Soif
1 Bonsoir, mes amis. C’est un privilège d’être ici ce soir. C’est la deuxième fois que je viens à la Grantway Assembly ici, pour être avec mon cher Frère Mack et tout ce bon comité ici, et les Chrétiens de différentes églises qui se sont ajoutés au nombre. Frère Lee Vayle, et je viens de rencontrer un frère, ici, qui, un–un ami intime de Frère F. F. Bosworth, il ne savait même pas que Frère Bosworth était parti rencontrer le Seigneur. J’ai dit : “J’ai l’impression d’avoir rencontré l’Élisée qui versait l’eau sur les mains d’Élie”; ils étaient à l’étranger, alors ils n’ont pas su que Frère Bosworth était parti rencontrer le Seigneur, à quatre-vingt-quatre ans.
2 Maintenant je voudrais saluer les gens qui nous sont reliés par le téléphone ce soir, d’un bout à l’autre du pays, depuis la Californie jusqu’à New York, au Texas, et–et dans différentes régions du pays, du Maine jusqu’à la Californie. Alors, nous avons un–un système qui nous permet d’être reliés par le téléphone, ce qui a été une grande bénédiction. Et d’après ce que nous dit notre bon ami, Frère Pearry Green, maintenant il y aurait un–un petit machin qu’on peut brancher sur votre téléviseur, et avec ça ce sera non seulement transmis par le téléphone, mais ce sera aussi télévisé directement dans votre téléviseur. Ils sont en train de se renseigner là-dessus.
3 Et, Soeur Mack, je suis content de vous voir, l’air bien portante, assise ici à l’orgue, ce soir. Et je vois beaucoup de mes amis de Sierra Vista, et Frère Borders... ou plutôt Frère Roberson, de l’Indiana; beaucoup de gens. Je veux dire à ceux qui sont au Tabernacle, ce soir, on dirait que la moitié du groupe est ici, et, du Tabernacle à Jeffersonville.
4 Et je veux dire à mon ami, là-bas, Frère Kuhn, cette requête au sujet de laquelle vous avez appelé, cette maladie. Je prie pour ça, Frère Kuhn. Ayez simplement la foi. Ne vous inquiétez pas. Tout ira bien.
5 Et, là-bas au Texas, Frère Blair, si vous êtes à l’écoute ce soir, mon frère, rappelez-vous simplement ceci : le Dieu qui vous a fait passer au travers la première fois, peut vous faire passer au travers la deuxième. Et nous mettons notre foi en Dieu qu’Il vous l’accordera. Et n’acceptez surtout pas le mensonge du diable, sur quoi que ce soit. Rappelez-vous simplement que Dieu est Dieu, et il y a... et Il est encore le même hier, aujourd’hui et éternellement. Nous L’aimons et nous croyons en Lui, et nous prions pour vous.
6 Je veux dire à tous nos amis de la Californie; à Frère Mercier et ceux qui sont ici en Arizona; bien d’autres endroits, Phoenix, et, Frère Williams, et tous ceux de là-bas qui sont en ligne là-bas, ce soir, partout, nous sommes certainement reconnaissants; et là-bas en Géorgie. Nous sommes certainement reconnaissants pour chacun de vous. Que le Seigneur vous bénisse.
7 Je me sens vraiment le bienvenu ici ce soir, dans cette belle église, l’Assemblée de Dieu ici, sur Grantway, et avec Frère Mack, mon bon ami. Dieu a béni Frère Mack. Je me souviens, une fois, au Canada, il était... je suivais un sentier, j’étais à cheval, très loin dans la jungle, et le Saint-Esprit m’a dit de descendre et de prier pour Frère Mack. À ce moment-là, il était dans une situation critique, et le Seigneur l’a guéri. Et alors, j’en suis vraiment reconnaissant, et que nous soyons rassemblés ici, avec lui, ce soir, pour adorer l’Éternel dans cette belle Vérité.
8 Un homme assis derrière moi, sur l’estrade, m’a dit : “Vous ne devez pas me reconnaître.” Il a dit : “Un jour vous m’avez fait monter, je faisais de l’auto-stop”, et, je ne sais pas, quelque part, à Boston, ou quelque part, “à Détroit, je faisais de l’auto-stop.”
9 J’ai dit : “Eh bien, généralement, j’essaie de tendre la main, si je le peux, à ceux qui sont dans le besoin.”
10 Et alors, ce soir, nous sommes tous dans le besoin. Et nous prions Dieu de nous donner un coup de main, ce soir, en nous accordant de l’aide, des bénédictions, Sa grâce et Sa miséricorde.
11 Bon, j’ai plutôt tendance à parler longtemps, mais je vais tâcher de ne pas le faire ce soir. En effet, il y a les gens de l’Ohio qui viennent d’appeler, madame Dauch, et le groupe là-bas, Frère McKinney, et Frère Brown, et tous ceux de l’Ohio qui nous sont reliés par le téléphone. Nous vous envoyons nos salutations, à vous aussi. Là-haut à New York, il est tard, je pense qu’il doit être environ onze heures ou minuit, en ce moment, à New York. Et les églises se sont rassemblées et ont attendu jusqu’à cette heure, juste pour la réunion. Nous sommes reconnaissants pour ces bons amis que nous avons un peu partout.
12 Maintenant, avant d’aborder la Parole, parlons donc à l’Auteur un instant, pendant que nous courbons la tête.
13 Cher Père Céleste, nous sommes... nos coeurs débordent de joie, à cause du privilège que nous avons d’être vivants, ici ce soir, et rassemblés avec Ton peuple. Le peuple... et qui, nous le croyons, vivra éternellement. Nous possédons maintenant la Vie Éternelle, parce que “Tu as donné Ton Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la Vie Éternelle”. Pendant Son pèlerinage ici sur terre, Il nous a enseigné ceci : “Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie; parce que nous avons cru au Fils unique de Dieu.” Comme nous Te remercions pour ce grand Sauveur! Et nous prions, ce soir, que Sa glorieuse Présence nous bénisse tellement, ensemble ici, alors que nous lirons dans Sa Parole et que nous En parlerons. Que le Saint-Esprit transmette cela à chaque coeur, partout dans le pays, Seigneur, là où les gens sont rassemblés.
14 Bénis les autres ministres qui sont en chaire. Nous Te prions, Père, de bénir cette Grantway Assembly; le pasteur, son épouse, ses enfants; les diacres, les administrateurs et tout le conseil. Et, Père, puissions-nous oeuvrer ensemble pour le Royaume de Dieu, pendant qu’il y a assez de Lumière pour nous permettre de voir où nous allons; en effet, l’heure vient où personne ne peut travailler. Aussi, Père, pendant que nous avons ce privilège, puissions-nous–puissions-nous racheter le temps, Seigneur. Puissions-nous, puisse cela nous être accordé. Guéris ceux qui sont malades et affligés, partout dans le pays. Que la Présence de Dieu soit ressentie dans tous les coins et recoins du pays, ce soir.
15 Nous nous rendons compte que le jugement est en train de s’abattre. Il y a des effondrements le long des grandes failles, le pays est secoué, il y a des tremblements de terre en divers lieux. Nous avons entendu parler dans la Bible de grands événements historiques, dans les temps passés, le jugement s’était manifesté, et nous voyons ces choses se répéter aujourd’hui. La prophétie dit : “Ce qui arriva aux jours de Noé, arrivera de même à la venue du Fils de l’homme. Ce qui arriva aux jours de Lot, arrivera de même à la venue du Fils de l’homme”, et nous voyons ces choses se produire maintenant. “Le coeur des hommes qui défaillit; une époque où on ne sait que faire; de l’angoisse chez les nations.” Ô Dieu, nous savons que nous sommes au temps de la fin.
16 Aide-nous, Seigneur, à–à porter le Message dans tous les coins et recoins, à chaque enfant que Tu as destiné à la Vie. Accorde-le, Seigneur. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Que le Seigneur bénisse maintenant la lecture de Sa Parole.
17 Maintenant, beaucoup d’entre vous aiment suivre un peu dans leur Bible, le passage que le ministre lit. Et ce soir, je voudrais lire quelques versets, trois, dans les Psaumes, le Psaume 42, juste pour me servir de texte. Et j’ai noté des passages de l’Écriture ici, auxquels je voudrais me référer, si possible, alors que nous poursuivrons, dans quelques instants, sur notre sujet. Le Psaume de David. C’est David qui a écrit les Psaumes.
18 Maintenant, pendant que vous cherchez le passage, permettez-moi de dire ceci. Bien des gens disent : “Eh bien, les Psaumes sont-ils inspirés?” Certainement qu’ils le sont. Ils sont...
19 Tout ce qui est–ce qui est dans cette Bible est inspiré, que ce soit les récits historiques, que ce soit les chants, quoi que ce soit. C’est inspiré. Jésus a dit : “N’avez-vous pas lu ce que David a dit dans les Psaumes?” Et puis, je pense, les Psaumes, bien entendu, ce sont des chants. Et si les chants sont inspirés de Dieu, et c’est ce que je crois, et qu’ils sont prophétiques aussi, j’espère que je serai là le jour où ce chant-ci s’accomplira.
Il y aura une rencontre dans les airs,
Dans le doux, doux au-delà;
Je vous rencontrerai et vous saluerai là-bas,
Dans cette Demeure au-delà du ciel;
Des chants comme on n’en a jamais entendu chez les mortels,
Ce sera glorieux, je vous le dis!
Le Fils de Dieu Lui-même sera à la tête
De cette rencontre dans les airs.
Oh, je–je veux y être, à ce moment-là!
20 Maintenant le Psaume 42. Comme une biche soupire après des courants d’eau, ainsi mon âme soupire après toi, ô Dieu! Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant : Quand irai-je et paraîtrai-je devant la face de Dieu? Mes larmes sont ma nourriture jour et nuit, pendant que... pendant qu’on me dit sans cesse : Où est ton Dieu?
21 Je pense que David, quand il a écrit ce Psaume, il devait être dans la détresse. Et généralement, il faut une situation de détresse pour manifester ce qu’il y a de meilleur dans un homme. C’est vraiment, c’est là que Dieu... dans des moments où on en vient à jeûner, souvent, pour pouvoir arriver à s’enlever du chemin. Et je pense que David, quand il en arrivait à ce point-là, alors il se mettait à méditer sur le Seigneur, il se mettait à réfléchir.
22 Bien des fois, Dieu s’arrange pour que nous nous retrouvions dans des–des situations difficiles, où nous sommes obligés de regarder en haut. Des fois, il faut même se retrouver couché sur un lit d’hôpital, ou alité quelque part, pour pouvoir regarder en haut, voir d’où viennent les grandes bénédictions de Dieu.
23 Maintenant le mot dont je veux me servir pour ma prédication de ce soir, c’est un seul mot, tiré de la Bible, et il se trouve au verset 2 : “soif”; le mot Soif. J’ai consulté le dictionnaire, quand je cherchais la signification de ce mot.
24 Je pensais à une–une prédication, à un moment donné, j’avais prêché sur Avoir soif de la Vie. Et ça aussi, je l’avais pris dans les Psaumes, quand David avait dit : “Tes statuts”, je crois, “sont plus précieux pour moi que la vie.”
25 Ainsi, je considérais et je pensais à ce mot “soif”, alors j’ai consulté le dictionnaire pour voir ce qu’il signifie. Et voici ce que dit Webster : “C’est un désir douloureux”, c’est douloureux, quand vous désirez tellement quelque chose que ça devient douloureux pour vous.
26 Or, ce–ce n’est pas quelque chose d’anormal, d’avoir soif. La soif est–est quelque chose de naturel. C’est simplement quelque chose que Dieu nous a donné, pour que nous puissions, pour produire en nous un–un désir pour quelque chose. Parfois, Dieu a, aussi, Il vous a doté d’une–d’une tour de contrôle, quelque chose qui est à l’intérieur de vous, qui–qui contrôle ces différents désirs. Et cette soif, cette tour de contrôle qui se trouve dans le coeur de l’homme, c’est quelque chose que Dieu lui a donné pour–pour lui signaler les désirs qui révèlent un besoin chez lui.
27 Or, il y a deux sortes de soif. Il y a une soif physique. Et il y a aussi une soif spirituelle. J’aimerais lire ceci, ce que David a dit, de nouveau. Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant...
28 Pas de quelque chose d’historique, ou de quelque chose qui se serait passé il y a bien des années, ou–ou d’une légende que quelqu’un aurait racontée, mais “du Dieu vivant”, un Dieu qui est toujours présent. Et c’est de ce Dieu-là que son âme avait soif, et non de quelque chose d’historique.
29 Donc, nous voyons que Dieu vous dote de cette tour de contrôle, pour que vous vous procuriez ainsi les choses dont vous avez besoin. Or, la tour de contrôle qui est en vous, c’est ce qui vous dirige. Et cette soif passe dans cette tour con-... tour de contrôle, et celle-ci vous indique ce dont vous avez besoin, spirituellement parlant. La tour de contrôle du corps et celle de l’âme aussi. Il y a une tour de contrôle dans le corps, qui vous indique ce dont votre corps a besoin, le besoin, et il vous est révélé par la soif. Il y a aussi une tour de contrôle dans votre âme, qui vous indique les choses spirituelles dont vous avez besoin, quelque chose dans votre esprit, et–et c’est par ceci que vous pouvez savoir quelle sorte de vie vous contrôle.
30 Quand vous–quand vous pouvez voir quels sont vos désirs, c’est comme ça, alors, que vous pouvez savoir quel est le genre de chose qui se trouve en vous, qui crée ce désir que vous avez. Voyez-vous, il y a une certaine chose dont vous avez soif, et c’est–et c’est par elle que vous pouvez savoir quel est le désir qu’il y a dans votre âme, par le genre de soif que vous avez. J’espère que vous pouvez comprendre ça.
31 Il y a une–une tour de contrôle pour l’âme, et il y en a une pour le corps; chaque tour sert d’avertisseur pour signaler les besoins de l’autre. Chacune indique ce que réclame celui qui lance l’appel, elle envoie un signal avertisseur.
32 Par exemple, la–la chair a soif de satisfaire les désirs du corps, et l’esprit désire les choses qu’il y a dans l’âme, le désir qu’il y a là, et souvent ils luttent l’un contre l’autre. Nous voyons là un grand problème d’aujourd’hui, c’est que trop de gens essaient de vivre entre ces deux désirs. En effet, l’un désire les choses de la terre, alors que l’autre désire les choses du Ciel.
33 Comme Paul l’a dit, l’a décrit, dans Romains 7.21 : “Quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi.” Quand vous essayez, avez-vous déjà expérimenté ça, les Chrétiens? C’est que, quand vous essayez de faire quelque chose de valable, que vous vous efforcez de faire ce qui est bien, alors vous allez trouver le diable qui est là, partout, juste pour vous déranger dans tout ce que vous... Et c’est un bon signe, ça. J’aimerais dire ceci, pour que les Chrétiens le sachent. C’est que, quand vous–quand vous entreprenez quelque chose, et qu’il y a toujours des obstacles, pour vous déranger, faites-le quand même. C’est le diable, là, qui essaie de vous empêcher de faire ce qui est bien.
34 Bon, souvent, je rencontre des gens qui ont tendance à être un peu nerveux. Quand ils s’aperçoivent qu’ils essaient de faire quelque chose et–et que les obstacles s’élèvent de toutes parts, ils disent : “Ce n’était peut-être pas la volonté du Seigneur.” Voyez? Or, ne laissez pas le diable vous mentir comme ça.
35 D’abord, il faut trouver si c’est la volonté de Dieu ou pas. Et alors, si vous voulez savoir si c’est la volonté de Dieu, regardez dans la Bible. Voilà ce qui–qui vous alignera correctement, c’est la Parole de Dieu. Et alors, si vous voyez que c’est selon la Parole de Dieu que vous fassiez cela.
36 Comme, par exemple, de rechercher le baptême du Saint-Esprit. J’ai souvent rencontré des gens qui disaient : “Eh bien, j’ai recherché le Saint-Esprit, et je n’ai tout simplement pas réussi à Le recevoir. Je ne crois pas que C’est pour moi. Chaque fois que je m’y mets, je deviens malade. Quand je me mets à prier, si je jeûne, je deviens malade. Si j’essaie de rester toute la nuit, ou de rester éveillé, j’ai tellement sommeil. Je–je n’arrive pas à avancer.” Souvenez-vous, ça, c’est le diable. En effet, c’est l’intention de Dieu que vous ayez le Saint-Esprit. C’est pour celui qui veut.
37 Souvent, vous constaterez, quand, à une réunion, vous recevez de la prière pour la guérison Divine, alors, le lendemain, vous allez constater, sans doute que le diable va s’arranger pour que ce soit deux fois pire que la veille. Voyez? Souvenez-vous, ça, c’est simplement Satan qui essaie de vous éloigner de la bénédiction que Dieu vous réserve. Voyez? N’écoutez surtout pas ce personnage-là. Voyez? Continuez toujours à courir vers le but.
38 J’en ai fait l’expérience tout récemment, comme je faisais route vers l’Afrique. Si jamais il y a eu un temps où le diable m’a mis des bâtons dans les roues, c’est bien pour mon dernier voyage en Afrique. Finalement, ça a été l’une des plus belles réunions, l’un des meilleurs moments que j’ai jamais passés outre-mer. Je crois que j’ai réussi à accomplir plus de choses pendant la petite période où j’ai été là, – sans compter mon voyage de chasse, – que j’en ai jamais accompli auparavant. J’avais toujours pensé que les églises de là-bas ne voulaient pas de moi, et j’ai fini par découvrir... J’avais reçu une lettre de quelqu’un, qui déclarait, oh, qu’on ne voulait pas de moi là-bas, toute l’association; et j’ai découvert que c’était un homme tout seul, avec une en-tête de lettre imprimée d’une organisation, qui disait : “Nous ne voulons pas de vous.” Il voulait dire lui et sa famille. Voyez? Alors, quand je suis arrivé là-bas... Voyez-vous, le “nous”, c’était seulement lui et sa famille, ce n’était pas du tout les gens. Alors, voilà un grand champ de travail qui s’ouvre maintenant à nous.
39 Vous voyez, quand Paul a dit : “Quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi.”
40 Qu’un jeune converti vienne à l’autel ce soir, quelque part, ici dans ce tabernacle ou–ou ailleurs dans le pays; souvenez-vous bien de ceci, demain, maman sera plus fâchée que jamais, papa sera tout chaviré, et tous les enfants à l’école aussi. Et tout ira de travers, parce que c’est Satan, là, qui cherche à vous faire faire demi-tour. Il cherche à vous écarter du Sentier. “Quand je veux faire le bien, le mal est toujours attaché à moi.”
41 Maintenant considérons la soif, et voyons si, effectivement, la soif, c’est quelque chose de naturel. Des gens m’ont déjà dit : “Oh, moi, je n’ai jamais eu ça. Je crois que ce n’est donné qu’à certaines personnes de vouloir être Chrétiens.” Oh non. C’est faux. En fait, c’est quelque chose qui est commun à tous les êtres humains. Certainement, c’est vrai. Quand nous sommes arrivés dans ce pays, ici, au début, nous y avons trouvé les Indiens. Et les Indiens, bien qu’à l’époque ils aient été païens, ils adoraient le soleil ou quelque chose. Du moment que ce sont des humains, il y a quelque chose en eux, une soif naturelle, qui fait appel à Dieu, quelque part.
42 Au fin fond de la jungle, là-bas, dernièrement, à quatre cent quatre-vingts milles [sept cent soixante-dix kilomètres] de toute civilisation, un petit village d’environ trois mille habitants, à Beira, au Mozambique. Nous y avons trouvé des indigènes qui n’avaient même pas... ils n’avaient jamais vu un Blanc. J’y ai trouvé une indigène, elle ne portait aucun vêtement (pratiquement aucun d’entre eux ne porte de vêtements), et elle était assise au haut d’un arbre. Je suivais la piste d’un lion, et il y a... j’ai entendu un cri qui ressemblait à celui d’un être humain. Cette jeune indigène était assise là-haut, le regard effaré, elle avait un bébé dans les bras. Et ce qui l’avait effrayée... Sa seule protection contre le lion, le léopard, ou autre chose, un autre animal, c’est de grimper à un arbre. Elle m’avait vu, elle avait entendu un bruit d’être humain, mais quand elle a regardé, et qu’elle a vu un Blanc! Elle n’en avait jamais vu, de toute sa vie, voyez-vous, alors elle était épouvantée. Voyez?
43 Mais quand on voit que ces gens, même dans cet état primitif, là-bas, ils adoraient quand même. Avant qu’on appelle le lion, ils versaient de la farine de maïs (c’est de ça qu’ils se nourrissent) sur une petite feuille, ils tapaient des mains, et ils invoquaient l’esprit d’un grand quelque chose quelque part, ils ne savaient pas où (comme un saint patron, ou quelque chose du genre, chez les catholiques), pour que celui-ci les protège, qu’ils ne se fassent pas tuer au moment où ce lion chargerait.
44 Voyez-vous, c’est quelque chose de naturel. Ce n’est pas quelque chose d’anormal d’avoir soif de Dieu. C’est une chose naturelle. C’est tout simplement quelque chose que vous devriez faire. Dieu vous a conçu comme ça. Et ce n’est pas quelque chose de surhumain, c’est vraiment commun à tous les êtres humains. Ce n’est pas réservé exclusivement à certaines personnes.
45 Ils disent : “Eh bien, j’ai vu des gens mener une–une vie tellement victorieuse, qu’ils sont constamment dans les hauteurs, à louer Dieu. Comme j’aimerais me sentir comme ça.” Eh bien, si vous avez ce sentiment-là, c’est à cause de la soif qu’il y a en vous. Et c’est simplement quelque chose de naturel. C’est dans chaque personne, d’avoir soif de Dieu.
46 Maintenant nous allons en considérer quelques-unes, dans le naturel. D’abord, il y a la soif. Prenons, par exemple, la soif d’eau. Comme David le disait, ici, la soif, de “l’eau”. Quand on a soif d’eau, c’est que le corps a besoin d’eau. Et si vous n’apaisez pas cette soif, vous allez périr. Vous allez vous déshydrater, et vous–vous ne resterez pas en vie. Si vous ne pouvez pas vous procurer de l’eau pour apaiser cette soif, pour étancher cette soif du corps naturel, vous ne tarderez pas à périr. Vous ne resterez pas en vie longtemps. Vous pouvez rester en vie plus longtemps sans nourriture, que vous le pouvez sans eau. En effet, vous pouvez jeûner quarante jours (Jésus l’a fait), je pense, sans–sans nourriture, mais vous ne pourriez pas tenir aussi longtemps sans eau. Vous vous dessécheriez, tout simplement, et vous mourriez. Vous devez avoir de l’eau. Et–et cette sensation de soif que vous éprouvez, eh bien, c’est pour indiquer que le corps a besoin de quelque chose, pour le maintenir en vie. Le corps doit absolument avoir de l’eau, pour rester en vie. Vous êtes composés à quatre-vingts et quelques pour cent d’eau et de pétrole, de toute façon; vous devez absorber ces composants, pour rester en vie. Comme je l’ai dit, si vous négligez de le faire, vous périrez.
47 La soif, c’est aussi une sonnette d’alarme. C’est une sonnerie, cette sensation de soif. L’âme déclenche une sonnerie, un petit signal avertisseur à l’intérieur de vous, qui vous indique que la mort rôde, que si vous ne vous procurez pas de l’eau très bientôt, il vous faudra mourir. Et le son devient de plus en plus fort, jusqu’à ce que finalement, si vous continuez à remettre la chose à plus tard, vous mourrez, parce que c’est une sonnerie.
48 Comme David l’a décrit, ici, dans les Psaumes : “Comme une biche soupire après des courants d’eau, ainsi mon âme soupire après Toi, ô Dieu.” Comme une biche soupire après un courant d’eau!
49 En lisant ce passage de David, j’ai souvent pensé à ceci. David était un homme des bois, un chasseur. Et, naturellement, il chassait le cerf. Et beaucoup d’entre nous, de nos jours, nous le chassons. La biche, c’est un cerf.
50 Et nous voyons, si vous avez déjà vu les chiens, les chiens sauvages, ils vont saisir un cerf. En général, ils ont un croc comme le coyote. Et ce chien peut saisir le cerf, juste au-dessus de l’oreille, à la base des bois, ici, et le faire basculer. Il coupe la gorge du cerf, et à ce moment-là, le cerf n’a aucune chance de s’en sortir. Mais quelquefois, le–le–le chien, par exemple, en Afrique, là, le chien sauvage va saisir le cerf en plein flanc, s’il ne réussit pas à le saisir à la gorge. La deuxième fois, il va saisir le flanc. Et si le cerf est assez fort et qu’il réagit assez vite, il pourra se dégager du chien.
51 Le cerf est beaucoup plus rapide. Le chien le traque quand il ne regarde pas, quand il est dans le vent par rapport à lui, et–et qu’il–qu’il ne sait pas que le–le chien est près de lui.
52 Et alors, quand le chien sauvage le saisit, s’il réagit très vite, il pourra se défaire de son emprise. Et, mais quand le chien lâche le flanc, il a un gros morceau de la chair du cerf dans sa gueule. Ou quand il le saisit à la gorge, parfois, il va couper près de la veine jugulaire et passer à côté. Et le cerf, en se dégageant de lui, ça va arracher un gros morceau de viande de la gorge du cerf, et là le sang se met à couler.
53 Et alors, le chien va tout de suite se lancer à la poursuite du cerf, en suivant cette traînée de sang. Et alors que la vie quitte peu à peu le cerf, – le sang étant le ruisseau qui fait circuler la vie dans le corps, – alors que celle-ci le quitte peu à peu, le cerf s’affaiblit. Et là, le chien, ou le loup, il est aux trousses du cerf.
54 Maintenant, si ce cerf n’arrive pas à trouver de l’eau! Or, il y a quelque chose dans l’eau, qui fait que, quand le cerf boit de l’eau, il arrête de saigner. Mais s’il n’a pas d’eau pour faire baisser sa température, alors le–le sang va s’écouler de plus en plus vite, parce qu’en courant, il fait battre son coeur continuellement très vite. Mais s’il peut arriver jusqu’à l’eau, le cerf va s’en sortir vivant.
55 Maintenant, il y a une grande leçon à tirer de ça, voyez-vous, David qui disait ici : “Comme une biche soupire après un courant d’eau, mon âme soupire après Toi, ô Dieu.”
