Persévérer
1 ...l’habitude de l’annoncer pour être sûr que vous vous rappellerez où c’est. Nous voulons lire dans Matthieu, le chapitre 15 de Matthieu, en commençant au verset 21. Jésus, étant parti de là, se retira dans le territoire de Tyr et de Sidon. Et voici, une femme cananéenne, qui venait de ces contrées, lui cria : Aie pitié de moi, Seigneur, Fils de David! Ma fille est cruellement tourmentée par le démon. Il ne lui répondit pas un mot, et ses disciples s’approchèrent, et lui dirent avec instance : Renvoie-la, car elle crie derrière nous. Il répondit : Je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël. Mais elle vint se prosterner devant lui, disant : Seigneur, secours-moi! Il répondit : Il n’est pas bien de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens. Oui, Seigneur, dit-elle, mais les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres. Alors, dit... Alors Jésus lui dit : Femme, ta foi est grande; qu’il te soit fait comme tu veux. Et, à l’heure même, sa fille fut guérie.
2 Courbons la tête maintenant, pour prier. Je me demande, ce soir, alors que nos têtes et nos coeurs sont courbés, s’il y aurait ici quelqu’un qui voudrait qu’on pense à lui en prière. Voulez-vous simplement le faire savoir en levant les mains vers Dieu, pour dire : “J’ai un besoin, Seigneur, Je Te prie de m’aider.” Que le Seigneur vous bénisse.
3 Notre Père Céleste, alors que nous nous approchons maintenant de Ta Majesté, au Nom du Seigneur Jésus, car Il nous a dit : “Si vous demandez quelque chose au Père en Mon Nom, ce sera accordé.” Nous venons avec toute la foi que nous avons, en croyant que Tu nous répondras selon nos besoins, ce soir, alors que ceux-ci sont nombreux. Tu vois les mains de Tes enfants dans toute la salle, ici, alors qu’ils lèvent les mains. Et Toi seul sais ce qu’il y avait dans leur coeur. Je Te prie d’y répondre, Père, ce soir. Et que tout désir qu’ils ont leur soit accordé aujourd’hui.
4 Nous prions pour ceux qui ne sont pas sauvés et qui ne Te connaissent pas comme leur Sauveur. Nous prions qu’ils T’acceptent, ce soir, et qu’ils trouvent ce qui est entièrement suffisant, ce qu’il leur faut avoir à l’heure de la mort.
5 Il y en a peut-être beaucoup ici qui T’ont déjà accepté, et qui n’ont pas encore été remplis de Ton Esprit. Nous prions que ce soir, Tu déverses en eux l’abondance du Saint-Esprit, afin qu’ils soient Tes serviteurs en ces dernières heures de l’histoire du monde.
6 Guéris tous ceux qui sont malades et ceux qui sont affligés, Seigneur. Tu connais leur besoin.
7 Et nous prions que Ta Présence vienne parmi nous, ce soir, d’une telle manière que nous Te reconnaissions comme notre Seigneur ressuscité. Et quand la réunion sera terminée, et que nous retournerons chez nous, puissions-nous parler entre nous, en disant comme ceux qui revenaient d’Emmaüs ce jour-là, en disant : “Notre coeur ne brûlait-il pas au dedans de nous, alors qu’Il nous parlait en chemin?” Car ils T’ont reconnu à un certain signe que Tu accomplissais avant Ta crucifixion. Et, après que Tu es ressuscité, Tu étais le même Jésus, qui faisait les mêmes choses. Puissions-nous être encore témoins de la même chose, ce soir. C’est au Nom de Jésus que nous prions. Amen. (Vous pouvez vous asseoir.)
8 J’ai passé tout le temps que j’avais, hier soir, sur le thème de Nous voudrions voir Jésus, et, après avoir dû présenter le type de–de réunions que nous avons et comment l’accepter, ce que Frère Borders se chargera de faire, comme à l’ordinaire, pour les étrangers, chaque soir qui va suivre. J’ai pris tout le temps que j’avais, jusqu’à neuf heures et demie [vingt et une heures trente], et je n’aime pas faire attendre les gens. Juste quelques mots, pour faire connaissance, et puis les Paroles du Seigneur représentent... Que Lui parle une seule fois, cela représente plus que ce que qui que ce soit pourrait dire pendant toute une vie, un seul Mot de Lui.
9 J’aimerais donc prendre, ce soir, un sujet que je tire de cette lecture de l’Écriture que Dieu nous a donnée ici comme contexte. Puisse-t-Il nous le donner. Je veux prendre un mot : Persévérer.
10 Ce mot, d’après le Webster, les quelques notes que j’en ai prises, là, il veut dire “persister”, persévérer, et ça, dans la poursuite d’un but, “persister”, voilà ce qu’est persévérer.
11 Des hommes de tous les âges, qui ont foi en ce qu’ils essaient d’accomplir, ont persévéré. Personne ne peut persévérer sans d’abord savoir ce qu’il essaie d’accomplir. Et vous devez d’abord savoir ce que vous essayez d’accomplir, et ensuite avoir la foi que vous recevrez ce que vous essayez d’obtenir. Et cela vous fait persister, quelque chose que vous savez être vrai.
12 C’est comme ça qu’est fondée la foi. La foi n’est pas fondée sur un mythe et sur quelque chose qui, eh bien, simplement de dire : “Va faire ceci, ou faire cela”, sur les paroles d’un homme. Mais la foi se repose Éternellement sur la Parole du Seigneur, sur la Parole de Dieu, qui est la Bible.
13 Or, nous croyons que la Bible est la Parole infaillible de Dieu. Nous croyons qu’Elle est l’entière révélation de Jésus-Christ; qui Se révèle dans l’Ancien Testament, par les prophètes; Dieu qui Se fait connaître à travers Son Fils, Jésus-Christ, et en Lui la plénitude de la Divinité habitait corporellement. Il a été crucifié pour nos péchés; Il est mort, Il a été enterré, Il est ressuscité le troisième jour, Il est monté au Ciel, et Il est de retour ici au Nom du... sous la forme du Saint-Esprit, Dieu qui habite... Autrefois, Dieu au-dessus de nous; en Christ, Dieu avec nous; maintenant, Dieu en nous. C’est Dieu qui retourne dans l’homme, pour adorer, être adoré à travers l’homme, l’intermédiaire de Dieu. Dieu ne fait rien sans avoir un homme comme intermédiaire, comme aide.
14 Et maintenant, des hommes qui ont eu foi en Dieu ont été très persistants dans ce qu’ils essaient de faire. Et, prenons des hommes de toutes conditions sociales.
15 Par exemple, Georges Washington, ici à Valley Forge. Après avoir prié toute la nuit dans la neige, jusqu’aux hanches, il était complètement trempé, jusqu’à la ceinture, et la rivière était toute en glace. Mais il a reçu une vision de Dieu, il a reçu la foi, que Dieu allait lui donner la victoire. Et la–la rivière avait... ne doit pas avoir contenu trop de glace, pourtant. Plus des deux tiers de son armée n’avaient même pas de chaussures aux pieds. Leurs pieds étaient enveloppés dans des chiffons, ils étaient debout par ce froid. Mais il ressentait quand même dans son coeur que Dieu lui avait donné la victoire. Il avait prié jusqu’à exaucement. Le lendemain, nous le savons, trois balles de mousquet ont traversé son manteau sans le toucher. Et la rivière ne pouvait pas l’arrêter, pas plus qu’une balle de mousquet ne pouvait l’arrêter. Il a persisté, parce qu’il avait prié jusqu’à exaucement. Et il avait la foi en ce qu’il faisait, en Celui qui le conduisait, c’est-à-dire Dieu.
16 Rien ne peut arrêter un homme quand il–il persévère, quand il sait ce qu’il fait, et qu’il a foi en ce qu’il essaie d’accomplir.
17 L’une des plus anciennes histoires de la Bible, l’une d’elles, c’était Noé. Noé n’était pas du tout un homme différent. Il était un homme ordinaire, peut-être un cultivateur.
18 Et le monde était mauvais, comme il l’est aujourd’hui, rempli de science et de grands hommes. Ils étaient issus des fils de Caïn. Les fils de Seth étaient d’humbles bergers, des cultivateurs. Mais les fils de–de Caïn étaient des hommes habiles, des bâtisseurs, et–et des inventeurs, et des savants, très intelligents, très religieux. Et ils avaient leur propre forme de piété, mais ils reniaient, comme ils le font aujourd’hui, la puissance de Dieu.
19 Et Noé, qui était un homme juste devant Dieu, un jour, Dieu l’a rencontré dans les champs et lui a parlé, et lui a dit de construire une arche, parce qu’Il allait détruire le monde par l’eau.
20 Or, c’était absolument contraire à toutes les mesures scientifiques de l’époque. Vous voyez, il n’avait jamais plu. Il–il n’y avait pas d’humidité dans l’air. Et Dieu avait arrosé la terre par l’irrigation, qui montait de la terre, par des sources. Et il n’y avait pas d’eau en tant que telle, pas d’eau dans les cieux.
21 La science était probablement plus avancée à cette époque-là. Ils en ont réalisé plus qu’ils–qu’ils ne sont capables d’en expliquer aujourd’hui. Ils ont construit les pyramides en Égypte, les sphinx. Ils ne pourraient jamais reconstruire ça. Ces pierres à une telle hauteur, nous n’avons rien qui puisse les élever jusque-là, ni de puissance pour soulever ça. On ne sait pas comment, mais ils avaient un moyen d’accomplir ça à l’époque d’Énoch et de Noé, avant le déluge. Et peut-être qu’ils avaient atteint la lune, et ils avaient peut-être des astronautes, et ainsi de suite. Nous ne savons pas.
22 Mais Jésus a dit : “Ce qui arriva aux jours de Noé”, une grande civilisation, avancée, comme ils l’avaient, “arrivera de même à la venue du Fils de l’homme.”
23 Et maintenant, peut-être qu’ils, dans leurs recherches scientifiques, ils–ils avaient trouvé quelque chose qui leur permettait de faire une couleur qui durerait jusqu’à aujourd’hui, un genre de teinture, qui ne passerait pas.
24 Et ils pouvaient embaumer un corps, faire une momie, qui ait l’air tout à fait naturelle; aujourd’hui encore, quatre mille ans plus tard, elles ont encore l’air naturelles. Nous n’arriverions pas à faire ça, même s’il le fallait. Nous n’avons pas ce qu’il faut pour le faire. Nous avons perdu la technique, beaucoup de grandes techniques qu’ils avaient.
25 Sans doute avaient-ils des instruments qui prouvaient qu’il n’y avait pas d’eau dans l’air. Et cet homme qui arrive, en s’opposant à la science, et qui dit que “de l’eau va sortir des cieux”.
26 Maintenant, la science pouvait prendre un instrument, et le faire monter en l’air, et dire : “Regarde ici, Noé, lis cet instrument. C’est indiqué sur ce baromètre, ici, s’il y a de l’eau ou non, là-haut, et il n’y en a pas. Or toi, tu dis qu’il y en a là-haut, alors que la recherche scientifique démontre qu’il n’y en a pas là.”
27 Ça n’a pas arrêté Noé. Il a persisté. Il savait que Dieu avait dit : “Il pleuvra”, et que Dieu pouvait mettre de la pluie là-haut s’Il l’avait dit. Il allait le faire, qu’il y en ait ou non là. Donc, il a persisté, une fois qu’il connaissait la Parole du Seigneur.
28 Et quand un homme connaît la Parole et la volonté de Dieu, vous devenez persistant, vous devenez persévérant. Peu importe ce que dit la science : “Eh bien, ils ne peuvent pas faire ceci, ils ne peuvent pas faire cela”, vous le savez quand même. Vous vous êtes emparé de Quelque Chose, et ce Quelque Chose s’est emparé de vous. Vous tournez ensemble. Vous, il y a là quelque chose, vous ne pouvez pas l’expliquer. Peu importe combien ça peut avoir l’air scientifiquement faux, mais il y a Quelque Chose là-dedans qui vous dit que c’est Dieu, et rien ne l’arrêtera.
29 Alors, nous voyons que Noé a tout de suite sorti son marteau, pour construire l’arche, peu importe le nombre de preuves scientifiques, comme quoi “il n’en était pas ainsi, et il n’y avait pas de pluie”. Il l’a cru quand même, parce qu’il avait entendu la Parole du Seigneur.
30 Et c’est là-dessus que la foi est solennellement fondée, l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.
31 Moïse, un autre grand homme, un homme intelligent, qui avait été suscité, né dans le monde pour accomplir quelque chose de particulier pour Dieu. Et il a essayé de parvenir à ce but par ses actes scientifiques. L’histoire nous enseigne et nous dit qu’il était un grand chef militaire, et que sa seule manière de faire quelque chose, c’était d’éliminer en tuant. Il était tellement intelligent qu’il pouvait enseigner la sagesse aux gens intelligents qu’étaient les Égyptiens. Avec toute sa sagesse et tout ce qu’il savait, il a pourtant manqué, misérablement manqué, d’accomplir ce que Dieu avait prévu qu’il ferait. Et en voyant son échec, en ayant tué l’Égyptien et en l’ayant caché dans le sable, et en ayant entendu la réprimande de son frère, ou la question : “Vas-tu nous tuer comme tu as tué l’Égyptien?” Là-dessus, Moïse s’est enfui dans le désert, un prophète fugitif.
32 Après quarante ans dans le désert, où Dieu lui avait désappris les choses du monde, pour le porter à la pensée de Dieu; où Il lui avait enlevé tout son doctorat, et tout, pour pouvoir agir dans son coeur.
33 Quand Son matériau était presque prêt, un jour, alors qu’il paissait les brebis derrière le désert, sur un vieux sentier familier, il a trouvé un arbre en feu.
34 Moïse, qui était un savant, il ne l’a pas abordé à la manière d’un savant. Si vous remarquez, s’il avait été un savant, il aurait dit : “Maintenant, je vais prendre quelques feuilles de cet arbre, et les apporter au laboratoire pour voir de quoi elles ont été vaporisées, la raison pour laquelle elles brûlent sans se consumer.” S’il avait fait ça, alors il n’aurait pas encore été prêt.
35 Mais ce qu’il a fait, c’est qu’il s’En est approché et qu’il a ôté ses souliers, il s’est mis à genoux et il s’est mis à Lui parler, parce qu’il savait qu’Il était surnaturel. De là est venue la Parole de Dieu qui disait : “J’ai entendu les gémissements de Mon peuple, et Je me souviens de Ma Parole. Je t’envoie là-bas pour les délivrer.”
36 Maintenant, quelquefois, sur le sentier du devoir, Dieu appelle Son homme à faire des choses qui paraissent absolument ridicules à l’esprit naturel. Il leur fait faire quelque chose qu’on va complètement tourner en dérision. Par exemple, et si Moïse avait échoué, alors qu’il était un jeune homme de quarante ans, un militaire; et le trône, il avait son pied dessus, toutes les armées de l’Égypte sous son contrôle? Et d’avoir échoué comme ça, et le voilà qui s’en va en Égypte, le lendemain matin, après avoir rencontré cet Ange dans le buisson, sans rien d’autre à la main qu’un vieux bâton tordu ramassé dans le désert, et sa femme assise sur un mulet, avec Gershom sur la hanche, lui, la barbe blanche qui descendait très bas, peut-être jusqu’à la taille. Il avait quatre-vingts ans. Sa tête chauve qui luisait au soleil, et un bâton à la main, les yeux fixés sur le ciel, et le sourire aux lèvres.
Quelqu’un aurait pu dire : “Moïse, où vas-tu?”
Il a dit : “Je m’en vais en Égypte, prendre le contrôle.”
37 Alors qu’il n’y était pas arrivé avec une armée, comment va-t-il y arriver avec un bâton tordu? “Oh, mon vieux, tu as perdu la raison. Tu–tu as perdu la tête.”
38 C’était une invasion par un seul homme. Mais ce qu’il y a, c’est qu’il y est arrivé, parce que c’était une Parole du Seigneur. Et Moïse était décidé, peu importe les probabilités de réussite. Dieu était avec lui, et Lui vaut plus que toutes les probabilités.
39 Si les hommes et les femmes pouvaient seulement penser comme ça ce soir, que la Parole du Seigneur est la Vérité! Il n’y a rien d’autre. Toute l’Éternité dépend de la Parole. “Pas une seule Parole”, a dit Jésus, “ne passera. Les cieux et la terre passeront, mais Elle, non.”
40 Moïse est descendu. Et il a été très persistant quand il a jeté son bâton, et qu’il s’est transformé en serpent.
41 Là, il a trouvé des imitateurs. Ça se retrouve encore le long du sentier de Dieu, quelqu’un qui essaie d’imiter quelque chose. Et les imitateurs sont venus essayer d’en faire un spectacle, ils ont jeté leurs bâtons.
42 Moïse savait à Qui il avait parlé. Il savait en Qui il avait cru, et il était persuadé qu’Il avait la puissance de garder son dépôt jusqu’à cette heure-là. Moïse n’a pas bougé. Alors le serpent de Moïse a mangé le serpent des magiciens.
43 Et il nous est enseigné que la même chose se reproduira de nouveau, peut-être pas de la même manière, mais elle se reproduira de nouveau dans les derniers jours. “Car de même que Jannès et Jambrès s’opposèrent à Moïse, de même ces hommes s’opposeront à la Vérité.”
44 Moïse a persisté, parce qu’il avait quelque chose à accomplir, pour lequel il avait reçu l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, “Je serai avec toi”.
45 David se tenait devant Saül, un jour. Et il a entendu dire qu’un Goliath s’était avancé là-bas sur la colline, un grand géant qui avait des doigts de quatorze pouces [trente-cinq centimètres]. Et une grande lance à la main, de la taille d’une aiguille de tisserand, probablement vingt ou trente pieds [six ou neuf mètres], une grande lance au bout, ou une pointe, d’airain. Imaginez seulement ce qu’aurait été la tête de cet homme, elle aurait été grosse comme une cuve, avec un gros casque de deux pouces [cinq centimètres] d’épaisseur dessus, et en airain, ça recouvrait complètement. Et il lançait un défi aux armées de Dieu! Et il l’a dit en présence de David.
46 Et David était un petit homme au teint rosé, pas grand, probablement avec les épaules tombantes. La Bible dit qu’il avait “le teint rosé”, un petit homme. Il n’avait jamais été entraîné au–au duel, avec des lances et tout. Mais il avait gardé les brebis derrière le désert, et un lion était venu s’emparer d’un de ses agneaux, et il l’a poursuivi et l’a tué avec une fronde. Nous voyons qu’un ours a fait, a essayé de faire la même chose, et David l’a vaincu.
47 Et alors, David a dit : “Allez-vous rester là et laisser ce Philistin, cet incirconcis insulter l’armée du Dieu vivant?” Il a fait honte à ses frères; alors qu’ils disaient qu’il était méchant, qu’il était venu pour voir la bataille. Pourtant il y avait Quelque Chose en David, qui lui faisait savoir qu’il était plus que vainqueur. Alors, il a dit : “Si vous avez peur de le combattre, moi, j’irai le combattre.”
48 Saül, comme c’était parvenu au général Saül, ce dernier lui a mis son armure, et elle ne lui allait pas. Il a vu que son vêtement ecclésiastique n’allait pas à un homme de Dieu. Et ça n’allait pas. Il ne savait pas quoi faire. “Ça, je ne suis pas accoutumé à ça. Je ne connais rien de ces choses-là, des licences ès lettres, et ainsi de suite. Débarrassez-moi de ça, et que j’y aille avec le moyen par lequel Dieu m’a donné la délivrance. Que j’y aille avec une fronde.”
49 “Mais,” ils ont dit, “il était guerrier dès sa jeunesse, et toi, tu n’es qu’un enfant.”
50 Il a dit : “Je suis plus que capable de l’affronter. Laissez-moi y aller.” Et peu importe combien le géant semblait grand, et combien c’était invraisemblable, David a persisté, ce Philistin incirconcis n’insulterait pas l’armée du Dieu vivant qu’il représentait.
51 Oh, si nous avions plus de David dans cette armée, si nous avions plus d’hommes qui tiennent ferme et qui persistent, qui persévèrent dans la Foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes!
52 Samson, un autre homme très persévérant. Il était né naziréen de naissance.
53 Un naziréen, ça veut dire “mis à part pour la Parole”. Comme ce serait beau, ce soir, si tous les Chrétiens étaient des naziréens pour le Seigneur; mis à part, non pour des crédos, mais pour la Parole. Christ est cette Parole. Mis à part pour la Parole!
54 Il avait sept tresses de cheveux qui lui descendaient dans le dos, comme signe de ce qu’il avait été mis à part.
55 Et un jour, il a fait la rencontre, dans la–la plaine, sans rien en main pour se battre, d’un millier de Philistins. Ces Philistins étaient comme un mur d’airain; des gros casques, lourds, sur la tête, des grosses armures sur le devant, et des boucliers, des protections, et ainsi de suite, sur eux, pour faire dévier toutes les balles; probablement que le casque avait un pouce [deux centimètres et demi] d’épais, sur leur tête.
56 Samson n’avait rien, mais il sentait encore que la promesse que Dieu lui avait faite était toujours sur sa tête. Il sentait encore l’onction, autrement dit. Il savait que Dieu était avec lui, parce qu’il sentait ces tresses qui lui descendaient sur les épaules. Il s’est emparé de ce qu’il y avait à sa... qu’il pouvait trouver, et c’était une mâchoire de mulet. Et il s’est tenu avec ça à la main, et il a persisté, pour que ce ne soit pas la mâchoire ni son propre bras, mais que ce soit la puissance du Seigneur. Et la puissance du Seigneur est venue sur lui, et il a battu, avec cette mâchoire, un millier de Philistins.
57 Comment est-ce qu’il y est arrivé? Cette vieille mâchoire toute cassante, ravagée par le désert, en la cognant contre une pierre, elle aurait volé en éclats; et sur les casques que portaient ces Philistins, qui descendaient bas, et qui avaient des grandes plaques sur les côtés, pour couvrir les épaules, d’un pouce [deux centimètres et demi] d’épais, et en airain. Il s’est tenu là, avec sa mâchoire, et il en a abattu un millier. Il est dit : “L’Esprit de l’Éternel le saisit.” Il a persisté.
58 Un jour, un lion l’a poursuivi, et il n’avait rien en main. Mais l’Esprit de l’Éternel l’a saisi, ses tresses lui descendaient toujours sur les épaules, il a déchiré le lion avec ses mains. Il a été très persistant, parce qu’il savait que la promesse de Dieu était avec lui. Il pouvait accomplir n’importe quoi, parce que la promesse de Dieu était avec lui, pour délivrer.
