Un Sur Un Million
1 Merci, Frère Shakarian. Et bonjour, mes amis. C’est vraiment un plaisir d’être de nouveau ici, à Los Angeles, ce matin, avant cette grande convention, et avant les réunions qui auront lieu à l’hôtel Embassy pendant la semaine qui vient. Je compte bien vous voir tous là-bas. Et tous, nous sommes dans l’expectative de rencontrer notre Seigneur Jésus, de Le voir, Lui, là-bas. Il a promis qu’Il y serait. “Là où deux ou trois seraient assemblés”, Il serait là.
2 Et je suis sûr que je L’ai rencontré ce matin, en montant les marches pour me retrouver ici, dans cette salle, au moment où tous les gens attendaient avec grande impatience le petit-déjeuner et la prédication. C’est un plaisir d’être avec vous, assemblés ici, et je dirai ceci à ceux qui nous écoutent à la radio. Il y a tellement de monde ici qu’ils... il a fallu que je descende à l’étage inférieur, pour parler à quelques personnes. Après avoir vu tellement de requêtes, des maladies de coeur et divers maux qui affectent leur corps, nous sommes maintenant ici pour prier pour les malades et les affligés.
3 Comme j’arrivais en haut des marches... J’ai justement ce monsieur âgé devant les yeux. Il s’est avancé vers moi et il m’a dit : “Frère Branham, il y a des années...” Il disait qu’il avait eu une maladie de coeur tellement grave qu’il... qu’on pensait qu’il allait mourir. Il avait fait prier pour lui, et la grâce de Dieu l’a guéri. Et le voici ce matin, il a quatre-vingts ans bien tassés, et il est dans la joie. Alors, cela nous donne une espérance nouvelle.
4 Maintenant, je demande avec instance les prières des gens qui écoutent ceci à la radio de même que de ceux qui sont ici. Après cette série de réunions, je partirai pour me rendre en Europe, en Afrique et ailleurs, pour des réunions. Et j’y vais par suite d’une vision, alors ce sera des réunions glorieuses, là-bas, j’en suis sûr. Depuis des années, j’ai le sentiment que le Seigneur veut que j’y retourne. Ce petit ministère humble, tout humble, qu’Il m’a donné, je ne pense pas qu’Il l’ait mené à terme là-bas, pas tout à fait encore. Il semblerait qu’il y ait peut-être quelque part une âme que je pourrais attraper dans le filet de l’Évangile, ce filet qu’Il m’a donné pour pêcher les gens, par le moyen de la guérison Divine, de la prière pour les malades. Et je demande avec instance vos prières, à vous qui êtes ici et à ceux qui nous écoutent à la radio.
5 En ce moment je n’ai pas le temps de prendre un sujet et de prêcher, ce que je compte faire dans quelques minutes, ici, dans la–dans la... dans cette salle, mais je vais juste vous parler pendant quelques instants, faire connaissance. Quant aux gens qui sont dans le pays, je vais tout de suite faire la prière pour eux, là-bas, et pour vous qui êtes ici également. Je suis vraiment heureux de rencontrer tous ces gentils et nouveaux amis que je n’avais jamais rencontrés avant d’avoir été mis en rapport avec eux ce matin.
6 Nous avons passé des moments merveilleux dans les services à d’autres endroits. Je ne m’éloigne plus beaucoup, il y a tellement à faire. Nous nous efforçons simplement de faire la navette entre Jeffersonville, dans l’Indiana, et Tucson, en Arizona, où nous sommes allés nous installer il y a quelques années, par suite d’une vision du Seigneur, qui nous a envoyés là-bas, et sans que je sache où j’allais. J’en ai parlé un peu, à beaucoup d’entre vous, ici à la cafétéria Clifton, avant mon départ, de même qu’aux réunions de Phoenix, de cette vision qui était venue. J’avais vu un rassemblement de sept Anges.
7 Je sais que, vous qui nous écoutez à la radio, peut-être que beaucoup d’entre vous ne sont pas du plein Évangile, alors ceci peut sembler un peu mystérieux pour vous. Et ça le serait pour moi aussi, mais il y a... Si quelqu’un peut expliquer quelque chose, il n’y a plus à l’accepter par la foi. Ce sont des choses que nous ne pouvons pas expliquer que nous devons accepter par la foi. Nous ne pouvons pas expliquer Dieu. Aucun homme ne peut expliquer Dieu. Il est Souverain, et Il est grand et puissant. Nous–nous l’acceptons, c’est tout, parce que nous savons qu’Il est là. Et alors, à cause de la foi que nous déployons en l’acceptant, Il nous apporte la réponse, le baptême du Saint-Esprit.
8 Et je vais justement vous parler, dans quelques instants, ici, de “la voie, ou le lieu d’adoration de Dieu”. Et le seul lieu où vous pouvez L’adorer, le seul lieu où Il vous rencontrera jamais, il faut... Il y a une seule Église, un seul lieu, un seul moment, un seul peuple, c’est tout ce que Dieu rencontre. J’espère que le Seigneur bénira ce Message, dans vos coeurs, ici.
9 Or, de venir à Tucson, c’était étrange, ces visions qui vous parlent au Nom du Seigneur. Pas une seule d’entre elles, d’aussi loin que je m’en souvienne, et je demanderais à n’importe qui d’autre s’il peut se souvenir d’une seule fois où Il aurait dit quelque chose qui n’était pas la Vérité. La chose arrive toujours exactement comme Il dit qu’elle arrivera.
10 Et, d’après les Écritures, Il doit revenir vers nous dans les derniers jours, avec ce genre de ministère. Ce sera après le baptême de l’Esprit, le parler en langues, la guérison Divine et ainsi de suite, après ces choses-là. Le couronnement du message pentecôtiste, voilà de quoi nous parlons aujourd’hui. Ce ministère, du Christ Lui-même, personnifié au milieu de Son peuple, faisant les choses mêmes qu’Il avait faites lorsqu’Il était ici sur terre : dans Son Corps, l’Épouse qui fait partie de Lui, faisant ces mêmes choses, en tant que Mari et Femme, ou en tant que Roi et Reine, juste avant la cérémonie de Mariage.
11 Cette semaine, si le Seigneur le veut, j’aimerais parler un peu de cela, pendant notre campagne là, au–à l’hôtel Embassy, et, à ma façon humble de le faire, faire un peu connaissance. Au–au temps et à l’heure où nous vivons, si une personne ne sait pas quelle direction prendre, quoi faire ou de quel côté se tourner, là on–on ne marche plus par la foi; on ne fait que supposer, on présume. Et présumer, c’est “s’avancer sans autorité officielle”. Alors, si nous n’avons pas la vraie autorité officielle, pour connaître ce que Dieu a dit qu’il arriverait en cette heure, comment donc pourrons-nous faire face à cette heure? Et il nous faut y faire face en connaissant, par la foi en Sa parole, les choses qui doivent arriver maintenant; et l’état des nations, l’état des gens, l’état de l’église, et tout ça.
12 Nous devons connaître ces choses, et ensuite savoir comment aller y faire face. Si on ne sait pas comment faire, on ne fait que–que, comme nous disions autrefois, se lancer au petit bonheur la chance – se lancer, en espérant que ça arrivera, en espérant ceci, et en espérant cela, et “est-ce que ça va arriver?” Mais Dieu ne veut pas que nous fassions cela. Il veut que nous sachions ce qu’Il a dit au sujet de cette époque-ci, et qu’ensuite nous l’affrontions par la foi, parce qu’Il a dit que ce serait comme ça. Alors, nous–nous savons que vous êtes Vérité, à ce moment-là, parce que vous n’avez pas reçu la parole d’une personne, vous avez reçu Sa Parole à Lui, quant à ce que nous devons faire. Et nous espérons que notre Père Céleste va–va nous accorder cela cette semaine.
13 Bon, je suis désolé d’avoir interrompu ce que j’étais en train de dire il y a quelques instants, au sujet de ma venue à Tucson. Moi, ce que je pensais, c’est que c’était la fin de ma vie. Je pensais que personne ne pourrait jamais supporter un tel choc – ce qu’il y avait eu là, ce qui était arrivé dans cette vision, ce matin-là chez moi, vers dix heures – et survivre à ça. Alors, je suis venu à Tucson, j’ai pris mes dispositions avec mon fils, pour que ma femme et–et mes enfants aillent le rejoindre après mon départ, parce que je pensais que c’était ma fin. Et je, à Phoenix, et dans beaucoup de réunions, avant que ça arrive, je vous avais dit exactement comment ça arriverait.
14 Eh bien, quelques mois plus tard, un matin, j’étais dans le canyon Sabino, qui est situé juste au nord de Tucson. J’étais là-haut pour prier. Et pendant que je priais, j’avais la main en l’air, et je disais : “Père, je Te prie de me venir en aide d’une façon ou d’une autre, de me donner de la force, pour cette heure qui est devant moi maintenant. Et si ma tâche est terminée, ici sur terre, alors je dois aller vers Toi. Et ce n’est pas que j’y aille avec regret, mais, je sais que Tu prendras soin de ma famille. Je–je Te demande seulement de la force, pour cette heure.” Et quelque chose a heurté ma main!
15 Or, pour vous qui nous écoutez à la radio, ce que j’ai dit peut vous paraître étrange, mais c’est la vérité. Et Dieu est mon Juge.
16 J’ai regardé dans ma main, et il y avait une épée, avec un fourreau autour de la poignée. La poignée proprement dite était en nacre, et il y avait comme un genre de garde en or autour de la poignée. Et la–la lame, elle, à la voir, elle semblait comme, assez luisante, comme, oh, quelque chose comme du chrome ou quelque chose, qui miroitait au soleil.
17 Maintenant, c’était vers dix ou onze heures du matin, très haut, sur le sommet d’une montagne. Vous imaginez ce qu’une personne (car il me semble bien que j’ai toute ma tête) ressentirait, debout, avec une épée venant de nulle part, personne à des kilomètres à la ronde, et tenir cela dans sa main. Je l’ai touchée, je l’ai saisie et j’ai fait tournoyer la lame de côté et d’autre, et c’était bien une épée.