56 Maintenant, ce cerf, il sait que s’il ne trouve pas d’eau, il est perdu. Il ne peut tout simplement pas s’en sortir vivant. Souvent il m’est arrivé de suivre leurs traces, après qu’ils avaient été blessés. Quand il trouve un ruisseau, il va le traverser et y boire, puis il va monter sur la colline; il va revenir, traverser, boire un peu d’eau, et remonter. Vous ne le rattraperez jamais, tant qu’il va suivre ce ruisseau. Mais une fois qu’il quitte le ruisseau, alors, s’il n’arrive pas à trouver un autre courant d’eau quelque part, vous ne tarderez pas à l’attraper. Et le cerf, il le sait, ça, c’est pourquoi il va rester tout près de l’eau, pour pouvoir y aller en vitesse. Maintenant, pouvez-vous vous imaginer un cerf, le nez en l’air, qui se serait retrouvé quelque part où il n’y a pas d’eau?
57 Il dit : “Comme une biche a soif, ou soupire (ce qui est une soif) après des courants d’eau, mon âme a soif de Toi, ô Dieu. Si je ne Te trouve pas, Seigneur, je vais périr. Je–je–je ne pourrai pas continuer, si je ne Te trouve pas!” Et, quand un homme ou une femme, un garçon ou une fille, éprouve cette sorte de soif là pour Dieu, il va trouver quelque chose. Voyez?
58 Mais, quand nous procédons un peu à moitié : “Eh bien, je vais m’agenouiller et voir ce que le Seigneur va faire.” Voyez-vous, vous n’avez pas encore vraiment soif. Il faut que ce soit une soif, question de mort ou de Vie, et là il va se passer quelque chose.
59 Le cerf, là, aussi, il... Nous voyons qu’il a aussi un autre sens, celui de l’odorat, qui déclenche une sonnette d’alarme en lui quand son ennemi est proche. Ce petit animal, il a en lui un–un sens qui lui sert de protection. Et il–il a une petite sonnette d’alarme en lui, un petit quelque chose, il remue le nez quand l’ennemi est proche. Quand vous vous retrouvez dans le vent par rapport à l’ennemi, il saura que vous êtes là, et il va détaler. Parfois, à une distance d’un demi-mille [huit cents mètres], il va vous flairer, vous, ou un loup, ou n’importe quel danger, et se sauver. Il est capable de le détecter, parce qu’il est fait comme ça. Il est un cerf, par nature. Et ce sens qu’il a en lui, c’est tout simplement un des sens que Dieu lui a donnés, pour lui permettre de rester en vie.
60 Et j’ai pensé, je comparais le cerf à un homme qui a soif de Dieu. Avant que l’ennemi arrive; il y a quelque chose dans un enfant de Dieu, une fois que vous êtes né de l’Esprit de Dieu, que vous avez reçu le baptême du Saint-Esprit, il y a quelque chose dans la personne qui peut détecter la présence de l’ennemi. Prenez, par exemple, un homme, quand il prend l’Écriture, qu’il lit l’Écriture, et qu’il essaie d’injecter à ce passage de l’Écriture quelque chose qui est contraire à l’Écriture, un homme qui est rempli du Saint-Esprit peut [Frère Branham fait claquer ses doigts.–N.D.É.] détecter ça tout de suite. Il y a quelque chose qui cloche. Quand il arrive quelque part, et–et, ce petit sens bien particulier que vous avez en vous, il intervient pour protéger votre vie. Vous–vous ne devez, vous ne devez jamais accepter quoi que ce soit, s’il ne s’agit pas très précisément de la Parole de Dieu. Vous devez vous en tenir de façon très précise à cette Parole. Et, maintenant, nous sommes préservés par ce sens-là, pourvu que nous soyons dans le Saint-Esprit.
61 Vous pourriez vous mettre à lire, disons, par exemple, quelqu’un qui dirait, je lirais dans Marc 16, et je dirais : “Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru : En Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; qu’ils saisissent des serpents, ou boivent quelque breuvage mortel, cela ne leur fera pas de mal; s’ils imposent les mains aux malades, ceux-ci seront guéris.”
62 Bon, ensuite, vous verriez quelqu’un monter là-haut et dire : “Bon, ça, c’était pour l’âge apostolique.” Ça, tout de suite, là, – si vous avez reçu le Saint-Esprit, vous avez reçu ce sens-là, – ça le déclenche. Il y a quelque chose de faux, là. Voyez? Ils cherchent à trouver des explications pour déprécier la chose, disant que c’était pour une autre époque, que ces choses-là, en réalité, on n’en a plus besoin aujourd’hui. Mais Jésus a dit : “Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru.” Voyez-vous, il y a un petit quelque chose qui se déclenche en vous, un petit signal avertisseur, qui vous fait savoir que c’est faux et que c’est la voie de la mort.
63 En effet, Jésus a dit que “si nous ajoutons une seule parole à Ceci, ou que nous En retranchons une seule Parole, notre part sera retranchée du Livre de Vie”. Voyez-vous, pas un seul passage de l’Écriture. Nous devons La prendre exactement telle qu’Elle est écrite. Dieu veille sur Sa Parole, pour L’exécuter, et nous savons qu’Elle est forcément tout à fait juste.
64 Alors, par conséquent, quoi qu’une église puisse dire, quoi que n’importe qui d’autre puisse dire, si vous êtes né de l’Esprit de Dieu, vous devenez une partie de la Bible. Dieu a dit à Ézéchiel, il, le prophète. Il a dit : “Prends le rouleau et mange-le”, et alors le prophète et le rouleau sont devenus parties l’un de l’autre. Et il en est de même pour le croyant, quand il reçoit le Saint-Esprit; le Saint-Esprit a écrit la Bible, et l’Esprit de Dieu est la Parole de Dieu. “Mes Paroles sont Esprit. Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.” Hébreux 13.8 : “Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.” Et quand vous êtes une partie de cette Parole, oh, alors, que quelque chose de contraire à cette Parole se présente, [Frère Branham fait claquer ses doigts plusieurs fois.–N.D.É.] ça déclenche tout de suite un petit signal avertisseur. Voyez-vous, c’est pour vous avertir que la mort est dans les parages. On ne devrait jamais faire ça. Il y a aussi...
65 Ces soifs-là sont simplement naturelles. Elles sont naturelles chez le Chrétien. Elles sont naturelles chez l’être humain.
66 Il y a aussi une soif de succès. Tant de gens aujourd’hui, que d’études nous faisons à cause de cette soif-là! Nous venons de constater, c’est la rentrée, à l’université. Et nous allons là, et les gens dépensent des milliers de dollars pour envoyer leurs enfants à l’école, et–et dans les universités et les collèges, et tout, pour y recevoir une instruction, “pour réussir”, comme ils disent, “dans la vie”. Mais, bon, je n’ai rien contre ça, là, il n’y a pas de mal à ça. Mais, à mon avis, vous aurez beau faire toutes les études du monde, vous n’aurez toujours pas trouvé la vraie réussite. C’est exact. En effet, ça ne fera que vous faciliter un peu les choses ici, temporairement. Et il y a... Mais, quand vous mourez, vous laissez tout ça derrière vous, avec tout ce système économique que nous avons.
67 C’est ce que je disais, l’autre jour, à Phoenix. Ça mérite d’être cité de nouveau : “Toute cette civilisation moderne, le programme pédagogique tout entier, le programme scientifique tout entier, tout ça, c’est contraire à la Parole de Dieu et à Sa volonté.” La civilisation, c’est absolument... Il n’y aura plus jamais une civilisation comme celle-ci dans le monde à venir. Cette civilisation est une civilisation pervertie. La première civilisation que Dieu a eue sur terre, c’est quand Il a prononcé Ses Paroles, et qu’elles sont apparues, chaque semence selon son espèce, et, dans cette civilisation-là, la mort, la maladie et le chagrin n’existaient pas. Et maintenant, nous utilisons les éléments scientifiques du monde, qui ont été placés ici pour en maintenir la cohésion, et nous les pervertissons pour produire quelque chose, et le résultat, c’est la mort.
68 Par exemple, la bombe atomique. Je ne connais pas les formules de ces choses, mais – il se pourrait que je le dise de travers – ils prennent de l’uranium pour fendre une–une molécule, et la molécule se décompose en atomes. Et qu’est-ce que ça produit, à ce moment-là? Ça ne fait qu’annihiler, presque, ça ne fait que détruire. Tout ce que nous faisons!
69 Nous prenons la médecine, nous ajoutons telle formule à telle formule, pour guérir telle chose, et nous absorbons ça. Et qu’est-ce que nous faisons? Nous faisons des ravages ailleurs.
70 Bon, je pense que vous lisez, que vous avez lu le Reader’s Digest du mois dernier, où on disait que “dans cet âge où nous vivons actuellement, les jeunes hommes et les jeunes femmes arrivent à l’âge mûr entre l’âge de vingt et vingt-cinq ans”. Pensez-y. Des jeunes filles ont leur ménopause, et à vingt, vingt-deux, vingt-trois ans, elles arrivent à l’âge mûr. Vous voyez, ce qui a produit ça, c’est la nourriture hybride, et ces choses, ce que nous mangeons. Voyez-vous, ce sont ces choses, la nourriture et la–la vie que nous menons. Les hommes de science nous ont fourni tout ça, et c’est ainsi qu’ils sont en train de nous tuer.
71 J’ai été en Afrique, et là-bas j’ai vu des jeunes hommes qui n’avaient jamais pris une seule dose de médicament de leur vie. Ils mangeaient de la viande qui avait des vers. Ils buvaient à une mare qui, d’après l’apparence, aurait tué un boeuf. Je tirais à une distance de deux cents verges [mètres], et je ne voyais pas la cible, avec une paire de jumelles 7 x 50. Et un homme de mon âge était là, il me disait où je l’avais touchée – à l’oeil nu. Maintenant, si toute cette culture moderne a produit quelque chose... Moi, je considère que si j’avais les yeux et l’estomac de cet homme-là, je serais quelqu’un de très bien. Oui.
72 Mais voilà, vous voyez, c’est ça la science, l’instruction, la civilisation, elles nous détruisent. Nous nous détruisons. Ça a commencé dans le jardin d’Éden, et ça se poursuit aujourd’hui. Mais, la soif du succès!
Et puis, nous avons soif d’être en communion. Nous allons, nous voulons être en communion.
73 C’est comme un jeune homme et une jeune femme. Bon, ce n’est pas inutile, ou ce n’est pas (je veux dire) anormal pour un jeune homme et une jeune femme de–de s’aimer. C’est une soif d’amour. C’est de leur âge, et ils–ils s’aiment. Et ce n’est pas quelque chose d’anormal, c’est tout simplement naturel chez eux.
74 Maintenant, nous voyons qu’il y a beaucoup de choses, dans la vie que nous menons dans ce corps naturel, dont nous avons soif. C’est simplement quelque chose qui est là, à l’intérieur de nous. Nous voulons faire ces choses, nous considérons vraiment que c’est nécessaire. Et c’est effectivement nécessaire que nous les fassions.
75 Nous voyons qu’il y a beaucoup de femmes, de nos jours, qui ont soif de beauté. Or, il n’y a pas une seule femme... C’est une chose naturelle chez la femme d’avoir soif d’être belle. Ça, c’est–c’est son instinct, que Dieu lui a donné, et–et sa beauté que Dieu lui a donnée pour son compagnon. Et donc, nous voyons que les femmes veulent être comme ça. Pourquoi donc? C’est simplement parce que c’est quelque chose que Dieu lui a donné. Que les femmes soient belles, il n’y a pas de mal à ça. Elles devraient l’être.
76 Et, vous savez, les seules créatures où–où la femelle est plus belle que le mâle, c’est dans la race humaine. Tous les autres animaux, prenez la–la vache et le taureau, la biche et le cerf, la poule et le coq, l’oiselle et l’oiseau, vous allez toujours constater que le mâle est grand et beau. Mais, dans la race humaine, preuve que c’est là qu’il y a eu la perversion, c’est le contraire; ce sont les femmes, alors, qui sont–sont belles, et elles ont soif d’être belles.
77 Pas comme certaines de ces créatures bizarres qu’on voit dans la rue aujourd’hui; non, non, pas cette sorte de beauté là. Non. Ça, c’est le spectacle le plus horrible que j’ai jamais vu de ma vie. Oui monsieur. Ça, c’est de la perversion, c’est de pervertir la vraie soif.
78 Or, la vraie soif qu’une femme devrait avoir, ce serait de “se vêtir d’une manière décente, et d’avoir un esprit semblable à celui de Christ”, I Timothée 2.9. Maintenant, la femme, c’est d’être comme ça qu’elle devrait avoir soif. Maintenant, si vous voulez être belles, c’est ça qui fait votre beauté, voyez-vous, c’est un esprit semblable à celui de Christ, et d’être vêtues d’une manière décente.
79 Oh! la la! il y a de ces gens qu’on voit dans les rues aujourd’hui! On n’arrive pas à distinguer l’homme de la femme, et c’est–c’est la chose la plus horrible à voir que vous pourriez... je ne pourrais pas, c’est–c’est... Je–je n’ai jamais rien vu de semblable, de semblable chez des êtres humains. Ça dépasse le niveau humain. Les yeux tout maquillés, jusque très haut, comme ça, et, vous savez, ces drôles d’yeux de lézard et tous ces drôles de vêtements. Et, mais, ce n’est même pas... Tellement déformés, ils ne ressemblent même pas à un être humain. Et ces jeunes gens, ici, les cheveux ramenés sur le front, avec les rouleaux de leur soeur ici, en avant, vous savez, mais, c’est une perversion complète! C’est vrai. C’est–c’est–c’est Satan, et Satan est le pervertisseur.
80 Quand Dieu a tout créé, dans le jardin d’Éden, c’était magnifique, puis Satan est arrivé et il a perverti. Satan ne peut pas créer quoi que ce soit. Il n’y a qu’un seul Créateur, c’est Dieu. Mais Satan pervertit la création originelle. Et voilà qu’il s’est mis à (c’est de ça que je veux parler ce soir) pervertir la–la création originelle, de la soif.
81 Bon, la femme, comme je le disais, elle veut être belle. Il y a quelque chose en elle, elle est féminine et elle a ce désir-là.
82 Mais, telles qu’elles sont dans la rue, aujourd’hui, avec les cheveux coupés comme des hommes, vêtues de vêtements d’homme; et puis les hommes font le contraire, les voilà vêtus de vêtements de femme, avec une coupe de cheveux comme les femmes. Voyez-vous, c’est une perversion, tout est perverti! Votre nourriture est pervertie. Votre vie est pervertie. Votre soif, pervertie. Votre désir est perverti. C’est un jour de perversion!
83 Dernièrement, ici, j’ai parlé de L’Éden de Satan. Dieu a mis six mille ans, pour faire un Éden parfait. Satan est arrivé, il a arrosé ces semences et les a déformées. Maintenant, au bout de ses six mille ans à lui, il a son Éden scientifique, il a tout ramené à une perversion de ce qui est bien.
84 Et cet âge-ci est celui de l’hybridation, l’hybridation. Voilà que même les–les églises, aujourd’hui, elles sont hybrides. C’est exact. Ils vont là, ils se contentent d’aller à l’église, c’est un club au lieu d’une église. Une église, c’est un lieu où les gens se rassemblent et adorent Dieu en Esprit et en Vérité. Aujourd’hui, c’est un club. On va là-bas passer un petit moment, se serrer la main et fraterniser, il y a du café noir au fond de la salle, et puis on rentre à la maison jusqu’à la semaine suivante, on a fait notre devoir religieux.
85 L’âge actuel est un âge perverti. Et Satan pervertit ces soifs que Dieu a placées en vous pour vous donner soif. Satan les pervertit. Or, si vous voulez savoir ce qui est bien, la perversion...
86 Si vous, les femmes, vous voulez être belles, prenez I Timothée 2.9 : c’est de “se vêtir d’une manière–manière décente, avec un esprit semblable à celui de Christ, douces, soumises à leurs maris”, et tout. C’est de ça que vous devriez vous vêtir, de la vie que vous menez.
87 Il pervertit la vraie nature de Dieu, et la vraie soif de Dieu, du corps et de l’âme, par la convoitise du péché. Le péché, une perversion! Maintenant, nous voyons, la personne, aujourd’hui, la façon dont ils ont été pris dans cette perversion. La soif de Dieu, la soif d’être belle, et toutes ces soifs, celle de–d’eau, ils l’ont transformée, ils l’ont satisfaite en buvant de l’alcool. La soif de joie, tout le monde veut avoir de la joie; la soif d’être en communion; toutes ces grandes soifs que Dieu a placées en nous, pour que nous ayons soif de Lui. Dieu vous a créés de façon que vous ayez soif de Lui, et nous cherchons la satisfaction dans un autre genre de soif, dans un autre genre de perversion de la soif correcte. Vous voyez comment ça se passe dans le naturel? Vous voyez comment ça se passe dans le spirituel? Nous pensons que, pourvu que nous adhérions à l’église, c’est–c’est réglé, c’est tout ce que nous avons à faire. Eh bien, ça, c’est complètement faux. Non.
88 Dieu veut que vous ayez soif de Lui! “Comme une biche soupire après un courant d’eau, mon âme a soif de Toi, ô Dieu.” Voyez? Voyez?
89 Maintenant, ce cerf, s’il soupirait après un courant d’eau, qu’est-ce qui se serait passé si quelqu’un s’était présenté, et, qu’un autre cerf, un copain à lui, s’était présenté là et avait dit : “Dis donc, je vais te dire ce que je–je peux faire. Je sais où il y a une mare vaseuse, ici.” Eh bien, le cerf, il n’en voudrait pas. Il, ça ne lui ferait aucun bien.
90 Et il n’y a rien qui puisse satisfaire cette soif qui se trouve dans l’être humain, tant que Dieu n’entre pas en lui. Il doit Le recevoir, sinon c’est la mort. Et personne n’a le droit d’essayer de faire taire ou de satisfaire par les choses du monde cette soif sainte qui se trouve en lui. Non monsieur. C’est un geste impie que de faire ça. Si vous avez soif de Dieu, n’allez pas serrer la main au prédicateur et mettre votre nom sur un registre. Si vous avez soif de Dieu, il n’y a qu’une chose qui puisse satisfaire cette soif, c’est de rencontrer Dieu. Si vous avez soif de Dieu, c’est le seul moyen, de Le rencontrer, c’est ce qu’il faut faire.
91 Et puis, il y a un grand danger, aussi, si vous ne faites pas attention à ce que vous faites, à un moment donné. Si vous avez soif de Dieu, assurez-vous que c’est Dieu que vous trouverez. Voyez-vous, assurez-vous que c’est bien votre soif qui est satisfaite. Mais si Satan a réussi à vous pervertir, à vous détourner de ces appétits naturels, – et c’est ce qu’il fera s’il le peut, – il–il va simplement vous amener à essayer de trouver une satisfaction.
92 Un homme qui va aller, qu’est-ce qui fait qu’un homme va s’enivrer? C’est parce qu’il est inquiet et très agité. Il lui manque quelque chose.
93 J’étais à la clinique Mayo, ici, il n’y a pas longtemps, et j’étais là pour un entretien. Et alors, il a été dit, là, nous parlions du fait de boire, et je leur ai dit que mon père buvait.
Il a dit : “Pourquoi buvait-il?”
J’ai dit : “Je ne sais pas.”
94 Il a dit : “C’est parce qu’il y avait quelque chose qu’il, qui ne le satisfaisait pas, et il pensait qu’en buvant, il pourrait chasser ça de son esprit.”
95 J’ai compris tout de suite, voyez-vous. En réalité c’était Dieu, le seul qui puisse satisfaire cette soif-là. Le seul qui puisse satisfaire cette soif humaine, c’est Dieu Lui-même, d’accepter Dieu.
96 Or, Satan s’empare de ces choses, comme je le disais, et il les pervertit. Alors, si vous–si vous... Si vous ne voulez pas donner à cette soif la place qu’elle doit avoir dans votre vie, et que vous ne voulez pas avoir soif et prendre les choses auxquelles Dieu a pourvu pour apaiser cette soif, pour l’étancher, alors Satan va vous conduire vers certains de ses bourbiers de stagnation, de ce monde. Vous devez trouver quelque part. Si vous n’arrivez pas à trouver à manger, vous vous nourrirez dans une poubelle. Voyez? Et si vous–si vous n’arriviez pas à trouver de l’eau, et que vous soyez en train de mourir, vous boiriez à une–une mare quelconque, parce que vous êtes en train de périr.
97 Mais il n’y a aucune raison d’en arriver là, quand vous avez soif de Dieu, parce que Dieu est un Dieu vivant, et non quelque chose d’historique. “Mon âme a soif de Toi, du Dieu vivant”, Quelque Chose qui donne des eaux vives, Quelque Chose qui satisfait.
98 Il y a une autre nature, quelque chose de naturel, une soif simplement naturelle, c’est cette soif de l’âme. Vous direz : “Frère Branham, cette soif de l’âme, est-ce quelque chose de naturel?” Oui, c’est quelque chose de naturel, dans l’âme, d’avoir soif. Et c’est, en effet, Dieu vous a fait ainsi, pour que vous ayez soif de Lui. Il veut que vous ayez soif de Lui. Alors, Dieu vous a fait comme ça. Il n’était pas obligé de vous faire comme ça, mais c’est ce qu’Il a fait. Et s’Il ne vous avait pas fait comme ça, de façon que vous ayez soif, vous auriez une excuse au Tribunal du Jugement, dire : “Je–je–je n’ai jamais eu soif de Dieu.” Mais, vous n’avez aucune excuse, cette soif est en vous. Vous allez la passer sur quelque chose; vous allez peut-être la passer sur votre épouse, vous allez peut-être la passer sur votre voiture, vous allez peut-être la passer sur autre chose, vous irez peut-être à l’église pour essayer de la satisfaire. Je n’ai rien contre le fait d’aller à l’église, mais la satisfaction n’est pas là. C’est de trouver Dieu, le Dieu vivant, le Dieu du Ciel, à l’intérieur de votre âme, pour satisfaire ce désir profond et cette soif, ce après quoi vous soupirez.
99 Or, en effet, Il vous a fait de façon que vous ayez soif de Lui, d’être en communion avec Lui. Or, il existe une soif authentique de communion. Bon, nous aimons nous rencontrer. C’est ce que nous faisons ce soir. Nous nous rencontrons ici ce soir, parce que nous aimons être en communion les uns avec les autres. Pourquoi le faisons-nous? Parce qu’il y a quelque chose en nous, qui fait que nous voulons nous rencontrer. C’est simplement naturel. Et, maintenant, nous avons un point commun qui nous motive à nous rencontrer ici, c’est que nous avons tous soif de Dieu. Voyez? Et alors, nous nous rencontrons ici régulièrement, à cause de ce point commun, pour être en communion. Dans cette église, ce soir, il se pourrait qu’il y ait bien des opinions dénominationnelles différentes, et tout; mais, comme nous avons cette soif, nous pouvons nous rencontrer avec un point commun entre nous, ce point-ci : nous avons tous soif. Certains peuvent croire qu’il faut être aspergé, l’autre qu’il faut être baptisé, l’un qu’il faut verser de l’eau, ou quoi encore; mais pour ce qui est de la soif de Dieu, nous–nous venons avec un point commun entre nous. Et Dieu nous a faits de telle sorte que nous ayons ça, que nous ayons soif de Lui et d’être en communion avec Lui. Je ne connais rien...
100 Quand j’étais un petit garçon, je me rappelle, j’ai grandi dans une famille très pauvre. Et je me rappelle bien des fois où je sortais avec des gars. Je ne pouvais pas m’habiller assez bien pour sortir dans des endroits convenables. Mais, je–je ne sais pas, il y a quelque chose chez les gens, je les aimais. J’aimais être avec eux. Mais j’étais plus ou moins ce qu’on appelle le mouton noir. Et quand j’ai été sauvé, et que j’ai reçu en moi ce Quelque Chose dont j’avais soif, un–un Ami, Quelqu’un qui serait un copain pour moi, Quelqu’un à qui je pourrais faire confiance, Quelqu’un avec qui on peut s’asseoir et discuter de ses problèmes. Et quand... j’ai trouvé cette vraie, cette véritable satisfaction, quand j’ai trouvé Jésus-Christ, Celui qui satisfait vraiment, véritablement, qui enlève tout–tout... qui étanche toute cette soif, et qui vous donne Quelque Chose qui–qui, semble-t-il, vraiment il n’y a rien qui puisse Le remplacer.
101 Et maintenant, combien Satan cherche à pervertir cette satisfaction de l’âme, cette soif de l’âme! Il cherche à vous donner tout ce qu’il peut pour la satisfaire. Et il est tellement trompeur en ces jours de perversion. Ce monde-ci est un monde perverti. C’est une race pervertie. C’est un peuple perverti. Tout est perverti. Et la perversion s’est opérée de façon très graduelle, si bien que nous en sommes maintenant à l’âge le plus trompeur où aucun être humain ait jamais vécu. C’est plus trompeur que jamais.
102 Maintenant, vous ne pouvez vraiment–vous ne pouvez vraiment pas vous imaginer à quel degré de tromperie cette nation est parvenue, même chez nos propres frères, c’est-à-dire le peuple américain.
103 Il y a quelque temps, je parlais... J’étais dans les bois, il y a quelques semaines, et j’ai trouvé un–un–un paquet de cigarettes par terre, dans les bois. Et là-dessus, ça disait : “Le filtre d’un homme qui réfléchit.” J’ai fait encore un petit bout de chemin dans les bois, et je suis revenu sur mes pas; ça me revenait toujours à l’esprit : “Le filtre d’un homme qui réfléchit, et le goût d’un homme qui fume.”
104 Eh bien, je suis allé à l’Exposition Internationale, il y a quelques années; vous vous souvenez, il y avait Yul Brynner et les autres, qui étaient là, alors qu’ils faisaient des démonstrations sur la cigarette. Et là, ils ont mis de la fumée sur un morceau de marbre, et avec un cure-oreilles, ils ont ramassé la nicotine qu’il y avait dessus, et ils ont appliqué ça sur le dos d’un rat. Au bout de sept jours, il était tellement rongé par le cancer qu’il n’arrivait plus à se lever. Voyez-vous, une seule cigarette! Et ensuite, ils ont montré ce qui se passe quand ça se retrouve dans le poumon humain. Certains disent : “Je n’avale pas la fumée. Je garde les bouffées dans ma bouche.” On a démontré que ça va dans la salive, et que ça descend ensuite dans la gorge, même chose, voyez-vous.
105 Et puis, cet homme, il disait : “On entend tellement parler des filtres.” Il a dit : “Or, si vous avez un désir”, ce qui est une soif, vous voyez, “un désir de fumer une cigarette, une cigarette normale pourrait satisfaire ce désir temporairement. Mais, si vous avez un filtre, il faut quatre cigarettes pour le satisfaire,” il a dit, “parce qu’avec ça vous n’avez qu’environ le quart de la fumée.”