59 Jean était tellement sûr, Jean-Baptiste, quand il est né, il savait que ce serait lui, une fois qu’il était assez grand pour comprendre, vers neuf ans. Son père était sacrificateur. D’habitude, ils suivent les traces du père. Mais il n’est pas allé dans les écoles et dans les séminaires, parce qu’il savait que sa tâche était trop importante. Il devait annoncer le Messie. Nous savons que c’est ce que l’Ange avait dit.
60 Il savait qu’il était représenté dans l’Écriture : “La voix de celui qui crie dans le désert : ‘Préparez le chemin du Seigneur!’” Il savait aussi que Malachie, quatre cents ans plus tôt, avait dit : “Voici, J’envoie Mon messager devant Ma face.” Après être allé dans le désert, où il avait été formé par Dieu, pas par un séminaire de théologie, comme celui d’où son père était sorti.
61 Mais il avait une tâche importante. Il devait annoncer le Messie, et il devait savoir quelle sorte de signe allait suivre le Messie. Puis, il a remarqué, un jour, il était là, en train de prêcher aux gens, il a dit : “Il y en a Un au milieu de vous en ce moment, que vous ne connaissez pas, dont je ne suis pas digne de délacer les souliers, Lui, Il vous baptisera du Saint-Esprit et de Feu.” Il était tellement certain de sa position, il était tellement certain de son ministère qu’il a dit : “Il est ici, quelque part, en ce moment, au milieu de vous!” Il n’avait pas peur de le dire devant des pharisiens et des sadducéens, et–et des soldats, et tout ce qu’il pouvait y avoir d’autre. Certains d’entre eux L’avaient attendu depuis des milliers d’années, mais il a dit : “Il est au milieu de vous.” Personne ne pouvait le lui ôter. Il a persisté. Il a persévéré en dépit de tout. Oui.
62 Cette petite Grecque, elle avait sans doute entendu parler de lui, elle avait entendu parler de Jésus, du grand réveil. Un jeune prophète qui avait paru en Galilée, qui venait de Nazareth, et qui accomplissait des grands signes et des miracles. Elle avait entendu parler de Lui, et “la foi vient de ce qu’on entend”. Cette Syro-Phénicienne, qui était Grecque. La foi trouve des sources que d’autres ne voient pas. Quand elle a entendu, elle a cru. Elle avait peut-être entendu parler de la fille d’un voisin qui avait été guérie de l’épilepsie, c’est ce que l’enfant avait, et ils avaient peut-être entendu parler de la guérison de cette épileptique. Alors, sa fille avait besoin de guérison, et elle avait entendu dire que Jésus pouvait le faire.
63 En effet, Il était la Parole de Dieu faite chair! Jean 1 : “Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous. Le même hier, aujourd’hui et pour toujours!” Il était là pour révéler les promesses de Dieu pour Son époque.
64 Il est ici ce soir pour confirmer et pour révéler chaque promesse que Dieu a faite pour cet âge-ci. Il est ici pour le faire. Il était là à l’époque des prophètes. Il était en Moïse, Il était en David, Il était en Élie, Il était dans tous les autres, pour révéler la promesse de Dieu de cet âge-là. Dieu a donné de Sa Parole à chaque âge, et Il envoie un prophète, et la Parole va au prophète et redresse cela, et c’est exactement ce qu’Il a fait pendant tous les âges. Et Il est Dieu, et Il ne change pas. Jésus-Christ est ce Prophète ce soir, qui est au milieu de nous. Il est Celui qui est ici sous la forme du Saint-Esprit, qui connaît toutes choses, et qui peut révéler tout ce qu’Il veut faire.
65 Elle a cru ceci, peu importe combien les gens ne le croyaient pas.
66 La foi trouve une source dont les autres ne savent rien. Quand un homme a foi en Dieu, il s’est emparé de quelque chose, il ne peut pas l’expliquer. C’est quelque chose dont il s’est emparé. Il ne peut pas le pousser, ou le bousculer, ou le tirer. Il faut que Lui le fasse. Voilà comment est la foi, quand un homme a vraiment foi en Dieu, elle trouve cette source que les autres ne voient pas.
67 Sa Parole est une épée. La Bible l’a dit. Si vous voulez une référence pour ça, c’est–c’est Hébreux 4.12, comme j’ai noté le passage. La Bible dit : “La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants.” Cette épée doit être tenue par une main de foi. Une main de théologie ne fera pas l’affaire. Il faut prendre une main de foi, entraînée aux choses spirituelles, qui connaît Dieu.
68 Et puis, on pourrait, je pourrais dire ceci. D’après vous, comment Jésus pouvait-Il regarder Son auditoire et connaître leurs pensées? Parce qu’Il était la Parole. Citons le reste de la Parole, ici : “Plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, Elle juge les sentiments et les pensées du coeur.” Il était la Parole. C’est la raison pour laquelle Il pouvait discerner les pensées qu’il y avait dans leur coeur.
69 Hier soir, comme nous avons pris : “Ce qui arriva aux jours de Sodome”, en montrant cet Homme qui se tenait là, qui a mangé la chair d’un veau, qui a bu du lait de la vache, qui a mangé du beurre et du pain; qui était là, en train de manger, avec sur Lui des vêtements comme vous et moi, le dos tourné à la tente, et Il a su à quoi Sara pensait dans la tente. Pas étonnant qu’Abraham L’ait appelé Elohim, “Celui qui est entièrement suffisant, Celui qui existe par Lui-même”, Elohim.
70 Jésus a dit : “Ce qui arriva aux jours de Sodome arrivera de même au retour du Fils de l’homme.” Ce sera pareil. “Aux jours”, avez-vous remarqué “à Sodome, là”? Il est dit dans Luc 17.15, il est dit que “quand, les jours de Sodome, il en sera de même à la venue du Fils de l’homme, quand le Fils de l’homme sera révélé”. Aux jours où le Fils de l’homme sera révélé comme Il l’a été à Sodome, la même chose se produira.
71 Nous voyons que le feu est prêt, les nations sont prêtes, les évangélistes sont allés à leur place, et que chaque don est placé comme il faut. Pas étonnant que nous devrions persister! Pas étonnant que nous devrions persévérer! Nous avons un but à atteindre pour Dieu, c’est-à-dire d’appeler l’Épouse de Jésus-Christ à sortir de toutes les dénominations, de tous les peuples, un peuple mis à part pour Dieu.
72 Cette Grecque avait entendu ces mots. Elle y avait cru. Elle a eu beaucoup d’entraves, mais sa foi n’en avait pas. La foi ne connaît aucune entrave. Sa foi n’avait pas d’entrave. Elle, elle en a eu, mais sa foi, elle n’en avait pas. Vous, vous pouvez avoir des entraves, mais, si vous avez la foi, celle-ci ne connaît aucune défaite. Elle est positive. Regardons quelques-unes des entraves qu’elle a eues, un petit instant.
73 Certains d’entre eux ont peut-être dit : “Rappelle-toi, tu es d’une autre race. Tu es Grecque, Syro-Phénicienne d’origine. Lui, Il est Juif.” Autrement dit, aujourd’hui, on dirait : “Ce n’est pas votre dénomination qui a ces réunions de réveil.” Ça ne change rien, que ce soit votre dénomination ou pas, cette femme ne s’occupait pas de savoir quelle dénomination c’était. Elle était un être humain qui avait été créé par Dieu, et elle avait un besoin, et elle avait la foi, et elle allait l’obtenir. Que sa dénomination collabore ou non, ça ne changeait rien pour elle. Elle s’est mise en route.
74 Peut-être qu’un autre critique l’a rencontrée en chemin, et lui a dit : “Mais, les jours des miracles sont passés. Nous n’avons plus de miracles.” C’était peut-être un Juif, une fois qu’elle était entrée, qu’elle était dans ce pays où Jésus était, de l’autre côté, en Galilée. “Les jours des miracles sont passés. Ça n’existe pas.” Elle a quand même persisté. Elle a persévéré. La barrière de la dénomination ne l’a pas arrêtée, pas plus que tous ceux qui disaient que les jours des miracles étaient passés. Elle savait que ce n’était pas vrai. D’abord, elle avait quelque chose dans son for intérieur qui lui disait qu’elle allait obtenir ce qu’elle demandait.
75 Oh, les amis, ce soir, si seulement vous pouviez saisir ça dans votre coeur, que Dieu est ici pour vous donner ce que votre coeur désire! Si vous remplissez Ses conditions, rien ne peut résister.
76 Il y a peut-être un groupe de femmes qui sont venues vers elle, et qui ont dit : “Regarde, Soeur Lydia,” ou son nom, là, peu importe ce que c’était, “est-ce que tu comprends que ton mari va te quitter si tu fais ceci?” Sans aucun doute, elle aimait son mari, mais elle ne pouvait pas maudire ou bénir Ce qu’elle avait en elle. Quelque chose le lui faisait savoir, sa fille se mourait d’épilepsie, et il fallait qu’elle parvienne à Jésus, et, quand elle arriverait là, quelque chose allait se produire, mari ou pas.
77 Certains d’entre eux disaient peut-être : “Eh bien, qu’est-ce que tu vas faire de cette enfant malade si ça échoue?” Mais elle savait que ça n’échouerait pas. Il y avait Quelque Chose en elle qui lui disait que ça ne pouvait pas échouer. S’Il a jamais été Dieu, Il reste toujours Dieu. Cela ne peut pas échouer. Par conséquent, elle a persévéré de plus belle.
78 Et puis certains d’entre eux disaient peut-être : “Le cercle auquel tu appartiens, dans la société, ils vont se moquer de toi.” Qu’ils se moquent ou pas, pour elle ça ne changeait rien. Il y avait Quelque Chose en elle! Elle a persévéré de plus belle.
79 Certains d’entre eux disaient peut-être : “Tu vas être mise à la porte de ton église.” Mise à la porte ou pas, elle était en route, quelque chose l’attirait vers Jésus! Rien ne lui ferait obstacle, aucune entrave. Elle a persévéré. Rien ne lui a fait obstacle.
Finalement, elle est arrivée là où Il était.
80 Beaucoup de gens pensent que “pour la simple raison que vous arrivez là où Il est, tout est terminé”. C’est faux. Il peut venir ici dans cette salle ce soir et montrer qu’Il est vivant, après deux mille ans, par les choses qu’Il a promis de faire en ce jour-ci. Il l’a fait hier soir. Il le fait chaque soir. Il le fait partout. Il prouve qu’Il est toujours vivant. Et vous pouvez être en Sa Présence, mais ce n’est pas ça. Non monsieur. Parfois, vous vous heurtez à des difficultés quand vous entrez dans Sa Présence. Elle, elle l’a fait.
81 Quand elle est arrivée, alors, Jésus a dit qu’Il n’avait “pas été envoyé” à sa race à elle. Celui-là même à Qui elle était venue, en croyant en Lui, l’a rejetée. Ça, c’est une leçon. Celui-là même qui... Elle avait passé toutes ces portes, de tristesse et de déception, et tout, pour arriver là, à cause de Quelque Chose qui vibrait en elle, qui lui disait d’y aller; quand elle est arrivée là, auprès de Lui, Il l’a rejetée tout net. Et, en plus, Il a dit que sa race à elle n’était qu’une bande de chiens. “Il n’est pas bien que Je prenne le pain des enfants pour vous le donner, à vous, les chiens.”
82 Et s’Il avait traité les–les pentecôtistes de “chiens”? Oh! la la! je ne sais pas ce qui serait arrivé. Et s’Il avait dit : “Chiens méthodistes, chiens baptistes”? À mon avis, il serait retourné dire au pasteur qu’il avait bien raison, après tout, que cet Individu-là n’avait rien de bon. Mais si vous vous êtes emparé de quelque chose, et que quelque chose s’est emparé de vous, ce sera différent.
83 “Je ne suis pas envoyé pour vous, race de chiens. Il n’est pas bien que Je prenne le pain des enfants et que Je vous le donne. Je n’ai pas été envoyé vers vous. Votre réveil n’est pas, votre cercle ne soutient pas ceci, et Je n’ai pas été envoyé vers vous. Et il n’est pas bien que Je prenne Mon temps pour vous, alors que vous n’êtes que des chiens. Et pourquoi est-ce que Je gaspillerais Mon temps pour vous?” Quelle déception ç’aurait été pour une femme qui n’aurait pas eu de foi, qui n’aurait pas été décidée! Oh, si seulement l’église pouvait voir cela! Mais elle a continué à tenir bon.
84 Elle n’était pas une–une plante de serre chaude qu’il fallait dorloter, une du genre qu’il faut vaporiser partout, vous savez, pour en éloigner les insectes. Une belle plante en bonne santé, on n’a pas besoin de la vaporiser. Une belle plante en bonne santé, les insectes ne peuvent rien lui faire, elle est en pleine santé.
85 Et une bonne foi en Dieu, née de nouveau, une authentique vraie foi du Saint-Esprit, rien ne la repoussera. Ce n’est pas possible. Elle persiste. Elle poursuit le but que Dieu lui a promis. Rien ne la repoussera. Elle avance quand même. Oui, elle n’était pas hybride.
86 Aujourd’hui, tout ce qu’on a, c’est hybride. Vous parlez de maïs hybride, je vois ça sur les panneaux, par ici. Ça ne vaut rien. Ça tue les gens. Regardez le Reader’s Digest, il dit que “si les femmes continuent à en manger, ce qui va arriver, c’est qu’elle n’auront plus de bébés, d’ici vingt ans. Elle ne pourront plus donner naissance à leurs enfants”. Ça démolit, au point que le cancer s’installe. Oh, tout, toute la chose est rongée par les vers. Ça donne certainement le coup fatal à la science, sur l’évolution.
87 Jésus a dit, Dieu a dit, au commencement : “Que chaque semence produise selon son espèce.” Prenez du maïs hybride, et hybridez-le, et plantez-le; plantez la même semence l’année suivante, vous n’aurez rien. Vous avez un grain qui semble plus beau, mais vous n’avez rien. Ils ont hybridé tout ce qu’il y a au monde.
88 Prenez un mulet; et, ou prenez un–un âne et hybridez-le avec une jument, ça vous donne un mulet, mais ce mulet ne peut pas se reproduire à son tour. C’est la chose la plus ignorante qu’il y ait sur terre. J’en ai conduit, toute ma vie, ici, vous... il attendra jusqu’à la toute dernière minute de sa vie, pour vous donner une ruade. Il ne sait rien. Vous ne pouvez rien lui apprendre.
89 Vous lui parlez, il est exactement comme beaucoup de soi-disant Chrétiens, aux longues oreilles : “Han? Han?” Ils ne... Ils braient, et ils ne savent même pas pourquoi ils braient. “Les jours des miracles sont passés. La guérison, ça n’existe pas.” Mais prenez un beau... Il ne sait pas d’où il vient. Il ne sait pas qui sont papa et maman.
90 Mais un vrai cheval pur-sang sait qui était son papa, qui était sa maman, qui étaient son grand-papa, son arrière-grand-papa, son arrière-arrière-arrière-arrière-, jusqu’au commencement. Il sait d’où il vient.
91 De même, un authentique Chrétien né de nouveau sait d’où il vient. Son origine ne remonte pas à John Wesley, à Luther, ou à quelqu’un d’autre. Cela a commencé le Jour de la Pentecôte, quand Dieu Lui-même est venu parmi Son peuple. Et Il est la Parole manifestée. Vous pouvez lui dire la Parole, et il dira : “Amen!”
92 L’autre dira : “Ça, je ne sais pas.” Vous voyez cet âne, cet hybride? Vous voyez, il ne sait pas où il va, il ne sait pas d’où il vient. Il est bien mal en point.
93 Cette femme n’était pas de ce genre-là. Elle n’était pas une plante hybride. Elle s’était emparée de quelque chose. On n’avait pas besoin de la dorloter et de la vaporiser, et de dire : “Écoute, ma chérie, s’il te plaît, là, je t’en supplie. Tu devrais venir.” Non monsieur. Personne. Tout essayait de lui faire obstacle.
94 Un vrai Chrétien combat pour sa place. Il doit se tenir seul, lui et Dieu, et il combat pour chaque pouce de terrain, alors, on n’a pas besoin de les dorloter.
95 Voilà ce qui ne va pas dans l’église pentecôtiste aujourd’hui : on a des bébés pentecôtistes, qu’on a sans cesse aspergés et sur qui on a vaporisé ceci, cela et autre chose, au point que c’est devenu un tas d’hybrides. Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un grand ménage, de la chaire jusqu’au–au concierge, et de recommencer, et de faire naître de la vraie foi chez les gens. Oui.
96 Non, elle n’était pas hybride, comme l’est une prétendue moisson de croyants aujourd’hui. Qu’est-ce qu’elle a fait? Elle a admis qu’Il avait raison.
97 La Parole et la foi admettent toujours que la Parole a raison. Amen. Si votre foi ne dit pas amen à chaque mot de la Parole de Dieu, alors il y a quelque chose qui ne va pas dans votre expérience. La Bible a dit “qu’Il est le même hier, aujourd’hui et pour toujours”. Si elle ne dit pas amen à cela, alors il y a quelque chose qui ne va pas. Jésus a dit : “Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi.” Si elle ne dit pas amen à cela, alors il y a quelque chose qui ne va pas. Si elle ne dit pas amen à chaque Parole de la promesse de Dieu, alors il y a quelque chose qui ne va pas.
98 Elle a admis qu’Il avait raison. Elle a admis qu’elle n’était rien d’autre qu’un chien. Mais elle voulait avoir des miettes.
99 Nous, ce ne serait pas pareil. Oh non. Nous, il faut qu’on nous donne un bon siège, et : “S’ils ne s’occupent pas de moi le premier soir, je n’y retournerai pas le soir d’après.”
100 Mais, vous voyez, oh, elle était bien différente. Repoussée, et rebutée, rembarrée, envoyée promener, peu importe, elle était décidée. Elle a persisté, persévéré. Quelque chose à l’intérieur d’elle lui disait qu’elle allait l’obtenir, peu importe combien de temps elle devrait attendre, ce qu’elle devrait traverser. Elle allait l’avoir, de toute façon. Elle voulait les miettes. Elle ne voulait pas avoir un dîner complet. Elle a dit : “Les chiens mangent les miettes sous la table du maître.”
101 Voilà comment il faut faire. Ne prenez pas le siège élevé; prenez le siège du fond. Ne faites pas... Soyez simplement celui qui est tout petit. La façon de monter, c’est de descendre, toujours. “Celui qui s’abaisse sera élevé. Celui qui s’élève sera abaissé.” La façon de monter, c’est de descendre, toujours.
102 Souvenez-vous, elle n’avait jamais vu de miracle. Elle était des nations, mais elle avait la foi.
103 Elle était un peu comme la prostituée, Rahab. Elle a dit aux espions... Elle n’a pas dit : “Attendez que je voie comment Josué se peigne. Comment, de quoi est-ce que vos généraux ont l’air? Ou quel genre d’épée est-ce qu’ils utilisent? Quels instruments ont-ils? Quelle technique de guerre?” Elle a dit : “J’ai entendu dire que Dieu est avec vous. Cela me suffit. Je veux obtenir miséricorde.” Elle a cru.
“La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend de la Parole de Dieu.”
104 Regardez bien : “À cause de cette parole, à cause de cette parole”, a dit Jésus, parce qu’elle a persisté, et qu’elle est venue.
105 Bon, en premier, elle L’a appelé “Fils de David”. Or, si... Elle avait, en tant que femme des nations, elle n’avait aucun droit sur Lui en tant que Fils de David. Mais quand elle a dit : “Seigneur”, Il était son Seigneur, mais pas le Fils de David, pour ça.
106 Elle s’est approchée du don de Dieu comme il faut. Et voilà la seule manière de pouvoir jamais recevoir quoi que ce soit, c’est de s’en approcher comme il faut. Elle était la première personne des nations pour qui un miracle ait jamais été accompli. La foi admet que la Parole a raison, elle se fait humble et respectueuse. Et c’est la même chose aujourd’hui, elle est prête à se contenter de n’importe quoi, n’importe où, “pourvu que j’y arrive”.
107 Avez-vous déjà remarqué que Marthe, en Présence de Jésus, elle a eu de la persévérance? Marthe, quand elle est sortie, même si elle avait un frère qui L’aimait, même si elle avait ouvert sa maison et qu’elle avait quitté l’église, et ainsi de suite, et que Lazare et Lui étaient amis; et Lazare était mort, dans la tombe, et il y était depuis quatre jours, il se décomposait déjà. Le nez s’était affaissé, la chair se défaisait de ses os. Il était mort.
108 Je parlais à une femme qui est d’une autre foi qui ne croit pas qu’Il ait été plus qu’un simple prophète ou un homme bon.
109 J’admets qu’Il était prophète. Seulement Il était plus qu’un prophète, Il était le Dieu des prophètes. Il était tout ce qu’étaient les prophètes, c’était en Lui, plus Dieu, et tout ça ensemble, c’était Lui.
110 En chemin, un soir, elle m’a dit : “Si je vous prouve, Monsieur Branham!” Elle disait : “Je ne trouve qu’un seul défaut à votre Message.”
J’ai dit : “J’espère que le Seigneur aussi, qu’il n’y a qu’un seul défaut qu’Il trouve en moi.”
111 Elle a dit : “Vous faites trop de cas de Jésus.” Elle a dit : “Vous–vous Le faites Dieu.”
112 J’ai dit : “Il était Dieu. S’Il n’était pas Dieu, Il a été le pire séducteur que le monde ait jamais eu.”
Elle a dit : “Vous Le rendez Divin.”
J’ai dit : “Il l’était, Divin.”
“Oh,” elle a dit, “Il était–Il était un homme bon.”
113 J’ai dit : “Il était plus qu’un homme bon. Il était Dieu. Il était réellement Divin.”
Elle a dit : “Je vais vous prouver, par votre propre Bible, qu’Il n’était pas Divin.”
J’ai dit : “Comment pouvez-vous le faire?”
114 Elle a dit : “Dans Jean, au chapitre 11, quand Jésus est allé à la tombe, pour ressusciter Lazare, la Bible dit ‘qu’Il pleura’.”
Et j’ai dit : “Est-ce là votre référence biblique?” J’ai dit...
“Oui.”
J’ai dit : “Vous échouez...”
Elle a dit : “Comment pouvait-Il être Divin et pleurer?”
115 J’ai dit : “Il était à la fois homme et Dieu. C’était un homme qui pleurait, certainement. J’admets que c’était un homme qui pleurait. Mais quand Il s’est tenu près de la tombe, qu’Il a redressé son petit corps frêle, et qu’Il a dit : ‘Lazare, sors!’, et qu’un homme qui était mort depuis quatre jours s’est levé sur ses pieds et a repris vie, c’était plus qu’un homme.” Oui monsieur.
116 La corruption a reconnu son maître. L’âme a reconnu son Créateur. Et il était à quatre jours de voyage, quelque part; je ne sais pas où, vous non plus. Mais, quoi qu’il en soit, quand Il a parlé, il est sorti. Amen. Ça, c’était plus qu’un homme.
