Un Sur Un Million
1 Merci, Frère Shakarian. Et bonjour, mes amis. C’est vraiment un plaisir d’être de nouveau ici, à Los Angeles, ce matin, avant cette grande convention, et avant les réunions qui auront lieu à l’hôtel Embassy pendant la semaine qui vient. Je compte bien vous voir tous là-bas. Et tous, nous sommes dans l’expectative de rencontrer notre Seigneur Jésus, de Le voir, Lui, là-bas. Il a promis qu’Il y serait. “Là où deux ou trois seraient assemblés”, Il serait là.
2 Et je suis sûr que je L’ai rencontré ce matin, en montant les marches pour me retrouver ici, dans cette salle, au moment où tous les gens attendaient avec grande impatience le petit-déjeuner et la prédication. C’est un plaisir d’être avec vous, assemblés ici, et je dirai ceci à ceux qui nous écoutent à la radio. Il y a tellement de monde ici qu’ils... il a fallu que je descende à l’étage inférieur, pour parler à quelques personnes. Après avoir vu tellement de requêtes, des maladies de coeur et divers maux qui affectent leur corps, nous sommes maintenant ici pour prier pour les malades et les affligés.
3 Comme j’arrivais en haut des marches... J’ai justement ce monsieur âgé devant les yeux. Il s’est avancé vers moi et il m’a dit : “Frère Branham, il y a des années...” Il disait qu’il avait eu une maladie de coeur tellement grave qu’il... qu’on pensait qu’il allait mourir. Il avait fait prier pour lui, et la grâce de Dieu l’a guéri. Et le voici ce matin, il a quatre-vingts ans bien tassés, et il est dans la joie. Alors, cela nous donne une espérance nouvelle.
4 Maintenant, je demande avec instance les prières des gens qui écoutent ceci à la radio de même que de ceux qui sont ici. Après cette série de réunions, je partirai pour me rendre en Europe, en Afrique et ailleurs, pour des réunions. Et j’y vais par suite d’une vision, alors ce sera des réunions glorieuses, là-bas, j’en suis sûr. Depuis des années, j’ai le sentiment que le Seigneur veut que j’y retourne. Ce petit ministère humble, tout humble, qu’Il m’a donné, je ne pense pas qu’Il l’ait mené à terme là-bas, pas tout à fait encore. Il semblerait qu’il y ait peut-être quelque part une âme que je pourrais attraper dans le filet de l’Évangile, ce filet qu’Il m’a donné pour pêcher les gens, par le moyen de la guérison Divine, de la prière pour les malades. Et je demande avec instance vos prières, à vous qui êtes ici et à ceux qui nous écoutent à la radio.
5 En ce moment je n’ai pas le temps de prendre un sujet et de prêcher, ce que je compte faire dans quelques minutes, ici, dans la–dans la... dans cette salle, mais je vais juste vous parler pendant quelques instants, faire connaissance. Quant aux gens qui sont dans le pays, je vais tout de suite faire la prière pour eux, là-bas, et pour vous qui êtes ici également. Je suis vraiment heureux de rencontrer tous ces gentils et nouveaux amis que je n’avais jamais rencontrés avant d’avoir été mis en rapport avec eux ce matin.
6 Nous avons passé des moments merveilleux dans les services à d’autres endroits. Je ne m’éloigne plus beaucoup, il y a tellement à faire. Nous nous efforçons simplement de faire la navette entre Jeffersonville, dans l’Indiana, et Tucson, en Arizona, où nous sommes allés nous installer il y a quelques années, par suite d’une vision du Seigneur, qui nous a envoyés là-bas, et sans que je sache où j’allais. J’en ai parlé un peu, à beaucoup d’entre vous, ici à la cafétéria Clifton, avant mon départ, de même qu’aux réunions de Phoenix, de cette vision qui était venue. J’avais vu un rassemblement de sept Anges.
7 Je sais que, vous qui nous écoutez à la radio, peut-être que beaucoup d’entre vous ne sont pas du plein Évangile, alors ceci peut sembler un peu mystérieux pour vous. Et ça le serait pour moi aussi, mais il y a... Si quelqu’un peut expliquer quelque chose, il n’y a plus à l’accepter par la foi. Ce sont des choses que nous ne pouvons pas expliquer que nous devons accepter par la foi. Nous ne pouvons pas expliquer Dieu. Aucun homme ne peut expliquer Dieu. Il est Souverain, et Il est grand et puissant. Nous–nous l’acceptons, c’est tout, parce que nous savons qu’Il est là. Et alors, à cause de la foi que nous déployons en l’acceptant, Il nous apporte la réponse, le baptême du Saint-Esprit.
8 Et je vais justement vous parler, dans quelques instants, ici, de “la voie, ou le lieu d’adoration de Dieu”. Et le seul lieu où vous pouvez L’adorer, le seul lieu où Il vous rencontrera jamais, il faut... Il y a une seule Église, un seul lieu, un seul moment, un seul peuple, c’est tout ce que Dieu rencontre. J’espère que le Seigneur bénira ce Message, dans vos coeurs, ici.
9 Or, de venir à Tucson, c’était étrange, ces visions qui vous parlent au Nom du Seigneur. Pas une seule d’entre elles, d’aussi loin que je m’en souvienne, et je demanderais à n’importe qui d’autre s’il peut se souvenir d’une seule fois où Il aurait dit quelque chose qui n’était pas la Vérité. La chose arrive toujours exactement comme Il dit qu’elle arrivera.
10 Et, d’après les Écritures, Il doit revenir vers nous dans les derniers jours, avec ce genre de ministère. Ce sera après le baptême de l’Esprit, le parler en langues, la guérison Divine et ainsi de suite, après ces choses-là. Le couronnement du message pentecôtiste, voilà de quoi nous parlons aujourd’hui. Ce ministère, du Christ Lui-même, personnifié au milieu de Son peuple, faisant les choses mêmes qu’Il avait faites lorsqu’Il était ici sur terre : dans Son Corps, l’Épouse qui fait partie de Lui, faisant ces mêmes choses, en tant que Mari et Femme, ou en tant que Roi et Reine, juste avant la cérémonie de Mariage.