18 J’ai regardé autour de moi. J’ai dit : “Eh bien, mais comment cela a-t-il pu se produire? Me voici ici, debout, ici même, personne à des kilomètres à la ronde, alors d’où est-ce que c’est venu?” Et j’ai dit : “Eh bien, je–je pense que c’est peut-être le–le Seigneur, qui me signale que c’est le moment de ma fin.”
Et une Voix a parlé et a dit : “C’est l’Épée du Seigneur.”
19 J’ai pensé : “Eh bien, une épée, alors, ça sert à un roi, par exemple, pour faire quelqu’un chevalier.” Vous savez, comme on le faisait autrefois, en Angleterre et à différents endroits. J’ai pensé : “C’est à ça que ça sert, à faire quelqu’un chevalier.” J’ai pensé : “Eh bien, peut être que je dois imposer les mains aux gens, ou...” J’avais toutes sortes... La pensée humaine peut être tout embrouillée, vous savez. On ne sait pas. Notre pensée est limitée; la Sienne est infinie. Et au même moment, donc, elle... Alors elle a quitté ma main, et je ne sais pas où elle est allée, elle a disparu, tout simplement. Eh bien, pour quelqu’un qui ne comprend pas grand-chose aux choses spirituelles, il–il y aurait de quoi devenir fou. Vous resteriez là, à vous demander ce qui s’est passé.
20 Et Il a dit : “Cette vision, ce n’est pas le moment de ta fin. Elle a trait à ton ministère. Cette Épée, c’est la Parole. Les Sept Sceaux vont être ouverts, les mystères des...”
21 Deux semaines après, ou plutôt, deux mois après, j’étais sur la montagne avec un groupe d’amis, quand c’est arrivé. Sept Anges, aussi visibles que vous qui êtes ici, sont descendus du Ciel, d’un vol rapide. Les pierres se détachaient des montagnes et dévalaient les pentes, et–et les gens qui se trouvaient là poussaient des cris et tout, vous savez, la poussière volait partout. À ce moment-là, Il a dit : “Retourne chez toi. C’est pour maintenant, chaque Ange sera un sceau des Sept Sceaux.”
22 Et c’est sur bande. Le livre va bientôt sortir, on est en train de le grammariser. Comme vous le savez, ma grammaire n’est pas très bonne, et les gens ne... Vous devez vraiment être des gens qui m’aiment, pour pouvoir me comprendre, avec ma grammaire. Mais un théologien est en train de le grammariser pour moi, et d’en enlever tous les–les... Eh bien, peut-être que je n’ai pas utilisé le bon mot, là. Je ne sais même pas. Alors, j’ai entendu quelqu’un rire, alors, je suppose que ce mot “grammariser” n’était pas bon. Mais moi, c’est comme pour le Hollandais, il faut vraiment prendre ce que je veux dire, et non ce que je dis.
23 On vient de m’annoncer qu’il ne reste que trois minutes avant la fin de l’émission.
24 Maintenant, chers amis qui écoutez ceci à la radio, et vous qui êtes malades et dans le besoin ici dans l’auditoire, pourriez-vous juste poser vos mains les uns sur les autres, pendant que nous prononcerons cette prière pour les malades. En effet, Jésus a dit, la dernière commission qu’Il a donnée à l’Église : “Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru.” “Ceux”, ceux qui auront cru! “S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.”
25 Cher Père Céleste, nous sommes comme des enfants aujourd’hui, nous obéissons à ce que Tu nous as dit de faire. Nous posons les mains sur toutes ces requêtes reçues par téléphone. Tu vois ceux qui sont dans le pays, là-bas, combien ils sont dans le besoin, les souffrances. Tu vois ceux qui sont dans le besoin, ici, qui souffrent. Alors nous Te les confions, Dieu bien-aimé, avec la foi en Ta Parole, en ce que Tu as dit : “Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru. S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.” Accorde-le, Seigneur, au Nom de Jésus-Christ. Amen. [espace non enregistré sur la bande–N.D.É.]
[Frère Branham termine la première émission de radio.–N.D.É.]
26 Merci, Frère Shakarian. C’est vraiment un grand privilège d’être de retour sur les ondes, pour parler à quelques-uns de nos amis, ceux qui écoutent ceci à la radio de même que ceux qui sont ici.
27 Maintenant, bien sûr, nous vous invitons à venir à l’hôtel Embassy demain après-midi, pour qu’on prie pour vous. Et ce n’est pas tout, emmenez aussi ceux qui sont pécheurs et ceux qui sont rétrogrades. Si nous ne faisons que prier pour les malades – et, effectivement, nous voyons Dieu opérer constamment de grands miracles, mais ça, c’est secondaire. L’essentiel, c’est d’être sauvé, rempli de l’Esprit de Dieu, et c’est de ça que je vais vous parler ici, dans quelques instants, et de cette nécessité absolue pour nous d’être remplis de l’Esprit de Dieu.
28 Généralement, la guérison Divine attire l’attention des gens, et les amène dans la Présence de Dieu. Quand Dieu fait quelque chose que–qu’ils savent être in-... eh bien, qui est incompréhensible. Nous ne pouvons pas démontrer le mécanisme de la chose, comment elle s’opère. Dieu le fait à Sa façon à Lui, qui est formidable. Alors, c’est ce qui attire l’attention des gens, de se rendre compte que, quelque part, il y a la Présence d’une Puissance capable de faire quelque chose qui dépasse l’entendement humain, et c’est ce qui les incite à se tourner vers l’Agneau de Dieu. Et toujours, la guérison Divine – on m’a dit, et c’est ce que je crois moi-même, qu’environ soixante à soixante-dix pour cent du ministère de notre Seigneur a été consacré à la guérison Divine. Et Il a fait ça pour attirer les gens. Puis, une fois qu’ils étaient là, Il disait : “Si vous ne croyez pas ce que Je suis, vous périrez dans votre péché.”
29 Alors, la guérison Divine est une attraction formidable, pour amener les gens à se tourner vers le Seigneur Jésus. Et le docteur F. F. Bosworth, que beaucoup d’entre vous ont eu pour ami et ont connu, et dont le ministère a tant compté pour moi à l’époque où j’étais un jeune ministre. J’ai commencé à faire des réunions, et là j’ai rencontré Frère Bosworth. Il disait : “La guérison Divine,” c’est une déclaration assez directe, là, il disait, “la guérison Divine, c’est l’appât sur l’hameçon.” Il disait : “On ne montre jamais l’hameçon au poisson. On lui montre l’appât, et là il vient chercher l’appât, et il se fait prendre à l’hameçon.” Alors, voilà ce que nous essayons de faire. Voilà notre... nous... Notre but est d’amener les gens au Seigneur Jésus-Christ. Et Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Donc, s’Il était le Guérisseur autrefois, Il est le Guérisseur aujourd’hui.
30 Juste un témoignage personnel, avant que je prie pour les malades qui écoutent ceci à la radio. Il y a quelques jours, j’étais dans les montagnes, à l’endroit où une grande chose s’était produite en présence de quinze ou vingt frères, à l’endroit où l’Ange du Seigneur était descendu de façon si extraordinaire, avec une grande Lumière qui fendait l’air, semblable à une comète, et qui fracassait les montagnes ici et là, et les pierres étaient projetées à une distance de deux cents pieds [soixante mètres] ou plus, tout autour, elles arrachaient la cime des arbres. Je me tenais là, juste au-dessous de Cela. Et je leur avais annoncé, juste quelques mois avant que ça arrive, que Ce serait là et ce qui arriverait; en fait, la chose avait été annoncée la veille. Et tous ces hommes couraient se réfugier sous les camions et tout, ils essayaient de fuir. Ils ne savaient pas ce qui s’était produit. Il a parlé et m’a dit ce qui allait se produire aussitôt après.
31 J’étais là, assis sur un certain rocher, à l’endroit même où Il était apparu, et un–un ami était avec nous, il était venu du Minnesota. Les gens de sa famille sont ici ce matin, et je n’en suis pas sûr, mais il est bien possible qu’il soit lui-même ici, quelque part à un autre étage. C’était Donovan Weerts, un jeune homme très bien, un luthérien qui venait de donner sa vie à Christ et qui avait été rempli du Saint-Esprit. Un jeune homme très humble, d’origine allemande, âgé d’une trentaine d’années, avec une famille, deux ou trois jeunes enfants. Il est venu habiter à Tucson, juste pour être dans mon voisinage, et trois à quatre cents personnes étaient venues habiter là-bas, pour être dans mon voisinage. Alors, il...
32 Et je suis heureux d’avoir de tels voisins. Ils m’accompagnent, jusqu’en Afrique du Sud, et partout autour, juste pour être tout près et pour voir les... avec moi, m’accompagner et savourer les joies de l’Éternel.
Un jeune homme tellement humble que je ne l’avais pas beaucoup remarqué.
33 Bien entendu, les gens que je connais et que je côtoie sont comme mes propres frères et soeurs. Je les observe, et si j’ai l’impression qu’ils sont en train de sortir des rangs, alors je les prends à part et je parle avec eux, parce que je les aime. Nous voulons vivre ensemble dans la Gloire. Et peut-être que parfois, dans les réunions, vous trouvez que je vous parle durement. Ce n’est pas pour ça. Ce n’est pas parce que je ne vous aime pas, au contraire, ça vient de mon coeur, parce que je–je... Il ne peut y avoir qu’une voie. Il n’y a qu’une seule voie, pour servir Dieu, et c’est... Et nous devons rester dans Sa voie, quelles que soient nos pensées. Sa voie à Lui!
34 Et j’ai remarqué que Donovan, le bout de son oreille, à droite, était enflé, c’était peut-être trois fois plus grand que la normale, et ça me paraissait très rouge. Eh bien, là, j’ai pensé que peut-être, là-bas dans le désert depuis quelques jours, que là où nous avions été, peut-être que des piquants de cactus s’étaient enfoncés dans son oreille. Mais, quand j’ai pris sa main, j’ai découvert que c’était un cancer. Alors, j’ai dit à Donovan, j’ai dit : “Donovan, est-ce que tu... Ça fait combien de temps que tu as ça à l’oreille?” Pour ne pas éveiller son attention, je faisais comme si je ne savais pas. J’ai dit : “Ça fait combien de temps que c’est là, Donovan?”
