Soif
1 Bonsoir, mes amis. C’est un privilège d’être ici ce soir. C’est la deuxième fois que je viens à la Grantway Assembly ici, pour être avec mon cher Frère Mack et tout ce bon comité ici, et les Chrétiens de différentes églises qui se sont ajoutés au nombre. Frère Lee Vayle, et je viens de rencontrer un frère, ici, qui, un–un ami intime de Frère F. F. Bosworth, il ne savait même pas que Frère Bosworth était parti rencontrer le Seigneur. J’ai dit : “J’ai l’impression d’avoir rencontré l’Élisée qui versait l’eau sur les mains d’Élie”; ils étaient à l’étranger, alors ils n’ont pas su que Frère Bosworth était parti rencontrer le Seigneur, à quatre-vingt-quatre ans.
2 Maintenant je voudrais saluer les gens qui nous sont reliés par le téléphone ce soir, d’un bout à l’autre du pays, depuis la Californie jusqu’à New York, au Texas, et–et dans différentes régions du pays, du Maine jusqu’à la Californie. Alors, nous avons un–un système qui nous permet d’être reliés par le téléphone, ce qui a été une grande bénédiction. Et d’après ce que nous dit notre bon ami, Frère Pearry Green, maintenant il y aurait un–un petit machin qu’on peut brancher sur votre téléviseur, et avec ça ce sera non seulement transmis par le téléphone, mais ce sera aussi télévisé directement dans votre téléviseur. Ils sont en train de se renseigner là-dessus.
3 Et, Soeur Mack, je suis content de vous voir, l’air bien portante, assise ici à l’orgue, ce soir. Et je vois beaucoup de mes amis de Sierra Vista, et Frère Borders... ou plutôt Frère Roberson, de l’Indiana; beaucoup de gens. Je veux dire à ceux qui sont au Tabernacle, ce soir, on dirait que la moitié du groupe est ici, et, du Tabernacle à Jeffersonville.
4 Et je veux dire à mon ami, là-bas, Frère Kuhn, cette requête au sujet de laquelle vous avez appelé, cette maladie. Je prie pour ça, Frère Kuhn. Ayez simplement la foi. Ne vous inquiétez pas. Tout ira bien.
5 Et, là-bas au Texas, Frère Blair, si vous êtes à l’écoute ce soir, mon frère, rappelez-vous simplement ceci : le Dieu qui vous a fait passer au travers la première fois, peut vous faire passer au travers la deuxième. Et nous mettons notre foi en Dieu qu’Il vous l’accordera. Et n’acceptez surtout pas le mensonge du diable, sur quoi que ce soit. Rappelez-vous simplement que Dieu est Dieu, et il y a... et Il est encore le même hier, aujourd’hui et éternellement. Nous L’aimons et nous croyons en Lui, et nous prions pour vous.
6 Je veux dire à tous nos amis de la Californie; à Frère Mercier et ceux qui sont ici en Arizona; bien d’autres endroits, Phoenix, et, Frère Williams, et tous ceux de là-bas qui sont en ligne là-bas, ce soir, partout, nous sommes certainement reconnaissants; et là-bas en Géorgie. Nous sommes certainement reconnaissants pour chacun de vous. Que le Seigneur vous bénisse.
7 Je me sens vraiment le bienvenu ici ce soir, dans cette belle église, l’Assemblée de Dieu ici, sur Grantway, et avec Frère Mack, mon bon ami. Dieu a béni Frère Mack. Je me souviens, une fois, au Canada, il était... je suivais un sentier, j’étais à cheval, très loin dans la jungle, et le Saint-Esprit m’a dit de descendre et de prier pour Frère Mack. À ce moment-là, il était dans une situation critique, et le Seigneur l’a guéri. Et alors, j’en suis vraiment reconnaissant, et que nous soyons rassemblés ici, avec lui, ce soir, pour adorer l’Éternel dans cette belle Vérité.
8 Un homme assis derrière moi, sur l’estrade, m’a dit : “Vous ne devez pas me reconnaître.” Il a dit : “Un jour vous m’avez fait monter, je faisais de l’auto-stop”, et, je ne sais pas, quelque part, à Boston, ou quelque part, “à Détroit, je faisais de l’auto-stop.”
9 J’ai dit : “Eh bien, généralement, j’essaie de tendre la main, si je le peux, à ceux qui sont dans le besoin.”
10 Et alors, ce soir, nous sommes tous dans le besoin. Et nous prions Dieu de nous donner un coup de main, ce soir, en nous accordant de l’aide, des bénédictions, Sa grâce et Sa miséricorde.
11 Bon, j’ai plutôt tendance à parler longtemps, mais je vais tâcher de ne pas le faire ce soir. En effet, il y a les gens de l’Ohio qui viennent d’appeler, madame Dauch, et le groupe là-bas, Frère McKinney, et Frère Brown, et tous ceux de l’Ohio qui nous sont reliés par le téléphone. Nous vous envoyons nos salutations, à vous aussi. Là-haut à New York, il est tard, je pense qu’il doit être environ onze heures ou minuit, en ce moment, à New York. Et les églises se sont rassemblées et ont attendu jusqu’à cette heure, juste pour la réunion. Nous sommes reconnaissants pour ces bons amis que nous avons un peu partout.
12 Maintenant, avant d’aborder la Parole, parlons donc à l’Auteur un instant, pendant que nous courbons la tête.
13 Cher Père Céleste, nous sommes... nos coeurs débordent de joie, à cause du privilège que nous avons d’être vivants, ici ce soir, et rassemblés avec Ton peuple. Le peuple... et qui, nous le croyons, vivra éternellement. Nous possédons maintenant la Vie Éternelle, parce que “Tu as donné Ton Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la Vie Éternelle”. Pendant Son pèlerinage ici sur terre, Il nous a enseigné ceci : “Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie; parce que nous avons cru au Fils unique de Dieu.” Comme nous Te remercions pour ce grand Sauveur! Et nous prions, ce soir, que Sa glorieuse Présence nous bénisse tellement, ensemble ici, alors que nous lirons dans Sa Parole et que nous En parlerons. Que le Saint-Esprit transmette cela à chaque coeur, partout dans le pays, Seigneur, là où les gens sont rassemblés.
14 Bénis les autres ministres qui sont en chaire. Nous Te prions, Père, de bénir cette Grantway Assembly; le pasteur, son épouse, ses enfants; les diacres, les administrateurs et tout le conseil. Et, Père, puissions-nous oeuvrer ensemble pour le Royaume de Dieu, pendant qu’il y a assez de Lumière pour nous permettre de voir où nous allons; en effet, l’heure vient où personne ne peut travailler. Aussi, Père, pendant que nous avons ce privilège, puissions-nous–puissions-nous racheter le temps, Seigneur. Puissions-nous, puisse cela nous être accordé. Guéris ceux qui sont malades et affligés, partout dans le pays. Que la Présence de Dieu soit ressentie dans tous les coins et recoins du pays, ce soir.
15 Nous nous rendons compte que le jugement est en train de s’abattre. Il y a des effondrements le long des grandes failles, le pays est secoué, il y a des tremblements de terre en divers lieux. Nous avons entendu parler dans la Bible de grands événements historiques, dans les temps passés, le jugement s’était manifesté, et nous voyons ces choses se répéter aujourd’hui. La prophétie dit : “Ce qui arriva aux jours de Noé, arrivera de même à la venue du Fils de l’homme. Ce qui arriva aux jours de Lot, arrivera de même à la venue du Fils de l’homme”, et nous voyons ces choses se produire maintenant. “Le coeur des hommes qui défaillit; une époque où on ne sait que faire; de l’angoisse chez les nations.” Ô Dieu, nous savons que nous sommes au temps de la fin.
16 Aide-nous, Seigneur, à–à porter le Message dans tous les coins et recoins, à chaque enfant que Tu as destiné à la Vie. Accorde-le, Seigneur. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Que le Seigneur bénisse maintenant la lecture de Sa Parole.
17 Maintenant, beaucoup d’entre vous aiment suivre un peu dans leur Bible, le passage que le ministre lit. Et ce soir, je voudrais lire quelques versets, trois, dans les Psaumes, le Psaume 42, juste pour me servir de texte. Et j’ai noté des passages de l’Écriture ici, auxquels je voudrais me référer, si possible, alors que nous poursuivrons, dans quelques instants, sur notre sujet. Le Psaume de David. C’est David qui a écrit les Psaumes.
18 Maintenant, pendant que vous cherchez le passage, permettez-moi de dire ceci. Bien des gens disent : “Eh bien, les Psaumes sont-ils inspirés?” Certainement qu’ils le sont. Ils sont...
19 Tout ce qui est–ce qui est dans cette Bible est inspiré, que ce soit les récits historiques, que ce soit les chants, quoi que ce soit. C’est inspiré. Jésus a dit : “N’avez-vous pas lu ce que David a dit dans les Psaumes?” Et puis, je pense, les Psaumes, bien entendu, ce sont des chants. Et si les chants sont inspirés de Dieu, et c’est ce que je crois, et qu’ils sont prophétiques aussi, j’espère que je serai là le jour où ce chant-ci s’accomplira.
Il y aura une rencontre dans les airs,
Dans le doux, doux au-delà;
Je vous rencontrerai et vous saluerai là-bas,
Dans cette Demeure au-delà du ciel;
Des chants comme on n’en a jamais entendu chez les mortels,
Ce sera glorieux, je vous le dis!
Le Fils de Dieu Lui-même sera à la tête
De cette rencontre dans les airs.
Oh, je–je veux y être, à ce moment-là!
20 Maintenant le Psaume 42. Comme une biche soupire après des courants d’eau, ainsi mon âme soupire après toi, ô Dieu! Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant : Quand irai-je et paraîtrai-je devant la face de Dieu? Mes larmes sont ma nourriture jour et nuit, pendant que... pendant qu’on me dit sans cesse : Où est ton Dieu?
21 Je pense que David, quand il a écrit ce Psaume, il devait être dans la détresse. Et généralement, il faut une situation de détresse pour manifester ce qu’il y a de meilleur dans un homme. C’est vraiment, c’est là que Dieu... dans des moments où on en vient à jeûner, souvent, pour pouvoir arriver à s’enlever du chemin. Et je pense que David, quand il en arrivait à ce point-là, alors il se mettait à méditer sur le Seigneur, il se mettait à réfléchir.
22 Bien des fois, Dieu s’arrange pour que nous nous retrouvions dans des–des situations difficiles, où nous sommes obligés de regarder en haut. Des fois, il faut même se retrouver couché sur un lit d’hôpital, ou alité quelque part, pour pouvoir regarder en haut, voir d’où viennent les grandes bénédictions de Dieu.
23 Maintenant le mot dont je veux me servir pour ma prédication de ce soir, c’est un seul mot, tiré de la Bible, et il se trouve au verset 2 : “soif”; le mot Soif. J’ai consulté le dictionnaire, quand je cherchais la signification de ce mot.
24 Je pensais à une–une prédication, à un moment donné, j’avais prêché sur Avoir soif de la Vie. Et ça aussi, je l’avais pris dans les Psaumes, quand David avait dit : “Tes statuts”, je crois, “sont plus précieux pour moi que la vie.”
25 Ainsi, je considérais et je pensais à ce mot “soif”, alors j’ai consulté le dictionnaire pour voir ce qu’il signifie. Et voici ce que dit Webster : “C’est un désir douloureux”, c’est douloureux, quand vous désirez tellement quelque chose que ça devient douloureux pour vous.
26 Or, ce–ce n’est pas quelque chose d’anormal, d’avoir soif. La soif est–est quelque chose de naturel. C’est simplement quelque chose que Dieu nous a donné, pour que nous puissions, pour produire en nous un–un désir pour quelque chose. Parfois, Dieu a, aussi, Il vous a doté d’une–d’une tour de contrôle, quelque chose qui est à l’intérieur de vous, qui–qui contrôle ces différents désirs. Et cette soif, cette tour de contrôle qui se trouve dans le coeur de l’homme, c’est quelque chose que Dieu lui a donné pour–pour lui signaler les désirs qui révèlent un besoin chez lui.
27 Or, il y a deux sortes de soif. Il y a une soif physique. Et il y a aussi une soif spirituelle. J’aimerais lire ceci, ce que David a dit, de nouveau. Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant...
28 Pas de quelque chose d’historique, ou de quelque chose qui se serait passé il y a bien des années, ou–ou d’une légende que quelqu’un aurait racontée, mais “du Dieu vivant”, un Dieu qui est toujours présent. Et c’est de ce Dieu-là que son âme avait soif, et non de quelque chose d’historique.
29 Donc, nous voyons que Dieu vous dote de cette tour de contrôle, pour que vous vous procuriez ainsi les choses dont vous avez besoin. Or, la tour de contrôle qui est en vous, c’est ce qui vous dirige. Et cette soif passe dans cette tour con-... tour de contrôle, et celle-ci vous indique ce dont vous avez besoin, spirituellement parlant. La tour de contrôle du corps et celle de l’âme aussi. Il y a une tour de contrôle dans le corps, qui vous indique ce dont votre corps a besoin, le besoin, et il vous est révélé par la soif. Il y a aussi une tour de contrôle dans votre âme, qui vous indique les choses spirituelles dont vous avez besoin, quelque chose dans votre esprit, et–et c’est par ceci que vous pouvez savoir quelle sorte de vie vous contrôle.
30 Quand vous–quand vous pouvez voir quels sont vos désirs, c’est comme ça, alors, que vous pouvez savoir quel est le genre de chose qui se trouve en vous, qui crée ce désir que vous avez. Voyez-vous, il y a une certaine chose dont vous avez soif, et c’est–et c’est par elle que vous pouvez savoir quel est le désir qu’il y a dans votre âme, par le genre de soif que vous avez. J’espère que vous pouvez comprendre ça.
31 Il y a une–une tour de contrôle pour l’âme, et il y en a une pour le corps; chaque tour sert d’avertisseur pour signaler les besoins de l’autre. Chacune indique ce que réclame celui qui lance l’appel, elle envoie un signal avertisseur.
32 Par exemple, la–la chair a soif de satisfaire les désirs du corps, et l’esprit désire les choses qu’il y a dans l’âme, le désir qu’il y a là, et souvent ils luttent l’un contre l’autre. Nous voyons là un grand problème d’aujourd’hui, c’est que trop de gens essaient de vivre entre ces deux désirs. En effet, l’un désire les choses de la terre, alors que l’autre désire les choses du Ciel.
33 Comme Paul l’a dit, l’a décrit, dans Romains 7.21 : “Quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi.” Quand vous essayez, avez-vous déjà expérimenté ça, les Chrétiens? C’est que, quand vous essayez de faire quelque chose de valable, que vous vous efforcez de faire ce qui est bien, alors vous allez trouver le diable qui est là, partout, juste pour vous déranger dans tout ce que vous... Et c’est un bon signe, ça. J’aimerais dire ceci, pour que les Chrétiens le sachent. C’est que, quand vous–quand vous entreprenez quelque chose, et qu’il y a toujours des obstacles, pour vous déranger, faites-le quand même. C’est le diable, là, qui essaie de vous empêcher de faire ce qui est bien.
34 Bon, souvent, je rencontre des gens qui ont tendance à être un peu nerveux. Quand ils s’aperçoivent qu’ils essaient de faire quelque chose et–et que les obstacles s’élèvent de toutes parts, ils disent : “Ce n’était peut-être pas la volonté du Seigneur.” Voyez? Or, ne laissez pas le diable vous mentir comme ça.
35 D’abord, il faut trouver si c’est la volonté de Dieu ou pas. Et alors, si vous voulez savoir si c’est la volonté de Dieu, regardez dans la Bible. Voilà ce qui–qui vous alignera correctement, c’est la Parole de Dieu. Et alors, si vous voyez que c’est selon la Parole de Dieu que vous fassiez cela.
36 Comme, par exemple, de rechercher le baptême du Saint-Esprit. J’ai souvent rencontré des gens qui disaient : “Eh bien, j’ai recherché le Saint-Esprit, et je n’ai tout simplement pas réussi à Le recevoir. Je ne crois pas que C’est pour moi. Chaque fois que je m’y mets, je deviens malade. Quand je me mets à prier, si je jeûne, je deviens malade. Si j’essaie de rester toute la nuit, ou de rester éveillé, j’ai tellement sommeil. Je–je n’arrive pas à avancer.” Souvenez-vous, ça, c’est le diable. En effet, c’est l’intention de Dieu que vous ayez le Saint-Esprit. C’est pour celui qui veut.
