donné, vous auriez pu traverser : attention, traversez. Mais cette fois, c’est rouge. Stop! Voyez? Donc, deux lois ne peuvent pas exister en même temps.

61 Or, nous remarquons que toujours... Maintenant, la pensée que je veux vous transmettre, c’est qu’il faut la douleur, la détresse, le malaise. Regardez comment ces pharisiens sont morts à la loi, c’est par la douleur, la détresse, le malaise. Mais il faut qu’il en soit ainsi.

62 Or, nous voyons que la pluie, qui fait produire du fruit sur la terre, “elle naît”, comme dit le poète, “dans les champs du tonnerre, dans des cieux effilochés et déchiquetés”. Par contre, si nous n’avions pas le tonnerre et les cieux effilochés et déchiquetés, cette petite goutte de pluie distillée, qui a été élevée des mers et séparée du sel par distillation, elle ne naîtrait pas. Il faut ces éclairs, ces coups de tonnerre, – quelque chose qui est effiloché, raboteux, qui fait peur, – pour produire les doux pétales des gouttes d’eau. Il faut la douleur pour produire la naissance. Il faut la mort. Et c’est au moment où les nuages meurent que la pluie naît, parce que la pluie est une partie du nuage. L’un doit prendre fin pour que l’autre puisse exister.

63 Maintenant, mes frères ici, si certains d’entre eux en avaient la possibilité, ils pourraient vous donner toutes les lois de ces choses. Moi, je ne peux pas.

64 Maintenant, allons voir une autre chose, juste comme petite preuve. Je pense que l’une des plus belles fleurs... Chacun a son avis là-dessus. Mais moi je trouve que la plus belle fleur que j’aie jamais vue, pratiquement, c’est là-bas dans l’est, notre lis d’étang. Combien ont déjà vu un lis d’étang? Oh, à mon avis, il n’y a vraiment rien qui y soit comparable. Mais, avez-vous remarqué ce qu’il a fallu à ce lis d’étang? Je pense à ce que Jésus a dit : “Considérez le lis, comme il travaille et il file; cependant Je vous dis que Salomon, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux.” En effet, la gloire de Salomon et ses vêtements, tout ça c’était artificiel. Mais le lis, dans sa beauté, c’est la vie qui fait sa beauté, et non pas un fard artificiel, une peinture artificielle.

65 C’est comme nos femmes : je ne pense pas que vous soyez obligées d’avoir tout ce vert, vous savez, et de grands cils, vous savez, qui dépassent, comme ça, et toute cette manucure ou–ou, non pas, je confonds ces histoires-là, mais tout ça sur votre visage, pour vous embellir. La beauté se reflète dans les oeuvres. Si vous ajoutez un peu d’Actes 2.4, que vous mélangez tout ça ensemble, avec un peu de Jean 3.16, ça dépassera tout ce que Max Factor a jamais essayé de faire. Voyez? Votre mari vous aimera davantage; tout le monde aussi; et Dieu aussi, j’en suis sûr.

66 “Le lis,” Il a dit, “considérez comment il croît, il travaille, il faut qu’il arrive à monter.” Ce petit lis d’étang, regardez par où il est passé : la saleté, la boue, la vase, les eaux bourbeuses, les eaux sales. Il s’est frayé un chemin à travers tout ça, ce petit germe de vie, qui trime depuis le fond de l’étang, où se trouvent les grenouilles et–et tout ça, et puis il s’élève à travers tout ça. Mais quand il arrive en présence du soleil, il naît. Tout à coup la petite semence s’ouvre, elle prend vie. Elle ne peut pas le faire avant d’avoir suivi tout ce processus. Il lui faut passer par là. C’est ce qui fait d’elle ce qu’elle est, c’est parce que c’est le soleil lui-même qui l’attire. Et quand elle arrive complètement au-dessus de toutes les eaux sales, de la boue, et tout, alors elle est tellement heureuse. Elle partage généreusement sa vie. Et c’est une vie magnifique, une fois qu’elle est arrivée en présence de ce qui l’attire.

67 Je trouve que c’est là un très beau type de la vie chrétienne. Alors que Quelque Chose vous attire hors du monde, jusqu’à ce qu’un jour vous entriez par une Naissance dans la présence même de Cela, par le Saint-Esprit. Comme c’est beau! Si vous essayez de l’aider, vous allez le tuer.

68 C’est comme un poussin, quand il est en train de naître, vous savez, si vous avez déjà observé un de ces petits-là, juste au-dessus de son petit bec, ou n’importe quel oiseau qui éclot à la naissance, il–il a... Cette vieille coquille d’oeuf, elle arrive à maturité. Les vieilles parties de l’intérieur de l’oeuf doivent se–se décomposer. Et il faut qu’il se serve de son petit bec, pour gratter avec un mouvement de va-et-vient jusqu’à ce qu’il casse la coquille. Nous, nous appelons ça “se frayer un passage à coups de bec”, au Kentucky, là d’où je viens. Se frayer un passage à coups de bec. Ils n’ont jamais trouvé un meilleur moyen. Voyez? Voyez? Pourquoi? C’est la voie pourvue par Dieu. Si vous essayez de l’aider, vous le tuerez. Si vous lui enlevez sa coquille, il mourra. Voyez? Il faut qu’il travaille dur, qu’il se démène, qu’il se dégage pour sortir.

69 Voilà comment un Chrétien doit faire. Quelqu’un qui vous serre la main, tout simplement, qui vous fait entrer, ce n’est pas ça. Vous devez rester là, jusqu’à ce que vous mouriez, que vous pourrissiez, et que vous naissiez dans le Royaume de Dieu. C’est la voie pourvue par Dieu. Vous n’y entrez pas par un registre, ni par une poignée de main ou une adhésion, en vous faisant gonfler, ou dégonfler. Vous–vous devez simplement sortir de la vieille coquille, c’est tout. Remarquez, ils n’ont jamais trouvé un meilleur moyen.

70 Ils n’ont pas trouvé un meilleur moyen pour un bébé d’obtenir ce qu’il désire, que la voie pourvue par Dieu pour ça. Or, quand ce petit bébé est né, vous pourriez accrocher une clochette ici, sur le côté de son petit berceau et dire : “Mon petit garçon, je suis un–un théologien, en quelque sorte. J’ai lu des livres sur la manière d’élever un bébé. Et, je vais te dire, tu es un enfant moderne. Tu es né dans une maison moderne, d’un parent moderne. Quand tu as faim, ou que tu as besoin de maman ou de moi, tu n’as qu’à sonner cette clochette.” Ça ne marchera jamais. Le seul moyen pour lui d’obtenir ce qu’il désire, c’est de crier pour l’obtenir. C’est la voie pourvue par Dieu.

71 Et c’est par ce moyen-là que nous obtenons ce que nous désirons, c’est en criant pour l’obtenir. Poussez des cris. N’ayez pas honte. Dites : “J’ai faim de Dieu.” Que les diacres, les pasteurs, ou n’importe qui d’autre soit là, peu importe, hurlez quand même. Les Jones sont assis là; qu’est-ce que ça peut bien changer, ça? Poussez des cris, – c’est le seul moyen de l’obtenir, – jusqu’à ce que vous receviez de l’aide. C’est ce qu’Il a enseigné quand Il était ici-bas, vous savez, au sujet du juge inique.

72 Une petite goutte de rosée, je n’en connais pas la formule. Peut-être qu’il y aurait ici un savant... Je vais juste le dire selon ce que je pense. Ça pourrait être en quelque sorte une quantité d’air comprimé qui s’est condensée pendant une nuit sombre, et elle tombe au sol. Et alors, c’est là qu’elle naît, pendant la nuit. Mais au matin, elle se trouve là, elle a froid et elle frissonne, sur un petit brin d’herbe ou accrochée sur votre corde à linge. Mais une fois que le soleil brille, avez-vous remarqué comme elle devient heureuse? Elle scintille et elle frémit. Pourquoi? Elle sait que c’est la lumière du soleil qui va la ramener là où elle était au commencement.

73 C’est pareil pour tout homme ou toute femme qui sont nés de l’Esprit de Dieu. Il y a quelque chose qui se passe, quand la Lumière se répand sur nous, là, nous sommes heureux, parce que nous savons que nous retournons à l’endroit d’où nous sommes venus : du sein de Dieu.

74 Elle peut briller de joie, quand le soleil la frappe, bien sûr, en sachant qu’elle s’en va à l’endroit d’où elle est venue.

75 Des petites choses rudimentaires, et nous pourrions continuer avec ça, mais voyons quelque chose d’autre.

76 Nous savons que la vieille semence, il faut, avant que la nouvelle semence puisse sortir de la vieille semence, il faut que celle-ci pourrisse, absolument. Non seulement qu’elle meure, mais qu’elle pourrisse après sa mort. Nous savons que c’est bien vrai, ça.

77 C’est la même chose dans la nouvelle Naissance. Nous ne retournons jamais en arrière, mais nous avançons, une fois nés de nouveau. Et c’est pour ça, je pense, qu’aujourd’hui nous avons beaucoup, ou plutôt nous n’avons pas beaucoup de nouvelles Naissances authentiques, c’est parce que la semence, peut-être qu’elle va sympathiser avec la Parole ou avec la personne; mais ils ne veulent pas pourrir à l’ancien système où ils étaient. Ils ne veulent pas sortir de là. Ils veulent rester dans l’ancien système, tout en prétendant avoir reçu la nouvelle Naissance, ou le Message de l’âge. Nous avons vu ça avec l’âge de Luther, de Wesley, des pentecôtistes, et avec tous les autres âges. Ils cherchent encore à s’accrocher à l’ancien système, tout en prétendant avoir reçu Ceci. Mais il faut que l’âge de l’ancien système meure, pourrisse, afin de produire le nouveau. Ils continuent de vouloir s’y cramponner.

78 Remarquez. Ils savent que l’ancien système est mort, mais ils ne veulent tout simplement pas pourrir à ça. Or, c’est quand il y a pourriture que la chose est vraiment éliminée. Quand... Ils ont la prétention d’être nés de nouveau, mais une prétention, ce n’est qu’un signe qu’ils ont été engendrés. Pourris : c’est ça qui produit la nouvelle Naissance. Nous devons pourrir à ça, exactement comme ç’a été le cas dans tous les âges, au long de l’âge de Wesley, et de tous les autres.

79 Mais, ce qu’il y a, c’est qu’après que la nouvelle Naissance a vu le jour. Wesley, ou... Luther est venu avec une seule parole : “Le juste vivra par la foi.” Eh bien, il ne pouvait plus se cramponner à l’ancien système. Il a fallu qu’il sorte de là.

80 Ensuite, quand, à cause des calvinistes, l’église anglicane s’est retrouvée, sous l’effet de la doctrine calviniste, dans un état tel que Dieu a alors suscité une doctrine arminienne, dans la personne de John Wesley, il a fallu que l’ancien système meure, afin que le nouveau arrive.

81 Et quand l’âge de Wesley a pris fin, ainsi que tous les petits âges, ou les feuilles qui avaient poussé sur la tige, ou l’aigrette, à l’époque de Wesley. Voyez-vous, quand le pentecôtisme est venu, avec la restauration des dons, il a fallu que les gens sortent de chez les baptistes, les presbytériens, les pèlerins de la sainteté, les nazaréens, la prétendue église de Christ, et tout ça. Il a fallu qu’ils sortent de là, qu’ils pourrissent à ça, pour accepter la nouvelle Naissance.