11 Cette semaine, si le Seigneur le veut, j’aimerais parler un peu de cela, pendant notre campagne là, au–à l’hôtel Embassy, et, à ma façon humble de le faire, faire un peu connaissance. Au–au temps et à l’heure où nous vivons, si une personne ne sait pas quelle direction prendre, quoi faire ou de quel côté se tourner, là on–on ne marche plus par la foi; on ne fait que supposer, on présume. Et présumer, c’est “s’avancer sans autorité officielle”. Alors, si nous n’avons pas la vraie autorité officielle, pour connaître ce que Dieu a dit qu’il arriverait en cette heure, comment donc pourrons-nous faire face à cette heure? Et il nous faut y faire face en connaissant, par la foi en Sa parole, les choses qui doivent arriver maintenant; et l’état des nations, l’état des gens, l’état de l’église, et tout ça.
12 Nous devons connaître ces choses, et ensuite savoir comment aller y faire face. Si on ne sait pas comment faire, on ne fait que–que, comme nous disions autrefois, se lancer au petit bonheur la chance – se lancer, en espérant que ça arrivera, en espérant ceci, et en espérant cela, et “est-ce que ça va arriver?” Mais Dieu ne veut pas que nous fassions cela. Il veut que nous sachions ce qu’Il a dit au sujet de cette époque-ci, et qu’ensuite nous l’affrontions par la foi, parce qu’Il a dit que ce serait comme ça. Alors, nous–nous savons que vous êtes Vérité, à ce moment-là, parce que vous n’avez pas reçu la parole d’une personne, vous avez reçu Sa Parole à Lui, quant à ce que nous devons faire. Et nous espérons que notre Père Céleste va–va nous accorder cela cette semaine.
13 Bon, je suis désolé d’avoir interrompu ce que j’étais en train de dire il y a quelques instants, au sujet de ma venue à Tucson. Moi, ce que je pensais, c’est que c’était la fin de ma vie. Je pensais que personne ne pourrait jamais supporter un tel choc – ce qu’il y avait eu là, ce qui était arrivé dans cette vision, ce matin-là chez moi, vers dix heures – et survivre à ça. Alors, je suis venu à Tucson, j’ai pris mes dispositions avec mon fils, pour que ma femme et–et mes enfants aillent le rejoindre après mon départ, parce que je pensais que c’était ma fin. Et je, à Phoenix, et dans beaucoup de réunions, avant que ça arrive, je vous avais dit exactement comment ça arriverait.
14 Eh bien, quelques mois plus tard, un matin, j’étais dans le canyon Sabino, qui est situé juste au nord de Tucson. J’étais là-haut pour prier. Et pendant que je priais, j’avais la main en l’air, et je disais : “Père, je Te prie de me venir en aide d’une façon ou d’une autre, de me donner de la force, pour cette heure qui est devant moi maintenant. Et si ma tâche est terminée, ici sur terre, alors je dois aller vers Toi. Et ce n’est pas que j’y aille avec regret, mais, je sais que Tu prendras soin de ma famille. Je–je Te demande seulement de la force, pour cette heure.” Et quelque chose a heurté ma main!
15 Or, pour vous qui nous écoutez à la radio, ce que j’ai dit peut vous paraître étrange, mais c’est la vérité. Et Dieu est mon Juge.
16 J’ai regardé dans ma main, et il y avait une épée, avec un fourreau autour de la poignée. La poignée proprement dite était en nacre, et il y avait comme un genre de garde en or autour de la poignée. Et la–la lame, elle, à la voir, elle semblait comme, assez luisante, comme, oh, quelque chose comme du chrome ou quelque chose, qui miroitait au soleil.
17 Maintenant, c’était vers dix ou onze heures du matin, très haut, sur le sommet d’une montagne. Vous imaginez ce qu’une personne (car il me semble bien que j’ai toute ma tête) ressentirait, debout, avec une épée venant de nulle part, personne à des kilomètres à la ronde, et tenir cela dans sa main. Je l’ai touchée, je l’ai saisie et j’ai fait tournoyer la lame de côté et d’autre, et c’était bien une épée.
18 J’ai regardé autour de moi. J’ai dit : “Eh bien, mais comment cela a-t-il pu se produire? Me voici ici, debout, ici même, personne à des kilomètres à la ronde, alors d’où est-ce que c’est venu?” Et j’ai dit : “Eh bien, je–je pense que c’est peut-être le–le Seigneur, qui me signale que c’est le moment de ma fin.”
Et une Voix a parlé et a dit : “C’est l’Épée du Seigneur.”
19 J’ai pensé : “Eh bien, une épée, alors, ça sert à un roi, par exemple, pour faire quelqu’un chevalier.” Vous savez, comme on le faisait autrefois, en Angleterre et à différents endroits. J’ai pensé : “C’est à ça que ça sert, à faire quelqu’un chevalier.” J’ai pensé : “Eh bien, peut être que je dois imposer les mains aux gens, ou...” J’avais toutes sortes... La pensée humaine peut être tout embrouillée, vous savez. On ne sait pas. Notre pensée est limitée; la Sienne est infinie. Et au même moment, donc, elle... Alors elle a quitté ma main, et je ne sais pas où elle est allée, elle a disparu, tout simplement. Eh bien, pour quelqu’un qui ne comprend pas grand-chose aux choses spirituelles, il–il y aurait de quoi devenir fou. Vous resteriez là, à vous demander ce qui s’est passé.
20 Et Il a dit : “Cette vision, ce n’est pas le moment de ta fin. Elle a trait à ton ministère. Cette Épée, c’est la Parole. Les Sept Sceaux vont être ouverts, les mystères des...”
21 Deux semaines après, ou plutôt, deux mois après, j’étais sur la montagne avec un groupe d’amis, quand c’est arrivé. Sept Anges, aussi visibles que vous qui êtes ici, sont descendus du Ciel, d’un vol rapide. Les pierres se détachaient des montagnes et dévalaient les pentes, et–et les gens qui se trouvaient là poussaient des cris et tout, vous savez, la poussière volait partout. À ce moment-là, Il a dit : “Retourne chez toi. C’est pour maintenant, chaque Ange sera un sceau des Sept Sceaux.”