37 Souvent, vous constaterez, quand, à une réunion, vous recevez de la prière pour la guérison Divine, alors, le lendemain, vous allez constater, sans doute que le diable va s’arranger pour que ce soit deux fois pire que la veille. Voyez? Souvenez-vous, ça, c’est simplement Satan qui essaie de vous éloigner de la bénédiction que Dieu vous réserve. Voyez? N’écoutez surtout pas ce personnage-là. Voyez? Continuez toujours à courir vers le but.
38 J’en ai fait l’expérience tout récemment, comme je faisais route vers l’Afrique. Si jamais il y a eu un temps où le diable m’a mis des bâtons dans les roues, c’est bien pour mon dernier voyage en Afrique. Finalement, ça a été l’une des plus belles réunions, l’un des meilleurs moments que j’ai jamais passés outre-mer. Je crois que j’ai réussi à accomplir plus de choses pendant la petite période où j’ai été là, – sans compter mon voyage de chasse, – que j’en ai jamais accompli auparavant. J’avais toujours pensé que les églises de là-bas ne voulaient pas de moi, et j’ai fini par découvrir... J’avais reçu une lettre de quelqu’un, qui déclarait, oh, qu’on ne voulait pas de moi là-bas, toute l’association; et j’ai découvert que c’était un homme tout seul, avec une en-tête de lettre imprimée d’une organisation, qui disait : “Nous ne voulons pas de vous.” Il voulait dire lui et sa famille. Voyez? Alors, quand je suis arrivé là-bas... Voyez-vous, le “nous”, c’était seulement lui et sa famille, ce n’était pas du tout les gens. Alors, voilà un grand champ de travail qui s’ouvre maintenant à nous.
39 Vous voyez, quand Paul a dit : “Quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi.”
40 Qu’un jeune converti vienne à l’autel ce soir, quelque part, ici dans ce tabernacle ou–ou ailleurs dans le pays; souvenez-vous bien de ceci, demain, maman sera plus fâchée que jamais, papa sera tout chaviré, et tous les enfants à l’école aussi. Et tout ira de travers, parce que c’est Satan, là, qui cherche à vous faire faire demi-tour. Il cherche à vous écarter du Sentier. “Quand je veux faire le bien, le mal est toujours attaché à moi.”
41 Maintenant considérons la soif, et voyons si, effectivement, la soif, c’est quelque chose de naturel. Des gens m’ont déjà dit : “Oh, moi, je n’ai jamais eu ça. Je crois que ce n’est donné qu’à certaines personnes de vouloir être Chrétiens.” Oh non. C’est faux. En fait, c’est quelque chose qui est commun à tous les êtres humains. Certainement, c’est vrai. Quand nous sommes arrivés dans ce pays, ici, au début, nous y avons trouvé les Indiens. Et les Indiens, bien qu’à l’époque ils aient été païens, ils adoraient le soleil ou quelque chose. Du moment que ce sont des humains, il y a quelque chose en eux, une soif naturelle, qui fait appel à Dieu, quelque part.
42 Au fin fond de la jungle, là-bas, dernièrement, à quatre cent quatre-vingts milles [sept cent soixante-dix kilomètres] de toute civilisation, un petit village d’environ trois mille habitants, à Beira, au Mozambique. Nous y avons trouvé des indigènes qui n’avaient même pas... ils n’avaient jamais vu un Blanc. J’y ai trouvé une indigène, elle ne portait aucun vêtement (pratiquement aucun d’entre eux ne porte de vêtements), et elle était assise au haut d’un arbre. Je suivais la piste d’un lion, et il y a... j’ai entendu un cri qui ressemblait à celui d’un être humain. Cette jeune indigène était assise là-haut, le regard effaré, elle avait un bébé dans les bras. Et ce qui l’avait effrayée... Sa seule protection contre le lion, le léopard, ou autre chose, un autre animal, c’est de grimper à un arbre. Elle m’avait vu, elle avait entendu un bruit d’être humain, mais quand elle a regardé, et qu’elle a vu un Blanc! Elle n’en avait jamais vu, de toute sa vie, voyez-vous, alors elle était épouvantée. Voyez?
43 Mais quand on voit que ces gens, même dans cet état primitif, là-bas, ils adoraient quand même. Avant qu’on appelle le lion, ils versaient de la farine de maïs (c’est de ça qu’ils se nourrissent) sur une petite feuille, ils tapaient des mains, et ils invoquaient l’esprit d’un grand quelque chose quelque part, ils ne savaient pas où (comme un saint patron, ou quelque chose du genre, chez les catholiques), pour que celui-ci les protège, qu’ils ne se fassent pas tuer au moment où ce lion chargerait.
44 Voyez-vous, c’est quelque chose de naturel. Ce n’est pas quelque chose d’anormal d’avoir soif de Dieu. C’est une chose naturelle. C’est tout simplement quelque chose que vous devriez faire. Dieu vous a conçu comme ça. Et ce n’est pas quelque chose de surhumain, c’est vraiment commun à tous les êtres humains. Ce n’est pas réservé exclusivement à certaines personnes.
45 Ils disent : “Eh bien, j’ai vu des gens mener une–une vie tellement victorieuse, qu’ils sont constamment dans les hauteurs, à louer Dieu. Comme j’aimerais me sentir comme ça.” Eh bien, si vous avez ce sentiment-là, c’est à cause de la soif qu’il y a en vous. Et c’est simplement quelque chose de naturel. C’est dans chaque personne, d’avoir soif de Dieu.
46 Maintenant nous allons en considérer quelques-unes, dans le naturel. D’abord, il y a la soif. Prenons, par exemple, la soif d’eau. Comme David le disait, ici, la soif, de “l’eau”. Quand on a soif d’eau, c’est que le corps a besoin d’eau. Et si vous n’apaisez pas cette soif, vous allez périr. Vous allez vous déshydrater, et vous–vous ne resterez pas en vie. Si vous ne pouvez pas vous procurer de l’eau pour apaiser cette soif, pour étancher cette soif du corps naturel, vous ne tarderez pas à périr. Vous ne resterez pas en vie longtemps. Vous pouvez rester en vie plus longtemps sans nourriture, que vous le pouvez sans eau. En effet, vous pouvez jeûner quarante jours (Jésus l’a fait), je pense, sans–sans nourriture, mais vous ne pourriez pas tenir aussi longtemps sans eau. Vous vous dessécheriez, tout simplement, et vous mourriez. Vous devez avoir de l’eau. Et–et cette sensation de soif que vous éprouvez, eh bien, c’est pour indiquer que le corps a besoin de quelque chose, pour le maintenir en vie. Le corps doit absolument avoir de l’eau, pour rester en vie. Vous êtes composés à quatre-vingts et quelques pour cent d’eau et de pétrole, de toute façon; vous devez absorber ces composants, pour rester en vie. Comme je l’ai dit, si vous négligez de le faire, vous périrez.
47 La soif, c’est aussi une sonnette d’alarme. C’est une sonnerie, cette sensation de soif. L’âme déclenche une sonnerie, un petit signal avertisseur à l’intérieur de vous, qui vous indique que la mort rôde, que si vous ne vous procurez pas de l’eau très bientôt, il vous faudra mourir. Et le son devient de plus en plus fort, jusqu’à ce que finalement, si vous continuez à remettre la chose à plus tard, vous mourrez, parce que c’est une sonnerie.
48 Comme David l’a décrit, ici, dans les Psaumes : “Comme une biche soupire après des courants d’eau, ainsi mon âme soupire après Toi, ô Dieu.” Comme une biche soupire après un courant d’eau!
49 En lisant ce passage de David, j’ai souvent pensé à ceci. David était un homme des bois, un chasseur. Et, naturellement, il chassait le cerf. Et beaucoup d’entre nous, de nos jours, nous le chassons. La biche, c’est un cerf.
50 Et nous voyons, si vous avez déjà vu les chiens, les chiens sauvages, ils vont saisir un cerf. En général, ils ont un croc comme le coyote. Et ce chien peut saisir le cerf, juste au-dessus de l’oreille, à la base des bois, ici, et le faire basculer. Il coupe la gorge du cerf, et à ce moment-là, le cerf n’a aucune chance de s’en sortir. Mais quelquefois, le–le–le chien, par exemple, en Afrique, là, le chien sauvage va saisir le cerf en plein flanc, s’il ne réussit pas à le saisir à la gorge. La deuxième fois, il va saisir le flanc. Et si le cerf est assez fort et qu’il réagit assez vite, il pourra se dégager du chien.
51 Le cerf est beaucoup plus rapide. Le chien le traque quand il ne regarde pas, quand il est dans le vent par rapport à lui, et–et qu’il–qu’il ne sait pas que le–le chien est près de lui.
52 Et alors, quand le chien sauvage le saisit, s’il réagit très vite, il pourra se défaire de son emprise. Et, mais quand le chien lâche le flanc, il a un gros morceau de la chair du cerf dans sa gueule. Ou quand il le saisit à la gorge, parfois, il va couper près de la veine jugulaire et passer à côté. Et le cerf, en se dégageant de lui, ça va arracher un gros morceau de viande de la gorge du cerf, et là le sang se met à couler.
53 Et alors, le chien va tout de suite se lancer à la poursuite du cerf, en suivant cette traînée de sang. Et alors que la vie quitte peu à peu le cerf, – le sang étant le ruisseau qui fait circuler la vie dans le corps, – alors que celle-ci le quitte peu à peu, le cerf s’affaiblit. Et là, le chien, ou le loup, il est aux trousses du cerf.
54 Maintenant, si ce cerf n’arrive pas à trouver de l’eau! Or, il y a quelque chose dans l’eau, qui fait que, quand le cerf boit de l’eau, il arrête de saigner. Mais s’il n’a pas d’eau pour faire baisser sa température, alors le–le sang va s’écouler de plus en plus vite, parce qu’en courant, il fait battre son coeur continuellement très vite. Mais s’il peut arriver jusqu’à l’eau, le cerf va s’en sortir vivant.
55 Maintenant, il y a une grande leçon à tirer de ça, voyez-vous, David qui disait ici : “Comme une biche soupire après un courant d’eau, mon âme soupire après Toi, ô Dieu.”
56 Maintenant, ce cerf, il sait que s’il ne trouve pas d’eau, il est perdu. Il ne peut tout simplement pas s’en sortir vivant. Souvent il m’est arrivé de suivre leurs traces, après qu’ils avaient été blessés. Quand il trouve un ruisseau, il va le traverser et y boire, puis il va monter sur la colline; il va revenir, traverser, boire un peu d’eau, et remonter. Vous ne le rattraperez jamais, tant qu’il va suivre ce ruisseau. Mais une fois qu’il quitte le ruisseau, alors, s’il n’arrive pas à trouver un autre courant d’eau quelque part, vous ne tarderez pas à l’attraper. Et le cerf, il le sait, ça, c’est pourquoi il va rester tout près de l’eau, pour pouvoir y aller en vitesse. Maintenant, pouvez-vous vous imaginer un cerf, le nez en l’air, qui se serait retrouvé quelque part où il n’y a pas d’eau?
57 Il dit : “Comme une biche a soif, ou soupire (ce qui est une soif) après des courants d’eau, mon âme a soif de Toi, ô Dieu. Si je ne Te trouve pas, Seigneur, je vais périr. Je–je–je ne pourrai pas continuer, si je ne Te trouve pas!” Et, quand un homme ou une femme, un garçon ou une fille, éprouve cette sorte de soif là pour Dieu, il va trouver quelque chose. Voyez?
58 Mais, quand nous procédons un peu à moitié : “Eh bien, je vais m’agenouiller et voir ce que le Seigneur va faire.” Voyez-vous, vous n’avez pas encore vraiment soif. Il faut que ce soit une soif, question de mort ou de Vie, et là il va se passer quelque chose.
59 Le cerf, là, aussi, il... Nous voyons qu’il a aussi un autre sens, celui de l’odorat, qui déclenche une sonnette d’alarme en lui quand son ennemi est proche. Ce petit animal, il a en lui un–un sens qui lui sert de protection. Et il–il a une petite sonnette d’alarme en lui, un petit quelque chose, il remue le nez quand l’ennemi est proche. Quand vous vous retrouvez dans le vent par rapport à l’ennemi, il saura que vous êtes là, et il va détaler. Parfois, à une distance d’un demi-mille [huit cents mètres], il va vous flairer, vous, ou un loup, ou n’importe quel danger, et se sauver. Il est capable de le détecter, parce qu’il est fait comme ça. Il est un cerf, par nature. Et ce sens qu’il a en lui, c’est tout simplement un des sens que Dieu lui a donnés, pour lui permettre de rester en vie.
60 Et j’ai pensé, je comparais le cerf à un homme qui a soif de Dieu. Avant que l’ennemi arrive; il y a quelque chose dans un enfant de Dieu, une fois que vous êtes né de l’Esprit de Dieu, que vous avez reçu le baptême du Saint-Esprit, il y a quelque chose dans la personne qui peut détecter la présence de l’ennemi. Prenez, par exemple, un homme, quand il prend l’Écriture, qu’il lit l’Écriture, et qu’il essaie d’injecter à ce passage de l’Écriture quelque chose qui est contraire à l’Écriture, un homme qui est rempli du Saint-Esprit peut [Frère Branham fait claquer ses doigts.–N.D.É.] détecter ça tout de suite. Il y a quelque chose qui cloche. Quand il arrive quelque part, et–et, ce petit sens bien particulier que vous avez en vous, il intervient pour protéger votre vie. Vous–vous ne devez, vous ne devez jamais accepter quoi que ce soit, s’il ne s’agit pas très précisément de la Parole de Dieu. Vous devez vous en tenir de façon très précise à cette Parole. Et, maintenant, nous sommes préservés par ce sens-là, pourvu que nous soyons dans le Saint-Esprit.
61 Vous pourriez vous mettre à lire, disons, par exemple, quelqu’un qui dirait, je lirais dans Marc 16, et je dirais : “Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru : En Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; qu’ils saisissent des serpents, ou boivent quelque breuvage mortel, cela ne leur fera pas de mal; s’ils imposent les mains aux malades, ceux-ci seront guéris.”
62 Bon, ensuite, vous verriez quelqu’un monter là-haut et dire : “Bon, ça, c’était pour l’âge apostolique.” Ça, tout de suite, là, – si vous avez reçu le Saint-Esprit, vous avez reçu ce sens-là, – ça le déclenche. Il y a quelque chose de faux, là. Voyez? Ils cherchent à trouver des explications pour déprécier la chose, disant que c’était pour une autre époque, que ces choses-là, en réalité, on n’en a plus besoin aujourd’hui. Mais Jésus a dit : “Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru.” Voyez-vous, il y a un petit quelque chose qui se déclenche en vous, un petit signal avertisseur, qui vous fait savoir que c’est faux et que c’est la voie de la mort.
63 En effet, Jésus a dit que “si nous ajoutons une seule parole à Ceci, ou que nous En retranchons une seule Parole, notre part sera retranchée du Livre de Vie”. Voyez-vous, pas un seul passage de l’Écriture. Nous devons La prendre exactement telle qu’Elle est écrite. Dieu veille sur Sa Parole, pour L’exécuter, et nous savons qu’Elle est forcément tout à fait juste.
64 Alors, par conséquent, quoi qu’une église puisse dire, quoi que n’importe qui d’autre puisse dire, si vous êtes né de l’Esprit de Dieu, vous devenez une partie de la Bible. Dieu a dit à Ézéchiel, il, le prophète. Il a dit : “Prends le rouleau et mange-le”, et alors le prophète et le rouleau sont devenus parties l’un de l’autre. Et il en est de même pour le croyant, quand il reçoit le Saint-Esprit; le Saint-Esprit a écrit la Bible, et l’Esprit de Dieu est la Parole de Dieu. “Mes Paroles sont Esprit. Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.” Hébreux 13.8 : “Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.” Et quand vous êtes une partie de cette Parole, oh, alors, que quelque chose de contraire à cette Parole se présente, [Frère Branham fait claquer ses doigts plusieurs fois.–N.D.É.] ça déclenche tout de suite un petit signal avertisseur. Voyez-vous, c’est pour vous avertir que la mort est dans les parages. On ne devrait jamais faire ça. Il y a aussi...
65 Ces soifs-là sont simplement naturelles. Elles sont naturelles chez le Chrétien. Elles sont naturelles chez l’être humain.