82 On vous traite toujours de fou. Mais c’est comme ce que Paul a dit, une fois qu’il avait pourri à ce qu’il avait prétendu être autrefois. Il a dit : “Je sers le Dieu de nos pères selon la voie qu’ils appellent une secte.” Selon la voie qu’ils appellent une secte! Voyez? Il avait accepté la nouvelle Vie, alors que l’Ancien Testament avait donné naissance au Nouveau, et il a fallu qu’il pourrisse à l’Ancien et n’en fasse qu’une ombre, afin de...

83 Voilà exactement où nous en sommes maintenant. Bon, supportez-moi, là. Or c’est mon opinion. Les églises sont devenues tellement systématiques qu’on ne peut pas entrer dans une seule d’entre elles, à moins de faire partie de l’une d’elles. Il faut avoir une carte de l’association, ou un genre de pièce d’identité. Et à cause de cette croyance, la seule porte qui m’est ouverte, pratiquement, ce sont les Hommes d’Affaires. Tant qu’ils ne sont pas une organisation, je peux entrer chez eux, mais, et parvenir à apporter aux gens le Message que j’ai à coeur. Mais elles sont devenues tellement systématiques. Et je vous aime, vous, les pentecôtistes. De toute façon, la pentecôte, ce n’est pas une organisation. Ça, c’est simplement le nom que vous vous donnez. La pentecôte, c’est une expérience, et non une dénomination.

84 Mais, voyez-vous, ce qu’il y a, c’est que c’est vraiment difficile pour beaucoup d’hommes. Alors qu’ils regardent Ça, qu’ils Y croient, et qu’ils voient que C’est tout à fait identifié par Dieu, dans la Parole : malgré tout ça, c’est vraiment difficile de pourrir à cette chose dans laquelle vous avez trempé. “Je ferais quoi? Où est-ce que je prendrais mon pain?”

85 Quoi? C’est Dieu qui est votre pain. C’est à Dieu que vous devez vous accrocher. “Cherchez premièrement le Royaume de Dieu et Sa Justice.” Je ne vais pas plus loin. Vous savez de quoi je parle.

86 Il nous est dit par les prophètes de Dieu, que nous devons avoir une nouvelle terre; un nouveau Ciel et une nouvelle terre. Si vous voulez avoir un passage de l’Écriture pour ça, c’est Apocalypse 21. Je pourrais vous le citer, je l’ai ici. Jean a dit : “Je vis un nouveau Ciel et une nouvelle terre; car le premier ciel et la première terre avaient disparu.” Ils n’étaient plus là. Or, si nous devons avoir une nouvelle terre, l’ancienne terre et la nouvelle terre ne pourront pas exister en même temps. Ou, le nouveau monde et l’ancien monde ne pourront pas exister en même temps. Il ne peut pas y avoir deux ordres du monde, ensemble, en même temps. Maintenant, pour qu’il y ait la nouvelle terre, il faut que l’ancienne meure. Or, s’il faut que l’ancienne meure, elle est donc maintenant dans les douleurs, pour donner naissance à une nouvelle terre.

87 Alors, si un médecin allait examiner une patiente qui est en travail, là... l’une des choses que ce médecin ferait. D’ailleurs, je parle en présence de deux ou trois bons médecins ici, que je connais, des médecins Chrétiens. Et je–je–je vous demanderais ceci. L’une des premières choses que ce médecin fait, après avoir suivi la patiente, c’est de calculer le temps des douleurs, des douleurs de l’enfantement. Il calcule le temps des douleurs, l’intervalle entre elles, et l’évolution de l’intensité de chacune. Chacune est plus difficile à supporter que l’autre. La suivante, c’est encore plus difficile, elles se rapprochent. C’est son moyen de diagnostiquer le cas : par les douleurs de l’enfantement.

88 Eh bien, si ce monde doit céder la place, à la naissance d’un nouveau monde, examinons donc quelques-unes des douleurs de l’enfantement que nous avons, sur la terre, et alors nous verrons à peu près à quel jour et à quel point environ elle en est dans son travail.

89 La Première Guerre mondiale a manifesté de grandes douleurs de l’enfantement. Elle a manifesté l’une de ses premières douleurs de l’enfantement, alors que le travail était commencé. Puisque c’était le moment pour elle, on a produit les bombes, et on a eu des mitrailleuses et des gaz toxiques. Et, vous vous en souvenez. Peut-être que beaucoup d’entre vous ne s’en souviennent pas. Je n’étais qu’un petit garçon d’environ huit ans, mais je me souviens qu’ils parlaient du gaz moutarde, du gaz de chlore, et ainsi de suite. “Semble-t-il qu’en lançant ça, alors”, qu’ils disaient, “ça brûlerait toute la terre. Ça tuerait tout le monde. Eh bien, il se pourrait qu’il y ait un–un–un éclatement de ça, alors les vents le pousseraient d’un bout à l’autre de la terre.” Tout le monde avait terriblement peur de cette grande arme qu’était le gaz toxique! La terre a éprouvé, a eu ses premières douleurs de l’enfantement.

90 Et là, nous voyons que nous avons eu une seconde guerre, la Seconde Guerre mondiale, et les douleurs qu’elle a eues ont été beaucoup plus intenses. Elles sont de plus en plus aiguës, les douleurs de l’enfantement de la terre. Elle a presque été obligée de céder la place, pendant la période de la bombe atomique, parce que celle-ci allait détruire une ville entière. Ces douleurs-là étaient beaucoup plus intenses que celles de la Première Guerre mondiale, du point de vue de la destruction de la terre.

91 Maintenant, elle sait que l’heure de son accouchement est proche. C’est pour ça qu’elle est si nerveuse, agitée comme elle l’est, c’est parce qu’il y a une bombe à hydrogène, et des missiles aériens qui pourraient détruire le monde entier. Une nation a peur de l’autre nation, si petite soit-elle. Ils ont ces missiles qui, déclarent-ils, vont simplement... l’un d’eux. Ils peuvent les diriger par les étoiles et les lancer où ils veulent, n’importe où dans le monde.

92 La Russie, c’est ce que j’ai entendu aux nouvelles l’autre jour, elle déclare qu’elle peut détruire cette nation, et–et empêcher les atomes, ou ces choses-là, de dévaster sa nation à elle. Nous ne savons pas quoi faire à ce sujet. Tous font des déclarations de ce genre, et c’est bien vrai.

93 La science des gens a pénétré dans le grand laboratoire de Dieu, si bien qu’ils vont se détruire eux-mêmes. Dieu laisse, Il laisse toujours la sagesse se détruire elle-même. Dieu ne détruit rien. L’homme se détruit lui-même par la sagesse, comme il l’a fait au commencement, en prenant la sagesse de Satan au lieu de la Parole de Dieu.
Maintenant, elle sait qu’il faut qu’elle cède la place. Elle ne peut pas tenir le coup.

94 Je crois que la Russie détruirait cette nation-ci, aujourd’hui, si elle pensait qu’elle pouvait la détruire, mais tout en se préservant. N’importe laquelle de ces petites nations pourrait le faire. Seulement elles ont peur, parce qu’elles savent que ce monde ne peut pas rester sur son orbite dans de telles conditions.

95 Alors, le monde sait que les douleurs de son enfantement sont tellement intenses qu’elle ne peut pas faire autrement que de céder la place. Il va y avoir une nouvelle naissance, un nouveau-né, bientôt. J’en suis reconnaissant. J’en ai assez de celui-ci. N’importe–n’importe qui sait que–qu’ici, c’est le lieu de la mort et du chagrin, et de toutes sortes de discordes, et tout. Je suis content qu’elle doive céder la place. Je suis content que ce temps-là soit proche. Comme Jean l’a dit, autrefois : “Oui, viens, Seigneur Jésus.”

96 Or, il faut qu’elle pourrisse, évidemment, comme je l’ai dit, afin de produire la nouvelle naissance. Regardez ce qu’elle est devenue, dans sa pourriture. Remarquez, mes frères! Elle est complètement pourrie. Sa politique et ses systèmes sont pourris au possible. Il n’y a pas un seul os en elle qui soit sain, dans ses systèmes du monde, sa politique, sa politique religieuse et quoi encore. L’un dit : “Je suis démocrate. Je suis républicain. Je suis méthodiste. Je suis baptiste.” Eh bien, tout est pourri jusqu’à la moelle. Quelque chose devra céder la place. Elle ne peut pas tenir le coup. Même si vous mettiez un Georges Washington ou un Abraham Lincoln dans chaque comté, ici aux États-Unis, elle ne pourrait quand même pas revenir. Elle est hors de portée de la rédemption.

97 Il n’y a qu’une seule chose qui peut l’aider, c’est la Venue du Créateur. Amen.

98 Elle sait qu’il faut qu’elle cède la place. Elle souffre et elle est dans la détresse. On ne sait pas quoi faire. L’un regarde par ici, et l’autre par là, et tout. L’un a peur de l’autre. L’un cherche à faire quelque chose pour détruire celui-ci. Celui-ci cherche à contredire celui-là, à détruire l’autre. Au point que, maintenant, ça s’est retrouvé entre les mains des pécheurs, qui pourraient détruire le monde entier en cinq minutes. Voyez? Donc, elle sait qu’elle ne peut pas tenir le coup. Les gens savent qu’elle ne peut pas tenir le coup. Et le monde sait qu’ils vont, que ça va arriver.

99 En effet, Dieu l’a dit. “Les cieux et la terre tout entiers seront en feu.” Ce sera le renouvellement de tout, pour qu’un nouveau monde puisse naître. Dieu l’a prophétisé.

100 Elle est pourrie, dans tous ses systèmes, et elle ne peut pas faire autrement que ça, que de tomber en pourriture.

101 C’est pourquoi elle est, comme je l’ai dit, si nerveuse, rouge jusqu’aux oreilles, et agitée. Il y a des tremblements de terre partout, partout le long de la côte, et des raz de marée en Alaska, et des secousses, partout le long de la côte, des tremblements de terre et tout. Et des gens m’écrivent : “Est-ce que nous devons partir d’ici? Est-ce que nous devons partir d’ici?” Voyez? Ils ne savent pas quoi faire. Il n’y a aucun refuge, si ce n’est Un seul : Christ, le Fils du Dieu vivant. Et le refuge, ce n’est qu’une chose, c’est Lui. Tous ceux qui sont à l’extérieur de Là périront, aussi sûr que Dieu l’a dit.

102 Maintenant, consultons le Livre du Médecin, si elle est dans un état pareil, pour voir si ceci est censé se produire, au moment où la nouvelle terre doit naître. Matthieu 24, dans le Livre du Médecin, c’est-à-dire la Bible, et voyons ce qui a été prophétisé, quels devaient être ses symptômes.

103 Or, si un médecin connaît les symptômes de la naissance d’un enfant... À l’approche du moment où l’enfant doit arriver, il prépare tout, parce qu’il sait que c’est le–le moment où l’enfant doit naître. En effet, tous les symptômes l’indiquent; elle a perdu les–les eaux, le sang. Et, maintenant... C’est le moment. L’enfant descend, alors c’est le moment où l’enfant doit naître. Donc, il prépare tout en conséquence.

104 Or, Jésus nous a dit exactement ce qui arriverait en ce temps-ci. Il nous a dit, dans Matthieu 24, que l’Église, la vraie Église, et l’autre église, seraient... L’église naturelle et l’Église spirituelle “seraient tellement proches, des imitateurs au point de séduire, s’il était possible, même les Élus”. Ce qui était arrivé aux jours de Noé, “alors qu’ils mangeaient, buvaient, se mariaient, mariaient leurs enfants”, et toute cette immoralité du monde, que nous voyons aujourd’hui. La Bible, le Livre, le Livre du Médecin a dit que ça se produirait. Alors, quand nous voyons ceci se produire, nous savons que la naissance est proche. Ça ne peut pas faire autrement que d’arriver. Oui monsieur. Bon, nous regardons ça, du point de–de vue national; non pas national, mais mondial.