117 Il était un homme quand Il est descendu de la montagne, ce soir-là, après être arrivé, Il avait faim; Il regardait les arbres en chemin, pour trouver quelque chose à manger, quand, en regardant un arbre, Il a maudit l’arbre qui n’avait pas de fruit. Il était un homme quand Il avait faim. Mais quand Il a pris cinq petits pains et deux poissons, et qu’Il a nourri cinq mille personnes, qu’on a rempli cinq paniers avec les morceaux qui restaient, c’était plus qu’un homme. C’est ça.
118 Il était un homme quand Il était couché là, sur l’eau, ce soir-là, à l’arrière d’un bateau. De la vertu était sortie de Lui, toute la journée, alors qu’Il prêchait et qu’Il guérissait les malades; de la vertu était sortie de Lui, à cause des gens, alors qu’Il discernait les pensées de leur coeur. Et dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer ce soir-là. Le petit bateau était là, comme un bouchon de liège, agité dans tous les sens. Le diable disait : “Je L’ai, maintenant.” Et il semblait que tout était fini. Mais une fois qu’Il s’est levé, qu’Il est monté et qu’Il a posé le pied sur le bastingage du bateau, et qu’Il a levé les yeux et qu’Il a dit : “Silence! tais-toi!”, et que les vents et les vagues Lui ont obéi, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu.
119 Il était un homme quand Il a imploré miséricorde, sur la croix, c’est vrai. Quand Il a crié pour qu’on Lui donne à boire, et qu’ils Lui ont donné du vinaigre, c’était un homme. Quand Il est mort, sanglant, pleurant, crucifié, cloué à une croix, Il était un homme. Mais le matin de Pâques, quand Il a rompu les sceaux de la tombe et qu’Il est ressuscité, et qu’Il a dit : “Je suis Celui qui était mort, et qui est vivant aux siècles des siècles”, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu dans un homme, Son Fils.
120 Pas étonnant que Marthe, qui comprenait cela, ait persévéré en Présence de Jésus. Elle a dit : “Si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais, maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.”
121 Oh, si seulement nous pouvions avoir ces paroles dans nos coeurs ce soir! “Je sais que je suis dans un fauteuil roulant. Je sais que j’ai le cancer, j’ai des problèmes de coeur, quoi que ce soit. Je sais que le médecin dit que la fin de mes jours est proche. Mais maintenant même, Seigneur!” Tout ce que vous demandez à Dieu, Il le fera. Et Il est assis à la droite de Sa Majesté, pour intercéder sur notre confession. Persistez simplement autant que Marthe.
122 Il semblait qu’Il l’avait rejetée. Elle L’avait envoyé chercher, et Il n’y était pas allé. Elle avait de nouveau envoyé quelqu’un, et Il n’y était pas allé. Finalement, après qu’il était enterré depuis quatre jours, Le voici. Mais elle a continué à persister. Elle s’était emparée de quelque chose. Elle avait vu Ses oeuvres et elle savait que c’était Dieu. Elle le savait. Elle a persisté. Elle a reçu ce qu’elle avait demandé.
123 La Sunamite, en présence d’Élie, elle a persisté. Oh, le bébé était mort, et étendu sur son lit. Et Élie a essayé de prendre un bâton oint et de l’envoyer, par Guéhazi, pour le faire poser sur l’enfant. Mais elle, sa foi n’était pas dans le bâton, elle était dans le prophète. Elle savait que Dieu était dans ce prophète, parce qu’elle avait vu s’accomplir les paroles qu’il avait dites. Il était un prophète confirmé, et elle savait que ce qu’il disait venait de Dieu. Et elle a dit : “Ton âme est vivante, je ne te quitterai pas jusqu’à ce que je sache pourquoi.” Et elle est restée avec lui. Elle a persisté jusqu’à ce qu’elle obtienne ce qu’elle demandait.
124 Ça me rappelle, ici, il n’y a pas longtemps, une petite femme qui venait de la Californie, quand j’habitais encore à Jeffersonville. Il y a trois ou quatre ans de ça. Elle avait une tumeur, et la tumeur à elle seule pesait cinquante livres [vingt-trois kilos]. Ils avaient dû la porter pour la faire entrer dans la salle, la faire asseoir au fond. Ils... Elle savait que j’allais être là ce soir-là. Elle pensait que j’allais prier pour les malades. Mais j’étais seulement venu pour parler à l’auditoire, peut-être à peu près autant que nous en avons ici ce soir. Après que j’eus fini de parler... Quelques-uns lui avaient dit : “Il ne prie pas pour les malades ce soir.”
125 Mais elle voulait qu’on prie pour elle, elle l’a dit dans son coeur, et elle a cru. Elle avait été dans une réunion auparavant, et elle avait dit : “Je crois que si Frère Branham priait pour moi, je serais guérie.” Et ce soir-là, deux ou trois diacres l’ont transportée, et sont sortis sur le côté de la mai-... du bâtiment, ils sont allés derrière, ils l’ont déposée à la porte.
126 Je sortais avec Billy Paul, par l’arrière. Elle m’a attrapé par la jambe de pantalon, comme ça. Elle a dit : “Frère Branham,” elle a dit, “j’ai toujours cru que si vous le demandiez à Dieu, Dieu me guérirait.”
127 J’ai posé la main sur elle, j’ai dit : “Alors, soeur, qu’il vous soit fait selon votre foi.”
128 Quelques mois plus tard, je la rencontre dans une–une réunion, là-bas. Elle était là, avec une taille parfaite. La tumeur de cinquante livres [vingt-trois kilos] était partie. Elle a dit : “J’emmènerai n’importe quelle femme, ici, dans le vestiaire, et qu’elle voie si j’ai une cicatrice quelque part. Voici la photo de ce que j’étais.”
129 Qu’est-ce que c’était? Qu’on prie pour les malades ou non, elle a persisté. Elle était venue de la Californie pour être guérie, et elle ne retournerait pas autrement que guérie. Elle a persisté.
130 Je me souviens d’avoir été appelé au chevet d’un garçon qui se mourait, ici, il y a quelques années, de la diphtérie noire. Et ils ne voulaient pas me laisser entrer, parce que j’avais des enfants. Le docteur a dit : “Vous ne pouvez pas entrer là, vous êtes un homme marié.”
131 Je savais qu’il était catholique, alors j’ai dit : “Si–si ce garçon était catholique, est-ce que vous laisseriez entrer le prêtre?”
Il a dit : “Oui, mais lui–lui n’est pas marié.”
J’ai dit : “Il visite les enfants, et tout.”
Il a dit : “Ce n’est pas la question, Monsieur Branham.”
132 J’ai dit : “Vous laisseriez entrer un prêtre pour lui donner les derniers sacrements. Là, ce sont les derniers sacrements. Ce garçon est en train de mourir. Laissez-moi aller le voir.”
133 Eh bien, j’ai fini par le convaincre. Et il m’a déguisé comme quelqu’un du Ku Klux Klan, ou quelque chose, toutes sortes de choses sur moi.
134 Et la brave mère et le brave père se tenaient là. J’avais quitté une réunion, et la–la brave mère et le brave père avaient dit : “Si vous venez prier, mon enfant vivra.” Le garçon avait environ dix-sept, dix-huit ans. Il y avait un cardiogramme, un genre de machine, là. Il était inconscient depuis deux ou trois jours, et il n’avait connaissance de rien. La mère et le père m’ont reçu quand je suis entré. Je me suis agenouillé et j’ai prié une simple petite prière de foi.
J’ai dit : “Monsieur, croyez-vous en Dieu?”
135 Il a dit : “De tout mon coeur, tout ce que je veux que vous fassiez, c’est de le demander à Dieu. Dieu le donnera.”
136 J’ai dit : “Merci, frère, pour votre confiance. Que je ne la trahisse jamais.”
137 J’ai imposé les mains au jeune homme, et j’ai prié : “Seigneur Jésus, que la foi de ce père et de cette mère se joignent à la mienne, pour s’approcher de Ton trône ce soir. Que ce garçon vive, et qu’il ne meure pas, car nous croyons. Au Nom de Jésus.”
138 Nous nous sommes relevés. Et le père a tendu les bras et a pris la mère, par-dessus le petit poumon d’acier, la chose où il respirait, là, et il a dit : “Mère, n’est-ce pas merveilleux? N’est-ce pas merveilleux? Oh, c’est tellement merveilleux!”
139 Et la petite infirmière qui était là, elle était stupéfaite. Sa petite coiffe a failli lui tomber de la tête. Elle a tourné les yeux, et elle a dit : “Monsieur, je ne comprends pas. Comment pouvez-vous vous comporter comme ça, vous et votre femme, alors que votre fils est en train de mourir?”
Il a dit : “Ma petite, mon fils n’est pas en train de mourir.”
140 “Eh bien,” elle a dit, “le docteur a dit qu’il était en train de mourir.” Elle a dit : “Ça,” la machine qu’il y avait là, elle a dit, “quand un coeur arrive aussi bas que ça, avec une telle fièvre, on n’a jamais observé, dans l’histoire, une seule fois où il se soit remis.”
141 Je n’oublierai jamais la foi de ce brave patriarche. Il faisait partie, je crois, du mouvement d’A.B. Simpson. Il s’est avancé et il a posé les mains sur les épaules, il avait environ soixante ans, il a posé les mains sur les épaules de cette jeune fille, il l’a regardée dans les yeux. Il a dit : “Ma petite, toi, tu regardes à cette machine. C’est tout ce que tu sais regarder. Mais moi, je regarde à une promesse, par laquelle Dieu a dit qu’Il allait le faire.”
142 Ça dépend de ce à quoi vous regardez. Ils s’embrassaient, ils se réjouissaient, là, frère. Et il est marié, et missionnaire en Afrique, maintenant, avec deux enfants. Pourquoi? Parce qu’un père et une mère ont pu tenir bon à l’heure la plus sombre. Persister! Oui monsieur, persister! Ayez foi en Dieu!
143 Le petit Michée, en présence de tous ces prophètes, ces quatre cents prophètes formés, il a persisté, quand il a eu une vision de Dieu. Même s’ils... Il s’opposait. Ils l’ont rencontré et ils lui ont dit : “Maintenant, nous allons te réintégrer dans l’association si seulement tu veux bien dire la même chose que tu... qu’ils disent.”
144 Il a dit : “L’Éternel est vivant! je ne dirai que ce qu’Il me dira de dire.” Et sa vision, il l’a comparée à la Parole de Dieu, et il a prononcé sa prophétie, advienne que pourra.
145 Ils ont dit : “Nous allons le jeter au cachot, et lui donner de l’affliction, du pain d’affliction, et de l’eau d’affliction.” “Et quand ils reviendront”, il a dit qu’il s’occuperait de lui, Achab l’a dit.
146 Il a dit : “Si tu reviens, Dieu ne m’a point parlé.” Il a persisté. Il connaissait sa position.
147 L’aveugle qui avait été guéri par Jésus ne pouvait pas discuter de leur théologie. Ils ont dit : “Qui t’a ouvert les yeux?”
Il a dit : “Un Homme appelé Jésus de Nazareth.”
148 Ils ont dit : “Cet Homme est un pécheur. Nous ne savons pas d’où Il vient.”
149 Mais lui, il leur a donné une bonne réponse. Il a dit : “Vous êtes les chefs religieux d’aujourd’hui. Et cet Homme m’a donné ma vue, et pourtant vous ne savez pas d’où Il vient.” Il avait une assez bonne théologie à lui. Il ne pouvait pas discuter avec eux. Mais il savait une chose : il voyait. Et il n’avait pas honte. Son père et sa mère avaient honte d’en parler, mais pas lui. Il l’avait vu. Il l’avait senti. Il en avait le résultat. Quelque chose le lui avait dit, et il a persisté.
150 Philippe, dès qu’il a vu, la leçon d’hier soir, ce que, quand il est arrivé en Présence de Jésus-Christ, quand il a vu Simon... ou le frère d’André. Phil-...
151 Pierre est arrivé dans la Présence, c’était Simon à l’époque, il est arrivé dans la Présence de Jésus. Simon avait appris, quand il était enfant, que le Messie serait un Prophète. Quand il est entré dans Sa Présence, et qu’Il lui a dit : “Ton nom est Simon et tu es le fils de Jonas.” Il a persisté. Il était prêt, alors. Il est devenu le chef de l’église.
152 Quand Philippe a vu Cela, il en connaissait un autre qui lisait beaucoup la Bible, qui connaissait la vérité. Il a persisté. Il est allé de l’autre côté de la montagne le chercher.
153 Et quand Nathanaël est venu. Un homme de renom, un véritable Hébreu, c’est certain, un homme, un Hébreu loyal, un homme vraiment bien, vraiment intègre, c’était un grand homme. Mais en présence de son sacrificateur, et en présence de tous les autres, quand Jésus l’a regardé et qu’Il a dit : “Voici un Israélite en qui il n’y a point de fraude”, il a dit : “Rabbi, d’où me connais-Tu? Je ne T’ai jamais vu auparavant. Comment as-Tu su qui j’étais?”
154 Il a dit : “Avant que Philippe t’appelle, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.”
155 Il est tombé à Ses pieds, et il a dit : “Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. Tu es le Roi d’Israël.” Pourquoi? Il a persisté, en dépit de ce que n’importe qui d’autre pensait. Il avait rencontré la Chose au sujet de laquelle il avait lu. Ce qu’il s’était attendu à trouver en Jésus, il l’avait trouvé.
156 Une petite prostituée est sortie pour aller au puits, un jour, chercher de l’eau. Jésus était assis là, un Homme ordinaire, portant des vêtements ordinaires, mangeant de la nourriture ordinaire, parlant un langage ordinaire, le langage commun de la rue que tout le monde parlait. Et elle Lui a parlé; Il lui a parlé. Il a trouvé où était sa faute, et Il a dit : “Va chercher ton mari et viens ici.”
Elle a dit : “Je n’ai pas de mari.”
157 Il a dit : “Tu as bien dit. Tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas le tien.” Tout de suite, cette semence prédestinée dans son coeur a pris Vie!
158 Quand Cela touchait les pharisiens, Cela ne faisait que noircir tout le tableau. Ils disaient : “Cet homme est Béelzébul. C’est un diseur de bonne aventure.”
159 Mais elle savait que la Parole était “plus tranchante, plus puissante qu’une épée à deux tranchants, Elle juge les pensées du coeur”.
160 Elle a dit : “Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous n’en avons pas eu depuis quatre cents ans. Je vois que Tu es Prophète. Mais nous savons que, quand le Messie viendra, Il nous dira ces choses.”
161 Il a dit : “Je Le suis, Moi qui te parle.” Certainement que Celui qui avait accompli le miracle ne dirait pas un mensonge. Il était Prophète. Elle... Il a dit : “Je suis ce Messie. C’est Moi qui te parle. C’est Moi.”
162 Essayez donc de l’arrêter! Si quelqu’un est déjà allé en Orient, vous savez, un homme, dans la rue, il n’aurait jamais écouté une prostituée. Elle n’avait aucun droit de parole. Mais essayez de l’arrêter, c’est comme une maison en feu par un jour de grand vent, rien à faire. Elle est tout de suite allée de par les rues, en criant : “Venez voir un Homme qui m’a dit les choses que j’ai faites. N’est-ce pas là le Messie Lui-même? Il est assis là-bas, au puits, en ce moment. C’est le Messie Lui-même. Nous attendions la venue de cet Homme, et Il est assis là-bas. Il m’a dit ces choses.” La Bible dit que les gens ont cru à cause du témoignage de cette femme.
163 En terminant, je dirai, – je vois des gens d’origine espagnole assis ici, – je dirai ceci. J’étais au Mexique, il n’y a pas longtemps, au–au stade là-bas, un genre d’endroit. Nous n’avions pas pu aller dans l’arène des taureaux, ou la grande arène, mais nous avons eu un endroit où plusieurs milliers de gens s’étaient rassemblés. Frère Espinoza, un frère des Assemblées de Dieu, je pense, vous le connaissez tous, de la Californie. C’est lui qui était mon interprète.
164 Le soir précédent, un vieillard aveugle était passé sur l’estrade, il ne voyait rien du tout. Je l’ai regardé. Je portais des bons souliers, et des bons vêtements. Le pauvre vieillard, en guenilles, les pantalons tout déchirés, son vieux chapeau recousu avec–avec, semblait-il, de la ficelle. Et il était aveugle; la barbe blanche qui descendait. Ses grands pieds, là, et peut-être qu’il n’avait pas porté de souliers depuis des années. Tout poussiéreux. Complètement aveugle. Je l’ai regardé. Je me suis dit : “Mon père aurait à peu près cet âge-là, s’il avait vécu.”
165 Je me suis glissé vers lui. J’ai dit : “Bonjour.” Frère Espinoza a interprété.
166 J’ai posé mon pied à côté du sien, pour voir. Il y avait un petit rideau qui traversait l’estrade, à peu près quatre à cinq fois plus large qu’ici. Je me suis dit : “Si mes souliers lui vont, je lui donnerai mes souliers.” Oh, ses pieds était beaucoup plus grands que les miens. J’ai mis mes épaules contre les siennes comme si j’allais lui donner une accolade; ses épaules étaient plus larges que les miennes. Là j’ai vu que je ne pouvais pas lui donner mon veston. Je me suis dit : “Ô Dieu, que puis-je faire? Le pauvre, il n’a probablement pas eu un seul vrai repas de sa vie.” Et voilà, il en était à manger des tortillas jetées, quelque part par là; et pourtant, le peu d’argent qu’il avait, il fallait qu’il le dépense pour payer un cierge, pour le faire brûler sur un autel en or d’un million de dollars, pour ses péchés, vivre dans une superstition et des ténèbres pareilles! Je me suis dit : “Quelle époque! Comment le sort peut-il être si mauvais?”
167 Je l’ai entouré de mon bras, et j’ai crié : “Ô Dieu, aie pitié de lui!”
168 Il a hurlé : “Gloria a Dios!” Et vers ce moment-là j’ai regardé autour de moi, il y voyait aussi bien que moi, il marchait sur l’estrade.
169 Et le–le soir suivant, quand nous sommes entrés, il y avait un tas de vieux vêtements et de châles, et de chapeaux, de trois ou quatre pieds de haut [un mètre ou un mètre vingt], comme ceci, tout du long. Comment pouvaient-ils savoir à qui tout ça appartenait? Pensez-vous qu’ils s’en souciaient? Ils étaient venus à l’église ce matin-là à huit ou neuf heures, pas de sièges où s’asseoir; dehors, et la pluie qui tombait à verse, et ils s’appuyaient les uns contre les autres. Les femmes avec les cheveux qui pendaient, et elles portaient des enfants, et tout. La pluie tombait à verse, ils étaient venus à neuf heures, et moi, je n’allais être là que vers huit heures et demie ou neuf heures du soir. Ils voulaient être sûrs d’y être. Ils restaient là, à attendre que j’arrive.
170 On m’avait fait descendre par une échelle de corde, à l’arrière du stade, où j’entrais comme ceci, je m’avançais sur l’estrade. Billy Paul... Et un homme que j’appelais Mañana, ce qui veut dire “demain”, parce qu’il mettait toujours si longtemps à venir me chercher. Alors je disais : “Venez donc demain, vous avez gâché ça pour ce soir.” Alors il m’a emmené là-bas et il m’a fait descendre, et je suis entré sur l’estrade.
171 Frère Jack Moore, beaucoup d’entre vous le connaissent, près d’ici, à Shreveport, il était avec moi; et Frère Espinoza et plusieurs des frères. Alors, pendant que nous étions là, sur l’estrade, Billy est arrivé. J’entendais un grand râle, tout là-bas au loin, il y en avait des milliers et des milliers assis là.
172 Billy a dit : “Papa, tu vas devoir faire quelque chose. La petite femme de langue espagnole, là,” il a dit, “elle a un bébé mort dans ses bras.” Il a dit : “Ce bébé est mort ce matin, ils disent, tôt. Et–et Mañana a distribué les cartes de prière, et,” il a dit, “et il ne lui reste plus une seule carte de prière, et moi non plus, il ne m’en reste pas une.” Il a dit : “Et elle est décidée à amener ce bébé dans la ligne de prière.” Il a dit : “Nous en avons à peu près quatre cents, là, qui attendent qu’on prie pour eux.
173 J’ai dit : “Eh bien,” j’ai dit, “arrange-toi pour qu’elle ne s’avance pas. Parce que, si elle s’avance, tous les autres vont se mettre à faire pareil.” Et j’ai dit : “On ne peut pas faire ça. Dis-lui qu’elle pourrait peut-être se mettre dans la file, demain. Nous serons encore ici demain pour lui donner une carte de prière.”
174 Il a dit : “Viens donc essayer, toi.” Il a dit : “J’ai trois cents huissiers, là, qui n’arrivent même pas à la retenir, et”, il a dit, “elle ne doit même pas peser quatre-vingt-dix livres [quarante et un kilos].” Et il a dit : “On ne peut pas la retenir.” Il a dit : “Elle vous file entre les jambes, elle leur saute par-dessus les épaules, et tout, avec ce bébé mort.”
175 Et j’ai dit : “Frère Jack,” j’ai dit, “elle ne me connaît pas. Elle ne fera pas la différence entre moi et toi. Vas-y et prie pour le bébé, et comme ça, ce sera réglé.” Et j’ai dit : “Le bébé est mort?”
Il a dit : “Oui.” J’ai dit...
176 Je parlais de ce que la foi est la substance, la substance des choses qu’on espère. Et je parlais. Et Frère Espinoza a commencé à parler, il me suivait comme je parlais. Frère Jack allait descendre prier pour le bébé. Et comme je me suis mis à regarder, je regardais devant moi, là, et il y avait là un petit bébé mexicain, sans dents, tellement il était jeune. Il souriait, en me regardant, une vision.
177 J’ai dit : “Attends une minute, Frère Jack. Amène le bébé ici.” Alors ils ont ouvert le chemin.
178 Voilà la petite femme qui arrive, le chapelet en main, et elle se jette à terre, en hurlant : “Padre!”
179 Et je–je l’ai relevée. J’ai dit : “Ne faites pas ça.” Elle avait une petite couverture rayée bleu et blanc; un petit bébé raide, à peu près long comme ça, reposait dans ses bras.
J’ai dit : “Demandez-lui quand il est mort.”
180 Elle a dit “qu’il était mort dans le cabinet du médecin, ce matin-là, vers neuf heures”. Et ça, c’était vers neuf heures et demie ou dix heures ce soir-là. Et complètement trempée, elle était restée là; elle avait les cheveux qui pendaient. Une belle petite femme, et, elle, probablement son premier bébé. Elle semblait avoir vingt-cinq ans, ou quelque chose comme ça.