22 Et c’est sur bande. Le livre va bientôt sortir, on est en train de le grammariser. Comme vous le savez, ma grammaire n’est pas très bonne, et les gens ne... Vous devez vraiment être des gens qui m’aiment, pour pouvoir me comprendre, avec ma grammaire. Mais un théologien est en train de le grammariser pour moi, et d’en enlever tous les–les... Eh bien, peut-être que je n’ai pas utilisé le bon mot, là. Je ne sais même pas. Alors, j’ai entendu quelqu’un rire, alors, je suppose que ce mot “grammariser” n’était pas bon. Mais moi, c’est comme pour le Hollandais, il faut vraiment prendre ce que je veux dire, et non ce que je dis.
23 On vient de m’annoncer qu’il ne reste que trois minutes avant la fin de l’émission.
24 Maintenant, chers amis qui écoutez ceci à la radio, et vous qui êtes malades et dans le besoin ici dans l’auditoire, pourriez-vous juste poser vos mains les uns sur les autres, pendant que nous prononcerons cette prière pour les malades. En effet, Jésus a dit, la dernière commission qu’Il a donnée à l’Église : “Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru.” “Ceux”, ceux qui auront cru! “S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.”
25 Cher Père Céleste, nous sommes comme des enfants aujourd’hui, nous obéissons à ce que Tu nous as dit de faire. Nous posons les mains sur toutes ces requêtes reçues par téléphone. Tu vois ceux qui sont dans le pays, là-bas, combien ils sont dans le besoin, les souffrances. Tu vois ceux qui sont dans le besoin, ici, qui souffrent. Alors nous Te les confions, Dieu bien-aimé, avec la foi en Ta Parole, en ce que Tu as dit : “Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru. S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.” Accorde-le, Seigneur, au Nom de Jésus-Christ. Amen. [espace non enregistré sur la bande–N.D.É.]
[Frère Branham termine la première émission de radio.–N.D.É.]
26 Merci, Frère Shakarian. C’est vraiment un grand privilège d’être de retour sur les ondes, pour parler à quelques-uns de nos amis, ceux qui écoutent ceci à la radio de même que ceux qui sont ici.
27 Maintenant, bien sûr, nous vous invitons à venir à l’hôtel Embassy demain après-midi, pour qu’on prie pour vous. Et ce n’est pas tout, emmenez aussi ceux qui sont pécheurs et ceux qui sont rétrogrades. Si nous ne faisons que prier pour les malades – et, effectivement, nous voyons Dieu opérer constamment de grands miracles, mais ça, c’est secondaire. L’essentiel, c’est d’être sauvé, rempli de l’Esprit de Dieu, et c’est de ça que je vais vous parler ici, dans quelques instants, et de cette nécessité absolue pour nous d’être remplis de l’Esprit de Dieu.
28 Généralement, la guérison Divine attire l’attention des gens, et les amène dans la Présence de Dieu. Quand Dieu fait quelque chose que–qu’ils savent être in-... eh bien, qui est incompréhensible. Nous ne pouvons pas démontrer le mécanisme de la chose, comment elle s’opère. Dieu le fait à Sa façon à Lui, qui est formidable. Alors, c’est ce qui attire l’attention des gens, de se rendre compte que, quelque part, il y a la Présence d’une Puissance capable de faire quelque chose qui dépasse l’entendement humain, et c’est ce qui les incite à se tourner vers l’Agneau de Dieu. Et toujours, la guérison Divine – on m’a dit, et c’est ce que je crois moi-même, qu’environ soixante à soixante-dix pour cent du ministère de notre Seigneur a été consacré à la guérison Divine. Et Il a fait ça pour attirer les gens. Puis, une fois qu’ils étaient là, Il disait : “Si vous ne croyez pas ce que Je suis, vous périrez dans votre péché.”
29 Alors, la guérison Divine est une attraction formidable, pour amener les gens à se tourner vers le Seigneur Jésus. Et le docteur F. F. Bosworth, que beaucoup d’entre vous ont eu pour ami et ont connu, et dont le ministère a tant compté pour moi à l’époque où j’étais un jeune ministre. J’ai commencé à faire des réunions, et là j’ai rencontré Frère Bosworth. Il disait : “La guérison Divine,” c’est une déclaration assez directe, là, il disait, “la guérison Divine, c’est l’appât sur l’hameçon.” Il disait : “On ne montre jamais l’hameçon au poisson. On lui montre l’appât, et là il vient chercher l’appât, et il se fait prendre à l’hameçon.” Alors, voilà ce que nous essayons de faire. Voilà notre... nous... Notre but est d’amener les gens au Seigneur Jésus-Christ. Et Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Donc, s’Il était le Guérisseur autrefois, Il est le Guérisseur aujourd’hui.
30 Juste un témoignage personnel, avant que je prie pour les malades qui écoutent ceci à la radio. Il y a quelques jours, j’étais dans les montagnes, à l’endroit où une grande chose s’était produite en présence de quinze ou vingt frères, à l’endroit où l’Ange du Seigneur était descendu de façon si extraordinaire, avec une grande Lumière qui fendait l’air, semblable à une comète, et qui fracassait les montagnes ici et là, et les pierres étaient projetées à une distance de deux cents pieds [soixante mètres] ou plus, tout autour, elles arrachaient la cime des arbres. Je me tenais là, juste au-dessous de Cela. Et je leur avais annoncé, juste quelques mois avant que ça arrive, que Ce serait là et ce qui arriverait; en fait, la chose avait été annoncée la veille. Et tous ces hommes couraient se réfugier sous les camions et tout, ils essayaient de fuir. Ils ne savaient pas ce qui s’était produit. Il a parlé et m’a dit ce qui allait se produire aussitôt après.
31 J’étais là, assis sur un certain rocher, à l’endroit même où Il était apparu, et un–un ami était avec nous, il était venu du Minnesota. Les gens de sa famille sont ici ce matin, et je n’en suis pas sûr, mais il est bien possible qu’il soit lui-même ici, quelque part à un autre étage. C’était Donovan Weerts, un jeune homme très bien, un luthérien qui venait de donner sa vie à Christ et qui avait été rempli du Saint-Esprit. Un jeune homme très humble, d’origine allemande, âgé d’une trentaine d’années, avec une famille, deux ou trois jeunes enfants. Il est venu habiter à Tucson, juste pour être dans mon voisinage, et trois à quatre cents personnes étaient venues habiter là-bas, pour être dans mon voisinage. Alors, il...