105 Maintenant, Israël, l’église, revenons-y pendant quelques minutes. Suivons-la peut-être pendant les dix prochaines minutes. Israël a eu des douleurs d’enfantement sous l’effet de chaque prophète qui est venu sur terre. Elle a eu des douleurs d’enfantement à cause du Message de ce prophète. En effet, quelles en étaient les conséquences? Le prophète avait la Parole. Et–et elle avait semé tellement de pourriture, et élaboré tellement d’ordres systématiques dans son être, que ce prophète la secouait au point de lui faire perdre son fondement. Ils étaient haïs de tous. Et donc, quand Dieu envoyait un prophète, l’église elle-même entrait dans les douleurs de l’enfantement. En effet, le prophète, “la Parole du Seigneur vient au prophète, et à lui seul”. C’est-à-dire que la Parole qui a été prononcée pour ce jour-là est manifestée par le prophète de cet âge-là; ça a toujours été comme ça. Et les églises, elles construisent tellement de systèmes autour de la Parole, que, quand il arrivait, il la secouait au point de lui faire perdre la boule. Elle avait des douleurs d’enfantement.

106 Qu’est-ce que c’était? Revenez à la Parole! Revenez à la Vie! Les systèmes n’ont pas de Vie. Il n’y a que la Parole de Dieu qui a la Vie. Les systèmes qui sont construits autour d’Elle, eux n’ont pas la Vie. C’est la Parole qui donne la Vie. Son Message secouait le reste d’Israël et le ramenait à la Parole. Un petit groupe sortira et croira. Parfois, peut-être... À l’époque de Noé, seulement à peu près huit personnes. Mais quoi qu’il en soit, Dieu a secoué le reste d’Israël. Et Il a détruit les autres, qui devaient disparaître sous la secousse.

107 C’est ce qui s’est produit, tout au long des âges, jusqu’à ce que, finalement, l’église leur ait enfanté un Enfant Mâle; et cet Enfant Mâle, c’était la Parole Elle-même, faite chair. “Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.” Il a vaincu tous les démons, toutes les puissances de la terre qui L’ont attaqué, uniquement par la Parole du Père. À toutes les tentations que Satan Lui a présentées, Il a réprimé Satan; non pas par Ses–Ses propres puissances à Lui, mais par la Parole de Dieu. “Il est écrit... Il est écrit... Il est écrit...” Car Il était la Parole.

108 Quand Satan s’est attaqué à Ève, elle n’était pas la Parole, donc : échec. Quand il s’est attaqué à Moïse : même chose. Mais quand il a tapé sur le Fils de Dieu, Lui, c’était dix mille volts. L’autre y a laissé des plumes, quand Il a réagi en disant : “Il est écrit : ‘L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.’” C’était cet Enfant Mâle, fait chair, la Parole Éternelle de Dieu, Lui-même, manifesté dans un corps de chair ici-bas, pour représenter la Parole.

109 C’est pour ça qu’Il savait ce qu’il y avait dans leur coeur. C’est pour ça qu’Il a pu dire à Philippe où il était, qui il était. Qu’Il a pu dire à Simon Pierre qui il était. Qu’Il l’a dit à la femme au puits. Pourquoi? Il était la Parole. C’est vrai. La Bible dit, dans Hébreux, chapitre 4 : “La Parole de Dieu est plus tranchante, plus efficace qu’une épée à deux tranchants, pénétrante jusqu’à partager la moelle des os, et Elle discerne les pensées et les intentions du coeur.”

110 Mais, ces sacrificateurs pharisiens aveuglés ne pouvaient pas voir que C’était là la Parole manifestée, parce qu’ils étaient complètement absorbés dans un sacerdoce et dans un système. Et l’ancien système devait céder la place. C’était la Parole, mais ce qui avait été promis s’était accompli. Donc, si c’est accompli, il faut que ça tombe en pourriture. C’est l’enveloppe. La Semence a poursuivi son chemin.

111 Moïse n’aurait pas pu apporter le message de Noé. Jésus non plus n’aurait pas pu apporter le message de Noé, parce que c’était un autre âge. L’ancienne semence était bonne, mais elle avait eu son utilité, et elle était morte, elle n’était plus. La transformation, de passer de l’ancienne à la nouvelle, dans laquelle se trouvait la Vie, c’est ça qui inquiétait les gens; c’est ce qui les inquiète encore aujourd’hui.

112 Nous ne construisons pas un mur, comme, par exemple, de commencer avec le message de Luther, de suivre une ligne droite tout le temps, ou, le message pentecôtiste. C’est vrai. Nous tournons des coins. Nous construisons un édifice. C’est la Parole de Dieu qui en est le plan. N’importe qui peut aller en ligne droite, mais il faut un maçon pour tourner le coin. Il faut la puissance de Dieu pour faire ça. Il faut qu’un oint vienne du Ciel, soit envoyé ici-bas pour le faire. Ç’a été le cas dans chaque âge. Et dans l’âge des prophètes, la Parole du Seigneur vient à travers ces prophètes, et c’est eux qui tournent les coins, qui opéraient ces changements. Mais les bâtisseurs, eux voulaient construire un mur. Ce n’est pas un mur du tout. C’est un édifice, un édifice de Dieu.

113 Or, nous estimons, et nous savons que Ceci est la Vérité, que les systèmes ont pourri, dans chaque âge. Et chacun de leurs systèmes a dû pourrir et s’éteindre, jusqu’au moment où elle a enfanté cette Église-là. Du gâchis de cette pourriture est sortie la Parole, Elle-même. “La Parole du Seigneur est venue aux prophètes.” Elle n’est jamais venue aux sacrificateurs; Elle est venue aux prophètes.

114 Et, remarquez, en faisant ainsi, finalement, cette Parole tout entière est née, ici, dans une chair humaine. La plénitude de la Divinité habitait corporellement en Lui. Il était la Parole. Les prophètes sont une partie de la Parole, la Parole pour leur âge. Nous, aujourd’hui, nous sommes une partie de la Parole, nous qui suivons la Parole. Mais Lui était toute la plénitude de la Parole. Il était la Parole. Il a dit...

115 Quand ils L’accusaient de Se faire Lui-même égal à Dieu parce qu’Il était le Fils de Dieu, ils Lui ont dit : “Eh bien, Tu Te fais Toi-même Dieu.”

116 Il a dit : “N’est-il pas écrit dans vos lois que vous appelez ‘dieux’ ceux à qui la Parole de Dieu est venue, les prophètes? Et c’est bien ce qu’ils étaient. Alors, comment pouvez-vous Me condamner quand Je dis que Je suis le Fils de Dieu?”

117 Alors que la plénitude de la Divinité habitait corporellement dans le Fils de Dieu. Il était la pleine manifestation de Dieu. C’est ça qui, finalement... Les douleurs de l’enfantement sous l’effet de ces prophètes qui, eh bien, comme ils étaient la Parole, ils annonçaient cette plénitude d’eux-mêmes, la plénitude de la Parole. Et puis, finalement, les systèmes se sont éteints, jusqu’au moment où “la Parole a été faite chair et Elle a habité parmi nous”.

118 Observez comme ç’a été représenté en Jacob. Observez comme ç’a été représenté en Joseph, exactement. Aimé de ses frè-... de son père; haï de son frère, sans cause. Il était spirituel, il pouvait prédire des choses et interpréter des songes. Il ne pouvait pas s’empêcher d’être comme ça. C’est ce qu’il était, dès sa naissance, tout simplement. Il avait été prédestiné à être comme ça. Mais il était haï de ses frères, qui, finalement, l’ont vendu pour trente pièces d’argent, presque trente pièces. Ensuite, il a été élevé, il s’est assis à la droite de Pharaon. Il a regardé dans sa prison, il y avait là un échanson et un panetier; l’un a été perdu et l’autre a été sauvé.

119 Jésus, dans Sa prison, à la croix; l’un a été perdu, l’autre a été sauvé. Exactement. Ensuite, Il a été élevé dans les Cieux et Il s’est assis sur le Trône de Dieu. Et quand Il repartira, il y aura un son qui retentira : “Fléchissez le genou”, et toute langue confessera.

120 Et quand Joseph quittait le trône et qu’il s’avançait, une trompette sonnait, et tout genou devait fléchir. “Joseph venait.”

121 De même, un jour la grande Trompette de Dieu sonnera, les morts en Christ ressusciteront, tout genou fléchira et toute langue confessera cette Parole. Mais qu’est-ce qu’Il vient chercher? Pourquoi est-ce qu’Il vient ici?

122 Remarquez, elle a enfanté cette Parole entière, qui a été faite chair, sous l’effet des douleurs de l’enfantement, des prophètes qui faisaient retentir leur voix : “Il vient! Il vient! Il vient!”

123 Bon, mais, pendant quatre cents ans, elle n’avait pas eu de prophète, – selon l’histoire et selon l’Écriture, – à partir de Malachie jusqu’à Jean. Il n’y avait que des théologiens, des sacrificateurs, des pasteurs. Maintenant, là, nous pouvons nous imaginer, privée de ça, dans quel état de pourriture son système avait pu se retrouver, quatre cents ans sans un Message direct, un AINSI DIT LE SEIGNEUR, venant de Dieu. Donc, à cause des sacrificateurs, des prophètes, et ainsi de suite, elle s’était retrouvée dans un gâchis terrible. Elle était pourrie.

124 Alors Jean, l’Élie promis de Malachie 3, pas de Malachie 4. De Malachie 3; en effet, c’est aussi ce que Jésus a dit dans–dans Matthieu, chapitre 11.

125 Quand l’oeil d’aigle de Jean s’était voilé, comme l’a exprimé Pember, je crois, dans Les âges primitifs. Il a dit : “Allez Lui demander si c’est Lui, ou si nous devons en attendre un autre.” Voyez?

126 Et Il a dit, Jésus, après qu’Il eut renvoyé ses disciples, après leur avoir dit de rester pour assister à la réunion et voir ce qui se passait, et : “Allez rapporter à Jean ces choses. Heureux celui qui n’y trouve pas une occasion de chute.”

127 Il s’est retourné, Il a regardé Ses disciples et ceux à qui Il s’était adressé. Il a dit : “Qu’êtes-vous allés voir quand vous êtes allés voir Jean?” Il a dit : “Êtes-vous allés voir un homme vêtu d’habits précieux?” Il a dit : “Je vous dis que les hommes de ce genre sont dans les palais des rois.” Il a dit : “Êtes-vous allés voir un–un–un roseau agité par le vent?”

128 Autrement dit, était-il agité par chaque petite chose qui arrivait? “Je te le dis, tu n’as qu’à venir adhérer à notre groupe, nous pouvons te donner un meilleur salaire.” Pas Jean. “Tu n’as qu’à ne pas prêcher contre ceci et cela, et, eh bien, tu pourras t’associer à nos groupes.” Pas Jean.

129 Il a dit : “Qu’êtes-vous donc allés voir? un prophète? Et Moi, Je vous dis, plus qu’un prophète. Car, si vous pouvez le comprendre, c’est lui qui avait été annoncé par le prophète, lorsqu’il dit : ‘J’enverrai Mon messager devant Ma face, pour préparer le chemin.’” Ça, c’est Malachie 3.1.

130 Ce n’est pas du tout Malachie 4. Celui-là, c’en est un autre. En effet, à la venue de cet Élie-là, le monde doit être brûlé aussitôt, et les justes doivent marcher sur les cendres des méchants.