66 Il y a aussi une soif de succès. Tant de gens aujourd’hui, que d’études nous faisons à cause de cette soif-là! Nous venons de constater, c’est la rentrée, à l’université. Et nous allons là, et les gens dépensent des milliers de dollars pour envoyer leurs enfants à l’école, et–et dans les universités et les collèges, et tout, pour y recevoir une instruction, “pour réussir”, comme ils disent, “dans la vie”. Mais, bon, je n’ai rien contre ça, là, il n’y a pas de mal à ça. Mais, à mon avis, vous aurez beau faire toutes les études du monde, vous n’aurez toujours pas trouvé la vraie réussite. C’est exact. En effet, ça ne fera que vous faciliter un peu les choses ici, temporairement. Et il y a... Mais, quand vous mourez, vous laissez tout ça derrière vous, avec tout ce système économique que nous avons.
67 C’est ce que je disais, l’autre jour, à Phoenix. Ça mérite d’être cité de nouveau : “Toute cette civilisation moderne, le programme pédagogique tout entier, le programme scientifique tout entier, tout ça, c’est contraire à la Parole de Dieu et à Sa volonté.” La civilisation, c’est absolument... Il n’y aura plus jamais une civilisation comme celle-ci dans le monde à venir. Cette civilisation est une civilisation pervertie. La première civilisation que Dieu a eue sur terre, c’est quand Il a prononcé Ses Paroles, et qu’elles sont apparues, chaque semence selon son espèce, et, dans cette civilisation-là, la mort, la maladie et le chagrin n’existaient pas. Et maintenant, nous utilisons les éléments scientifiques du monde, qui ont été placés ici pour en maintenir la cohésion, et nous les pervertissons pour produire quelque chose, et le résultat, c’est la mort.
68 Par exemple, la bombe atomique. Je ne connais pas les formules de ces choses, mais – il se pourrait que je le dise de travers – ils prennent de l’uranium pour fendre une–une molécule, et la molécule se décompose en atomes. Et qu’est-ce que ça produit, à ce moment-là? Ça ne fait qu’annihiler, presque, ça ne fait que détruire. Tout ce que nous faisons!
69 Nous prenons la médecine, nous ajoutons telle formule à telle formule, pour guérir telle chose, et nous absorbons ça. Et qu’est-ce que nous faisons? Nous faisons des ravages ailleurs.
70 Bon, je pense que vous lisez, que vous avez lu le Reader’s Digest du mois dernier, où on disait que “dans cet âge où nous vivons actuellement, les jeunes hommes et les jeunes femmes arrivent à l’âge mûr entre l’âge de vingt et vingt-cinq ans”. Pensez-y. Des jeunes filles ont leur ménopause, et à vingt, vingt-deux, vingt-trois ans, elles arrivent à l’âge mûr. Vous voyez, ce qui a produit ça, c’est la nourriture hybride, et ces choses, ce que nous mangeons. Voyez-vous, ce sont ces choses, la nourriture et la–la vie que nous menons. Les hommes de science nous ont fourni tout ça, et c’est ainsi qu’ils sont en train de nous tuer.
71 J’ai été en Afrique, et là-bas j’ai vu des jeunes hommes qui n’avaient jamais pris une seule dose de médicament de leur vie. Ils mangeaient de la viande qui avait des vers. Ils buvaient à une mare qui, d’après l’apparence, aurait tué un boeuf. Je tirais à une distance de deux cents verges [mètres], et je ne voyais pas la cible, avec une paire de jumelles 7 x 50. Et un homme de mon âge était là, il me disait où je l’avais touchée – à l’oeil nu. Maintenant, si toute cette culture moderne a produit quelque chose... Moi, je considère que si j’avais les yeux et l’estomac de cet homme-là, je serais quelqu’un de très bien. Oui.
72 Mais voilà, vous voyez, c’est ça la science, l’instruction, la civilisation, elles nous détruisent. Nous nous détruisons. Ça a commencé dans le jardin d’Éden, et ça se poursuit aujourd’hui. Mais, la soif du succès!
Et puis, nous avons soif d’être en communion. Nous allons, nous voulons être en communion.
73 C’est comme un jeune homme et une jeune femme. Bon, ce n’est pas inutile, ou ce n’est pas (je veux dire) anormal pour un jeune homme et une jeune femme de–de s’aimer. C’est une soif d’amour. C’est de leur âge, et ils–ils s’aiment. Et ce n’est pas quelque chose d’anormal, c’est tout simplement naturel chez eux.
74 Maintenant, nous voyons qu’il y a beaucoup de choses, dans la vie que nous menons dans ce corps naturel, dont nous avons soif. C’est simplement quelque chose qui est là, à l’intérieur de nous. Nous voulons faire ces choses, nous considérons vraiment que c’est nécessaire. Et c’est effectivement nécessaire que nous les fassions.
75 Nous voyons qu’il y a beaucoup de femmes, de nos jours, qui ont soif de beauté. Or, il n’y a pas une seule femme... C’est une chose naturelle chez la femme d’avoir soif d’être belle. Ça, c’est–c’est son instinct, que Dieu lui a donné, et–et sa beauté que Dieu lui a donnée pour son compagnon. Et donc, nous voyons que les femmes veulent être comme ça. Pourquoi donc? C’est simplement parce que c’est quelque chose que Dieu lui a donné. Que les femmes soient belles, il n’y a pas de mal à ça. Elles devraient l’être.
76 Et, vous savez, les seules créatures où–où la femelle est plus belle que le mâle, c’est dans la race humaine. Tous les autres animaux, prenez la–la vache et le taureau, la biche et le cerf, la poule et le coq, l’oiselle et l’oiseau, vous allez toujours constater que le mâle est grand et beau. Mais, dans la race humaine, preuve que c’est là qu’il y a eu la perversion, c’est le contraire; ce sont les femmes, alors, qui sont–sont belles, et elles ont soif d’être belles.
77 Pas comme certaines de ces créatures bizarres qu’on voit dans la rue aujourd’hui; non, non, pas cette sorte de beauté là. Non. Ça, c’est le spectacle le plus horrible que j’ai jamais vu de ma vie. Oui monsieur. Ça, c’est de la perversion, c’est de pervertir la vraie soif.
78 Or, la vraie soif qu’une femme devrait avoir, ce serait de “se vêtir d’une manière décente, et d’avoir un esprit semblable à celui de Christ”, I Timothée 2.9. Maintenant, la femme, c’est d’être comme ça qu’elle devrait avoir soif. Maintenant, si vous voulez être belles, c’est ça qui fait votre beauté, voyez-vous, c’est un esprit semblable à celui de Christ, et d’être vêtues d’une manière décente.
79 Oh! la la! il y a de ces gens qu’on voit dans les rues aujourd’hui! On n’arrive pas à distinguer l’homme de la femme, et c’est–c’est la chose la plus horrible à voir que vous pourriez... je ne pourrais pas, c’est–c’est... Je–je n’ai jamais rien vu de semblable, de semblable chez des êtres humains. Ça dépasse le niveau humain. Les yeux tout maquillés, jusque très haut, comme ça, et, vous savez, ces drôles d’yeux de lézard et tous ces drôles de vêtements. Et, mais, ce n’est même pas... Tellement déformés, ils ne ressemblent même pas à un être humain. Et ces jeunes gens, ici, les cheveux ramenés sur le front, avec les rouleaux de leur soeur ici, en avant, vous savez, mais, c’est une perversion complète! C’est vrai. C’est–c’est–c’est Satan, et Satan est le pervertisseur.
80 Quand Dieu a tout créé, dans le jardin d’Éden, c’était magnifique, puis Satan est arrivé et il a perverti. Satan ne peut pas créer quoi que ce soit. Il n’y a qu’un seul Créateur, c’est Dieu. Mais Satan pervertit la création originelle. Et voilà qu’il s’est mis à (c’est de ça que je veux parler ce soir) pervertir la–la création originelle, de la soif.
81 Bon, la femme, comme je le disais, elle veut être belle. Il y a quelque chose en elle, elle est féminine et elle a ce désir-là.
82 Mais, telles qu’elles sont dans la rue, aujourd’hui, avec les cheveux coupés comme des hommes, vêtues de vêtements d’homme; et puis les hommes font le contraire, les voilà vêtus de vêtements de femme, avec une coupe de cheveux comme les femmes. Voyez-vous, c’est une perversion, tout est perverti! Votre nourriture est pervertie. Votre vie est pervertie. Votre soif, pervertie. Votre désir est perverti. C’est un jour de perversion!
83 Dernièrement, ici, j’ai parlé de L’Éden de Satan. Dieu a mis six mille ans, pour faire un Éden parfait. Satan est arrivé, il a arrosé ces semences et les a déformées. Maintenant, au bout de ses six mille ans à lui, il a son Éden scientifique, il a tout ramené à une perversion de ce qui est bien.
84 Et cet âge-ci est celui de l’hybridation, l’hybridation. Voilà que même les–les églises, aujourd’hui, elles sont hybrides. C’est exact. Ils vont là, ils se contentent d’aller à l’église, c’est un club au lieu d’une église. Une église, c’est un lieu où les gens se rassemblent et adorent Dieu en Esprit et en Vérité. Aujourd’hui, c’est un club. On va là-bas passer un petit moment, se serrer la main et fraterniser, il y a du café noir au fond de la salle, et puis on rentre à la maison jusqu’à la semaine suivante, on a fait notre devoir religieux.
85 L’âge actuel est un âge perverti. Et Satan pervertit ces soifs que Dieu a placées en vous pour vous donner soif. Satan les pervertit. Or, si vous voulez savoir ce qui est bien, la perversion...
86 Si vous, les femmes, vous voulez être belles, prenez I Timothée 2.9 : c’est de “se vêtir d’une manière–manière décente, avec un esprit semblable à celui de Christ, douces, soumises à leurs maris”, et tout. C’est de ça que vous devriez vous vêtir, de la vie que vous menez.
87 Il pervertit la vraie nature de Dieu, et la vraie soif de Dieu, du corps et de l’âme, par la convoitise du péché. Le péché, une perversion! Maintenant, nous voyons, la personne, aujourd’hui, la façon dont ils ont été pris dans cette perversion. La soif de Dieu, la soif d’être belle, et toutes ces soifs, celle de–d’eau, ils l’ont transformée, ils l’ont satisfaite en buvant de l’alcool. La soif de joie, tout le monde veut avoir de la joie; la soif d’être en communion; toutes ces grandes soifs que Dieu a placées en nous, pour que nous ayons soif de Lui. Dieu vous a créés de façon que vous ayez soif de Lui, et nous cherchons la satisfaction dans un autre genre de soif, dans un autre genre de perversion de la soif correcte. Vous voyez comment ça se passe dans le naturel? Vous voyez comment ça se passe dans le spirituel? Nous pensons que, pourvu que nous adhérions à l’église, c’est–c’est réglé, c’est tout ce que nous avons à faire. Eh bien, ça, c’est complètement faux. Non.
88 Dieu veut que vous ayez soif de Lui! “Comme une biche soupire après un courant d’eau, mon âme a soif de Toi, ô Dieu.” Voyez? Voyez?
89 Maintenant, ce cerf, s’il soupirait après un courant d’eau, qu’est-ce qui se serait passé si quelqu’un s’était présenté, et, qu’un autre cerf, un copain à lui, s’était présenté là et avait dit : “Dis donc, je vais te dire ce que je–je peux faire. Je sais où il y a une mare vaseuse, ici.” Eh bien, le cerf, il n’en voudrait pas. Il, ça ne lui ferait aucun bien.
90 Et il n’y a rien qui puisse satisfaire cette soif qui se trouve dans l’être humain, tant que Dieu n’entre pas en lui. Il doit Le recevoir, sinon c’est la mort. Et personne n’a le droit d’essayer de faire taire ou de satisfaire par les choses du monde cette soif sainte qui se trouve en lui. Non monsieur. C’est un geste impie que de faire ça. Si vous avez soif de Dieu, n’allez pas serrer la main au prédicateur et mettre votre nom sur un registre. Si vous avez soif de Dieu, il n’y a qu’une chose qui puisse satisfaire cette soif, c’est de rencontrer Dieu. Si vous avez soif de Dieu, c’est le seul moyen, de Le rencontrer, c’est ce qu’il faut faire.
91 Et puis, il y a un grand danger, aussi, si vous ne faites pas attention à ce que vous faites, à un moment donné. Si vous avez soif de Dieu, assurez-vous que c’est Dieu que vous trouverez. Voyez-vous, assurez-vous que c’est bien votre soif qui est satisfaite. Mais si Satan a réussi à vous pervertir, à vous détourner de ces appétits naturels, – et c’est ce qu’il fera s’il le peut, – il–il va simplement vous amener à essayer de trouver une satisfaction.
92 Un homme qui va aller, qu’est-ce qui fait qu’un homme va s’enivrer? C’est parce qu’il est inquiet et très agité. Il lui manque quelque chose.
93 J’étais à la clinique Mayo, ici, il n’y a pas longtemps, et j’étais là pour un entretien. Et alors, il a été dit, là, nous parlions du fait de boire, et je leur ai dit que mon père buvait.
Il a dit : “Pourquoi buvait-il?”
J’ai dit : “Je ne sais pas.”
94 Il a dit : “C’est parce qu’il y avait quelque chose qu’il, qui ne le satisfaisait pas, et il pensait qu’en buvant, il pourrait chasser ça de son esprit.”
95 J’ai compris tout de suite, voyez-vous. En réalité c’était Dieu, le seul qui puisse satisfaire cette soif-là. Le seul qui puisse satisfaire cette soif humaine, c’est Dieu Lui-même, d’accepter Dieu.
96 Or, Satan s’empare de ces choses, comme je le disais, et il les pervertit. Alors, si vous–si vous... Si vous ne voulez pas donner à cette soif la place qu’elle doit avoir dans votre vie, et que vous ne voulez pas avoir soif et prendre les choses auxquelles Dieu a pourvu pour apaiser cette soif, pour l’étancher, alors Satan va vous conduire vers certains de ses bourbiers de stagnation, de ce monde. Vous devez trouver quelque part. Si vous n’arrivez pas à trouver à manger, vous vous nourrirez dans une poubelle. Voyez? Et si vous–si vous n’arriviez pas à trouver de l’eau, et que vous soyez en train de mourir, vous boiriez à une–une mare quelconque, parce que vous êtes en train de périr.
97 Mais il n’y a aucune raison d’en arriver là, quand vous avez soif de Dieu, parce que Dieu est un Dieu vivant, et non quelque chose d’historique. “Mon âme a soif de Toi, du Dieu vivant”, Quelque Chose qui donne des eaux vives, Quelque Chose qui satisfait.
98 Il y a une autre nature, quelque chose de naturel, une soif simplement naturelle, c’est cette soif de l’âme. Vous direz : “Frère Branham, cette soif de l’âme, est-ce quelque chose de naturel?” Oui, c’est quelque chose de naturel, dans l’âme, d’avoir soif. Et c’est, en effet, Dieu vous a fait ainsi, pour que vous ayez soif de Lui. Il veut que vous ayez soif de Lui. Alors, Dieu vous a fait comme ça. Il n’était pas obligé de vous faire comme ça, mais c’est ce qu’Il a fait. Et s’Il ne vous avait pas fait comme ça, de façon que vous ayez soif, vous auriez une excuse au Tribunal du Jugement, dire : “Je–je–je n’ai jamais eu soif de Dieu.” Mais, vous n’avez aucune excuse, cette soif est en vous. Vous allez la passer sur quelque chose; vous allez peut-être la passer sur votre épouse, vous allez peut-être la passer sur votre voiture, vous allez peut-être la passer sur autre chose, vous irez peut-être à l’église pour essayer de la satisfaire. Je n’ai rien contre le fait d’aller à l’église, mais la satisfaction n’est pas là. C’est de trouver Dieu, le Dieu vivant, le Dieu du Ciel, à l’intérieur de votre âme, pour satisfaire ce désir profond et cette soif, ce après quoi vous soupirez.
99 Or, en effet, Il vous a fait de façon que vous ayez soif de Lui, d’être en communion avec Lui. Or, il existe une soif authentique de communion. Bon, nous aimons nous rencontrer. C’est ce que nous faisons ce soir. Nous nous rencontrons ici ce soir, parce que nous aimons être en communion les uns avec les autres. Pourquoi le faisons-nous? Parce qu’il y a quelque chose en nous, qui fait que nous voulons nous rencontrer. C’est simplement naturel. Et, maintenant, nous avons un point commun qui nous motive à nous rencontrer ici, c’est que nous avons tous soif de Dieu. Voyez? Et alors, nous nous rencontrons ici régulièrement, à cause de ce point commun, pour être en communion. Dans cette église, ce soir, il se pourrait qu’il y ait bien des opinions dénominationnelles différentes, et tout; mais, comme nous avons cette soif, nous pouvons nous rencontrer avec un point commun entre nous, ce point-ci : nous avons tous soif. Certains peuvent croire qu’il faut être aspergé, l’autre qu’il faut être baptisé, l’un qu’il faut verser de l’eau, ou quoi encore; mais pour ce qui est de la soif de Dieu, nous–nous venons avec un point commun entre nous. Et Dieu nous a faits de telle sorte que nous ayons ça, que nous ayons soif de Lui et d’être en communion avec Lui. Je ne connais rien...