Il a dit : “À peu près six mois, Frère Branham”, il a dit.
J’ai dit : “Pourquoi ne m’en as-tu pas parlé?”
35 Il a dit : “Oh, je vous voyais tellement occupé,” il a dit, “je ne voulais pas le faire.” Il a dit : “Je me suis dit qu’à un moment donné, peut-être que le Seigneur vous le dirait.”
Alors, j’ai dit : “Réalises-tu ce que c’est?”
Il a dit : “Je m’en doute.”
J’ai dit : “C’est bien ça.”
36 Et le surlendemain matin. Sans rien de plus que d’avoir tenu la main de ce jeune homme; le surlendemain matin, il n’y avait pas même une marque sur son oreille. C’était complètement parti.
37 Trop souvent, nous nous échinons à essayer d’arriver à ceci, à cela. Ou... Voyez-vous, c’est : “Voici les signes qui accompagneront le croyant.” Ça ne dit pas : “S’ils prient pour les malades.” “S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris!” Il faut, nous-mêmes, avoir foi en ce que nous faisons. Très bien.
38 Bon, donc, Donovan est probablement là. Vous le rencontrerez. Il sera là, s’il n’est pas déjà là ce matin, quelque part à un autre étage. Vous le rencontrerez, et il reconnaîtra le témoignage.
39 Qu’est-ce que je pourrais dire de plus? Je crois que c’est Luc ou Jean, l’un des deux, qui a dit que le monde ne pourrait con-... tenir, contenir les livres qu’on pourrait écrire sur ce qu’Il a accompli au milieu des gens, en ces derniers jours; alors que les malades ont été guéris, que les alcooliques ont été délivrés, par milliers, et de toutes sortes de maladies et d’afflictions.
40 Maintenant, vous qui écoutez ceci à la radio de même que vous qui êtes ici, je tiens en ce moment une grosse poignée de requêtes qui ont été reçues par téléphone ce matin, car il sonne sans arrêt depuis notre arrivée. Donc, nous... Cent quatre-vingt-seize requêtes ont été reçues ce matin, par téléphone, depuis que nous sommes ici. Alors, unissons-nous en prière maintenant, pendant que chacun... Où que vous soyez, là dans le pays, posez vos mains les uns sur les autres, si vous êtes croyants. Sinon, posez votre main sur la Bible ou sur quelque chose, pendant que nous prions, ici et là-bas.
41 Cher Père Céleste, le petit témoignage de Donovan Weerts, Seigneur, ce n’est qu’un parmi les milliers que, dans Ta grâce, Tu... Je Te prie de plonger le regard dans le coeur des gens, tant ceux qui sont ici que ceux qui écoutent ceci à la radio. Puissent-ils être guéris, tous sans exception. Que le malin les quitte, et qu’ils soient délivrés de toute leur affliction. Accorde-le, Père. C’est au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils, que nous le demandons. Amen. “Merci, Seigneur...” [espace non enregistré sur la bande–N.D.É.]
[Frère Branham termine la deuxième émission de radio.–N.D.É.]
42 Eh bien, c’est la troisième fois que je monte ici ce matin. Oh! Et, vous savez, on vient d’annoncer qu’il faudra vider les lieux dans environ douze à quatorze minutes, ou quelque chose comme ça. La direction dit, ils sont à l’autre étage, là, et ils ne peuvent pas servir les repas. Nos repas à nous se sont prolongés; nous avons beaucoup de plats, vous savez. Donc, nous sommes très, très heureux d’avoir eu ce merveilleux jubilé gastronomique spirituel – c’est le nom que je donnerais à ça – ce matin, ici, avec ce beau groupe d’hommes.
43 J’aimerais mentionner que nous... de nouveau les services qui auront lieu demain après-midi, à l’hôtel Embassy. Donc, nous prierons pour les malades là-bas, et nous nous attendrons à ce que Dieu nous rencontre. Je suis venu apporter ma contribution, mon ministère, pour faire (tout notre possible), faire que ces réunions soient une réussite. Pas une réussite parce que ce sont nos réunions, mais une réussite parce que les gens y auront trouvé Jésus-Christ. La réussite, c’est ça. Dans des réunions, quelles qu’elles soient, peu importe combien nous louons Dieu, combien de choses glorieuses nous Le voyons faire, combien de fois Il nous parle par l’Esprit, et ainsi de suite; s’il n’y a pas de résultats : des âmes qui entrent dans le Royaume!
44 Et Frère Shakarian vient de faire toute une–une déclaration, tout à l’heure, sur ce qu’il pense de ces jours où nous–nous vivons. Et je le crois réellement, de tout mon coeur, que nous vivons vraiment au moment de la fin, vraiment dans les–vraiment dans les ombres du soir. Le soleil est à son déclin. Et quand nous voyons les choses se passer comme elles se passent aujourd’hui, eh bien, allez savoir ce qu’une autre génération pourrait produire. Il y a quelques jours...
45 Je vais vous faire part d’une petite information. On a fait une étude dans toutes les écoles de l’Arizona, là où j’habite. On a fait passer aux enfants, sans qu’ils le sachent, un test mental. Et vous savez quoi? Ça incluait les écoles secondaires et–et les écoles primaires : quatre-vingts pour cent des enfants souffraient d’une déficience mentale. Soixante-dix pour cent d’entre eux étaient des téléspectateurs actifs. Voyez, ces vilaines choses, elles se sont infiltrées chez nous, et nous ne... On se demande pourquoi ça arrive. On peut entendre la Voix de Dieu crier très fort contre ces choses, mais nous–nous voilà quand même embourbés là-dedans.
46 Je vais vous dire quelque chose de bouleversant. Voyez-vous : “Ceux qui Me disent : Seigneur, Seigneur! n’entreront pas tous, mais celui-là seul qui fait la volonté de Mon Père.” Sa volonté, c’est Sa Parole. Nous aurons beau être on ne peut plus religieux, passer des moments merveilleux, à pousser des cris, à sauter, au cours de ces réunions, et nous... Je ne–je ne veux pas critiquer. Mais j’ai un–un devoir envers Dieu, et ce devoir, c’est d’être sincère et de dire ce qu’Il veut que je dise. Et je suis–je suis vraiment reconnaissant de la patience de ce chapitre, ici en Californie, qui m’a supporté dans–dans mes convictions. Si je n’exprime pas mes convictions, alors je suis un hypocrite et, bon, je ne suis même pas honnête avec vous. Et si je ne peux pas être honnête avec vous, comment pourrais-je être honnête avec Dieu, puisque c’est vous que je vois et à qui je parle. Bien sûr, nous parlons à Dieu aussi, mais nous devons être vraiment sincères et honnêtes les uns avec les autres. Nous sommes dans un–un âge horrible, vraiment horrible. Et vous êtes-vous déjà arrêtés...
47 Je vais juste vous faire part d’une petite analyse. “Ceux qui Me disent : Seigneur, Seigneur! n’entreront pas tous, mais celui-là seul qui fait la volonté de Mon Père.” Jésus a dit, sur terre : “L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole.” Toute Parole! Pas juste une Parole de temps en temps, mais de toute Parole.
48 C’est une seule Parole qu’on a omis de croire, de Dieu... des commandements de Dieu, c’est ce qui a causé la mort, le chagrin, toutes les maladies et toutes les peines, le fait d’omettre la Parole de Dieu, une seule Parole! S’il a entraîné la race humaine dans la mort, en omettant, en omettant de croire une Parole, une seule : “certainement”, certainement. Mais Il avait dit que c’est ce qui arriverait. Satan, lui, il a dit : “Certainement que ça n’arrivera pas.” Mais c’est bel et bien arrivé.
49 Donc, nous devons observer chaque Parole de Dieu. Et si l’être humain, avec toutes les souffrances et toutes les choses qu’a subies la race humaine, du fait d’avoir mal interprété ou–ou d’avoir omis de croire une seule Parole – comment allons-nous revenir, si nous omettons une seule Parole, puisqu’il en a coûté un tel prix, jusqu’à la vie même de Son Fils? ...il y a beaucoup d’appelés,... peu d’élus. ...il y a beaucoup d’appelés,... peu d’élus.
50 Je ne pourrai pas prendre ceci pour sujet, mais, parce que nous n’avons pas le temps, mais je voudrais juste vous laisser quelque chose. Pensons à...
51 Un jour, je suis allé avec Frère Shakarian à un endroit où on faisait l’hybridation du bétail. Et j’ai vu le–le... dans le laboratoire où Frère Shakarian m’avait fait entrer. Et ils ont plongé dans le sperme du bovin mâle un petit... une espèce de petit instrument, comme une tige d’allumette, et ils ont prélevé une certaine quantité de ce sperme, et ils ont mis ça sous une loupe qui grossissait des centaines de fois. Et il y avait là de petits germes qui sautillaient dans ce, dans ce sperme. Bien entendu, nous savons que le germe vient du mâle, et l’ovule de la femelle. Et j’ai demandé au chimiste qui était là, j’ai dit : “Qu’est-ce qui fait ça, le petit sautillement, là?”
Il a dit : “Ça, ce sont–ce sont des petits taureaux et des petits veaux.” Voyez?
Et j’ai dit : “Dans cette petite goutte-là?”
Il a dit : “Oui.”
52 J’ai dit : “Alors, peut-être que, dans la quantité totale de sperme, il y en aurait un million?”
Il a dit : “Oh oui.” Voyez? Maintenant, soyez très attentifs.