131 Maintenant, remarquez. Son Message ne les a pas beaucoup tirés de leur sommeil ecclésiastique, pas vraiment. Ils disaient simplement : “Il y a un fou là-bas. Passez vite, sans vous arrêter. Il se fait passer pour fou : il cherche à noyer les gens là-bas, dans l’eau. Voyez? Mais, ce vieux-là, c’est un minus. Voyons, il n’est même pas vêtu convenablement. Il est enveloppé d’une peau de mouton. Eh bien, il est pauvre comme le dindon de Job. Mais, de quel séminaire sort-il? Quelle carte d’association a-t-il? Nous ne collaborerons même pas à ses réunions. Nous allons simplement le laisser là-bas, crever de faim.” Voyez? Le monde n’a pas beaucoup changé, les systèmes non plus. Ah. “Mais, nous allons simplement le laisser là-bas. Il n’a pas de...”

132 Savez-vous pourquoi il n’en avait pas? Souvenez-vous, son père était sacrificateur. Mais pourquoi est-ce qu’il n’a pas suivi les traces de son père, alors qu’à cette époque-là, c’était la coutume pour les enfants de le faire? C’est parce qu’il avait quelque chose, son Message était trop important. Il devait présenter le Messie, car le Saint-Esprit l’avait dit. Ce petit reste d’Israël, qui avait été ramené par le Message de Gabriel, là-bas, savait qu’il allait en être ainsi. Alors, on nous dit que, vers l’âge de neuf ans, il est allé au désert, qu’après avoir perdu son père et sa mère, il est allé dans le désert, parce qu’il devait entendre avec exactitude.

133 En effet, dans ce grand édifice de théologie, là-bas, ils auraient dit : “Bon, je sais que c’est toi qui es censé annoncer le Messie. Ésaïe a dit que tu allais venir, alors c’est toi qui vas être cette voix-là. Maintenant, tu ne trouves pas que Frère Jones, ici, remplit toutes les conditions?” Et il se serait laissé facilement persuader.

134 Mais il n’avait jamais rien appris de leurs systèmes. Son Message était trop important. Il est allé dans le désert, pour y demeurer.

135 Remarquez. Son Message n’était pas comme celui d’un théologien. Il utilisait des types. Il disait : “Races de serpents!” Il appelait ces membres du clergé des “serpents”. C’est qu’un des mauvais produits qu’il avait trouvés dans le désert, une des choses sournoises, c’était les serpents. Et il s’est dit : “C’est à peu près la meilleure comparaison que je connaisse.” Il a dit : “Races de vipères, qui vous a appris à fuir la colère à venir? Ne vous mettez pas à dire : ‘Nous faisons partie de ceci et de cela’, car de ces pierres Dieu peut susciter des enfants à Abraham.” “Ces pierres”, ce qu’il avait trouvé dans le désert et au bord du ruisseau.

136 “Et déjà la cognée”, ce dont il s’était servi dans le désert, “est mise à la racine de l’arbre”, ce qu’il avait vu dans le désert. “Tout arbre qui ne produit pas de bons fruits”, il savait où il trouvait son bois de chauffage, voyez-vous, “sera coupé et jeté au feu”, il en faisait du bois de chauffage. Voyez? Son Message n’était pas du tout celui d’un membre du clergé. Il se conformait aux caractéristiques de la nature, du désert.

137 Mais il avait le Message à annoncer, et il avait la foi en son Message, pour dire : “Ce Messie est censé venir et, bien plus, Il est ici même, parmi vous, en ce moment. Je vous déclare qu’il y en a Un au milieu de vous, que vous ne connaissez pas, dont je ne suis pas digne de porter les souliers. Lui, Il vous baptisera du Saint-Esprit et de Feu.”
“Qui est-Il, Jean?
– Je ne sais pas.”

138 Mais un jour, voilà un jeune Homme qui descend au fleuve, un Homme d’apparence ordinaire. Juste... Le brave Jean-Baptiste se tenait là, ce brave prophète béni, et il a regardé de l’autre côté du Jourdain. Il a dit : “Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde.
– Comment L’as-tu reconnu, Jean?

139 – Celui qui, dans le désert, m’a envoyé baptiser d’eau, Il m’a dit : ‘Celui sur Qui tu verras l’Esprit descendre, c’est Celui qui baptisera du Saint-Esprit.’”

140 Son Message ne pouvait pas provenir d’un point de vue théologique, ni d’un système de crédos faits de main d’homme. Il devait provenir directement de Dieu.

141 Mais, son Message ne les a pas tellement secoués. Ils se sont dit : “Oh, il dit qu’il a vu Cela. J’en doute fort. Moi, je n’ai rien vu. J’ai regardé. Oh! la la! Je n’ai rien vu de ça”, c’est ce que les sacrificateurs et les autres disaient.

142 Mais lui, il L’a vu, et nous le savons, maintenant, qu’il L’a vu. Bien sûr qu’il L’a vu. Mais, avez-vous remarqué ceux que le Message a atteints?

143 Il n’a pas du tout tiré ceux-là de leur sommeil. Ils ont continué, ils lui ont quand même coupé la tête. Mais il–il ne les a pas remués du tout.

144 Mais, le reste d’Israël, eux, il les a atteints, ceux qui avaient la Vie en eux-mêmes, ce petit groupe, Anne et–et Siméon, quelques-uns de ceux-là, qui attendaient la Venue du Seigneur. Anne, qui était dans le temple, aveugle, une prophétesse qui servait le Seigneur dans la prière. Alors, un jour, alors qu’elle était dans l’Esprit...

145 Et Siméon avait prophétisé en ces mots, – un vieillard, – il avait dit : “Le Saint-Esprit m’a dit que je ne mourrai pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.”

146 Eh bien, quelques-uns des sacrificateurs, vous savez, ils disaient : “Le pauvre vieux, il est un peu détraqué, vous savez. Eh bien, il a déjà un pied dans la tombe, là, et l’autre est en train de glisser. Mais, laissez-le. C’est un vieillard honorable. Seulement il est un peu...”

147 Mais, voyez-vous, qu’est-ce qu’il avait? Ça lui avait été révélé par le Saint-Esprit.

148 C’est la même chose qui vous a été révélée, à vous ici, cet après-midi. Le Saint-Esprit vous a amenés ici pour une raison. Il y a une... Le Saint-Esprit! Regardez les prêtres et les membres du clergé qui sont ici, de l’église méthodiste, baptiste, catholique, et tout. Ils ont été poussés par le Saint-Esprit. C’est maintenant l’heure. Donc, le Saint-Esprit a agi sur eux, ils cherchaient Ça, ils avaient faim. Alors, juste...

149 Un jour, vous savez, ils n’avaient pas la télévision. Merci Seigneur pour ce jour-là.

150 Alors, ils–ils étaient sur les coteaux de la Judée. Un–un Bébé est né là-bas. Une Étoile est apparue, et ainsi de suite.

151 Mais, au bout de huit jours, la mère a apporté ce petit Bébé emmailloté. Il était emmailloté. On me dit... m’a dit que c’était... Ils n’avaient rien à Lui mettre. C’était un–un petit chiffon pris du joug d’un boeuf, on m’a dit que c’était là-dedans qu’Il était emmailloté. Voici Joseph et les autres, ils arrivent avec ce petit Bébé.

152 Je m’imagine que les mères se tenaient à l’écart, à distance, avec leurs petits bébés vêtus d’habits brodés et tout. Elles disaient : “Regardez là. Voyez? Voyez? La voilà. Voyez? Elle était enceinte de cet homme-là. La voici qui entre. Ne vous approchez pas d’elle, là. Gardez vos distances.” Les gens pensent encore la même chose.

153 Mais Marie, avec ce Bébé dans ses bras, ce que les gens pensaient, ça lui était parfaitement égal. Elle savait de Qui était ce Fils.

154 Et c’est pareil pour tout croyant qui accepte la Parole de Dieu dans son coeur! Peu m’importe ce que les systèmes disent. Vous savez ce que C’est. C’est une promesse de Dieu. Ça vous a été révélé par le Saint-Esprit, quand vous avez été couvert de Sa Puissance. Vous savez ce qu’il En est. Aucun homme n’a le droit de prêcher l’Évangile avant d’avoir rencontré Dieu, là-bas derrière le désert, dans ce buisson ardent, et alors aucun système ecclésiastique au monde ne pourra vous En dissuader. Vous étiez là. C’est à vous que c’est arrivé. Peu m’importe ce que les systèmes disent. Vous êtes témoin de ça. Alléluia! Je me sens comme ce vieil homme de couleur dont je parlais : “Maintenant je n’ai plus assez de place sur l’estrade.” Voyez? Je me sens très religieux en ce moment. Quand j’y pense. Et c’est vrai. Dieu Lui-même, révélé à vous.

155 Siméon avait la promesse. Assis dans son cabinet de travail ce matin-là; oh, je suppose qu’on devait apporter plusieurs centaines de bébés, tous les matins. Il y avait environ deux millions et demi de Juifs dans le pays, on apportait ces bébés, il en naissait beaucoup. Au bout de huit jours, chaque mère devait venir offrir l’offrande de purification. Et alors, voici venir... Siméon était assis là, vous savez, peut-être qu’il lisait le rouleau d’Ésaïe. Je ne sais pas. Mais, tout à coup...

156 Or, si le Saint-Esprit vous a fait une promesse, le Saint-Esprit doit tenir cette promesse, si C’est vraiment de Dieu. Il, s’Il...

157 Si un homme vient dire une certaine chose, que Dieu ne confirme pas ses dires, que ça ne se trouve pas dans l’Écriture pour commencer, oubliez ça. Et s’il dit que ça s’y trouve, et que Dieu ne le confirme toujours pas, c’est encore faux.

158 En effet, Dieu interprète Son Message. Il est Son propre Interprète. Si ce qu’il dit arrive, alors, Dieu a dit : “Écoutez-le, car c’est la Vérité.” C’est une simple question de bon sens. S’il dit que ça va arriver, et que ça arrive, c’est comme ça qu’on sait. Ça doit être l’exacte Vérité, chaque fois, parce que Dieu ne dit pas des mensonges.

159 Et donc, voilà Siméon, assis là, supportant la persécution. Il était le “reste”. Il avait entendu Jean, et le petit “reste” de ce jour-là. Et il était assis là, à écouter ce rouleau, il savait, je veux dire, il savait que Jean allait venir, parce qu’il–qu’il faisait partie du reste d’Israël. La Parole lui avait été révélée. Tout à coup, quand ce Bébé est arrivé dans le temple, là il était du devoir du Saint-Esprit de lui révéler qu’Il était là. Donc, poussé par l’Esprit, il est sorti du petit cabinet de travail, il a enfilé le couloir, il est arrivé jusqu’à cette file de femmes. Il s’est avancé, passant à côté de cette file de femmes, jusqu’à ce qu’il arrive à l’endroit où se trouvait ce petit Bébé, dont personne ne s’approchait. Il a pris le Bébé dans ses bras et il a dit : “Seigneur, laisse Ton serviteur s’en aller en paix, car mes yeux ont vu Ton salut.”

160 Et, à ce moment-là, il y avait une autre élue du petit groupe de ce jour-là, Anne, une prophétesse, elle était assise là, dans un coin, aveugle. Elle s’est levée, elle était aveugle. La voilà qui s’avance, conduite par l’Esprit, parmi toutes les femmes et la foule des gens qui entraient et sortaient du temple, jusqu’à ce qu’elle arrive à l’endroit précis où se trouvait l’Enfant Christ.