181 Et j’ai dit : “Frère Espinoza, n’interprétez pas cette prière, parce que je viens d’avoir une vision d’un petit bébé mo-... ou d’un petit bébé, là, qui me faisait une risette.” J’ai dit : “C’est peut-être ce bébé-là.”
182 Et j’ai posé les mains sur la petite couverture, et j’ai dit : “Bien-aimé Père Céleste, je ne sais pas ce que signifiait la vision, mais j’ai vu le petit bébé. Si ce bébé, Tu es prêt à le rappeler à la vie, je vais demander sa vie, au Nom de Jésus-Christ.” Il a poussé un cri, et il a donné des coups dans la couverture et il s’est mis à hurler comme ça. Et je...
183 Le Voice des Hommes d’Affaires en a parlé, il n’y a pas longtemps. J’ai dit : “Frère Espinoza, ne dites encore rien à ce sujet. Envoyez quelqu’un chercher ce bébé et cette femme, et amenez-le chez le médecin, allez chercher une attestation signée avant de publier ça, là,” j’ai dit, “parce qu’il faut que ce soit vrai. On ne sait pas.” Alors, alors ils ont envoyé quelqu’un.
184 Et le médecin a signé une attestation : “Le bébé est mort de pneumonie double”, ce matin-là, dans son... à neuf heures, dans son cabinet. “Il ne respirait pas. Son coeur était arrêté, il était raide mort.”
185 Et cette petite femme était là. Pourquoi? Parce qu’elle avait persisté. Rien ne l’arrêterait. Elle a persisté. Elle a persévéré, même si son prêtre allait l’exclure de l’église (certainement qu’il l’aurait fait), peu importe ce qui arriverait. Au moment où elle regardait à travers la clôture, quelques soirs plus tôt, elle avait vu ce vieillard aveugle recouvrer la vue. “Si Dieu peut donner la vue aux aveugles, Il peut ressusciter les morts!” Et elle avait un besoin. Elle a persisté, comme la femme syro-phénicienne. Elle a obtenu ce qu’elle désirait, parce qu’elle a persisté.
186 Frère et soeur, nous sommes dans la Présence de Jésus-Christ. Il a dit : “Là ou deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je suis au milieu d’eux. S’ils s’accordent pour demander quoi que ce soit, ils le recevront.” Persistons maintenant en Présence de Dieu, alors que nous courbons la tête.
187 Notre bienveillant Père Céleste, voilà maintenant trente et quelques minutes que nous parlons, ou plus, pour Ton Royaume. [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] Dieu a fait la promesse. Dieu est tenu à Sa promesse. Seigneur, souvenons-nous, et soyons comme cette petite femme, persistons. Si Jésus est ici au milieu de nous, alors accrochons-nous à Lui jusqu’à ce que nous ayons obtenu ce pour quoi nous sommes venus.
188 S’il y en a ici, ce soir, qui ne sont pas sauvés, puissent-ils tenir bon jusqu’à ce que la grâce de Dieu qui sauve les ait reçus.
189 S’ils sont ici sans le baptême du Saint-Esprit, puissent-ils être comme cette petite femme, que ni le temps ni rien d’autre ne leur fasse obstacle. Ils vont tenir et persévérer jusqu’à ce que le Saint-Esprit remplisse leur vie de la grâce de Dieu.
190 S’ils sont malades, qu’ils n’abandonnent pas. Puissent-ils tenir comme Jacob, comme il a persévéré. Il a tenu bon, et il a dit : “Je ne Te laisserai pas aller avant que Tu ne m’aies béni.” Cette bénédiction, c’était la vie pour lui, et c’est ce qu’elle est pour nous ce soir. Et la guérison, c’est la vie pour nous, Seigneur.
191 Nous prions que Ta Présence vienne, afin que nous puissions Te saisir, et que Tu nous saisisses, comme Tu l’as fait avec Jacob, ce prince qui a lutté; que Tu changes nos noms, d’avoir été dans un registre d’église ici sur terre, à être dans le Livre de Vie de l’Agneau au Ciel. Persévérer, tenir bon jusqu’à ce que Dieu confirme Sa promesse en nous! Nous le demandons en Son Nom.
192 Seigneur, nous savons qu’un Mot de Toi fera plus que des millions que quelqu’un d’autre pourrait prononcer. Viens, Seigneur, confirmer ceci, que j’ai dit la Vérité. Tu es le même hier, aujourd’hui et pour toujours. Tu es la Parole. Tu étais la Parole qui était en Noé. Tu es la Parole qui était en Moïse. Tu étais la Parole qui était en Élie. Tu étais la Parole qui était en David. Tu es la Parole faite chair, et qui est parmi nous ce soir. Tu es ici pour confirmer toutes les promesses que Tu as faites pour cette heure-ci. “Ce qui arriva aux jours de Sodome”, toutes ces promesses que Tu as faites, Tu es ici pour confirmer Cela. Accorde-le, ce soir, Père. Nous chercherons à Te voir ici.
193 Et puis que l’église s’élève par la foi et qu’elle s’accroche, et qu’elle dise : “Je persévère, Seigneur. Je resterai ici, comme le juge inique à qui la veuve s’accrochait.” Et si ce juge inique, pour se débarrasser de cette femme, lui a donné ce qu’elle désirait, combien plus le Père Céleste le donnera à ceux qu’Il veut voir s’accrocher à Lui ce soir? Accorde-le, c’est au Nom de Jésus que nous prions. Amen. Le Seigneur soit béni!
194 Je veux voir... Billy, as-tu distribué des cartes? [Quelqu’un répond.–N.D.É.] Deux cents? Quelles sont celles que tu as distribuées aujourd’hui, H? Où est-ce qu’on avait commencé; à un, hier soir, n’est-ce pas? [“Oui.”] Commençons ailleurs ce soir. La carte de prière, ce soir, c’est H.
195 Ceux qui ont des cartes de prière, tenez-les bien. Vous voyez, nous allons prier pour chacun. Tenez-les bien, tenez cette carte de prière. Donnez une carte de prière à un homme et, déjà là, il est guéri à soixante pour cent. Voyez? Il sait qu’il va passer dans la ligne, alors il la tient. C’est la raison pour laquelle nous les distribuons.
196 Commençons à partir de, voyons voir, à partir de... disons, quatre-vingt, ce soir, commençons à partir de quatre-vingt, quatre-vingt-dix, cent. Qui a la carte de prière H, H comme Heaven [ciel, en anglais–N.D.T.]? H, quatre-vingt, levez la main. Voyons voir si je... Peut-être que je me trompe. Alors nous allons commencer ailleurs. Comment? Je ne l’ai pas vu. [Quelqu’un dit : “Tout au fond.”–N.D.É.] Oh, là-bas. Très bien, venez ici, monsieur. H, quatre-vingt.
197 H, quatre-vingt-un, qui a la quatre-vingt-un? Levez la main. Quatre-vingt-un, ici. Venez, madame.
198 Quatre-vingt-deux, celui qui a la quatre-vingt-deux, voulez-vous lever la main? Là, quatre-vingt-deux? Très bien, quatre-vingt-deux, qui a la carte de prière H, quatre-vingt-deux? Il y a quatre-vingt, quatre-vingt-un; nous voulons H, quatre-vingt-deux. Comment est-ce qu’on dirait ça en espagnol? C’est peut-être quelqu’un qui parle espagnol. Très bien, très bien, quatre-vingt-deux.
199 Quatre-vingt-trois. H, quatre-vingt-trois, qui a la carte de prière H, quatre-vingt-trois? Regardez votre carte de prière. Regardez la carte de prière de votre voisin, peut-être qu’ils sont sourds et qu’ils n’entendent pas. H, quatre-vingt-trois, quatre-vingt-trois?
200 Ne prenez pas de cartes si vous n’allez pas les utiliser. Voyez? Si vous en prenez, utilisez-les. Voyez? Ne les donnez pas à quelqu’un d’autre. Gardez-les vous-mêmes. On vous refuserait à la ligne de prière, vous voyez. Alors prenez votre carte, venez, écoutez les instruction avant la réunion. Prenez votre carte de prière, puis restez à votre place, vous voyez.
201 H, quatre-vingt-trois, où est-elle? Quatre-vingt-quatre? La dame ici. Quatre-vingt-cinq, quatre-vingt-six. C’est ça, répondez rapidement. Quatre-vingt-six, quatre-vingt-sept, quatre-vingt-huit, quatre-vingt-neuf. Quatre-vingt-dix, quatre-vingt-onze, quatre-vingt-douze, quatre-vingt-treize, quatre-vingt-quatorze, quatre-vingt-quinze, quatre-vingt-seize, quatre-vingt-dix-sept, quatre-vingt-dix-huit, quatre-vingt-dix-neuf, cent. Comptez-les, Frère Grant, s’il vous plaît, et voyez s’ils sont tous dans la ligne de prière.
202 Bon, maintenant, je vais demander à tous ceux ici, – nous allons terminer dans environ dix, quinze minutes, – je vais demander à tous ceux ici qui n’ont pas été appelés, de rester à leur place. Soyez bien respectueux, tranquilles. Persistez, maintenant.
203 Nous allons vous donner une autre petite histoire. Une fois, il y avait une femme. Jésus avait... Sa renommée s’était répandue là-bas à Gadara, et une petite femme est venue; ou, pas à Gadara, c’était un autre pays. Et elle avait entendu parler de Lui. Elle avait une perte de sang. Elle était venue à la réunion là où Jésus était, au bord de la mer, mais elle n’avait pas réussi à L’atteindre. Alors elle s’est dit dans son coeur, écoutez, là, dans son coeur : “Si je peux toucher Son vêtement, je serai guérie.” Vous vous rappelez l’histoire? Or, elle a réussi à se glisser et à toucher Son vêtement.
204 Qu’est-ce qui s’est passé, là? Jésus s’est retourné et Il a dit : “Qui M’a touché?”
205 Mais, Pierre L’a réprimandé. Pensez un peu à ça, maintenant, pendant qu’on vérifie s’ils sont tous là. Pierre L’a réprimandé. Il a dit : “Seigneur!” Quelque chose comme ceci : “Mais, les gens vont se demander si Tu as toute Ta tête.”
206 Il y avait tout le monde, là : “Bonjour, Rabbi! Bonjour, Prophète! C’est le jeune Prophète de Nazareth? C’est le Prophète galiléen? Bonjour-bonjour!”
207 “Qu’on nous débarrasse de cet Homme”, disaient les sacrificateurs et tous les autres. “Éloignez-vous de Lui, tout le monde.”
208 Mais il a tenu bon quand même, elle a tenu bon. Elle a dit : “Si je peux seulement toucher Son vêtement!” Elle l’a fait.
209 Alors, Pierre a dit : “Eh bien, Tu portes les gens à penser que Tu as perdu la tête.”
210 Il a dit : “Mais Je me sens affaibli.” Combien savent ça? De la vertu, ce qui signifie de la “force”, était sortie de Lui.
211 Et Il a promené le regard sur l’auditoire jusqu’à ce qu’Il trouve la femme. Et quand Il a trouvé la petite dame, qu’est-ce qu’Il lui a dit? Il a dit : “Ta foi t’a sauvée.” Il lui a parlé de sa perte de sang, lui a dit qu’elle avait été sauvée. Pas vrai? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
212 Maintenant, tous ceux qui croient qu’Il est le même hier, aujourd’hui et pour toujours, levez la main. Combien croient que ceci est la Vérité? Dans Hébreux 3, il est dit que : “Maintenant même, Il est un Souverain Sacrificateur qui peut compatir à nos infirmités.” Combien savent ça? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
213 Eh bien, s’Il est le même hier, aujourd’hui et pour toujours... Seulement, Il n’est pas sous forme physique; quand Il reviendra comme ça, le temps sera terminé, Il emmènera l’Église avec Lui.
214 Mais Il est ici sous la forme du Saint-Esprit, pour entrer en moi et en vous, et accomplir Ses mêmes oeuvres. Il a dit, dans Jean 14.12 : “Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.” Pas vrai? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
215 Et si la Parole est en nous, et que nous disons la Vérité, et que c’est bien la Parole qu’Il a promise pour aujourd’hui, alors la Parole de Dieu n’est-Elle pas “plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, et Elle juge les sentiments et les pensées du coeur”? La Bible dit-elle cela? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] N’est-ce pas que tous les prophètes pouvaient discerner les pensées dans–dans l’esprit des gens? Pas vrai? [“Amen.”] Pourquoi? C’était la Parole qui était en eux, la Parole de Dieu pour ce jour-là. Voyez? Voilà comment ils étaient confirmés. C’étaient là leurs références. Aucun d’entre eux ne faisait partie d’une organisation, pas un seul, jamais. Leurs références, c’était leur ministère.
216 Dieu a dit : “S’il y en a un parmi vous qui est spirituel ou prophète, et que ce qu’il dit s’accomplit, alors écoutez-le, car Je suis avec lui. Mais si cela ne s’accomplit pas, eh bien, ne l’écoutez pas.” Et ce ne doit pas seulement arriver une fois, ça doit être constant, tout le temps; pour les prophètes.
217 Il y a un don de prophétie, qui est dans l’église, qui doit être examiné par les–par les examinateurs, avant qu’on puisse le dire à l’église, bien sûr. “Que ce soit devant deux ou trois juges, et qu’ensuite ce lui soit dit.”
218 Mais un prophète est né prophète, prédestiné, établi d’avance. “Jérémie,” a dit Dieu, “avant même que tu sois formé dans le sein de ta mère, Je t’ai établi prophète sur la nation.” Jean-Baptiste, sept cent douze ans avant sa naissance, “il était la voix de celui qui crie dans le désert : ‘Préparez le chemin du Seigneur.’” Voyez? Certainement.
219 Remarquez, maintenant, quand Jésus était ici sur terre, Il a fait le sacrifice pour la guérison et pour le salut. Croyons-nous cela? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Jésus ne pourrait pas venir aujourd’hui vous sauver; Il l’a déjà fait. La question du péché a été réglée. Il est l’Agneau de Dieu qui ôte, a ôté les péchés du monde. “Il a été blessé pour nos péchés. C’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.” C’est au passé. Peu importe combien vous criez, et combien vous criez, ça ne servira absolument à rien tant que vous ne l’avez pas accepté.
220 “Et Il est un Souverain Sacrificateur assis à la droite de la Majesté dans les lieux très hauts, pour intercéder sur notre confession.” Vous devez l’accepter et le confesser. Vous voyez, c’est juste. Même chose pour la guérison.
221 Mais, et s’Il se tenait ici ce soir, qu’Il portait ce complet qu’Il m’a donné? Qu’est-ce qu’Il ferait dans la ligne de prière? Comment reconnaîtriez-vous que c’est Jésus? Voyez? Maintenant, pour ce qui est de quelqu’un qui viendrait et qui dirait : “Jésus, veux-Tu me guérir?”
Il dirait : “Je l’ai déjà fait.”
222 Maintenant, s’il avait des marques de clous dans les mains; et n’importe qui peut avoir ça, vous voyez, on peut avoir des marques de n’importe quoi.
223 Mais qu’est-ce que c’est, comment savez-vous, qu’est-ce qui vous fait savoir de quelle sorte de cep il s’agit? C’est la sorte de vie qu’il y a dedans. Et tout cep, si le premier... Le premier sarment qui est sorti de ce Cep, Jésus-Christ, ils ont écrit un Livre des Actes derrière cela. Pas vrai? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Si jamais Il en produit un autre, ils écriront un autre livre des actes. En effet, s’il a porté des raisins la première fois, la fois suivante il ne peut pas avoir des citrons. Mais, un cep de citron peut vivre là-dedans, c’est un agrume. Mais il vit par lui-même; il produira toujours des citrons, c’est le cep qui est greffé dedans. Mais si le Cep Lui-même produit un sarment, il portera du fruit comme le premier, parce que ce sera la Vie qui est en Jésus-Christ qui sera dans ce cep. C’est vrai.
224 Jésus a dit : “Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.” Maintenant, s’Il était ici, on Le reconnaîtrait à Sa Vie, et aux choses qu’Il a promises pour cet âge-ci.
225 Combien d’entre vous étaient ici hier soir, faites voir votre main. Pratiquement tout le monde, je suppose. Très bien. Maintenant, il y a des gens...
226 Tous ceux qui sont dans cette ligne, pour autant que je sache, me sont parfaitement inconnus. Si c’est vrai, levez la main. Tous me sont... Est-ce que vous m’êtes inconnue? [La personne dit : “Oui.”–N.D.É.]
227 Combien dans l’auditoire, me sont inconnus? Très bien. La seule chose que je vous demande de faire, c’est d’avoir la foi et de croire que je vous ai dit la Vérité.
228 Maintenant, regardez, Christ a promis ces choses pour les derniers jours. Or, je sais que vous avez eu de vaillants combattants, ici en ville, peut-être Oral Roberts et, oh, comme feu Jack Coe et ces grands hommes de foi; ils ont fait leur temps. Mais rappelez-vous, le dernier signe qu’a vu le monde des nations avant que le fils promis arrive, au temps d’Abraham, qui est le père de tous, et Jésus a promis la même chose; le dernier signe qui a été montré à l’Église élue, maintenant rappelez-vous, il y en avait Un. Deux sont descendus prêcher à Sodome, ils n’ont jamais montré ce signe; pas plus qu’aujourd’hui. Mais à l’Église appelée à sortir, le signe a été montré; et de même Jésus a prophétisé que ce serait la même chose, vous voyez, Dieu manifesté dans la chair, vous voyez, discernant les pensées qui sont dans le coeur. Voyez? Or, Il a promis cela! “Les cieux et la terre passeront, mais Cela, non.”
229 Maintenant, s’Il manifeste ça, pour montrer qu’Il est présent ici, combien de vous croiront en Lui pour votre guérison et tout ce dont vous avez besoin? [L’assemblée se réjouit.–N.D.É.]
230 Maintenant, Seigneur Jésus, maintenant, c’est à Toi, Père. Quelle que soit Ta volonté, qu’elle soit faite. Je suis Ton serviteur. Ceux-ci sont tous Tes serviteurs, ou beaucoup d’entre eux ici. Que ceux qui ne sont pas Tes serviteurs; par Ta Présence... sachant que peut-être avant le matin, ils devront se retrouver devant Ta face. Maintenant Tu peux leur sourire par la grâce, mais alors Tu seras leur juge.
231 Que Jésus vienne parmi nous ce soir, qu’il en soit ainsi, Seigneur, et qu’Il accomplisse et qu’Il fasse ce qu’Il a fait avant Sa crucifixion; ce sera pour nous une assurance, face à toutes les religions païennes, que notre Sauveur n’est pas mort, mais qu’Il est ressuscité des morts. Et après deux mille ans, Il est tout aussi vivant ce soir qu’Il l’était alors. Et puissions-nous, comme ceux d’Emmaüs, dire : “Notre coeur ne brûlait-il pas au dedans de nous, alors qu’Il nous parlait en chemin?” Que Ta Présence soit reconnue. Puissions-nous Te voir, ce soir, dans la Puissance de Ta résurrection. Et là, que les gens croient, alors, Seigneur, à cause de Ta très auguste Présence. Nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.
232 Maintenant, je prends chaque esprit... Chacun de vous est un esprit. Rappelez-vous, moi, vous ne m’avez jamais vu; vous voyez cette vieille carcasse usée, ici, qui déclare cette Voix. Or cette Voix, ou bien elle vient de Dieu, ou bien elle ne vient pas de Lui, tout comme la vôtre. Cette voix est seulement enveloppée dans cette carcasse, qu’un jour j’échangerai contre une nouvelle, qui ne vieillira pas. Mais, mon ami, chacun est un esprit. Alors, quand vous bougez, vous voyez, quand vous avez le contrôle, là, vous voyez, ça dérange. Restez assis bien tranquillement, soyez en prière. Je veux que, si Dieu fait quelque chose, je veux que vous Lui soyez reconnaissants, certainement, que vous Le louiez, et puis que vous soyez respectueux et que vous regardiez bien. Restez assis bien tranquillement, et croyez de tout votre coeur.
233 Maintenant, vous, là-bas, qui n’avez pas de carte de prière, où que vous soyez, croyez simplement et dites ceci : “Seigneur Jésus, ce qu’il nous a dit, c’est dans la Bible. Nous... je sais que Tu as promis cela, et je sais qu’il faut que ça vienne de Toi. Ce ne peut pas être cet homme; il est un homme comme moi, ou comme mon mari, ou comme mon fils, ou mon frère, ou n’importe qui d’autre.” Voyez?
234 Mais un don n’est pas quelque chose, un couteau, qu’on prend pour aller s’en servir, un don. Un de ces jours, je prendrai une grande tente et je viendrai dans une ville, et j’y resterai des mois d’affilée, vous voyez, et j’enseignerai, là. Un don, c’est s’enlever du chemin, pour que Dieu puisse entrer, voyez-vous, ce que Lui, Il montre, ce que Lui, Il fait. Un don, ce n’est pas : “J’ai la puissance pour faire ceci, j’ai la puissance!” Votre puissance par un don, c’est de vous enlever du chemin. Et le don que Dieu vous a donné, alors, il agit à travers ça, vous voyez, après que vous vous êtes enlevé du chemin. Voyez?
235 Or, je ne peux pas Le forcer à me dire quoi que ce soit. Il faut que ce soit Lui qui le fasse. Maintenant, pour gagner du temps... Je suis vraiment en retard.
236 Mais venez ici, madame, je veux que vous vous teniez juste ici. Je parlais, il y a quelque instants, d’une femme au–au puits. Vous étiez ici hier soir? [La soeur dit : “Non, monsieur.”–N.D.É.] Vous n’étiez pas ici. Avez-vous déjà été dans une des réunions? [“Non, monsieur.”] Jamais auparavant. C’est la première fois, pour elle. Nous ne nous connaissons pas. Elle n’était même pas ici hier soir. Elle n’a jamais eu d’instructions là-dessus. Rien d’autre que de se tenir ici. [“C’est juste.”] Maintenant, nous sommes là. Vous vous rappelez l’histoire de la femme au puits? [“Oui, monsieur.”] C’était un paysage qui ressemblait un peu à celui-ci, là, et l’Homme et la femme se rencontraient pour la première fois de leur vie.
237 Or, cette femme était dans, elle était dans... Elle était dans la honte. Elle avait été mariée trop de fois, et elle–et elle vivait avec un homme avec qui elle n’était pas mariée, et–et c’était une chose très mauvaise. Et Jésus lui a parlé.
238 Maintenant, vous vous souvenez, Il a dit, dans Jean 5.19 : “En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même; mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement.” Par conséquent, Jésus n’a jamais accompli quoi que ce soit sans l’avoir d’abord vu en vision, sinon Il a dit quelque chose de faux, là. “Le Fils ne fait rien sans l’avoir vu faire au Père premièrement.” Pas L’avoir entendu le faire; “L’avoir vu le faire”. Alors le Père...