100 Quand j’étais un petit garçon, je me rappelle, j’ai grandi dans une famille très pauvre. Et je me rappelle bien des fois où je sortais avec des gars. Je ne pouvais pas m’habiller assez bien pour sortir dans des endroits convenables. Mais, je–je ne sais pas, il y a quelque chose chez les gens, je les aimais. J’aimais être avec eux. Mais j’étais plus ou moins ce qu’on appelle le mouton noir. Et quand j’ai été sauvé, et que j’ai reçu en moi ce Quelque Chose dont j’avais soif, un–un Ami, Quelqu’un qui serait un copain pour moi, Quelqu’un à qui je pourrais faire confiance, Quelqu’un avec qui on peut s’asseoir et discuter de ses problèmes. Et quand... j’ai trouvé cette vraie, cette véritable satisfaction, quand j’ai trouvé Jésus-Christ, Celui qui satisfait vraiment, véritablement, qui enlève tout–tout... qui étanche toute cette soif, et qui vous donne Quelque Chose qui–qui, semble-t-il, vraiment il n’y a rien qui puisse Le remplacer.
101 Et maintenant, combien Satan cherche à pervertir cette satisfaction de l’âme, cette soif de l’âme! Il cherche à vous donner tout ce qu’il peut pour la satisfaire. Et il est tellement trompeur en ces jours de perversion. Ce monde-ci est un monde perverti. C’est une race pervertie. C’est un peuple perverti. Tout est perverti. Et la perversion s’est opérée de façon très graduelle, si bien que nous en sommes maintenant à l’âge le plus trompeur où aucun être humain ait jamais vécu. C’est plus trompeur que jamais.
102 Maintenant, vous ne pouvez vraiment–vous ne pouvez vraiment pas vous imaginer à quel degré de tromperie cette nation est parvenue, même chez nos propres frères, c’est-à-dire le peuple américain.
103 Il y a quelque temps, je parlais... J’étais dans les bois, il y a quelques semaines, et j’ai trouvé un–un–un paquet de cigarettes par terre, dans les bois. Et là-dessus, ça disait : “Le filtre d’un homme qui réfléchit.” J’ai fait encore un petit bout de chemin dans les bois, et je suis revenu sur mes pas; ça me revenait toujours à l’esprit : “Le filtre d’un homme qui réfléchit, et le goût d’un homme qui fume.”
104 Eh bien, je suis allé à l’Exposition Internationale, il y a quelques années; vous vous souvenez, il y avait Yul Brynner et les autres, qui étaient là, alors qu’ils faisaient des démonstrations sur la cigarette. Et là, ils ont mis de la fumée sur un morceau de marbre, et avec un cure-oreilles, ils ont ramassé la nicotine qu’il y avait dessus, et ils ont appliqué ça sur le dos d’un rat. Au bout de sept jours, il était tellement rongé par le cancer qu’il n’arrivait plus à se lever. Voyez-vous, une seule cigarette! Et ensuite, ils ont montré ce qui se passe quand ça se retrouve dans le poumon humain. Certains disent : “Je n’avale pas la fumée. Je garde les bouffées dans ma bouche.” On a démontré que ça va dans la salive, et que ça descend ensuite dans la gorge, même chose, voyez-vous.
105 Et puis, cet homme, il disait : “On entend tellement parler des filtres.” Il a dit : “Or, si vous avez un désir”, ce qui est une soif, vous voyez, “un désir de fumer une cigarette, une cigarette normale pourrait satisfaire ce désir temporairement. Mais, si vous avez un filtre, il faut quatre cigarettes pour le satisfaire,” il a dit, “parce qu’avec ça vous n’avez qu’environ le quart de la fumée.”
106 Et ça disait : “Le goût d’un homme qui fume”? Voyez-vous, on ne peut pas avoir de fumée sans avoir de goudron. Et quand on a du goudron, on a du cancer. Alors, voilà, voyez-vous, c’est–c’est tout simplement une combine. Et je me dis qu’une–qu’une compagnie de tabac qui se trouve dans ce pays, et–et qui vit grâce à ce pays, et qui sortirait une combine comme celle-là, pour carrément tromper les citoyens américains, pour les tromper. Le filtre d’un homme qui réfléchit? Ce n’est qu’une combine pour vendre plus de cigarettes.
107 Ensuite, j’ai pensé à ça : “Le Filtre d’un homme qui réfléchit,” je me suis dit, “c’est une bonne idée, ça.” En effet, il existe effectivement, ce Filtre d’un homme qui réfléchit, c’est cette Bible. Le filtre d’un–d’un homme qui réfléchit, de se servir de ce Filtre-ci, Ce qui produira le goût d’un homme juste. Voyez?
108 Or, vous ne pouvez pas faire passer le péché dans les pages de cette Bible. Non, Elle l’arrête. Elle le filtre, Elle le retire. Bon, vous pouvez aller à l’église, et y apporter n’importe quoi, mais vous ne pouvez pas passer par cette Bible et avoir du péché. Ça ne passera pas. Elle filtre tout péché, Elle le retire, et Elle donne le goût d’un homme saint. En effet, si cet homme réfléchit, qu’il veut être saint, et être comme Dieu, et être un fils ou une fille de Dieu, dans ce cas, il veut avoir le Filtre qui convient. Donc, Celui-ci arrête tout le péché de ce côté-ci de la Bible, Il ne peut faire passer que le Saint-Esprit dans la Bible, Celui qui a écrit la Bible. C’est du goût d’un homme saint, d’avoir ce Filtre d’un homme qui réfléchit.
109 Or, nous voyons combien la tromperie est grande aujourd’hui. Dans Matthieu 24.24, Jésus a dit que “dans les derniers jours, les deux esprits seraient tellement proches, que cela séduirait même les Élus, si c’était possible”. Tellement proches! Tellement, quelle tromperie nous retrouvons aujourd’hui, pour ce qui est du–du bien et du mal.
110 Même dans notre–dans notre gouvernement, dans notre politique, nous–nous n’avons même pas un seul homme que nous pourrions mettre en place comme politicien, qui défendrait vraiment ce qu’il croit être juste. Où sont-ils, nos Patrick Henry, nos Georges Washington et nos Abraham Lincoln d’aujourd’hui? C’est exactement comme notre Président l’a dit, là : “La façon, si c’est le communisme que les gens veulent, ils l’auront, tout ce qu’ils voudront.” Voilà bien un–un homme qui ne veut pas exprimer ce qu’il croit! Un homme qui défendra un principe, qui défendra ce qui est un principe... On se contente de choisir la–la–la solution de facilité.
111 Et les gens en sont arrivés là, dans l’église. Ils veulent venir adhérer à l’église, et ils disent : “Oh, eh bien, ça–ça y est, je–j’ai adhéré à l’église maintenant.” Vous essayez de satisfaire cette grande soif sainte que Dieu a placée en vous, cette Tour de contrôle qui cherche à vous diriger vers la chose juste, vous essayez de satisfaire ça en adhérant à une église, en récitant un credo, ou quelque chose du genre. Alors qu’il n’y a que la Présence même de Dieu, et Dieu Lui-même qui remplit votre vie, qui puisse la satisfaire.
112 Il ne se satisfera pas d’un credo. Vous ne ferez jamais passer un credo à travers cette Bible. Non. Il n’y a même pas le soi-disant Credo des Apôtres, qui puisse jamais passer à travers Cela. Montrez-moi dans la Bible le Credo des Apôtres, où il est dit : “Je crois à la sainte église catholique romaine; je crois à la communion des saints”, alors que ce qu’il est dit dans la Bible, c’est : “Il y a un seul médiateur entre Dieu et les hommes, et c’est Jésus-Christ Homme.” Vous ne ferez jamais passer ces choses à travers la Bible.
113 Toutes ces danses, et ces shorts, et ces choses que les gens font aujourd’hui, le twist et le tutsi, et toutes ces choses-là, vous ne ferez jamais passer ça à travers la Parole de Dieu. Cette tendance moderne de la civilisation, vous ne ferez jamais passer ça à travers cette Bible. Elle s’y oppose. Voyez? Et vous essayez de satisfaire cette soif, mais, vous voyez, elle... Cette Bible va uniquement satisfaire le goût d’un homme ou d’une femme justes. Ce Saint-Esprit, dont ils se permettent de se moquer, et ils disent : “Tu as perdu la tête.” Mais C’est ce qui satisfait ce désir profond, c’est quelque chose dont le monde ignore tout. Ils se sont pervertis, ils se sont détournés du véritable baptême du Saint-Esprit et de la Parole de Dieu, pour se tourner (vers quoi?) vers les bourbiers, les bourbiers de l’église, les dogmes, les crédos, et–et les différends dénominationnels, et tout.
On dit : “Êtes-vous Chrétien?
114 – Je suis méthodiste. Je suis baptiste. Je suis presbytérien.” Ça, pour Dieu ça ne veut rien dire, absolument rien. Vous ne pouvez pas faire passer ces choses-là à travers la Bible de Dieu, ici. Et vous essayez de satisfaire cette soif sainte que Dieu vous a donnée pour que vous ayez soif de Lui. Pas vrai? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
115 Maintenant, vous savez que David a dit ici : “Du Dieu vivant.” Or : “Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.” Il ne peut donc y avoir aucune satisfaction, tant que cette Parole, qui est Dieu, ne deviendra pas vivante en vous, et c’est là que vous voyez Dieu Lui-même accomplir les promesses qu’Il a faites dans la Bible.
116 Maintenant nous avons plusieurs interprètes de la Bible. Une église L’interprète comme ceci, une autre L’interprète comme cela, et une autre comme ceci. Certaines n’En prennent qu’un tout petit bout, certaines En prennent une partie ici et là. Mais Dieu est Son propre interprète. Quand Il fait une promesse et qu’Il l’accomplit, c’est ça qui en est l’interprétation.
117 Si je vous avais promis que je serais ici ce soir, et je suis ici, c’est ça l’accomplissement de ma promesse. Si je dis que je vais vous rencontrer demain matin, et que j’y suis, c’est ma promesse. Je n’ai pas besoin de trouver d’autres excuses, il faut que j’y sois.
118 De même, quand Dieu fait une promesse, et qu’ensuite Il vient accomplir cette promesse, c’est ça l’interprétation de la promesse. Je mettrais n’importe qui au défi de prendre Dieu à Sa Parole, pour voir si effectivement chaque Parole de cette Bible est bien la Vérité. C’est exact. C’est ça, cette soif est là à l’intérieur.
119 Vous dites : “Si j’avais vécu à l’époque de Jésus, j’aurais fait telle et telle chose.”
120 Mais, vous vivez à Son époque. Qu’est-ce que nous en faisons? Qu’est-ce que nous faisons? Vous dites : “Eh bien?” Ce que vous avez fait, c’est peut-être ce que les pharisiens avaient fait. Ils étaient membres de l’église, et ils ont renié Jésus-Christ.
121 Aujourd’hui, nous disons toujours, les gens essaient de dire : “Nous comparons. Nous devons comparer la Bible, page par page, verset par verset.” Ce n’est pas la Vérité. Non, ce n’est pas la Vérité. “Ce mot grec veut dire ceci, et ceci veut dire cela.” Les Grecs eux-mêmes, à l’époque reculée du concile de Nicée, et les écrivains de l’époque, ils avaient des positions différentes. L’un croyait telle chose, que tel helléniste, c’est ceci qu’il avait voulu dire, et l’autre disait que tel autre, c’est ceci qu’il avait voulu dire. Et ils se querellaient Là-dessus. Nous n’avons pas besoin de l’interprétation des hellénistes, ou des mots grecs.
122 “De Le connaître, Lui, c’est la Vie”, la Personne, Christ Lui-même! Ce n’est pas en comparant. C’est une révélation, sur laquelle Dieu a bâti Son Église. Et si nous ne bâtissons pas sur cette même Église... La Bible dit : “Abel, par la foi!” Et la foi, c’est une révélation Divine. Voyez-vous, la foi, c’est une révélation Divine. Bien. Tout Ceci est bâti sur la révélation, et donc, à moins que ce ne vous soit révélé! Jésus a dit : “Je Te rends grâces, Père, de ce que Tu as caché ces choses aux sages de ce monde, et de ce que Tu les as révélées aux enfants, lesquels sont disposés à apprendre.” Voyez-vous, or c’est là-dessus que tout est bâti : vous devez connaître la Personne!
123 Et vous ne pouvez pas satisfaire ça en adhérant à l’église. Vous devez trouver la Personne, Dieu Lui-même, qui est la Parole et–et l’interprétation de Lui-même aujourd’hui, les promesses qu’Il a faites aujourd’hui. Les gens qu’Il allait avoir en ce jour-ci, “l’Église sans tache ni ride”, ça ne veut pas dire une dénomination, ça veut dire les personnes, les individus, sans tache ni ride. “Il y aura deux personnes dans un lit, J’en prendrai une et J’en laisserai une; deux dans un champ, J’en prendrai une et J’en laisserai une.” Mais quand Dieu, cette soif sainte d’être comme Lui, et qu’ensuite vous voyez que Sa Parole est en vous, qu’Elle Se confirme d’Elle-même, que vous êtes le serviteur de Dieu. Tout ce que Dieu dit, vous vous y alignez parfaitement, alors vous suivez le processus qu’il faut, à ce moment-là, pour satisfaire cette soif sainte qui est en vous.
124 Oh, évidemment, les gens vont se moquer de vous, et dire : “Tu as perdu la tête. Tu es devenu fou.” Mais rappelez-vous à quoi ils s’abreuvent, voyez-vous. Regardez où ils en sont. Pouvez-vous vous imaginer un grand puits artésien qui fait jaillir de la belle eau, et quelqu’un est là-bas, à une de ces mares remplie de têtards morts, de crédos et tout, il s’abreuve là, et il vous regarde, d’en bas, et se moque de vous? Oh! Voyons, il ne sait pas, il ne sait pas combien–combien il est désaltérant, ce Ruisseau où vous vivez. C’est tout à fait exact.
125 Nous avons un Dieu vivant. Pas un qui est mort il y a dix-neuf cents ans et qui est resté dans le sépulcre, mais Un qui est ressuscité. Hébreux 13.8 dit : “Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.” Ce même Saint-Esprit qui est descendu au Jour de la Pentecôte, c’est le même Saint-Esprit qui est ici en ce moment. Il est la Portion qui satisfait pleinement, parce qu’Il est la Parole. C’est exact. Le Saint-Esprit a écrit la Parole, c’est Lui qui interprète la Parole. La Bible dit, dans II Pierre, que le Saint-Esprit a écrit la Bible, que “c’est poussés par le Saint-Esprit que des hommes, autrefois, ont écrit la Bible”.
126 Alors, vous ne pouvez pas y arriver, vous ne pouvez pas satisfaire cette soif sainte avec rien de moins que Dieu Lui-même, vivant en vous, dans la Personne du Saint-Esprit. L’instruction, la culture, d’adhérer à des églises, de réciter des crédos, de se joindre à une association, toutes ces choses, c’est très bien, mais elles ne mettront absolument pas fin à ce silence saint, à cette–cette soif sainte, plutôt, elles ne feront pas taire cette soif sainte.
127 J’écoutais Billy Graham, le grand évangéliste, l’autre soir. Et je vous le dis, je prie pour lui plus que jamais, quand je l’ai vu taper sur ces gens, à cause de ce qu’ils avaient fait. Il disait : “Ce groupe d’hommes du clergé qui venaient sur la route, leurs cols tournés vers l’arrière!” Ils sont allés là-bas, où ils n’avaient pas à aller, mettre leur nez dans quelque chose. Mais ils s’en allaient sur la route, [Frère Branham tape des mains.–N.D.É.] en tapant des mains et en tapant du pied. On aurait dit des exaltés, oui, mais impies. Bon, mais, vous voyez, il y a quelque chose à quoi ils–ils croient. Il y a quelque chose qui enflamme leur âme. Il y avait quelque chose qui les enflammait. Une femme était allée là-bas et s’était impliquée dans quelque chose, – ils l’ont prise pour une martyre à cause de ça, – alors qu’elle n’avait pas à s’en mêler. Alors, nous voyons que ces hommes-là [Frère Branham tape des mains.], ils avaient une raison de taper des mains. Ils étaient heureux. Ils faisaient quelque chose.