161 Si le Saint-Esprit a pu conduire jusqu’à Lui une femme aveugle, qu’en est-il de vous, un groupe pentecôtiste qui est censé avoir la vue? Je n’irai pas plus loin. Vous connaissez la suite. Remarquez. Oh! la la! Cette église-là avait certainement dû se retrouver de nouveau dans un gâchis terrible, sûrement que oui, à cette époque-là! Mais ça a secoué le petit reste, comme je l’ai dit.

162 Maintenant soyons honnêtes. Si nous voyons l’église dans cet état-là aujourd’hui, ne sommes-nous pas de nouveau arrivés à ce temps-là? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Maintenant, considérez simplement les choses promises, dans la Bible, qui devaient se passer dans l’église, en ce temps-ci. Nous voyons ce qui se passe dans le monde, et nous voyons qu’il est arrivé à sa fin. Maintenant, considérons l’église.

163 Elle, l’église, a eu des douleurs d’enfantement sous l’effet de Luther. Or, nous savons qu’il y a sept âges de l’église, et sept messagers, de ces âges de l’église, selon Apocalypse. Maintenant, quand il a fallu que Luther arrive, ça a provoqué une douleur d’enfantement dans l’église, c’est certain, mais elle a enfanté Luther. C’est vrai.

164 Après ça, elle a de nouveau eu des ennuis, alors, elle a enfanté Wesley. C’est vrai.
Ça a recommencé de plus belle, et elle a enfanté le pentecôtisme.

165 Chacun de ces messagers, dans son âge, secouait le... ramenait à la Parole, au Message de son âge, le Message qui est conforme à la Bible. J’ai un livre là-dessus qui va bientôt paraître, le commentaire des quatre premiers chapitres de l’Apocalypse. Lisez-le, dès qu’on l’imprimera. Ça prouve, sans l’ombre d’un doute, ce qu’était le message de Luther, la justification; ce qu’est la sanctification, la phase suivante de la naissance naturelle. Ensuite, les pentecôtistes sont venus, exactement.

166 Maintenant, remarquez, chaque âge a secoué l’église et a provoqué chez elle des douleurs d’enfantement. Mais, qu’est-ce qu’ils ont fait? Après avoir eu ces douleurs d’enfantement, au lieu de continuer à avancer avec la Parole, ils ont réuni un groupe d’hommes, exactement comme l’avait fait la première église. Exactement. Aussitôt après la secousse provoquée par les apôtres, alors nous la voyons de nouveau dévier. Ensuite, nous voyons que beaucoup d’autres sont venus, Agabus et beaucoup des grands réformateurs, là-bas au commencement. Dans chaque âge, c’est ce qui s’est fait – en étudiant Le Concile Prénicéen, Les Pères à Nicée, et tout ça, là-bas, vous trouverez tout ça là-dedans. Chaque âge a été secoué, à chaque fois qu’un messager venait avec l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.

167 Maintenant elle est dans le pire état, selon les Écritures, qu’elle ait jamais été. Nous sommes dans l’âge de l’église de Laodicée, “un âge de l’église riche, mais aveuglé, et qui ne le sait pas”.

168 Nulle part dans la Bible Christ n’a été expulsé de l’église, à aucun moment sauf à l’âge de Laodicée. Elle est dans l’âge le plus mauvais. Elle est plus pourrie que jamais. Elle a dit : “Je suis assise en reine, je n’ai besoin de rien.”

169 “Et tu ne sais pas que tu es nu, misérable, aveugle, pauvre, et tu ne le sais pas.” Oui monsieur. Il a dit : “Je te conseille de venir acheter de Moi un collyre, afin que J’ouvre tes yeux.” Et ça, ça va–ça va certainement... Le collyre de Dieu va certainement apporter la Lumière à l’église, si elle veut bien ouvrir les yeux à ce que Dieu a dit.

170 Remarquez, rapidement maintenant. Maintenant, elle en est à ce stade-là, sans l’ombre d’un doute. Nous sommes dans l’âge de l’église de Laodicée.

171 Maintenant, un messager Lui a été promis, dans Malachie, au chapitre 4. Il a promis de le faire. Et le Message doit ramener la Parole, ramener les gens à la Parole. Une Naissance doit se faire. Elle doit accoucher, d’une nouvelle Naissance, selon Malachie 4.

172 Dans le monde des églises aujourd’hui, il y a deux systèmes qui sont à l’oeuvre. Maintenant écoutez très attentivement. Maintenant, je veux voir si vous allez dire “amen” à ceci. Il y a deux systèmes qui sont à l’oeuvre dans le monde des églises aujourd’hui. Je vais enlever ceci de sur mes épaules, ensuite ce sera réglé. Nous le savons tous : c’est la Parole de Dieu et le système dénominationnel. Voilà les deux systèmes qui sont à l’oeuvre. Tout comme c’était le cas pour Jacob et Ésaü : l’un selon l’Esprit, l’autre selon la chair. Et, qu’en est-il? Ésaü et Jacob se battaient dans le sein de leur mère, même au moment de leur naissance. Et c’est pareil pour les dénominations et la Parole, ils se battent l’un contre l’autre. Ils se battent depuis le début, quand Luther a apporté la première réforme. J’espère que c’est assez simple pour que vous le compreniez. Voyez?

173 Ces hommes, s’ils prennent Ceci et qu’ils partent avec, ils vont pouvoir Y donner plus de sens, voyez-vous, pour L’amener à un point où vous... Je veux simplement déposer cette Semence, puis j’espère qu’ils Lui feront prendre Vie. Remarquez. Voyez?

174 Ça a toujours été comme ça. C’est pour ça qu’elle éprouve des douleurs d’enfantement, c’est parce qu’il y a un combat en elle.

175 Il y a un Ésaü, un simple homme du monde, très religieux. Et, oh, c’est quelqu’un de bien, un brave type, propre, de haute moralité, pour autant que je sache, mais il ne connaît rien au sujet de ce Droit d’aînesse. Il est né comme ça. Il est fait comme ça.

176 Et Jacob, peu m’importe ce qu’il est, lui, ce qu’il veut, c’est ce Droit d’aînesse. C’est lui qui est spirituel.

177 Et, aujourd’hui, ces deux-là sont dans le sein de l’église. Un énorme système cherche à prendre forme, ça s’appelle le Conseil mondial des Églises. Et du sein de l’église sortent deux enfants. Notez bien ce que je vous dis. Le monde...

178 La Parole doit faire accoucher l’Église Épouse-Parole. L’Église doit accoucher d’une Épouse pour Christ. Ceux qui se sont endormis dans tous les âges formeront cette Épouse, qui s’est développée par la Parole qui les avait fait sortir, comme à partir des pieds jusqu’à la tête. Plus–plus Elle grandit, plus il lui faut avoir de choses, et ainsi de suite. De même que le corps grandit, le Corps de Christ aussi grandit. Et puis, finalement la Tête viendra au Corps, la Tête de Celui-ci viendra; maintenant, si nous remarquons, en effet, Il est–Il est entièrement relié à la Tête. C’est la Tête qui Le fait tourner, qui L’attire.

179 Mais les systèmes ne pousseront pas Là-dessus, parce que c’est un système, et ça ne peut pas produire. Un grateron ne peut pas produire un tas de blé. Pourtant les deux se trouvent dans le même champ, baignés de la même eau et de la même lumière du soleil. L’un est la Parole, l’autre n’est pas la Parole. Et les deux se battent. Ils se battent depuis la première réforme, et ils se battent encore aujourd’hui.

180 Maintenant, je n’ai pas besoin d’aller plus loin là-dessus, n’est-ce pas? Sûrement que vous savez de quoi je parle. [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Oui monsieur. Nous en sommes là. Voilà : un système. De quel système faites-vous partie?

181 Imaginez-vous un peu, là, si vous aviez vécu autrefois, aux autres époques, pendant les secousses provoquées par les prophètes de Dieu et par les Paroles proclamées, de quel côté auriez-vous voulu être, à cette époque-là?

182 Eh bien, vous avez le même choix aujourd’hui. Elle se prépare à enfanter la Parole parfaite, là, et la Parole vient pour l’Épouse-Parole. De même que la–la femme est une partie de l’homme, qu’elle a été tirée de lui, il faudra aussi que l’Église soit une Église qui demeure dans la Parole, toute Parole de la Bible; pas des systèmes, des dogmes, ni rien qui Y ait été ajouté. Il faudra qu’Elle soit dans une Parole sans mélange, pure, vierge. C’est vrai.

183 Du temps de la Lumière de Luther, quand l’église avait mis le verrou, que Luther a forcé la porte, elle a éprouvé des douleurs, mais il est sorti : “Le juste vivra par la foi. Et la communion, ce n’est pas ceci.”

184 Or, nous voyons que du temps de John Wesley, les douleurs l’ont prise de nouveau, mais un–un Wesley est né. Mais qu’est-ce qu’il a fait? Il est retourné tout de suite, il a fait comme sa mère.

185 Ensuite, du temps des pentecôtistes, vos pères et vos mères sont sortis de cette chose-là, et ils la haïssaient. Ils sortaient dans la rue, votre mère n’avait même pas de bas, elle battait une vieille boîte de conserve, et ils parlaient du baptême du Saint-Esprit, une vieille guitare à la main. Ils restaient là, sur les voies des tramways, ils passaient la nuit en prison. Et nous sommes tellement guindés, nous sommes retournés tout droit dans une organisation, et nous nous sommes installés dans le même bourbier. Ils ont ramené leurs enfants là même d’où ils étaient sortis. Ils se retourneraient dans leur tombe. Ils auraient honte de vous. Je sais que c’est dur à entendre, mais c’est la Vérité. [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]

186 Vous dites : “Je pensais que vous aimiez les gens.” Si l’amour n’est pas correctif, alors comment peut-on produire l’amour? L’amour est correctif. Oui, j’aime le monde... j’ai–j’ai du zèle pour l’église de Dieu.

187 Et de voir ces systèmes qui la tiennent asservie à des dogmes, qui tombent en pourriture. Dieu a beau déclarer que Sa Parole est la Vérité, eux, ils continuent à s’accrocher à ça quand même. Amen. [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] C’est vrai. Vous savez que c’est la vérité, frère, soeur. [“Amen.”] C’est tout simplement Ça. C’est la façon toute simple de Le dire. Ce–ce n’est pas une analyse du grec, et tout ça, mais c’est une analyse et une démonstration du bon sens. Sûrement que vous pouvez comprendre Ça. Deux et deux font quatre. Voyez? Donc, nous savons que C’est vrai.
Maintenant il faut que la Parole produise l’Épouse.

188 Mais l’ancien système doit demeurer conforme au type. Il doit produire un Ésaü, qui a vendu son droit d’aînesse.

189 Je vais lancer quelque chose. Je le sens. J’espère que vous ne me prenez pas pour un fou. Mais si j’en suis un, laissez-moi tranquille. Je me sens bien comme ça. Je suis mieux comme ça que comme j’étais avant. Je–je suis peut-être fou, aux yeux du monde. Je–je–je sais où j’en suis. Je sais à quoi m’en tenir.

190 Regardez. Il va produire un enfant mort-né, un système ecclésiastique qui va rassembler toutes les dénominations, pour produire un Ésaü qui hait Jacob. Amen. J’espère que vous voyez : une dénomination mort-née, morte, alors que toutes se rassemblent.

191 Oh, croyants de la Parole, abandonnez-vous à mon Message. Écoutez-moi : non pas à mon Message, mais à Son Message à Lui, dont Il déclare formellement que C’est la Vérité. Vous devez choisir, quelque part. Vous ne pouvez pas rester tranquillement assis après ceci. Vous devez faire votre choix.