239 Il fallait qu’Il passe par la Samarie. Il allait à Jéricho, mais Il est monté en Samarie, la ville de Sychar. Et Il a rencontré cette femme, et Il s’est mis à lui parler jusqu’à ce qu’Il trouve où était son problème. Alors Il lui a dit son problème, et rapidement, elle, même dans son état, elle a reconnu que c’était là le signe du Messie.
240 Eh bien, si c’était Lui hier, Il serait le même aujourd’hui, s’Il est le même hier, aujourd’hui et pour toujours. Pas vrai, auditoire? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Voyez?
241 Maintenant, nous nous rencontrons pour la première fois. Je ne suis pas Lui, et vous n’êtes pas elle, mais Il est toujours Dieu. [La soeur dit : “Amen.”–N.D.É.] C’est vrai, vous voyez. Maintenant, si vous pouvez avoir la foi dans–dans ce que je dis, dans la Parole! Je ne dirai jamais rien d’autre que ce qui est dans cette Parole. [“Gloire au Seigneur!”] Il peut faire des choses en dehors de cette Parole; mais tant qu’Il fait Cela, alors je sais que C’est vrai, vous voyez. [“Oui, monsieur.”] Et là, vous ne me connaissez pas, je ne vous connais pas.
242 Donc, si vous étiez malade, et que je vous impose les mains, et que je crie, comme ce vaillant combattant, Frère Roberts, ou certains de ceux-là, Frère Allen ou certains de ces hommes-là, qui vous imposent les mains et qui disent : “Alléluia, le Seigneur vous guérit”, ça, c’est bien. Croyez-le, et ça va marcher. Voyez? [La soeur dit : “Amen.”–N.D.É.] Voyez? Mais maintenant, et s’Il se tenait ici et qu’Il dise quelque chose que vous avez fait, ou une raison pour laquelle vous êtes malade, ou quelque chose qui s’est passé au cours de votre vie, ou quelque chose que vous n’auriez pas dû faire? [“Ce sera bien.”] Oh, ça–ça, vous sauriez que ça devrait être vrai, ce serait clair dans votre esprit, alors. [“C’est vrai.”] C’est vrai.
Est-ce que ça le serait pour vous, là, dans l’auditoire? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
243 Or, de quoi est-ce que je parle à cette femme? Vous voyez, je n’ai pas continué ce message de ce soir (j’en étais à “persévérer”), vous voyez, ça me remettrait dans la prédication. Et maintenant, je dois revenir au discernement, me détendre, mettre William Branham de côté.
244 Combien ont déjà vu cette photo qui a été prise, ici à Houston? Et vous... Elle est ici. Elle est là-devant maintenant, vous voyez. Elle est là, suspendue, juste à côté, entre moi et la femme, maintenant même. Elle est là, Elle tournoie. Si la femme voulait en être témoin; elle sait que pendant les quelques dernières secondes, il y a eu quelque chose comme une sensation très douce. [La soeur dit : “Oui.”–N.D.É.] Si c’est vrai, levez la main. [“Amen. Amen.”] Voyez? Je suis en train de La regarder. Vous voyez, c’est comme de vivre dans une autre dimension. Je La regarde, à travers la femme. [“Amen.”]
245 Maintenant, la dame, une chose, c’est qu’elle est extrêmement nerveuse. [La soeur dit : “Oui.”–N.D.É.] Et c’est pour ça que vous vouliez que je prie. Et c’est bien naturel, parce qu’en ce moment, à cause de cette période de la vie que vous vivez, d’arriver à cet âge-là, et tout, ça vous rend nerveuse.
246 Autre chose, c’est que vous avez quelque chose dans le côté, c’est–c’est comme des petites poches d’air, comme, qui se forment dans votre côté. [La soeur dit : “C’est vrai.”–N.D.É.] Bien, est-ce que c’est vrai? [“Oui, monsieur.”] Levez la main, si... [“C’est–c’est attesté par le docteur.”] Voyez? [“Gloire à Son saint Nom!”]
247 Là, vous voyez, voilà que cela revient encore, quelqu’un qui dit : “Il a deviné.” Vous, je vais dire qui c’est, un de ces jours, vous voyez. Ne le faites pas. Vous ne pouvez pas vous cacher maintenant, souvenez-vous, vous voyez. La–la Parole, Elle est ici, Elle-même. Pas moi, mon ami; je suis seulement votre frère. Mais la Parole est ici.
248 Tenez, elle est quelqu’un de bien, voyons si j’ai deviné ça. Là, je ne sais pas ce que j’ai dit. Il faudra que ça passe par la bande, pour que je le sache. Un instant, là. Oui. Oui, elle–elle est nerveuse, ce qui est causé par une–une période, son âge et tout. Elle...
249 Et puis, autre chose, vous avez subi une–une opération. [La soeur dit : “Oui, monsieur, c’est ça.”–N.D.É.] Et c’était un problème gynécologique, il y a quelque temps. C’est vrai. [“Oui.”] Ça vous a rendue encore plus nerveuse que jamais. C’est vrai, n’est-ce pas? [“Oui, monsieur, c’est vrai.”] Eh oui, c’est vrai. Et là, ça vous a rendue nerveuse, parce que, cette période de la vie, ça vous a rendue plus nerveuse. Pensez-vous que je devine ça, là? [“Non.”]
250 Voici autre chose. Il y a une–une fille avec vous, une petite fille. Et elle est ici, et elle a les oreillons. [La soeur dit : “Oui. Amen.”–N.D.É.] Pas vrai? Elle est assise là-bas. Et il y a une femme, une autre femme, une de vos amies [“Oui, monsieur.”], et elle a une oppression mentale [“Oui.”], nerveuse, en quelque sorte, et mentale. [“Amen.”] Pas vrai? [“Alléluia.”] Maintenant, quand vous retournerez, posez ce mouchoir sur elles; les oreillons disparaîtront, et elle s’en remettra, et vous serez guérie. Allez, croyez au Nom du Seigneur Jésus.
251 Est-ce que vous croyez? [L’assemblée se réjouit et dit : “Amen.”–N.D.É.] C’était Jésus hier, c’est Jésus aujourd’hui! Vous devez savoir que c’est Quelqu’un, vous voyez. Oui. Il faut que Quelqu’un... Bon, là, regardez, ça, c’était derrière moi. Voyez? Voyez? Ce n’est pas... Moi, je n’aurais pas pu faire ça. Vous–vous savez qu’il faut que ce soit une Puissance, n’est-ce pas? [“Amen.”] Croyez-vous que c’est le Seigneur Jésus, selon Sa promesse? [“Amen.”] Que le Seigneur vous bénisse.
252 Bonjour, madame. Je vous suis inconnu, à vous aussi. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. C’est la première fois que nous nous rencontrons, pour autant que je sache. Mais maintenant, si le Seigneur Jésus me disait quelque chose à votre sujet, quelque chose comme pour cette dame, là, quoi que ce soit, croiriez-vous que c’était le Seigneur Jésus, au lieu de... Ce ne serait pas moi, vous savez. Et là, vous pourriez dire, comme les pharisiens : “C’est Béelzébul, un mauvais esprit.”
253 Et parce qu’ils ont dit de l’Esprit de Dieu, qui accomplissait l’oeuvre en Lui, que c’était “un mauvais esprit”, c’était un blasphème contre le Saint-Esprit, ce qui n’allait jamais être pardonné quand Ceci viendrait en ce jour-ci. C’est la raison pour laquelle notre nation passe en jugement aujourd’hui. Il ne lui reste plus rien d’autre à attendre que le jugement. Elle est pleine de Jack Rubys, et tout, alors il ne peut rien lui arriver d’autre que le jugement.
254 Bon, vous êtes malade. Vous êtes allée voir un médecin. Il vous conseille vivement de vous faire opérer. Il s’agit d’une opération du côlon. [La soeur dit : “C’est vrai.”–N.D.É.] C’est juste, n’est-ce pas? [“Amen.”]
255 Voici autre chose. Côté spirituel, vous avez terriblement besoin... [“Oui. Amen.”–N.D.É.] Vous sentez que vous n’allez pas bien. Vous vous êtes laissé un peu éloigner, et vous voulez revenir. [“C’est vrai.”] Eh bien, maintenant, vous êtes revenue. Maintenant, allez, croyez de tout votre coeur, et vous guérirez, au Nom de Jésus-Christ. Vos péchés vous sont pardonnés. Maintenant, allez, croyez.
256 Maintenant, ce n’est pas moi qui ai dit que “les péchés étaient pardonnés”. C’est Lui qui l’a dit. Vous voyez, ce n’était pas moi. C’était Lui, vous voyez.
257 Est-ce que vous croyez? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Avec ça, vous devriez tous reconnaître que c’est Lui qui est ici. Pas vrai? [“Amen!”] Si vous croyiez, simplement! Ayez simplement la foi. Ne doutez pas. Soyez respectueux et croyez Dieu. Maintenant, vous voyez, vous êtes dans Sa Présence.
258 Maintenant, si un de ces discernements a fait dire au Fils de Dieu : “De la vertu est sortie”, que pensez-vous que ça me ferait, à moi, un pécheur sauvé par Sa grâce? Voyez? Ce serait, vous savez ce que ce serait.
259 Un petit instant, ce n’est pas la femme. Dites, vous qui venez juste d’être guérie, là, madame, en train de retourner vers votre place, regardez-moi un petit instant. Il y a un–un homme assis là juste devant vous qui a des problèmes de sinus, il est assis juste là. Oui. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Vous croyez? Très bien.
260 Dites-moi ce qu’il a touché. Je ne connais pas cet homme, je ne l’ai jamais vu de ma vie. Si c’est vrai, faites signe de la main, si nous sommes étrangers l’un à l’autre.
261 Bon, regardez, pour que vous sachiez autre chose. Sa femme, qui est assise là à côté de lui, croyez-vous que Dieu peut me dire ce qui ne va pas chez elle? Croirez-vous que je suis Son prophète, Son serviteur? Allez-vous le faire? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
262 Elle a le rhume des foins. Si c’est vrai, levez la main, madame. Alors c’est exact. Maintenant, si vous croyez, tous les deux! Vous avez touché Quelque Chose. Croyez maintenant, et ça vous quittera.
263 Croyez-vous en Dieu? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Ne doutez pas. Ayez foi en Dieu.
264 Voici un homme. Je n’ai jamais vu cet homme. Il est pas mal plus jeune que moi, et je ne l’ai jamais vu auparavant. Si nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, monsieur, levez les mains. Très bien. Je ne l’ai jamais vu.
265 Maintenant, prenons une illustration, dans la Bible, prenons quand... quand Jésus a rencontré Simon Pierre. J’imagine qu’il était un homme d’à peu près cet âge-là, le cheveu qui se fait plus rare, quand Jésus l’a rencontré. Maintenant regardez bien. Il lui a parlé.
266 Maintenant, si je ne connais pas cet homme; je ne l’ai jamais vu, nous avons tous les deux les mains levées, comme quoi nous sommes totalement étrangers l’un à l’autre. Bon, les autres, c’étaient des femmes, voyons ce qu’il en est de cet homme.
267 Maintenant, regardez-moi, un petit instant, comme votre frère. Et maintenant, si le Seigneur veut bien dire quelque chose que vous avez fait, ou quelque chose que vous auriez dû faire, ou que vous n’auriez pas dû faire, ou quoi que ce soit, vous saurez si c’est la vérité ou non. [Le frère dit : “Oui, monsieur.”–N.D.É.] Vous sauriez. Et puis s’Il peut vous dire ce qui ne va pas chez vous, ou quelque chose qui vous préoccupe, quelle est votre maladie, ou–ou quelque chose comme ça, vous dire quelque chose dont vous–vous saurez si c’est vrai ou non. Alors s’Il peut vous dire ce qui est arrivé, et que vous sachiez si c’est vrai ou non; s’Il vous dit ce qui va arriver, alors vous saurez que c’est nécessairement vrai.
268 Bien, est-ce que ça ferait que chacun ici... Je prends juste mon temps avec cet homme, et je lui parle. C’est le premier.
269 Maintenant, regardez par ici, un petit instant, alors que nous parlons. Que le Seigneur m’aide maintenant. Et croyez-vous que ce que la Bible dit est vrai? [Le frère dit : “Oui, monsieur.”–N.D.É.]
270 Vous croyez que c’est maintenant l’heure où Jésus doit venir; que l’Église est passée par la justification, la sanctification, le baptême du Saint-Esprit, exactement comme la pyramide, que c’est venu comme ça? Et maintenant, il faudra que la pierre du sommet soit tellement parfaite que, quand la Pierre de faîte viendra, elle devra se fusionner avec. Le ministère doit commencer comme ceci, et devenir de plus en plus minoritaire, qu’il y ait des groupes plus petits, et un groupe plus petit, jusqu’à ce que la Pierre finisse par se joindre à l’édifice. Il est la Pierre de faîte, Il emporte avec Lui l’édifice tout entier, qui est l’Église. Ils ressusciteront tous, depuis cette première veille, jusqu’à la septième, et ils partiront tous dans l’Enlèvement. Ils ont chacun eu leur jour qui leur a été donné, et ils ont eu leurs réformateurs et leurs fondateurs, et ainsi de suite, tout le long. Et dans ce dernier jour, c’est de nouveau un aigle, c’est-à-dire de nouveau l’âge prophétique, pour rassembler ça.
271 Croyez-vous cela, la Parole et la Pierre, Celui qui vient? [Le frère dit : “Oui.”–N.D.É.] Vous dégagez une très bonne atmosphère, monsieur.
272 Maintenant, ce que vous avez, c’est que vous avez eu un accident. Lors de cet accident, vous avez été asphyxié au monoxyde de carbone. C’est vrai. Ça vous a empoisonné. Ça vous a empoisonné le foie, et vous avez eu des problèmes avec ça. Vous avez eu des problèmes d’estomac. [Le frère dit : “Exact.”–N.D.É.] Vous avez eu des problèmes avec votre coeur. [“Exact.”] Et ça vous a rendu nerveux au point que vous en avez fait un complexe. Vous êtes pauvre, vous devez retourner travailler. Mais vous avez peur de retourner travailler, vous avez peur du monoxyde de carbone. Mais tout ira bien. Maintenant, souvenez-vous, si–si Jésus-Christ me dit qui vous êtes, est-ce que... Bon, ces choses étaient vraies, n’est-ce pas? S’Il me dit qui vous êtes, allez-vous l’accepter et savoir, et retourner et prendre courage? Allez-vous le faire? Votre nom, c’est M. Wagner. [“C’est vrai.”] Retournez, allez votre chemin.
273 Croyez-vous maintenant? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] De tout votre coeur, vous croyez? [“Amen.”] “Si tu peux croire, tout est... Tout est possible à ceux qui croient.”
274 Maintenant, croyez-vous que Dieu guérira ce problème gynécologique que vous avez? Bon, continuez simplement jusqu’à l’autre bout de l’estrade en disant... [La soeur pousse un cri.–N.D.É.] Amen. Voyez? Que Dieu vous bénisse.
275 Bien, madame, quand vous vous levez le matin, vous êtes raide, vous ne pouvez pas vraiment beaucoup vous déplacer, de l’arthrite. Mais croyez-vous que Dieu guérit l’arthrite? [La soeur dit : “Oui.”–N.D.É.] Très bien, continuez votre chemin, en disant : “Merci Seigneur.” [“Mais je–je ne... J’ai besoin d’être guérie des nerfs.”] C’est très bien, c’est ce qui a provoqué votre arthrite, vous voyez, c’étaient vos nerfs. “Si tu peux croire, tout est possible”, mais vous devez d’abord le croire.
276 Qu’en pensez-vous, monsieur? Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu guérit les problèmes cardiaques et qu’Il vous rétablit? [Le frère dit : “Bien sûr!”–N.D.É.] Très bien, continuez votre chemin, dites : “Merci, Seigneur Jésus.”
277 Maintenant, madame, vous êtes recouverte d’une ombre, ça veut dire le cancer. [La soeur dit : “Exact.”–N.D.É.] Croyez-vous que Dieu guérira le cancer? [“Oui.”] Très bien. Acceptez-le et continuez votre chemin, en disant : “Merci, Dieu bien-aimé”, et croyez de tout votre coeur.
278 Dieu peut guérir les problèmes d’estomac, ou n’importe quoi d’autre. Vous croyez cela? [La soeur dit : “Oui, monsieur.”–N.D.É.] Très bien, continuez votre chemin, et réjouissez-vous, en disant : “Merci, Seigneur Jésus.”
279 Croyez-vous que Dieu guérira votre problème gynécologique, cette perte? Très bien, continuez votre chemin, en disant : “Gloire au Seigneur.” Croyez de tout votre coeur.
280 Croyez-vous que Dieu guérit les sinus et l’asthme, et toutes ces choses-là, qu’Il vous rétablit? Continuez votre chemin, réjouissez-vous, en disant : “Merci, Dieu bien-aimé.”
281 Et si je ne vous disais rien, que je vous imposais seulement les mains, vous le croiriez? Au Nom du Seigneur Jésus, soyez guérie. Croyez de tout votre coeur.
282 Venez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? État anémique et problèmes cardiaques, croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Si oui, continuez votre chemin, dites : “Merci, Seigneur Jésus”, et soyez rétablie.
283 Très bien. Venez, madame. Croyez-vous que Dieu guérit le diabète et rétablit les diabétiques? [La soeur dit : “Oui.”–N.D.É.] Alors continuez votre chemin, en disant : “Merci.” Croyez de tout votre coeur, vous voyez.
284 Dieu guérit la nervosité et les problèmes d’estomac, aussi. Croyez-vous qu’Il vous rétablit? Continuez votre chemin, en vous réjouissant. Mangez votre souper, et prenez courage.
285 Venez. Un estomac nerveux, aussi. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir? [La soeur dit : “Oui, monsieur.”–N.D.É.] Continuez votre chemin, et mangez, et soyez guérie. Croyez de tout votre coeur.
286 Vous avez quelques palpitations cardiaques, mais ce qu’il y a aussi, c’est que vous avez comme de l’arthrite. Croyez-vous que Dieu, Dieu va vous rétablir? [La soeur dit : “Oui, je le crois.”–N.D.É.] Continuez votre chemin, et réjouissez-vous, et dites : “Merci, Seigneur.”
287 Une nervosité gastrique qui a provoqué un ulcère à l’estomac, et tout. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir et vous guérir? [La soeur dit : “Oui.”–N.D.É.] Continuez votre chemin, et dites : “Merci, Seigneur”, et soyez guérie.
288 Vous avez beaucoup de choses, un problème féminin. Une des choses graves, chez vous, c’est une maladie de coeur, trop autour de votre coeur. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Continuez votre chemin, et réjouissez-vous, et dites : “Merci, Seigneur.”
289 Croyez-vous que Dieu guérit l’arthrite? [La soeur dit : “Oui, monsieur.”–N.D.É.] Continuez simplement à avancer, et votre arthrite disparaîtra.
290 Croyez-vous de tout votre coeur? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Voyez? Bien sûr que...
291 Maintenant, certains d’entre vous, là-bas dans l’auditoire. Maintenant, soyez respectueux. Soyez respectueux, restez bien tranquilles, croyez de tout votre coeur, maintenant. Regardez par ici, croyez de tout votre coeur, certains d’entre vous là-bas qui n’iront pas dans la ligne de prière.
292 Ce petit garçon qui est assis tout près, ici, le petit garçon potelé qui est assis juste là. Ne voyez-vous pas cette Lumière au-dessus de lui? Ce petit garçon souffre d’un problème de reins. Crois-tu que Dieu va guérir le problème de reins, mon garçon? Tu le crois? Très bien, mets-toi debout et dis : “Je le crois et je l’accepte.” Très bien. Que Dieu te bénisse. Continue ton...
293 Croyez-vous de tout votre coeur? “Si tu peux croire, tout est possible.”
294 Et vous, qui venez juste de vous asseoir, là, qui venez de vous avancer avec un petit garçon pour vous asseoir? Croyez-vous, ce problème aux yeux, que Dieu va guérir votre problème aux yeux et vous rétablir? Vous le croyez? Très bien, vous aussi, vous pouvez avoir votre guérison. Très bien. Vous vous êtes assis juste au bon moment. Amen. Continuez simplement. Ça va bien. C’est bon. Très bien. Amen. Très bien.
295 La femme à côté de vous, là, sa tête la fait souffrir. Croyez-vous que Dieu va guérir vos maux de tête, madame? [La soeur dit : “Oui.”–N.D.É.] Très bien. Votre petite fille, là, souffre d’une affection mentale. C’est vrai, n’est-ce pas? Posez la main sur elle, et croyez, et elle aussi, elle se rétablira. Vous le croyez?
296 L’autre dame, là, assise à côté, elle prie, juste à côté. Elle est là, en train de prier à cause d’un foyer brisé. Est-ce vrai, madame? Levez la main. Croyez, et votre foyer sera rétabli. Ayez la foi.
297 La dame assise à côté d’elle a un kyste. Croyez-vous que Dieu va guérir ce kyste, madame? Levez la main, acceptez-le.
298 La dame assise à côté d’elle a des ennuis à la gorge. Croyez-vous que Dieu va guérir votre gorge, madame? Levez la main.
299 Mais, qu’est-ce que vous avez donc? Ne voyez-vous pas que Jésus-Christ... Mettons-nous debout. Levez-vous et acceptez Jésus comme votre guérisseur.
300 Ô Agneau de Dieu, au Nom de Jésus-Christ, guéris chaque personne ici, pour Ta gloire.
1 ... usually announce it so you can be sure to remember where it's at. We want to read from Matthew, the 15th chapter of Matthew, beginning with the 21st verse.
Then Jesus went thence, and departed into the coasts of Tyre and Sidon.
And, behold, a woman of Canaan came out of the same coasts, and cried unto him, saying, Have mercy on me, O Lord, thou son of David; my daughter is grievously vexed with a devil.
But he answered her not a word. And his disciples came and besought him, saying, Send her away; for she crieth after us.
But he answered and said, I am not sent but unto the lost sheep of the house of Israel.
Then came she and worshipped him, saying, Lord, help me.
But he answered and said, It is not meet to take the children's bread, and to cast it to dogs.
And she said, Truth, Lord: yet the dogs eat... the crumbs which fall from the masters' table.
Then said... Then Jesus answered and said unto her, O woman, great is thy faith: be it unto thee even as thou will.
And her daughter was made whole from that very hour.
2 Let us bow our heads now for prayer. I wonder, tonight, with our heads and hearts bowed, if there would be someone here would like to be remembered in prayer. Would you just let it be known as you lift your hands to God, say, "I have a need, Lord, I pray You'll help me." The Lord bless you.
3 Our heavenly Father, as we are now approaching Thy Majesty, in the Name of the Lord Jesus, for He told us, "If you ask the Father anything in My Name, it'll be granted." We come with all the faith that we have, believing that You'll answer us according to our needs tonight, as they are many. Thou sees the hands of Thy children throughout the building here, as they raise their hands. And You alone knows what was beneath the heart. I pray that You'll answer them, Father, tonight. And may every desire that they have, be granted to them this day.