106 Et ça disait : “Le goût d’un homme qui fume”? Voyez-vous, on ne peut pas avoir de fumée sans avoir de goudron. Et quand on a du goudron, on a du cancer. Alors, voilà, voyez-vous, c’est–c’est tout simplement une combine. Et je me dis qu’une–qu’une compagnie de tabac qui se trouve dans ce pays, et–et qui vit grâce à ce pays, et qui sortirait une combine comme celle-là, pour carrément tromper les citoyens américains, pour les tromper. Le filtre d’un homme qui réfléchit? Ce n’est qu’une combine pour vendre plus de cigarettes.
107 Ensuite, j’ai pensé à ça : “Le Filtre d’un homme qui réfléchit,” je me suis dit, “c’est une bonne idée, ça.” En effet, il existe effectivement, ce Filtre d’un homme qui réfléchit, c’est cette Bible. Le filtre d’un–d’un homme qui réfléchit, de se servir de ce Filtre-ci, Ce qui produira le goût d’un homme juste. Voyez?
108 Or, vous ne pouvez pas faire passer le péché dans les pages de cette Bible. Non, Elle l’arrête. Elle le filtre, Elle le retire. Bon, vous pouvez aller à l’église, et y apporter n’importe quoi, mais vous ne pouvez pas passer par cette Bible et avoir du péché. Ça ne passera pas. Elle filtre tout péché, Elle le retire, et Elle donne le goût d’un homme saint. En effet, si cet homme réfléchit, qu’il veut être saint, et être comme Dieu, et être un fils ou une fille de Dieu, dans ce cas, il veut avoir le Filtre qui convient. Donc, Celui-ci arrête tout le péché de ce côté-ci de la Bible, Il ne peut faire passer que le Saint-Esprit dans la Bible, Celui qui a écrit la Bible. C’est du goût d’un homme saint, d’avoir ce Filtre d’un homme qui réfléchit.
109 Or, nous voyons combien la tromperie est grande aujourd’hui. Dans Matthieu 24.24, Jésus a dit que “dans les derniers jours, les deux esprits seraient tellement proches, que cela séduirait même les Élus, si c’était possible”. Tellement proches! Tellement, quelle tromperie nous retrouvons aujourd’hui, pour ce qui est du–du bien et du mal.
110 Même dans notre–dans notre gouvernement, dans notre politique, nous–nous n’avons même pas un seul homme que nous pourrions mettre en place comme politicien, qui défendrait vraiment ce qu’il croit être juste. Où sont-ils, nos Patrick Henry, nos Georges Washington et nos Abraham Lincoln d’aujourd’hui? C’est exactement comme notre Président l’a dit, là : “La façon, si c’est le communisme que les gens veulent, ils l’auront, tout ce qu’ils voudront.” Voilà bien un–un homme qui ne veut pas exprimer ce qu’il croit! Un homme qui défendra un principe, qui défendra ce qui est un principe... On se contente de choisir la–la–la solution de facilité.
111 Et les gens en sont arrivés là, dans l’église. Ils veulent venir adhérer à l’église, et ils disent : “Oh, eh bien, ça–ça y est, je–j’ai adhéré à l’église maintenant.” Vous essayez de satisfaire cette grande soif sainte que Dieu a placée en vous, cette Tour de contrôle qui cherche à vous diriger vers la chose juste, vous essayez de satisfaire ça en adhérant à une église, en récitant un credo, ou quelque chose du genre. Alors qu’il n’y a que la Présence même de Dieu, et Dieu Lui-même qui remplit votre vie, qui puisse la satisfaire.
112 Il ne se satisfera pas d’un credo. Vous ne ferez jamais passer un credo à travers cette Bible. Non. Il n’y a même pas le soi-disant Credo des Apôtres, qui puisse jamais passer à travers Cela. Montrez-moi dans la Bible le Credo des Apôtres, où il est dit : “Je crois à la sainte église catholique romaine; je crois à la communion des saints”, alors que ce qu’il est dit dans la Bible, c’est : “Il y a un seul médiateur entre Dieu et les hommes, et c’est Jésus-Christ Homme.” Vous ne ferez jamais passer ces choses à travers la Bible.
113 Toutes ces danses, et ces shorts, et ces choses que les gens font aujourd’hui, le twist et le tutsi, et toutes ces choses-là, vous ne ferez jamais passer ça à travers la Parole de Dieu. Cette tendance moderne de la civilisation, vous ne ferez jamais passer ça à travers cette Bible. Elle s’y oppose. Voyez? Et vous essayez de satisfaire cette soif, mais, vous voyez, elle... Cette Bible va uniquement satisfaire le goût d’un homme ou d’une femme justes. Ce Saint-Esprit, dont ils se permettent de se moquer, et ils disent : “Tu as perdu la tête.” Mais C’est ce qui satisfait ce désir profond, c’est quelque chose dont le monde ignore tout. Ils se sont pervertis, ils se sont détournés du véritable baptême du Saint-Esprit et de la Parole de Dieu, pour se tourner (vers quoi?) vers les bourbiers, les bourbiers de l’église, les dogmes, les crédos, et–et les différends dénominationnels, et tout.
On dit : “Êtes-vous Chrétien?
114 – Je suis méthodiste. Je suis baptiste. Je suis presbytérien.” Ça, pour Dieu ça ne veut rien dire, absolument rien. Vous ne pouvez pas faire passer ces choses-là à travers la Bible de Dieu, ici. Et vous essayez de satisfaire cette soif sainte que Dieu vous a donnée pour que vous ayez soif de Lui. Pas vrai? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
115 Maintenant, vous savez que David a dit ici : “Du Dieu vivant.” Or : “Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.” Il ne peut donc y avoir aucune satisfaction, tant que cette Parole, qui est Dieu, ne deviendra pas vivante en vous, et c’est là que vous voyez Dieu Lui-même accomplir les promesses qu’Il a faites dans la Bible.
116 Maintenant nous avons plusieurs interprètes de la Bible. Une église L’interprète comme ceci, une autre L’interprète comme cela, et une autre comme ceci. Certaines n’En prennent qu’un tout petit bout, certaines En prennent une partie ici et là. Mais Dieu est Son propre interprète. Quand Il fait une promesse et qu’Il l’accomplit, c’est ça qui en est l’interprétation.
117 Si je vous avais promis que je serais ici ce soir, et je suis ici, c’est ça l’accomplissement de ma promesse. Si je dis que je vais vous rencontrer demain matin, et que j’y suis, c’est ma promesse. Je n’ai pas besoin de trouver d’autres excuses, il faut que j’y sois.
118 De même, quand Dieu fait une promesse, et qu’ensuite Il vient accomplir cette promesse, c’est ça l’interprétation de la promesse. Je mettrais n’importe qui au défi de prendre Dieu à Sa Parole, pour voir si effectivement chaque Parole de cette Bible est bien la Vérité. C’est exact. C’est ça, cette soif est là à l’intérieur.
119 Vous dites : “Si j’avais vécu à l’époque de Jésus, j’aurais fait telle et telle chose.”
120 Mais, vous vivez à Son époque. Qu’est-ce que nous en faisons? Qu’est-ce que nous faisons? Vous dites : “Eh bien?” Ce que vous avez fait, c’est peut-être ce que les pharisiens avaient fait. Ils étaient membres de l’église, et ils ont renié Jésus-Christ.
121 Aujourd’hui, nous disons toujours, les gens essaient de dire : “Nous comparons. Nous devons comparer la Bible, page par page, verset par verset.” Ce n’est pas la Vérité. Non, ce n’est pas la Vérité. “Ce mot grec veut dire ceci, et ceci veut dire cela.” Les Grecs eux-mêmes, à l’époque reculée du concile de Nicée, et les écrivains de l’époque, ils avaient des positions différentes. L’un croyait telle chose, que tel helléniste, c’est ceci qu’il avait voulu dire, et l’autre disait que tel autre, c’est ceci qu’il avait voulu dire. Et ils se querellaient Là-dessus. Nous n’avons pas besoin de l’interprétation des hellénistes, ou des mots grecs.
122 “De Le connaître, Lui, c’est la Vie”, la Personne, Christ Lui-même! Ce n’est pas en comparant. C’est une révélation, sur laquelle Dieu a bâti Son Église. Et si nous ne bâtissons pas sur cette même Église... La Bible dit : “Abel, par la foi!” Et la foi, c’est une révélation Divine. Voyez-vous, la foi, c’est une révélation Divine. Bien. Tout Ceci est bâti sur la révélation, et donc, à moins que ce ne vous soit révélé! Jésus a dit : “Je Te rends grâces, Père, de ce que Tu as caché ces choses aux sages de ce monde, et de ce que Tu les as révélées aux enfants, lesquels sont disposés à apprendre.” Voyez-vous, or c’est là-dessus que tout est bâti : vous devez connaître la Personne!
123 Et vous ne pouvez pas satisfaire ça en adhérant à l’église. Vous devez trouver la Personne, Dieu Lui-même, qui est la Parole et–et l’interprétation de Lui-même aujourd’hui, les promesses qu’Il a faites aujourd’hui. Les gens qu’Il allait avoir en ce jour-ci, “l’Église sans tache ni ride”, ça ne veut pas dire une dénomination, ça veut dire les personnes, les individus, sans tache ni ride. “Il y aura deux personnes dans un lit, J’en prendrai une et J’en laisserai une; deux dans un champ, J’en prendrai une et J’en laisserai une.” Mais quand Dieu, cette soif sainte d’être comme Lui, et qu’ensuite vous voyez que Sa Parole est en vous, qu’Elle Se confirme d’Elle-même, que vous êtes le serviteur de Dieu. Tout ce que Dieu dit, vous vous y alignez parfaitement, alors vous suivez le processus qu’il faut, à ce moment-là, pour satisfaire cette soif sainte qui est en vous.
124 Oh, évidemment, les gens vont se moquer de vous, et dire : “Tu as perdu la tête. Tu es devenu fou.” Mais rappelez-vous à quoi ils s’abreuvent, voyez-vous. Regardez où ils en sont. Pouvez-vous vous imaginer un grand puits artésien qui fait jaillir de la belle eau, et quelqu’un est là-bas, à une de ces mares remplie de têtards morts, de crédos et tout, il s’abreuve là, et il vous regarde, d’en bas, et se moque de vous? Oh! Voyons, il ne sait pas, il ne sait pas combien–combien il est désaltérant, ce Ruisseau où vous vivez. C’est tout à fait exact.
125 Nous avons un Dieu vivant. Pas un qui est mort il y a dix-neuf cents ans et qui est resté dans le sépulcre, mais Un qui est ressuscité. Hébreux 13.8 dit : “Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.” Ce même Saint-Esprit qui est descendu au Jour de la Pentecôte, c’est le même Saint-Esprit qui est ici en ce moment. Il est la Portion qui satisfait pleinement, parce qu’Il est la Parole. C’est exact. Le Saint-Esprit a écrit la Parole, c’est Lui qui interprète la Parole. La Bible dit, dans II Pierre, que le Saint-Esprit a écrit la Bible, que “c’est poussés par le Saint-Esprit que des hommes, autrefois, ont écrit la Bible”.
126 Alors, vous ne pouvez pas y arriver, vous ne pouvez pas satisfaire cette soif sainte avec rien de moins que Dieu Lui-même, vivant en vous, dans la Personne du Saint-Esprit. L’instruction, la culture, d’adhérer à des églises, de réciter des crédos, de se joindre à une association, toutes ces choses, c’est très bien, mais elles ne mettront absolument pas fin à ce silence saint, à cette–cette soif sainte, plutôt, elles ne feront pas taire cette soif sainte.
127 J’écoutais Billy Graham, le grand évangéliste, l’autre soir. Et je vous le dis, je prie pour lui plus que jamais, quand je l’ai vu taper sur ces gens, à cause de ce qu’ils avaient fait. Il disait : “Ce groupe d’hommes du clergé qui venaient sur la route, leurs cols tournés vers l’arrière!” Ils sont allés là-bas, où ils n’avaient pas à aller, mettre leur nez dans quelque chose. Mais ils s’en allaient sur la route, [Frère Branham tape des mains.–N.D.É.] en tapant des mains et en tapant du pied. On aurait dit des exaltés, oui, mais impies. Bon, mais, vous voyez, il y a quelque chose à quoi ils–ils croient. Il y a quelque chose qui enflamme leur âme. Il y avait quelque chose qui les enflammait. Une femme était allée là-bas et s’était impliquée dans quelque chose, – ils l’ont prise pour une martyre à cause de ça, – alors qu’elle n’avait pas à s’en mêler. Alors, nous voyons que ces hommes-là [Frère Branham tape des mains.], ils avaient une raison de taper des mains. Ils étaient heureux. Ils faisaient quelque chose.
128 Eh bien, si vous pouvez faire ça, pour un–un principe que vous croyez être juste, ici; et ensuite vous vous retrouverez dans une église où, si quelqu’un tapait des mains ou tapait du pied, les diacres le feraient sortir. Voyez-vous, ils ont dirigé leurs fidèles vers un bourbier sale, de crédos et de dénominations, au lieu de les nourrir de la Parole de Dieu, sainte et bénie, transmise par la Puissance de la résurrection de Jésus-Christ.
129 Voyez-vous, ils essaient de, ils étanchent leur soif, en disant : “Je suis le docteur Untel”, ou en sortant de tel séminaire ou de telle école. Mais ça ne veut rien dire, ça, absolument rien. Mais, vous voyez, ils–ils essaient de se satisfaire, en disant : “Bon, Dieu va m’accepter, parce que je suis un pasteur à Lui. Dieu va m’accepter, parce que je suis le saint Père Untel, ou l’évêque Untel”, ou–ou quelque chose comme ça. Ils essaient de satisfaire leur soif par ça, alors qu’on ne peut pas. “J’ai un doctorat en philosophie, un doctorat en droit, j’ai ma licence en lettres. J’ai ceci.” C’est bien. Mais, à mon avis, tout ce que ça veut dire, c’est que vous êtes encore plus éloigné de Dieu. C’est exact. Encore plus éloigné de Dieu, tout le temps.
130 Vous pouvez seulement connaître Dieu par une expérience. Vous ne pouvez pas recevoir Ceci par des études. C’est par une naissance que vous Le recevez! C’est quelque chose que Dieu vous donne. L’instruction n’a rien à Y voir. L’un des plus grands hommes de la Bible ne pouvait même pas signer son nom : saint Pierre. C’est tout à fait exact, lui et Jean, la Bible dit “qu’ils étaient tous deux des hommes du peuple sans instruction”. Mais Jésus a trouvé bon de lui donner les clés du Royaume, parce qu’il avait soif de Dieu. Amen. Il avait soif de Dieu, de communion. Oui monsieur. Oh! la la!
131 Je pense à Ésaïe, ce jeune homme, oh, un jeune homme très bien, il était là-bas dans le temple, un jour.
132 Ce grand roi, et il était en admiration devant lui, il le considérait comme un des plus grands hommes qui existaient. Et il l’était, un grand homme. Il avait été élevé par de bons parents, une bonne mère et un bon père. Mais, au début, sa politique était sans tache, et il s’était mis en règle avec Dieu. Ésaïe le regardait, et il le considérait comme un grand homme, il prenait exemple sur lui. Mais n’allez jamais prendre exemple sur aucun autre homme que l’Homme Jésus-Christ. Tous les hommes failliront. Au bout d’un moment, il en est arrivé à un point; il était–il était roi, mais il a essayé de prendre la place d’un sacrificateur, il est entré dans le temple, et il a été frappé de la lèpre.
133 Alors, Ésaïe était tout inquiet, il est donc allé au temple et il s’est mis à–à prier; il s’était dit qu’il irait là-bas prier pendant un moment. Or, regardez, cet homme était prophète; mais là dans le temple, il était un jeune homme, qui criait à Dieu, un jour, et une vision est apparue devant lui. Et, à ce moment-là, il a vu des Anges, des Chérubins, qui Se couvraient la face avec Leurs–avec Leurs ailes, et qui Se couvraient les pieds, et qui volaient avec deux ailes. Et Ils allaient et venaient, de long en large, dans le temple, en criant : “Saint, saint, saint est le Seigneur Dieu, le Tout-Puissant.”
134 Et Ésaïe, cette grande soif qu’il avait eue. Il–il avait dû faire des études. Il–il avait probablement une bonne instruction. Il avait une–une conception merveilleuse de ce que Dieu devait être. Il–il avait entendu parler les sacrificateurs. Il avait été dans le temple. Il avait été élevé comme un–un croyant, mais, vous voyez, il ne L’avait encore jamais rencontré face à face. Voyez? Il–il avait le désir de faire ce qui est bien. Il voulait être dans le vrai, mais tout ce qu’il avait, c’était le côté pédagogique. Il En avait reçu le côté théologique.
135 Mais ce jour-là, quand il est allé dans le temple, là, et qu’il a vu ces Chérubins qui battaient des ailes, de long en large, et qu’il a compris que ces Anges faisaient le service devant Dieu. Et ces Anges qui ne savaient même pas ce que c’était que le péché, et, pour se tenir dans la Présence de Dieu, Ils devaient couvrir Leurs saints visages, pour se tenir dans la Présence de Dieu. Alors ce prophète s’est écrié : “Malheur à moi, car je suis un homme dont les lèvres sont impures. Toute ma théologie, ma théologie et les choses que j’ai apprises, toute la conception merveilleuse que j’avais de Dieu, je me retrouve maintenant face à face avec ceci.” Il a dit : “Je suis un homme dont les lèvres sont impures, et j’habite au milieu d’un peuple aux lèvres impures.” Tout leur enseignement des lois et les choses qu’ils avaient faites, tout cela ne l’avait jamais amené au point où il était entré dans la Présence de Dieu, où il avait vu Dieu de ses propres yeux, et les pans de Sa robe, alors qu’Il était assis en Haut, dans les Cieux. Il s’est retrouvé face à face avec la réalité. Et il s’est écrié : “Je suis un homme dont les lèvres sont impures, et j’habite au milieu d’un peuple impur.”
136 Et c’est là que le Chérubin a pris des pincettes, et avec une pierre ardente qui était sur l’autel, Il a touché ces lèvres impures. Et c’est ce qui l’a transformé, du lâche, ou, de l’homme instruit, du docteur, qu’il était, en un prophète à travers lequel la Parole de Dieu pourrait être prononcée. Certainement, pendant qu’il était dans la Présence de Dieu, C’était quelque chose de différent. Cette soif qu’il avait eue, elle avait alors atteint un si haut degré qu’il a été rempli de Cela.
137 Et, je vais vous dire, mon ami, peu m’importe le nombre d’églises auxquelles vous adhérez, combien de noms vous mettez, quelle voie vous suivez, que vous ayez été aspergé, baptisé, ou quoi encore, tant que vous n’aurez pas rencontré cette Personne-là, Jésus-Christ! Voilà, c’est la seule chose qui satisfera réellement.
138 L’émotion ne fera pas l’affaire; vous aurez beau sauter en l’air et crier aussi longtemps que vous voudrez, ou vous aurez beau courir d’un bout à l’autre de la salle et vous aurez beau parler en langues tant que vous voudrez. Et ces choses-là sont saintes et bonnes. Je n’ai rien à dire–je n’ai rien à dire contre elles. Mais tant que vous n’aurez pas rencontré cette Personne, cette Portion qui satisfait pleinement, ce Quelque Chose qui s’empare de chaque fibre de votre être; pas par une émotion, mais par une satisfaction!
139 Il y avait un petit panneau-réclame que je voyais, autrefois, ça disait : “Si vous avez soif, dites Parfay.” Il y avait une boisson, dans le temps, quand j’étais jeune, qui s’appelait Parfay. Je me rappelle, je venais sur la route, oh, j’étais allé pêcher à l’étang, dans ces vieilles eaux stagnantes. J’avais une faim de loup, et j’ai vu un panneau-réclame qui disait : “Si vous avez soif, vous n’avez qu’à dire Parfay.” Je me suis mis à dire : “Parfay, Parfay.” J’avais de plus en plus soif. Et je–je... Voyez-vous, au bout d’un moment, je–je–j’avais tellement soif que je n’arrivais même plus à cracher, tellement–tellement j’avais soif.
140 Eh bien, vous voyez, ça, ça ne fera pas l’affaire. Rien ne la satisfera; peu m’importe, vous aurez beau boire des coca-cola, vous aurez beau boire tout ce que vous voudrez, ces boissons gazeuses sucrées, et tout, mais rien ne satisfera la soif comme un bon ruisseau d’eau froide, rafraîchissante. Voilà ce qui étanchera cette soif. Toutes ces autres choses sont des substituts.
141 Pourquoi est-ce qu’on voudrait accepter un substitut, alors qu’il existe un authentique baptême du Saint-Esprit, qui satisfait chaque fibre et le désir profond qui se trouve dans l’âme humaine? Pour pouvoir ensuite affronter la mort, comme le grand apôtre Paul, qui a dit : “Ô mort, où est ton aiguillon? Et, sépulcre, où est ta victoire? Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ!” Voilà l’expérience, frère, voilà ce qui satisfait ce silence saint qui... ou, cette soif sainte qui se trouve en vous. Elle la satisfait. Vous n’avez plus besoin de vous en occuper. Oui, Cela purifie les lèvres.
142 Et il y a aussi de ces gens qui vivent seulement d’émotion, de... Certaines personnes disent : “Eh bien, on a beaucoup de ça dans notre mouvement pentecôtiste.” Et ils vont aller là, ce qui est bien, ils vont taper des mains [Frère Branham tape des mains.–N.D.É.], et jouer de la musique. La musique s’arrête : “Shh, wououhh”, un seau d’eau, tout est noyé, voyez-vous. Or c’est ce que nous–nous faisons, c’est ce que nous–nous avons pris l’habitude de faire. Nous avons, nous–nous... C’est tout simplement devenu une de nos coutumes.
143 Je vais vous dire quelque chose. Quand vous adorez Dieu, en Esprit et en Vérité; quand ça devient une coutume pour vous de le faire, parce que vous pensez que c’est ce que vous devriez faire, parce que vous pensez que, si vous ne criez pas, que vous ne sautez pas en l’air, ou que vous ne dansez pas au rythme de la musique, votre voisin va penser que vous êtes rétrograde, vous vous abreuvez à un ruisseau d’eau stagnante. Exact!
144 Tant qu’Il ne remplira pas chaque fibre, que le Saint-Esprit Lui-même ne bouillonnera pas en vous; peu m’importe que la musique joue ou pas, qu’ils soient en train de jouer Mon Dieu, plus près de Toi, ou n’importe quoi, le Saint-Esprit est toujours là à faire sonner les cloches de la gloire dans votre coeur. Voilà ce qui satisfait. Voilà la Portion de Dieu qui satisfait pleinement. À moins d’avoir Cela, vous êtes fichu.
145 Vous aurez beau parler la langue des hommes et des Anges, vous aurez beau distribuer tous vos biens pour la nourriture des pauvres, vous aurez beau prophétiser, et vous aurez beau avoir la connaissance, comprendre tous les mystères et toutes ces choses, et malgré tout ça, vous ne serez rien (I Corinthiens 13), tant que vous n’aurez pas reçu ce Quelque Chose qui satisfait pleinement, qui seul peut étancher cette soif.
146 “Mon âme a soif du Dieu vivant, comme une biche soupire après un courant d’eau. Si je ne Le trouve pas, je périrai.” Quand vous serez affamé de Dieu comme ça, alors il se passera quelque chose. Le Saint-Esprit est là pour vous conduire vers ces grandes sources de Dieu. Oui monsieur.
147 Or, c’est une bonne chose d’adorer en Esprit. C’est vrai. Mais parfois on a l’Esprit sans avoir la Vérité. Dans Jean 4, il est dit : “Nous adorons Dieu en Esprit et en Vérité.” Et Jésus est la Vérité. C’est tout à fait exact. Et Il est la Parole.
148 Les ruisseaux que Dieu vous a envoyés pour vous satisfaire, dans le naturel, Satan les a tous pollués. Il a injecté de la drogue, du poison, dans tous ceux où il a pu s’infiltrer. C’est exact. Il s’est emparé de ce grand ruisseau : l’église.
149 Ça, c’était le moyen que Dieu avait choisi. Jésus a dit : “Sur cette Pierre Je bâtirai Mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre Elle.”
150 Or, il y a différents points de vue là-dessus. Les romains, les catholiques, ils disent “qu’Il L’a bâtie sur Pierre”. Voyez-vous, si c’est le cas, Pierre a rétrogradé, quelques jours plus tard. Alors, Elle n’a pas été, Elle n’a certainement pas été bâtie sur Pierre, Petra, la petite pierre. Les protestants, eux, ils disent “qu’Il L’a bâtie sur Lui-même, Jésus-Christ”. Ce n’est pas pour être différent, mais je ne suis pas d’accord avec eux. Il ne L’a bâtie, ni sur l’un, ni sur l’autre.
151 Il L’a bâtie sur la révélation de Qui Il était. Il a dit : “Tu es heureux, Simon, fils de Jonas, ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé ceci, mais c’est Mon Père qui est dans les Cieux qui te l’a révélé.” Ce n’est pas par la connaissance! Tu ne L’as pas appris dans des livres. Tu ne L’as pas appris en adhérant à une église. Tu ne L’as pas appris en poussant des cris. Tu... Mais c’est le Saint-Esprit Lui-même qui t’a présenté la Personne de Jésus-Christ, alors “sur cette Pierre Je bâtirai Mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre Elle”. Cette soif sainte a été satisfaite dans la Personne de Jésus-Christ. Voilà. C’est ce que nous voulons chercher, satisfaire cette soif par Cela. Bien, nous voyons que nous devons...
152 La connaissance? Oh! la la! La connaissance est une chose formidable, nous nous en remplissons, et aujourd’hui nous en sommes remplis. Mais, vous voyez, la connaissance... comme je le disais l’autre jour, je parlais de ce sujet, de la connaissance. Il y avait un homme dehors, il parlait à un de mes amis qui était là; il disait : “Si un homme ne croit pas à l’instruction, pourquoi est-ce qu’il lit la Bible?” Ils...
153 Je me suis dit : “Eh bien, s’ils n’ont pas saisi ce que le Seigneur Jésus a dit, comment vont-ils saisir une andouille comme moi, ce que moi, je dis?” Ils ne L’ont même pas compris, Lui qui parlait si clairement.
154 Un jour, là, Il a dit : “Si vous ne mangez le corps, le Sang, si vous ne buvez le Sang et ne mangez le corps du Fils de l’homme, vous n’avez pas la Vie en vous-mêmes.” Il ne L’a pas expliqué. Il a continué Son chemin. C’est exact. Voyez?
155 “Eh bien,” ils ont dit, “cet Homme est un cannibale. Nous voulons qu’Il... Manger Son corps, boire Son Sang; C’est un vampire. Voyez? Il veut faire de nous des vampires.” Voyez? Les intellectuels!