192 Vous vous souvenez, l’autre jour, là-bas, au Westward Ho, au petit-déjeuner, le matin où le Seigneur m’a permis de vous montrer ce blé? Comment il a pris forme, à travers Luther, à travers Wesley, et les aigrettes, et ainsi de suite, et des petits brins qui sortaient de là, chaque église qui était représentée dans une tige de maïs. Ensuite Il est entré directement dans ce blé, à ce stade-là, et la petite balle est apparue, elle ressemblait tout à fait au vrai grain de blé. Quand vous allez regarder, si vous ne connaissez pas votre blé, vous direz que vous avez là du blé, mais ce n’est que la balle. Ensuite, si vous ouvrez la balle, il n’y a pas de blé dedans du tout. Tout au fond, il y a un petit bourgeon de vie qui est en train de pousser. Vous prenez une loupe et vous le regardez. Au début, quand le pentecôtisme est apparu, c’était tellement proche, que Jésus a dit, dans Matthieu 24.24 : “Ça séduirait même les élus, si c’était possible.” Qu’est-ce que ça devait faire? Servir de support au grain. Pas vrai? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Or, l’aigrette...

193 Regardez bien. La feuille ne ressemble pas au grain qui a été mis en terre, l’aigrette non plus, mais elle y ressemble un peu plus. Et la balle y ressemble vraiment beaucoup, mais ce n’est toujours pas le blé. C’est le porteur du blé.

194 Ne voyez-vous pas comment ces messages sont venus, avec des douleurs d’enfantement? Mais la Vie en est tout de suite sortie, pour aller au message suivant. La Vie est tout de suite sortie de Luther, pour entrer dans le message de Wesley. Tout de suite sortie du message de Wesley, pour entrer dans le message pentecôtiste. Maintenant, c’est le moment, de nouveau, de quitter la balle. Qu’est-ce qu’il y a? La nature, sous toutes ses formes, déclare que c’est la Vérité.

195 Maintenant, vous voyez pourquoi vous me prenez pour un fou. Peut-être que j’en suis un, comme je l’ai dit. Mais il y a Quelque Chose en moi. Je ne peux pas L’arrêter. Ce n’est pas moi qui L’ai mis là. Ce n’est pas venu par mon choix à moi. C’est Dieu. Et Il confirme Cela, pour prouver que C’est la Vérité, pour En établir la Vérité. Ce n’est pas que j’aie quoi que ce soit contre Luther, Wesley, les pentecôtistes, ou les baptistes, ou qui que ce soit. Je n’ai rien contre personne. Les systèmes, c’est contre ça que je suis, parce que la Parole est contre ça; pas contre les hommes. Regardez les prêtres et les membres du clergé qui sont assis ici, aujourd’hui. Ils ne seraient pas ici s’ils avaient écouté le système, mais ils ont eu la simple audace de la Parole de Dieu, de sortir et d’accepter Cela. Alléluia. Ça veut dire “louange à notre Dieu”. Ça ne vous fera pas de mal. [Quelqu’un dit : “Amen.”–N.D.É.] Ça veut dire “ainsi soit-il”. Moi, j’Y crois. Je crois et je sais que c’est la Vérité. La Vérité en a été confirmée. Un jour, vous vous en apercevrez – peut-être trop tard. Maintenant, regardez bien. Regardez bien.

196 La Bible dit : “Son Épouse S’est préparée”, à la fin de l’âge. Comment S’est-Elle préparée? En devenant Son Épouse. Et qu’est-ce qu’Elle... quel genre de vêtement est-ce qu’Elle portait? Sa Parole à Lui. Elle était vêtue de Sa Justice à Lui. C’est ça. C’est bien vrai. Voyez?

197 La vision! Remarquez, je termine, là. Je voudrais dire une seule chose, juste avant de terminer. C’est ce qui m’a conduit à dire ça. Maintenant, c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Si un homme disait ça sans... en introduisant ça lui-même dans sa pensée, il serait un hypocrite et il devrait aller en enfer pour ça. C’est vrai. S’il cherchait à entraîner un groupe de gens, de bonnes personnes comme ça, à les séduire, eh bien, il serait un démon dans une chair humaine. Jamais Dieu ne l’honorerait. Pensez-vous que Dieu honorerait un démon ou un mensonge? Jamais. Voyez? Ça leur passe au-dessus de la tête, et ils ne saisissent pas. Il retire les Élus de là.

198 Regardez tous les prophètes, au cours des âges, comment Il s’y est pris pour aller chercher les Élus.

199 Regardez, au fur et à mesure qu’ils se sont succédé, jusqu’à la réforme, même. Par exemple, l’église catholique romaine a brûlé Jeanne d’Arc sur le bûcher, comme sorcière. C’est vrai. Plus tard ils ont découvert qu’elle n’en était pas une. Elle était une sainte. Naturellement, ils ont fait pénitence, ils ont déterré les corps des prêtres et les ont jetés au fleuve. Mais, vous savez, mais, dans les registres de Dieu, ce n’est pas réglé. Non. Ils ont appelé saint Patrick un des leurs aussi, voyez-vous, et il l’est à peu près autant que moi. Alors, si nous remarquons, regardez ses enfants. Regardez comment c’était chez lui, regardez combien de gens ont été tués. Regardez le martyrologe, et voyez combien ont été tués là-bas. Voyez-vous, ce n’est pas vrai.

200 Mais ce n’est pas ce que les gens prétendent qui est forcément vrai. C’est ce que Dieu a dit et ce qu’Il prouve comme étant la Vérité. “Éprouvez toutes choses. Retenez ce qui est bon.”

201 Alors, il se trouve qu’il y a quelques mois environ, là, un matin, je sortais de la maison, et une vision est venue.

202 Je mets au défi quiconque ici, qui, toutes ces années, a eu connaissance de ces choses, de dire une seule fois où le Seigneur m’ait laissé dire “AINSI DIT LE SEIGNEUR” sans que la chose arrive. Combien savent que c’est la Vérité, levez la main. [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] C’est vrai. Est ce que quelqu’un peut dire le contraire? [Frère Branham fait une pause. L’assemblée se tait.] C’est vrai.

203 Ne prêtez pas attention au messager. Regardez le Message qui est là. [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Voilà ce que c’est. Voyez? Ce n’est pas ça. Ne faites pas attention à ce petit [espace non enregistré sur la bande] homme chauve, vous savez, à la personne, parce que ce n’est qu’un–ce n’est qu’un être humain et, tous, nous sommes tous pareils. Mais observez ce qui arrive. C’est ça qui montre ce qu’il en est. J’ai été emmené...

204 Bon, je sais que les gens disent toutes sortes de choses, et nous savons que bien souvent ce n’est pas vrai. Je ne peux pas répondre de ce qu’un autre, de ce que n’importe quel homme dit. Je dois répondre de ce que moi, je dis. Je peux seulement dire si c’est la Vérité ou pas. Et c’est–c’est–c’est moi qui dois être responsable de ça, et non de ce que quelqu’un d’autre dit. Je ne peux juger personne. Je n’ai pas été envoyé pour juger, mais pour prêcher le Message. Remarquez.

205 J’allais avoir une–une vision préalable de l’Église. J’ai été emmené par Quelqu’un que je ne voyais pas, et j’ai été placé sur un genre de tribune. Et j’ai entendu la musique la plus douce que j’aie jamais entendue. J’ai regardé, et j’ai vu venir un groupe de jeunes femmes, elles avaient l’air d’avoir, disons, oh, autour de vingt, dix-huit, vingt ans. Elles avaient toutes les cheveux longs, et elles avaient des habillements différents, des habillements de différents types. Elles marchaient au pas de cette musique, de façon tout à fait parfaite. Elles sont arrivées à ma gauche, et elles s’en allaient dans cette direction-ci. Et je les observais. Alors, j’ai regardé pour voir qui était celui qui me parlait, et je n’ai vu personne.

206 Ensuite, j’ai entendu une musique de rock-and-roll qui se rapprochait. Et quand j’ai regardé à ma droite, voici, j’ai vu revenir, venir dans cette direction-ci, les églises du monde. Quelques-uns des... Chacune d’elles portait sa bannière, celle de l’endroit d’où elle venait. Quelques-uns des spécimens les plus sales que j’aie jamais vus de ma vie! Et quand l’église américaine est arrivée, c’était pire que tout ce que j’ai jamais vu. Le Père Céleste est mon juge. Elles portaient ces jupes d’un blanc grisâtre, du genre que portent les serveuses de bar, il n’y avait rien à l’arrière, ici, elles tenaient un genre de morceau de papier grisâtre; c’était comme si elles dansaient le hula, maquillées, les cheveux coupés courts, en fumant la cigarette, et en se trémoussant, pendant qu’elles marchaient au rythme du rock-and-roll.
Et j’ai dit : “Est-ce que c’est ça l’église des États-Unis?”
Et la Voix a dit : “Oui, c’est ça.”

207 Et quand elles défilaient, elles devaient tenir ça comme ceci, mettre le papier derrière elles quand elles défilaient.

208 Je–je me suis mis à pleurer. Je–je me suis simplement dit : “Tout mon travail, et tout ce que j’ai fait.” Et tout ce que nous, ministres, avons fait ensemble comme travail... Frères, je–je ne sais pas jusqu’à quel point vous croyez à ces visions; mais pour moi, c’est la Vérité. Elles se sont toujours avérées justes. Quand j’ai vu ça, et en sachant ce qui était en train de se passer, mon coeur a failli se briser au dedans de moi. “Qu’est-ce que j’ai fait? Comment ai-je échoué? Je m’en suis tenu strictement à la Parole, Seigneur. Alors comment ai-je pu?”

209 J’ai pensé : “Pourquoi est-ce que Tu m’aurais donné une vision, il n’y a pas longtemps, où je me suis vu Là-bas? Et j’avais dit : ‘Eh bien, est-ce qu’ils devront être jugés?’ Il avait dit : ‘Le groupe de Paul aussi.’ J’ai dit : ‘J’ai prêché la même Parole que lui.’” Les Hommes d’Affaires Chrétiens en ont publié l’article. Alors j’ai dit : “Pourquoi? Pourquoi en est-il ainsi?”

210 J’ai vu ce groupe de prostituées qui défilaient comme ça, toutes vêtues comme ça, et qui s’appelait : “L’église de Miss U.S.A.” Je–j’ai tout simplement perdu connaissance.

211 Un moment après, là j’ai entendu cette musique très douce qui revenait, et voici, la même petite Épouse est repassée. Il a dit : “Mais voici Celle qui en est sortie.” Et quand Elle est passée, Elle était exactement comme Celle qui était passée au commencement, elle marchait au pas de la musique de la Parole de Dieu, elle défilait. Et quand j’ai vu ça, je me suis tenu là, les deux mains en l’air, en train de pleurer, comme ça. Quand je suis revenu à moi, j’étais là-bas, debout sur mon perron, en train de regarder de l’autre côté du champ.

212 Qu’en est-il? Elle devra être la même Épouse, la même espèce, bâtie à l’aide du même type de matériau que Celle du commencement. Maintenant, lisez Malachie 4, voyez si nous ne sommes pas censés avoir un Message, dans les derniers jours, qui “ramènera les coeurs des enfants vers les pères”, les ramènera au Message pentecôtiste originel, Parole sur Parole. Frères, nous en sommes là.

213 Or, cette église est censée recevoir un signe, son dernier signe. Nous constatons ici, dans la–dans la–dans l’Écriture, nous voyons là, voyez-vous, les grandes douleurs de l’enfantement qui sont éprouvées en cet âge de Laodicée. Elle naît. Leur église est en train de naître de nouveau. Non pas...