32 Et je suis heureux d’avoir de tels voisins. Ils m’accompagnent, jusqu’en Afrique du Sud, et partout autour, juste pour être tout près et pour voir les... avec moi, m’accompagner et savourer les joies de l’Éternel.
Un jeune homme tellement humble que je ne l’avais pas beaucoup remarqué.
33 Bien entendu, les gens que je connais et que je côtoie sont comme mes propres frères et soeurs. Je les observe, et si j’ai l’impression qu’ils sont en train de sortir des rangs, alors je les prends à part et je parle avec eux, parce que je les aime. Nous voulons vivre ensemble dans la Gloire. Et peut-être que parfois, dans les réunions, vous trouvez que je vous parle durement. Ce n’est pas pour ça. Ce n’est pas parce que je ne vous aime pas, au contraire, ça vient de mon coeur, parce que je–je... Il ne peut y avoir qu’une voie. Il n’y a qu’une seule voie, pour servir Dieu, et c’est... Et nous devons rester dans Sa voie, quelles que soient nos pensées. Sa voie à Lui!
34 Et j’ai remarqué que Donovan, le bout de son oreille, à droite, était enflé, c’était peut-être trois fois plus grand que la normale, et ça me paraissait très rouge. Eh bien, là, j’ai pensé que peut-être, là-bas dans le désert depuis quelques jours, que là où nous avions été, peut-être que des piquants de cactus s’étaient enfoncés dans son oreille. Mais, quand j’ai pris sa main, j’ai découvert que c’était un cancer. Alors, j’ai dit à Donovan, j’ai dit : “Donovan, est-ce que tu... Ça fait combien de temps que tu as ça à l’oreille?” Pour ne pas éveiller son attention, je faisais comme si je ne savais pas. J’ai dit : “Ça fait combien de temps que c’est là, Donovan?”
Il a dit : “À peu près six mois, Frère Branham”, il a dit.
J’ai dit : “Pourquoi ne m’en as-tu pas parlé?”
35 Il a dit : “Oh, je vous voyais tellement occupé,” il a dit, “je ne voulais pas le faire.” Il a dit : “Je me suis dit qu’à un moment donné, peut-être que le Seigneur vous le dirait.”
Alors, j’ai dit : “Réalises-tu ce que c’est?”
Il a dit : “Je m’en doute.”
J’ai dit : “C’est bien ça.”
36 Et le surlendemain matin. Sans rien de plus que d’avoir tenu la main de ce jeune homme; le surlendemain matin, il n’y avait pas même une marque sur son oreille. C’était complètement parti.
37 Trop souvent, nous nous échinons à essayer d’arriver à ceci, à cela. Ou... Voyez-vous, c’est : “Voici les signes qui accompagneront le croyant.” Ça ne dit pas : “S’ils prient pour les malades.” “S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris!” Il faut, nous-mêmes, avoir foi en ce que nous faisons. Très bien.
38 Bon, donc, Donovan est probablement là. Vous le rencontrerez. Il sera là, s’il n’est pas déjà là ce matin, quelque part à un autre étage. Vous le rencontrerez, et il reconnaîtra le témoignage.
39 Qu’est-ce que je pourrais dire de plus? Je crois que c’est Luc ou Jean, l’un des deux, qui a dit que le monde ne pourrait con-... tenir, contenir les livres qu’on pourrait écrire sur ce qu’Il a accompli au milieu des gens, en ces derniers jours; alors que les malades ont été guéris, que les alcooliques ont été délivrés, par milliers, et de toutes sortes de maladies et d’afflictions.
40 Maintenant, vous qui écoutez ceci à la radio de même que vous qui êtes ici, je tiens en ce moment une grosse poignée de requêtes qui ont été reçues par téléphone ce matin, car il sonne sans arrêt depuis notre arrivée. Donc, nous... Cent quatre-vingt-seize requêtes ont été reçues ce matin, par téléphone, depuis que nous sommes ici. Alors, unissons-nous en prière maintenant, pendant que chacun... Où que vous soyez, là dans le pays, posez vos mains les uns sur les autres, si vous êtes croyants. Sinon, posez votre main sur la Bible ou sur quelque chose, pendant que nous prions, ici et là-bas.
41 Cher Père Céleste, le petit témoignage de Donovan Weerts, Seigneur, ce n’est qu’un parmi les milliers que, dans Ta grâce, Tu... Je Te prie de plonger le regard dans le coeur des gens, tant ceux qui sont ici que ceux qui écoutent ceci à la radio. Puissent-ils être guéris, tous sans exception. Que le malin les quitte, et qu’ils soient délivrés de toute leur affliction. Accorde-le, Père. C’est au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils, que nous le demandons. Amen. “Merci, Seigneur...” [espace non enregistré sur la bande–N.D.É.]
[Frère Branham termine la deuxième émission de radio.–N.D.É.]
42 Eh bien, c’est la troisième fois que je monte ici ce matin. Oh! Et, vous savez, on vient d’annoncer qu’il faudra vider les lieux dans environ douze à quatorze minutes, ou quelque chose comme ça. La direction dit, ils sont à l’autre étage, là, et ils ne peuvent pas servir les repas. Nos repas à nous se sont prolongés; nous avons beaucoup de plats, vous savez. Donc, nous sommes très, très heureux d’avoir eu ce merveilleux jubilé gastronomique spirituel – c’est le nom que je donnerais à ça – ce matin, ici, avec ce beau groupe d’hommes.
43 J’aimerais mentionner que nous... de nouveau les services qui auront lieu demain après-midi, à l’hôtel Embassy. Donc, nous prierons pour les malades là-bas, et nous nous attendrons à ce que Dieu nous rencontre. Je suis venu apporter ma contribution, mon ministère, pour faire (tout notre possible), faire que ces réunions soient une réussite. Pas une réussite parce que ce sont nos réunions, mais une réussite parce que les gens y auront trouvé Jésus-Christ. La réussite, c’est ça. Dans des réunions, quelles qu’elles soient, peu importe combien nous louons Dieu, combien de choses glorieuses nous Le voyons faire, combien de fois Il nous parle par l’Esprit, et ainsi de suite; s’il n’y a pas de résultats : des âmes qui entrent dans le Royaume!