We pray for those who are unsaved and know Thee not as their Saviour. We pray that they'll accept You tonight, and find that all-sufficiency that they must have in the hour of death.
5 Many here maybe who has already has accepted You, and has not yet been filled with Thy Spirit. We pray, that this night, that Thou will pour into them the abundance of the Holy Spirit, that they might be servants to You in these closing hours of the world's history.
Heal all the sick and the afflicted, Lord. Thou knowest their need.
And we pray that Your Presence will come among us tonight in such a way that we'll recognize You as our risen Lord. And when the service is closed, and we go to our homes, may we be able to speak among each other, saying like those who came from Emmaus that day, saying, "Did not our hearts burn within us, as He talked to us along the way?" For they were made to know You by a certain sign that You did before Your crucifixion. And after You had risen, You were the same Jesus, doing the same things. May we still witness the same tonight. In Jesus' Name, we pray. Amen. (May be seated.)
8 I taken my full time last evening on the subject of "We Would See Jesus," and after having to introduce the caliber of the--of the meetings and how to accept it, as usually Brother Borders will to the strangers each night henceforth. I was--went my full time to nine-thirty, and I don't like to keep people waiting. Just a few words to get acquainted, and then the Lord's Words means... One time, Him speaking, mean more than anyone could say in a lifetime, just one Word from Him.
I wish to take as it was tonight a text from this Scripture reading that God has give us here as a context. May He give it to us. I want to take one word: "Perseverant."
The word, according to Webster, on some notes I got written out here, it means "to be persistent, to be perseverant, and that is, into making a goal": "to be persistent," and that's perseverant.
11 Men of all ages, that has faith in what they're trying to achieve, has been perseverant. No man can be perseverant unless first he knows what he's trying to achieve. And you first must know what you're trying to achieve, and then have faith that you're going to get what you are trying for. And that makes you persistent, something that you know is real.
Faith is based that way. Faith is not based upon a myth and upon something that, well, that just, say, go do this or do that, on the words of some man. But faith takes its eternal resting place upon the Word of the Lord, upon God's Word, which is the Bible.
13 Now, we believe the Bible to be God's infallible Word. We believe that It is the entire revelation of Jesus Christ, revealing Himself in the Old Testament by the prophets; God making Hisself known through His Son Christ Jesus, and in Him dwelt the Fullness of the Godhead bodily. He was crucified for our sins, died, buried, rose the third day, ascended into heaven, and is back here again in the Name of the--in the form of the Holy Spirit, God dwelling one time, God above us in Christ, God with us; now God in us. It's God working His way back into man, to worship, be worshipped through man, God's agency. God does nothing outside of a man being His agent, His helper.
14 And now, men who has had faith in God, has been very persistent in what they are trying to do. And we take men of all walks of life. For instance, George Washington, here at Valley Forge, after praying all night in the snow, up to his hips, was wet way up around his waistline, and the river was full of ice. But he caught a vision from God; he caught faith, that God was going to give him the victory. And the--the river had--couldn't have had too much ice in it. Though over two-thirds of his army didn't even have shoes on their feet; their feet was wrapped in rags, standing in that cold, but yet he felt in his heart that God had give him the victory. He had prayed through. The next day, we know, three musket bullets went through his coat without touching him. And the river couldn't stop him, neither could a musket bullet stop him. He was persistent, because he had prayed through. And he had faith in what he was doing, in the One that was leading him; that was God.
Nothing's going to stop a man when he--he's perseverant, when he knows what he's doing, and got faith in what he's trying to achieve.
17 One of the oldest stories in the Bible, one of them was Noah. Noah was just not a--some different man. He was an ordinary man, perhaps a farmer.
And the world was wicked, as it is today, full of science and great men. They'd sprung from the sons of Cain. The sons of Seth were humble shepherds, farmers. But the sons of--of Cain were wise men, builders, and--and inventors, and scientists, real smart, real religious. And they had their own form of godliness, but was denying, as it is today, the power of God.
And Noah being a just man before God, one day God met him in the fields and talked to him, and told him to build an ark, because He was going to destroy the world with water.
20 Now, that was absolutely contrary to all scientific measurements of that day. See, it had never rained. There--there was no moisture in the air. And God had watered the earth through a irrigation, up through the earth with springs. And there was no water for such, no water in the skies.
Science in that day were probably more able. They achieved more then than they--they are able to explain today. They built the pyramids in Egypt, the sphinx. They could never build that again. Those stones that high in the air, we haven't got nothing to put it up there with, or no power to lift it. But somehow they were able to accomplish it in the days of Enoch and Noah, before the flood. And perhaps they shot the moon, and might've had astronauts, and so forth. We don't know.
22 But Jesus said, "As it was in the days of Noah, (a great smart civilization) as it was then, so will it be at the coming of the Son of man."
And now perhaps they, in their scientific research, they--they found something there that they could make a coloring that would last till today, a dye of some sort, that would not give away.
And they could embalm a body, make a mummy, that would look quite natural; yet today, after four thousand years, they still look natural. We couldn't do that if we had to. We have nothing to do it with. We've lost the art, many great arts that they had.
25 No doubt they had instruments that would prove there was no water in the air. And this man coming around, contrary to science, and says that there's going to come water out of the heavens.
Now, the science could take an instrument and shoot up into the air, and say, "Looky here, Noah; read this instrument. It gives on this barometer here, whether there's any water up there, or not, and there is none. Now, you say it's up there, and yet the scientific research shows that it's not there."
That didn't stop Noah. He was persistent. He knowed that God had said, "It's going to rain," and God was able to put rain up there if He said so. He would make it, whether there was any there or not. So he was persistent after he knowed the Word of the Lord.
28 And when a man knows the Word and will of God, you become persistent; you become perseverant. No matter what science says, "Well, they can't do this; they cannot do that," you know it anyhow. You've got ahold of Something, and that Something's got ahold of you. You're rotating together. You--there's something about it, that you cannot explain it. No matter how scientific it seems to be untrue, yet there's Something in it that tells you that it's God, and there's nothing going to stop it.
So we find that Noah pounded right ahead on the ark, no matter how much scientific proof it wasn't so, and there was no rain. And he believed it anyhow, because he had heard the Word of the Lord.
And there's where faith is solemnly based upon: THUS SAITH THE LORD.
31 Moses, another great, smart man that had been raised up, born in the world for a certain achievement of God. And he tried to meet this goal by his scientific acts. We are taught and told by history that he was a great military leader, and his only way of doing anything was, killing off. He was so smart that he could teach the smart Egyptians wisdom. In all of his wisdom and all that he knew, yet he failed, miserably failed, to achieve what God had in mind for him to do. And in finding his failure by slaying the Egyptian and hiding him in the sand, and hearing the rebuke from his brother, or the question, "Will you slay us as you did the Egyptian?"... Upon this Moses ran into the wilderness, a runaway prophet.
32 After forty years in the wilderness, that God had uneducating him from the things of the world unto the mind of God, taking all of his doctor's degree, and everything, away from him, till He could work into his heart...
When He had the material about ready, one day while he was herding sheep on the backside of the desert, an old familiar path, he found a tree on fire.
Moses, being a scientist, he never approached it in the way of a scientist. If you'll notice, if he'd been a scientist, he'd said, "Now, I'm going to take some of the leaves from that tree, and take them down to the laboratory, and find out what they were sprayed with, the reason they burn and don't burn up." If he would've done that, then he wasn't ready yet.
35 But what he did, he approached it and took off his shoes, knelt upon his knees and begin to talk to it, because he knowed it was supernatural. From there came the Word of the Lord, saying, "I've heard the groans of My people, and I remember My Word. I'm sending you down to deliver them."
Now, sometimes, in the path of duty, God calls His man to do things that's absolutely ridiculous to the natural mind. He causes them to do something that's altogether becomes a laughingstock. For instance, what if Moses had've failed, as a young man of forty years old, a military man; and the throne, his foot upon it, all the armies of--of Egypt under his control? And to fail doing that, and here he goes down to Egypt, the next morning after meeting this Angel in the bush, with nothing in his hand but an old crooked stick from off the desert, with his wife setting on a mule, and Gershom on her hip, the white beard hanging way down on his waistline, perhaps. He was eighty years old. His bald head shining to the sun, and a stick in his hand, his eyes set towards the sky, and a smile across his lips.
Somebody might've said, "Moses, where you going?"
Said, "I'm going down to Egypt, to take over."
37 When he couldn't do it with an army, how is he going to do it with a crooked stick? "Oh, man, you've lost your mind. You're--you're out of your head."
It was a one man invasion. But the thing of it was, he did it, because that it was a Word of the Lord. And Moses was determined, no matter what his odds was. God was with him, and He's worth more than all the odds.
If men and women could only think that tonight, that the Word of the Lord is Truth. There's nothing else. All eternity hinges on the Word. "Not one Word," Jesus said, "will fail. Heavens and earth will, but It won't."
40 Moses went down. And he was very persistent when he threw down his rod, and it turned into a serpent.
Then he found impersonators. That still lingers along the path of God, someone to try to impersonate something. And the impersonators come up to make a show out of it, threw down their rods.
Moses knowed Who he had talked to. He knowed Who he had believed, and he was persuaded that He was able to keep that which he committed to Him against the hour. Moses stood still. Then the serpent of Moses eat up the serpent of the magicians.
And we're taught that that same thing will repeat again, maybe not in the same manner, but it'll repeat again in the last days. "For as Jannes and Jambres withstood Moses, so will they resist the Truth."
Moses was persistent, for he had an achievement, with THUS SAITH THE LORD behind it, "I'll be with you."
45 David, standing before Saul one day. And he heard a Goliath come out over on the hill, a great giant that had fourteen-inch fingers, and a great spear in his hand, the size of a weaver's needle, probably twenty or thirty feet, big spear on the end of it, or tip of brass. Just imagine what that man's head would've been, it'd been the size of a tub, with a big two-inch-thick helmet over the top of it, and brass, all covered up. And he was making a challenge against the armies of God. And he said it in the presence of David.
And David was a little, ruddy man, little fellow, probably stoop-shouldered. The Bible said he was "ruddy," a little fellow. Never had no training in the--in dueling, with spears and things. But he had been keeping sheep out on the backside of the desert, and a lion come in and got one of his lambs, and he went after him and slew him with a slingshot. We find a bear did--tried the same thing, and David overcome him.
47 And then David said, "Will you stand and let that uncircumcised Philistine defy the armies of the living God?" He shamed his brothers; while they said he was naughty, he come out to see the battle. Yet there was something in David, that he knew that he was more than a conqueror. So he said, "If you're afraid to fight him, I'll go fight him."
Saul, this coming to the general, Saul, and he put his armor upon him, and it wouldn't fit him. He found out that his ecclesiastical vest didn't fit a man of God. And the thing didn't. He didn't know what to do, "This, I've never proved this. I know nothing about these Bachelors of Art, and so forth. Take the thing off of me and let me go in the way that God give me deliverance. Let me go with a slingshot."
49 "Why," they said, "he's a warrior from his youth, and you're nothing but a youth."
He said, "I'm more than a match for him. Let me go." And no matter how big the giant looked, and how unreal it seemed to be, David was persistent that that uncircumcised Philistine wasn't going to defy the armies of the living God that he represented.
Oh, if we had more David's in this army, if we had more men who would stand and be persistent, perseverant in the faith that was once delivered to the saints.
52 Samson, another man very perseverant. He was born a Nazarite birth.
A "Nazarite" means "separated to the Word." What a nice thing it would be tonight if all Christians would be Nazarites to the Lord, separated not to creeds, but to the Word. Christ is that Word. Separated to the Word...
54 He had seven locks of hair that hung down his back, which was the sign that he was separated.
And then one day he was met out on the--the plains, without anything in his hand to fight with, by a thousand Philistines. Those Philistines were men like a brass wall: great heavy helmets over their heads, great armors up in front of them, and shields, bucklers, and so forth on, to dodge any bullet; probably the helmet being a inch thick, upon their heads.
Samson had nothing, but he still could feel that the promise that God made him was still hanging on his head. He could still feel the anointing, in other words. He knowed that God was with him, for he felt them locks hanging down around his shoulders. He grabbed what was in his--could find, and it was a jawbone of a mule. And he stood with that in his hand, and was persistent that it wouldn't be the jawbone or his own arm, but it would be the power of the Lord. And the power of the Lord came upon him, and he beat, with that jawbone, a thousand Philistines.
57 How did he do it? That old, brittle, desert-soaked jawbone, you'd hit it against a rock it would fly to pieces; and upon the helmets that was on those Philistines, which hung down, and big leaves stuck up on the sides as it went over the shoulders, inch thick, and brass. He stood with this jawbone and beat down a thousand. It said, "The Spirit of the Lord came upon him." He was persistent.
One day, a lion run out after him and he had nothing in his hand. But the Spirit of the Lord came upon him; his locks still hung on his shoulder; he rent the lion with his hands. He was very persistent, because he knowed that God's promise was with him. He was able to achieve anything, for God's promise was with him to deliver.
59 John was so sure, John the Baptist, when he was born, he knowed he was to be the one, after he got old enough to understand, about nine years old... His father was a priest. Usually they follow the line of the father. But he didn't go down to the schools and seminaries, for he knew his job was too important. He was to announce the Messiah. We know that the Angel had said so.
60 He knew that he was represented in the Scripture, "The voice of one crying in the wilderness, Prepare the way of the Lord." He knew also that Malachi, four hundred years before, had said, "Behold, I send My messenger before My face." After being into the wilderness, where he got his schooling from God, not from some theological seminary as his father was--come from...
But he had an important job. He had to announce the Messiah, and he had to know what kind of a sign would be following the Messiah. Then he noticed; one day he was standing, preaching to the people, he said, "There's One standing among you now, Who you know not, His shoes I'm not worthy to unlatch; He'll baptize you with the Holy Ghost and Fire." He was so positive of his position; he was so positive of his ministry, till he said, "He's standing here somewhere now, among you." He wasn't afraid to say it in the face of Pharisees and Sadducees, and--and soldiers, and whatevermore it was. Some of them had looked for Him for thousands of years, but he said, "He's standing among you." Nobody could take it away from him. He was persistent. He was perseverant in the face of all. Yes.
62 This little Greek woman, no doubt, had heard of him, heard of Jesus, the great revival. A young prophet coming up in Galilee, from Nazareth, and was showing great signs and wonders. She had heard of Him, and faith comes by hearing. This Syrophenician woman, being a Greek... Faith finds sources that others don't see. When she heard, she believed. She might've heard of a neighbor's girl being healed of epilepsy, which the child had, and they might've heard of this epileptic being healed. So her daughter had need of healing, and she had heard Jesus could do it.
For He was God's Word made flesh. Saint John 1, "In the beginning was the Word, and the Word was with God, and the Word was God. And the Word was made flesh and dwelt among us, the same yesterday, today, and forever." He was there to reveal the promises of God for His day.
64 He's here tonight to vindicate and to reveal every promise that God made for this age. He's here to do it. He was in the days of the prophets. He was in Moses; He was in David; He was in Elijah, He was in the rest of them to reveal God's promise of that age. God 'lotted His Word to each age, and He sends a prophet, and the Word goes to the prophet and straightens it out, and that's exactly what He's done through all ages. And He's God, and changes not. Jesus Christ is that Prophet tonight that stands among us. He is the One here in the form of the Holy Ghost, Who knows everything, and can reveal anything that He desires to do.
65 She believed this. No matter how much people didn't believe it, faith finds a source that other people don't know nothing about. When a man's got faith in God, he's got ahold of something that he can't explain it. It's something that's got ahold of. He cannot push it, or shove it, or pull it. It takes Him. That's the way faith is, when a man really got faith in God, it finds that source that others don't see.
67 His Word is a sword. The Bible said so. You want reference to that, it's--it's Hebrews 4:12, as I got the text wrote down. The Bible said, "The Word of God is sharper than a two-edged sword." This sword's got to be held by a hand of faith. A hand of theology won't do it. It's got to take a hand of faith, trained in spiritual things, that knows God.
Again, might, as I might say this. How do you believe that Jesus looked upon the audience and perceived their thoughts? Because He was the Word. Let's quote the rest of the Word here, "Sharper than a two-edged sword, a Discerner of the thoughts and intents of the heart." He was the Word. That's the reason He could discern the thoughts that were in their heart.
69 Last night, as we took as it was in the days of Sodom, showed that Man standing there, eating the flesh of a calf, drinking the milk from the cow, eating butter and bread, standing there eating, with clothes on like you and I, with His back turned to the tent, and perceived what Sarah was thinking about in the tent. No wonder Abraham called Him Elohim, "the all-sufficient One, the self-existing One," Elohim.
70 Jesus said, "As it was in the days of Sodom, so shall it be at the returning of the Son of man." It'll be the same thing. In the days, did you notice, in Sodom there? It said in Luke 17:15, it said that, "When the days of Sodom, so shall it be in the coming of the Son of man, when the Son of man is being revealed." In the days that the Son of man is revealed like He was at Sodom, the same thing will be taking place.
We find out the fire is ready, the nations are ready, the evangelists has gone to their places, and every gift is set in order. No wonder we should be persistent. No wonder we should be perseverant. We've got a goal to achieve for God, that's call out the Bride of Jesus Christ from all denominations, from all people, a separated people for God.
72 This Greek had heard these words. She believed it. She had many hindrances, but her faith didn't have any. Faith knows no hindrance. Her faith had no hindrance. She had, but her faith didn't have. You may have hindrances, but if you've got faith, it knows no defeat; it's positive. Let's look at some of her hindrances, just for a moment.
Some of them might've said, "Remember, you are of a different race. You are a Greek, Syrophenician by nation. He's a Jew." In other words, today you would say, "Your denomination's not having this revival." It makes no difference, your denomination, whether it is or not, that woman didn't care whose denomination it was. She was a human being had been created by God, and she had a need, and she had faith, and she was going to get it. Whether her denomination was cooperating or not, made her no difference. She started off.
74 She might've had another critic that might've met her down the line, and said, "Why, the days of miracles is passed. We don't have miracles no more." That could've been a Jew, after she got in her, over in this country where Jesus was, across into Galilee. "Days of miracles is passed. There is no such a thing." Still she was persistent. She was perseverant. The denominational barrier didn't stop her, neither did any of them who believed the days of miracles was passed. She knew different. First thing, she had something inside of her, that told her that she'd get what she asked for.
Oh, people, tonight, if you only can hold that in your heart, that God is here to give you the desire of your heart. If you'll meet His conditions, nothing can stand.
76 There might've been a bunch of them women come to her and said, "Look, Sister Lydia," or ever what her name might've been, "do you understand that your husband will leave you if you do this?" No doubt but what she loved her husband, but she couldn't curse or bless that which was in her. Something was telling, her daughter was dying with epilepsy and she had to get to Jesus, and when she got there, something was going to take place, husband or no husband.
Some of them might've said, "Well, what are you going to do with this afflicted child if it fails?" But she knowed it wasn't going to fail. Something was in her, that told her it can't fail. If He ever was God, He still remains God. It can't fail. Therefore, she still was perseverant.
78 Then some of them might said, "The circle that you belong to and the society will laugh at you." Laugh or no laugh, made her no difference, something was inside of her. She was--still was perseverant.
Some of them might've said, "You'll be put out of your church." Put out or not put out, she was on her road, something pulling her to Jesus. There was nothing going to stand in her way, no hindrances. She was perseverant. Nothing stood in her way.
80 Finally she arrived where He was. Many people think, just because you get where He is at, it's all over. That's wrong. He can come here in this building tonight and show Himself alive after two thousand years, by the things that He promised to do in this day. He did last night. He does every night. He does everywhere. He proves that He's still alive. And you could be in His Presence, but that isn't it. No, sir. Sometimes you meet difficult when you come into His Presence. She did.
When she arrived, then said Jesus, He was not sent to her race. The very One that she come believing in, turned her down. This is a lesson. The very One that she'd went through all these gates, of sorrow and disappointment, and everything to get there by Something pulsating inside of her telling her to go; when she got there to Him, He turned her down flat. And besides that, He said her race was nothing but a bunch of dogs. "It's not meet for Me to take the children's bread and feed it to you dogs."
82 What if He'd have called the--the Pentecostals, dogs? My, I don't know what would've happened. What if He'd have said, Methodist dogs, Baptist dogs? My opinion, he'd went back and told the pastor he was right after all; there wasn't nothing to this fellow. But if you've got ahold, and something has got ahold of you; it's going to be different.
"I'm not sent to you race of dogs. It's not meet for Me to take the children's bread and give it to you. I'm not sent to you. Your revival is not, your company is not sponsoring this, and I'm not sent to you. And it isn't meet for Me to take My time and--upon you, when you're nothing but dogs. And why should I waste My time on you?" What a disappointment that would've been to a woman that didn't have faith, that wasn't determined. Oh, if the church could only see that. But still she held on.
84 She wasn't a--a hothouse plant that had to be babied, one of these kind you have to spray all over, you know, and keep the bugs off of it. A good healthy plant, you don't have to spray it. A good healthy plant, a bug can't get to it; it's full of health.
And a good born-again faith in God, a real genuine Holy Ghost faith, nothing's going to turn it down. It can't do it. It's persistent. It's going to the goal that God has promised to it. There's nothing going to turn it down; it's going anyhow. Yes, she wasn't a hybrid.
86 Today, everything we got's hybrid. You talk about hybrid corn, I see it out on the signs out here. It is no good. It's killing people. Look at "Reader's Digest," said, "If women keep on eating it, what's going to happen, they won't have their babies no more in twenty years from now. They won't be able to give birth to their children." It's breaking it down, till cancer taken ahold. Oh, everything, the whole thing's worm-eaten. That certainly knocks scientific, on evolution, out.
Jesus said, God said, in the beginning, "Let every seed bring forth of its kind." You take hybrid corn, and hybreed it, and plant it; plant that same seed next year, you got nothing. You got a better looking grain, but you haven't got nothing. They've hybrid everything in the world.
88 You take a mule; and, or take a--a jack and hybreed it to a mare, you got a mule, but that mule cannot breed back hisself. He is the ignorantest thing on earth. I've drove them all my life here, you'll... He'll wait till the last dying minute to kick you. He don't know nothing. You can't teach him nothing.
You talk to him, he's just like a lot of so-called Christians with the ears sticking out, "Haw? Haw?" They don't even... Bray, and don't know what they're braying about. "Days of miracles is passed. There is no such a thing as healing." But you take a nice... He don't know where he come from. He don't know who papa or mama is.
90 But a genuine thoroughbred horse knows who his papa was, who his mama was, who his grandpa, great-grandpa, great-great-great-great, all the way back. He knows where he come from.