214 Il n’y aura plus une seule organisation. N’importe qui sait que, chaque fois qu’un message était proclamé... Demandez aux historiens. Après qu’un message était proclamé, une organisation en sortait; oh, Alexandre Campbell, tous les autres, Martin Luther, et tout. On en faisait une organisation. D’habitude, un message ne dure qu’à peu près trois ans, un réveil. Celui-ci dure depuis quinze ans, et il n’en est sorti aucune organisation. Pourquoi? La balle a été la dernière. Nous sommes à la fin.

215 Vous voyez les douleurs de l’enfantement? Vous voyez ce qu’il y a? Un reste seulement en sortira. Un reste seulement en sortira. Et c’est pour ça que je crie, que je peine, que j’insiste, et que je renonce à me concilier les bonnes grâces de tout homme de cette terre, pour trouver grâce devant Dieu, et que je continue simplement à avancer dans Sa Parole.

216 Les douleurs l’ont prise. C’est ça qu’il y a. Elle va donner naissance. Elle doit faire son choix. L’écriture est sur la muraille. Nous voyons que la terre est presque sur le point de céder la place. C’est vrai. Et nous voyons l’église, elle est tellement pourrie qu’elle aussi est presque sur le point de céder la place. Et tout est dans les douleurs de l’enfantement, aussi bien le monde que l’église.

217 Un monde nouveau est sur le point de naître, et une nouvelle Église aussi, qui va y passer le Millénium. Ça, nous le savons.

218 Regardez. Dieu lui donne... Écoutez ceci attentivement, puis je termine. Son dernier signe; son dernier Message, son dernier signe. Son dernier signe, c’est-à-dire qu’elle doit revenir à son état premier; le monde, l’église.

219 Regardez comment elle était au commencement, pendant toutes ces années-là, sans, depuis Malachie jusqu’à Jésus. Regardez-la, pendant toutes ces années, maintenant. Regardez-la, pendant toute cette période-là, la corruption dans laquelle elle s’est retrouvée. Regardez la terre, comment c’était, chaque fois, comme aux jours de Noé, et ainsi de suite. Il faut que ce soit conforme au type, pareil, et c’est ce que nous voyons. “Ce qui arriva aux jours de Noé.” Nous voyons toutes ces choses qui reflètent tout à fait le modèle.

220 Alors nous recevons un dernier signe. Dans Luc, chapitre 17, verset 28, Jésus a dit : “Ce qui arriva aux jours de Sodome arrivera de même à la venue du Fils de l’homme.” En effet, ce qui arriva à Sodome, voyez-vous. Or, Jésus a lu cette même Bible, la même Genèse que nous lisons. Soyez attentifs, là, ne manquez pas ça. La même Bible que nous lisons, c’est ce que Jésus a lu. Et Il a dit à Son Église : “Regardez en arrière pour voir quand les jours de Sodome reviendront de nouveau”, des gens pervertis, des hommes qui perdent leur nature.

221 Regardez l’homosexualité, qui augmente partout dans le monde, aujourd’hui; c’était dans un journal dernièrement. Vous devriez venir dans mon bureau lire les lettres que des mères m’écrivent, au sujet de leurs garçons. L’homosexualité a augmenté, je pense que c’est de vingt ou de trente pour cent, rien qu’en–en Californie, depuis l’an passé. Un grand nombre des... des fonctionnaires, même, on a découvert que c’étaient des homosexuels. Vous, les fonctionnaires, vous savez ça. Votre magazine, je l’ai lu; et les différentes choses qui sont arrivées. Si vous...

222 [Une soeur parle dans une langue inconnue, ensuite elle donne une interprétation. La même soeur parle de nouveau dans une langue inconnue, ensuite elle donne de nouveau une interprétation. Espace.non.enregistré.sur.la.bande.–N.D.É.]

223 Maintenant, si ma compréhension de l’Écriture est juste, ça, c’est exactement ce que Dieu a dit qui arriverait. “Que celui qui parle en langue prie aussi pour avoir le don d’interpréter.”

224 Si c’est vrai, je vous ai dit la Vérité, alors Dieu est ici, en train de confirmer Cela. C’est la Vérité. C’est vrai.

225 Maintenant regardez. Quel était ce dernier Message, ce que Jésus disait, là? “Ce qui arriva aux jours de Sodome”, maintenant regardez bien, juste avant que le monde des nations ait été brûlé, le feu. Maintenant, essayez de comprendre. Qu’est-ce qui s’est passé? Il y avait un groupe de gens, des membres d’église tièdes, comme Lot et son groupe, qui étaient dans Sodome. Il y avait un autre homme, qui était déjà sorti de là. Il n’était pas là-bas, au départ. C’était Abraham, celui qui avait reçu la promesse de la venue d’un fils. Comprenez-vous? Dites : “Amen.” [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Très bien.

226 Et maintenant, juste avant le point culminant, la destruction – Dieu était apparu à Abraham sous de nombreuses formes, mais cette fois Il apparaît comme un Homme. Il était un Homme. Et il s’est avancé vers Dieu.
Bon, vous dites : “Ce n’était pas un Homme.”

227 Ce–ce–ce–c’était Dieu dans l’Homme. Abraham L’a appelé “Elohim”. C’était un Homme.

228 Et, regardez, Il s’est assis, le dos tourné à la tente, et Il a dit : “Où est Sara, ta femme?”
Il a dit : “Elle est dans la tente, derrière Toi.”

229 Il a dit : “Je vais te visiter, à la période de la vie, selon la promesse que Je t’ai faite.” Et Sara a ri. Et Il a dit : “Pourquoi Sara a-t-elle ri?” Voyez?

230 Or ça, c’est ce qui se passait, à cette époque-là. Juste pour vous montrer le dernier signe qu’a vu Abraham, le groupe Élu qui avait été retiré de là, qui n’était pas dans Sodome. Maintenant, quoi que vous fassiez, ne manquez pas cette parabole-ci. Le groupe qui avait été retiré de là, qui n’était pas dans Sodome, au départ.

231 Mais deux des Anges sont descendus dans Sodome. Et quand Ils sont arrivés là-bas, nous y trouvons Lot. Et Il l’a trouvé dans un état rétrograde, c’étaient tous des homosexuels, des perversions de toutes sortes. Vous connaissez l’histoire.
Mais il y en avait Un qui était resté avec Abraham, c’était Elohim.

232 Ils ont prêché la Parole là-bas. La prédication de la Parole les a frappés d’aveuglement, et ils n’arrivaient pas à trouver la porte. Voilà ce qu’il y a aujourd’hui.

233 Mais Celui qui était avec le groupe qui s’était retiré, Il a opéré un miracle devant Abraham, pour montrer Qui Il était, et qu’Il était avec Abraham.

234 Il a dit : “Pourquoi Sara a-t-elle ri?”, au sujet de ce bébé. Et Sara est venue et elle a dit qu’elle n’avait pas ri. Et Il a dit : “Au contraire, tu as ri.” Et Il l’aurait tuée sur-le-champ, si elle n’avait pas été une partie d’Abraham.

235 De même, Dieu nous tuerait, si nous n’étions pas une partie de Christ. La miséricorde de Christ, c’est uniquement ça qui nous garde tous, nous, des douteurs, et des perversions de la Parole.

236 Mais, remarquez, remarquez ce qui s’est passé. Jésus se retourne maintenant, et Il dit : “Ce qui arriva aux jours de Lot arrivera de même au temps de la fin, quand le Fils de l’homme commencera à Se révéler.” [espace non enregistré sur la.bande–N.D.É.] Voyez? “Fils de l’homme”, dans la Bible, c’est toujours un prophète. Voyez? Il est venu sous trois Noms de fils : Fils de l’homme, Fils de Dieu, Fils de David. Voyez? Et Il a exprimé Son Nom : “Fils de l’homme”, parce que c’est cette oeuvre-là qu’Il accomplissait, celle d’un prophète, d’un voyant. Il a dit : “Aux jours qui seront comme du temps de Noé, quand le Fils de l’homme commencera à Se révéler, là ce sera le temps de la fin.”

237 Maintenant, réfléchissons un petit instant. Jamais le monde n’a eu un messager mondial. Nous avons eu des Finney, des Sankey, des Moody, des Finney, Knox, Calvin, et ainsi de suite, tout autour du monde, des messagers pour l’église, dans ces douleurs de l’enfantement. Mais jamais nous n’avons eu, avant aujourd’hui, un homme qui sort proclamer un message international, dont le nom se termine par h-a-m. A-b-r-a-h-a-m, ça fait six lettres... A-b-r-a-h-a-m, ça fait sept lettres.

238 Nous en avons un, aujourd’hui, qui s’appelle G-r-a-h-a-m, six lettres, et six est le nombre du monde, le jour de la création. Quand est-ce que le monde a déjà eu un homme, là-bas maintenant, qui prêche dans, le kosmos là-bas, dans le monde, qui est là à appeler les gens à sortir : “Repentez-vous, repentez-vous! Périssez, ou sortez de là”, jusqu’à cet âge-ci? G-r-a-h-a-m, regardez ce qu’il fait : il prêche la Parole, il aveugle ceux du dehors, il appelle : “Sortez”, un messager venu de la part de Dieu. Jésus a dit que c’est ce qui arriverait, au moment où le Fils de l’homme Se révélerait. Maintenant, ça, où est-ce que ça se passe? Là-bas, dans les systèmes ecclésiastiques, le monde. Et ils commencent à haïr cet homme, à cause de ça.

239 Mais, souvenez-vous, il y avait également un groupe, qui était un groupe spirituel, c’était le groupe de Jacob, pas le–pas le groupe d’Ésaü. Il y avait le groupe de Jacob, qui attendait le fils, eux n’étaient pas dans cette Babylone, et ils ont reçu un Messager. Vous comprenez? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Abraham, A-b-r-a-h-a-m; eux ont reçu un Messager. Et ce Messager, quelle était la grande chose, la chose extraordinaire qu’Il a faite, pour montrer que c’était le temps de la fin? Il a discerné les pensées qui étaient dans l’esprit de Sara.

240 Et Jésus, le Fils de Dieu, qui avait été fait chair, Il montrait que l’Esprit de Dieu allait revenir dans ce petit Groupe élu du temps de la fin, et qu’Il Se révélerait de la même manière. Les douleurs de l’enfantement! Oh, frère, s’il vous plaît, essayez de comprendre. Faites vraiment un effort. Ouvrez vos coeurs un instant. Regardez à Christ. Ce même Dieu-là est ici même en ce moment. Ce même Dieu-là. Il a promis ces choses. Et s’Il les a promises, certainement qu’Il peut aussi les accomplir.

241 Courbons la tête un petit instant. Je voudrais que vous réfléchissiez, sérieusement.

242 Père, c’est entre Tes mains maintenant. J’ai fait tout ce que j’ai pu. Je Te prie d’aider les gens à–à comprendre. La Semence a été plantée. Verse de l’eau, l’Esprit, sur Elle, Seigneur, et arrose-La pour Ta gloire. Si j’ai fait une erreur, Seigneur, ce n’était pas mon intention. Je Te prie, ô Dieu, de–d’interpréter Cela comme il se doit, dans leurs coeurs, afin qu’ils voient et qu’ils comprennent. Accorde-le, Seigneur. C’est au Nom de Jésus que je fais cette prière. Amen.

243 Que le Seigneur vous bénisse. Je vous aime. Ce Dieu qui a prêché cette Parole, ce Dieu qui est responsable de cette Parole... je ne suis responsable que de La prononcer. C’est Lui qui doit La vivifier. Ce même Dieu-là est ici.