53 Or, quand cette grande chose se produit, il y a un ovule qui attend un germe, parmi ce million. Et personne ne sait quel germe ce sera, ni quel ovule ce sera. Si vous observez la naissance naturelle, elle est plus mystérieuse que la... que la naissance virginale. En effet, dans ce sperme, il y en a un seul qui a été prédestiné à vivre, et tous les autres mourront. Et ce n’est pas le premier arrivé; c’est le premier qui s’unit à l’ovule. Peut-être que l’ovule, il se pourrait qu’il arrive du fond du sperme, ou du milieu du sperme; le germe pourrait très bien faire la même chose. L’ovule. Le germe se glisse à l’intérieur de l’ovule, et les petites queues qui se détachent du germe, voilà l’épine dorsale qui commence à se former. Il n’y en a qu’un seul, dans toute cette décharge, d’un million, qui va y parvenir, un seul; et ce qui en décide, c’est une Force inconnue de l’homme. Pourtant on est tous pareils, tous ces germes, ils sont pareils. Même chose pour les animaux. Même chose pour les humains. Si ça va être un garçon ou une fille, aux cheveux roux, aux cheveux noirs, ou autre, tout est décidé. C’est Dieu qui en décide. Ils ont tous la même apparence naturelle, mais il y en a un parmi eux qui a été destiné à la vie; un sur un million, pourtant ils sont tous pareils.
54 Quand Israël a quitté l’Égypte, ils étaient environ deux millions de personnes, qui sont parties en même temps. Tous, ils ont entendu le message d’un prophète. Tous, ils ont vu la Colonne de Feu. Tous, ils ont reçu le baptême de Moïse, dans la mer Rouge. Tous, ils ont poussé des cris par le–l’Esprit, ils ont battu du tambourin et couru de long en large sur la côte, avec Miryam, quand Moïse a chanté par l’Esprit. Tous, ils ont bu au même Rocher spirituel. Tous, ils ont mangé de la Manne fraîche tous les soirs. Tous! Mais il y en a deux qui sont entrés dans le pays : un sur un million.
55 Quel a été le test? Ils ont tous bu au même Rocher, ils ont tous mangé la même Manne spirituelle, comme nous en mangeons ce matin, mais c’est par le test de la Parole qu’ils ont été mis à l’épreuve. Quand est arrivée l’heure de Kadès-Barnéa, au moment où ils allaient entrer dans le pays promis, ils ne pouvaient pas y entrer avant d’avoir été testés par la Parole. Et tous les–les dix autres sont revenus, et ils ont dit : “Nous ne pouvons pas y arriver! Les gens sont comme... Nous sommes comme des sauterelles à côté d’eux, de leur grande ville fortifiée. L’opposition est trop forte.”
56 Mais Josué et Caleb ont fait taire le peuple. Ils ont dit : “Nous sommes plus que capables d’y arriver!” Pourquoi? Dieu avait dit, avant qu’ils partent, le pays promis : “Je vous ai donné le pays. Je vous l’ai donné. Il est à vous.” Mais il y en a eu un sur un million.
57 Il y a environ cinq cents millions de soi-disant Chrétiens dans le monde, aujourd’hui, et chaque jour voit la fin d’une génération. Et maintenant, qu’en serait-il si l’Enlèvement avait lieu aujourd’hui, et que cinq cents personnes, à l’échelle mondiale, étaient prises dans l’Enlèvement? On ne le saurait jamais ou on ne verrait même pas mention de leur départ dans le journal. Et la Venue du Seigneur est une Venue secrète. Il viendra et L’enlèvera discrètement. Ce sera une minorité tellement petite que...
58 Tout comme ce qui était arrivé, à l’époque où les disciples avaient demandé à Jésus : “Pourquoi les scribes disent-ils que–qu’Élie doit venir premièrement?”
Il a dit : “Il est déjà venu, et vous ne l’avez jamais su.”
59 Vous êtes-vous déjà demandé ce que les gens ont fait? Ils ont continué à croire que Mo-... qu’Élie allait venir. Alors qu’il était là, au milieu d’eux, et ils ne le savaient pas.
60 Il en sera de même à la Venue du Fils de l’homme! Ils agiront exactement de la même manière avec Lui. L’Esprit de Dieu est ici. Eh bien, qu’allons-nous En faire? Allons-nous manger de la Manne, et tout, sans faire de progrès au fur et à mesure que nous grandissons?
61 Avez-vous déjà remarqué une semence, – comme le disait le révérend Pitts il y a quelques instants, – une semence qui est mise en terre? Il y a beaucoup de semences, là, en terre. Quand Dieu se mouvait à la surface des eaux, avec la Lumière, et que la Lumière a fait produire. La première Présence de Dieu, la Lumière parlée, est venue par la Parole de Dieu. Et la Parole de Dieu est la seule chose qui apporte encore la Lumière. Et quand les eaux se sont retirées, la semence était déjà en terre, et la Lumière n’a fait germer que les semences qui étaient là, avec un germe en elles, elles ont germé. Dieu était en train de produire Sa création.
62 Et le matin de Pâques, là une autre Lumière a frappé la terre, quand le Saint-Esprit a été donné. Et Lui, Il est donné pour apporter la Lumière à ces Semences dont Dieu savait, par Sa prescience, qu’elles seraient ici sur terre. De même qu’Il le savait pour la première semence naturelle, Il sait aussi où se trouve la Semence spirituelle. Votre corps se trouvait ici, déjà sur terre, au commencement, quand Dieu a créé la terre. Nous sommes une partie de la terre. Nous nous trouvions là. Et, par Sa prescience, Il savait exactement qui L’aimerait et qui Le servirait, et qui ne le ferait pas. C’est Sa prescience qui le Lui indique. Sinon, alors Il n’est pas Dieu. Il ne peut pas être Dieu sans être infini. Et s’Il est infini, Il sait toutes choses.
63 Donc, on voit les gens qui commettent leurs bévues. Ils butent sur ces choses. Ils foncent dans ces choses, et ils pensent ceci et cela, mais ça ne marche pas bien, nous le constatons. Par contre, il y a quelque chose qui marche bien, c’est de trouver la volonté parfaite de Dieu, et de vous y tenir, ce à quoi Dieu vous a appelé.
64 Comme le disait Frère Jack, il y a quelques instants, au sujet du–du parc Pershing Square, ici, de toute la confusion. Un comme ceci, et l’autre comme cela; et au sujet des théologiens, et tout : si vous voulez apprendre de la théologie, vous n’avez qu’à aller là-bas.
65 Je pense que c’est à peu près comme dans Hyde Park, à Londres. J’y suis allé : chacun a son idée à lui. C’est un–c’est un amoncellement de la Babylone du monde, de cette époque moderne.
66 Mais, avez-vous remarqué, comme–comme Frère Pitts nous le disait, en continuant son beau message, ce matin? Au moment où il allait sortir du parc, là il a trouvé un petit lis de Pâques. “Au milieu de toute la confusion,” comme il nous l’exprimait, “ce lis ne pouvait aucunement dire ni ‘oui’ ni ‘non’. C’était une vie donnée par Dieu, qui brillait en lui, au milieu de toute la confusion.” Il était là, radieux, parce que Dieu l’avait destiné à être là. Au milieu de tous les conflits, personne ne le remarquait. Ils n’ont pas vu l’application spirituelle de cela.
67 Et c’est ce qui se passe aujourd’hui, dans tous nos grands rassemblements, nos groupes, nos églises, nos dénominations, et tout. L’un entraîne les gens dans telle direction : “Il faut être baptistes, ou être presbytériens, il faut être ceci, cela ou autre chose.” Au milieu de tout ça, une fleur est en train de pousser. Une puissance de Dieu est là, parmi nous, en train de s’élever au milieu de nous tous. Arrêtons-nous donc pour la contempler pendant quelques minutes, et observons-la cette semaine, regardons-la se déployer devant nous. Nous croyons que Dieu le fera. Pas vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
68 Je vois que nous devrions déjà être en bas. Alors, prions, chacun de nous.
69 Dieu bien-aimé, quand nous inclinons la tête dans Ta Présence, il nous semble que nous sommes tellement déficients que nous ne pouvons pas nous permettre de demander. Mais Tu nous as promis que, si nous venions, Tu ne nous repousserais pas. Et ces déclarations tranchantes qui viennent d’être faites, ce n’était pas du tout dans le but d’en faire une doctrine – “un sur un million” – mais simplement pour qu’on s’en souvienne. Car Tu as dit : ...étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en aura peu qui les trouveront. Car il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus.
70 Ô Père Éternel, envoie la Lumière de l’Évangile d’un bout à l’autre de cette ville, pendant la convention de cette semaine qui vient. Et s’il s’y trouve des Semences, puissent-elles, d’une façon ou d’une autre, par Ta très sage providence, – comme j’essayais de l’illustrer par l’exemple du sperme du mâle et de la femelle, – venir en grand nombre à cette convention. Puisse le Saint-Esprit leur donner la Lumière. Nous nous rendons compte qu’il est peut-être plus tard que nous le pensons. Nous prions, ô Dieu, alors que nous venons ici, en croyant simplement que, peut-être, quelque chose pourra être fait ici, pour aider les gens ou–ou attraper cette dernière brebis. Nous savons que, quand la bergerie sera remplie, alors le Berger fermera la porte.
71 Comme ce qui était arrivé du temps de Noé : quand le dernier membre de la famille a été entré, Dieu a fermé la porte. Les gens frappaient, ils martelaient la porte, mais il était trop tard. Dieu bien-aimé, l’occasion leur avait été donnée.
Tu as dit : “Je suis la Porte de la bergerie.”
72 Et comme c’est frappant, ce chant qu’a écrit le poète : “Les quatre-vingt-dix-neuf ne Te suffisent-elles pas? Mais non : il y en avait encore une autre.” C’est peut-être une petite brebis noire, ou c’est peut-être une moins que rien, c’est peut-être une petite femelle ou un petit mâle. Nous ne savons pas où elles sont, mais la dernière doit entrer, après quoi la porte se fermera. Ô Dieu, Toi qui sais toutes choses, sonde nos vies ce matin. Et envoie-nous partout où nous pouvons aller, pour pouvoir trouver cette dernière brebis, afin que la porte se ferme, et que le Berger soit à l’intérieur, avec les brebis. Accorde-le, Seigneur. Si celle-là se trouve ici aujourd’hui, si celle qui doit entrer...
73 “Tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi. Et nul ne peut venir, si Mon Père ne l’a attiré.”