156 Mais Il a dit : “Mes brebis entendent Ma Voix.” Voyez-vous, Ce serait donné aux Élus, ceux que Dieu avait élus par Sa prescience. “Et ceux que le Père... Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire. Et tous ceux que le Père M’a donnés, ils viendront, ils comprendront.”
157 Ces disciples ne pouvaient pas comprendre, mais ils Le croyaient. Voyez? C’est exact. Si vous Le croyez! Il y a beaucoup de choses que je ne comprends pas. Je Le crois quand même, voyez-vous, parce que Dieu a dit qu’il En était ainsi.
158 La connaissance. Vous savez, l’évangile de Satan, c’est la connaissance. Le saviez-vous? Il l’a prêché à Ève dans le jardin d’Éden, et elle a été séduite par son évangile de connaissance. Donc, et il a pollué toute la race humaine avec ça. C’est tout à fait exact. Ils ont installé des programmes pédagogiques dans l’église. Ils sont très bien là-bas, mais pas dans la Parole de Dieu. Non monsieur. On ne connaît pas Dieu par l’instruction. On ne connaît pas Dieu par–par–par un apprentissage, d’apprendre les mathématiques et de prononcer des grands mots.
159 Paul, c’était un homme intelligent. Mais quand il est venu à Christ et qu’il a reçu le Saint-Esprit, alors il est allé chez les Corinthiens, et il a dit : “Je ne suis jamais venu chez vous avec les discours persuasifs de la sagesse humaine”, et pourtant, il aurait pu le faire. Il a dit : “Je suis venu chez vous avec la puissance et les manifestations du Saint-Esprit, afin que votre foi soit en Dieu, et non dans la sagesse d’un homme.”
160 Or, parfois, en établissant les programmes de l’église, ils demandent aussi de leur–leur pasteur... Quand l’église se prépare à élire le pasteur, ils disent : “Bon, eh bien, ce pasteur-ci, il a deux diplômes universitaires. Il a quatre ans de psychologie. Il a étudié ceci, cela et autre chose.” Et ils vont élire ce genre d’homme là (pourquoi?), au lieu d’un pasteur qui croit que la Parole de Dieu est inspirée et qu’Elle est Dieu, et qui prêchera la Parole sans se préoccuper de ce que les gens En pensent.
161 Dieu a dit à Ézéchiel, vous savez, Il a dit : “Prêche-Le, qu’ils Y croient ou non, prêche-Le quand même.” Voyez? Exact. Qu’ils L’acceptent ou non, ce n’est pas ça qui compte. Ils n’ont pas accepté Jésus. Ça ne L’a pas arrêté, Il a continué à prêcher quand même. Voyez?
162 Au lieu d’un vrai pasteur, qui prêchera vraiment la Parole et qui croira en Dieu, ils–ils–ils cherchent à implanter le–l’intellect, l’homme qui a la meilleure instruction, l’homme qui pourra se tenir derrière la chaire sans prendre plus d’une quinzaine de minutes, pour que les gens puissent rentrer bien vite à la maison et aller quelque... faire autre chose, et que Ricky puisse partir avec son bolide, et qu’eux puissent aller à leurs soirées où on danse le twist, et tout. Et c’est, oh, c’est–c’est simplement, ce n’est–ce n’est rien d’autre que de la pollution par l’instruction, c’est hybride. C’est exact. Voilà exactement ce que c’est. C’est exact. Mais qu’est-ce qu’il y a? Ça satisfait le goût qu’ils ont, voyez-vous, ça satisfait le goût d’un membre d’église mondain.
Ça ne satisfait pas le goût d’un saint. Lui, il va opter pour la Parole, chaque fois!
163 Mais ils disent : “Oh, eh bien, ces gens, bon, ils sont un peu détraqués. Voyez-vous, vraiment ils ne–ils ne saisissent pas. Ils–ils essaient de vivre dans une époque révolue.”
164 N’est-ce pas étrange? Je viens ici, dans l’Ouest, et je trouve tout le monde qui essaie de vivre dans une époque révolue, ils veulent toujours avoir les jours des cow-boys de l’ancien temps. Et je vais dans le Kentucky, là, les jours des montagnards de l’ancien temps, ils veulent copier ça, ils ont des émissions là-dessus. Mais pour ce qui est de la Religion de l’ancien temps, Ça, ils n’En veulent pas.
165 L’ancien temps? Je suis venu ici au moment où il y avait un rodéo, j’y ai vu une femme corpulente, là, avec du truc vert sous les yeux, les cheveux coupés courts, une cigarette au bec. Mais, s’ils avaient vu ça dans le temps, ils auraient pensé qu’elle était en train de se décomposer quelque part. Ils–ils–ils–ils l’auraient internée. Et si votre mère était sortie, habillée comme vous et votre fille vous habillez aujourd’hui, qu’est-ce qui se serait passé? Ils l’auraient fait enfermer dans un hôpital psychiatrique. C’est sûr, elle était sortie sans avoir mis sa jupe. Eh bien, souvenez-vous, là, c’est la même chose aujourd’hui.
166 Les hommes sont en train de pourrir debout. S’ils arrivent à l’âge mûr entre l’âge de vingt et vingt-cinq ans, les cellules de leur cerveau aussi, elles pourrissent. Ils n’ont... Les gens en sont arrivés au point, ils n’ont pas assez de bon sens, ils ne savent pas ce que c’est que la décence. Ils ne savent pas distinguer le bien et le mal. Et, oh, mais leur programme pédagogique, ils...
167 Saviez-vous que l’instruction, je peux vous le prouver, c’est du diable? Je ne parle pas de lire et écrire, mais d’installer leur instruction dans votre église.
168 Sur quoi se fonde le communisme? Sur la science, sur l’instruction, voilà leur dieu. Satan, voyez-vous, c’est ce qu’il a présenté à Ève. Et c’est encore à ça qu’ils s’en tiennent.
169 Maintenant c’est ce qui s’est implanté dans nos églises, c’est ce qui s’est implanté chez les baptistes, les méthodistes, les presbytériens, les pentecôtistes et tout. De l’instruction, quelque chose d’intellectuel, un grand ci et ça, et quelque chose du genre, ce qui ne fait qu’éloigner encore plus la personne de Dieu. C’est mal. Oui monsieur. Donc, nous voyons qu’ils, que ça satisfait leur désir. Quand une–quand une–une assemblée élit quelque chose comme ça, on peut voir ainsi ce qu’il y a dans l’esprit de cette assemblée, quel est leur désir, de quoi ils ont soif. Ce qu’ils veulent, c’est dire : “Notre pasteur a les idées larges. Lui, les bains mixtes, ça ne le dérange pas, il nous accompagne.”
170 Une jeune fille a dit à ma Sara, l’autre jour. Son pasteur était allé en Afrique; et, le soir de son retour, elle a enlevé ses vêtements, elle a enfilé un petit collant, et elle a dansé le tutsi pour lui, pour le divertir, vu qu’il était allé en Afrique. Les Tutsis, c’est une tribu de là-bas, vous savez. Ah, moi, j’aimerais voir une des miennes, des jeunes filles de mon assemblée, essayer de faire une chose pareille, le tutsi!
171 Voyez-vous, tout cela montre bien ce qu’il en est! Et un pasteur qui resterait assis à regarder quelqu’un de son assemblée, une jeune fille de seize ou dix-huit ans s’exhiber, dévêtue comme ça, et qui la laisserait s’en tirer comme ça, ça montre qu’il est lui-même issu d’un bourbier; un homme de Dieu qui ferait une chose pareille. Certainement.
172 C’est catégorique, ça, mais je suis conscient que je suis aussi en train de prêcher d’un bout à l’autre du pays. Mais vous aussi, vous le savez, frère, soeur; je vous le dis, c’est la Vérité.
173 Un vautour veut avoir des choses mortes. C’est exact. Et ça, c’est mort! C’est tout à fait exact. Ça montre de façon très claire, ça montre vraiment de façon très claire, là, quel est leur chef, et leur tour de contrôle, ce qu’elle leur transmet, voyez-vous, ce qu’il y a dans leur âme. Leur âme soupire après ces choses-là.
174 Leur âme soupire d’avoir une église très intellectuelle, où les gens s’habillent très bien, et le pasteur prend quinze ou vingt minutes. Et si on dépasse ça, ils vont le faire passer devant le conseil des diacres. Et il ne doit rien dire au sujet du péché. Il ne doit rien dire au sujet du port des shorts, et il ne se permettrait pas de dire quoi que ce soit au sujet des gens qui font ceci, cela ou autre chose. Il ne doit absolument rien dire là-dessus. Sinon, le conseil va le faire mettre à la porte. Vous voyez ce qu’il y a? C’est ça leur filtre d’un homme qui réfléchit.
175 La Bible dit, dans I Jean 2.15 : “Si vous aimez le système de ce monde, ou les choses de ce monde, c’est parce que l’amour de Dieu n’est même pas en vous.”
176 Et maintenant, que dire de toutes ces choses déplacées qu’ils font aujourd’hui, au nom de l’église : les quadrilles dans l’église, le loto, le bingo, les petites fêtes, les adolescents qui dansent le rock-and-roll, le twist, et toutes ces choses! Regardez, ce Elvis Presley, un démon sur deux pieds! Pat Boone, Ricky Nelson, la plus grande entrave que cette nation ait jamais eue! C’est exact. Ils disent : “Oh, ils sont très religieux, ils ont chanté des chants chrétiens.” On ne devrait pas, l’église ne devrait même pas permettre une chose pareille! De ces gars-là, il y en a qui vont là-bas, et–et, ce soir ils sont dans une–une boîte de nuit, ici, à danser et à jouer de la musique, et tout; le lendemain soir ils viennent à l’autel verser des larmes, et le soir d’après ils jouent de la musique sur l’estrade. Oh, bonté, miséricorde! Mais, voyons donc, jusqu’où la souillure peut-elle, jusqu’où la souillure pourrait-elle aller? Oui monsieur. Qu’il fasse d’abord ses preuves comme homme de Dieu, pas toutes ces choses, juste parce qu’il sait racler une vieille guitare, ou quelque chose.
177 Par le désir que vous avez, vous pouvez savoir qui est sur le trône de votre coeur. Par ce que vous aimez, c’est ce qui vous fait savoir. Vous–vous dites : “Eh bien, moi, je trouve que ces choses-là, c’est bien, Frère Branham.” Eh bien, souvenez-vous de ceci, là : vous le savez, ce qu’il y a dans votre coeur. Oui monsieur. Ce qui nourrit votre âme, ce dont votre âme a soif, ces choses dont vous voyez qu’elle se satisfait; si ce n’est pas cette Parole, alors il y a quelque chose qui ne va pas, parce que le Saint-Esprit vit uniquement de la Parole. Voyez?
178 Je voudrais vous montrer un autre grand danger, juste avant de terminer, – si vous n’êtes–si vous n’êtes coupables d’aucune des choses que j’ai mentionnées, – et il s’agit du danger de négliger une soif. Voyez? Vous dites : “J’ai une soif sainte. Mais, je–je ne suis pas coupable, Frère Branham, de m’être contenté d’adhérer à une église, et de choses semblables.” Mais, voyez-vous, de négliger une soif! Si vous négligez de satisfaire une soif d’eau ou de nourriture, vous mourrez. Et si vous négligez cette soif de Dieu qui est en vous, vous mourrez spirituellement.
179 Vous réclamez des réveils, vous attendez que votre église fasse un réveil. Eh bien, ça, ce n’est pas–ce n’est pas le réveil pour vous. Le réveil devrait commencer directement en vous, quand vous vous mettez à avoir soif de Dieu. Il se pourrait que pas un seul autre membre de l’église ne désire ce réveil-là. S’il se manifeste en vous, il se manifestera ailleurs. Voyez? Mais, voyez-vous, vous négligez cette soif.
180 Négligez de traire la vache, quand la vache est... que le pis est gonflé de lait; si vous laissez la vache dans cet état-là, vous aurez bientôt une vache sèche. C’est tout à fait exact. Si vous négligez de boire de l’eau, en disant : “Je ne vais plus boire, un point c’est tout”, vous mourrez. Si vous négligez de vous alimenter, vous mourrez.
181 De même, si vous négligez de donner au Saint-Esprit la Parole de Dieu, vous mourrez.
182 Vous les Chrétiens, vous les baptistes, méthodistes, presbytériens, pentecôtistes, des Assemblées de Dieu, unitaires, binitaires, trinitaires, quoi que vous soyez, voyez-vous, peu m’importe, ça ne compte pas du tout pour moi, et je ne pense pas que ça compte pour Dieu. Voyez-vous, vous êtes un individu, vous formez un tout. Vous n’irez jamais au Ciel à titre d’église, de–de–de dénomination. Vous irez au Ciel à titre individuel, c’est vous et Dieu. C’est tout. Peu m’importe de quelle église vous faites partie.
183 Et si vous négligez de lire la Bible et de croire la Bible, et de nourrir le Saint-Esprit de Cela, vous mourrez. Jésus a dit, dans Jean 4.3, le passage de l’Écriture que j’ai juste... Jésus a dit que “l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole”, pas rien que d’une partie de la Parole.
184 Nous en prenons un peu ici. J’appelle ça un auto-stoppeur de la Bible. Ils disent : “Eh bien, je crois Ceci, mais maintenant, passons donc plus loin, ici, voyez-vous.” Voyez?
185 Vous devez La prendre, Parole sur Parole. Jésus a dit : “L’homme vivra de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.” Le saviez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
186 Et, vous savez, nous avons fait–nous avons fait du jour où nous vivons, nous–nous avons fait de ce jour... une–une–une perversion religieuse.
187 Ma fille m’a fait venir, il n’y a pas longtemps, et elle me disait : “Papa,” de l’autre côté de la maison, elle disait, “viens, nous allons regarder une émission religieuse.” C’était des chants, ils chantaient des cantiques, et il y avait une espèce de petit Ricky qui récitait ça, sur l’estrade. Si j’ai jamais vu une pratique sacrilège, ça, c’en était bien une! Ces gars-là sur l’estrade, et ces gens, ça ressemblait plus à un spectacle de variétés. Ils étaient censés représenter une tribu indienne, et ils faisaient n’importe quoi, et–et ils sautaient en l’air et se boxaient les uns les autres.
188 Où, qu’est devenue la sincérité, où sont passés ces cantiques à l’ancienne mode que nous chantions autrefois, alors que nous nous réjouissions dans l’Esprit de Dieu, et que les larmes nous coulaient sur les joues? Maintenant nous essayons de retenir notre souffle jusqu’à ce que nous n’ayons plus assez d’air, jusqu’à en avoir le visage cyanosé, pour essayer de prouver que nous sommes quelqu’un comme chanteur. Voyez-vous, nous avons copié le style de Hollywood, et toutes ces émissions que nous voyons, qui présentent ces cantiques intellectuels et ces voix exercées. Je–j’aime entendre de beaux chants; j’aime entendre de bons chants pentecôtistes à l’ancienne mode, qui viennent du fond du coeur. Mais je déteste entendre ces grincements, ce qu’ils appellent chanter, aujourd’hui. C’est exact. Je trouve qu’il n’y a rien de plus ridicule. C’est de la perversion. C’est exact.
189 J’aime voir un homme qui est un homme. Je déteste en voir un qui sort avec les sous-vêtements de sa femme, et ça remonte sur le côté; avec–avec un rouleau qui lui descend sur le front, ici, et deux boudins qui pendent, comme une frange, coupés ici devant. Ça, je–je ne pourrais pas appeler ça un homme. Il ne sait pas à quel côté de la race il appartient. Voyez? C’est exact. Vous voyez, la femme, regardez, la femme essaie de se couper les... de s’arranger les cheveux comme un homme; l’homme, lui, il essaie de s’arranger les cheveux avec une frange comme la femme. L’homme porte les sous-vêtements de sa femme; elle porte ses bleus de travail. Voyez-vous, tout simplement une perversion, ils font vice versa.
190 Et c’est pareil pour la nation, pour les gens, pour les églises, pour tout. Ô Dieu! Où est la fin de tout ça? La Venue du Seigneur Jésus-Christ, voilà ce qui va y mettre fin.
191 Donc, si vous négligez de nourrir le Saint-Esprit de la Parole de Dieu! Jésus a dit : “Toute Parole sera donnée par le Saint-Esprit.” Et maintenant, écoutez. Si vous essayez de Le nourrir de quelque chose qui ne convient pas, si C’est l’authentique Saint-Esprit qui est en vous, Il reconnaîtra la différence. Maintenant, souvenez-vous, la Parole de Dieu, voilà de quoi se nourrit le Saint-Esprit. Il ne se nourrit pas d’enthousiasme. Il ne se nourrit pas d’instruction. Il ne se nourrit pas d’une présence à l’église. Il ne se nourrit pas de théologie. Il y a une énorme différence entre quelque chose qui est inspiré, et un point de vue théologique.
192 Tous ces théologiens, du temps de Jésus, oh, ils avaient tout ça bien aligné, une parole après l’autre, une page après l’autre : le Messie devait forcément venir de telle façon! Ça donnait exactement ça. Et tous, sans exception, ils ont passé à côté. Vous savez ce que Jésus a dit, quand Il est venu, Il a dit : “Vous avez pour père le diable, et vous ferez ses oeuvres.”
193 Ça ne leur avait pas été révélé, à eux, la vraie Parole, ce que c’était. Voyez-vous, ils ont manqué les petits tournants, comme les gens les manquent aujourd’hui. “Pourvu que vous apparteniez à ceci, et que vous apparteniez à ceci, tout ira bien.” N’allez pas croire ça. Vous devez appartenir à Christ. Et, s’il y a quelque chose en vous, qui a faim de Christ!
194 Souvenez-vous bien de ceci, quand vous étiez dans les reins de votre père, vous étiez avec lui à ce moment-là. Mais votre père ne vous connaissait pas à ce moment-là, et vous ne connaissiez pas votre père. Il vous a fallu venir, naître. Dieu a pourvu d’un moyen, par votre mère, qui a servi de–de couche de semis, et c’est là que c’est arrivé. Et alors, vous êtes devenu un homme ou une femme, selon le cas, et alors vous avez reconnu votre père, et votre père a pu être en communion avec vous.
195 Maintenant, souvenez-vous, si vous avez la Vie Éternelle, votre Vie était en Dieu au commencement. Et la Vie, Dieu est la Parole. Et alors, quand la Parole a été faite chair en Jésus-Christ, Dieu qui est descendu habiter dans Son propre corps, qui s’est fait Lui-même Fils de Dieu. Quand Dieu est descendu habiter là, vous étiez en Lui quand Il a été crucifié. Et vous avez été crucifiés avec Lui, et vous êtes morts avec Lui au Calvaire. Vous avez été mis au tombeau avec Lui, sur la montagne. Et vous êtes ressuscités avec Lui, le matin de Pâques. Et maintenant, vous êtes assis ensemble dans les lieux Célestes, en Lui, maintenant vous êtes en communion avec Lui. Voyez?
196 Dieu Lui-même est devenu l’un de nous. “Personne n’a jamais vu le Père, le Fils unique du (Fils) Père est Celui qui L’a fait connaître.” C’est-à-dire que Dieu est devenu homme, pour pouvoir être en communion avec vous, comme homme. Voyez? Et maintenant vous êtes–vous êtes chair, et Il est chair. Dieu est fait chair parmi nous, dans la Personne de Son Fils, Jésus-Christ. Et en Lui il y avait Dieu. Il était Dieu, rien de moins que Dieu. Il était Dieu. “Dieu manifesté dans le Fils, Jésus-Christ”, ce qui faisait de Lui Emmanuel, ce que le prophète avait dit qu’Il serait.
197 Alors, voyez-vous, donc, vous deviez exister avant même que le monde ait été formé, votre nom a été mis dans le Livre de Vie de l’Agneau. Et alors, qu’est-ce que vous pouvez manger? Le Saint-Esprit vit de la Parole de Dieu. Et maintenant, dans Apocalypse 22.19, la Bible dit : “Quiconque retranchera une seule Parole de Ceci, ou Y ajoutera une seule parole, sa part sera retranchée du Livre de Vie.” En voyez-vous la profondeur? Vous ne pouvez pas, le Saint-Esprit ne vivra pas des choses du monde.
198 Comme une colombe et un corbeau. Un corbeau, c’est un grand hypocrite. Un corbeau, ce personnage-là peut venir ici, manger du blé toute la journée; et aller là-bas, descendre là, sur une vieille charogne, et en manger aussi. Il peut s’installer dans un champ, et il peut manger avec la colombe, du blé, et aller ensuite manger de la charogne.
199 Mais la colombe, elle, elle peut manger du blé toute la journée, mais elle ne peut pas manger de la charogne, parce que c’est une colombe. Et la colombe n’a pas de bile. Une seule bouchée de cette charogne tuerait la colombe. Voyez-vous, elle n’a pas de bile. Et c’est comme ça, aucune amertume.
200 Et c’est comme ça qu’est un Chrétien authentique, un vrai. Ils ne veulent pas des choses du monde. Ils se nourrissent seulement de la Parole de Dieu, et uniquement de Cela : ce qui est propre, le Filtre d’un homme qui réfléchit. Voyez-vous, ils ont été passés à travers Cela, et uniquement Cela. Les choses mortes du monde, ils trouvent qu’elles sentent mauvais.
201 Regardez ce vieux corbeau, à l’époque de la destruction antédiluvienne, il volait d’un cadavre à l’autre, il mangeait de ces vieilles charognes, il n’est pas retourné dans l’arche. Mais la colombe n’a pu trouver aucun lieu pour poser ses pieds, voyez-vous, elle est retournée dans l’arche, où on lui donnait du grain. Et c’est comme ça que nous faisons, nous vivons de la Parole de Dieu.
202 Dans le Psaume 42. David a dû écrire ce Psaume-là, le Psaume 42, au moment où il était en fuite, quand il a dit : “Mon âme a soif de Toi, comme une biche soupire après un courant d’eau.” Regardez, il s’est écrié. David était en fuite. Il avait été... L’huile d’onction était sur lui, il savait qu’il allait être roi. Le prophète l’avait oint pour roi. Maintenant remarquez, et il était là, une poignée de soldats avec lui, des gens des nations et tout, au sommet de la montagne. Alors que sa propre ville qu’il aimait, à cause de leur péché, les Philistins étaient postés tout autour d’eux. Et, David, en cette journée chaude, c’est là qu’il a dû écrire ce Psaume : “Comme une biche soupire après un courant d’eau.”
203 Remarquez David, dans cet état-là. Il a regardé en bas, il a regardé sa ville qu’il aimait. Et il s’est rappelé l’époque où, jeune garçon, il amenait ses brebis là, près d’un certain étang. Là-bas, c’était une région où il y avait de l’eau en grande abondance et où il y avait du pain en abondance. En fait, Bethléhem signifie “la maison du Pain de Dieu”. Et donc, alors que David se rappelait qu’il passait par là et qu’il buvait de cette bonne eau fraîche, et maintenant il était là-haut, en fuite, loin de son peuple. Il n’avait pas d’endroit où aller, et il devait y avoir un cri dans son âme pour cette bonne eau fraîche.
204 Il avait avec lui quelques serviteurs, là, oh, le moindre de ses désirs était pour eux un ordre. Et, ils, trois d’entre eux se sont battus pour se frayer un chemin dans cette ligne de Philistins; un trajet de quinze milles [vingt-quatre kilomètres], sept milles [onze kilomètres], ou quelque chose comme ça, aller, et retour; ils se sont frayé un chemin en fauchant tout sur leur passage, et ils lui ont rapporté de cette eau. Mais la soif de l’âme...
205 Son corps, David était là-haut, probablement réduit à boire dans tout ce qui lui tombait sous la main, des vieilles peaux de bouc et tout, remplies de vieille eau chaude, en cette journée chaude. Il s’est dit : “Si je pouvais seulement m’allonger et étancher cette soif que j’ai! Si je pouvais seulement aller là-bas, à Bethléhem, m’allonger près de cette source, et y boire!”
206 Et quand ils sont allés là-bas chercher cette eau, et qu’ils l’ont rapportée, son âme avait une soif tellement plus grande, non pas de Bethléhem, mais de ce qui venait de Jérusalem; son âme avait soif. Alors, il a offert cette eau en sacrifice, il a dit : “Je ne voudrais même pas en boire.” Il l’a répandue par terre. Voyez-vous, son âme avait plus soif de Dieu, que de se satisfaire en étanchant, par de la bonne... la soif de son corps, par de la bonne eau fraîche. Il l’a répandue par terre.
207 Voyez-vous, la Maison de Dieu, les eaux qui rafraîchissent l’âme, celles de la Jérusalem d’en haut! Jésus a dit, dans Jean 6.33 : “Je suis le Pain de Vie. Je suis le Pain de Vie.” Bethléhem, “maison de Dieu”, notre église, l’église terrestre de Dieu, l’église qui est ici sur terre. Nous aimons aller à l’église, ici sur terre, mais la Jérusalem d’en haut est plus grande, qui est Dieu. La Jérusalem d’en haut, qui est Dieu! L’âme a une soif plus grande d’être là-bas avec Lui, que de se satisfaire simplement en adhérant à une église quelque part. Voyez-vous, d’adhérer à une église ne satisfait pas cette soif-là. David l’a prouvé ici, les eaux qui venaient directement de la maison de Dieu, voyez-vous, il les a répandues par terre; pour s’attirer les bonnes grâces de Dieu, recevoir de Lui de la bonne eau fraîche. Même... Elle est plus grande que la soif qui est en vous, cette soif de Dieu, la soif de l’âme.
208 Remarquez, Jérusalem, le mot. “Jérusalem est d’en haut”, nous dit la Bible, “dont nous sommes... c’est notre Mère à tous.” Et Christ est notre Mère. Nous comprenons bien cela, Dieu est notre Mère, puisque nous sommes nés de Lui. Ce mot veut simplement dire “paix”, Jérusalem, Shalom. Ou, Shalom, qui veut dire “paix”, Jéru-shalom, voyez-vous, ce qui veut dire “paix”.
209 Toute âme devrait avoir une soif plus grande des eaux de la Vie, que de dire qu’on fait partie d’une église; la soif de l’âme ne pourra pas être satisfaite, la vraie, la véritable soif. Elle pourra être pervertie. Vous pouvez penser que tout va bien pour vous quand vous adhérez à l’église, mais ce n’est pas ça qu’il faut. Ça ne satisfera pas l’authentique soif sainte de Dieu. Ça ne la satisfera tout simplement pas. Ça, simplement... Ce n’est simplement pas là que ça se trouve.
210 Maintenant, David a dit, dans le Psaume 42.7, ici : “Quand la profondeur appelle la Profondeur, au bruit de Ton ondée”, l’appel de l’âme.