128 Eh bien, si vous pouvez faire ça, pour un–un principe que vous croyez être juste, ici; et ensuite vous vous retrouverez dans une église où, si quelqu’un tapait des mains ou tapait du pied, les diacres le feraient sortir. Voyez-vous, ils ont dirigé leurs fidèles vers un bourbier sale, de crédos et de dénominations, au lieu de les nourrir de la Parole de Dieu, sainte et bénie, transmise par la Puissance de la résurrection de Jésus-Christ.
129 Voyez-vous, ils essaient de, ils étanchent leur soif, en disant : “Je suis le docteur Untel”, ou en sortant de tel séminaire ou de telle école. Mais ça ne veut rien dire, ça, absolument rien. Mais, vous voyez, ils–ils essaient de se satisfaire, en disant : “Bon, Dieu va m’accepter, parce que je suis un pasteur à Lui. Dieu va m’accepter, parce que je suis le saint Père Untel, ou l’évêque Untel”, ou–ou quelque chose comme ça. Ils essaient de satisfaire leur soif par ça, alors qu’on ne peut pas. “J’ai un doctorat en philosophie, un doctorat en droit, j’ai ma licence en lettres. J’ai ceci.” C’est bien. Mais, à mon avis, tout ce que ça veut dire, c’est que vous êtes encore plus éloigné de Dieu. C’est exact. Encore plus éloigné de Dieu, tout le temps.
130 Vous pouvez seulement connaître Dieu par une expérience. Vous ne pouvez pas recevoir Ceci par des études. C’est par une naissance que vous Le recevez! C’est quelque chose que Dieu vous donne. L’instruction n’a rien à Y voir. L’un des plus grands hommes de la Bible ne pouvait même pas signer son nom : saint Pierre. C’est tout à fait exact, lui et Jean, la Bible dit “qu’ils étaient tous deux des hommes du peuple sans instruction”. Mais Jésus a trouvé bon de lui donner les clés du Royaume, parce qu’il avait soif de Dieu. Amen. Il avait soif de Dieu, de communion. Oui monsieur. Oh! la la!
131 Je pense à Ésaïe, ce jeune homme, oh, un jeune homme très bien, il était là-bas dans le temple, un jour.
132 Ce grand roi, et il était en admiration devant lui, il le considérait comme un des plus grands hommes qui existaient. Et il l’était, un grand homme. Il avait été élevé par de bons parents, une bonne mère et un bon père. Mais, au début, sa politique était sans tache, et il s’était mis en règle avec Dieu. Ésaïe le regardait, et il le considérait comme un grand homme, il prenait exemple sur lui. Mais n’allez jamais prendre exemple sur aucun autre homme que l’Homme Jésus-Christ. Tous les hommes failliront. Au bout d’un moment, il en est arrivé à un point; il était–il était roi, mais il a essayé de prendre la place d’un sacrificateur, il est entré dans le temple, et il a été frappé de la lèpre.
133 Alors, Ésaïe était tout inquiet, il est donc allé au temple et il s’est mis à–à prier; il s’était dit qu’il irait là-bas prier pendant un moment. Or, regardez, cet homme était prophète; mais là dans le temple, il était un jeune homme, qui criait à Dieu, un jour, et une vision est apparue devant lui. Et, à ce moment-là, il a vu des Anges, des Chérubins, qui Se couvraient la face avec Leurs–avec Leurs ailes, et qui Se couvraient les pieds, et qui volaient avec deux ailes. Et Ils allaient et venaient, de long en large, dans le temple, en criant : “Saint, saint, saint est le Seigneur Dieu, le Tout-Puissant.”
134 Et Ésaïe, cette grande soif qu’il avait eue. Il–il avait dû faire des études. Il–il avait probablement une bonne instruction. Il avait une–une conception merveilleuse de ce que Dieu devait être. Il–il avait entendu parler les sacrificateurs. Il avait été dans le temple. Il avait été élevé comme un–un croyant, mais, vous voyez, il ne L’avait encore jamais rencontré face à face. Voyez? Il–il avait le désir de faire ce qui est bien. Il voulait être dans le vrai, mais tout ce qu’il avait, c’était le côté pédagogique. Il En avait reçu le côté théologique.
135 Mais ce jour-là, quand il est allé dans le temple, là, et qu’il a vu ces Chérubins qui battaient des ailes, de long en large, et qu’il a compris que ces Anges faisaient le service devant Dieu. Et ces Anges qui ne savaient même pas ce que c’était que le péché, et, pour se tenir dans la Présence de Dieu, Ils devaient couvrir Leurs saints visages, pour se tenir dans la Présence de Dieu. Alors ce prophète s’est écrié : “Malheur à moi, car je suis un homme dont les lèvres sont impures. Toute ma théologie, ma théologie et les choses que j’ai apprises, toute la conception merveilleuse que j’avais de Dieu, je me retrouve maintenant face à face avec ceci.” Il a dit : “Je suis un homme dont les lèvres sont impures, et j’habite au milieu d’un peuple aux lèvres impures.” Tout leur enseignement des lois et les choses qu’ils avaient faites, tout cela ne l’avait jamais amené au point où il était entré dans la Présence de Dieu, où il avait vu Dieu de ses propres yeux, et les pans de Sa robe, alors qu’Il était assis en Haut, dans les Cieux. Il s’est retrouvé face à face avec la réalité. Et il s’est écrié : “Je suis un homme dont les lèvres sont impures, et j’habite au milieu d’un peuple impur.”
136 Et c’est là que le Chérubin a pris des pincettes, et avec une pierre ardente qui était sur l’autel, Il a touché ces lèvres impures. Et c’est ce qui l’a transformé, du lâche, ou, de l’homme instruit, du docteur, qu’il était, en un prophète à travers lequel la Parole de Dieu pourrait être prononcée. Certainement, pendant qu’il était dans la Présence de Dieu, C’était quelque chose de différent. Cette soif qu’il avait eue, elle avait alors atteint un si haut degré qu’il a été rempli de Cela.
137 Et, je vais vous dire, mon ami, peu m’importe le nombre d’églises auxquelles vous adhérez, combien de noms vous mettez, quelle voie vous suivez, que vous ayez été aspergé, baptisé, ou quoi encore, tant que vous n’aurez pas rencontré cette Personne-là, Jésus-Christ! Voilà, c’est la seule chose qui satisfera réellement.
138 L’émotion ne fera pas l’affaire; vous aurez beau sauter en l’air et crier aussi longtemps que vous voudrez, ou vous aurez beau courir d’un bout à l’autre de la salle et vous aurez beau parler en langues tant que vous voudrez. Et ces choses-là sont saintes et bonnes. Je n’ai rien à dire–je n’ai rien à dire contre elles. Mais tant que vous n’aurez pas rencontré cette Personne, cette Portion qui satisfait pleinement, ce Quelque Chose qui s’empare de chaque fibre de votre être; pas par une émotion, mais par une satisfaction!
139 Il y avait un petit panneau-réclame que je voyais, autrefois, ça disait : “Si vous avez soif, dites Parfay.” Il y avait une boisson, dans le temps, quand j’étais jeune, qui s’appelait Parfay. Je me rappelle, je venais sur la route, oh, j’étais allé pêcher à l’étang, dans ces vieilles eaux stagnantes. J’avais une faim de loup, et j’ai vu un panneau-réclame qui disait : “Si vous avez soif, vous n’avez qu’à dire Parfay.” Je me suis mis à dire : “Parfay, Parfay.” J’avais de plus en plus soif. Et je–je... Voyez-vous, au bout d’un moment, je–je–j’avais tellement soif que je n’arrivais même plus à cracher, tellement–tellement j’avais soif.
140 Eh bien, vous voyez, ça, ça ne fera pas l’affaire. Rien ne la satisfera; peu m’importe, vous aurez beau boire des coca-cola, vous aurez beau boire tout ce que vous voudrez, ces boissons gazeuses sucrées, et tout, mais rien ne satisfera la soif comme un bon ruisseau d’eau froide, rafraîchissante. Voilà ce qui étanchera cette soif. Toutes ces autres choses sont des substituts.
141 Pourquoi est-ce qu’on voudrait accepter un substitut, alors qu’il existe un authentique baptême du Saint-Esprit, qui satisfait chaque fibre et le désir profond qui se trouve dans l’âme humaine? Pour pouvoir ensuite affronter la mort, comme le grand apôtre Paul, qui a dit : “Ô mort, où est ton aiguillon? Et, sépulcre, où est ta victoire? Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ!” Voilà l’expérience, frère, voilà ce qui satisfait ce silence saint qui... ou, cette soif sainte qui se trouve en vous. Elle la satisfait. Vous n’avez plus besoin de vous en occuper. Oui, Cela purifie les lèvres.
142 Et il y a aussi de ces gens qui vivent seulement d’émotion, de... Certaines personnes disent : “Eh bien, on a beaucoup de ça dans notre mouvement pentecôtiste.” Et ils vont aller là, ce qui est bien, ils vont taper des mains [Frère Branham tape des mains.–N.D.É.], et jouer de la musique. La musique s’arrête : “Shh, wououhh”, un seau d’eau, tout est noyé, voyez-vous. Or c’est ce que nous–nous faisons, c’est ce que nous–nous avons pris l’habitude de faire. Nous avons, nous–nous... C’est tout simplement devenu une de nos coutumes.
143 Je vais vous dire quelque chose. Quand vous adorez Dieu, en Esprit et en Vérité; quand ça devient une coutume pour vous de le faire, parce que vous pensez que c’est ce que vous devriez faire, parce que vous pensez que, si vous ne criez pas, que vous ne sautez pas en l’air, ou que vous ne dansez pas au rythme de la musique, votre voisin va penser que vous êtes rétrograde, vous vous abreuvez à un ruisseau d’eau stagnante. Exact!
144 Tant qu’Il ne remplira pas chaque fibre, que le Saint-Esprit Lui-même ne bouillonnera pas en vous; peu m’importe que la musique joue ou pas, qu’ils soient en train de jouer Mon Dieu, plus près de Toi, ou n’importe quoi, le Saint-Esprit est toujours là à faire sonner les cloches de la gloire dans votre coeur. Voilà ce qui satisfait. Voilà la Portion de Dieu qui satisfait pleinement. À moins d’avoir Cela, vous êtes fichu.
145 Vous aurez beau parler la langue des hommes et des Anges, vous aurez beau distribuer tous vos biens pour la nourriture des pauvres, vous aurez beau prophétiser, et vous aurez beau avoir la connaissance, comprendre tous les mystères et toutes ces choses, et malgré tout ça, vous ne serez rien (I Corinthiens 13), tant que vous n’aurez pas reçu ce Quelque Chose qui satisfait pleinement, qui seul peut étancher cette soif.
146 “Mon âme a soif du Dieu vivant, comme une biche soupire après un courant d’eau. Si je ne Le trouve pas, je périrai.” Quand vous serez affamé de Dieu comme ça, alors il se passera quelque chose. Le Saint-Esprit est là pour vous conduire vers ces grandes sources de Dieu. Oui monsieur.
147 Or, c’est une bonne chose d’adorer en Esprit. C’est vrai. Mais parfois on a l’Esprit sans avoir la Vérité. Dans Jean 4, il est dit : “Nous adorons Dieu en Esprit et en Vérité.” Et Jésus est la Vérité. C’est tout à fait exact. Et Il est la Parole.
148 Les ruisseaux que Dieu vous a envoyés pour vous satisfaire, dans le naturel, Satan les a tous pollués. Il a injecté de la drogue, du poison, dans tous ceux où il a pu s’infiltrer. C’est exact. Il s’est emparé de ce grand ruisseau : l’église.
149 Ça, c’était le moyen que Dieu avait choisi. Jésus a dit : “Sur cette Pierre Je bâtirai Mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre Elle.”
150 Or, il y a différents points de vue là-dessus. Les romains, les catholiques, ils disent “qu’Il L’a bâtie sur Pierre”. Voyez-vous, si c’est le cas, Pierre a rétrogradé, quelques jours plus tard. Alors, Elle n’a pas été, Elle n’a certainement pas été bâtie sur Pierre, Petra, la petite pierre. Les protestants, eux, ils disent “qu’Il L’a bâtie sur Lui-même, Jésus-Christ”. Ce n’est pas pour être différent, mais je ne suis pas d’accord avec eux. Il ne L’a bâtie, ni sur l’un, ni sur l’autre.
151 Il L’a bâtie sur la révélation de Qui Il était. Il a dit : “Tu es heureux, Simon, fils de Jonas, ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé ceci, mais c’est Mon Père qui est dans les Cieux qui te l’a révélé.” Ce n’est pas par la connaissance! Tu ne L’as pas appris dans des livres. Tu ne L’as pas appris en adhérant à une église. Tu ne L’as pas appris en poussant des cris. Tu... Mais c’est le Saint-Esprit Lui-même qui t’a présenté la Personne de Jésus-Christ, alors “sur cette Pierre Je bâtirai Mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre Elle”. Cette soif sainte a été satisfaite dans la Personne de Jésus-Christ. Voilà. C’est ce que nous voulons chercher, satisfaire cette soif par Cela. Bien, nous voyons que nous devons...
152 La connaissance? Oh! la la! La connaissance est une chose formidable, nous nous en remplissons, et aujourd’hui nous en sommes remplis. Mais, vous voyez, la connaissance... comme je le disais l’autre jour, je parlais de ce sujet, de la connaissance. Il y avait un homme dehors, il parlait à un de mes amis qui était là; il disait : “Si un homme ne croit pas à l’instruction, pourquoi est-ce qu’il lit la Bible?” Ils...
153 Je me suis dit : “Eh bien, s’ils n’ont pas saisi ce que le Seigneur Jésus a dit, comment vont-ils saisir une andouille comme moi, ce que moi, je dis?” Ils ne L’ont même pas compris, Lui qui parlait si clairement.
154 Un jour, là, Il a dit : “Si vous ne mangez le corps, le Sang, si vous ne buvez le Sang et ne mangez le corps du Fils de l’homme, vous n’avez pas la Vie en vous-mêmes.” Il ne L’a pas expliqué. Il a continué Son chemin. C’est exact. Voyez?
155 “Eh bien,” ils ont dit, “cet Homme est un cannibale. Nous voulons qu’Il... Manger Son corps, boire Son Sang; C’est un vampire. Voyez? Il veut faire de nous des vampires.” Voyez? Les intellectuels!
156 Mais Il a dit : “Mes brebis entendent Ma Voix.” Voyez-vous, Ce serait donné aux Élus, ceux que Dieu avait élus par Sa prescience. “Et ceux que le Père... Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire. Et tous ceux que le Père M’a donnés, ils viendront, ils comprendront.”
157 Ces disciples ne pouvaient pas comprendre, mais ils Le croyaient. Voyez? C’est exact. Si vous Le croyez! Il y a beaucoup de choses que je ne comprends pas. Je Le crois quand même, voyez-vous, parce que Dieu a dit qu’il En était ainsi.
158 La connaissance. Vous savez, l’évangile de Satan, c’est la connaissance. Le saviez-vous? Il l’a prêché à Ève dans le jardin d’Éden, et elle a été séduite par son évangile de connaissance. Donc, et il a pollué toute la race humaine avec ça. C’est tout à fait exact. Ils ont installé des programmes pédagogiques dans l’église. Ils sont très bien là-bas, mais pas dans la Parole de Dieu. Non monsieur. On ne connaît pas Dieu par l’instruction. On ne connaît pas Dieu par–par–par un apprentissage, d’apprendre les mathématiques et de prononcer des grands mots.
159 Paul, c’était un homme intelligent. Mais quand il est venu à Christ et qu’il a reçu le Saint-Esprit, alors il est allé chez les Corinthiens, et il a dit : “Je ne suis jamais venu chez vous avec les discours persuasifs de la sagesse humaine”, et pourtant, il aurait pu le faire. Il a dit : “Je suis venu chez vous avec la puissance et les manifestations du Saint-Esprit, afin que votre foi soit en Dieu, et non dans la sagesse d’un homme.”
160 Or, parfois, en établissant les programmes de l’église, ils demandent aussi de leur–leur pasteur... Quand l’église se prépare à élire le pasteur, ils disent : “Bon, eh bien, ce pasteur-ci, il a deux diplômes universitaires. Il a quatre ans de psychologie. Il a étudié ceci, cela et autre chose.” Et ils vont élire ce genre d’homme là (pourquoi?), au lieu d’un pasteur qui croit que la Parole de Dieu est inspirée et qu’Elle est Dieu, et qui prêchera la Parole sans se préoccuper de ce que les gens En pensent.