74 Alors, s’il y a quelque chose qui tire, ou une impression subtile qui se fait sentir, indiquant que c’est peut-être l’heure pour quelqu’un, soit ici dans cet auditoire, ici ou en bas, ou ailleurs, là où se trouvent ces personnes, puissent-elles répondre : “Oui, Seigneur, je suis cette petite brebis errante, qui s’est égarée; et j’ai lutté contre Cela toute ma vie. Je–je–je sentais bien que j’aurais dû venir, mais me voici aujourd’hui, je suis vaincu. Je ne peux ni monter ni descendre. Je ne peux aller nulle part.” Oh, que le grand Berger vienne, qu’Il tende les bras et, avec Ses mains tendres, qu’Il la fasse entrer, en sûreté, qu’Il la mette sur Ses épaules et la ramène en sûreté.
75 Peut-être qu’il y en a une ici, Seigneur, qui est malade, dans un état tel que le médecin a déclaré : “Il n’y a plus rien à faire.” Il a fait tout ce qu’il a pu pour la sauver, mais il n’a pas pu la sauver. C’est hors de sa portée. Il–il n’y a plus rien qu’il puisse faire. Son médicament et son bistouri ne peuvent pas l’atteindre. Mais, ô Seigneur, rien n’est inaccessible à Ton bras puissant, et Ton bras, c’est Ta Parole. Alors, nous prions, Dieu bien-aimé, que ce matin, pendant que nous nous adressons à Toi, Tu descendes relever cette brebis qui est malade et qui ne peut pas s’en sortir, qui est hors de portée de tout ce qui est du domaine de la science, abandonnée du médecin – qu’elles soient guéries. Accorde-le, Seigneur.
76 Nous pensons à David, à qui avait été confiée la garde de quelques brebis, juste quelques-unes. Mais un jour, un ours était venu s’emparer de la petite brebis, il l’avait emportée, et il l’aurait dévorée (comme un cancer dévorerait le corps), ou, un grand lion. Mais David, qui n’était pas très bien équipé, d’une–d’une carabine, ou, qui ne savait pas manier l’épée, mais muni uniquement d’une fronde, il est allé au secours de cette brebis. Et quand il a trouvé le–l’animal qui allait faire mourir la petite brebis, il l’a tué avec sa fronde. Une petite arme toute simple, faite d’un morceau de cuir et d’une corde, et, mais il avait confiance en elle.
77 Nous n’avons pas de grand génie parmi nous, Seigneur. Nous sommes des gens simples, munis d’une petite prière toute simple, mais ce matin, nous allons au secours de la brebis du Père. Cette femme qui a parcouru les rues, malheureuse, en fumant des cigarettes, en essayant de trouver la paix par la cigarette; cet homme qui a reniflé le verre et qui a essayé de le remettre sur la table, mais que l’ennemi retient fermement; ce jeune homme ou cette jeune fille qui a essayé de faire ce qui est bien, mais qui n’arrive pas à trouver la force de se détacher de ce qui est mal; nous venons, au Nom du Seigneur Jésus, prendre possession de cette brebis ce matin. Nous défions l’ennemi; en effet, c’est une chose simple, une fronde, une prière, mais nous venons afin de ramener cette brebis au bercail du Père, pour que nous puissions rendre compte des choses qui nous ont été confiées. Que la puissance de Dieu descende à l’instant même, produire la foi dans le coeur des gens, et que cette âme perdue revienne ce matin. Que les tentations de cette vie lâchent prise, la laissent partir. Et qu’elle se retrouve en sûreté, sur les épaules du Maître, qui la ramènera en lieu sûr. Nous Te le demandons au Nom de Jésus. Amen.
78 Que Dieu vous bénisse tous. À demain, donc, je remets la réunion à Frère Shakarian. [espace non enregistré sur la bande–N.D.É.]
[Frère Branham termine la troisième partie.–N.D.É.]
79 Ceci, je–j’espère que vous... que j’ai trouvé grâce aux yeux de Dieu et devant vous, dans une plus grande mesure que de croire que je me tiendrais ici pour vous dire quelque chose qui soit faux. J’ai eu cinquante-six ans l’autre jour. Ceci n’est pas rien que le Message d’un vieil homme. Quand j’étais encore tout jeune, j’y croyais déjà. Et s’il n’est pas vrai, alors je suis la personne la plus insensée que Dieu ait eue sur terre. J’ai consacré ma vie entière à cette Cause. Et permettez-moi de dire ceci, en toute sincérité : même si j’avais dix mille vies, jamais je ne changerais d’avis.
80 Donc, la guérison est à la portée de chaque personne. Souvenez-vous, la guérison est en vous. Dieu a mis dans le pêcher toutes les pêches qui allaient un jour s’y trouver – au moment où Il l’a planté dans le jardin. Voyez-vous, vous n’avez qu’à... Le pêcher, ou le pommier, ou l’arbre fruitier, il n’a qu’à pousser, en buvant l’eau de la terre. Or, chacun de vous, vous avez en vous ce potentiel, ce qu’il faut pour vous délivrer, car c’est Dieu, puisque vous avez été plantés en Christ par le baptême (non pas par le baptême d’eau), par le baptême spirituel. On n’entre pas en Christ par le baptême d’eau. Par le baptême spirituel!
81 Demain après-midi, si le Seigneur le veut, c’est de ça que je vais parler : comment et quelle est la vraie application de Cela. Nous ferons ça l’après-midi, pour ne déranger aucune de vos réunions.
82 Maintenant, regardez, chacun de vous, vous êtes ici comme croyants, voyez-vous, alors la Vie qui était en Christ est en vous. C’est possible, si vous pouvez seulement le voir!
83 C’est le rôle du diable de vous empêcher d’accéder à Cela, de vous tenir dans l’aveuglement. Il n’a qu’à vous aveugler, c’est ça, voyez-vous, alors vous ne savez pas où vous allez. Un homme qui est aveugle ne sait pas où il va; pour le comprendre, il doit le demander à quelqu’un qui voit. Nous, avant que nous puissions comprendre, quelqu’un doit nous dire ce qui est la Vérité.
84 Et Christ est mort pour vous, et vous avez été sortis du monde et transplantés en Christ. Et tout ce dont vous avez besoin est là, en vous, par le baptême du Saint-Esprit. N’est-ce pas vrai? Maintenant tout ce que vous avez à faire, c’est de vous mettre à Y boire.
85 Et l’arbre, à mesure qu’il boit, il se met à produire ses feuilles, ses bourgeons, il produit son fruit, tous les ans. Le fruit ne se trouve pas en terre; le fruit se trouve dans la plante. Combien comprennent ça? Dites : “Amen.” [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Donc, voyez-vous, le fruit se trouve dans la plante, et chaque plante doit boire à sa source. La pluie qui tombe, elle donne à la plante la vie, pour qu’elle y boive. Et, à mesure qu’elle boit, elle grandit.
86 Et elle grandit jusqu’à ce qu’elle soit parvenue à son plein épanouissement, tout comme l’Église a grandi, pour s’épanouir en cet âge-ci.
87 Et nous, à mesure que nous buvons, nous grandissons. Mais, si la plante refuse de boire, alors la plante ne peut pas grandir. Et si vous voulez seulement le croire maintenant, chacun en particulier!
88 Bien entendu, vous connaissez la manière de faire du Seigneur, Il montre différentes choses – ce que vous avez fait, ce que vous n’auriez pas dû faire, et ainsi de suite – dans les réunions. Nous espérions que le Saint-Esprit descendrait sur nous ce matin, et qu’Il le ferait, pendant que nous nous tenions ici. Mais, je suis resté à attendre.
89 Je pense que c’est dû au fait que j’étais tendu, à penser qu’en bas, ils veulent que nous libérions la salle, voyez-vous. Mais c’est ce qu’ils veulent; nous sommes déjà en retard.
90 Mais croyez ceci, de tout votre coeur. Je vous en prie. Si je–si j’ai trouvé grâce à vos yeux, comme quelqu’un qui dit la vérité, croyez ceci. Maintenant posez vos mains les uns sur–sur les autres.
91 Maintenant regardez, là, la Bible n’a pas dit : “Voici les signes qui accompagneront William Branham.” Elle n’a pas dit : “Ils accompagneront Oral Roberts, lui seul.” Elle n’a pas dit “qu’ils accompagneraient Frère Kopp”, ou quelqu’un d’autre.
92 “Voici les signes qui accompagneront ceux”, au pluriel, “qui auront cru. S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.” Cette Puissance de Dieu, qui est en vous, c’est ce qui donne la Vie à la personne sur qui vous avez posé votre main, cette source de Vie qu’est le Saint-Esprit.
93 Dieu bien-aimé, au Nom de Jésus-Christ, en ce moment crucial où l’église... puissent les gens, à cet instant précis, ne pas être tendus, et puisse la Puissance qui a fait sortir Christ de la tombe, vivifier en eux, maintenant même, cette Vérité de l’Évangile, que la commission donnée par Jésus, c’était : “S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.” Que toute puissance démoniaque, toute maladie, toute infirmité, toute affliction, tout tourment qui a accablé les gens, que ça les quitte maintenant même par la foi. En tant que gens qui croient, nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.
94 Maintenant, levez les mains et donnez-Lui la louange, si vous croyez qu’Il le fait.
95 Dieu bien-aimé, ce bébé mourra, Seigneur, si ceci ne se produit pas. Je condamne cette nodosité, au Nom de Jésus-Christ. Qu’elle quitte cet enfant innocent. Amen.
Or, les médecins ont essayé, et ils ont échoué. Croyez seulement.1 Thank you, Brother Shakarian. And good morning, friends. Certainly good to be here in Los Angeles again this morning, prior this great convention, and the oncoming meeting of this coming week over at the Embassy Hotel. I'm expecting to see you all over there. And we're all under a great expectations to meet our Lord Jesus and see Him over there. He promised that He would be wherever two or three was gathered together, He would be there.
And I'm sure that I met Him this morning as I come up the steps here in this auditorium, when all the people with great anticipations, waiting for the breakfast and the speaking. And it's good to be gathered here with you. And to the radio audience, there's so many in here, that I had to go down on the next floor and speak to a few. And seen so many requests, heart trouble, and different ailments of their bodies, and we're here now to pray for the sick and the afflicted.