211 Regardez, j’ai souvent apporté ceci à titre d’exemple. S’il y a une nageoire sur le dos d’un poisson, forcément qu’elle a dû être posée là pour qu’il puisse nager avec. Il en a besoin. Or, qu’est-ce qui se passerait s’il disait : “Moi, je vais être un poisson différent. Je vais être un poisson intelligent, instruit. Oui, je–je vais juste... je vais croire de la vraie théologie! Je crois que je n’ai pas besoin d’avoir cette nageoire!” Il n’irait pas très loin dans l’eau, n’est-ce pas? C’est tout à fait exact.
212 Qu’est-ce qui se passerait si un arbre disait : “Bon, je sais qu’il fallait d’abord qu’il y ait une terre, pour que je puisse y pousser. C’est exact. Je suis censé pousser ici. Mais je vais être un arbre différent, je veux qu’ils me mettent juste ici, en plein milieu de la rue, pour qu’on puisse me remarquer”? Voyez-vous, il ne vivrait pas très longtemps. Voyez? C’est exact.
213 “Quand la profondeur appelle la Profondeur.” Il faut plus que d’adhérer à une église. Il faut plus que de serrer la main au prédicateur. Il faut plus que de mener une bonne vie honnête. Il faut quelque chose qui va vous satisfaire à l’intérieur, quelque chose qui vient de Dieu et qui se répand dans l’âme. “La profondeur qui appelle la Profondeur, au bruit de Tes ondées, ô Éternel. La profondeur qui appelle la Profondeur!”
214 Quel genre de soif pensons-nous avoir en nous ce soir? Nous, les pentecôtistes, où en sommes-nous? Quel genre de soif se trouve en nous? Quel genre de soif se trouve en moi? Quel genre de soif se trouve en vous? Ne cherchez pas à faire taire cette soif sainte de Dieu.
215 Il y a des années, à l’époque où il y avait de l’or, ici dans les montagnes. J’ai lu une histoire, il y a bien des années, je ne l’ai jamais oubliée. Elle disait qu’un–qu’un prospecteur était allé quelque part, de l’autre côté des montagnes, ici, il prospectait pour trouver de l’or, et il en a découvert un gisement important. Et en rentrant, il réfléchissait : quand il serait rentré en ville, ce qu’il allait devenir, ce serait la fin de tous ses problèmes. Et–et il–il essayait de–de se dire : “Demain, je serai rentré, et je...” Il ne lui restait qu’un jour de route, et il serait rentré en ville, et il allait avoir cet or. Il en avait des grands sacs tout pleins.
216 Il avait un chien qui l’accompagnait. Bon, je ne compare pas le chien au Saint-Esprit, mais c’est pour illustrer. Mais ce chien...
217 Pendant la nuit, ce prospecteur était étendu sur son lit, et–et il s’est mis à penser : “Bon, demain je–je vais apporter tout mon or là-bas, et je vais devenir ce que j’ai toujours voulu être. Je–je–j’ai toujours voulu être un homme riche. Je–je voulais avoir des belles choses, et tout.”
218 Et–et là, le chien s’est mis à aboyer, et, parce qu’un ennemi approchait. Il–il est sorti, et il a dit : “Tais-toi!” Alors le chien s’est calmé. Il venait à peine de se remettre au lit, il allait s’endormir, et le chien a repris de plus belle, il bondissait au bout de sa chaîne. Il est retourné à la porte, il a dit : “Tais-toi! Sache que demain je suis un homme riche, tu vois”, et c’étaient là ses grands rêves. Mais le chien a recommencé à aboyer.
219 Finalement, complètement démonté, il est allé chercher son fusil de chasse, et il a abattu le chien, il l’a tué. Il a dit : “Je n’aurai plus besoin de toi, de toute manière. Demain je suis un homme riche. Je serai un homme riche, demain.”
220 Il a posé son fusil dans le coin, et le dos tourné à la porte, il s’est endormi. Et l’homme qui le suivait depuis plusieurs jours, s’est glissé à l’intérieur et l’a tué. Il n’a pas été un homme riche, voyez-vous, il a fait taire ce signal avertisseur qui essayait de lui indiquer que sa vie était en jeu.
221 Et, frère, soeur, vous n’arriverez jamais à... N’essayez jamais de faire taire cet appel saint qu’il y a dans votre coeur, voyez-vous, en adhérant à une église, en récitant un credo, en faisant partie d’une certaine organisation.
222 Il n’y a qu’une chose qui puisse le satisfaire, c’est la Personne de Jésus-Christ. “Comme une biche soupire après un courant d’eau, ainsi mon âme a soif de Toi, ô Dieu. Mon âme a soif du Dieu vivant!” Voyez-vous, il y a quelque chose en vous qui veut voir Dieu en action. Votre âme a soif de Cela. Ne vous contentez de rien de moins que Cela.
223 Ne laissez pas un pasteur vous dire que “tout ce que vous avez à faire, c’est de lui serrer la main, d’adhérer à l’église, ou de faire partie de telle organisation.” Ne tuez surtout pas ce silence saint. Il vous avertit. Un jour viendra, où vous arriverez au bout du chemin.
224 Comme une petite dame de la ville d’où nous venons. Elle avait dit... Une jeune fille allait à l’église là-bas, et c’était une jeune fille vraiment très bien. Et elle marchait dans la rue. Elle avait de longs cheveux, vous savez, et les cheveux ramenés vers l’arrière, bien lissés et brillants, presque comme un oignon pelé, et son visage avait l’air... elle ne portait pas de maquillage. Et cette fille, elle se moquait toujours d’elle, elle disait : “Si tu n’avais pas ce crétin-là comme prédicateur là-bas,” elle parlait de moi, elle disait–elle disait, “tu pourrais être présentable. Mais tu as l’air d’une espèce d’antiquité.” Et, oh, elle lui en faisait vraiment voir de toutes les couleurs, chaque fois qu’elle la rencontrait, comme ça. Elle disait : “Notre pasteur, lui, il a les idées larges.” Elle disait : “Il–il–il sait ce qu’il en est. Ces choses-là, pourquoi est-ce que tu fais ça? Ça n’a pas d’importance, la façon de s’habiller ou de penser.” C’en a! La Bible de Dieu dit que c’en a. Nous vivrons de toute Parole!
225 Alors, cette jeune fille ne prêtait pas du tout attention à elle, elle continuait son chemin. Elle est missionnaire à présent.
226 Et, donc, cette–cette jeune dame a attrapé une maladie vénérienne, et elle est morte. C’est un de mes amis qui lui a injecté le liquide d’embaumement, à sa mort. Il m’a dit, il a dit... Après sa mort, il sentait toujours l’odeur du liquide. Elle avait un trou dans son côté, rongée par la maladie vénérienne. Même qu’ils ne... Même ses parents ne savaient pas ce qu’elle avait. Et elle est morte. Mais avant de mourir...
227 Elle enseignait à l’école du dimanche. Et tout son petit groupe de l’école du dimanche est venu, ils voulaient la voir quand elle partirait au Ciel, que les Anges viendraient l’emporter. Son pasteur était à l’extérieur, il fumait une cigarette, il faisait les cent pas dans le couloir de l’hôpital. Et ils allaient tous chanter quand elle mourrait, vous savez. Ils savaient qu’elle devait mourir. Les médecins avaient dit qu’elle se mourait, alors ils allaient tous voir les Anges venir l’emporter.
228 Tout à coup, quand elle a été confrontée à la réalité! Or, elle était un membre assidu de l’église, elle était professeur de l’école du dimanche, et un membre assidu de l’église, d’une belle grande église dénominationnelle. Mais quand elle a commencé à se débattre, que la mort s’emparait d’elle; les yeux exorbités, elle disait : “Je suis perdue!” Elle disait : “Je suis perdue! Allez chercher le pasteur!”
229 Il a écrasé sa cigarette, il est entré, il a dit : “Allons, allons! Allons, allons! On va aller chercher le docteur, il va te faire une piqûre.”
230 Elle a dit : “Je ne veux pas de piqûre.” Elle a dit : “Espèce d’imposteur! Je me meurs, et je vais en enfer. Et je suis perdue, parce que tu ne m’as pas dit la Vérité. Va chercher la petite Gooduse, et amène-la-moi au plus vite. Elle a raison.”
231 Attendez un peu d’être confronté à la réalité une bonne fois. N’essayez surtout pas d’arrêter ce silence saint. Ne vous En débarrassez pas en tirant du fusil à deux coups de l’instruction moderne. Écoutez cet avertissement du Saint-Esprit, ce soir, qui vous avertit : “Je suis le Chemin, la Vérité, et la Vie; nul ne vient au Père que par Moi.” Et Il est la Parole.
Courbons la tête un petit instant.
232 Je voudrais citer encore une Parole du Seigneur Jésus, pendant que vous y réfléchissez. Jésus a dit, dans Matthieu 5 : “Heureux ceux qui ont faim et soif.” Vous êtes même heureux d’avoir cette soif en vous. En êtes-vous arrivés au point où votre–votre–votre système tout entier a été tellement pollué par les dénominations, et les petits cultes et les petits clans, et tout, les petites consignes sociales d’une église, comme d’adhérer à des clubs, et tout, d’aller d’une église à l’autre? Le diable a-t-il réussi à vous fournir cette eau polluée, et vous en faites votre pâtée, comme un cochon dans sa mangeoire? Alors que vous ne savez même pas ce que c’est que d’étancher vraiment cette soif de Dieu; de Le voir, Lui, d’En voir la réalité, par le Saint-Esprit qui vit en vous et qui Se manifeste. Si c’est votre–si c’est votre cas, ce soir, si vous avez encore soif de Dieu, laissez-moi vous dire :
Il y a une Source remplie du Sang
Des veines d’Emmanuel,
Tout pécheur plongé dans ce flot
Est lavé de tout péché.
Le brigand mourant vit avec joie
Cette Source en son jour;
Et moi qui suis vil comme lui,
J’y puis laver mes péchés.
Depuis que par la foi j’ai vu ce flot
Que Ta blessure ouverte a pourvu pour moi,
L’amour qui m’a racheté a été mon thème
Et le sera jusqu’à ma mort.
233 Si vous avez cette soif-là, ce soir, d’en savoir plus sur Dieu, et de vous rapprocher de Lui, voulez-vous simplement lever la main, maintenant, pendant que toutes les têtes sont inclinées, dites : “Priez pour moi.” Ô Dieu, regarde ces mains!
234 Partout dans le pays, où ceci est diffusé en ce moment, de l’est, au nord, à l’ouest et au sud, vous qui êtes dans les salles, levez vos mains vers les pasteurs et ceux qui sont là, montrant que c’est votre désir, que vous, qu’il y a quelque chose en vous qui a soif de Dieu. Cette soif sainte!
235 Ne la satisfaites pas. Oh, vous dites : “Frère Branham, je–j’ai crié, une fois. J’ai dansé par l’Esprit.” Ne–ne–ne vous contentez pas de ça. Non.
236 Attendez que cette satisfaction vienne, cette Portion qui satisfait pleinement, que la plénitude du Saint-Esprit entre en vous, et alors les cloches de la joie, de crier, de parler en langues et de danser par l’Esprit, tout cela viendra. Vous n’aurez pas à attendre qu’il y ait de la musique pour le faire. Vous le ferez quand vous serez sur la route, dans votre voiture. Vous le ferez quand vous balaierez le plancher. Vous le ferez quand vous enfoncerez des clous dans le mur, en faisant votre travail de menuiserie. Où que vous soyez, il y aura cette Joie ineffable et glorieuse!
Maintenant prions.
237 Cher Père Céleste! Ce petit Message de ce soir, long, il a pris du temps, il s’est prolongé, mais, Dieu bien-aimé, que Ton Saint-Esprit en transmette le–le sens à chaque coeur. Dans cette église même, ce soir, de nombreuses mains se sont levées, partout, dans les couloirs et partout. Nous–nous prions, Dieu bien-aimé, pour eux. Oh, que cette Portion de Dieu qui satisfait pleinement, c’est-à-dire, Christ, l’Espérance de la Gloire, l’Espérance de la Vie, en vous, puisse-t-Il venir à chacun d’eux.
238 Au loin, d’un bout à l’autre du pays, depuis la Californie, là-haut à New York en ce moment, où il est tôt le matin, ils sont à l’écoute là-bas; dans–dans le New Hampshire, et en descendant, à Boston, et jusqu’au Texas, en passant par l’Indiana, et en Californie, et partout. Ô Dieu, regarde ces mains; regarde ce qu’il y a dessous, Seigneur, ce coeur qui est là, qui a faim et soif.
239 Ce jour perverti, où le diable a aveuglé les yeux des gens, pour les amener à se contenter d’adhérer à l’église, et dire : “C’est tout ce qu’il faut.” Et pourtant, en se regardant, ils voient comment ils agissent, et le désir qu’ils ont d’être comme le monde.
240 Alors que la Bible nous dit que “si même nous aimons les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même pas en nous”.
241 Rien que de penser, Père, qu’il puisse pervertir à ce point cette vraie, cette véritable Parole, qu’ils puissent dire : “Oh, nous croyons la Bible, mais pas Ceci. Nous ne croyons pas Ceci. Nous croyons que Ceci, c’était pour un autre âge. Nous croyons que Cela, c’est telle chose”, parce qu’une dénomination leur a tordu l’esprit pour qu’ils se retrouvent dans ce bourbier.
242 Alors que Jésus a dit : “Quiconque retranchera une seule Parole de Ceci, ou Y ajoutera une seule parole, sa part sera retranchée du Livre de Vie.”
243 Dieu bien-aimé! De penser aux désillusions qu’il y aura là-bas au Jugement, quand des gens auront mené une bonne vie, propre, sainte, seront allés à l’église, aussi dévoués qu’ils pouvaient l’être, et perdus.
244 De penser à ces pharisiens, qui, dès leur jeune âge, avaient été formés dans la Parole, ils étaient sortis de différentes écoles, et tout, ils étaient saints (forcément, sinon on les aurait lapidés), et Jésus a dit : “Vous avez pour père le diable.”
245 Israël, qui était descendu là-bas! Et que ceci serve d’avertissement aux pentecôtistes, Seigneur, d’un bout à l’autre du pays. Moïse, qui était prophète, il est allé en Égypte, pour accomplir la Parole de Dieu, pour leur apporter la lumière du soir! Et ils ont vu les glorieux miracles de Dieu! Et ils l’ont suivi, ils ont traversé la mer Rouge, ils ont été baptisés de son baptême, ils sont entrés dans le désert et ont mangé de la nourriture d’Anges qui est descendue du Ciel. Et ensuite, ils ont refusé d’accepter toute la Parole, quand ils sont revenus de Kadès-Barnéa... à Kadès-Barnéa, après avoir été dans le–dans le pays promis, et qu’ils ont dit : “Ils sont comme des géants; on ne peut pas y arriver.” Alors que Dieu avait dit : “Je vous ai déjà donné ce pays!” Frontaliers! Jésus a dit : “Tous, ils ont péri. Ils sont morts”, perdus, sans Dieu, bien qu’ils aient fait toutes ces choses. Ils avaient vu ces miracles; ils s’étaient réjouis, ils avaient dansé de long en large sur la côte, avec Marie, quand ils battaient le tambourin. Et seulement trois, de ces deux millions de gens, sont entrés.
246 Nous sommes bien conscients, Père, que, quand le sperme, les gènes du mâle et de la femelle, s’unissent, il n’y en a qu’un seul, sur un million, qui est accepté. Un germe du mâle trouve l’ovule fertile de la femme, de la femelle, et un million d’autres périssent.
247 Un million, deux millions sont sortis d’Égypte; deux, Josué et Caleb, sont entrés dans le pays. Un sur un million. Père, je–je tremble quand j’y pense. De penser, dans le monde entier aujourd’hui, il y a cinq cents millions de Chrétiens, donc, si Tu venais ce soir, il y en aurait cinq cents. Ô Dieu, que nous nous souvenions que chaque Parole de Dieu est là comme mémorial. Nous devons Y croire. Nous devons Y obéir.
248 Et, quand Tu as dit : “Repentez-vous, chacun de vous, et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ pour la rémission des péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.” Et, ô Dieu, Tu appelles encore ce soir, et la promesse est valide aussi longtemps que Tu appelleras.
249 Le clergé a tordu l’esprit de ces gens, et les a orientés, par une école d’enseignement théologique dénominationnel, vers une chose, de dire : “Oh, vous n’avez qu’à croire.” Le diable croit aussi, mais il ne peut pas recevoir le Saint-Esprit. Judas Iscariot était un... a fait toutes les–les autres choses que les disciples avaient faites, il a prêché l’Évangile; mais quand le moment est venu pour lui de recevoir le Saint-Esprit, il s’est montré sous son vrai jour.
250 Ô Dieu, que les gens de ce pays prennent conscience, ce soir, que sans cette expérience-là, ils sont perdus. Permets que ce soir, leurs âmes soient satisfaites de Ta Portion, Seigneur, alors que nous les remettons entre Tes mains. Ils sont à Toi, Seigneur. Nous ne sommes responsables que d’apporter la Parole. Je prie qu’ils croient de tout leur coeur, et qu’ils soient remplis du Saint-Esprit. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.
251 Oh, est-Il votre Portion qui satisfait pleinement? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Oh! la la! L’aimez-vous de tout votre coeur? [“Amen.”] Maintenant, ces Paroles sont parfois tranchantes, mais chantons dans l’Esprit maintenant, simplement, voyez-vous, chacun de nous, là. Serrons la main au frère qui est assis près de nous, à la soeur, et disons simplement : “Que Dieu te bénisse, pèlerin”, pendant que nous le chantons de nouveau. [Frère Branham serre la main des gens.]
Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.
252 Maintenant nous nous sommes serré la main les uns les autres. Maintenant fermons simplement les yeux et chantons dans l’Esprit, levons les mains vers Lui.
Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.
Oh, n’est-Il pas merveilleux?
Merveilleux, merveilleux, Jésus est pour moi,
Conseiller, Tout-Puissant, Prince de la Paix;
Oh, Il me sauve, Il me garde à Lui pour jamais,
Merveilleux est mon Sauveur, mon Dieu, mon Roi!
Oh, merveilleux, merveilleux, Jésus est pour moi,
Conseiller, Tout-Puissant, Prince de la Paix;
Il me sauve, Il me garde à Lui pour jamais,
Merveilleux est mon Sauveur, mon Dieu, mon Roi!
253 Oh, êtes-vous remplis d’enthousiasme à cause de votre expérience avec Christ? [L’assemblée se réjouit : “Amen.”–N.D.É.] N’est-Il pas merveilleux? N’est-ce pas qu’Il satisfait?
J’étais perdu, je suis sauvé, plus aucune condamnation,
En Jésus je suis libre, j’ai un plein salut;
Il me sauve, Il me garde loin de tout péché,
Merveilleux est mon Sauveur, gloire à Son Nom!
Oh, merveilleux, merveilleux, Jésus est pour moi,
Conseiller, Tout-Puissant, Prince de la Paix;
Oh, Il me sauve, Il me garde à Lui pour jamais,
Merveilleux est mon Sauveur, mon Dieu, mon Roi!
254 Croyez-vous que c’est biblique, ça? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] La Bible dit : “Tapez des mains. Poussez vers l’Éternel des cris de joie.” Vous savez, j’aurais toujours voulu jouer de la musique. Ma fille, Rébecca, prend des cours de piano. Mon petit garçon prend des cours de trompette. Mais moi, je–j’ai appris à jouer d’un instrument, à dix cordes. [Frère Branham commence à taper des mains.]
Merveilleux, merveilleux, Jésus est pour moi,
Conseiller, Tout-Puissant, Prince de la Paix;
Il me sauve, Il me garde à Lui pour jamais,
Merveilleux est mon Sauveur, mon Dieu, mon Roi!
L’aimez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
Oui, nous marcherons dans la Lumière,
Là où la miséricorde étincelle;
Brille autour de nous, le jour et la nuit,
Jésus, la Lumière du monde.
Oui, nous marcherons dans la Lumière, cette Lumière si belle,
Qui est là où la miséricorde étincelle;
Brille autour de nous, le jour et la nuit,
Jésus, la Lumière du monde.
255 [Frère Branham commence à fredonner “Jésus, la Lumière du monde”, et l’assemblée fredonne ensuite avec lui.–N.D.É.] Adorez Dieu, de tout votre être.
Quand les élus traverseront,
Quand les élus traverseront,
Seigneur, je veux être du nombre,
Quand les élus traverseront.
Oh, quand ils Le couronneront Seigneur de tous,
Quand ils Le couronneront Seigneur de tous,
Seigneur, je veux être du nombre,
Quand ils Le couronneront Seigneur de tous.
Oh, quand le soleil refusera de briller,
Quand le soleil refusera de briller,
Seigneur, je veux être du nombre,
Quand le soleil refusera de briller.
256 Aimez-vous ça? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Maintenant je me demande si vos pieds sont convertis, vous ne dansez plus là-bas, pour le monde? Voyez? Tapons du pied, pour le Seigneur, pour le Seigneur. Vos mains sont-elles converties, vous ne volez plus? Vos lèvres sont converties, vous ne mentez plus? Ne vous contentez pas d’avoir de la religion dans la tête, ayez-en partout. C’est ça. C’est l’homme en entier qu’il faut. C’est exact. Maintenant tapons du pied.
Quand les élus traverseront,
Quand les élus traverseront,
Seigneur, je veux être du nombre,
Quand les élus traverseront.
Oh, quand les élus traverseront,
Quand les élus traverseront,
Seigneur, je veux être du nombre,
Quand les élus traverseront.
Maintenant levons donc les mains.
Quand les élus traverseront,
Quand les élus traverseront,
Ô Seigneur, je veux être du nombre,
Quand les élus traverseront.
Quand ils Le couronneront Seigneur de tous,
Quand ils Le couronneront Seigneur de tous,
Seigneur, je veux être du nombre,
Quand ils Le couronneront Seigneur de tous.
257 Vous L’aimez, n’est-ce pas? [L’assemblée se réjouit : “Amen! Gloire! Alléluia!”–N.D.É.]
Alors, oui, nous marcherons (Il est la Lumière, vous savez) dans la Lumière,
Là où la miséricorde étincelle;
Eh bien, brille autour de nous, le jour et la nuit,
Jésus, la Lumière du monde.
258 Croyez-vous qu’Il est la Lumière du monde? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Le croyez-vous? Paul a dit : “Quand je chanterai, je chanterai dans l’Esprit. Si j’adore, j’adorerai dans l’Esprit.” Voyez-vous, quoi que vous fassiez, faites tout dans l’Esprit. C’est exact. Et l’Esprit fait vivre la Parole. Pas vrai? C’est exact. Oui monsieur.
Vous, tous les saints de la Lumière, proclamez
Jésus, la Lumière du monde;
La grâce et la miséricorde en Son Nom,
Jésus, la Lumière du...
Alors, qu’est-ce que nous faisons?
Oui, nous marcherons dans la Lumière,
Là où la miséricorde étincelle;
Brille autour de nous, le jour et la nuit,
Jésus, la Lumière du monde.
259 Excusez-moi de vous dérouter comme ça, les musiciens, mais je m’emballe, simplement. Je ne sais pas faire autrement que d’adorer, simplement. C’est comme ça qu’on fait. Oui monsieur. Je suis reconnaissant de cette occasion, Frère Mack, de venir fraterniser avec vous et votre assemblée, ici, ce soir, tous ces braves gens.
260 Et vous qui avez levé la main pour le baptême du Saint-Esprit, j’ai confiance que vous viendrez voir le pasteur Mack, ici, ou certains de ceux qui sont là, et que vous vous retirerez dans une pièce, ici. Et souvenez-vous bien de ceci, quand Dieu a prononcé la Parole, au commencement, et qu’Il a dit : “Qu’il y ait”, il fallait qu’il y ait! Et Il a dit : “Heureux ceux qui ont faim et soif de justice, car ils seront rassasiés.” Voyez-vous, ça ne peut pas faire autrement que d’arriver. Passez voir votre pasteur, ici, et soutenez-le alors qu’il prêche l’Évangile.
261 Maintenant chantons encore ce bon vieux cantique, j’aime vraiment ça, “Oui, nous marcherons dans la Lumière”.
262 Jésus a dit : “Je suis la Lumière”, et vous êtes en Lui. Voyez? Comment entre-t-on en Lui? En adhérant à Lui? Non. En tremblant? Non. Par le baptême d’eau? Non. “Nous sommes tous baptisés d’un seul Esprit, pour former un seul Corps, qui est le Corps de Christ.” Et, dans ce Corps, il y a neuf dons spirituels qui se manifestent dans le corps local, l’église locale. Ça, c’est bien apostolique, si j’en sais quelque chose. C’est exact.
Alors, oui, nous resterons dans la Lumière,Là où la miséricorde étincelle;
Brille autour de nous, le jour et la nuit, Merci, frère. Jésus, la Lumière du monde.
1 Good evening, friends. It's a privilege to be here tonight. This is my second time to be here in this Grantway Assembly, with my dear Brother Mack and all this fine staff here, and the joining Christians from different churches, Brother Lee Vayle. And I just met a brother here, that, a--a bosom friend to Brother F. F. Bosworth, and didn't even know Brother Bosworth had gone on to meet the Lord. I said, "I feel like I met the Elisha that poured water on Elijah's hands," when they had been abroad and didn't know that Brother Bosworth had gone on to meet the Lord, at eighty-four years old.
2 Now, I want to greet the folks who is on the telephone hookup tonight across the country, all the way from California to New York, and Texas, and--and up different parts of the nation, from Maine to California. So we got a--a system of hooking up these telephones, that's been a great blessing. And now we understand, through our good friend, Brother Pearry Green, that they've got a--a little gadget they can put on your television set, and not only will it be on the telephone but it'll be televised right in your television set also. And they're seeing about it now.
3 And, Sister Mack, I'm glad to see you looking fine, setting here at the organ tonight. And many of my friends I see from down at Sierra Vista, and Brother Borders--or Brother Roberson, rather, from Indiana: many. I want to say to the folks up at the Tabernacle tonight, look like half of them is down here, and from the Tabernacle at Jeffersonville.
And to my friend up there, Brother Koontz, that you called in about, concerning that sick request. I'm praying for it, Brother Koontz. Just have faith. Don't worry. It'll be all right.
And down into Texas, Brother Blair, if you're listening in tonight, my brother, just remember this; that God Who brought you through the first time, can bring you through the second. And we're believing that God will grant this to you. And don't you take the Devil's lie about anything. You just remember that God is God, and there's... and He still remains the same yesterday, today, and forever. And we love Him and believe Him, and we are praying for you.
All of our friends in California, to Brother Mercier and them up here in Arizona, many other places, Phoenix; and Brother Williams, and you all are hooked up up there tonight, all around, we're certainly grateful. And down in Georgia... And we are certainly thankful for every one of you. The Lord bless you.