44 Et Frère Shakarian vient de faire toute une–une déclaration, tout à l’heure, sur ce qu’il pense de ces jours où nous–nous vivons. Et je le crois réellement, de tout mon coeur, que nous vivons vraiment au moment de la fin, vraiment dans les–vraiment dans les ombres du soir. Le soleil est à son déclin. Et quand nous voyons les choses se passer comme elles se passent aujourd’hui, eh bien, allez savoir ce qu’une autre génération pourrait produire. Il y a quelques jours...
45 Je vais vous faire part d’une petite information. On a fait une étude dans toutes les écoles de l’Arizona, là où j’habite. On a fait passer aux enfants, sans qu’ils le sachent, un test mental. Et vous savez quoi? Ça incluait les écoles secondaires et–et les écoles primaires : quatre-vingts pour cent des enfants souffraient d’une déficience mentale. Soixante-dix pour cent d’entre eux étaient des téléspectateurs actifs. Voyez, ces vilaines choses, elles se sont infiltrées chez nous, et nous ne... On se demande pourquoi ça arrive. On peut entendre la Voix de Dieu crier très fort contre ces choses, mais nous–nous voilà quand même embourbés là-dedans.
46 Je vais vous dire quelque chose de bouleversant. Voyez-vous : “Ceux qui Me disent : Seigneur, Seigneur! n’entreront pas tous, mais celui-là seul qui fait la volonté de Mon Père.” Sa volonté, c’est Sa Parole. Nous aurons beau être on ne peut plus religieux, passer des moments merveilleux, à pousser des cris, à sauter, au cours de ces réunions, et nous... Je ne–je ne veux pas critiquer. Mais j’ai un–un devoir envers Dieu, et ce devoir, c’est d’être sincère et de dire ce qu’Il veut que je dise. Et je suis–je suis vraiment reconnaissant de la patience de ce chapitre, ici en Californie, qui m’a supporté dans–dans mes convictions. Si je n’exprime pas mes convictions, alors je suis un hypocrite et, bon, je ne suis même pas honnête avec vous. Et si je ne peux pas être honnête avec vous, comment pourrais-je être honnête avec Dieu, puisque c’est vous que je vois et à qui je parle. Bien sûr, nous parlons à Dieu aussi, mais nous devons être vraiment sincères et honnêtes les uns avec les autres. Nous sommes dans un–un âge horrible, vraiment horrible. Et vous êtes-vous déjà arrêtés...
47 Je vais juste vous faire part d’une petite analyse. “Ceux qui Me disent : Seigneur, Seigneur! n’entreront pas tous, mais celui-là seul qui fait la volonté de Mon Père.” Jésus a dit, sur terre : “L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole.” Toute Parole! Pas juste une Parole de temps en temps, mais de toute Parole.
48 C’est une seule Parole qu’on a omis de croire, de Dieu... des commandements de Dieu, c’est ce qui a causé la mort, le chagrin, toutes les maladies et toutes les peines, le fait d’omettre la Parole de Dieu, une seule Parole! S’il a entraîné la race humaine dans la mort, en omettant, en omettant de croire une Parole, une seule : “certainement”, certainement. Mais Il avait dit que c’est ce qui arriverait. Satan, lui, il a dit : “Certainement que ça n’arrivera pas.” Mais c’est bel et bien arrivé.
49 Donc, nous devons observer chaque Parole de Dieu. Et si l’être humain, avec toutes les souffrances et toutes les choses qu’a subies la race humaine, du fait d’avoir mal interprété ou–ou d’avoir omis de croire une seule Parole – comment allons-nous revenir, si nous omettons une seule Parole, puisqu’il en a coûté un tel prix, jusqu’à la vie même de Son Fils? ...il y a beaucoup d’appelés,... peu d’élus. ...il y a beaucoup d’appelés,... peu d’élus.
50 Je ne pourrai pas prendre ceci pour sujet, mais, parce que nous n’avons pas le temps, mais je voudrais juste vous laisser quelque chose. Pensons à...
51 Un jour, je suis allé avec Frère Shakarian à un endroit où on faisait l’hybridation du bétail. Et j’ai vu le–le... dans le laboratoire où Frère Shakarian m’avait fait entrer. Et ils ont plongé dans le sperme du bovin mâle un petit... une espèce de petit instrument, comme une tige d’allumette, et ils ont prélevé une certaine quantité de ce sperme, et ils ont mis ça sous une loupe qui grossissait des centaines de fois. Et il y avait là de petits germes qui sautillaient dans ce, dans ce sperme. Bien entendu, nous savons que le germe vient du mâle, et l’ovule de la femelle. Et j’ai demandé au chimiste qui était là, j’ai dit : “Qu’est-ce qui fait ça, le petit sautillement, là?”
Il a dit : “Ça, ce sont–ce sont des petits taureaux et des petits veaux.” Voyez?
Et j’ai dit : “Dans cette petite goutte-là?”
Il a dit : “Oui.”
52 J’ai dit : “Alors, peut-être que, dans la quantité totale de sperme, il y en aurait un million?”
Il a dit : “Oh oui.” Voyez? Maintenant, soyez très attentifs.
53 Or, quand cette grande chose se produit, il y a un ovule qui attend un germe, parmi ce million. Et personne ne sait quel germe ce sera, ni quel ovule ce sera. Si vous observez la naissance naturelle, elle est plus mystérieuse que la... que la naissance virginale. En effet, dans ce sperme, il y en a un seul qui a été prédestiné à vivre, et tous les autres mourront. Et ce n’est pas le premier arrivé; c’est le premier qui s’unit à l’ovule. Peut-être que l’ovule, il se pourrait qu’il arrive du fond du sperme, ou du milieu du sperme; le germe pourrait très bien faire la même chose. L’ovule. Le germe se glisse à l’intérieur de l’ovule, et les petites queues qui se détachent du germe, voilà l’épine dorsale qui commence à se former. Il n’y en a qu’un seul, dans toute cette décharge, d’un million, qui va y parvenir, un seul; et ce qui en décide, c’est une Force inconnue de l’homme. Pourtant on est tous pareils, tous ces germes, ils sont pareils. Même chose pour les animaux. Même chose pour les humains. Si ça va être un garçon ou une fille, aux cheveux roux, aux cheveux noirs, ou autre, tout est décidé. C’est Dieu qui en décide. Ils ont tous la même apparence naturelle, mais il y en a un parmi eux qui a été destiné à la vie; un sur un million, pourtant ils sont tous pareils.