244 Maintenant, combien dans l’auditoire ont un besoin? Levez la main. Est-ce qu’Il a promis de faire ces choses dans les derniers jours? Maintenant, regardez-moi. Or, c’est comme Pierre et Jean, qui ont dit : “Regarde-nous.” Comme si... Voyez? C’est ce qu’il lui a dit. Maintenant, regardez par ici. Maintenant, s’il vous plaît, ne vous déplacez pas. Ceci est très... Je–j’essaie, j’y mets tout mon coeur. Soyez vraiment respectueux. Voyez? Chacun de vous, vous êtes un esprit, quand vous vous déplacez, évidemment, vous êtes une entité. J’essaie de capter la foi des gens.

245 Une petite femme est passée à côté de Lui et elle a touché Son vêtement, elle est allée s’asseoir. Jésus lui a dit quels étaient ses problèmes, et elle a été guérie.

246 Et maintenant, Il a promis de faire ça de nouveau, que le Fils de l’homme Se révélerait comme Il l’a fait à Sodome. Le monde est dans cet état-là. L’église est dans cet état-là. Maintenant, est-ce que Dieu a tenu Sa Parole? Voyez s’Il l’a fait ou pas. Oh, nous avons eu des signes, des sauts, des parlers en langues, des prophéties, ainsi de suite. Mais, attendez, il y a un autre signe. Oh, nous avons beaucoup d’imitations charnelles. Ça, ça ne fait que faire briller le vrai. N’importe quel faux dollar devrait faire briller le vrai.

247 Maintenant priez. Croyez. Vraiment, je–je vous invite à relever le défi, à faire ça. Regardez et croyez ce que je vous ai dit. Combien croient que c’est la Vérité? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Peu m’importe qui vous êtes, ni où vous êtes. Je...

248 Tous ceux qui sont ici, pour autant que je sache, me sont parfaitement inconnus, à l’exception de Bill Dauch et sa femme qui sont assis juste là, pour autant que je sache. Je pense que je connais ce jeune prédicateur, ici, qui vient de l’Allemagne, qui est assis là. Et le frère, deux ou trois personnes qui sont assises juste là.

249 Que quelqu’un qui est au fond de l’auditoire regarde, tout au fond. Je vous invite à relever le défi, à croire que ce que je vous ai dit est la Vérité.

250 Et quand l’Ange du Seigneur est descendu sur la rivière, il y a trente-trois ans, et qu’Il a fait cette remarque, que dire de ça? Comment est-ce que je pouvais savoir?

251 Et même mon pasteur baptiste m’a mis à la porte de l’église, il a dit : “Tu–tu as eu un cauchemar, Billy.”

252 J’ai dit : “Un cauchemar, mais pas du tout, docteur Davis. Si c’est comme ça, si c’est ça l’attitude que vous prenez, vous feriez bien de reprendre ma carte de l’association.”

253 Je savais qu’il y aurait quelqu’un, quelque part, qui Y croirait. Dieu n’enverrait pas un Message s’il n’y avait personne pour Le recevoir.

254 Oh, bien sûr, quand j’ai commencé à prier pour les malades, ça, c’était très bien. Mais quand je me suis mis à vous dire la Vérité de la Parole, là c’est différent. Vous devriez le savoir; c’est ce qui s’est passé pour tous les Messages.

255 Jésus était formidable, quand Il entrait dans l’église et qu’Il guérissait les gens, et tout. Mais un jour, quand Il s’est assis et qu’Il a dit : “Moi et Mon Père, nous sommes Un”, oh, avec ça, là c’était réglé. “Si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme, et si vous ne buvez Son Sang, vous n’avez point la Vie en vous-mêmes.” Il ne L’a pas expliqué. Il voulait voir qui resterait avec Lui. C’est vrai.

256 Qu’est-ce que vous pensez qu’une–qu’une foule, des docteurs et tout, ont dit : “Cet Homme est un... Mais, C’est un vampire. Manger Sa chair et boire Son Sang?” Il ne L’a jamais expliqué. Il ne L’a jamais expliqué.

257 Mais, quand même, pour les apôtres, cette Parole était solide. Ça leur était bien égal. Ils ne La comprenaient pas; ils La croyaient quand même. Voyez? Ils savaient, parce qu’ils avaient vu les oeuvres de Dieu, et ils savaient que c’étaient bien les oeuvres de Dieu. Il a dit : “Ce sont elles qui rendent témoignage de Moi.”

258 Voici un homme, une femme assise juste ici, elle a la main levée. Bon, vous pouvez me traiter de fanatique, si vous voulez; mais la même Colonne de Feu qui conduisait les enfants d’Israël dans le désert, est juste au-dessus de cette femme.

259 Or, souvenez-vous, Jésus a dit : “Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez. Je suis venu de Dieu. Je m’en vais à Dieu”, après Sa mort, Son ensevelissement. Il a dit aux Juifs, Il a dit : “Je...”

260 Il était ce Rocher qui était dans le désert. Il était cette Colonne de Feu, “JE SUIS CELUI QUI SUIS”. “JE SUIS”, c’était Qui? Cette Colonne de Feu dans le buisson ardent. Pas vrai? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Et Elle a été faite chair, et Elle a habité parmi nous. Il a dit : “Je suis venu de Dieu, et Je retourne à Dieu, afin de revenir sous la forme du Saint-Esprit.”

261 Et Le voici, avec nous aujourd’hui, des photos scientifiques En ont été prises. Le voici, pour le prouver, plus que n’importe quelle photo scientifique, plus que n’importe quoi; Il est ici, pour le prouver, car C’est Lui. “Moi, le Fils de l’homme, Je serai révélé en ce jour.” Maintenant, Le voilà, là-bas. Je suis en train de Le regarder.

262 Vous dites : “Est-ce que vous Le voyez?” Jean aussi L’a vu, mais les autres non.

263 Regardez, pour le prouver, là. Cette femme m’est inconnue. Je ne l’ai–l’ai jamais vue de ma vie. Mais elle a des problèmes avec un de ses membres, c’est pour ça qu’elle prie. Est-ce... C’est vrai, madame. Vous avez été opérée pour ça. C’est votre mari qui est assis à côté de vous. Vous n’êtes pas d’ici. Vous venez de la Californie. Votre nom est Roland. Vos problèmes d’estomac, ça aussi, c’est terminé, monsieur. Vous aviez des problèmes d’estomac. N’est-ce pas? Eh bien, c’est complètement parti. Votre jambe à vous est guérie.
“En ce jour-là, le Fils de l’homme...”

264 Tenez, assis par ici, juste là, il y a un homme. C’est un homme de couleur, il a un problème avec ses yeux. Il est... Oui. Il, son travail, ce qu’il fait, c’est quelque chose en rapport avec une voiture, il polit les voitures, il applique la cire sur les voitures. C’est exact. Votre vue baisse beaucoup. C’est vrai. Vous venez d’entrer dans la foi, n’est-ce pas? Une chose très étrange vous est arrivée. Votre prénom est Fred. C’est exact. Votre nom de famille est Conn. C’est exact. Croyez-vous maintenant? Alors, vous n’aurez plus de problèmes avec vos yeux. Je n’avais jamais vu cet homme de ma vie.

265 L’homme qui est juste derrière, là, il n’est pas d’ici non plus. Il vient de la Californie. Il a des problèmes de dos. M. Owens. C’est bien vous. Le Seigneur Jésus vous rétablit. Je n’ai jamais vu cet homme de ma vie, je ne sais rien de lui. Je ne fais que suivre cette Lumière, à mesure qu’Elle se déplace.

266 “Si vous pouvez le croire, tout est possible à ceux qui croient.”

267 Le jeune homme, assis ici, il a une hernie, il porte des lunettes et un complet gris. Fred, Dieu te guérit, si tu le crois. Est-ce que tu veux l’accepter? Très bien. Je ne l’ai jamais vu de ma vie.

268 Mme Holden, assise un peu plus loin, vous souffrez d’un problème aux yeux. Je ne connais pas cette femme, je ne l’ai jamais vue de ma vie, mais c’est vrai. Voyez? “Si vous pouvez le croire.”

269 Pourquoi pleurez-vous, petite soeur? Vous souffrez d’une dépression nerveuse, d’une bronchite, de problèmes cardiaques. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Assise sur le siège au bout, là-bas. Si vous croyez, de tout votre coeur, Jésus-Christ vous rétablira. Toute cette nervosité s’en ira de vous, vous sentirez que vous avez retrouvé votre état normal. Le diable vous ment. Est-ce que vous l’acceptez? Maintenant levez la main, dites : “Alors je vais l’accepter.” D’accord. C’est fini.

270 Qu’en est-il? Cette église est en train d’éprouver une douleur d’enfantement. Ne voulez-vous pas faire votre choix maintenant, dans Sa Présence? Je vous ai montré exactement la Parole, ce qu’Il a dit qu’Il ferait.

271 Passez cette salle au peigne fin, demandez à quiconque a déjà été touché, ou à qui j’ai parlé, ou quoi que ce soit, voyez si je les avais déjà vus, si je les connaissais, ou savais quoi que ce soit à leur sujet. Pensez-vous qu’un homme pourrait faire ça? C’est totalement impossible que ça arrive.

272 Eh bien, qu’est-ce que C’est? Le Fils de l’homme. “La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, Elle discerne l’esprit, les secrets du coeur.” Exactement telle qu’Elle était quand Elle a été faite chair ici sur terre, dans le Fils de Dieu; maintenant Elle est en train d’être révélée par le Fils de Dieu, qui est venu appeler une Épouse à sortir de ce système. “Sortez de là. Séparez-vous, dit Dieu. Ne touchez pas à leurs choses impures, et Dieu vous accueillera.”

273 Êtes-vous prêts à abandonner toute votre vie à Dieu? Si vous êtes prêts, levez-vous, dites : “Je vais, par la grâce de Dieu, L’accepter tout de suite, de tout mon être.”

274 Alléluia! Que Dieu soit loué! Le croyez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Alors, levez simplement les mains et priez avec moi.

275 Confessez vos fautes. Les douleurs de l’enfantement! C’est difficile de mourir, mais mourez maintenant même. Mourez, sortez de votre incrédulité. Sortez-en. Ceci, c’est la Parole de Dieu manifestée, tout comme Elle l’avait été quand Jésus est venu sur terre. C’est Jésus-Christ de nouveau parmi vous, la preuve est faite.

276 Abraham a reçu un fils, le fils promis, aussitôt après que cela a eu lieu.

277 Et Jésus revient. Ça, c’est Son Esprit. Il est tellement près de la terre, Sa venue est tellement proche qu’Il est prêt à vous accueillir, si vous êtes prêts à Le recevoir.
Maintenant levez les mains et priez avec moi.

278 Seigneur Dieu, que tous les sacrificateurs s’accrochent aux autels. Que les gens poussent des cris. Puissent la Colonne de Feu et la Colonne de Nuée entrer dans les gens aujourd’hui et les rappeler à la réalité, Seigneur, leur faire prendre conscience de la Présence du Dieu vivant et puissant. Accorde-le, Seigneur. Accueille-les. Je fais cette prière pour chacun d’eux, au Nom de Jésus-Christ.

279 Remplis du Saint-Esprit tous ceux qui n’ont pas le Saint-Esprit. Seigneur, puisse le réveil, de cette campagne, de cette série de réunions, percer à l’instant même, produire une grande et puissante effusion du Saint-Esprit. Puissent les malades être guéris, les aveugles voir, les infirmes marcher. Puisse la manifestation du Dieu vivant être produite en présence des gens, comme elle l’a été cet après-midi, et puissent les gens recevoir cela. C’est au Nom de Jésus-Christ que je le demande.

280 Levez les mains maintenant et donnez-Lui la louange, et recevez ce que vous avez demandé.

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