7 I have a feeling of real welcome here tonight in this fine church, the Assembly of God here on Grantway, and with Brother Mack, my good friend. God has blessed Brother Mack. I remember one time in Canada, that he was... I was riding back a trail on a horse, way back into the jungles, and the Holy Spirit spoke to me to get off and pray for Brother Mack. At that time he was in an emergency, and the Lord healed him. And so I'm so thankful for that, and to be assembled here tonight with him to worship the Lord in this fine truth.
A man sitting on the platform, behind me, said, "Don't guess you know me." Said, "One time you picked me up as a hitchhiker," and, I don't know, somewhere up in Boston or somewhere, "Detroit, hitchhiking."
And I said, "Well, I usually try to have a hand out, if I can, for those who are needy."
And so tonight we're all needy. And we pray that God will give us a hand tonight of help, of blessings, and of His grace and mercy.
11 Now, I'm kinda prone to speaking a long time, but I'll try not to do that tonight. 'Cause the people up in Ohio just called, Mrs. Dauch and the group up there, Brother McKinney and Brother Brown, and all them hooked in through Ohio. We send you greetings also. It's late up in New York, and I suppose it's about eleven or twelve o'clock at this time, in New York. And the churches come and waited till this hour, just to--for the service. We're grateful for those fine friends around everywhere.
12 Now, before we open the Word, let's just speak to the Author a moment while we bow our heads.
Dear heavenly Father, we are... Our hearts are overjoyed for the privilege that we have of being alive here tonight and assembled together with Your people, the people in whom we believe to live forever. We now possess Eternal Life, because "You gave Your only begotten Son, that whosoever believeth in Him should not perish, but have Everlasting Life." In His pilgrimage here on the earth, He taught us, "He that heareth My Word and believeth on Him that sent Me, has Everlasting Life; and shall not come into the judgment, but has passed from death unto Life, because we believed on the only begotten Son of God." How we thank You for this great Saviour. And we pray tonight that His great Presence will so bless us together here, as we read of His Word and speak on It. Let the Holy Spirit take that to each heart throughout the nation, Lord, wherever people are gathered together.
Bless other ministers who are in the pulpit. We pray, Father, that You'll bless this Grantway Assembly, its pastor, his wife, his children, the deacons, trustees, and all the board. And, Father, together may we work for the Kingdom of God while it's enough Light to see where we're getting around, for the hour is coming when no man can work. And, Father, while we have this privilege, may we--may we redeem the time, Lord. May we--that be granted to us. Heal the sick and the afflicted throughout the land. May the Presence of God be felt in every crack and corner of the nation tonight.
15 We realize that judgment is striking. Great faults are falling in, and the nation is shaking, and earthquakes in divers places. Great historical things that we've heard of in the days past of judgment, through the Bible, and we see it repeating again today. The prophecy saying, "As it was in the days of Noah, so shall it be in the coming of the Son of man. As it was in the days of Lot, so shall it be in the coming of the Son of man," and we see it happening now. Man's hearts failing; perplexity of time; distress between nations, God, we know we're at the end time.
Help us, Lord, to--to take the Message to every crack and corner, to every child that You've ordained to Life. Grant it, Lord. We ask it in Jesus' Name. Amen.
Lord, bless the reading now of His Word.
17 Now, many of you like to kinda look into the Bible, where a minister's a-reading. And I want to read tonight a couple three verses out of the Psalms, Psalms 42, just for the way of having a text. And I've got some Scriptures written out here, and I want to refer to them, if I can, as we go along in the next few minutes, to speak on this subject. The Psalm of David, David wrote the Psalms.
Now, while you're turning, I might say this. Many people say, "Well, is the Psalms inspired?" Certainly, they are. They are... Anything that's--that's in this Bible is inspired, whether it's history, whether it's songs, whatever it is. It's inspired. Jesus said, "Have not you read what David said in the Psalms?" And then I think... Psalms, of course, is songs. And if songs are inspired of God, which I believe they are, and prophetic also, I hope I'm standing that day when this song comes to pass.
There is going to be a meeting in the air,
In that sweet, sweet by and by;
Going to meet you, and greet you over there;
In that home beyond the sky;
Such singing ever heard, ever heard by mortal ears,
It'll be glorious, I do declare!
And God's own Son will be the leading One
At that meeting in the air.
Oh, I--I want to be there at that time!
20 Now, Psalm 42.
As the hart panteth after the water brooks, so panteth my soul after thee, O God.
My soul thirsts for God, for the living God: when shall I come and appear before God?
My tears have been my meat day and night, while my... while they continually say unto me, Where is thy God?
I think David, in the writing of this Psalm, must've been in distress. And it usually takes distress to bring the best out of a man. It, really, that's when God... Gets down to when we fast, many times, to get ourself in position to get ourself out of the way. And I think, when David got in these places, then he begin to meditate on the Lord, begin to think about the things.
Many times, God gets us in--in tight corners where we have to look up. Sometimes we even have to get on our back in the hospital, or a bed somewhere, so we can look up to see where the great blessings of God comes from.
23 Now, the word I want to speak from tonight, one word out of the Bible, and that is found in the 2nd verse, "Thirst," the word of "Thirst." I was looking in the dictionary when I was looking up this word.
I was thinking about a--a sermon one time I preached on "Thirsting After Life." And I took it out of the Psalms too, when David said, "Thy statutes," I believe, "are more precious to me than life."
Then I was looking and thinking about that word "thirst," so I looked up in the dictionary to see what it means. And here's what Webster says, "It's a painful desire," a painful, when you want something so bad until it becomes painful to you.
Now, it's--it's not a unnatural thing to thirst. Thirst is a--a natural thing. It's just simply something that God has given us, that we could, to give us a--a desire for something. Sometimes God has also, has given you a--a control tower, something that sets inside of you, that--that controls these different desires. And this thirst, this control tower that sets in a man's heart, is something that God give him to--to warn him of the desires that's needful for him.
27 Now, there is two different kinds of thirst. There is a thirst physically. And there is a thirst also spiritually. I would like to read this, what David said, again.
My soul thirsts for God, for the living God:...
Not some historical, or some something that happened some years ago, or--or some tale that someone told; but "for the living God," a God that's ever present. And his soul thirsted for that God, not for some historical something.
29 Now, we find, God gives the control tower to you, to give to you the things that you need. Now, the control tower in you is what directs you. And this thirst runs in on this cold--tower, control tower, and tells you what you have need of, spiritually speaking. The control tower in the body, and in the soul also. There's a control tower in the body that tells you the need that's needed in your body, and it's brought to you by thirst. Also there's a control tower in your soul, that tells you the spiritual things that you have need of, something in your spirit, and--and you by this can tell what kind of a life is controlling you.
When you--when you can see what your desires are, then you can tell by that what kind of something that's in you, that's creating this desire that you have. See, there's a certain thing that you thirst for, and it--and it can tell you in your soul what this desire is by the nature of the thirst that you have. I hope that you can understand that.
31 There is a--a control tower of the soul, and one for the body, and each tower is a warning caller for the needs of the other. Each one calls to the need for what the caller is calling for; it sends out a wave of warning.
For instance, the--the flesh thirsts to satisfy the desires that's in the body, and the spirit desires for the things that's in the soul desire is, and many times these war one against the other. We find there, what's a great trouble today, that too many people try to live between those two desires. For one of them desires the things of the earth; the other desires the things of heaven.
33 Like Paul said, describes it in Romans 7:21, "When I would do good, then evil is nigh." When you try, did you ever have that in experience, Christians, that when you're trying to do something that's worthwhile, go to make an effort to do something that's good, then you find out that there is the Devil on every hand, just to upset you, everything that you'd... And that's one good thing that I'd like to say this, that the Christians might know that when you're--when you're starting to do something, and there's something always trying to upset you in doing it, do it anyhow. That's the Devil there trying to keep you from doing what's right.
34 Now, many times, I meet people that's prone to be a little nervous. When they find out that they're trying to do something, and--and everything's just blocking it off on both sides, they say, "It might not been the will of the Lord." See? Now, don't let the Devil lie to you like that.
The first thing is find out whether it's the will of God or not. And then if you want to know whether it's the will of God, look into the Bible. There is the thing that--that sets you straight, is the Word of God; and then if you see it's in the Word of God, for you to do it...
Like, for instance, seeking for the baptism of the Holy Ghost. Many times I run into people, say, "Well, I have sought for the Holy Ghost, and I just couldn't receive It. I don't believe It's for me. Every time I get down, I get sick. And I go to praying, if I fast, I get sick. And if I try to stay all night, or stay up, I get so sleepy. I--I can't get off my feet." Remember, that is the Devil. Because God intends for you to have the Holy Spirit. It's for whosoever will.
Many times you find, when you're prayed for in a meeting, for Divine healing, then the next day you find out, no doubt, that the Devil will make that twice as bad as it was the day before. See? Remember, that's just Satan trying to get you away from the blessing that God has got for you. See? Don't you listen to that fellow. See? Always press right on.
38 I had an experience with that just recently on the road to Africa. If I ever had any time that the Devil ever did press at me, was to go to Africa this last time. It become one of the--the finest meetings and times that I ever went overseas. I got, I believe, more things accomplished in that little time that I was there, besides my hunting trip, than I ever did at any time. I always thought that those churches didn't want me there, and come to find out... I had a letter from someone, that it was, oh, they didn't want me there, all the association; and found out it was one man with a letterhead from an organization, that said, "We don't want you," he meant him and his family. See? So then when I got over there, I... See, just "we," that was he and his family; and it wasn't the people at all. So now it's a great field opened up for us.
39 You see, when Paul said, "When I would do good, then evil is nigh."
You let a young convert come tonight to the altar, somewhere here in this tabernacle, or--or out across the nation; and just remember, tomorrow, mother will be more angry that she ever was, dad will be all upset, and all the school kids. And everything just goes wrong, because it's Satan trying to get you to turn around. He's trying to run you off the path. "When I would do good, then evil is always nigh."
41 Now, let us look at the thirst, and let's see whether actually a thirst is a natural thing. I've had people to tell me, "Oh, I never did. I believe it's just for some people to want to be Christians." Oh, no. That's wrong. It's actually something that's associated with every human being. It certainly is true. When we come to this country in the early days, we found the Indians here. And the Indians, though they were heathen at that time, they worshipped the sun or something. As long as they are human, there is something in them, a natural thirst, calling out for God, somewhere.
42 Now back in the jungles, just recently back there, four hundred and eighty miles from the closest civilization, a little small town of about three thousand people, of Beira, in Mozambique. We found natives that didn't even--never seen a white person. I found a native girl, she had no clothes on (any of them hardly have clothes on), and she was setting up in a tree. And I was tracking the lion, and there was... I heard something like a human being screaming. This native girl setting up there, walleyed, holding a baby. And what she was scared about... That's her only protection is get up a tree from a lion, leopard or something, or some animal. And she'd seen me, and heard it was a human being, but when she looked and seen a white person, she'd never seen one in her life (See?), and she was scared to death. See?
But when we find those people, even in that primitive condition back there, they were still worshipping. Before we called a line in, they poured out some mealy meal (That's what they eat.) on a little leaf, and clap their hands, and called on the spirit of some great something they didn't know where (like a patron saint or something, to a Catholic), to protect them, that they wouldn't be killed during the time of the charge of this lion.
44 See, it's something natural. It's not a unnatural thing to thirst for God. It's a natural thing. It's just something that you should do. God has made you up like that. And it's no super human, it's just actually a common human being. It ain't just special for some people.
They say, "Well, I've seen some people live such a--a victorious life, that they're constantly on the housetop, they're praising God. Wished I could feel that way." Well, the reason you are feeling that way, it's the thirst in you. And it's just a natural thing. It's for every person to thirst for God.
46 Now, we'll take some of the natural thirsting first. Let's take, for instance, thirsting for water. As David said here, thirsting for, of the water. Thirsting for water, the body is in need of water. And if you don't supply that thirst, you'll perish. You'll dehydrate, and you'll--you won't live. If you can't get water to that thirst, to quench that thirst of the natural body you'll soon perish. You won't live long. You can live longer without food than you can without water. Because you can fast for forty days (Jesus did), I suppose, without--without food, but you couldn't do that long without water. You would just simply dry up and die. You must have water. And--and the thirst that comes on you, why, it's to show that the body is in need of something to keep it alive. The body's got to have the water in order to stay alive. You're eighty-something percent of water and petroleum, anyhow, and you've got to take these sources in to keep you alive. As I've said, if you neglect it you'll perish.
The thirst also is an alarm. It's an alarm clock, that thirsting. The soul sets off alarm clock, a little buzzer inside of you that tells you that death has lurking nigh, that if you don't get water pretty soon, you've got to die. And it gets louder and louder, until finally you keep putting it off and you'll die, because it's a alarm clock.
48 Like David described it here in the Psalms, "As the hart panteth after the water brooks, so panteth my soul after Thee, O God." As the hart panteth after the water brook...
I've often thought, as reading of this of David. David was a woodsman, a hunter. And he hunted deer, of course. And many of we in this day hunt them. The hart is a deer.
And we find, if you ever seen the dogs, the wild dogs will grab a deer. And usually they got, like the coyote, a fang. And he can grab the deer right above the burr of the ear here, and swing his weight. He cuts the throat of the deer, and the deer doesn't have a chance then. But sometimes the--the--the dog, like in Africa there, the wild dog will grab the deer right in the flanks, if he misses the throat. He'll grab the second time at the flank. And if the deer is strong enough and quick enough, he can shake the dog off.
51 The deer is much faster. The dog stalks him when he's not looking, and when he's upwind from him, and--and he--he don't know the--the dog is near.
And then, when the wild dog grabs him, if he's real quick, he can throw it off. And--but when the dog comes out of the flank, he has got a whole mouthful of the deer's flesh. Or, when he grabs at his neck sometimes, he'll cut close to the jugular vein, and miss it. And the deer, shaking him, will pull a whole chunk of meat out of the deer's throat, then the blood begins to run.
And then the dog will come right on the trail of that blood, after the deer. And as the life of the deer begins to dwindle, as the blood, which is the life stream to the body, as that begins to dwindle down, the deer gets weaker. And the dog then, or the wolf, is right behind the deer.
Now, if that deer can't find water... Now, water has something in it, that when the deer drinks the water, it stops the bleeding. But if he don't get water to cool him off, then the--the blood keeps flowing out faster; because he's running, keeping his heart pumping. But if he can ever get to water, the deer will live.
55 Now, there's a great lesson there (See?) and David saying here, "As the hart panteth for the water brook, my soul panteth for Thee, O God."
Now, that deer knows, unless he finds water he's gone. He just can't live. I've tracked them many times after being wounded. When he hits a stream of water, he'll cross in and get a drink, go up over the hill; come back down, cross, get a drink of water and go up. You'll never catch up with him, as long as he'll follow that stream. But once when he leaves the stream, if he can't find another water brook somewhere, you'll catch him right away. And now, the deer knows that, so he'll stay right with the water, where he can get to it right quick. Now, could you imagine a deer with his nose up, he's been caught out somewhere where there is no water?
57 And he says, "As the hart thirsts or panteth (is a thirst) after the water brooks, my soul thirsts after Thee, O God. Unless I can find You, Lord, I'll perish. I--I--I can't go unless I find You." And when a man or woman, boy or girl, gets that kind of a thirst for God, he's going to find something. See?
But when we come at it just kind of halfway, "Well, I'll kneel down and see what the Lord does." (See?), you're not really thirsting yet. It's got to be a thirst between death and Life, and then something takes place.
59 The deer, also here he's... We find that he also has another sense of smell, that sets off an alarm in him when his enemy is near. He's possessed, this little creature, with a--a sense to protect himself. And he's--he's got a little alarm in him, a little something, that he tickles his nose when the enemy's near. You can get in the wind of the enemy, and he knows that you're there, and he's gone. Sometimes a half a mile away, he can smell you and get away, or the wolf or any danger. He's able to sense it because that he's made up that way. He's a deer, by nature. And that sense in him is just one of the God giving senses to him to live by.
60 And then I thought, comparing the deer with a man that's thirsting for God. Before the enemy gets there, there's something about a child of God, that when you once are born into the Spirit of God, receive the baptism of the Holy Spirit, there's something about the person that can sense the enemy. You can take a man when he's taking the Scripture, and reading the Scripture, and try to inject something to that Scripture, that's contrary to the Scripture, a man that's filled with the Holy Ghost can [Brother Branham snaps his finger--Ed.] sense that right quick. There's something out of the way. When he gets into a place, and--and that little certain sense in there, that it's done to protect your life. You--you mustn't--you mustn't never go for anything unless it's exactly the Word of God. You must stay right exactly with that Word. And now, and we are secured with that sense as long as we're in the Holy Spirit.
61 You can go to read, and like for instance, somebody say, and I go to read in Mark 16, and say, "And these signs shall follow them that believe: In My Name they shall cast out devils; they shall speak with new tongues; or take up serpents, or drink deadly things, it would not harm them; if they lay their hands on the sick, they shall recover."
Now, then, you find a person get up there and say, "Now, that was for the apostolic age." That... Now, right quick, if you have received the Holy Spirit, you've been endowed with that sense. It sets it off. There's something wrong there. See? They try to explain it away, that it's for another day, that really you don't need those things today. But Jesus said, "These signs shall follow them that believe." See, there's a little something sets off in you, a little buzzer, in knowing that that's wrong and that's the way of death.
63 'Cause Jesus said, "If we add one word to This, or take one Word from It, our part's taken out of the Book of Life." See, not one Scripture. We must take It just the way It's written. And God watches over His Word to perform It, and we know that It's got to be just right.
So therefore, no matter what a church would say, what anyone else would say, if you're borned of the Spirit of God, you become part of the Bible. God told Ezekiel; he was a prophet; He said, "Take the scroll and eat it," then the prophet and the scroll became part of each other. And that's the believer when he receives the Holy Spirit; the Holy Spirit wrote the Bible, and the Spirit of God is the Word of God. "My Words are Spirit. In the beginning was the Word; the Word was with God, and the Word was God. And the Word was made flesh and dwelt among us." Hebrews 13:8, "He's the same yesterday, today, and forever." And when you are a part of that Word, oh, then let something come up contrary to that Word, [Brother Branham snaps his finger several times--Ed.] there's a little buzzer sets off right quick. See, It's to warn you that death is in the road. We should never do that. There is a also...
These thirsts are just natural. They are natural for the Christians. They're natural for the human being.
66 There is also a thirst for success. So many people today, how we school for this thirst. We just noticed they started the university up. And we go down there, and people spend thousands of dollars to send their children to the school, and--and to universities and colleges, and so forth, to get an education, "To be successful," they call it, "in life." But now, I have nothing against that; now, that's all right. But, to me, you could get all the schooling in the world and still you haven't found the right success. That's right. Because that will just temporarily make things a little easier for you here. And there's... But when you die, you leave all that behind you.
67 And this entire economy that we have... I was saying it the other day at Phoenix. It stand quoting again, that, "All this modern civilization, the whole educational program, the whole scientific program, is all contrary to God's Word and His will." Civilization is absolutely... There'll never be a civilization in the world that is to come, like this one. This is a perverted civilization. God had His first civilization upon the earth, when He spoke His Words and they come up, every seed of its kind, and in that civilization there was no death, sickness, sorrow. And now we take the things that is in the scientific world, that was put here to hold it together, and pervert it into something, and that brings death.
Like the atomic bomb. I don't know the formulas of these things, but I might say this wrong. They take uranium to split a--a molecule, and a molecule breaks into atoms. What does it do then? It just annihilates almost, just destroys. Everything that we do...
69 We take medicine, put this formula with this formula, to cure this, and put it into us. And what do we do? We tear down something else.
Now, I guess you read--read last month's "Reader's Digest," that it said that, "In this age that we're living in now, that young men and women reach middle age between twenty and twenty-five years old." Think of that. Little girls in menopause, and twenty, and twenty-two and twenty-three years old, middle age. You see, what's done it, it's been this hybrid food and stuff we're eating. See? It's the stuff, the food and the--the life that we're living. Scientists has brought it to us, and in doing so they're killing you.
I was in Africa where I'd see them boys that never had a dose of medicine in their life. They eat meat that had maggots in it. They drank out of a pool that it looked like would kill an ox. And I was shooting a target at two hundred yards, and I couldn't see it with a pair of seven-fifty binoculars. And a man my age was standing there, telling me where it was hit with his naked eye. Now, if all this modern culture has done something... I feel if I had his eyes and his stomach, I'd be a pretty good man. Yeah.
But there you are (You see?), that's what science, education, civilization, we're destroyed by it. We destroy ourselves. It started in the garden of Eden and runs on for today. But thirsting for success...
73 Then, we thirst for fellowship. We go, we want fellowship. It's like a young man and a young woman. Now, it's not unnecessary--or not (I mean) unnatural for a young man and a young woman to--to love one another. It is a thirst for love. It's their age, and they--they love one another. And it's not unnatural; that's just a natural thing for them to do that.
Now, we find many things, in the life that we live in the natural body, that we thirst for. It's just something sets in us. We want to do it; we absolutely feel that it's necessary. And it is necessary that we do it.
We find many women in these days thirst for beauty. Now, there isn't a woman... It's a natural thing for a woman to thirst to be pretty. That's--that's her God-given instinct and--and her beauty that God give her for her mate. And now, we find out that women want to be that way. Why is it? It's just because it's something God gave her. And it's not wrong for women to be pretty. They should be.
76 And did you know, they are the only creature that--that the female is prettier than the male; it's in the human race. Every other animal, take the--the cow to the bull, the doe deer to the buck, the hen to the rooster, the mother bird to the father bird, always you find the male is big and pretty. But on the human race, showed there's where the perversion come, it turns around; and it's the women so is--is pretty, and they lust to be pretty.
Not like some of these weird creatures we see on the street of this day; no, no, not that kind of pretty. No. That's the horriblest looking sight I ever seen in my life. Yes, sir. That is a perversion; that's perverting the true thirst.
77 Now, the true thirst that a woman should have, would be to "adorn themselves in modest apparel, and to have a Christ-like spirit," I Timothy 2:9. Now, that's a way the woman should thirst to be. Now, if you want to be pretty, that's the way what makes you pretty (See?) is a Christ-like spirit, and adorn in modest apparel.
Oh, my, some of these people today out on the streets, you can't tell a man from the woman, and it's a--it's the most horrible looking thing that you'd... I wouldn't, it's--it's... I--I never seen anything like it, like human beings. It's beyond human. Eyes painted way up like that, and, you know, them funny-looking lizard eyes, and all them funny-looking clothes. And, why, it don't even... All so out of form, they don't even look like a human being. And some of them boys out here with their hair combed down, their sister's rollers in front here, you know, why, it's a complete perversion. That's right. It's a--it's--it's Satan, and Satan is the perverter.
80 When God made everything in the garden of Eden, it was lovely, then Satan come in and perverted. Satan cannot create nothing. There's only one Creator; that's God. But Satan perverts the original creation. And now he's got into this (I want to speak tonight about) perverting the--the original creation of thirst.
Now, a woman, as I said before, wants to be pretty. There's something in her that she's feminish, and she wants to be that way. But the way they are on the street today, hair cut like a man, wearing man's clothes; and then man turn around, wearing women's clothes, and a haircut like a woman. See, it's a perversion, the whole thing. Your food's perverted. Your life's perverted, your thirst, perverted. Your desire is perverted. It's a day of perversion.
83 I was speaking here not long ago on "Satan's Eden." God took six thousand years and made a perfect Eden. Satan come over and sprayed them seeds and deformed them. Now, he's got six thousand years, and he's got his own scientific Eden right back again on a perversion of the right.
And this is the age of hybreeding, hybreeding. They even got the--the churches today till they're hybrid. That's right. They get in here; they just go to church; it's a lodge instead of a church. A church is a place where people come together and worship God in Spirit and in Truth. And today it's a lodge. We go there and have a little time to shake hands, and fellowship, and some black coffee in the back of the building, then go home till next week; we've done our religious duty.
Now, it's a perverted age. And Satan is perverting these thirsts that God put in you to thirst. Satan is perverting them. Now, if you want to know the right, perversion...
86 If you, the women, wants to be pretty, take I Timothy 2:9, that's that "adorning themselves in modest apparel--apparel, with a Christ-like spirit, meek, subject to their husbands," and so forth. That's the way that you should be adorned, your life you live.
He perverts the true nature of God, and the true thirst of God, of the body and soul, by lust for sin: sin, a perversion. Now, we find out, a person today, the way they've took that perversion; thirst for God, the thirst for to be pretty, and all these thirsts for... For water, they've turned that into satisfying that with drinking. The thirst for joy (Everybody wants to have joy.), thirst for fellowship, all these great thirsts that God put into us that we might thirst after Him (God made you to thirst after Him.), and we try to satisfy it with some other kind of a thirst, with some other kind of a perversion of the correct thirst. See how it's in the natural? See how it's in the spiritual? We think, as long as we join church that--that satis--that's all we have to do. Well, that is absolutely wrong. No. God wants you to thirst for Him. "As the hart panteth for the water brook, my soul thirsts after Thee, O God." See, see?
89 Now, if that deer was panting for the water brook, what if somebody come along, and another buddy deer could come along, and say, "Say, I'll tell you what I--I could do. I know where there is a mud hole down here." Well, the deer wouldn't want that. He... That wouldn't do him any good.
And there's nothing can satisfy that thirst that's in the human being, until God comes in. He must have It or die. And no persons has a right to try to hush or satisfy that holy thirst that's in them by the things of the world. No, sir. It's ungodly to do so. And if you thirst for God, don't shake hands with the preacher and put your name on the book. If you're thirsting for God, there's only one thing to satisfy it; that's meet God. If you're thirsting for God, that's the only way you can meet Him, is to do that.
91 And then there is a great danger also, if you don't watch what you're doing in that time. If you're thirsting for God, be sure it's God you find. See? Be sure that it's--your thirst is satisfied. But if Satan has been able to pervert you from these natural appetites (and that he'll do if he can), he'll--he'll simply make you try to be satisfied.
A man get out... what makes a man gets drunk: is because he is worried and tore up. There's something lacking in him.
93 I was at Mayo's, here not long ago, and I was up there on a interview. And then it was told in this, that, talking about drinking, and I told them that my father drank.
Said, "What made him drink?
I said, "I don't know."
He said, "Is because that there was something that he--wasn't satisfying him, and he thought he could drink to throw it off his mind."
I caught it right then. See? It was really God, was the only thing can satisfy that thirst. God Himself is the only thing can satisfy that human thirst, is to accept God.
96 Now, Satan takes these things, as I said, and perverts them. Then if you're--if you're... If you won't give that thirst the right place in your life, and won't thirst and take the things that God provided to stop that thirst with, to quench it, then Satan will lead you to some of his stagnant cesspools of this world. You must have it somewhere. If you can't find food, you'd eat from a garbage can. See? And if you--if you couldn't find water, and you was dying, you'd drink out of a--a pool of any kind, because you're perishing.