161 Dieu a dit à Ézéchiel, vous savez, Il a dit : “Prêche-Le, qu’ils Y croient ou non, prêche-Le quand même.” Voyez? Exact. Qu’ils L’acceptent ou non, ce n’est pas ça qui compte. Ils n’ont pas accepté Jésus. Ça ne L’a pas arrêté, Il a continué à prêcher quand même. Voyez?
162 Au lieu d’un vrai pasteur, qui prêchera vraiment la Parole et qui croira en Dieu, ils–ils–ils cherchent à implanter le–l’intellect, l’homme qui a la meilleure instruction, l’homme qui pourra se tenir derrière la chaire sans prendre plus d’une quinzaine de minutes, pour que les gens puissent rentrer bien vite à la maison et aller quelque... faire autre chose, et que Ricky puisse partir avec son bolide, et qu’eux puissent aller à leurs soirées où on danse le twist, et tout. Et c’est, oh, c’est–c’est simplement, ce n’est–ce n’est rien d’autre que de la pollution par l’instruction, c’est hybride. C’est exact. Voilà exactement ce que c’est. C’est exact. Mais qu’est-ce qu’il y a? Ça satisfait le goût qu’ils ont, voyez-vous, ça satisfait le goût d’un membre d’église mondain.
Ça ne satisfait pas le goût d’un saint. Lui, il va opter pour la Parole, chaque fois!
163 Mais ils disent : “Oh, eh bien, ces gens, bon, ils sont un peu détraqués. Voyez-vous, vraiment ils ne–ils ne saisissent pas. Ils–ils essaient de vivre dans une époque révolue.”
164 N’est-ce pas étrange? Je viens ici, dans l’Ouest, et je trouve tout le monde qui essaie de vivre dans une époque révolue, ils veulent toujours avoir les jours des cow-boys de l’ancien temps. Et je vais dans le Kentucky, là, les jours des montagnards de l’ancien temps, ils veulent copier ça, ils ont des émissions là-dessus. Mais pour ce qui est de la Religion de l’ancien temps, Ça, ils n’En veulent pas.
165 L’ancien temps? Je suis venu ici au moment où il y avait un rodéo, j’y ai vu une femme corpulente, là, avec du truc vert sous les yeux, les cheveux coupés courts, une cigarette au bec. Mais, s’ils avaient vu ça dans le temps, ils auraient pensé qu’elle était en train de se décomposer quelque part. Ils–ils–ils–ils l’auraient internée. Et si votre mère était sortie, habillée comme vous et votre fille vous habillez aujourd’hui, qu’est-ce qui se serait passé? Ils l’auraient fait enfermer dans un hôpital psychiatrique. C’est sûr, elle était sortie sans avoir mis sa jupe. Eh bien, souvenez-vous, là, c’est la même chose aujourd’hui.
166 Les hommes sont en train de pourrir debout. S’ils arrivent à l’âge mûr entre l’âge de vingt et vingt-cinq ans, les cellules de leur cerveau aussi, elles pourrissent. Ils n’ont... Les gens en sont arrivés au point, ils n’ont pas assez de bon sens, ils ne savent pas ce que c’est que la décence. Ils ne savent pas distinguer le bien et le mal. Et, oh, mais leur programme pédagogique, ils...
167 Saviez-vous que l’instruction, je peux vous le prouver, c’est du diable? Je ne parle pas de lire et écrire, mais d’installer leur instruction dans votre église.
168 Sur quoi se fonde le communisme? Sur la science, sur l’instruction, voilà leur dieu. Satan, voyez-vous, c’est ce qu’il a présenté à Ève. Et c’est encore à ça qu’ils s’en tiennent.
169 Maintenant c’est ce qui s’est implanté dans nos églises, c’est ce qui s’est implanté chez les baptistes, les méthodistes, les presbytériens, les pentecôtistes et tout. De l’instruction, quelque chose d’intellectuel, un grand ci et ça, et quelque chose du genre, ce qui ne fait qu’éloigner encore plus la personne de Dieu. C’est mal. Oui monsieur. Donc, nous voyons qu’ils, que ça satisfait leur désir. Quand une–quand une–une assemblée élit quelque chose comme ça, on peut voir ainsi ce qu’il y a dans l’esprit de cette assemblée, quel est leur désir, de quoi ils ont soif. Ce qu’ils veulent, c’est dire : “Notre pasteur a les idées larges. Lui, les bains mixtes, ça ne le dérange pas, il nous accompagne.”
170 Une jeune fille a dit à ma Sara, l’autre jour. Son pasteur était allé en Afrique; et, le soir de son retour, elle a enlevé ses vêtements, elle a enfilé un petit collant, et elle a dansé le tutsi pour lui, pour le divertir, vu qu’il était allé en Afrique. Les Tutsis, c’est une tribu de là-bas, vous savez. Ah, moi, j’aimerais voir une des miennes, des jeunes filles de mon assemblée, essayer de faire une chose pareille, le tutsi!
171 Voyez-vous, tout cela montre bien ce qu’il en est! Et un pasteur qui resterait assis à regarder quelqu’un de son assemblée, une jeune fille de seize ou dix-huit ans s’exhiber, dévêtue comme ça, et qui la laisserait s’en tirer comme ça, ça montre qu’il est lui-même issu d’un bourbier; un homme de Dieu qui ferait une chose pareille. Certainement.
172 C’est catégorique, ça, mais je suis conscient que je suis aussi en train de prêcher d’un bout à l’autre du pays. Mais vous aussi, vous le savez, frère, soeur; je vous le dis, c’est la Vérité.
173 Un vautour veut avoir des choses mortes. C’est exact. Et ça, c’est mort! C’est tout à fait exact. Ça montre de façon très claire, ça montre vraiment de façon très claire, là, quel est leur chef, et leur tour de contrôle, ce qu’elle leur transmet, voyez-vous, ce qu’il y a dans leur âme. Leur âme soupire après ces choses-là.
174 Leur âme soupire d’avoir une église très intellectuelle, où les gens s’habillent très bien, et le pasteur prend quinze ou vingt minutes. Et si on dépasse ça, ils vont le faire passer devant le conseil des diacres. Et il ne doit rien dire au sujet du péché. Il ne doit rien dire au sujet du port des shorts, et il ne se permettrait pas de dire quoi que ce soit au sujet des gens qui font ceci, cela ou autre chose. Il ne doit absolument rien dire là-dessus. Sinon, le conseil va le faire mettre à la porte. Vous voyez ce qu’il y a? C’est ça leur filtre d’un homme qui réfléchit.
175 La Bible dit, dans I Jean 2.15 : “Si vous aimez le système de ce monde, ou les choses de ce monde, c’est parce que l’amour de Dieu n’est même pas en vous.”
176 Et maintenant, que dire de toutes ces choses déplacées qu’ils font aujourd’hui, au nom de l’église : les quadrilles dans l’église, le loto, le bingo, les petites fêtes, les adolescents qui dansent le rock-and-roll, le twist, et toutes ces choses! Regardez, ce Elvis Presley, un démon sur deux pieds! Pat Boone, Ricky Nelson, la plus grande entrave que cette nation ait jamais eue! C’est exact. Ils disent : “Oh, ils sont très religieux, ils ont chanté des chants chrétiens.” On ne devrait pas, l’église ne devrait même pas permettre une chose pareille! De ces gars-là, il y en a qui vont là-bas, et–et, ce soir ils sont dans une–une boîte de nuit, ici, à danser et à jouer de la musique, et tout; le lendemain soir ils viennent à l’autel verser des larmes, et le soir d’après ils jouent de la musique sur l’estrade. Oh, bonté, miséricorde! Mais, voyons donc, jusqu’où la souillure peut-elle, jusqu’où la souillure pourrait-elle aller? Oui monsieur. Qu’il fasse d’abord ses preuves comme homme de Dieu, pas toutes ces choses, juste parce qu’il sait racler une vieille guitare, ou quelque chose.
177 Par le désir que vous avez, vous pouvez savoir qui est sur le trône de votre coeur. Par ce que vous aimez, c’est ce qui vous fait savoir. Vous–vous dites : “Eh bien, moi, je trouve que ces choses-là, c’est bien, Frère Branham.” Eh bien, souvenez-vous de ceci, là : vous le savez, ce qu’il y a dans votre coeur. Oui monsieur. Ce qui nourrit votre âme, ce dont votre âme a soif, ces choses dont vous voyez qu’elle se satisfait; si ce n’est pas cette Parole, alors il y a quelque chose qui ne va pas, parce que le Saint-Esprit vit uniquement de la Parole. Voyez?
178 Je voudrais vous montrer un autre grand danger, juste avant de terminer, – si vous n’êtes–si vous n’êtes coupables d’aucune des choses que j’ai mentionnées, – et il s’agit du danger de négliger une soif. Voyez? Vous dites : “J’ai une soif sainte. Mais, je–je ne suis pas coupable, Frère Branham, de m’être contenté d’adhérer à une église, et de choses semblables.” Mais, voyez-vous, de négliger une soif! Si vous négligez de satisfaire une soif d’eau ou de nourriture, vous mourrez. Et si vous négligez cette soif de Dieu qui est en vous, vous mourrez spirituellement.
179 Vous réclamez des réveils, vous attendez que votre église fasse un réveil. Eh bien, ça, ce n’est pas–ce n’est pas le réveil pour vous. Le réveil devrait commencer directement en vous, quand vous vous mettez à avoir soif de Dieu. Il se pourrait que pas un seul autre membre de l’église ne désire ce réveil-là. S’il se manifeste en vous, il se manifestera ailleurs. Voyez? Mais, voyez-vous, vous négligez cette soif.
180 Négligez de traire la vache, quand la vache est... que le pis est gonflé de lait; si vous laissez la vache dans cet état-là, vous aurez bientôt une vache sèche. C’est tout à fait exact. Si vous négligez de boire de l’eau, en disant : “Je ne vais plus boire, un point c’est tout”, vous mourrez. Si vous négligez de vous alimenter, vous mourrez.
181 De même, si vous négligez de donner au Saint-Esprit la Parole de Dieu, vous mourrez.
182 Vous les Chrétiens, vous les baptistes, méthodistes, presbytériens, pentecôtistes, des Assemblées de Dieu, unitaires, binitaires, trinitaires, quoi que vous soyez, voyez-vous, peu m’importe, ça ne compte pas du tout pour moi, et je ne pense pas que ça compte pour Dieu. Voyez-vous, vous êtes un individu, vous formez un tout. Vous n’irez jamais au Ciel à titre d’église, de–de–de dénomination. Vous irez au Ciel à titre individuel, c’est vous et Dieu. C’est tout. Peu m’importe de quelle église vous faites partie.
183 Et si vous négligez de lire la Bible et de croire la Bible, et de nourrir le Saint-Esprit de Cela, vous mourrez. Jésus a dit, dans Jean 4.3, le passage de l’Écriture que j’ai juste... Jésus a dit que “l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole”, pas rien que d’une partie de la Parole.
184 Nous en prenons un peu ici. J’appelle ça un auto-stoppeur de la Bible. Ils disent : “Eh bien, je crois Ceci, mais maintenant, passons donc plus loin, ici, voyez-vous.” Voyez?
185 Vous devez La prendre, Parole sur Parole. Jésus a dit : “L’homme vivra de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.” Le saviez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
186 Et, vous savez, nous avons fait–nous avons fait du jour où nous vivons, nous–nous avons fait de ce jour... une–une–une perversion religieuse.
187 Ma fille m’a fait venir, il n’y a pas longtemps, et elle me disait : “Papa,” de l’autre côté de la maison, elle disait, “viens, nous allons regarder une émission religieuse.” C’était des chants, ils chantaient des cantiques, et il y avait une espèce de petit Ricky qui récitait ça, sur l’estrade. Si j’ai jamais vu une pratique sacrilège, ça, c’en était bien une! Ces gars-là sur l’estrade, et ces gens, ça ressemblait plus à un spectacle de variétés. Ils étaient censés représenter une tribu indienne, et ils faisaient n’importe quoi, et–et ils sautaient en l’air et se boxaient les uns les autres.
188 Où, qu’est devenue la sincérité, où sont passés ces cantiques à l’ancienne mode que nous chantions autrefois, alors que nous nous réjouissions dans l’Esprit de Dieu, et que les larmes nous coulaient sur les joues? Maintenant nous essayons de retenir notre souffle jusqu’à ce que nous n’ayons plus assez d’air, jusqu’à en avoir le visage cyanosé, pour essayer de prouver que nous sommes quelqu’un comme chanteur. Voyez-vous, nous avons copié le style de Hollywood, et toutes ces émissions que nous voyons, qui présentent ces cantiques intellectuels et ces voix exercées. Je–j’aime entendre de beaux chants; j’aime entendre de bons chants pentecôtistes à l’ancienne mode, qui viennent du fond du coeur. Mais je déteste entendre ces grincements, ce qu’ils appellent chanter, aujourd’hui. C’est exact. Je trouve qu’il n’y a rien de plus ridicule. C’est de la perversion. C’est exact.
189 J’aime voir un homme qui est un homme. Je déteste en voir un qui sort avec les sous-vêtements de sa femme, et ça remonte sur le côté; avec–avec un rouleau qui lui descend sur le front, ici, et deux boudins qui pendent, comme une frange, coupés ici devant. Ça, je–je ne pourrais pas appeler ça un homme. Il ne sait pas à quel côté de la race il appartient. Voyez? C’est exact. Vous voyez, la femme, regardez, la femme essaie de se couper les... de s’arranger les cheveux comme un homme; l’homme, lui, il essaie de s’arranger les cheveux avec une frange comme la femme. L’homme porte les sous-vêtements de sa femme; elle porte ses bleus de travail. Voyez-vous, tout simplement une perversion, ils font vice versa.
190 Et c’est pareil pour la nation, pour les gens, pour les églises, pour tout. Ô Dieu! Où est la fin de tout ça? La Venue du Seigneur Jésus-Christ, voilà ce qui va y mettre fin.
191 Donc, si vous négligez de nourrir le Saint-Esprit de la Parole de Dieu! Jésus a dit : “Toute Parole sera donnée par le Saint-Esprit.” Et maintenant, écoutez. Si vous essayez de Le nourrir de quelque chose qui ne convient pas, si C’est l’authentique Saint-Esprit qui est en vous, Il reconnaîtra la différence. Maintenant, souvenez-vous, la Parole de Dieu, voilà de quoi se nourrit le Saint-Esprit. Il ne se nourrit pas d’enthousiasme. Il ne se nourrit pas d’instruction. Il ne se nourrit pas d’une présence à l’église. Il ne se nourrit pas de théologie. Il y a une énorme différence entre quelque chose qui est inspiré, et un point de vue théologique.
192 Tous ces théologiens, du temps de Jésus, oh, ils avaient tout ça bien aligné, une parole après l’autre, une page après l’autre : le Messie devait forcément venir de telle façon! Ça donnait exactement ça. Et tous, sans exception, ils ont passé à côté. Vous savez ce que Jésus a dit, quand Il est venu, Il a dit : “Vous avez pour père le diable, et vous ferez ses oeuvres.”
193 Ça ne leur avait pas été révélé, à eux, la vraie Parole, ce que c’était. Voyez-vous, ils ont manqué les petits tournants, comme les gens les manquent aujourd’hui. “Pourvu que vous apparteniez à ceci, et que vous apparteniez à ceci, tout ira bien.” N’allez pas croire ça. Vous devez appartenir à Christ. Et, s’il y a quelque chose en vous, qui a faim de Christ!
194 Souvenez-vous bien de ceci, quand vous étiez dans les reins de votre père, vous étiez avec lui à ce moment-là. Mais votre père ne vous connaissait pas à ce moment-là, et vous ne connaissiez pas votre père. Il vous a fallu venir, naître. Dieu a pourvu d’un moyen, par votre mère, qui a servi de–de couche de semis, et c’est là que c’est arrivé. Et alors, vous êtes devenu un homme ou une femme, selon le cas, et alors vous avez reconnu votre père, et votre père a pu être en communion avec vous.
195 Maintenant, souvenez-vous, si vous avez la Vie Éternelle, votre Vie était en Dieu au commencement. Et la Vie, Dieu est la Parole. Et alors, quand la Parole a été faite chair en Jésus-Christ, Dieu qui est descendu habiter dans Son propre corps, qui s’est fait Lui-même Fils de Dieu. Quand Dieu est descendu habiter là, vous étiez en Lui quand Il a été crucifié. Et vous avez été crucifiés avec Lui, et vous êtes morts avec Lui au Calvaire. Vous avez été mis au tombeau avec Lui, sur la montagne. Et vous êtes ressuscités avec Lui, le matin de Pâques. Et maintenant, vous êtes assis ensemble dans les lieux Célestes, en Lui, maintenant vous êtes en communion avec Lui. Voyez?