54 Quand Israël a quitté l’Égypte, ils étaient environ deux millions de personnes, qui sont parties en même temps. Tous, ils ont entendu le message d’un prophète. Tous, ils ont vu la Colonne de Feu. Tous, ils ont reçu le baptême de Moïse, dans la mer Rouge. Tous, ils ont poussé des cris par le–l’Esprit, ils ont battu du tambourin et couru de long en large sur la côte, avec Miryam, quand Moïse a chanté par l’Esprit. Tous, ils ont bu au même Rocher spirituel. Tous, ils ont mangé de la Manne fraîche tous les soirs. Tous! Mais il y en a deux qui sont entrés dans le pays : un sur un million.
55 Quel a été le test? Ils ont tous bu au même Rocher, ils ont tous mangé la même Manne spirituelle, comme nous en mangeons ce matin, mais c’est par le test de la Parole qu’ils ont été mis à l’épreuve. Quand est arrivée l’heure de Kadès-Barnéa, au moment où ils allaient entrer dans le pays promis, ils ne pouvaient pas y entrer avant d’avoir été testés par la Parole. Et tous les–les dix autres sont revenus, et ils ont dit : “Nous ne pouvons pas y arriver! Les gens sont comme... Nous sommes comme des sauterelles à côté d’eux, de leur grande ville fortifiée. L’opposition est trop forte.”
56 Mais Josué et Caleb ont fait taire le peuple. Ils ont dit : “Nous sommes plus que capables d’y arriver!” Pourquoi? Dieu avait dit, avant qu’ils partent, le pays promis : “Je vous ai donné le pays. Je vous l’ai donné. Il est à vous.” Mais il y en a eu un sur un million.
57 Il y a environ cinq cents millions de soi-disant Chrétiens dans le monde, aujourd’hui, et chaque jour voit la fin d’une génération. Et maintenant, qu’en serait-il si l’Enlèvement avait lieu aujourd’hui, et que cinq cents personnes, à l’échelle mondiale, étaient prises dans l’Enlèvement? On ne le saurait jamais ou on ne verrait même pas mention de leur départ dans le journal. Et la Venue du Seigneur est une Venue secrète. Il viendra et L’enlèvera discrètement. Ce sera une minorité tellement petite que...
58 Tout comme ce qui était arrivé, à l’époque où les disciples avaient demandé à Jésus : “Pourquoi les scribes disent-ils que–qu’Élie doit venir premièrement?”
Il a dit : “Il est déjà venu, et vous ne l’avez jamais su.”
59 Vous êtes-vous déjà demandé ce que les gens ont fait? Ils ont continué à croire que Mo-... qu’Élie allait venir. Alors qu’il était là, au milieu d’eux, et ils ne le savaient pas.
60 Il en sera de même à la Venue du Fils de l’homme! Ils agiront exactement de la même manière avec Lui. L’Esprit de Dieu est ici. Eh bien, qu’allons-nous En faire? Allons-nous manger de la Manne, et tout, sans faire de progrès au fur et à mesure que nous grandissons?
61 Avez-vous déjà remarqué une semence, – comme le disait le révérend Pitts il y a quelques instants, – une semence qui est mise en terre? Il y a beaucoup de semences, là, en terre. Quand Dieu se mouvait à la surface des eaux, avec la Lumière, et que la Lumière a fait produire. La première Présence de Dieu, la Lumière parlée, est venue par la Parole de Dieu. Et la Parole de Dieu est la seule chose qui apporte encore la Lumière. Et quand les eaux se sont retirées, la semence était déjà en terre, et la Lumière n’a fait germer que les semences qui étaient là, avec un germe en elles, elles ont germé. Dieu était en train de produire Sa création.
62 Et le matin de Pâques, là une autre Lumière a frappé la terre, quand le Saint-Esprit a été donné. Et Lui, Il est donné pour apporter la Lumière à ces Semences dont Dieu savait, par Sa prescience, qu’elles seraient ici sur terre. De même qu’Il le savait pour la première semence naturelle, Il sait aussi où se trouve la Semence spirituelle. Votre corps se trouvait ici, déjà sur terre, au commencement, quand Dieu a créé la terre. Nous sommes une partie de la terre. Nous nous trouvions là. Et, par Sa prescience, Il savait exactement qui L’aimerait et qui Le servirait, et qui ne le ferait pas. C’est Sa prescience qui le Lui indique. Sinon, alors Il n’est pas Dieu. Il ne peut pas être Dieu sans être infini. Et s’Il est infini, Il sait toutes choses.
63 Donc, on voit les gens qui commettent leurs bévues. Ils butent sur ces choses. Ils foncent dans ces choses, et ils pensent ceci et cela, mais ça ne marche pas bien, nous le constatons. Par contre, il y a quelque chose qui marche bien, c’est de trouver la volonté parfaite de Dieu, et de vous y tenir, ce à quoi Dieu vous a appelé.
64 Comme le disait Frère Jack, il y a quelques instants, au sujet du–du parc Pershing Square, ici, de toute la confusion. Un comme ceci, et l’autre comme cela; et au sujet des théologiens, et tout : si vous voulez apprendre de la théologie, vous n’avez qu’à aller là-bas.
65 Je pense que c’est à peu près comme dans Hyde Park, à Londres. J’y suis allé : chacun a son idée à lui. C’est un–c’est un amoncellement de la Babylone du monde, de cette époque moderne.
66 Mais, avez-vous remarqué, comme–comme Frère Pitts nous le disait, en continuant son beau message, ce matin? Au moment où il allait sortir du parc, là il a trouvé un petit lis de Pâques. “Au milieu de toute la confusion,” comme il nous l’exprimait, “ce lis ne pouvait aucunement dire ni ‘oui’ ni ‘non’. C’était une vie donnée par Dieu, qui brillait en lui, au milieu de toute la confusion.” Il était là, radieux, parce que Dieu l’avait destiné à être là. Au milieu de tous les conflits, personne ne le remarquait. Ils n’ont pas vu l’application spirituelle de cela.