But there's no reason for that, when you're thirsting for God, because God is a living God, not some historical something. "My soul thirsts for Thee, the living God," Something that gives living waters, something that satisfies.
98 There is another nature, a natural, just a natural thirst, in that thirst of the soul. You might say, "Brother Branham, is that soul thirst, is that natural?" Yes, that's natural for a soul to thirst. And it's... For God made you this way, that so that you would thirst for Him. He wants you to thirst after Him. Now, God made you like that. He didn't have to make you like that, but He did do it. And if He hadn't have made you like that, so that you would thirst, there would be an excuse at the judgment bar, say, "I--I--I never did thirst for God." But there's no excuse, you do. You'll make it somewhat; you might make it your wife; you might make it your car; you might make it something else; you might go to church and try to satisfy it. And I have nothing against going to church, but that isn't the satisfaction. It's to find God, the living God, the God of heaven into your soul, that satisfies that longing and thirsting that you long for.
Now. For He made you so you could thirst for Him, for His fellowship. Now, there's a genuine thirst for fellowship. Now, we like to meet with one another. We're doing that tonight. We meet here together tonight because we like to fellowship one with the other. Why do we do that? Because there's something in us that we want to meet one another. That's just natural. And now, we meet on a common ground here; that is, because we're all thirsting for God. See? And then we meet here on this regular, common grounds here of fellowship. In the church tonight here, might be many different denominational views and so forth; but when it comes to that thirst, we can meet on a common ground, one ground: we all thirst. Some might believe in sprinkling, the other one in baptism, and one in pouring, or so forth; but when it comes to the thirst for God, we--we come on one mutual ground. And God made us so that we would do that: thirst for Him and for His fellowship. I don't know anything...
100 When I was a little boy, I remember I was raised in a real poor family. And I remember of many times I'd go out with fellows. I couldn't dress like to go out to a decent place. But, I--I don't know, there's something about people, that I liked. I liked to get with them. But I was, more or less, what is called, the black sheep. And when I got saved and found that Something in me that I thirsted for, a--a Friend, Somebody that would be a buddy to me, Somebody I could trust, Somebody you can set down to and talk your troubles over with... And when... I found that real true satisfaction when I found Jesus Christ, that real true Satisfier that takes away all--all the--quenches all that thirst, and gives you something that--that just looks like that there's just nothing to take His place...
101 And now how Satan tries to pervert this satisfying of the soul, that thirst for the soul. He tries to give you everything to satisfy it. And he's so deceitful in these days of perversion. This is a perverted world. It's a perverted race. It's a perverted people. Everything is perverted, and has perverted so gradual until it's become the most deceitful age that we--any human being ever lived in. It's more deceitful than it ever was.
Now, you just--you just can't imagine of how deceitful the nation's got, even with our own brethren, like American people.
103 I was speaking sometime ago. I was in the woods a few weeks ago and found a--a--a cigarette pack laying in the woods. And it said on there, "A thinking man's filter." And I went on down through the woods a little ways, and I come back; kept bearing on my mind, "A thinking man's filter, and a smoking man's taste."
Well, I was at the World Fair couple years ago, remember they had that Yul Brynner and all them over there, when they was making demonstrations of cigarettes. And how they took that smoke and put it across a piece of marble, and took a Q-tip and raked up that nicotine off of there, and put it on the back of a rat. In seven days he had so much cancer he couldn't get up on his feet (See?) from one cigarette. And then they showed how that when that goes into the human lung... Some of them say, "I don't inhale. I just puff it in my mouth." Shows how it gets in the saliva and goes right down just the same, into the throat. See?
And then this man said, "You see so much talk about a filter." He said, "Now, if you have a desire (There's a thirst. You see?), a desire to smoke a cigarette, one natural cigarette might satisfy that desire for the time being. But if you've got a filter, it takes four cigarettes to satisfy," said, "because you're only getting about one fourth of the smoke."
106 And said, "A smoking man's taste"? See, you cannot have smoke unless you get tar. And when you got tar, you got cancer. So there you are (See?); it--it's just a gimmick. And I think of a--a tobacco company that's in this nation, and--and it lives by this nation, and then with a gimmick like that to absolutely deceive American citizens, to deceive them. A thinking man's filter? It's only a gimmick to sell more cigarettes.
Then I thought of that thing, "A thinking man's Filter," I thought, "that's a good idea." So there is a thinking man's Filter; that's this Bible. A--a thinking man's filter will take this Filter; It'll produce a righteous man's taste. See?
Now, you cannot pull sin through the pages of this Bible. No, It stops it. It filters it out. Now, you can go to church, and just take anything, but you can't come through this Bible and have sin. It will not do it. It filters out all sin, and It gives a holy man's taste. Because if the man is thinking that he wants to be holy, and be like God, and be a son or a daughter of God, then he wants the right kind of a Filter. So He stops all sin on this side the Bible, and He can only bring the Holy Spirit through the Bible, that wrote the Bible. It's a holy man's taste to have this thinking man's Filter.
109 Now, we find how deceiving it is today. Matthew 24:24, Jesus said in the last days that the two spirits would be so close alike until they would deceive the very Elected if it was possible. How close, how--what a deception of--of right and wrong we have today.
Even in our--in our government, in our politics, we--we haven't even got a man that we could put up as a politician that'll absolutely stand up for what he thinks is right. Where is our Patrick Henrys and George Washingtons, and Abraham Lincolns of today? Just as our President said there, "The way, if they want communism, they can have it, whatever the people wants." If that ain't a--a man that won't speak his conviction. A man will stand on a principle, that'll stand on what's what a principle... Just want to go the--the--the way of least resistance.
And that's the way that the people's got in the church. They want to come join church, and they say, "Oh, well, that--that's it; I--I've joined church now." You're trying to satisfy that great holy thirst that God put in you, that control Tower trying to turn you to the right thing, and you try to satisfy it with joining a church, quoting a creed, or something like that. When, it's nothing but the very Presence and filling of God Himself in your life, that'll satisfy that.
112 He won't be satisfied with a creed. You'll never pull a creed through that Bible. No. There's not even the Apostles' Creed, so called, will never come through There. Show me in the Bible where the Apostles' Creed says, "I believe in the Holy Roman Catholic church; I believe in the communion of saints"; when the Bible said, "There's one Mediator between God and man, and that's the Man Christ Jesus." You'll never pull that through the Bible.
113 You will never pull all these dances, and shorts, and things that the people are doing today, these twists and watusis, and all these things, through God's Word. You'll never pull this modern trend of civilization through that Bible. It's against it. See? And you try to satisfy that thirst, but (You see?), it'll... This Bible will only satisfy a righteous man or woman's taste. This Holy Spirit, that they'd laugh at, and said, "You've gone out of your mind."... But That satisfies that longing, that something that the world knows nothing about. They have perverted themselves from true baptism of the Holy Spirit and the Word of God unto what? Unto the cesspools, the cesspools of the church, of dogmas, and creeds, and--and denominational differences, and so forth.
Say, "You a Christian?"
"I'm Methodist. I'm Baptist. I'm Presbyterian." That don't mean one thing to God, not one thing. You can't pull them things through God's Bible here. And you're trying to satisfy that holy thirst that God give you to thirst after Him. Is that right?
115 Now, you know that David said here, "...for the living God." Now, "In the beginning was the Word, and the Word was with God, and the Word was God. And the Word was made flesh and dwelt among us." Then there can be no satisfaction until this Word, which is God, becomes alive in you, then you see God Himself fulfilling the promises that He made in the Bible.
116 Now, we have different interpreters of the Bible. One church interprets It this way; another one interprets It that way, and another one this way. Some don't take but a little bit of It; some take here and there, a piece of It. But God's His Own interpreter. When He makes a promise and fulfills it, that's the interpretation thereof.
If I promised you I'd be here tonight, and here I am, that's the fulfilling of my promise. If I'd say I'll meet you in the morning, and I'm there, that's my promise. There ain't no need of making any other excuses, I have got to be there.
And when God makes a promise, and then comes around and fulfills that promise, that's the interpretation of the promise. And I'd dare anybody to take God at His Word, and see if every Word in that Bible isn't the Truth. That's right. That's what that thirst is in there.
You say, "If I would've lived in the days of Jesus, I would've done so-and-so."
Why, you're living in His days. What are we doing about it? What are we doing? You say, "Well?" What you done, perhaps what the Pharisees done. They belonged to church and denied Jesus Christ.
121 We always say today, people try to say, "We compare. We've got to compare Bible leaf with Bible leaf, Scripture with Scripture." That isn't the Truth. No, it isn't the Truth. "This Greek word means this, and this means that." The Greeks themself, way back in the Nicaea Council, and them writers back in there, they had different forms. One believed this way. This Greek scholar meant this, and the other one said this one meant it this way. And they fussed over It. We don't need interpretation of Greek scholars or Greek words.
To know Him is Life, the Person, Christ Himself, not comparing. It's a revelation that God built His church upon. And if we don't build upon that same church... The Bible said, "Abel, by faith..." And faith is a Divine revelation. See? Faith is a Divine revelation. All right. This whole Thing's built upon the revelation then, and unless this is revealed to you... Jesus said, "I thank Thee, Father, that Thou has hid these things from the wise of this world, and revealed it to babes such as will learn." See?
123 Now, the whole thing is built there; you've got to know the Person. And you cannot satisfy that by joining church. You've got to find the Person, God Himself, which is the Word and--and interpretation of Hisself today, the promises that He made today. The people that He was going to have in this day, "the church without spot or wrinkle," don't mean a denomination; it means the persons, the individuals without spot or wrinkle. "Be two in the bed, I'll take one and leave one; two in the field, I'll take one and leave one." But when God, that holy thirst to be like Him, and then you see that His Word is in you, vindicating Itself, that you are God's servant... Whatever God says, you just toe right up to it, then you're coming through the right process then to satisfy that holy thirst that's in you.
124 Oh, of course, the people will laugh at you and say, "You've lost your mind. You've gone crazy." But remember what they're drinking from. See? Look where they're at. Could you imagine a big artesian well spurting up fine water, and somebody down at one of them holes down there with dead tadpoles, and creeds and everything laying in it, drinking down there, looking up and making fun of you? Oh. Why, he doesn't know; he doesn't know what a--what a thirst-quenching stream you're living at. That's exactly right.
We got a living God, not one that died nineteen hundred years ago and stayed in the grave, but One that raised again. Hebrews 13:8, says He's the same yesterday, today, and forever. The same Holy Ghost that fell on the day of Pentecost is the same Holy Ghost that's here now. He's the satisfying Portion, because He is the Word. That's right. The Holy Ghost wrote the Word; He interprets the Word. The Bible said in II Peter, that the Holy Spirit wrote the Bible, "Men of old, moved by the Holy Ghost, wrote the Bible."
Now, you can't do it; you can't satisfy that holy thirst with nothing less than God Himself living in you in the Person of the Holy Spirit. Education, culture, joining churches, reciting creeds, going to belong in a fellowship; all these things are very good, but they absolutely will not stop that holy hush--that--that holy thirst, rather, won't hush that holy thirst.
127 I was listening to Billy Graham, the great evangelist, the other night. I tell you, I pray more for him now than I ever did, when I seen him really rapping it to them, the way they did. He said, "That bunch of clergymen coming down the road, them collars turned around..." Going down there where they had no business to go, sticking their nose in something. But they was going down the road [Brother Branham claps his hands--Ed.] clapping their hands and patting their foot. Well, they looked like unholy-rollers. Now, you see, but they got something they--they believe in. They got something; it excites the soul. They got something they was excited about. Some woman went and stuck her head in something down there, and they thought she was a martyr, and she had no business to be into. Now, we find that these men [Brother Branham claps his hands] had something they could clap their hands about. They were happy. They were doing something.
Well, if you can do that for a--a principle that you think is right here; and then stand in a church and somebody clap their hands or pat their foot, the deacons would lead them out the door... See, they have turned their people to a filthy cesspool of creed and denomination, instead of feeding them on the blessed holy Word of God that's delivered by the power of the resurrection of Jesus Christ.
129 See, they try to... They quench their thirst by saying, "I am Doctor So-and-so," or come out of a certain seminary or a certain school. But that don't mean one thing, not a thing. But, you see, they--they try to satisfy themselves, say, "Now, God will recognize me because I am His pastor. God will recognize me because I am holy Father So-and-so, or Bishop So-and-so," or--or something like that. They're trying to satisfy their thirst there, when you can't do it. "I got a Ph.D., LL.D. I got my Bachelor of Art. I got this." That's all right. But, to me, that just means you're that much farther away from God (That's right.), that much further away from God all the time.
You only know God by an experience. You cannot educate This into you. It's borned into you. It's something that God gives you. Education has nothing to do with It. One of the greatest men in the Bible couldn't even sign his name, Saint Peter. That's exactly right, and him and John, the Bible said they were both ignorant and unlearned. But it pleased Jesus to give him the keys to the Kingdom, because he was thirsting for God (Amen.), thirsting for God, fellowship. Yes, sir. Oh, my.
131 I think of Isaiah, that young man, oh, a fine young man; he was down there in the temple one day. The great king had, he put his faith towards him and thought he was one of the greatest men, which, he was a great man. He was raised up, fine parents, a good mother and dad. But when he went out, his politics was clean, and he--he made things right with God. And Isaiah looked at him and thought he was a great man, put him for an example. But don't you never put no man, but the Man Christ Jesus, for your example. All men will fail. After while, he got to a place; he was--he was king, but he tried to take a priest's place and went into the temple, and he was stricken with leprosy.
Then Isaiah was all worried, so he goes down to the temple and he begin to--to pray; he thought he would go down and pray a while. And now, look, that man was a prophet; but down there in the temple as a young man, he was crying out to God one day, and a vision fell before him. And when he did, he seen Angels, Cherubims, with Their faces covered with Their--with Their wings, and Their feet covered, and flying with two wings. And They were going back and forth, up-and-down through the temple, crying, "Holy, holy, holy is the Lord God Almighty."
134 And Isaiah, that great thirst that he had had, he--he perhaps was schooled. He--he probably had a good education. He had a--a marvelous conception of what God ought to be. He--he had heard the priests. He had been in the temple. He'd been raised to be a--a believer, but (You see?) he'd never come face to face with It before. See? He--he had a desire to do right. He wanted to be right, but he just had the educational side. He had the theological side of It.
But when he got there in the temple that day, and he seen these Cherubims waving these wings back and forth, and realized that these Angels ministered in the face of God, and them Angels didn't even know what sin was, and to stand in the Presence of God They had to cover Their holy faces, to stand in the Presence of God, then that prophet cried out, "Woe is me, for I am a man of unclean lips. All of my theology--theology and stuff that I've learned, all of my marvelous conception that I had of God, I'm face to face with it now." He said, "I'm a man of unclean lips, and I dwell with people that's unclean lips." All their teaching of the laws, and things they had done, had never reached that place to where he come into the Presence of God, and seen God with his own eyes, and His trail when He was setting up on High in the heavens. And there he was face to face with reality. And he cried, "I'm a man of unclean lips, and I dwell among unclean people."
136 Then it was that the Cherubim took the tongs, and a coal of Fire from the altar, and touched them unclean lips, and turned him from a coward, or from a educated man, a teacher, to a prophet that the Word of God could speak through. Sure, while he was in the Presence of God, It was something different. That thirst that he'd had, had reached that place then, till he was filled with it.
And let me tell you, friend, I don't care how many churches you join, how many names you put on, which a way you go, and whether you're sprinkled, baptized, or whatever you are; until you meet that Person, Jesus Christ, that--that's the only thing that'll really satisfy.
Emotion won't do it; you might jump up-and-down and shout as long as you want to, or you might run up-and-down the floor, and you might speak in tongues as much as you want to. And them things are holy and good. I don't say--I don't say nothing against that. But until you meet that Person, that satisfying Portion, that Something that takes every fiber in your body, not by emotion, but by a satisfaction...
139 Used to see a little sign, said, "If you're thirsty, say Parfay." There used to be a little drink when I was a boy, called Parfay. I remember coming down the road, oh, from fishing, I had been up to the pond, old stagnant waters. And I was about starved to death, and I seen a sign say, "If you're thirsty, just say Parfay." And I started saying, "Parfay, Parfay." I got thirstier all the time. And I--I... See, I--I--I got so I couldn't even spit after while, I was so--so thirsty.
Well, you see, that won't do it. There's nothing will satisfy it. I don't care; you can drink cokes; you can drink anything you want to, with them sweetened bicarbonated waters, and so forth, there's nothing that will satisfy the thirst like a good cool, cold stream of water. That'll quench that thirst. All these other things are substitutes.
141 And why would we want to take a substitute when there's a genuine baptism of the Holy Ghost that satisfies every fiber and longing in the human soul, can stand right in the face of death, like the great Apostle Paul said, "O death, where is your sting? And, grave, where is your victory? But thanks be to God, Who gives us the victory through our Lord Jesus Christ." That's the experience, brother; that satisfies that holy hush that--or that holy thirst that's in you. It satisfies it. You don't have to--to do anything else about it. Yeah, It cleanses the lips.
And there also, just people who live upon the emotion, upon the... Some people say, "Well, we got a lot of that in our Pentecostal movement." And they'll go in, which is fine, they'll pat their hands [Brother Branham claps his hands--Ed.] and play the music. The music stops, "sh, whew," a bucket of water went over everything. See? Now, we--we do that... We--we got in a habit of doing that. We got, we--we... It's just become one of our customs.
143 Let me tell you something. When you worshipping God, in the Spirit and in Truth, when it becomes a custom for you to do it, because you think you ought to do it, because you think if you don't shout, or jump up-and-down, or dance with the music, your neighbor's going to think you're backslid; you're drinking from a stagnated stream. Right.
Until It fills every fiber, until the Holy Spirit Itself's bubbling in you; I don't care whether the music is playing, whether they're playing "Nearer, My God, To Thee," or whatever it is, the Holy Spirit's still ringing the glory bells in your heart. That satisfies. That's God's satisfying Portion. Anything less than That, you're done.
You might speak with tongue like men and Angels; you might give all your goods to feed the poor; you might prophesy, and you might have knowledge, understand all the mysteries and all these things, and you still become nothing (I Corinthians 13) until that satisfying Something that can only quench that thirst...
"My soul thirsts for the living God, like the hart panting for the water brook. Unless I can find It, I'll perish." When you get to hungering for God like that, something's going to take place. The Holy Spirit is to lead you to those great fountains of God. Yes, sir.
147 Now, there is a good thing: to worship in the Spirit. That's true. But sometimes you have Spirit without Truth. St. John 4, said, "We worship God, Spirit and Truth." And Jesus is the Truth. That's exactly right. And He is the Word.
The streams God sent to satisfy you in the natural, Satan has polluted every one of them. He's put the poisoned dope in every one that he could get into. That's right. He took that great stream of the church.
That, that was God's way. Jesus said, "Upon this Rock I'll build My church, and the gates of hell can't prevail against It."
Now, there's different arguments of that. The Roman people, the Catholic says, He built It upon Peter. See, and if that be so, Peter backslid in shame. So It wasn't. It sure wasn't built upon Peter, Petra, the little rock. And then the Protestant says, that He built It upon Himself, Jesus Christ. Not to be different, but I different with them. He never built It on either one. He built It upon the revelation of Who He was. He said, "Blessed art thou, Simon, son of Jonas, flesh and blood never revealed this to you, but My Father which is in heaven has revealed this to you." Not by knowledge, you didn't learn it by books. You didn't learn it by joining church. You didn't learn it in the shops. You didn't. But the Holy Ghost Itself has brought the Person of Jesus Christ to you then, "Upon this Rock I'll build My church, and the gates of hell can't prevail against It." That holy thirst has been satisfied in the Person of Jesus Christ. There you are. That's the thing that we want to look for, satisfy that thirst with That. All right, we find that we must a...
152 Knowledge? Oh, my. Knowledge is a great thing. We fill up, and today we're full of it. But you see, knowledge... As I was saying the other day, speaking on that subject of knowledge, there was a man standing outside, was talking to a friend of mine standing there, said, "If a man don't believe in education, why is he reading the Bible?" They...
I thought, "Well, if they didn't get what the Lord Jesus said, how are they going to get a dummy like me, what I say?" They couldn't even understand Him, as plain as He was.
He said there one day, "Except you eat the body, the Blood, drink the Blood and eat the body of--of the Son of man, you have no Life in you." He didn't explain It. He walked on. That's right. See?
"Why," they said, "this Man's a cannibal. We want Him... To eat His body, drink His Blood... He's a vampire. See, He wants us to become a vampire." See them intellectuals?
But He said, "My sheep hear My Voice." See? It would come to the Elected, God had elected by foreknowledge. "And those who the Father... No man can come to Me except the Father draws him. And all the Father has given Me, they will come; they'll understand it."
Them disciples couldn't understand it, but they believed it. See? That's right. If you believe it... I can't understand many things. I believe it anyhow (See?), because God said it was so.
158 Knowledge, you know, Satan's Gospel is knowledge. Did you know that? He preached it in the garden of Eden to Eve, and she was deceived by his knowledge gospel. Now, and has polluted the whole human race with it. That's exactly right. They've took educational programs, put them in the church. They're all right out there, but not in God's Word. No, sir. You don't know God by education. You don't know God by--by--by knowing how, learning mathematics and pronouncing big words.
Paul, he was a smart man. But when he come to Christ and received the Holy Spirit, went to the Corinthians, he said, "I never come to you with enticing words of man's wisdom," though he could've done it. Said, "I come to you in power and manifestations of the Holy Ghost, that your faith would be in God, not in the wisdom of some man."
Now, sometimes we make the church programs. They also call for their--their pastor. The church goes to vote the pastor; they say, "Well, this pastor now, he's got two degrees in college. He learned four years of psychology. He took this, that, the other." And they'll vote that kind of a man in (why?) instead of a pastor who believes in God's Word being inspired and being God, and will preach the Word regardless of how people feel about it.
161 God told Ezekiel, you know, said, "Preach that whether they believe it or not. You preach it anyhow." See? Right. Whether they accept it, or not, that ain't it. They didn't accept Jesus. He went right on preaching It just the same. See?
Instead of a real pastor that will really preach the Word and believe in God, they--they--they try to bring in the--the intellect, the man who's got the best education, the man who can stand in the pulpit and don't take but just about fifteen minutes so they can get home right quick, and go some--do something else, and Ricky can get his hot rod and start out, and--and they can go to the twist parties and everything. And it's, oh, it's--it's just it's a--it's nothing else but a hybrid educational pollution. That's right. That's just exactly what it is. That's right. But what is it? It satisfies their taste (See?); it satisfies a worldly church member's taste.
It don't satisfy a saint's taste. He'll take the Word every time.
But they say, "Oh, well, now them people's just a little off at their mind. See, they just don't, they don't get it. They, they're trying to live in a day gone by."
164 Isn't it strange I come out here in the west, and I find out they're all trying to live in a day gone by. They always want some of the old fashion cowboy days. And go down in Kentucky, the old fashion hillbilly days, they want to act like it, have programs of it. But when it comes to old fashion religion, they don't want nothing about it.
Old-fashion days? I come down here in the rodeo time; I seen they had a big woman down there, that green stuff under her eyes, and short bobbed hair, a cigarette in it's mouth. Why, if they'd have seen that back in the old days, they'd have thought she was cankered somewhere. They, they'd--they'd--they'd have put her in. What if your mother would've walked out, dressed like you and your daughter dress today, what would taken place? They'd had her in the insane institution. Sure, she come out without her skirt on. Well, now remember, it's the same thing today.
Men is rottening in their flesh. If they're going through the middle age between twenty and twenty-five years old, their brain cells are rottening too. They haven't got... People has got so they haven't got enough understanding. They don't know what decency means. They don't know the difference between right and wrong. And, oh, though, their educational program, they...
167 Did you know, education (I can prove it to you,) is of the Devil? Not to read and write; but I mean, putting their education in your church.
What does communism lay on? Science, education; that's their god. Satan (See?) that's what he introduced to Eve. That's what they're still holding to. Now, it's got over in our churches, got over in the Baptists, Methodists, and Presbyterian, Pentecostals, and all. Some education, intellectual, some great so-and-so and something like that, that just throws him farther away from God. It's wrong. Yes, sir. Now, we find out, that they--they--it satisfies their desire. When a--when a--a church would vote in something like that, it goes to show what's in that church's mind, what their desire is, what their thirsting is for. They want to say, "Our pastor's wide minded. He don't mind us mix-bathing, and he goes with us."
170 A little girl told my Sarah there the other day. Her pastor had been to Africa; and when he come back, she stripped off her clothes that night, with a pair of little tights on, and done the watusi for him, to entertain him 'cause he had been to Africa. The Watusi's a tribe over there, you know. Boy, I'd like to see one of my girls in my congregation try to do something like that: watusi?
See, it goes to show... And a pastor would set and look at one of his congregation, a little sixteen or eighteen years old girl out there stripped off like that, and let her get by with that, that shows that he come out of a cesspool himself. A man of God do a thing like that?
Certainly. That sounds flat, but I realize I'm preaching across the nation too. But you know this also, brother, sister, let me tell you, that's the Truth.
173 A vulture wants dead things. That's right. And that's dead. That's exactly right. Plainly shows, it just plainly show here what is their head and their control tower, what it's giving them (See?), what's in their soul. Their soul longeth for things like that.
Their soul longeth for a high intellectual church, where the people dress real fine, and the pastor takes fifteen minutes, or twenty. And if you go over that, they throw him back on the deacon board. And he mustn't say nothing about sin. He mustn't say anything about wearing shorts, and wouldn't say nothing about people doing this, that, or the other. He mustn't mention that at all. If they do, the board will have him throwed out. See what it is? That's their thinking man's filter.
The Bible said in I John 2:15, "If you love this world system, or the things of this world, it's because that the love of God's not even in you."
176 Now, what about all this carrying on they done today in the name of the church: practicing square dancing in the church, bunco, bingo parties, teenagers rock-and-roll, twists, all these stuff. Look at this Elvis Presley, a devil standing in shoes. Pat Boone, Ricky Nelson, the biggest indebtiment this nation has ever had. That's right. They say, "Oh, they're very religious; they sang Christian songs." It oughtn't to... The church oughtn't to even permit a thing like that. Some of these guys go out here, and--and tonight they're in a--a roadhouse out here, dancing and playing music and everything, and the next night they come to the altar and weep, and the next night they're playing music on the platform. Oh, goodness, gracious. How far can filth, how far could filth go anyhow? Yes, sir. Prove himself first to be a man of God, not all this stuff just because he can beat an old guitar or something.