So does a genuine borned again Christian know where he come from. His origin wasn't with John Wesley, Luther, or somebody else. It begin on the day of Pentecost when God Himself came among His people. And He is the Word made manifest. You can tell him the Word, and he'll say, "Amen."
The other one say, "I don't know about that." See that donkey, hybrid? See, he don't know where he's going; he don't know where he come from. He's in an awful shape.
93 That woman wasn't that type. She wasn't no hybrid plant. She'd got ahold of something. You didn't have to baby her and spray her, and say, "Now, darling, please, now let me beg you. You should come down." No, sir. Nobody... Everything trying to hinder her.
A real Christian fights for his position. He has to stand alone, him and God, and he fights every inch of ground, so you don't have to baby them around.
That's what's the matter with the Pentecostal church today, we got Pentecostal babies that's just been sprinkled and sprayed with this, and that, and the other, till it's run out to a bunch of hybrids. What we need today is a housecleaning, from the pulpit all the way to the--to janitor, and a starting over again, and get some genuine faith born into people. Yeah.
96 No, she wasn't a hybreed, as a so-called crop of believers is today. What did she do? She admitted He was right.
The Word and faith always admits the Word is right. Amen. If your faith don't punctuate every Word of God's Word with "amen," there's something wrong with your experience. The Bible said He's the same yesterday, today, and forever. If it don't say "amen" to that, then there's something wrong. Jesus said, "The works that I do shall you do also." If it don't say "amen" to that, then there's something wrong. If it don't punctuate every Word of God's promise, with an "amen," there's something wrong.
98 She admitted that He was right. She admitted she wasn't nothing but a dog. But she was after crumbs.
Wouldn't be us. Oh, no. We have to be set up on a seat, and, "If they don't minister to me the first night, I'll not go back the next night."
Now, see, oh, what a difference she was. Put back, and shoved back, shoved out, put outside, whatever it was, she was determined. She was persistent, perseverant. Something on the inside of her, told her that she was going to get it regardless of how long she had to wait, what she had to go through. She would get it anyhow. She was after the crumbs. She didn't want a full-course dinner. She said, "The dogs eat the crumbs under the master's table."
That's the way to do it. Don't take the high seat; take the back seat. Don't do... Just be the little person. The way up is down always. "He that humbles himself shall be exalted. He that exalts himself shall be abased." The way up is down always.
102 Remember, she had never seen a miracle. She was a Gentile, but she had faith.
She was something like the harlot, Rahab. She said to the spies... She didn't say, "Wait till I see how Joshua combs his hair. What--how does your generals all look? Or what kind of a swords do they use? What instruments have they got? What kind of warfare?" She said, "I have heard that God's with you. That's good enough for me. I want mercy." She believed.
"Faith cometh by hearing, and hearing of the Word of God."
104 Watch, "For this saying, for this saying," Jesus said, because she was persistent and coming...
Now, first she called Him, "Son of David." Now, she had as a Gentile, had no claims on Him as the Son of David. But when she said, "Lord," He was her Lord, but not Son of David to it.
She had the right approach to God's gift. And that's the only way to ever receive anything is come the right approach. She was the first Gentile that a miracle was ever performed on. Faith admits the Word is right, gets humble and reverent. And the same is today: be willing to take any part anywhere, "just so I get there."
107 Did you ever notice Martha in the Presence of Jesus was perseverant? Martha, when she came out, though she had a brother that loved Him, though she had opened up her house and left the church, and so forth, and Lazarus and He was friends; and Lazarus was dead in the grave, and would been in there for four days, already deteriorating. The nose had dropped in, the flesh off his bones. He was dead.
108 I was talking to a woman that belongs to another faith, that don't believe that He was no more than just a prophet or a good man.
I'll admit He was a prophet. But He was more than a prophet, He was the God of the prophets. He was all the prophets was, was in Him, plus God, and all of it together made Him.
We was going down, one night, and she said, "If I prove to you, Mr. Branham..." Said, "I've just got one fault with your message."
I said, "I hope the Lord's only has one fault, find with me."
Said, "You brag too much about Jesus." Said, "You--you make Him God."
I said, "He was God. If He wasn't God, He was the greatest deceiver the world ever had."
She said, "You make Him Divine."
I said, "He was Divine."
"Oh," said, "He was--He was a good man."
I said, "He was more than a good man. He was God. He was Divine."
Said, "I'll prove to you by your own Bible, He wasn't Divine."
I said, "How can you do it?"
She said, "In Saint John the 11th chapter, when Jesus went to the grave to raise Lazarus up, the Bible said He wept."
And I said, "Is that your Scripture?" I said...
"Yes."
I said, "You fail."
Said, "How could He weep and be Divine?"
I said, "He was both man and God. That was a man that was weeping, certainly, I'll admit that was a man weeping. But when He stood by the side of the grave, straightened His little frail body up, and said, 'Lazarus, come forth,' and a man been dead four days, stood on his feet and lived again, that was more than a man." Yes, sir.
116 Corruption knew its master. The soul knew its Creator. And He was four day's journey somewhere; I don't know, neither do you. But anyhow, when He spoke, he come forth. Amen. That was more than a man.
He was a man when He come down off the mountain that night, after He come, been hungry; come down looking upon the trees to find something to eat, looking on a tree, when He cursed the tree that had no fruit. He was a man when He was hungry. But when He taken five biscuits and two fish, and fed five thousand, taken up seven baskets full of fragments left, that was more than a man. That's it.
118 He was a man when He laid out there on the water that night in the back of a ship, virtue gone out of Him, all day long, preaching, and healing the sick; virtue leaving from Him, from the people, discerning the thoughts in their heart. And ten thousand devils of the sea swore they'd drown Him that night. That little old ship like a bottle stopper out there, flopping up-and-down, the devil said, "I got Him now." And it looked like it was all over. But when He once aroused, come up and put His foot on the brail of the boat, and looked up and said, "Peace, be still," and the winds and the waves obeyed Him, that was more than a man. That was God.
He was a man when He cried for mercy at the cross, true. When He cried for a drink and they give Him vinegar, that was a man. When He died, bleeding, crying, crucified, nailed to a cross, He was a man. But on Easter morning when He broke the seals of the tomb and rose again, and said, "I'm He that was dead, and alive for evermore," that was more than a man. It was God in a Man, His Son.
120 No wonder, Martha with this understanding, she was perseverant in the Presence of Jesus. Said, "If You'd been here my brother would not have died. But even now, whatever You ask God, God will give it to You."
Oh, if we'd only get those words in our hearts tonight. "I know I'm sitting in a wheelchair. I know I got cancer, got heart trouble, whatever it is. I know the doctor says my last hour is close at hand. But even now, Lord." Whatever You ask God, He'll do it. And He's setting at the right hand of His Majesty, to make intercession upon our confession. Just be as persistent as Martha was.
Seemed like He had turned her down: sent for Him, and He didn't go; sent again, and He didn't go. Finally, after he was buried, four days, here He is. But she was still persistent. She had ahold of something. She had seen His works and she knew that was God. She knew it was. She was persistent. She'd got what she asked for.
123 The Shunammite woman, in the presence of Elijah, was persistent. Oh, the baby was dead and laying upon his bed. And Elijah tried to take an anointed stick and send, by Gehazi, to lay upon the child. But her faith wasn't in the stick; it was in the prophet. She knowed that God was in that prophet, for she'd seen the words he said come to pass. He was a vindicated prophet, and she knew that what he said come from God. And she said, "As thy soul lives, I'll not leave you till I find out why." And she stayed with him. She was persistent until she got what she asked for.
124 It reminds me, here not long ago, a little woman coming from California, when I still lived in Jeffersonville. It's been about three or four years ago. She had a tumor, and the tumor alone weighed fifty pounds. They had to pack her into the building, set her back. They... She knowed I was to be there that night. She thought I was going to pray for the sick. But I just come to speak to the audience, maybe about what we got in here tonight. After getting through speaking... Some of them had told her, "He doesn't pray for the sick tonight."
But she wanted to be prayed for, she had said in her heart and believed. She'd been in the meeting before, and said, "I believe if Brother Branham would pray for me, I'd be healed." And that night, two or three of the deacons passed her around, and went out by the side the house--the building, come around to the back, laid her at the door.
And I started walking out with Billy Paul, through the back. She grabbed me by the trouser leg, like that. She said, "Brother Branham," she said, "I've always believed if you would ask God, God would heal me."
I put my hand over on her, I said, "Then, sister, according to your faith, be it unto you."
128 A few months after that, I met her over in a--a meeting there. There she was, standing with a perfect waistline. The fifty pound tumor was gone. She said, "I'll take any woman in here in the dressing room, and let her see if there is a mark on me anywhere. Here's my picture what I was."
What was it? Whether you was praying for the sick or not, she was persistent. She'd come from California to be healed, and she wasn't going back any other way but being healed. She was persistent.
130 I remember being called by the bedside of a boy dying, here a few years ago with black diphtheria. And they wouldn't let me go in there, because I had children. The doctor said, "You can't go in there, you're a married man."
I knew he was Catholic, and I said, "If--if the boy was Catholic, would you let the priest go in?"
He said, "Yeah, but he's--he's not married."
I said, "He visits children, and so forth."
Said, "It's not the question, Mr. Branham."
I said, "You'd let a priest go in and give him the last rites. This is the last rites. The boy's dying. Let me get to him."
133 Well, finally I persuaded him. And he dressed me up like a Klu Klux Klan, or something, all kinds of things over.
And the old mother and father was standing there. I'd left a meeting, and the--the old mother and father said, "If you'll come pray, my child will live." The boy was about seventeen, eighteen years old. Had a cardiogram, a machine there, of some sorts. He'd been unconscious for two or three days, and there--he knew nothing. The mother and father received me as I come in. I knelt down and prayed a simple little prayer of faith.
I said, "Sir, do you believe God?"
He said, "With all my heart, only thing I want you to do is ask God. God will give it."
I said, "Thank you, brother, for your confidence. May I never betray it."
I laid hands upon the little fellow and prayed, "Lord Jesus, let this father and mother's faith join with mine, and come before Your throne tonight. Let this boy live and not die, because we believe. In Jesus' Name."
138 Got up. And the father reached over and grabbed the mother across the little old iron lung of a thing he was breathing in there, and said, "Mother, isn't this wonderful? Isn't this wonderful? Oh, it's so wonderful."
And that little nurse standing there, she was amazed. That little cap liked to have fell off her head. She looked around, and she said, "Sir, I don't understand. How can you act like that, you and your wife, and your son dying?"
He said, "Honey, my son's not dying."
"Well," said, "doctor said that he was dying." Said, "That," ever what the machine was, said, "when a heart ever goes that low, with this fever, it never has been known in history to ever come back."
141 I will never forget that old patriarch's faith. He belonged to, I believe, the A. B. Simpson movement. Walked up and put his hands upon the shoulders, he was about sixty years old, put his hands upon the shoulders of this little girl, looked her in the face. He said, "Honey, you're looking at that machine. That's all you know to look at. But I'm looking at a promise, that God said He would do it."
It depends on what you're looking at. They were hugging one another, and rejoicing there, brother. And he's married, and a missionary in Africa now with two children. Why? Because a father and mother could hold on when the darkest hour. Persistent, yes, sir, persistent, have faith in God.
143 Little Micaiah, in the presence of all them four hundred trained prophets, were persistent when he had a vision from God. Though they... He was contrary. They met him and told him, "Now, we'll put you back in the association if you'll just say the same thing you--they say."
He said, "As the Lord lives, I'll only say what He tells me to say." And his vision was examined with the Word of God, and he pronounced his prophecy, no matter what.
They said, "We'll throw him into the inner cells, and give him sorrow--bread of sorrow, and waters of sorrow." And when they come back, he said he'd deal with him, Ahab did.
He said, "If you come back at all, God hasn't spoke to me." He was persistent. He knew where he was standing.
147 The blind man that had been healed by Jesus could not argue their theology. They said, "Who opened your eyes?"
He said, "A Man called Jesus of Nazareth."
Said, "This man's a sinner. We know not whence he come from."
Now, he gave them a good answer. He said, "You are the religious leaders of this day. And this Man has give me my sight, and yet you don't know where He come from." He had pretty good theology of his own. He could not argue with them. But he knowed one thing, he could see. And he wasn't ashamed. His father and mother was ashamed to say something about it, but not him. He had seen it. He had felt it. He had the results of it. Something had told him, and he was persistent.
150 Philip, as soon as he seen, (last night's lesson,) what, when come up in the Presence of Jesus Christ, when he saw Simon's--or Andrew's brother. Philip...
Peter come up in the Presence (which was Simon then), come in the Presence of Jesus. Simon had been taught as a child, that Messiah would be a prophet. When he walked into His Presence, and He told him, "Your name is Simon and you are the son of Jonas," he was persistent. He was ready then. Become the head of the church.
152 When Philip saw It, he knowed another good Bible reader that knowed the truth. He was persistent. He went around the mountain and got him.
And when Nathanael come, a man of renown, a real Hebrew indeed, a man, staunched Hebrew, real fine man, fine integrity, he was a great man. But in the presence of his priest and the presence of every one of them, when Jesus looked upon him and said, "Behold an Israelite in whom there's no guile," he said, "Rabbi, how did You know me? I've never seen You before. How did You know who I was?"
He said, "Before Philip called you, when you were under the tree, I saw you."
He fell at His feet, and said, "Thou art the Christ, the Son of the living God. Thou art the King of Israel." Why? He was persistent regardless of what anybody else thought. He had met the Thing he had read about. What he had expect to find in Jesus, he had found.
156 A little prostitute woman come out to the well one day to get water. There set Jesus, an ordinary Man dressed in ordinary clothes, eating ordinary food, talking ordinary language, just common street language like anyone else talked. And she spoke to Him; He spoke to her. He found where her fault was, and He said, "Go get your husband and come here."
She said, "I have no husband."
Said, "You've said well. You've had five, and the one you're living with now is not yours." Quickly that predestinated seed in her heart struck Life.
158 When That struck the Pharisees, It just turned the whole thing black. They said, "This man's Beelzebub. He's a fortuneteller."
But she knew the Word was sharper, more powerful than a two-edged sword, and a Discerner of the thoughts of the heart. She said, "Sir, I perceive that You are a Prophet. We haven't had one for four hundred years. I perceive that You're a Prophet. But we know that when the Messiah cometh, He'll tell us these things."
He said, "I'm He that speaks to you." Surely the One that done the miracle would not tell a lie. He was a Prophet. She... He said, "I am that Messiah. I'm the One that speaks to you. I'm He."
Now, try to stop her? If anyone was ever in the east, you know that the man in the street would never hear a prostitute. She had no voice at all. But try to stop her, like a house on fire in a windy day, you couldn't do it. Right into the street she went, screaming, "Come, see a Man Who told me the things I've done. Isn't this the very Messiah? There He sets out there at the well now. That's the very Messiah. We've looked for that Man to come, and there He sets. He told me these things." The Bible said that the people believed because of the woman's testimony.
163 In closing, I might say. I see some Spanish people setting here; I might say this. I was in old Mexico not long ago at the--at the arena down there, some kind of a place. We couldn't get in the bull ring, or the big ring, but we got a place there where several thousand people had gathered. Brother Espinosa, I think an Assembly of God brother, you all know him, from California. He was my interpreter.
The night before that, there'd been an old blind man come across the platform, that couldn't see at all. I looked at him. I had good shoes on and good clothes. Poor old man, ragged, trousers all tore off, his old hat sewed up with--with, looked like, binder twine. And he was blind; white beard hanging down. His old, big old feet, and maybe hadn't had shoes on in years. Dusty all over, totally blind. I looked at him. I thought, "My dad would be about that age, if he'd have lived."
165 I slipped over to him. I said, "How do you do?" Brother Espinosa interpreted.
I set my foot up beside of his to find out. There was a little curtain across the platform about four or five times as wide as this. I thought, "If my shoes fit him, I'd give him my shoes." Oh, his feet was much larger than mine. I put my shoulders up against him, like I was going to put my arms around him, his shoulders was wider than mine. I seen then I couldn't give him my coat. I thought, "God, what can I do? Poor old fellow, probably hasn't had a decent meal in his life." And there he was, eating old rejected tortillas down there somewhere, but yet have to spend what little money he had, to get a grease candle, to burn it on a million-dollar gold altar for his sins, live in such superstition and darkness as that. I thought, "What a time. How can fate be so evil?"
I put my arm around him, and cried, "O God, have mercy upon him."
He hollered, "Gloria a Dios!" And about that time I looked around; he could see as good as I could, going across the platform.
169 And the--the next night when we come in, there was a rick of old clothes, and shawls, and hats, up three or four feet high, like this, all the way across. How they ever know who it belonged to? You think they cared? They come to church that morning at eight or nine o'clock, no seats to set down in; right out there, and it pouring down rain, and just leaning against one another. The women with their hair all hanging down, and holding the children and things. Pouring down rain, come at nine o'clock, and I wouldn't be there till about eight-thirty or nine that night. They would be sure they was going to be there. Stood right there waiting till I come in.
170 They let me down on a rope ladder, on the back of the arena, where I come in like this, walked out to the platform. Billy Paul... And a man that I called Manana, which means "tomorrow," he was always so slow to come get me. And so I said, "Just come tomorrow, you done ruined tonight." So he brought me over there and they let me down, and I come in on the platform.
Brother Jack Moore, many of you know him, just across here at Shreveport, he was with me, and Brother Espinosa and several of the brethren. Then when we was standing there on the platform, Billy come. I heard the great rile, way out over there, there was thousands times thousands seating in there.
172 Billy said, "Daddy, you'll have to do something. A little Spanish woman over here," said, "she's got a dead baby in her arms." Said, "That baby died this morning, they say, early. And--and Manana give out them prayer cards," and said, "and he ain't got a prayer card, and I ain't got one." Said, "And she's determined to bring that baby in the prayer line." Said, "We've got about four hundred there, ready to be prayed for."
I said, "Well," I said, "just make her stay back. 'Cause if she gets ahead, that'll start every one of them doing that." And I said, "We can't do that. Tell her just get in line maybe tomorrow. We're going to be here yet tomorrow to give her a prayer card."
174 He said, "You come over and try it." Said, "I got three hundred ushers there that can't even hold her," and said, "she won't weigh ninety pounds." And said, "You can't hold her." Said, "She runs between your legs, jumps over their shoulders, or anything, with this dead baby."
And I said, "Brother Jack," I said, "she don't know me. She wouldn't know me from you. Go on down and pray for the baby, and that'll settle it like that." And I said, "Baby dead?"
Said, "Yes." I said...
I was speaking on faith being the substance--the substance of things hoped for. And I was speaking. And Brother Espinosa started speaking on, as I was speaking. Brother Jack started down to pray for the baby. And as I started to look, I looked out here in front of me, and there was a little Mexican baby, no teeth, it was so little. It was smiling, looking at me: a vision.
I said, "Wait a minute, Brother Jack. Bring the baby here." And so they opened up the way.
178 Here come the little woman, with the prayer beads in her hands, and falling on the floor, hollering, "Padre."
And I--I raised her up. I said, "Don't." She had a little blue and white, striped blanket; a little, stiff baby, about that long, laying in her arms.
I said, "Ask her when it died."
Said, "It died in the doctor's office that morning about nine o'clock." And this was about nine-thirty or ten o'clock that night. And just soaking wet, she'd been standing, her hair all down. Pretty little woman, and she'd--probably her first baby: she looked to be twenty-five years old or something.
181 And I said, "Brother Espinosa, don't interpret this prayer, because I just seen a vision of a little dead ba--or a little baby out there laughing at me." I said, "It might be the baby."
And I put my hands upon the little blanket, and I said, "Dear heavenly Father, I don't know what the vision meant, but I seen the little baby. If that baby, You're ready to call it back to life, I'll call for its life, in the Name of Jesus Christ." It let out a yell, and kicked that blanket, and begin screaming like that. And I...
183 The Business Men's "Voice" packed it not long ago. I said, "Brother Espinosa, don't say nothing about that now. You send a runner after that baby and that woman, and get it to the doctor and get a signed affidavit before you publish that now," I said, "because it must be true. We don't know." So--so he sent a runner.
And the doctor signed an affidavit, "The baby died with double pneumonia," that morning in his--at nine o'clock in his office. "It had no respiration. It's heart was gone, been dead and stiff."
And there that little woman was. Why? Because she was persistent. Nothing's going to stop her. She was persistent. She was perseverant, though her priest would've put her out of the church (certainly he would), no matter what happened. She happened to be looking at the fence; a few nights before that she'd seen that old blind man receive his sight. "If God could give sight to the blind, He could raise the dead." And she had a need. She was persistent, like the Syrophenician woman. She got her desire because she was persistent.
186 Brother and sister, we're in the Presence of Jesus Christ. He said, "Wherever two or three are assembled in My Name, there I am in the midst of them. Whatever they agree upon, as touching one thing, and ask, they shall receive." Let us be persistent now in the Presence of God, as we bow our heads.
187 Our gracious heavenly Father, we've been speaking for about thirty something minutes now, or more, for Thy Kingdom. [Blank.spot.on.tape--Ed.] God made the promise. God is obligated to His promise. Let us, Lord, remember, and be like that little woman, persistent. If Jesus is here in our midst, then let us hold onto Him until we have achieved that what we've come for.
If there is those here tonight who are not saved, may they hold on until the saving grace of God has received them.
If they're here without the baptism of the Holy Spirit, may they be like that little woman, let not time or anything else stand in the way. They'll hold and be perseverant until the Holy Spirit fills their life with the grace of God.
190 And if they're sick, may they not let loose. May they hold like Jacob, how perseverant he was. He held on and said, "I'll not let You go until You bless me." That blessing meant life to him, and so does it mean to us tonight. And healing means life to us, Lord.
We pray that Your Presence will come, that we'll be able to get ahold of You, and You get ahold of us, like You did with Jacob, that wrestling prince; that You'll change our name from a church book here on earth to the Lamb's Book of Life in heaven. Perseverant, holding on until God confirms His promise in us... We ask it in His Name.
192 Lord, we know a Word from You will mean more than a millions that anyone else could speak. Come, Lord, and a-vindicate this, that I've told the truth. You are the same yesterday, today, and forever. You are the Word. You was the Word that was in Noah. You're the Word that was in Moses. You was the Word that was in Elijah. You was the Word that was in David. You are the Word made flesh and is among us tonight. You're here to vindicate every promise that You made for this hour. "As it was in the days of Sodom," all these promises that You made, You're here to confirm it. Grant it, tonight, Father. We'll watch to see You here.
And then may the church reach up by faith and take ahold, and say, "I'm perseverant, Lord. I'll stay here like the unjust judge that the widow had ahold of." And if that unjust judge, to get rid of the woman, gave her her desire, how much more will the heavenly Father give those that He's expecting to hold to Him tonight? Grant it, in Jesus' Name, we pray. Amen. The Lord be blessed.