3 Just as I got top of the steps... I'm looking at the old gentleman now. He came up to me and said, "Brother Branham, years ago..." He said he had heart trouble so bad that he--they thought he was going to die. And had prayer for him, and the grace of God healed him. And here he is this morning way in his eighties, just rejoicing. So that makes us take a new hold.
And now, I'm certainly soliciting the prayers of the people out in the radio land, as well as here. After I leave this meeting, I'm going to Europe, down into Africa and around, on meetings. And this is going by a vision, so it's going to be a great meeting there; I'm sure. And I felt for years that the Lord has wanted me to come back. The little humbly--humble ministry that He gave me, I don't think He's quite finished with it yet over there. Seemed like there might be a soul somewhere that I could catch in the Gospel net, the one that He's give me to seine for the people, the way of in Divine healing, praying for the sick. And I certainly solicit your prayers, both you people here and them who are out in the radio audience.
5 Now, I don't have time just take a text and preach, which I expecting to after a few minutes here in the--in the--this auditorium, but just to speaking to--to you a few moments, get acquainted. And to the people out in the land, I'm going to have prayer for those out there right away, and you here also. And I'm certainly glad to meet all these fine new friends that I have never met before, just come in contact with them this morning.
We've been having great times in the services in other places. I don't get out too much anymore; it--it's so busy. We just try to keep the road hot between Jeffersonville, Indiana, and Tucson, Arizona, where we moved out there a few years ago by a vision of the Lord, that sent us out there too, not knowing where I was going. And many of you here at Clifton's, I spoke to you a little before I left in the Phoenix meeting of the vision that had come of seeing seven Angels in a cluster.
7 And I know, to the radio audience, perhaps many of you are not full Gospel, and this may seem a little mysterious to you. Which it would to me, but there is... Anyone who can explain anything, you don't have to accept it anymore by faith. It's things that we cannot explain, that we have to accept by faith. We cannot explain God. No man can explain God. He's sovereign, and He's great and mighty. We just--we just accept it because that we know He's there. And then by our faith in accepting it, He brings the response back to us of the baptism of the Holy Spirit, which I'm just going to speak to you about in a few moments here on, "God's Way Or Place Of Worship."
And the only place that you can worship Him, the only place He'll ever meet you, there's got... There's one church, one place, one time, one people and all that God meets. And it's--I hope that the Lord blesses the message to your hearts here.
9 Now, coming to Tucson, it was strange. Those visions speaking to you in the Name of the Lord, not one of them as I ever can recall, will ask anyone else if they can recall anytime, that He ever did say anything but what was the Truth. It always happens just the way He says it will happen.
And He's supposed to, according to the Scriptures, return to us in this last days in this type of ministry. That'll be after the baptism of the Spirit, and speaking in tongues, and Divine healing, and so forth, these things. The capping of the Pentecostal message is what we're speaking of today. This ministry of the Christ Himself impersonated among His people with the very same things that He did when He was here on earth; in His Body, the Bride, which is part of Him, doing the same things, as Husband and Wife, or King and Queen, just before the marriage ceremony.
11 This week, the Lord willing, I wish to speak some on that, out in our campaign here at the--the Embassy Hotel, and kinda get acquainted in my humble way of doing it. The--the time and the hour that we're living, if a person don't know which a-way to go, what to do or how to turn, you're--you're not walking by faith anymore; you're just guessing; you're presuming. And "presume" is to--to "advance without official authority." So if we haven't got the real official authority to know what God said would take place in this hour, how are we ever going to face this hour? And we've got to face it, knowing by faith in His Word, the things that's supposed to be happening now.
And the condition of the nations the condition of the people, condition of the church, and so forth, we've got to know that, and then how to walk out to face it. If you don't know how to do that, you're just--just what we used to call, kinda haphazardly; just jumping, hoping it'll be here, hoping this and hoping that, and will it be? But God don't want us to do that. He wants us to know what He has said about this day, and then meet it by faith, because He said it would be that way. Then we--we know you're Truth then, because you haven't got some person's word for it; you got His Word of what we must do. And we're hoping that our heavenly Father will--will grant this to us this week.
13 Now, I'm sorry that I cut off of what I was saying a few moments ago, about coming to Tucson. And I thought myself, that it was the end of my life. I thought no one could ever stand that shock of that condition that happened in that vision that morning about ten o'clock at home, that would ever be able to live after that. Why, I come to Tucson, making arrangements with my son, for my wife and--and children to go with him after I was gone, because I thought it was my end. And I, in Phoenix, the men in meetings before it happened, I told you just how it would happen.
Well, a few months after that, I was up in Sabino Canyon one morning, which is just north of Tucson. I was up there to pray. And while I was praying, I had my hand up in the air, and saying, "Father, I pray Thee that Thou will in somehow help me, give me strength for the hour that I'm now facing. And if my work is finished here on earth, then I must come to You. And it's not that I regret coming, but I know that You'll take care of my family. And I--I'm just asking for strength for this hour." And something struck my hand.
15 Now, radio audience, this may seem strange that I have said, but it's the truth. And God is my Judge.
I looked in my hand, and there was a sword, had a sheath over the handle part. And the handle itself was made of pearl, and just looked like kind of a gold-like guard over the handle part. And the--the knife itself looked rather like it was kind of a shiny like, oh, something like chrome or something glistening in the sun.
Now, it was about ten or eleven o'clock in the morning, way on top of a mountain. You can imagine how a person (that I feel that I'm in my right mind) would feel standing there with a sword from nowhere, people for miles and miles, holding that in your hand. I felt of it, took and waved the blade back and forth, and, why, it was a sword.
18 And I looked around. I said, "Well, now, how could that ever happen? Here I am standing here, right here, and no one around for miles and miles, and where did that come from?" I said, "Well, I--I suppose maybe it's the--the Lord telling me it's my end time."
And a Voice spoke and said, "This is the Sword of the Lord."
And I thought, "Well, a sword, then it's to--for like a king to knight." You know how they used to do in England and different places. I thought, "That's what that is for, to knight." And I thought, "Well, maybe I'm supposed to lay hands on people, or..." I had all kinds... The human mind can be all messed up, you know. You don't know. Our minds is finite; His is infinite. So and as I was, it... Then it left my hand and I didn't know where it went, just disappeared. Why, if a person didn't understand a little bit about spiritual things, you--you'd go crazy like that. You'd be standing there, wondering what happened.
And He said, "The vision is not your end time. It's for your ministry. That Sword is the Word. The Seven Seals will be opened, the mysteries of..."
21 And then two weeks after that, or two months, rather, after that, I was up in the mountain with a bunch of friends when it happened. Seven Angels, just as clear as you're standing here, came sweeping down from heaven. The rocks in the mountains rolled out and down the hills, and--and people standing there were screaming and going on, you know, and the dust flying everywhere. And when it was, He said, "Return to your home. Now, will be, each Angel will be one of the seals of the Seven Seals."
Which it's on tape. And the book will be out pretty soon, being now it's kind of grammarized. As you know, my grammar's not very good, and people wouldn't... You just have to be people that love me and know how to understand me on my grammar. But some theologian is grammarizing it for me, and taking out all the--the... Well, maybe I said the wrong word there. I don't even know. So I heard someone laughing, so I guess that "grammarize" wasn't right. But like the Dutchman, you take me for what I mean and not what I say, really.
23 And it's just three minutes now, I'm told, unto the closing of the program.
Now, you dear people out in radio land, and you that's sick and needy here in the audience, would you just lay your hands on each other now while we have this word of prayer for the sick? Now, Jesus said, His last commission to the church, "These signs shall follow them that believe (Them, them that believe.); if they lay their hands on the sick, they shall recover."
25 Dear heavenly Father, we're like children today, we're obeying what You said do. We are laying hands upon all these telephone requests. Thou seest them out in the land out there, how they're needy, the suffering. You see those here that are needy, suffering. And we are committing them to Thee, Dear God, with this faith in Thy Word that Thou has said, "These signs shall follow them that believe: if they lay their hands on the sick, they shall recover." Grant it, Lord, in Jesus Christ's Name. Amen. [Brother Branham ends first radio broadcast--Ed.]
26 Thank you, Brother Shakarian. It's certainly a grand privilege to be back again on the broadcast to speak to some of our friends out in the radio land, as well as present here.
And we are certainly extending this invitation to you to come to the Embassy Hotel tomorrow afternoon to be prayed for. And not only that, but bring the ones that's sinners and those who are backslidden. If we just have prayer for the sick, and we do see God constantly doing great miracles, but that's secondarily. The main thing is to be saved, filled with God's Spirit, which I'm going to speak to you about just in a few moments here, and the sufficiency how that we must be filled with God's Spirit.
28 And Divine healing usually draws an attention to people to--and brings them in the Presence of God. When God does something that--that they know is un... Well, it's not understood. We cannot mechanically show how it's done. God does it in His own great way. Then that attracts the attention of the people to know that there is a Presence of a power somewhere that can do something that's beyond human understanding, and that causes them to look to the Lamb of God. And always, Divine healing; I've been told, and I believe myself, that about between sixty, maybe, and seventy percent of our Lord's ministry was on Divine healing. And He did that to attract the people. Then when they were there, He said, "Except you believe I am He, you'll perish in your sin."
29 Now, Divine healing is a great drawing card to get people to look to the Lord Jesus. And Doctor F. F. Bosworth, which many of you are--was a friend to, and knew him, and his ministry meant so much to me as a young minister. I started out in my meetings, and I run into Brother Bosworth. He used to say, "Divine healing," it's a crude little statement now; he said, "Divine healing is the bait on a fishhook." Said, "You never show the fish the hook. You show him the bait, and then he gets after the bait and gets on the hook." So that's what we try to do. That's our--we... Our aim is to get people to the Lord Jesus Christ. And He's the same yesterday, today, and forever. So if He was a Healer in the days gone by, He's a Healer today. A...