196 Dieu Lui-même est devenu l’un de nous. “Personne n’a jamais vu le Père, le Fils unique du (Fils) Père est Celui qui L’a fait connaître.” C’est-à-dire que Dieu est devenu homme, pour pouvoir être en communion avec vous, comme homme. Voyez? Et maintenant vous êtes–vous êtes chair, et Il est chair. Dieu est fait chair parmi nous, dans la Personne de Son Fils, Jésus-Christ. Et en Lui il y avait Dieu. Il était Dieu, rien de moins que Dieu. Il était Dieu. “Dieu manifesté dans le Fils, Jésus-Christ”, ce qui faisait de Lui Emmanuel, ce que le prophète avait dit qu’Il serait.
197 Alors, voyez-vous, donc, vous deviez exister avant même que le monde ait été formé, votre nom a été mis dans le Livre de Vie de l’Agneau. Et alors, qu’est-ce que vous pouvez manger? Le Saint-Esprit vit de la Parole de Dieu. Et maintenant, dans Apocalypse 22.19, la Bible dit : “Quiconque retranchera une seule Parole de Ceci, ou Y ajoutera une seule parole, sa part sera retranchée du Livre de Vie.” En voyez-vous la profondeur? Vous ne pouvez pas, le Saint-Esprit ne vivra pas des choses du monde.
198 Comme une colombe et un corbeau. Un corbeau, c’est un grand hypocrite. Un corbeau, ce personnage-là peut venir ici, manger du blé toute la journée; et aller là-bas, descendre là, sur une vieille charogne, et en manger aussi. Il peut s’installer dans un champ, et il peut manger avec la colombe, du blé, et aller ensuite manger de la charogne.
199 Mais la colombe, elle, elle peut manger du blé toute la journée, mais elle ne peut pas manger de la charogne, parce que c’est une colombe. Et la colombe n’a pas de bile. Une seule bouchée de cette charogne tuerait la colombe. Voyez-vous, elle n’a pas de bile. Et c’est comme ça, aucune amertume.
200 Et c’est comme ça qu’est un Chrétien authentique, un vrai. Ils ne veulent pas des choses du monde. Ils se nourrissent seulement de la Parole de Dieu, et uniquement de Cela : ce qui est propre, le Filtre d’un homme qui réfléchit. Voyez-vous, ils ont été passés à travers Cela, et uniquement Cela. Les choses mortes du monde, ils trouvent qu’elles sentent mauvais.
201 Regardez ce vieux corbeau, à l’époque de la destruction antédiluvienne, il volait d’un cadavre à l’autre, il mangeait de ces vieilles charognes, il n’est pas retourné dans l’arche. Mais la colombe n’a pu trouver aucun lieu pour poser ses pieds, voyez-vous, elle est retournée dans l’arche, où on lui donnait du grain. Et c’est comme ça que nous faisons, nous vivons de la Parole de Dieu.
202 Dans le Psaume 42. David a dû écrire ce Psaume-là, le Psaume 42, au moment où il était en fuite, quand il a dit : “Mon âme a soif de Toi, comme une biche soupire après un courant d’eau.” Regardez, il s’est écrié. David était en fuite. Il avait été... L’huile d’onction était sur lui, il savait qu’il allait être roi. Le prophète l’avait oint pour roi. Maintenant remarquez, et il était là, une poignée de soldats avec lui, des gens des nations et tout, au sommet de la montagne. Alors que sa propre ville qu’il aimait, à cause de leur péché, les Philistins étaient postés tout autour d’eux. Et, David, en cette journée chaude, c’est là qu’il a dû écrire ce Psaume : “Comme une biche soupire après un courant d’eau.”
203 Remarquez David, dans cet état-là. Il a regardé en bas, il a regardé sa ville qu’il aimait. Et il s’est rappelé l’époque où, jeune garçon, il amenait ses brebis là, près d’un certain étang. Là-bas, c’était une région où il y avait de l’eau en grande abondance et où il y avait du pain en abondance. En fait, Bethléhem signifie “la maison du Pain de Dieu”. Et donc, alors que David se rappelait qu’il passait par là et qu’il buvait de cette bonne eau fraîche, et maintenant il était là-haut, en fuite, loin de son peuple. Il n’avait pas d’endroit où aller, et il devait y avoir un cri dans son âme pour cette bonne eau fraîche.
204 Il avait avec lui quelques serviteurs, là, oh, le moindre de ses désirs était pour eux un ordre. Et, ils, trois d’entre eux se sont battus pour se frayer un chemin dans cette ligne de Philistins; un trajet de quinze milles [vingt-quatre kilomètres], sept milles [onze kilomètres], ou quelque chose comme ça, aller, et retour; ils se sont frayé un chemin en fauchant tout sur leur passage, et ils lui ont rapporté de cette eau. Mais la soif de l’âme...
205 Son corps, David était là-haut, probablement réduit à boire dans tout ce qui lui tombait sous la main, des vieilles peaux de bouc et tout, remplies de vieille eau chaude, en cette journée chaude. Il s’est dit : “Si je pouvais seulement m’allonger et étancher cette soif que j’ai! Si je pouvais seulement aller là-bas, à Bethléhem, m’allonger près de cette source, et y boire!”
206 Et quand ils sont allés là-bas chercher cette eau, et qu’ils l’ont rapportée, son âme avait une soif tellement plus grande, non pas de Bethléhem, mais de ce qui venait de Jérusalem; son âme avait soif. Alors, il a offert cette eau en sacrifice, il a dit : “Je ne voudrais même pas en boire.” Il l’a répandue par terre. Voyez-vous, son âme avait plus soif de Dieu, que de se satisfaire en étanchant, par de la bonne... la soif de son corps, par de la bonne eau fraîche. Il l’a répandue par terre.
207 Voyez-vous, la Maison de Dieu, les eaux qui rafraîchissent l’âme, celles de la Jérusalem d’en haut! Jésus a dit, dans Jean 6.33 : “Je suis le Pain de Vie. Je suis le Pain de Vie.” Bethléhem, “maison de Dieu”, notre église, l’église terrestre de Dieu, l’église qui est ici sur terre. Nous aimons aller à l’église, ici sur terre, mais la Jérusalem d’en haut est plus grande, qui est Dieu. La Jérusalem d’en haut, qui est Dieu! L’âme a une soif plus grande d’être là-bas avec Lui, que de se satisfaire simplement en adhérant à une église quelque part. Voyez-vous, d’adhérer à une église ne satisfait pas cette soif-là. David l’a prouvé ici, les eaux qui venaient directement de la maison de Dieu, voyez-vous, il les a répandues par terre; pour s’attirer les bonnes grâces de Dieu, recevoir de Lui de la bonne eau fraîche. Même... Elle est plus grande que la soif qui est en vous, cette soif de Dieu, la soif de l’âme.
208 Remarquez, Jérusalem, le mot. “Jérusalem est d’en haut”, nous dit la Bible, “dont nous sommes... c’est notre Mère à tous.” Et Christ est notre Mère. Nous comprenons bien cela, Dieu est notre Mère, puisque nous sommes nés de Lui. Ce mot veut simplement dire “paix”, Jérusalem, Shalom. Ou, Shalom, qui veut dire “paix”, Jéru-shalom, voyez-vous, ce qui veut dire “paix”.
209 Toute âme devrait avoir une soif plus grande des eaux de la Vie, que de dire qu’on fait partie d’une église; la soif de l’âme ne pourra pas être satisfaite, la vraie, la véritable soif. Elle pourra être pervertie. Vous pouvez penser que tout va bien pour vous quand vous adhérez à l’église, mais ce n’est pas ça qu’il faut. Ça ne satisfera pas l’authentique soif sainte de Dieu. Ça ne la satisfera tout simplement pas. Ça, simplement... Ce n’est simplement pas là que ça se trouve.
210 Maintenant, David a dit, dans le Psaume 42.7, ici : “Quand la profondeur appelle la Profondeur, au bruit de Ton ondée”, l’appel de l’âme.
211 Regardez, j’ai souvent apporté ceci à titre d’exemple. S’il y a une nageoire sur le dos d’un poisson, forcément qu’elle a dû être posée là pour qu’il puisse nager avec. Il en a besoin. Or, qu’est-ce qui se passerait s’il disait : “Moi, je vais être un poisson différent. Je vais être un poisson intelligent, instruit. Oui, je–je vais juste... je vais croire de la vraie théologie! Je crois que je n’ai pas besoin d’avoir cette nageoire!” Il n’irait pas très loin dans l’eau, n’est-ce pas? C’est tout à fait exact.
212 Qu’est-ce qui se passerait si un arbre disait : “Bon, je sais qu’il fallait d’abord qu’il y ait une terre, pour que je puisse y pousser. C’est exact. Je suis censé pousser ici. Mais je vais être un arbre différent, je veux qu’ils me mettent juste ici, en plein milieu de la rue, pour qu’on puisse me remarquer”? Voyez-vous, il ne vivrait pas très longtemps. Voyez? C’est exact.
213 “Quand la profondeur appelle la Profondeur.” Il faut plus que d’adhérer à une église. Il faut plus que de serrer la main au prédicateur. Il faut plus que de mener une bonne vie honnête. Il faut quelque chose qui va vous satisfaire à l’intérieur, quelque chose qui vient de Dieu et qui se répand dans l’âme. “La profondeur qui appelle la Profondeur, au bruit de Tes ondées, ô Éternel. La profondeur qui appelle la Profondeur!”
214 Quel genre de soif pensons-nous avoir en nous ce soir? Nous, les pentecôtistes, où en sommes-nous? Quel genre de soif se trouve en nous? Quel genre de soif se trouve en moi? Quel genre de soif se trouve en vous? Ne cherchez pas à faire taire cette soif sainte de Dieu.
215 Il y a des années, à l’époque où il y avait de l’or, ici dans les montagnes. J’ai lu une histoire, il y a bien des années, je ne l’ai jamais oubliée. Elle disait qu’un–qu’un prospecteur était allé quelque part, de l’autre côté des montagnes, ici, il prospectait pour trouver de l’or, et il en a découvert un gisement important. Et en rentrant, il réfléchissait : quand il serait rentré en ville, ce qu’il allait devenir, ce serait la fin de tous ses problèmes. Et–et il–il essayait de–de se dire : “Demain, je serai rentré, et je...” Il ne lui restait qu’un jour de route, et il serait rentré en ville, et il allait avoir cet or. Il en avait des grands sacs tout pleins.
216 Il avait un chien qui l’accompagnait. Bon, je ne compare pas le chien au Saint-Esprit, mais c’est pour illustrer. Mais ce chien...
217 Pendant la nuit, ce prospecteur était étendu sur son lit, et–et il s’est mis à penser : “Bon, demain je–je vais apporter tout mon or là-bas, et je vais devenir ce que j’ai toujours voulu être. Je–je–j’ai toujours voulu être un homme riche. Je–je voulais avoir des belles choses, et tout.”
218 Et–et là, le chien s’est mis à aboyer, et, parce qu’un ennemi approchait. Il–il est sorti, et il a dit : “Tais-toi!” Alors le chien s’est calmé. Il venait à peine de se remettre au lit, il allait s’endormir, et le chien a repris de plus belle, il bondissait au bout de sa chaîne. Il est retourné à la porte, il a dit : “Tais-toi! Sache que demain je suis un homme riche, tu vois”, et c’étaient là ses grands rêves. Mais le chien a recommencé à aboyer.
219 Finalement, complètement démonté, il est allé chercher son fusil de chasse, et il a abattu le chien, il l’a tué. Il a dit : “Je n’aurai plus besoin de toi, de toute manière. Demain je suis un homme riche. Je serai un homme riche, demain.”
220 Il a posé son fusil dans le coin, et le dos tourné à la porte, il s’est endormi. Et l’homme qui le suivait depuis plusieurs jours, s’est glissé à l’intérieur et l’a tué. Il n’a pas été un homme riche, voyez-vous, il a fait taire ce signal avertisseur qui essayait de lui indiquer que sa vie était en jeu.
221 Et, frère, soeur, vous n’arriverez jamais à... N’essayez jamais de faire taire cet appel saint qu’il y a dans votre coeur, voyez-vous, en adhérant à une église, en récitant un credo, en faisant partie d’une certaine organisation.
222 Il n’y a qu’une chose qui puisse le satisfaire, c’est la Personne de Jésus-Christ. “Comme une biche soupire après un courant d’eau, ainsi mon âme a soif de Toi, ô Dieu. Mon âme a soif du Dieu vivant!” Voyez-vous, il y a quelque chose en vous qui veut voir Dieu en action. Votre âme a soif de Cela. Ne vous contentez de rien de moins que Cela.
223 Ne laissez pas un pasteur vous dire que “tout ce que vous avez à faire, c’est de lui serrer la main, d’adhérer à l’église, ou de faire partie de telle organisation.” Ne tuez surtout pas ce silence saint. Il vous avertit. Un jour viendra, où vous arriverez au bout du chemin.
224 Comme une petite dame de la ville d’où nous venons. Elle avait dit... Une jeune fille allait à l’église là-bas, et c’était une jeune fille vraiment très bien. Et elle marchait dans la rue. Elle avait de longs cheveux, vous savez, et les cheveux ramenés vers l’arrière, bien lissés et brillants, presque comme un oignon pelé, et son visage avait l’air... elle ne portait pas de maquillage. Et cette fille, elle se moquait toujours d’elle, elle disait : “Si tu n’avais pas ce crétin-là comme prédicateur là-bas,” elle parlait de moi, elle disait–elle disait, “tu pourrais être présentable. Mais tu as l’air d’une espèce d’antiquité.” Et, oh, elle lui en faisait vraiment voir de toutes les couleurs, chaque fois qu’elle la rencontrait, comme ça. Elle disait : “Notre pasteur, lui, il a les idées larges.” Elle disait : “Il–il–il sait ce qu’il en est. Ces choses-là, pourquoi est-ce que tu fais ça? Ça n’a pas d’importance, la façon de s’habiller ou de penser.” C’en a! La Bible de Dieu dit que c’en a. Nous vivrons de toute Parole!
225 Alors, cette jeune fille ne prêtait pas du tout attention à elle, elle continuait son chemin. Elle est missionnaire à présent.
226 Et, donc, cette–cette jeune dame a attrapé une maladie vénérienne, et elle est morte. C’est un de mes amis qui lui a injecté le liquide d’embaumement, à sa mort. Il m’a dit, il a dit... Après sa mort, il sentait toujours l’odeur du liquide. Elle avait un trou dans son côté, rongée par la maladie vénérienne. Même qu’ils ne... Même ses parents ne savaient pas ce qu’elle avait. Et elle est morte. Mais avant de mourir...
227 Elle enseignait à l’école du dimanche. Et tout son petit groupe de l’école du dimanche est venu, ils voulaient la voir quand elle partirait au Ciel, que les Anges viendraient l’emporter. Son pasteur était à l’extérieur, il fumait une cigarette, il faisait les cent pas dans le couloir de l’hôpital. Et ils allaient tous chanter quand elle mourrait, vous savez. Ils savaient qu’elle devait mourir. Les médecins avaient dit qu’elle se mourait, alors ils allaient tous voir les Anges venir l’emporter.
228 Tout à coup, quand elle a été confrontée à la réalité! Or, elle était un membre assidu de l’église, elle était professeur de l’école du dimanche, et un membre assidu de l’église, d’une belle grande église dénominationnelle. Mais quand elle a commencé à se débattre, que la mort s’emparait d’elle; les yeux exorbités, elle disait : “Je suis perdue!” Elle disait : “Je suis perdue! Allez chercher le pasteur!”
229 Il a écrasé sa cigarette, il est entré, il a dit : “Allons, allons! Allons, allons! On va aller chercher le docteur, il va te faire une piqûre.”
230 Elle a dit : “Je ne veux pas de piqûre.” Elle a dit : “Espèce d’imposteur! Je me meurs, et je vais en enfer. Et je suis perdue, parce que tu ne m’as pas dit la Vérité. Va chercher la petite Gooduse, et amène-la-moi au plus vite. Elle a raison.”
231 Attendez un peu d’être confronté à la réalité une bonne fois. N’essayez surtout pas d’arrêter ce silence saint. Ne vous En débarrassez pas en tirant du fusil à deux coups de l’instruction moderne. Écoutez cet avertissement du Saint-Esprit, ce soir, qui vous avertit : “Je suis le Chemin, la Vérité, et la Vie; nul ne vient au Père que par Moi.” Et Il est la Parole.