67 Et c’est ce qui se passe aujourd’hui, dans tous nos grands rassemblements, nos groupes, nos églises, nos dénominations, et tout. L’un entraîne les gens dans telle direction : “Il faut être baptistes, ou être presbytériens, il faut être ceci, cela ou autre chose.” Au milieu de tout ça, une fleur est en train de pousser. Une puissance de Dieu est là, parmi nous, en train de s’élever au milieu de nous tous. Arrêtons-nous donc pour la contempler pendant quelques minutes, et observons-la cette semaine, regardons-la se déployer devant nous. Nous croyons que Dieu le fera. Pas vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
68 Je vois que nous devrions déjà être en bas. Alors, prions, chacun de nous.
69 Dieu bien-aimé, quand nous inclinons la tête dans Ta Présence, il nous semble que nous sommes tellement déficients que nous ne pouvons pas nous permettre de demander. Mais Tu nous as promis que, si nous venions, Tu ne nous repousserais pas. Et ces déclarations tranchantes qui viennent d’être faites, ce n’était pas du tout dans le but d’en faire une doctrine – “un sur un million” – mais simplement pour qu’on s’en souvienne. Car Tu as dit : ...étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en aura peu qui les trouveront. Car il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus.
70 Ô Père Éternel, envoie la Lumière de l’Évangile d’un bout à l’autre de cette ville, pendant la convention de cette semaine qui vient. Et s’il s’y trouve des Semences, puissent-elles, d’une façon ou d’une autre, par Ta très sage providence, – comme j’essayais de l’illustrer par l’exemple du sperme du mâle et de la femelle, – venir en grand nombre à cette convention. Puisse le Saint-Esprit leur donner la Lumière. Nous nous rendons compte qu’il est peut-être plus tard que nous le pensons. Nous prions, ô Dieu, alors que nous venons ici, en croyant simplement que, peut-être, quelque chose pourra être fait ici, pour aider les gens ou–ou attraper cette dernière brebis. Nous savons que, quand la bergerie sera remplie, alors le Berger fermera la porte.
71 Comme ce qui était arrivé du temps de Noé : quand le dernier membre de la famille a été entré, Dieu a fermé la porte. Les gens frappaient, ils martelaient la porte, mais il était trop tard. Dieu bien-aimé, l’occasion leur avait été donnée.
Tu as dit : “Je suis la Porte de la bergerie.”
72 Et comme c’est frappant, ce chant qu’a écrit le poète : “Les quatre-vingt-dix-neuf ne Te suffisent-elles pas? Mais non : il y en avait encore une autre.” C’est peut-être une petite brebis noire, ou c’est peut-être une moins que rien, c’est peut-être une petite femelle ou un petit mâle. Nous ne savons pas où elles sont, mais la dernière doit entrer, après quoi la porte se fermera. Ô Dieu, Toi qui sais toutes choses, sonde nos vies ce matin. Et envoie-nous partout où nous pouvons aller, pour pouvoir trouver cette dernière brebis, afin que la porte se ferme, et que le Berger soit à l’intérieur, avec les brebis. Accorde-le, Seigneur. Si celle-là se trouve ici aujourd’hui, si celle qui doit entrer...
73 “Tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi. Et nul ne peut venir, si Mon Père ne l’a attiré.”
74 Alors, s’il y a quelque chose qui tire, ou une impression subtile qui se fait sentir, indiquant que c’est peut-être l’heure pour quelqu’un, soit ici dans cet auditoire, ici ou en bas, ou ailleurs, là où se trouvent ces personnes, puissent-elles répondre : “Oui, Seigneur, je suis cette petite brebis errante, qui s’est égarée; et j’ai lutté contre Cela toute ma vie. Je–je–je sentais bien que j’aurais dû venir, mais me voici aujourd’hui, je suis vaincu. Je ne peux ni monter ni descendre. Je ne peux aller nulle part.” Oh, que le grand Berger vienne, qu’Il tende les bras et, avec Ses mains tendres, qu’Il la fasse entrer, en sûreté, qu’Il la mette sur Ses épaules et la ramène en sûreté.
75 Peut-être qu’il y en a une ici, Seigneur, qui est malade, dans un état tel que le médecin a déclaré : “Il n’y a plus rien à faire.” Il a fait tout ce qu’il a pu pour la sauver, mais il n’a pas pu la sauver. C’est hors de sa portée. Il–il n’y a plus rien qu’il puisse faire. Son médicament et son bistouri ne peuvent pas l’atteindre. Mais, ô Seigneur, rien n’est inaccessible à Ton bras puissant, et Ton bras, c’est Ta Parole. Alors, nous prions, Dieu bien-aimé, que ce matin, pendant que nous nous adressons à Toi, Tu descendes relever cette brebis qui est malade et qui ne peut pas s’en sortir, qui est hors de portée de tout ce qui est du domaine de la science, abandonnée du médecin – qu’elles soient guéries. Accorde-le, Seigneur.
76 Nous pensons à David, à qui avait été confiée la garde de quelques brebis, juste quelques-unes. Mais un jour, un ours était venu s’emparer de la petite brebis, il l’avait emportée, et il l’aurait dévorée (comme un cancer dévorerait le corps), ou, un grand lion. Mais David, qui n’était pas très bien équipé, d’une–d’une carabine, ou, qui ne savait pas manier l’épée, mais muni uniquement d’une fronde, il est allé au secours de cette brebis. Et quand il a trouvé le–l’animal qui allait faire mourir la petite brebis, il l’a tué avec sa fronde. Une petite arme toute simple, faite d’un morceau de cuir et d’une corde, et, mais il avait confiance en elle.
77 Nous n’avons pas de grand génie parmi nous, Seigneur. Nous sommes des gens simples, munis d’une petite prière toute simple, mais ce matin, nous allons au secours de la brebis du Père. Cette femme qui a parcouru les rues, malheureuse, en fumant des cigarettes, en essayant de trouver la paix par la cigarette; cet homme qui a reniflé le verre et qui a essayé de le remettre sur la table, mais que l’ennemi retient fermement; ce jeune homme ou cette jeune fille qui a essayé de faire ce qui est bien, mais qui n’arrive pas à trouver la force de se détacher de ce qui est mal; nous venons, au Nom du Seigneur Jésus, prendre possession de cette brebis ce matin. Nous défions l’ennemi; en effet, c’est une chose simple, une fronde, une prière, mais nous venons afin de ramener cette brebis au bercail du Père, pour que nous puissions rendre compte des choses qui nous ont été confiées. Que la puissance de Dieu descende à l’instant même, produire la foi dans le coeur des gens, et que cette âme perdue revienne ce matin. Que les tentations de cette vie lâchent prise, la laissent partir. Et qu’elle se retrouve en sûreté, sur les épaules du Maître, qui la ramènera en lieu sûr. Nous Te le demandons au Nom de Jésus. Amen.