30 Just a personal testimony before I pray for the sick out in the radio land. It was a few days ago I was setting up in a mountains where a great thing had taken place before fifteen or twenty brethren there, where the Angel of the Lord came so down, and great Light flying like a comet, bursting around through the mountains, and rocks flying for two hundred feet, or more, across the earth, cutting the top of the trees out. And I was standing right under It. And told them just a few moments before it happened, it would be there and what would happen; frankly, it was told the day before. And all these men running under trucks and everything, trying to get away, they didn't know what had taken place. And He spoke and said what would take place right immediately afterward.
31 Setting on this certain rock there, right where He had appeared, I had a--a friend that was with us, that had come down from up in Minnesota. His people are here this morning, and I'm not sure but what he may be here on some of the other floors. It was Donavon Weerts, and a fine young fellow, a Lutheran that had just give his life to Christ and been filled with the Spirit, very humble German boy, about thirty years old, family, two or three little children. He moved down in Tucson just to be neighbors with me, where three or four hundred had moved in to be neighbors. So he...
And I'm glad to have such neighbors as that. They follow me all the way to South Africa, and everywhere around, just to be near and see the--with me, and to be with me and enjoy the pleasures of the Lord.
Such a humble fellow, I'd never noticed him very much.
33 'Course, the people that I know and associate with are just like my own brother, sister. I watch them, and feel if I think they're getting out of line, and take them out to one side and talk with them, because I love them. We want to live in glory together. And sometimes maybe in the meetings, you think I speak harsh to you. That isn't from... That isn't because that I don't love you, but it does come from my heart, because I--I... It must be just one way. There's only one way to serve God, and that's... And we must stay in His way, no matter what our thoughts is, His way.
34 And I noticed Donavon, on the right tip of his ear, was swollen perhaps three times its size, and looked very red. Well, now thinking maybe that there in the desert for a few days, that where we'd been, that maybe he had got some cactus in his ear. But taking ahold of his hand, I found out that it was a cancer. So I said to Donavon, I said, "Donavon, have you... How long has that been on your ear?" Just to kind of throw him off, like I didn't know. I said, "How long has that been on there, Donavon?"
He said, "Brother Branham, about six months," he said.
I said, "Why didn't you mention it to me?"
He said, "Oh, seeing you so busy," said, "I didn't want to--to do it." Said, "I just thought maybe sometime the Lord might tell you."
So I--I said, "Do you realize what it is?"
He said, "I have a good idea."
I said, "That is right."
And the second morning, no more than that, holding the boy by the hand; the second morning, there wasn't even a scar on his ear. It was all completely gone.
37 So many times we press, trying to get to this, that, or... See, it's, "These signs shall follow the believer." It didn't say if they pray for the sick. "If they lay hands on the sick, they shall recover." We must have faith ourselves in what we're doing. All right.
So now Donavon is probably here. You'll meet him. He'll be here, if he isn't here this morning, on some of the other floors. You'll meet him, and he'll know the testimony.
And what more could I say? I believe Luke, or John, one, said the world couldn't can hold--contain the books that could be written of what He's done among the people in this last days; how sick's been healed, alcoholics delivered by the thousands of them, and all kinds of diseases and afflictions.
40 Now, you out in radio land, as well as here, I'm holding here now a great handful of requests that's come in by the phone this morning, constantly ringing since we've been here. And so we... One hundred and ninety-six requests has come in this morning by the phone, since we've been in here. So let us join in prayer now as each one... Wherever you are out in the land, lay your hands on one another, if you're believers. If not, lay your hand upon the Bible or something out there, while we pray here and there.
Dear heavenly Father, the little testimony of Donavon Weerts, just one of the thousands, Lord, that Thou has so graciously... I pray that You'll look down into the hearts of the people both here and in radio land. And may they every one be healed. May the evil one leave them, and may they be delivered from all their affliction. Grant it, Father. In the Name of Jesus Christ, Thy Son, we ask it. Amen. "Thank You, Lord..." [Brother Branham ends second radio broadcast--Ed.]
42 Well, this is three times for me up here this morning. My. And, you know, it was just told that we got to vacate the building in about twelve, fourteen minutes, or something. And the management said there's on the other floor there, and they can't serve any meals. Our meals lengthened out. We have many courses, you know. So we are very, very glad that we have had this great spiritual, gastronomical jubilee, as I would call it, this morning here with this fine bunch of men.
I'd like to--to make mention that we are--the services again tomorrow afternoon, over at the Embassy. Now, we will be praying for the sick there, and expecting God to meet with us. And I've come to put in my part, my ministry, into making (all that we can) this meeting to be a success, not a success because it's our meetings, but a success of people finding Jesus Christ. That's the success. Any meetings, no matter how much we praise God, how many great things that we see Him do, how many times He speaks to us in the Spirit, and so forth; unless there's something accomplished, some souls brought into the Kingdom.
44 And Brother Shakarian now just made a--a real statement just now about what he thought about these days that we're--we're living in. I truly believe that with all my heart, that we're living just at the closing time, just in a--just in the evening shadows. The sun is far advanced. And when we see things taking place the way they are today, why, it's hard telling what another generation would bring. A few days ago...
Just let me give you a little inside something. They made an analysis throughout Arizona, where I live; of all the schools. They gave the children, unknowingly to them, a mental test. And guess what? Including high schools and--and grammar schools, there was eighty percent of the children suffering with mental deficiency. Seventy percent of them was television watchers. See, the evils has just slipped up on us and we don't... You wonder why it comes. You can hear the Voice of God screaming out against it, and yet here we--we find ourself webbed into it.
46 Let me give you a--a shocking something. See, "Not all that says unto Me, 'Lord, Lord,' will enter in; but the one that doeth the will of My Father." His will is His Word. We can be ever so religious, have great times, shouting, jumping in these meetings, which we're... I don't--I don't want to be critical. But I have a--a duty to do to God, and that duty is to be sincere and to say what He wants me to say. And I'm--I'm certainly grateful for the California chapter who's bore with me in--in my convictions. If I don't speak my convictions, I'm a hypocrite and now I'm not even honest with you. And if I can't be honest with you, how will I be honest with God, 'cause I see you and talk to you. 'Course we do to God too, but we've got to be really sincere and honest with one another. We are certainly in a--a horrible, horrible age. And did you ever stop...
47 Just let me give you just a little analysis. "Not all that saith unto Me, 'Lord, Lord,' will enter therein; but the one that doeth the will of My Father." Jesus said on earth, "Man shall not live by bread alone, but by every Word," every Word, not just now and then a Word, but by every Word.
It was one Word misbelieved, by God's--of God's commandments, that caused death, sorrow, and every sickness and heartache. To miss God's Word, one Word, if he taken the human race into death, by miss--misbelieving one Word, "surely," surely... But He said it would happen. Satan said, "Surely it won't." But it did.
So we've got to keep every Word of God. And if the human and all this suffering and things that went on the human race, by misconstruing, or--or misbelieving one Word, how we going back by missing One, if it's cost all this price, even the life of His Son?
... many are called,... few are chosen.
... many are called,... few are chosen.
I can't take a text from this, but 'cause we haven't got time, but just to leave something with you. Let us think of...
51 I went one day with Brother Shakarian, where they was hybreeding cattle. And I seen the--the--in the laboratory where Brother Shakarian taken me in. And they dipped in the sperm of the male cow, just a little--like a little instrument, a match stem, and took up a bunch of that sperm, and put it under this glass that magnified it hundreds of times. And there was little germs jumping in that--in that sperm. Which, we know the germ comes from the male, and the egg from the female. And I asked the chemist there; I said, "What's that making that little jump like that?"
He said, "That's--that's little bulls and calves." See?
I said, "In that little drop?"
He said, "Yeah."
I said, "Perhaps then in the entire sperm there would be a million of them?"
He said, "Oh, yeah." See? And I watched close.
53 Now, when this great thing takes place, there's one egg waiting for one germ out of that million. And there's no one can tell which germ that is, or which egg that is. If you'd watch the natural birth, it's more of a mystery than the--than the virgin birth. Because in this sperm, there's one in there that's predestinated to live and the rest of them will die. And it isn't the first one meets; it's the first one that comes together with the egg. Maybe the egg may raise up from the back of the sperm, or the middle of the sperm; the germ may do the same, the egg. The germ crawls into the egg, and little tails drop off of it, and there starts the spine. There's only one in that whole load of a million that's going to make it, only one; and that's determined by some unknown force to man. Yet they're every one alike, every one of those germs are just alike: same thing in animals, same thing in man. It's determined whether it's going to be boy, girl, red-headed, black-headed, or what. It's determined by God. All of them look the same naturally, but there's one in there that's ordained to life: one in a million, yet all of them alike.
54 When Israel left Egypt, there was approximately two million people left at the same time. Every one of them heard the message of a prophet. Every one of them saw the Pillar of Fire. Every one of them was baptized to Moses in the Red Sea. Every one of them shouted in the--in the Spirit, beat the tambourines, and run up-and-down the bank with Miriam, when Moses sang in the Spirit. They every one drank from the same spiritual Rock. They every one eat fresh Manna every night, every one of them. But there was two made the land: one out of a million.
What was the test? They all drink in the same Rock; they all eat the same spiritual Manna as we're eating this morning; but the Word test proved them. When it come to the time of Kadesh-barnea, when they started over into the promised land, and they could not go over till they was tested by the Word... And all the--the other ten came back and said, "We can't make it. The people are like... We're like grasshoppers to them, their great walled city. The opposition's too great."
But Joshua and Caleb stilled the people. They said, "We're more than able to do it." Why? God said before they left the promised land, "I've given you the land. I've give it to you. It's yours." But there were one out of each million.
57 There's approximately five hundred million so-called Christians in the world today, and each day ends a generation. And now, what if the rapture would come today and five hundred people, universally, would be taken in the rapture? You'd never know or even they'd see in the paper of them going. And the coming of the Lord is a secret coming. He'll come and steal away.
It'll be such a minority, till just like it was in the days when the disciples asked Jesus, "Why does the Scribes say that--that Elias must first come?"
He said, "He's already come, and you never knew it."