Courbons la tête un petit instant.
232 Je voudrais citer encore une Parole du Seigneur Jésus, pendant que vous y réfléchissez. Jésus a dit, dans Matthieu 5 : “Heureux ceux qui ont faim et soif.” Vous êtes même heureux d’avoir cette soif en vous. En êtes-vous arrivés au point où votre–votre–votre système tout entier a été tellement pollué par les dénominations, et les petits cultes et les petits clans, et tout, les petites consignes sociales d’une église, comme d’adhérer à des clubs, et tout, d’aller d’une église à l’autre? Le diable a-t-il réussi à vous fournir cette eau polluée, et vous en faites votre pâtée, comme un cochon dans sa mangeoire? Alors que vous ne savez même pas ce que c’est que d’étancher vraiment cette soif de Dieu; de Le voir, Lui, d’En voir la réalité, par le Saint-Esprit qui vit en vous et qui Se manifeste. Si c’est votre–si c’est votre cas, ce soir, si vous avez encore soif de Dieu, laissez-moi vous dire :
Il y a une Source remplie du Sang
Des veines d’Emmanuel,
Tout pécheur plongé dans ce flot
Est lavé de tout péché.
Le brigand mourant vit avec joie
Cette Source en son jour;
Et moi qui suis vil comme lui,
J’y puis laver mes péchés.
Depuis que par la foi j’ai vu ce flot
Que Ta blessure ouverte a pourvu pour moi,
L’amour qui m’a racheté a été mon thème
Et le sera jusqu’à ma mort.
233 Si vous avez cette soif-là, ce soir, d’en savoir plus sur Dieu, et de vous rapprocher de Lui, voulez-vous simplement lever la main, maintenant, pendant que toutes les têtes sont inclinées, dites : “Priez pour moi.” Ô Dieu, regarde ces mains!
234 Partout dans le pays, où ceci est diffusé en ce moment, de l’est, au nord, à l’ouest et au sud, vous qui êtes dans les salles, levez vos mains vers les pasteurs et ceux qui sont là, montrant que c’est votre désir, que vous, qu’il y a quelque chose en vous qui a soif de Dieu. Cette soif sainte!
235 Ne la satisfaites pas. Oh, vous dites : “Frère Branham, je–j’ai crié, une fois. J’ai dansé par l’Esprit.” Ne–ne–ne vous contentez pas de ça. Non.
236 Attendez que cette satisfaction vienne, cette Portion qui satisfait pleinement, que la plénitude du Saint-Esprit entre en vous, et alors les cloches de la joie, de crier, de parler en langues et de danser par l’Esprit, tout cela viendra. Vous n’aurez pas à attendre qu’il y ait de la musique pour le faire. Vous le ferez quand vous serez sur la route, dans votre voiture. Vous le ferez quand vous balaierez le plancher. Vous le ferez quand vous enfoncerez des clous dans le mur, en faisant votre travail de menuiserie. Où que vous soyez, il y aura cette Joie ineffable et glorieuse!
Maintenant prions.
237 Cher Père Céleste! Ce petit Message de ce soir, long, il a pris du temps, il s’est prolongé, mais, Dieu bien-aimé, que Ton Saint-Esprit en transmette le–le sens à chaque coeur. Dans cette église même, ce soir, de nombreuses mains se sont levées, partout, dans les couloirs et partout. Nous–nous prions, Dieu bien-aimé, pour eux. Oh, que cette Portion de Dieu qui satisfait pleinement, c’est-à-dire, Christ, l’Espérance de la Gloire, l’Espérance de la Vie, en vous, puisse-t-Il venir à chacun d’eux.
238 Au loin, d’un bout à l’autre du pays, depuis la Californie, là-haut à New York en ce moment, où il est tôt le matin, ils sont à l’écoute là-bas; dans–dans le New Hampshire, et en descendant, à Boston, et jusqu’au Texas, en passant par l’Indiana, et en Californie, et partout. Ô Dieu, regarde ces mains; regarde ce qu’il y a dessous, Seigneur, ce coeur qui est là, qui a faim et soif.
239 Ce jour perverti, où le diable a aveuglé les yeux des gens, pour les amener à se contenter d’adhérer à l’église, et dire : “C’est tout ce qu’il faut.” Et pourtant, en se regardant, ils voient comment ils agissent, et le désir qu’ils ont d’être comme le monde.
240 Alors que la Bible nous dit que “si même nous aimons les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même pas en nous”.
241 Rien que de penser, Père, qu’il puisse pervertir à ce point cette vraie, cette véritable Parole, qu’ils puissent dire : “Oh, nous croyons la Bible, mais pas Ceci. Nous ne croyons pas Ceci. Nous croyons que Ceci, c’était pour un autre âge. Nous croyons que Cela, c’est telle chose”, parce qu’une dénomination leur a tordu l’esprit pour qu’ils se retrouvent dans ce bourbier.
242 Alors que Jésus a dit : “Quiconque retranchera une seule Parole de Ceci, ou Y ajoutera une seule parole, sa part sera retranchée du Livre de Vie.”
243 Dieu bien-aimé! De penser aux désillusions qu’il y aura là-bas au Jugement, quand des gens auront mené une bonne vie, propre, sainte, seront allés à l’église, aussi dévoués qu’ils pouvaient l’être, et perdus.
244 De penser à ces pharisiens, qui, dès leur jeune âge, avaient été formés dans la Parole, ils étaient sortis de différentes écoles, et tout, ils étaient saints (forcément, sinon on les aurait lapidés), et Jésus a dit : “Vous avez pour père le diable.”
245 Israël, qui était descendu là-bas! Et que ceci serve d’avertissement aux pentecôtistes, Seigneur, d’un bout à l’autre du pays. Moïse, qui était prophète, il est allé en Égypte, pour accomplir la Parole de Dieu, pour leur apporter la lumière du soir! Et ils ont vu les glorieux miracles de Dieu! Et ils l’ont suivi, ils ont traversé la mer Rouge, ils ont été baptisés de son baptême, ils sont entrés dans le désert et ont mangé de la nourriture d’Anges qui est descendue du Ciel. Et ensuite, ils ont refusé d’accepter toute la Parole, quand ils sont revenus de Kadès-Barnéa... à Kadès-Barnéa, après avoir été dans le–dans le pays promis, et qu’ils ont dit : “Ils sont comme des géants; on ne peut pas y arriver.” Alors que Dieu avait dit : “Je vous ai déjà donné ce pays!” Frontaliers! Jésus a dit : “Tous, ils ont péri. Ils sont morts”, perdus, sans Dieu, bien qu’ils aient fait toutes ces choses. Ils avaient vu ces miracles; ils s’étaient réjouis, ils avaient dansé de long en large sur la côte, avec Marie, quand ils battaient le tambourin. Et seulement trois, de ces deux millions de gens, sont entrés.
246 Nous sommes bien conscients, Père, que, quand le sperme, les gènes du mâle et de la femelle, s’unissent, il n’y en a qu’un seul, sur un million, qui est accepté. Un germe du mâle trouve l’ovule fertile de la femme, de la femelle, et un million d’autres périssent.
247 Un million, deux millions sont sortis d’Égypte; deux, Josué et Caleb, sont entrés dans le pays. Un sur un million. Père, je–je tremble quand j’y pense. De penser, dans le monde entier aujourd’hui, il y a cinq cents millions de Chrétiens, donc, si Tu venais ce soir, il y en aurait cinq cents. Ô Dieu, que nous nous souvenions que chaque Parole de Dieu est là comme mémorial. Nous devons Y croire. Nous devons Y obéir.
248 Et, quand Tu as dit : “Repentez-vous, chacun de vous, et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ pour la rémission des péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.” Et, ô Dieu, Tu appelles encore ce soir, et la promesse est valide aussi longtemps que Tu appelleras.
249 Le clergé a tordu l’esprit de ces gens, et les a orientés, par une école d’enseignement théologique dénominationnel, vers une chose, de dire : “Oh, vous n’avez qu’à croire.” Le diable croit aussi, mais il ne peut pas recevoir le Saint-Esprit. Judas Iscariot était un... a fait toutes les–les autres choses que les disciples avaient faites, il a prêché l’Évangile; mais quand le moment est venu pour lui de recevoir le Saint-Esprit, il s’est montré sous son vrai jour.
250 Ô Dieu, que les gens de ce pays prennent conscience, ce soir, que sans cette expérience-là, ils sont perdus. Permets que ce soir, leurs âmes soient satisfaites de Ta Portion, Seigneur, alors que nous les remettons entre Tes mains. Ils sont à Toi, Seigneur. Nous ne sommes responsables que d’apporter la Parole. Je prie qu’ils croient de tout leur coeur, et qu’ils soient remplis du Saint-Esprit. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.
251 Oh, est-Il votre Portion qui satisfait pleinement? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Oh! la la! L’aimez-vous de tout votre coeur? [“Amen.”] Maintenant, ces Paroles sont parfois tranchantes, mais chantons dans l’Esprit maintenant, simplement, voyez-vous, chacun de nous, là. Serrons la main au frère qui est assis près de nous, à la soeur, et disons simplement : “Que Dieu te bénisse, pèlerin”, pendant que nous le chantons de nouveau. [Frère Branham serre la main des gens.]
Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.
252 Maintenant nous nous sommes serré la main les uns les autres. Maintenant fermons simplement les yeux et chantons dans l’Esprit, levons les mains vers Lui.
Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.
Oh, n’est-Il pas merveilleux?
Merveilleux, merveilleux, Jésus est pour moi,
Conseiller, Tout-Puissant, Prince de la Paix;
Oh, Il me sauve, Il me garde à Lui pour jamais,
Merveilleux est mon Sauveur, mon Dieu, mon Roi!
Oh, merveilleux, merveilleux, Jésus est pour moi,
Conseiller, Tout-Puissant, Prince de la Paix;
Il me sauve, Il me garde à Lui pour jamais,
Merveilleux est mon Sauveur, mon Dieu, mon Roi!
253 Oh, êtes-vous remplis d’enthousiasme à cause de votre expérience avec Christ? [L’assemblée se réjouit : “Amen.”–N.D.É.] N’est-Il pas merveilleux? N’est-ce pas qu’Il satisfait?
J’étais perdu, je suis sauvé, plus aucune condamnation,
En Jésus je suis libre, j’ai un plein salut;
Il me sauve, Il me garde loin de tout péché,
Merveilleux est mon Sauveur, gloire à Son Nom!
Oh, merveilleux, merveilleux, Jésus est pour moi,
Conseiller, Tout-Puissant, Prince de la Paix;
Oh, Il me sauve, Il me garde à Lui pour jamais,
Merveilleux est mon Sauveur, mon Dieu, mon Roi!
254 Croyez-vous que c’est biblique, ça? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] La Bible dit : “Tapez des mains. Poussez vers l’Éternel des cris de joie.” Vous savez, j’aurais toujours voulu jouer de la musique. Ma fille, Rébecca, prend des cours de piano. Mon petit garçon prend des cours de trompette. Mais moi, je–j’ai appris à jouer d’un instrument, à dix cordes. [Frère Branham commence à taper des mains.]
Merveilleux, merveilleux, Jésus est pour moi,
Conseiller, Tout-Puissant, Prince de la Paix;
Il me sauve, Il me garde à Lui pour jamais,
Merveilleux est mon Sauveur, mon Dieu, mon Roi!
L’aimez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
Oui, nous marcherons dans la Lumière,
Là où la miséricorde étincelle;
Brille autour de nous, le jour et la nuit,
Jésus, la Lumière du monde.
Oui, nous marcherons dans la Lumière, cette Lumière si belle,
Qui est là où la miséricorde étincelle;
Brille autour de nous, le jour et la nuit,
Jésus, la Lumière du monde.
255 [Frère Branham commence à fredonner “Jésus, la Lumière du monde”, et l’assemblée fredonne ensuite avec lui.–N.D.É.] Adorez Dieu, de tout votre être.
Quand les élus traverseront,
Quand les élus traverseront,
Seigneur, je veux être du nombre,
Quand les élus traverseront.
Oh, quand ils Le couronneront Seigneur de tous,
Quand ils Le couronneront Seigneur de tous,
Seigneur, je veux être du nombre,
Quand ils Le couronneront Seigneur de tous.
Oh, quand le soleil refusera de briller,
Quand le soleil refusera de briller,
Seigneur, je veux être du nombre,
Quand le soleil refusera de briller.
256 Aimez-vous ça? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Maintenant je me demande si vos pieds sont convertis, vous ne dansez plus là-bas, pour le monde? Voyez? Tapons du pied, pour le Seigneur, pour le Seigneur. Vos mains sont-elles converties, vous ne volez plus? Vos lèvres sont converties, vous ne mentez plus? Ne vous contentez pas d’avoir de la religion dans la tête, ayez-en partout. C’est ça. C’est l’homme en entier qu’il faut. C’est exact. Maintenant tapons du pied.
Quand les élus traverseront,
Quand les élus traverseront,
Seigneur, je veux être du nombre,
Quand les élus traverseront.
Oh, quand les élus traverseront,
Quand les élus traverseront,
Seigneur, je veux être du nombre,
Quand les élus traverseront.
Maintenant levons donc les mains.
Quand les élus traverseront,
Quand les élus traverseront,
Ô Seigneur, je veux être du nombre,
Quand les élus traverseront.
Quand ils Le couronneront Seigneur de tous,
Quand ils Le couronneront Seigneur de tous,
Seigneur, je veux être du nombre,
Quand ils Le couronneront Seigneur de tous.
257 Vous L’aimez, n’est-ce pas? [L’assemblée se réjouit : “Amen! Gloire! Alléluia!”–N.D.É.]
Alors, oui, nous marcherons (Il est la Lumière, vous savez) dans la Lumière,
Là où la miséricorde étincelle;
Eh bien, brille autour de nous, le jour et la nuit,
Jésus, la Lumière du monde.
258 Croyez-vous qu’Il est la Lumière du monde? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Le croyez-vous? Paul a dit : “Quand je chanterai, je chanterai dans l’Esprit. Si j’adore, j’adorerai dans l’Esprit.” Voyez-vous, quoi que vous fassiez, faites tout dans l’Esprit. C’est exact. Et l’Esprit fait vivre la Parole. Pas vrai? C’est exact. Oui monsieur.
Vous, tous les saints de la Lumière, proclamez
Jésus, la Lumière du monde;
La grâce et la miséricorde en Son Nom,
Jésus, la Lumière du...
Alors, qu’est-ce que nous faisons?
Oui, nous marcherons dans la Lumière,
Là où la miséricorde étincelle;
Brille autour de nous, le jour et la nuit,
Jésus, la Lumière du monde.
259 Excusez-moi de vous dérouter comme ça, les musiciens, mais je m’emballe, simplement. Je ne sais pas faire autrement que d’adorer, simplement. C’est comme ça qu’on fait. Oui monsieur. Je suis reconnaissant de cette occasion, Frère Mack, de venir fraterniser avec vous et votre assemblée, ici, ce soir, tous ces braves gens.
260 Et vous qui avez levé la main pour le baptême du Saint-Esprit, j’ai confiance que vous viendrez voir le pasteur Mack, ici, ou certains de ceux qui sont là, et que vous vous retirerez dans une pièce, ici. Et souvenez-vous bien de ceci, quand Dieu a prononcé la Parole, au commencement, et qu’Il a dit : “Qu’il y ait”, il fallait qu’il y ait! Et Il a dit : “Heureux ceux qui ont faim et soif de justice, car ils seront rassasiés.” Voyez-vous, ça ne peut pas faire autrement que d’arriver. Passez voir votre pasteur, ici, et soutenez-le alors qu’il prêche l’Évangile.
261 Maintenant chantons encore ce bon vieux cantique, j’aime vraiment ça, “Oui, nous marcherons dans la Lumière”.
262 Jésus a dit : “Je suis la Lumière”, et vous êtes en Lui. Voyez? Comment entre-t-on en Lui? En adhérant à Lui? Non. En tremblant? Non. Par le baptême d’eau? Non. “Nous sommes tous baptisés d’un seul Esprit, pour former un seul Corps, qui est le Corps de Christ.” Et, dans ce Corps, il y a neuf dons spirituels qui se manifestent dans le corps local, l’église locale. Ça, c’est bien apostolique, si j’en sais quelque chose. C’est exact.
Alors, oui, nous resterons dans la Lumière,Là où la miséricorde étincelle;
Brille autour de nous, le jour et la nuit, Merci, frère. Jésus, la Lumière du monde.