194 I want to see... Billy, did you give out cards? [Someone answers--Ed.] Two hundred? What's the ones you give out today, H? Where'd we start from; 1, last night, didn't we? Let's start from somewhere else tonight. The prayer card tonight is H.
Ever who has prayer cards, hold onto them. See, we're going to pray for every one. Just hold on, hold to that prayer card. You give a man a prayer card, he's sixty percent healed right then. See? He knows he's going to get in line, so just he'll just hold it. That's the reason we give them out.
196 Let's start from, let's see, from... Let's make it from 80 tonight, start from 80, 90, a 100. Who has prayer card H, H, like heaven? H-80, raise up your hand. See if I'm... Maybe I'm wrong. We'll start from somewhere else then. Sir? I didn't see it. [Someone says, "Way in the back."--Ed.] Oh, back here. All right, come here, sir. H-80.
H-81, who has 81? Raise up your hand. 81, over here. Come, lady. 82, who has 82, would you raise up your hand? Right there, 82? All right, 82, who has prayer card H-82? There's 80, 81; we want H-82. How would you say it in Spanish? Might be somebody in Spanish. All right, all right, 82. 83, H-83, who has prayer card H-83? Look on your prayer card. Look at your neighbor's prayer card; maybe they're deaf and can't hear. H-83, 83?
200 Don't get them cards if you're not going to use them. See? Get them, use them. See? Don't pass them to someone else. Keep them yourself. You'll be turned down in the prayer line. See? So take your card, come, listen at the instructions before the meeting. Take your prayer card and then stay in your seat. See?
H-83, where is it at? 84? The lady here. 85, 86. That's right, respond quick. 86, 87, 88, 89, 90, 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 99, a 100. Count them, Brother Grant, if you will, and see if they all get in the prayer line.
Now, I'm going to ask everybody in here now. We'll be done in about ten, fifteen minutes. I'm going to ask everybody in here to remain in your seat, that wasn't called. Be real reverent, quiet. Be persistent now.
203 Let's give you another little story. One time, there was a woman. Jesus had... His fame had spread abroad over in Gadara, and a little woman came down; or not in Gadara, it was another country. And she had heard of Him. She had a blood issue. She come to the meeting where Jesus was at at the seashore, but she couldn't get to Him. And so she said within her heart (Now, listen.), within her heart, that, "If I can touch His garment, I'll be made well." Remember the story? Now, she slipped through and touched His garment.
Now, what happened? Jesus turned and said, "Who touched Me?"
Why, Peter rebuked Him. Just think of that now, while they're seeing if they're all there. Peter rebuked Him. He said, "Lord..." Something like this, "Why, people will wonder if You're in Your right mind."
Why, everybody, "Hello, Rabbi. Hello, Prophet. This is the young Prophet of Nazareth? This is the Galilean Prophet? Hello, there."
207 "Away with such a man," said the priests and all of them. "Get away from him, everybody."
But he held on just the same. She did. She said, "If I can only touch His garment..." She did.
Then Peter said, "Well, You make people think You're out of Your mind."
He said, "But I perceive that I've gotten weak." How many knows that? "Virtue," which means "strength," has gone from Him.
And He looked around over the audience until He found the woman. And when He found the little lady, what did He say to her? He said, "Thy faith has saved thee." Told her of her blood issue, that she had been saved. Is that right?
212 Now, how many believes that He is the same yesterday, today, and forever, raise up your hand. How many knows that this is the Truth? In Hebrews 3, says that, "Right now He is a High Priest that can be touched by the feeling of our infirmities." How many knows that?
Well, if He is the same yesterday, today, and forever... Only, He's not in physical form; when He returns like that, time is over; He'll take the Church with Him.
But He's here in the form of the Holy Ghost to come into me and into you, and perform His same works. He said in John 14:12, "He that believeth on Me, the works that I do shall He do also." Is that right?
215 And if the Word is in us, and we're telling the Truth, and it is the Word that He promised for today, then isn't the Word of God sharper than a two-edged sword, and a Discerner of the thoughts and intents of the heart? Does the Bible say that? Was not all the prophets could discern the thoughts in--in the people's mind? Is that right? Why? It was the Word that was in them, God's Word for that day. See? That's how they were vindicated. That was their credentials. None of them belonged to an organization, not one: never did. Their credentials was their ministry.
216 God said, "If there be one among you who's spiritual or a prophet, and what he says comes to pass, then hear him, for I'm with him. But if it don't come to pass, well, don't hear him." It must not just be once; it must continually all the time; from prophets.
There's a gift of prophecy; it's in the church, which is to be examined by the--by the examiners before it can be told to the church, of course. "Let it be before two or three judges and then is told to it."
But a prophet is borned a prophet, predestinated, foreordained. "Jeremiah," God said, "before you was even formed in your mother's wombs, I ordained you a prophet over the nations." John the Baptist, seven hundred and twelve years before he was born he was the voice of one crying in the wilderness, "Prepare the way of the Lord." See? Sure.
219 Notice, now, when Jesus was here on earth, He made the sacrifice for healing and for salvation. Do we believe that? Jesus could not come tonight and save you; He's already done it. The sin question was settled. He's the Lamb of God that takes--took away the sins of the world. "He was wounded for our transgressions. With His stripes we were healed." It's a past tense. No matter how much you'd scream out, and how much you would scream out, that wouldn't do a bit of good until you accept it.
"And He's a High Priest setting at the right hand of the Majesty on High to make intercessions on our profession." You've got to accept it and profess it. See? That's correct. Same way by healing.
221 But what if He was standing here tonight, wearing this suit that He gave me? What would He do in the prayer line? How would you know it was Jesus? See? Now, as far as somebody come and say, "Jesus, will You heal me?"
He'd say, "I've already done it."
Now, if he had nail scars in the hand; anybody could have that (See?) any scar could be.
But what is it, how do you know the... What do you know what kind of a vine it is? It's what kind of life it's got in it. And every vine, if the first... The first branch that come out of that Vine, Jesus Christ, they wrote a Book of Acts behind it. Is that right? If It ever puts forth another one, they'll write another book of acts. For if it bore grapes, the first one, the next time it can't have lemons. But a lemon vine can live in that; it's a citrus fruit. But it's living of its own; it'll always bring forth lemons; it's the grafted vine into it. But if the Vine itself puts forth a branch, it'll bear fruit like the first one did, for it'll be the Life that's in Jesus Christ will be in that vine. That's right.
224 Jesus said, "He that believeth in Me, the works that I do shall he also." Now, if He was here, He would be known by His Life, and by the things that He promised for this age.
How many was here last night, let's see your hand. Practically all of you, I suppose. All right.
Now, there's people... Everyone in that line, as far as I know, is a total stranger to me. If that's right, raise up your hand. Each one is a... Are you a stranger?
How many out there is strangers to me? All right. Only thing I ask you to do is have faith and believe that I've told you the truth.
228 Now, look, Christ promised these things for the last days. Now, I know you've had great warriors here in the city, perhaps Oral Roberts, and, oh, like the late Jack Coe and those great men of faith; they lived their time. But remember, the last sign that the Gentile world seen before the promised son arrived in Abraham's time, which is the father of all, and Jesus promised the same thing; the last sign that was showed to the Church elected... Now remember, there was One. Two went down and preached in the Sodom; they never showed this sign; neither is it today. But to the called-out Church, the sign was showed; and so did Jesus prophesy it'd be the same thing (See?): God manifested in flesh (See?) discerning the thoughts that's in the heart. See? Now, He promised that. "Both heavens and earth will fail, but That won't."
Now, if He will manifest that, to show that He's here present, how many of you will believe Him for your healing and whatever you have need of?
230 Now, Lord Jesus, now it's to You, Father. Whatever Your will is, let it be done. I am Your servant. These are all Your servants, or many of them in here. Let those who are not your servants, by Your Presence, knowing that maybe before morning they'll have to look upon Your face... Now, You can smile upon them with grace, but then You'll be their Judge.
Let it come to pass, Lord, that Jesus will come among us tonight and perform and do like He did before His crucifixion; will be assured to us in the face of all heathen religions, that our Saviour is not dead, but has risen from the dead. And after two thousand years, He's just as alive tonight as He was then. And may we, like those from Emmaus, say, "Did not our hearts burn within us, as He talked to us along the road?" Let Thy Presence be known. May we see You tonight in the power of Your resurrection. And then may the people believe then, Lord, because of Your great august Presence. We ask in Jesus Christ's Name. Amen.
232 Now, I take every spirit... Each one of you are a spirit. Remember, you've never seen me; you see this old wore out hull here that declares this voice. Now, this voice either is coming from God, or it's not, same as yours. This voice is just packed around in this hull, which I'll swap it someday for a new one that won't get old. But, friend, each one, a spirit. So when you move (See?) when you have control there (See?) it interrupts. Just set real still; be in prayer. I want you, if God does something, want you to be thankful to Him, certainly, praise Him, then be reverent and watch. Just set real still and believe with all your heart.
233 Now, you out there that has no prayer cards, no matter where you are, you just believe and say this, "Lord Jesus, what he told us, it's in the Bible. We... I know that You promised that, and I know it has to be You. It can't be that man; he's a man like I am, or like my husband, or like my son, or brother, or whatmore." See?
But a gift is not something, a knife, that you take and go do things with. A gift... Some of these days, I'm going to get me a big tent and come to a city, and just stay for about months at a time (See?) and teach this. A gift is getting yourself out of the way, so God can come in, see what He shows, what He does. A gift is not, "I got power to do this; I got power." Your power of a gift is get yourself out of the way. And the gift that God has give you, operates through that then (See?) after you're out of the way. See?
235 Now, I can't make Him tell me nothing. He has to do it. Now, to save time... I'm real late.
But come here, lady; I want you to stand right here. I was speaking a few moments ago about a woman at the--at the well. Was you here last evening? You wasn't here. Have you ever been in one of the meetings before? Never been before. This is her first time. We're strangers. She wasn't even here last night. Never had instructions on it. Nothing but just stand here. Now, we are standing. You remember the story of the woman at the well? It was a little panoramic something like this, and the Man and a woman met for their first time in life.
Now, this woman was in, she was in... She was in shame. She had married too many times, and she--and she was living with a man she wasn't married to, and--and it was a very bad thing. And Jesus spoke to her.
238 Now, you remember, He said in Saint John 5:19, "Verily, verily, I say unto you, the Son can do nothing in Himself; but what He sees the Father doing, that doeth the Son likewise." Therefore, Jesus never performed one thing without first seeing it in a vision, or He told something wrong there. "The Son does nothing till He sees the Father do it first (Not hears Him), "sees Him do it." And then the Father...
He had need to go by Samaria. He was going to Jericho, but He went up to Samaria at the city of Sychar. And He met this woman, and He begin to talk to her until He found where her trouble was. Then He told her her trouble, and quickly, her in that condition, she recognized that that was the sign of the Messiah.
Well, if that's Him yesterday, it'd be the same One today, if He is the same yesterday, today, and forever. Is that true, audience? See?
241 Now, we are meeting for our first time. I am not He, and you're not she, but He still is God. That's right. See? Now, if you can have faith in--in what I am saying in the Word... I'll never say nothing but what's in this Word. He might do things outside of that Word; but just as long as He does That, I know I was right then. See? And now you don't know me, I don't know you.
So therefore if you was sick, and I laid hands upon you, and hollered, like that great warrior, Brother Roberts, or some of those, Brother Allen, or some of those men, lay hands upon you and say, "Hallelujah, the Lord heals you," that's good. You believe that, and it'll work. See? But now what if He stands here and tells something that you have done, or some reason that you're sick, or something that's happened down through life, or something you ought not have done? Oh, that--that, you'd know that that had to be right, right clear to your mind then. That's--that's right.
Would it yours, out there?
243 Now, what am I talking to the woman about? See, I never kept on that message tonight (I got to perseverant. See?) it would change me into preaching. And now have to come back to discernment, relaxing myself, getting William Branham over on the side.
How many ever seen that picture was taken here in Houston? And you... It's here. It's out front here now. See? That's hanging right beside, between me and the woman, right now. There It is, milling right around. If the woman wanted to witness to it; she knows in the last few seconds, there has been something like a real sweet feeling. If that's right, raise up your hand. See? I'm looking right at It. See, it's like living in another dimension. I'm watching It, through the woman.
245 Now, the lady, one thing, she is extremely nervous. And that's what you wanted me to pray for. And that's just natural cause right now because of this time of life that you're living in, getting this age and so forth; that makes you nervous.
Another thing, you've got something in your side, it's--it's like little pockets of air, like, gathers in your side. Now, is that right? Raise up your hand, if that... See...?...
247 Now, see, now there that is again, somebody saying, "He guessed." You, I'm going to call who that is one of these days. See? Don't do it. You can't hide yourself now, remember. See? The--the Word is here Itself. Not me, friend; I'm just your brother. But the Word is here.
Here, she's a good person, let's see if I guessed that, I don't know now what I said. It'll have to come through that tape, 'fore I know it. Now, just a moment. Yes. Yes, she--she gets nervous, which that's the cause from a--a time, her age and things. She's...
And then, another thing, you've had a--an operation. And that was a female affair, sometime ago. That's right. That's made you nervouser than ever. That's right, isn't it? Uh-huh, that's right. And that made you nervous, 'cause, at this time of life, made you more nervous. Now, you think I'm guessing it?
Here's another thing. There's a--a girl with you, little girl. And she's here, and she's suffering with mumps. Is that right? Setting out there. And there's a woman, another woman, a friend of yours, and she has got mental oppression, like nervous and mentally. Is that right? Now, when you go back, lay that handkerchief upon them; the mumps will leave, and she'll get over it, and you'll be well. Go, believe it in the Name of the Lord Jesus.
251 You believe? [Congregation rejoices and says, "Amen."--Ed.] That was Jesus yesterday; that's Jesus today. You have to know that that's Somebody. See? Yeah. Somebody has... Now, there, look, that was behind me. See, see? It's not... I couldn't do that. You--you know it's got to be some power, don't you? You believe it's the Lord Jesus, according to His promise? The Lord bless you.
252 How do you do, lady? I'm a stranger to you also. I don't know you. I've never seen you in my life. We're strangers. This is our first time meeting, as far as I know. But now, if the Lord Jesus should tell me something about yourself, that--that something like that lady there, whatever it was, would you believe that it was the Lord Jesus instead of... It wouldn't be me, you know. And now you could, like the Pharisees, say, "It's Beelzebub, a evil spirit."
And because they said the Spirit of God, that was doing that work in Him, was an evil spirit, it was blasphemy against the Holy Spirit, which would never be forgiven when This come in this day. That's the reason this nation stands in judgment today. It's nothing left for it but judgment. It's full of Jack Rubys, and so forth; so it--it can't be nothing else happen to it but judgment.
254 Now, you're ill. You've been in a--to a doctor. He really would advise an operation. That operation is on the colon. That is true, isn't it?
Here's another thing. You are desperately in need of a spiritual... You haven't been feeling right. You've kind of washed away, a little, and you want to come back. Well, you're back now. Now, go, believing Him with all your heart, and you'll get well, in Jesus Christ's Name. Your sins are forgiven you. Now, go, believing.
Now, I never said, "sins forgiven." He said that. See, it wasn't me. It was Him.
257 You believe? Now, it ought to make the rest of you just know it's Him here. Isn't that right? If you'd just believe. Just have faith. Don't doubt. Be reverent and believe God. Now, see, you're in His Presence.
Now, if one of those discernments made the Son of God say virtue went out, what do you think it would do to me, a sinner saved by His grace? See? It'd be, you know what it would be.
259 Just a moment. Oh, it isn't the woman. Say, you that was just healed there, lady, going back to your seat, look to me just a moment. There's a--a man setting right in front of you there that has sinus trouble, setting right there. Yeah. You believe that God will make you well? You do? All right.
Tell me what he touched? I don't know the man, never seen him in my life. If that's right, wave your hand, if we're strangers to one another.
Now, look, that you might know something else. His wife's setting by him there; you believe God can tell me what's wrong with her? Will you believe me to be His prophet, or His servant? Will you do it?
She's got hay fever. If that's right, raise up your hand, lady. Right there it is. Now, if you'll both believe... You touched Something. Believe now, and it'll leave you.
You believe God? Don't doubt. Have faith in God.
264 Here's a man. I've never seen this man. He's quite a bit younger than I, and I've never seen him before. If we're strangers, sir, to each other, raise up your hands. All right. I've never seen him.
Now, let's take a picture in the Bible, let's take when--when Jesus met Simon Peter. I'd imagine him being a man something about that age, his hair thinning, when Jesus met him. Now, watch. He talked to him.
Now, if I don't know the man, never seen him, both of us with our hands up, we're total strangers to each other... Now, the others was women; let's see about this man.
267 Now, you look at me, just a moment, as your brother. And now, if the Lord would say something that you have done, or something that you ought to have done, or ought not have done, or whatever it is, you'll know whether it's the truth or not. You'd know. And then if He can tell you what's wrong with you, or something that's on your mind, what your sickness is, or--or something like that, tell you something that you--you'll know whether it's the truth or not. Then if He can tell you what has been, and you know whether it's true or not; if He tells you what's going to be, then you know that's got to be true.
Now, would that make everyone in here... Just take my time with this man, talk with him. This is the person.
269 Now, you looking this way, just a moment, as we talk. May the Lord help me now. And you believe what the Bible says is true? You believe that this is the hour that Jesus is to come; that the Church has come from justification, sanctification, baptism of the Holy Spirit, just like the pyramid like that coming? And now the top stone is going to have to be so perfect till, when the Headstone comes, it has to blend right with it. The ministry has to start out like this, and just come to the minority all the time, getting smaller groups, and smaller groups, until finally the Stone meets with the building. He is the Headstone, takes the whole building with Him, which is the Church. All of them will raise up, plumb back from this first watch, on to the seventh, and all go in the rapture. Each one had their day allotted to them, and they had their reformers and founders, and so forth, all down through. And in this last day, it's come into an eagle again, which is back in the prophetic age, to bring this together.
You believe that, the Word and Stone, the coming One? You have a very fine feeling to you, sir.
272 Now, what's your trouble, you've had an accident. In that accident, you were gassed with carbon monoxide gas. That is true. It poisoned you. It poisoned you in your liver, and you had trouble with that. You had trouble with your stomach. You had trouble with your heart. And it's made you so nervous until you built yourself in a complex. You're poor, must go back to work. But you're afraid to go back to work; you're afraid of that carbon monoxide gas. But it's going to be all right. Now, remember, if--if Jesus Christ will tell me who you are, will... Now, them things was true, wasn't they? If He'll tell me who you are, will you accept it and know, and know, go on back and be of a good cheer? Will you do it? Your name is Mr. Wagner. Go on back on your road then.
273 You believe now? With all your heart, you believe? "If thou canst believe, all things are... All things are possible to them that believe."
Now, do you believe that God will heal that female trouble for you? Now, just go on across the platform saying...?... Amen. See? God bless you.
Now, lady, when you get up of a morning, you're stiff; you can't hardly move around very much, arthritis. But do you believe that God heals arthritis? All right, go on your road, saying, "Thank You, Lord." All right, sir, that's what caused your arthritis (See?) was your nerves. "If thou canst believe, all things are possible," but first you've got to believe it.
276 What do you think, sir? Do you believe with all your heart? You believe God heals heart trouble and makes you well? All right, go on your road, say, "Thank You, Lord Jesus."
Now, lady, you're shadowed; that means cancer. You believe God will heal cancer? All right, accept it and go on your road, saying, "Thank You, dear God," and believe with all your heart.
God can heal stomach trouble or anything else. Do you believe that? All right, go on your road, rejoicing, saying, "Thank You, Lord Jesus."
You believe God will heal your female trouble, that dripping? All right, go on your road, saying, "Praise the Lord." Believe with all your heart.
You believe God heals sinus and asthma, and all this stuff, makes you well? Go on your road, rejoicing, saying, "Thank You, dear God."
281 What if I didn't say nothing to you, just laid hands on you, you would believe it? In the Name of the Lord Jesus, be healed. Believe with all your heart.
Come, lady. You believe with all your heart? Anemia condition and heart trouble, you believe that God will make you well? If you do, go on your road, say, "Thank You, Lord Jesus," and be made well.
All right, sir. Come, lady. You believe God heals diabetes and makes people well from diabetes? Then go on your road, saying, "Thank You." Believe with all your heart. See?
God heals nervousness and stomach trouble too. Do you believe He makes you well? Go on your road, rejoicing. Eat your supper, and be of a good courage.
Come. A nervous stomach too. You believe God will make you well? Go on your road, and eat, and be made well and believe with all your heart.
286 You have a little heart flutter, but also you kinda got arthritis. You believe God, God will make you well? Go on your road, and rejoice, and say, "Thank You, Lord."
A nervous stomach causing a peptic ulcer and things. You believe that God will make you well and heal you? Go on your road, and say, "Thank You, Lord," and be made well.
You got many things, a lady's trouble. One of your great things is a heart trouble too much around your heart. You believe God will make you well? Go on your road, and rejoice, and say, "Thank You, Lord."
You believe God heals arthritis? Just keep on going, and your arthritis will be gone.
Do you believe with all your heart? See? Sure he does.
291 Now, some of you out in the audience. Now, be reverent. Be reverent; just set still, you believe with all your heart now. Look this way; believe with all your heart, some of you people out there that's not going to be in the prayer line.
This little boy setting down here, little chubby fellow setting right there. Don't you see that Light over him? The little fellow is suffering with a kidney trouble. You believe that God will heal the kidney trouble, sonny? You believe it? All right, stand up on your feet and say, "I believe it and accept it." All right. God bless you. Don't fear.
You believe with all your heart? "If thou canst believe, all things are possible."
294 What about you that just set down there, come up with a little boy and set down? You believe, that eye trouble, God will heal your eye trouble and make you well? You do? All right, you can have your healing too. All right. You just set down at the right time. Amen. Go right ahead. That's fine. That's good. All right. Amen. All right.
The lady next to you there, she has got trouble with her head. Do you believe that God will heal your head trouble, lady? All right. Your little girl there suffers with a mental trouble. That's right, isn't it? Lay your hand over on her, and believe, and she'll get well too. You believe that?
This next lady setting there, she's praying, right next to it. She's praying there because of a broke up home. Is that right, lady? Raise up your hand. Believe, and your home will be restored again. Have faith.
297 The lady setting next to her has got a cyst. Do you believe that God will heal that cyst, lady? Raise up your hand and accept it.
The lady setting next to her has got throat trouble. You believe that God will heal your throat, lady? Raise up your hand.
What's the matter with you people? Don't you see that's Jesus Christ? Let us stand up on our feet. Raise up on your feet and accept Jesus as your healer.
O Lamb of God, in the Name of Jesus Christ, heal every person here for Your glory.