78 Que Dieu vous bénisse tous. À demain, donc, je remets la réunion à Frère Shakarian. [espace non enregistré sur la bande–N.D.É.]
[Frère Branham termine la troisième partie.–N.D.É.]
79 Ceci, je–j’espère que vous... que j’ai trouvé grâce aux yeux de Dieu et devant vous, dans une plus grande mesure que de croire que je me tiendrais ici pour vous dire quelque chose qui soit faux. J’ai eu cinquante-six ans l’autre jour. Ceci n’est pas rien que le Message d’un vieil homme. Quand j’étais encore tout jeune, j’y croyais déjà. Et s’il n’est pas vrai, alors je suis la personne la plus insensée que Dieu ait eue sur terre. J’ai consacré ma vie entière à cette Cause. Et permettez-moi de dire ceci, en toute sincérité : même si j’avais dix mille vies, jamais je ne changerais d’avis.
80 Donc, la guérison est à la portée de chaque personne. Souvenez-vous, la guérison est en vous. Dieu a mis dans le pêcher toutes les pêches qui allaient un jour s’y trouver – au moment où Il l’a planté dans le jardin. Voyez-vous, vous n’avez qu’à... Le pêcher, ou le pommier, ou l’arbre fruitier, il n’a qu’à pousser, en buvant l’eau de la terre. Or, chacun de vous, vous avez en vous ce potentiel, ce qu’il faut pour vous délivrer, car c’est Dieu, puisque vous avez été plantés en Christ par le baptême (non pas par le baptême d’eau), par le baptême spirituel. On n’entre pas en Christ par le baptême d’eau. Par le baptême spirituel!
81 Demain après-midi, si le Seigneur le veut, c’est de ça que je vais parler : comment et quelle est la vraie application de Cela. Nous ferons ça l’après-midi, pour ne déranger aucune de vos réunions.
82 Maintenant, regardez, chacun de vous, vous êtes ici comme croyants, voyez-vous, alors la Vie qui était en Christ est en vous. C’est possible, si vous pouvez seulement le voir!
83 C’est le rôle du diable de vous empêcher d’accéder à Cela, de vous tenir dans l’aveuglement. Il n’a qu’à vous aveugler, c’est ça, voyez-vous, alors vous ne savez pas où vous allez. Un homme qui est aveugle ne sait pas où il va; pour le comprendre, il doit le demander à quelqu’un qui voit. Nous, avant que nous puissions comprendre, quelqu’un doit nous dire ce qui est la Vérité.
84 Et Christ est mort pour vous, et vous avez été sortis du monde et transplantés en Christ. Et tout ce dont vous avez besoin est là, en vous, par le baptême du Saint-Esprit. N’est-ce pas vrai? Maintenant tout ce que vous avez à faire, c’est de vous mettre à Y boire.
85 Et l’arbre, à mesure qu’il boit, il se met à produire ses feuilles, ses bourgeons, il produit son fruit, tous les ans. Le fruit ne se trouve pas en terre; le fruit se trouve dans la plante. Combien comprennent ça? Dites : “Amen.” [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Donc, voyez-vous, le fruit se trouve dans la plante, et chaque plante doit boire à sa source. La pluie qui tombe, elle donne à la plante la vie, pour qu’elle y boive. Et, à mesure qu’elle boit, elle grandit.
86 Et elle grandit jusqu’à ce qu’elle soit parvenue à son plein épanouissement, tout comme l’Église a grandi, pour s’épanouir en cet âge-ci.
87 Et nous, à mesure que nous buvons, nous grandissons. Mais, si la plante refuse de boire, alors la plante ne peut pas grandir. Et si vous voulez seulement le croire maintenant, chacun en particulier!
88 Bien entendu, vous connaissez la manière de faire du Seigneur, Il montre différentes choses – ce que vous avez fait, ce que vous n’auriez pas dû faire, et ainsi de suite – dans les réunions. Nous espérions que le Saint-Esprit descendrait sur nous ce matin, et qu’Il le ferait, pendant que nous nous tenions ici. Mais, je suis resté à attendre.
89 Je pense que c’est dû au fait que j’étais tendu, à penser qu’en bas, ils veulent que nous libérions la salle, voyez-vous. Mais c’est ce qu’ils veulent; nous sommes déjà en retard.
90 Mais croyez ceci, de tout votre coeur. Je vous en prie. Si je–si j’ai trouvé grâce à vos yeux, comme quelqu’un qui dit la vérité, croyez ceci. Maintenant posez vos mains les uns sur–sur les autres.
91 Maintenant regardez, là, la Bible n’a pas dit : “Voici les signes qui accompagneront William Branham.” Elle n’a pas dit : “Ils accompagneront Oral Roberts, lui seul.” Elle n’a pas dit “qu’ils accompagneraient Frère Kopp”, ou quelqu’un d’autre.
92 “Voici les signes qui accompagneront ceux”, au pluriel, “qui auront cru. S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.” Cette Puissance de Dieu, qui est en vous, c’est ce qui donne la Vie à la personne sur qui vous avez posé votre main, cette source de Vie qu’est le Saint-Esprit.
93 Dieu bien-aimé, au Nom de Jésus-Christ, en ce moment crucial où l’église... puissent les gens, à cet instant précis, ne pas être tendus, et puisse la Puissance qui a fait sortir Christ de la tombe, vivifier en eux, maintenant même, cette Vérité de l’Évangile, que la commission donnée par Jésus, c’était : “S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.” Que toute puissance démoniaque, toute maladie, toute infirmité, toute affliction, tout tourment qui a accablé les gens, que ça les quitte maintenant même par la foi. En tant que gens qui croient, nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.
94 Maintenant, levez les mains et donnez-Lui la louange, si vous croyez qu’Il le fait.
95 Dieu bien-aimé, ce bébé mourra, Seigneur, si ceci ne se produit pas. Je condamne cette nodosité, au Nom de Jésus-Christ. Qu’elle quitte cet enfant innocent. Amen.
Or, les médecins ont essayé, et ils ont échoué. Croyez seulement.