By your desire, you can tell who's on the throne of your heart. By what you love, that's what tells. You, you say, "Well, I think them things are all right, Brother Branham." Well, just remember now; in your heart you know what's there. Yes, sir. By what is feeding your soul, what your soul is thirsting for, and you can see it satisfies that; if it isn't this Word, then there's something wrong, because the Holy Spirit lives on the Word only. See?
178 I want you to see another great danger, just before we close, if you are not--if you're not guilty of any of these things that I've mentioned, and that is, the danger of neglecting a thirst. See? You say, "I have a holy thirst. But I--I'm not guilty, Brother Branham, of just go and joining church, and things like this." But, see, to neglect a thirst. If you neglect to satisfy a thirst of water or food, you'll die. And if you neglect that thirst in you for God, you'll spiritually die.
You call for revivals; you wait for your church to have a revival. Well, that ain't--that ain't the revival for you. The revival ought to begin right in you, when you begin to thirst for God. There might not be another member of the church wanting that revival. If it breaks out in you, it'll break out other places. See? But, see, you neglect that thirst.
You neglect to milk the cow, when the cow is--the udder is full of milk; and if you let that cow stay like that, she'll go dry. That's exactly right. If you neglect to take a drink of water, say, "I just ain't going to drink anymore," you'll die. You neglect to eat food, you'll die. So if you neglect to give the Holy Spirit the Word of God, you'll die.
182 You Christians, you Baptists, Methodists, Presbyterians, Pentecostals, Assemblies of God, Oneness, Twoness, Threeness, whatever you are (See?); don't care... That don't matter nothing to me; I don't think it does to God. See, you're an individual; you're a unit. You'll never go to heaven as a church, a--a--a denomination. You'll go to heaven as one single person, between you and God. That's all. I don't care what church you belong to.
And if you neglect to read the Bible and to believe the Bible, and the Holy Spirit to feed upon That, you'll die. Jesus said in St. John 4:3, the Scripture I got right... Jesus said that, "Man shall not live by bread alone, but by every Word," not just part of It.
We take a little bit here. I call that a Bible hitchhiker. They say, "Well, I believe This, but now let's go over here. See?" See?
You've got to take it Word by Word. Jesus said, "Man shall live by every Word that proceedeth out of the mouth of God." Did you know that?
And, you know, we've made--we've made the day that we're living in, we--we made this day the--a--a--a religious perversion.
187 My daughter called me in not long ago, and said to me, "Daddy..." (in the next side of the house), she said, "come over here, we're going to have a religious program on." It was a singing, hymn singing, and there was some little Ricky reading it up there. And if I ever seen a sacrilegious movement, it was that. Them guys up there, and people, looked more like it was a floor show. Supposed to be an Indian tribe, and they were carrying on, and--and jump up and box at one another.
Why, what's went with the sincerity? Where is those old fashion hymns we used to sing, and rejoice in the Spirit of God, and tears roll down our cheeks? And now we try to hold our breath until we ain't got enough breath in us, till our face turns blue, to try to show that we're some sort of a singer. See? We've copied that off of Hollywood, and all these programs that we see through this intellectual hymn sing and training of voice. I--I like to hear good singing; I like to hear good old fashion, heartfelt, Pentecostal singing. But I sure hate to hear that squeaking they call singing today. That's right. I think that's the most ridiculous thing. It's a perversion. That's right.
189 I like to see a man when he's a man. I hate to see one with--with his wife's underclothes on out here, and slicked up along the side; and--and a roller hanging down here in front, and two cones of hair hanging down like bangs cut in front. That, I--I couldn't call that a man. He don't know what side of the race he belongs on. See? That's right. You see, the woman, look, the woman is trying to cut her, make her hair like the man; the man's trying to make his hair, bangs, like the woman. The man is wearing his wife's underneath clothes; she's wearing his overalls (See?), just a perversion, right around.
And that's the same thing it is with nations, with people, with churches, with everything. Oh, God, where's the end of the thing? The coming of the Lord Jesus Christ, that's the end of it.
191 So if you neglect to feed the Holy Spirit the Word of God... Jesus said, "Every Word shall be by the Holy Spirit." And listen now. If you try to feed it the wrong thing, if it's the genuine Holy Spirit in you, It'll know the difference. Now, remember, the Word of God is what the Holy Spirit feeds on. It don't feed on enthusiasm. It don't feed on education. It doesn't feed on church going. It doesn't feed on theologies. There's a lot of difference between an inspired something and a theological standpoint of it.
All those theologians in the days of Jesus, my, they had word by word, page by page, all laid out, the Messiah had to come this way. That's exactly what it was. And they every one missed it. You know what Jesus said when He come, said, "You are of your father the Devil, and his works you'll do."
It wasn't revealed to them what the real Word was. See, they missed those little corners, like they're missing today. "If you'll belong to this and belong to this, you'll be all right." Don't you believe that. You got to belong to Christ. And if there's Something in you, hungering for Christ...
194 Just remember, when you were in your father's loins, you were with him then. But your father didn't know you then, and you didn't know your father. And you had to come and be born. God made a way through your mother, for the--the seed bed, and then it come. And then you become a man or a woman, whatever it was, then you recognized your father, and your father could have fellowship with you.
Now, remember, if you've got Eternal Life, your Life was in God at the beginning. And the Life... God is the Word. And then when the Word was made flesh in Jesus Christ, God coming down to dwell in His Own body, made Hisself the Son of God, when God came down to dwell in that, you were in Him when He was crucified. And you were crucified with Him, and you died with Him on Calvary. You was buried with Him on the mountain. And you rose with Him, on Easter morning. And now you're setting together in heavenly places in Him, and now you've got fellowship with Him. See?
God Himself become one of us. "No man has seen the Father at any time, the only Begotten of the Son--Father has declared Him." That's God became a man, so He could fellowship you as a man. See? And now you're--you are flesh, and He's flesh. God is made flesh among us in the Person of His Son Jesus Christ. And in Him was God. He was God, nothing short of God. He was God, God manifested in the Son Jesus Christ, which made Him Emmanuel, as the prophet said He would be.
197 Now, see, then you had to be; before the world was ever formed your name was put on the Lamb's Book of Life. And then what can you eat? The Holy Spirit lives by the Word of God. And now, in Revelations 22:19, the Bible said, "Whosoever shall take one Word out of This, or add one word to It, his part will be taken from the Book of Life." See how deep it is? You cannot... The Holy Spirit won't live on the things of the world.
Like a dove bird and a crow. A crow is a big hypocrite. A crow, that fellow can go out here and can eat wheat all day long, and go over there and fly on a--an old dead carcass, and eat it too. He can set in the field, and he can eat with the dove, wheat, and go over and eat on the dead carcass.
But the dove can eat wheat all day long, but it can't eat on a dead carcass, because it's a dove. And a dove don't have any gall. One bite out of that dead carcass, it'd kill the dove. See, it has no gall. And that's the way it is, no bitterness.
And that's the way with a real, genuine Christian. They don't want the things of the world. They just eat the Word of God, and That alone, what's clean, the thinking man's Filter. See? They come through That and That alone. The dead things of the world, it stinks to them.
Look at the old crow in the days of the antediluvian destruction, flying from body to body, eating them old dead carcasses, he didn't come back to the ark. But the dove could find no rest for her feet (See?); she come back to the ark where she was getting grain. And that's the way we do; we live by the Word of God.
202 In Psalms 42... David must have wrote this Psalm, Psalms 42, when he was a fugitive, when he said, "My soul thirsts after Thee, as a hart panteth after the water brook." Look, he cried. David was a fugitive. He had been... He had the anointing oil on him; he knowed he was going to be king. The prophet had anointed him king. Now, notice. And there he was, he had a little bunch of soldiers made up of Gentiles, and so forth, was up on top of the mountain... Where his own beloved city, because of their sin, they were garrisoned all around with the Philistines. And David, on that hot day, it must've been when he wrote this Psalm, "As the hart panteth for the water brook..."
Notice David in this condition. He looked down; he looked at his beloved city. And he remembered when he was a little boy, he used to take the sheep out by this certain pool there. It was a great, great water country, and also bread country down there. Really, "Bethlehem" means "the house of God's Bread." And then when David remembered going by there and drinking that good cool water, and here he was laying up here now, a fugitive, away from his own people. He had no place to go, and his soul must've cried for that good cool water.
204 He had some servants there that, my, just the least of his desire was a command. And they, three of them, fought their way through that line of Philistines; fifteen miles, seven miles, or something, down and back; cutting their way through, and brought him a drink of that water. But the soul thirst...
His body, he was up there, probably had to drink out of anything he could get ahold of, some old goatskins and things, with some old hot water in, on that hot day. He thought, "If I could just lay down and quench this thirst that I have... If I could just go down there to Bethlehem and lay down by that spring and drink."
206 And when they went down and got the water and brought it back, his soul thirst was so greater, not for Bethlehem, but from Jerusalem; his soul was. So he sacrificed the water, said, "I wouldn't even drink it." He poured it out upon the ground. See, his soul was more thirsty for God, than it was to satisfy the quench of a good--his thirst of his body, with a good cool water. He poured it upon the ground.
See, the house of God, the soul-cooling waters of Jerusalem, which is above... Jesus said, in John 6:33, "I am the Bread of Life. I am the Bread of Life." "Bethlehem," "house of God," our church, earthly Church of God, the church that's here on earth. We love to go to the church here on earth, but greater is Jerusalem, which is above, which is God. Jerusalem above, which is God. Greater is that soul's thirst to be there with Him, than it would to be just to satisfy yourself with joining a church somewhere. See? Joining a church don't satisfy that thirst. David proved it here. The waters right from the house of God (See?), he poured it out upon the ground to find favor, to get a good cool drink from God. Even on that... Greater than the thirst that's in you is that thirst of the soul-thirst for God.
208 Notice Jerusalem, the word... "Jerusalem is from above," the Bible said, "which we're... is the Mother of us all." And Christ is our Mother. We realize that. God is our Mother, for we're born of Him. The word simply means "peace," Jerusalem, Shalom. Or, Shalom, which means "peace," Jeru-shalom (See?) means "peace."
Greater should be the thirst of any soul for the waters of Life than to say you belong to a church. The thirst of the soul can't be satisfied, the real true thirst... It can be perverted. You can think you're all right when you join church, but that isn't it. That won't satisfy the genuine holy thirst for God. It just simply won't do it. It just... It's just not there.
210 Now, David said in Psalms 42:7 here, "When the deep calleth unto the deep, at the noise of Thy waterspout..." the soul's call...
Look, I've often used this as an illustration. If there's a fin on a fish's back, it had to be put there for him to swim with. He has a need for that. Now, what if he'd say, "I'm going to be a different fish. I'm going to be a smart, educated fish. Uh-huh, I--I'll just... I'm going to believe some real theology. I believe I don't have to have that fin"? He wouldn't get very far in the water, would he? And that's exactly right.
What if a tree said, "Now, I know there had to be an earth first for me to grow in. That's right. I'm supposed to grow here. But I'm going to be a different tree; I want them just set me out here in the middle of the street, so I can be noticed"? See, he wouldn't live very long. See? That's right.
When the deep calleth to the Deep it takes more than joining a church. It takes more than shaking hands with the preacher. It takes more than living a good, straight life. It takes something to satisfy inside of you, that pours down from God into the soul. "The deep calling to the deep, at the noise of Thy waterspouts, O Lord. The deep calling to the deep..."
214 What kind of a thirst could we think was in us tonight? We, as Pentecostal people, where are we getting to? What kind of a thirst is in us? What kind of a thirst is in me? What kind of a thirst is in you? Don't try to hush that holy thirst for God.
Years ago, when they used to have gold out here in the mountains. I read a story, many years ago; it's always stuck with me. It said there was a--a prospector went out here somewhere beyond the mountains here and was prospecting for gold, and he struck a rich claim. And he come back, thinking, when he got to the city, what he would be, his troubles was all over. And--and he--he tried to--to say, "I... Tomorrow I'll get in and I'll..." Just one day's journey, he'd be into the city, and he'd have the gold. And he had big sacks full of it.
216 He had a dog with him. Not comparing now the dog to the Holy Spirit, but as I'm making an illustration. But this dog...
Through the night, the prospector laid upon his bed, and--and he begin to think, "Now, tomorrow I'll--I'll take all my gold in, and I'll become just what I've always wanted to be. I--I--I always wanted to be a rich man. I--I wanted to own fine things, and so forth."
And--and then this dog begin to bark, and because there was an enemy approaching. And he--he went out there, and he said, "Shut up." And so the dog quieted down. And no more than got back in bed, he started like he was going to go to sleep, and the dog started again, just jumping at the chain. And he went to the door again, said, "Shut up. I want you to know that tomorrow I'm a rich man." See? And that was his great dreams.
219 But the dog started barking again. And finally, he got so discouraged, he went and got his shotgun and shot the dog and killed it. He said, "I don't have no more use for you anyhow. Tomorrow I'm a rich man. I'll become a rich man tomorrow."
And he set the gun down in the corner, turned his back over to the door, went to sleep. And the man had been following him for days, slipped in and killed him. He wasn't a rich man (See?); he stopped that warning buzzer that was trying to tell him his life was at stake.
221 And, brother, sister, you will never be able to... Don't never try to hush that holy calling in your heart (See?) by joining a church, by reciting a creed, by belonging to a certain organization.
There's only one thing can satisfy it; that's the Person, Jesus Christ. "As the hart panteth for the water brook, so my soul thirsts after Thee, O God. My soul thirsts for the living God." See? There's something in you, that wants to see the moving of God. Your soul thirsts for it. Don't stop anything short of That.
Don't let some pastor tell you, "You just have to shake his hand, join the church, or belong to this organization." Don't you kill that holy hush. It's warning you. Someday will come when you'll come down to the end of the road.
224 Like a little lady in our city we come from. She told the... A little girl went up there to church, and a very fine little girl. And she was coming down the street. She had long hair, you know, and her hair pulled back like a slick as a peeled onion, nearly, and her face looked--no makeup on. And this girl used to make fun of her, said, "If you didn't have that flat-headed preacher you got up there," speaking of me, said--said, "you could look like something decent. But you look like something out of an antique shop." And, oh, she just really raked her over the coals, every time she could see her like that. Said, "Our pastor's broad-minded." Said, "He--he--he knows them. That, why you do like that? That don't mean anything, how you dress or think." It does. God's Bible says it does. We shall live by every Word.
So this little girl never paid a bit attention to her, went on. She's a missionary now.
226 So then this--this young lady took a social disease, and she died. A friend of mine pumped the embalming fluid in her when she was dying. He told me, said... After she was dead, he kept smelling the fluid. She had a hole eat in her side, social disease. They didn't even... Even her parents didn't know what was wrong with her. And she died. But before she died...
She taught Sunday school. And all of her little Sunday school group come in; they wanted to see her when she went off to heaven, the Angels come and pack her away. And her pastor outside, smoking a cigarette, walking up-and-down the hall in the hospital... And they was all going to sing when she was going to die, you know. They knowed she had to die. Doctors said she was dying, so they was all going to see the Angels come, pack her away.
228 And all at once, when she faced the reality... Now, she was a loyal church member, she was a Sunday school teacher, and a loyal church member of a fine big denominational church. But when she started to struggle, death struck her; her eyes bulged out, and she said, "I'm lost." She said, "I'm lost. Go, get the pastor."
He put his cigarette out and walked in, said, "Here, here. Here, here. We'll get the doctor to give you a hypo."
Said, "I don't want no hypo." Said, "You deceiver of men. I'm dying, and I'm going to hell. And I'm lost because you failed to tell me the truth. Go get that little Gooduse girl, and bring her up here to me, real quick. She's right."
Wait till you face the reality once. Don't you try to stop that holy hush. Don't you blast it away with some modern, educational, double-barreled shotgun. You listen to that warning of the Holy Ghost tonight, that's warning you, "I am the Way, the Truth, and the Life; no man cometh unto the Father, but by Me." And He is the Word.
232 Let us bow our heads just a moment. I want to quote one more Word of the Lord Jesus, while you're thinking about it. Jesus said in Matthew 5, "Blessed are they that do hunger and thirst." It's even blessed to have that thirst in you. Have you come to a spot that your--your--your whole system has been so polluted by denominationalisms, and little cults and clans, and things, little church orders, social, like joining lodges, and so forth, from church to church? Has the Devil been able to put that water of pollution, and you're slopping out of it, like a hog in a trough? When, you don't even know what the real quenching thirst of God, to see Him, a reality, by the Holy Spirit living in you, manifesting. If you're--if you're that way tonight, if you're still thirsting for God, let me tell you:
There is a Fountain filled with Blood,
Drawn from Immanuel's veins,
Where sinners plunged beneath the flood,
Lose all their guilty stain.
That dying thief rejoiced to see
That Fountain in his day;
There may I, though vile as he,
Wash all my sins away.
Ever since by faith I saw that stream
Thy flowing wounds supply,
Redeeming love has been my theme,
And shall be till I die.
233 If you've got that thirst tonight to know more about God, and to come closer to Him, will you just raise up your hand now while every head's bowed, say, "Pray for me." O God, look at the hands.
Out into the land where the broadcast is coming now, from east, north, west, and south, you in them rooms, raise up your hands to the pastors and whatever is there, that you desire, you--something in you, thirsting for God. That holy thirst, don't satisfy it. Oh, you say, "Brother Branham, I--I shouted once. I danced in the Spirit." Don't--don't--don't take that. No.
Wait till that satisfaction comes, the satisfaction portion of the fullness of the Holy Spirit comes in, then these joy bells of shouting, and speaking in tongues, and dancing in the Spirit will come. You won't have to do it by the music. You'll do it when you're going down the road in your car. You'll do it when you're sweeping the floor. You'll do it when you're driving nails in the wall, with your carpenter work. Wherever you are, that joy unspeakable and full of glory... Now, let us pray.
237 Dear heavenly Father. Long, lengthy, drawed out, this little message tonight, but, dear God, may Your Holy Spirit deliver the--the meaning to every heart. Right in this church, tonight, there was just multiplied numbers of hands up, all the way around the halls and everywhere. We--we pray, dear God, for them. Oh, may that satisfying Portion of God, which is Christ, the Hope of Glory, the Hope of Life in you, may it come to each one of them.
Way out across the nation, from California, way up in New York now, where it's early in the morning, they're listening in up there; over in--in New Hampshire, and--and down along in Boston, and all the way down in Texas, through Indiana, out into California, and around. O God, look at those hands; look what's beneath them, Lord, that heart there that's hungering and thirsting.
239 This perverted day, where the Devil's blinded people's eyes, just to join church, and say, "That's all you need." And they still look at their own self and see the way they do, and the desire they have to be like the world and...
When, the Bible tells us, "If we even love the things of the world, the love of God is not even in us."
Just think, Father, how perverted that he can make that real true Word, how that they can say, "Oh, we believe the Bible, but not This. We don't believe This. We believe This was for another age. We believe this is That," because some denomination has twisted their minds into that cesspool.
When Jesus said, "Whosoever shall take one Word out of This, or add one word to It, his part will be taken from the Book of Life."
Dear God, think of the disappointments there at judgment when people's lived a good, clean, holy life, went to church just as loyal as they could be, and lost.
244 Think of those Pharisees, how from little boys, they trained in the Word, come up through schools and everything, holy (had to be, or they'd be stoned to death), and Jesus said, "You are of your father the Devil."
How that Israel went down there... And let this be a warning to the Pentecostals, Lord, across the land. How that Moses, a prophet, came down into Egypt to fulfill the Word of God, to bring the evening light to them. How they seen the great miracles of God. How they followed him, crossed the Red Sea, was baptized unto him, went into the wilderness and eat Angels' food that fell from heaven, and then refused to take all the Word, when they come back from Kadesh-barnea, to Kadesh-barnea, from the--from the promised land, and said, "They're like giants; we can't do it." When God said, "I've already give you the land": borderline. Jesus said, "They are every one perished." They are dead, lost, without God, though they done all these things. They seen these miracles; enjoyed, danced up-and-down the seacoast, with Miriam, when they beat the tambourine. And only three out of the two million went in.
246 We realize, Father, that when the sperm, the genes from the male and female come together, there's only one out of a million that's accepted. One germ from the male finds the fertile egg of the woman, the female, and a million others perish.
There's a million, two million, come out of Egypt; two, Joshua and Caleb, entered the land. One out of a million, Father, I--I tremble when I think of that. Think, across the world today of five hundred million Christians, that'd be five hundred if You should come tonight. O God, let us remember that every Word of God stands a memorial. We must believe It. We must obey It.
And when You said, "Repent, every one of you, and be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of sins, and you shall receive the gift of the Holy Ghost; for the promise is unto you, and to your children, and to them that's far off, even as many as the Lord our God shall call." And, God, You are still calling tonight, and the promise is as long as You call.
And clergymen has twisted the minds of those people, and directed it by an educational, denominational school of theology, to a thing to say, "Oh, you just believe." The Devil believes also, but he can't receive the Holy Spirit. Judas Iscariot was a--done all the--the rest, the disciples did, preach the Gospel; but when it come time for him to get the Holy Ghost, he showed his colors.
God, may the people of the land tonight realize that without that experience, they are lost. May it be tonight that their souls will be satisfied with Thy Portion, Lord, as we commend them into Thy hand. They are Yours, Lord. We're only responsible for the Word. I pray that they'll believe with all their heart, and be filled with the Holy Ghost. We ask in Jesus' Name. Amen.
251 I love Him, I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree.
Oh, is He your satisfying Portion? Oh, my. You love Him with all your heart? Now, them words are sometimes cutting, but let's just sing in the Spirit now (See?), each one of us now. Let's shake hands with the brother setting next to you, sister, and just say, "God bless you, pilgrim," as we sing it again.
I love Him, I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's...
Now, we shook hands with each other. Now, let's just close our eyes and sing in the Spirit, raise our hands to Him.
I love Him, I love Him,
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree.
253 Oh, isn't He wonderful?
Wonderful, wonderful, Jesus is to me,
The Counselor, Prince of Peace, Mighty God is He;
Oh, saving me, keeping me from all sin and shame,
Wonderful is my Redeemer, praise His Name!
Oh, wonderful, wonderful, Jesus is to me,
Counselor, Prince of Peace, Mighty God is He;
Saving me, keeping me from all sin and shame,
Wonderful is my Redeemer, praise His Name!
Oh, are you enthused about your experience with Christ? Isn't He wonderful? Doesn't He satisfy?
I once was lost, now I'm found, free from condemnation,
Jesus gives liberty and a full salvation;
Saving me, keeping me from all sin and shame,
Wonderful is my Redeemer, praise His Name.
Oh, wonderful, wonderful, Jesus is to me,
Counselor, Prince of Peace, Mighty God is He;
Oh, saving me, keeping me from all sin and shame,
Wonderful is my Redeemer, praise His Name!
254 You believe that's Scriptural? The Bible said, "Clap your hands. Make a joyful noise unto the Lord." You know, I always wanted to play music. My daughter, Rebekah, is taking piano. My little boy is taking trumpet. But I--I did learn an instrument of ten strings. [Brother Branham begins clapping his hands--Ed.]
Wonderful, wonderful, Jesus is to me,
Counselor, Prince of Peace, Mighty God is He;
Saving me, keeping me from all sin and shame,
Wonderful is my Redeemer, praise His Name!
You love Him?
We'll walk in the Light, a beautiful Light,
Come where the dewdrops of mercy are bright,
Shine all around us by day and by night,
Jesus, the Light of the world.
We'll walk in the Light, it's such a beautiful Light,
It comes where the dewdrops of mercy are bright;
Shine all around us by day and by night,
Jesus, the Light of the world.
255 [Brother Branham begins humming, "Jesus, the Light of the World."--Ed.] Worship God with everything you have. [Brother Branham continues humming--Ed.]
When the saints go marching in,
When the saints go marching in,
Lord, I want to be in that number
When the saints go marching in.
Oh, when they crown Him Lord of all,
When they crown Him Lord of all,
Lord, I want to be in that number
When they crown Him Lord of all.
Oh, when the sun refuse to shine,
When the sun refuse to shine,
Lord, I want to be in that number
When the sun refuse to shine.
You love that? Now, I wonder if you got your feet converted, you don't dance anymore out there for the world? See? Let's pat our feet to the Lord--to the Lord. Is--is your hands converted? You don't steal anymore? Your lips are converted, you don't lie anymore? Just don't get religion in your head, get it all over you. That's it. It takes the whole man. That's right. Now, let's pat our feet.
When the saints go marching in,
When the saints go marching in,
Lord, I want to be in that number
When the saints go marching in.
Oh, when the saints go marching in,
When the saints go marching in,
O Lord, I want to be in that number
When the saints go marching in.
Now, let's just raise our hands.
When the saints go marching in,
When the saints go marching in,
O Lord, I want to be in that number
When the saints go marching in.
When they crown Him Lord of all,
When they crown Him Lord of all,
Lord, I want to be in that number
When they crown Him Lord of all.
257 Don't you love Him?
We'll walk in the Light (He is the Light, you know.), It's a beautiful Light,
It comes where the dewdrops of mercy are bright;
Well, shine all around us by day and by night,
Jesus, the Light of the world.
You believe He's the Light of the world? Do you? Paul said, "When I sing, I'll sing in the Spirit. If I worship, I worship in the Spirit." See? Whatever you do, do it all in the Spirit. That's right. And the Spirit brings the Word to Life. Is that right? That's right. Yes, sir.
All ye saints of Light proclaim,
Jesus, the Light of the world;
Grace and mercy in His Name,
Jesus, the Light of... (Then what do we do?)
We'll walk in the Light, beautiful Light,
Come where the dewdrops of mercy are bright;
Shine all around us by day and by night,
Jesus, the Light of the world.
259 Sorry to confuse you players like that, but I just get carried away. I don't know no better than just to worship. That's the way you do it. Yes, sir. I'm thankful for this opportunity, Brother Mack, to come and fellowship with you and your church here tonight, all these fine people.
And you that raised your hands for the baptism of the Holy Spirit, I trust that you'll meet Pastor Mack here, or some of them, and go back in a room here. And just remember, when God spoke the Word in the beginning and said, "Let there be," there had to be. And He said, "Blessed are they that do hunger and thirst after righteousness, for they shall be filled." See, it's got to happen. Come to visit your pastor here, and stand by him as he preaches the Gospel.
261 Now, let's sing again that good old song; I just love that, "We'll walk in the Light."
Jesus said, "I am the Light," and you're in Him. See? How do you get into Him? Joining Him? No. Shaking? No. Baptism of water? No. "By one Spirit we are all baptized into one Body, which is the Body of Christ." And in that Body is nine spiritual gifts operating through the local body, the local church. That's apostolic, if I ever knew of it. That's right.
So we'll keep in the Light, in the beautiful Light,
It comes where the dewdrops of mercy are bright,
Shine all around us by day and by night, (Thank you, brother.)