Did you ever think what the people did? They went right on believing that Mo--that Elias was coming. And he was right among them, and they didn't know it.
So will it be in the coming of the Son of man. They'll do with Him just the same thing. The Spirit of God is here. Well, what are we going to do with It? Are we going to eat Manna, and so forth, and not continually move up as we grow?
61 Did you ever notice a seed, as the Reverend Pitts was speaking a few moments ago, that how a seed goes into the ground? Many seeds are there in the ground. When God moved upon the water with the Light, and Light brought forth. The first Presence of God, spoken Light came by God's Word. And God's Word is the only thing that still brings Light. And when the waters went back, the seed was already in the earth, and the Light only brought forth the seeds that remained with germ in them, come forth, God making His creation.
And now, on Easter morning there was another Light struck the earth when the Holy Spirit was given. And It's given to bring Light to those Seeds that God by His foreknowledge knew that would be here on the earth. As He knew the first natural seed, He knows where the spiritual seed is. Your body was laying here right then on the earth when God first brought the earth into existence. We are a part of the earth. We were laying there. And by His foreknowledge He knew exactly who would love Him and who would serve Him, and who would not. His foreknowledge tells that. If it doesn't, then He isn't God. He can't be God without being infinite. And if He's infinite, He knows all things.
63 So you see people making their blunders. They stumble at it. They run at it, and they think this and that, but it doesn't work right; we see it. But there is a working right; that's to find God's perfect will and stand in it, what God called you for.
As Brother Jack said a few moments ago about down here at the--the Persian Square, all the confusion, one this a way, and one that way; and about the theologians, and so forth, that you want to know some theology, go down there.
I guess that's just about like it is in Hyde Park in London. I was down there; everybody has his own idea. It's a--it's a conglomeration of a modern day world in Babylon.
66 But did you notice as--as Brother Pitts went on with his lovely message this morning to us? As he begin to walk out of the park, there he found a little Easter lily. "In the midst of all the confusion," as he brought it to us, "it had no way to say 'yes' or 'no.' It was a life of God shining in it, in the midst of all the confusion." It was there in its radiance, because God had ordained it to be there. In the midst of all the conflict, no one was noticing it. They didn't see the spiritual application of it.
And so is it today amongst all our great gatherings, and groups, and churches, and denominations, and so forth, one is pulling this way, "We must be Baptists, or be Presbyterians, must be this, that, or the other." In the midst of all of it, there is a growing flower. There is a power of God right among us, being raised right up in the midst of all of us. Let's just stop and behold it a few minutes, and watch it this week, and see it unfold right before us. We believe God will do it. Don't you?
68 I see that we ought to be downstairs by now. So let's pray, each one of us.
Dear God, when we bow our heads in Thy Presence, we are feel that we are so insufficient to ask. But You promised us that if we would come You would not turn us down. And these rude statements that's just been made, by no means to be a doctrine, "one out of a million," but just to kindly remember. For You said, "Strait is the gate, and narrow is the way, that leadeth unto life, and few there will be that'll find it. For many are called, but few are chosen."
O eternal Father, send the Gospel Light across this city, through this coming week of convention. And if there be any seed, somehow by Your own great, wise providence, like trying to illustrate it in the sperm of the male and female, may they roll into the convention. May the Holy Spirit give them Life. We realize that the time is perhaps later then we think it is. We pray, God, that as we come here, just believing that maybe there is something here that could be done that would help the people, or--or catch that last sheep. We know, when the sheepfold is full, then the Shepherd will close the door.
71 As it was like in the days of Noah, when the last member of the family was brought in, God closed the door. And they beat and pounded, but it was too late. Dear God, they had the opportunity.
You said, "I am that Door to the sheepfold."
And how striking the song from the poet, "Are not ninety and nine enough for Thee? But, no, there was one more." He might be a little black sheep, or he might be a little nobody, might be the little her or he. We don't know where they are, but that last one must come in, and then the door will be closed. O God, Who knows all things, search our lives this morning. And send us wherever that we could go, that we might find that last one, that the door would be closed and the Shepherd inside with the sheep. Grant it, Lord. If there be that one here today, if that one that is supposed to come in... "All the Father has given Me will come to Me. And no man can come, except My Father has drawed him."
74 And if there be a tug, or a little feeling, that this might be the hour for somebody here in this audience, here or downstairs, or wherever they may be, may they answer, "Yes, Lord, I am that little wandering one that's wandered away; and that's fought It off all my life. I--I--I felt that I should come, but today I'm hanging on the side of defeat. I can't go up or down. I can go no way." Oh, may the great Shepherd come, reach down with tender hands and bring that one safely in, place it upon His shoulders and bring it safely back.
Maybe there is one here, Lord, that's sick, in a similar condition, that the doctor said, "There's nothing can be done." He tried hard to rescue it, but he could not rescue it. It's beyond his reach. There's--there's nothing that he can do. His medicine or his knife cannot get to it. But, O Lord, there is nothing too far for Your great arm, and Your Word is Your arm. So we pray, dear God, that, this morning, while we are talking to Thee, that Thou will reach down and pick that one up that's sick and cannot help itself, out of the reach of all scientific matters, away from the doctor, may they--they be healed. Grant it, Lord.
76 As we think of David, as he was given a charge over a few sheep, just a few. But one day a bear come in and got that one little sheep and took it out, and would have eaten it up, like a cancer would eat up a body, or a huge lion... But David, not too well equipped with a--a rifle, or, not a swordsman, but with only a slingshot, he went after that sheep. And when he found the--the animal that was about to kill the little sheep, he slew it with the slingshot. Just a simple little weapon with a piece of leather and a string, and--but he had confidence in it.
We have no great genius among us, Lord. We're simple people with a simple little prayer, but we are coming this morning after Father's sheep. That woman that has walked the streets, miserably, smoking cigarettes, trying to find peace through the cigarette; that man who has smelled the glass and tried to set it back, but the enemy holds him tight; that boy or girl that's tried to do right, that just can't find strength to break away from the wrong thing; we come in the Name of the Lord Jesus, to claim that sheep this morning. We defy the enemy; because it's a simple thing, a slingshot, a prayer, but we're coming to bring that one back to the Father's fold, that we might give an account of those things that's been committed to our hand. May the power of God now strike faith down in the hearts of the people, and may that lost soul return this morning. May the temptations of this life turn them away, let him go. May he find hisself safely upon the Master's shoulders, being carried back to safety again. We ask it in Jesus' Name. Amen.
God bless you all. Till I see you tomorrow, I'll turn the service to Brother Shakarian. [Bother Branham ends third portion--Ed.]
79 This, I--I hope that you'll--that I've found more grace in the sight of God and before you to believe that I would stand here to tell you something that was wrong. I have passed my fifty-sixth birthday the other day. Now, this isn't just an old man's Message. I've believed this since I was a little boy. And if this isn't true, I've been the most foolish person God had on the earth. I've give my entire life for this cause. And may I say this with sincerity: if I had ten thousand lives, I'd never change my opinion.
Now, healing is in the reach of every person. Remember, healing is in you. God placed in the peach tree every peach that would ever be in it, when He planted it in the garden. See, you just... The peach tree or the apple tree, or the fruit tree, just has to grow from drinking the water in the earth. Now, each one of you has those potentials in you to deliver you, for it is God, since you've been planted into Christ by baptism, not water baptism, spiritual baptism. You don't come into Christ by water baptism. By spiritual baptism.
Tomorrow afternoon, the Lord willing, I'm speaking on that, how and what is the real application of it. We have it in the afternoon so it won't interfere with any of your services.
82 Now, look, each one of you here is standing as believers (See?), then the Life that was in Christ is in you. It can, if you could just see it.
It's the Devil's business to keep you blocked off from That, keep you blinded. He can just let you be blinded, that's... See, you don't know where you're going then. A man that's blind cannot tell where he's going; he's got to seek the understanding from somebody who can see. Until we can understand, somebody's got to tell us what's Truth.
And Christ died for you, and you are transplanted from the world into Christ. And everything you have need of is right in you by the baptism of the Holy Ghost. Isn't that right? Now, the only thing you have to do is just start drinking from That.
85 And as the tree drinks, it begins to push out its leaves, its buds, pushes out its fruit each year. The fruit's not in the ground; the fruit is in the plant. How many understand that, say "amen." [The congregation says, "Amen."--Ed.] So see, the fruit is in the plant, and every plant has to drink from his fountain. As the rain comes down, gives that plant life to drink from. And as it drinks, it grows. And it's growing up until it comes to the full bud, just like the church has, to bloom out in this age.
And as we drink, we grow. But if the plant refuses to drink, then the plant cannot grow. And if you'll just believe it... Now, individually...
88 'Course, you know how the Lord does show different things of what you've done and what you should not have done, and so forth, in the meetings. We was hoping that the Holy Spirit would fall upon us this morning and do such, as we stood. But I kept waiting.
I think it's the nervous part, thinking that downstairs they want us out of here. See? But they're wanting us; we're late now.
But believe this with all your heart. Please do. If I--if I found grace in your sight as a truthful person, believe this. Now, put your hands on--on each other.
Now, look, now, the Bible didn't say, "These signs will follow William Branham." Didn't say, "It'll follow Oral Roberts only." Didn't say, "It would follow Brother Kopp," or somebody.
"These signs shall follow them (plural) that believe. If they lay their hands on the sick, they shall recover." It's that power of God that's in you, that brings the Life to the person you got your hand on, the Life-giving source of the Holy Ghost.
93 Dear God, in the Name of Jesus Christ, in this crucial moment when the church... May they stand at this second without nervousness, may the power that raised up Christ from the grave, quicken to them just now the Truth of the Gospel, that Jesus' commission was, if they lay hands on the sick, they shall recover. May every demon power, every sickness, every disease, every affliction, every tormenting thing that's happened to the people, may it leave just now by faith. As believing people, we ask it in Jesus Christ's Name. Amen.
Now, raise your hands and give Him praise, if you believe that He does it.
Dear God, this baby will die, Lord, unless this is done. I condemn this knot, in the Name of Jesus Christ. May it leave the innocent child. Amen.
Now, the doctors have tried, and they fail...