La Communion
1 Je suis vraiment dans la joie d’être ici ce soir, au Nom du Seigneur, de savourer ce glorieux moment de communion ici à cette convention. « Je suis dans la joie, dit le psalmiste, quand on me dit : ‘Allons à la maison de l’Eternel.’ » C’est un lieu merveilleux où se trouver, la maison de l’Eternel, au service du Roi.
J’ai passé un mauvais quart d’heure pour arriver ici. Vous avez de la neige dans cette contrée, et ça affecte un peu mon sang d’un sudiste. Hier, en venant ici, il y avait environ 8 pouces [20 cm] de neige à Chicago ; eh bien, c’était…?... Avez-vous échappé à cette neige ? Avez-vous tous échappé à cette neige ? Oui ? Eh bien, vous avez donc évité quelque chose. Il y a quelques instants, alors que nous chantions Crois seulement, j’observais ces petits enfants ici qui, les mains levées, chantaient Crois seulement. J’ai reconnu les petits enfants Stadsklev ; ils chantaient Crois seulement. C’est bien. Croyez-vous ? Croyez-vous, frère ? C’est bien.
2 Eh bien, c’est bien d’être ce soir à Minneapolis. Je ne connais pas d’autre endroit, sauf dans la Gloire, où je préférerais être. Vous savez, nous attendons tous ce glorieux jour, mais le fait d’être rassemblés ici à cette convention…
Il y a juste quelques instants, à mon arrivée, je parlais à l’un des frères là dehors, et il me parlait de l’œuvre magnifique que le Seigneur est en train d’accomplir ici dans ces villes jumelles, Minneapolis-Saint Paul, comment tout le monde devient d’un seul cœur et d’un commun accord. Eh bien, pour moi, c’est le bruit d’une pluie abondante, quand vous voyez cela, quand nous commençons à laisser tomber les barrières et à nous rassembler ; et la Bible dit : « Si Mon peuple sur qui est invoqué Mon Nom s’assemble et prie, J’exaucerai des Cieux. » L’unique moyen pour nous d’avoir un réveil, c’est nous rassembler.
3 Tout récemment, j’écoutais deux pasteurs remarquables discuter sur la guérison divine selon la Bible. Chacun d’eux disait : « Eh bien, ce serait radical que de penser que–que les morts puissent ressusciter, ou que les miracles de Jésus soient absolument possibles. » Il disait : « En effet, il y en aurait–il y en aurait tellement que ce serait impossible que de telles histoires se soient accomplies, la–la guérison des malades, des lépreux, et tout. » Ils disaient : « Oh ! peut-être, peut-être que c’était un conte qui a été raconté çà et là, ou un quelconque effet psychologique que cela avait produit sur les gens et… »
Mais le fait en est que Jésus avait réellement fait cela. Et puis, à la fin de leur–leur entretien, tous deux pouvaient croire au miracle du salut, au pardon des péchés qui dépasse de loin toute guérison physique qui puisse être accomplie, le miracle du pardon du péché.
4 Le plus grand miracle qui ait jamais été accompli, c’est le fait pour Dieu de prendre quelque chose, le transformer et le restaurer. C’est juste comme quelqu’un qui prendrait un animal, laisserait tomber une petite goutte d’eau sur un cochon et le changerait en agneau par un procédé scientifique. Eh bien, c’est ça le miracle : un changement complet de la nature, des appétits, des attitudes, de tout. C’est ce que Dieu fait en sauvant un homme du péché. Il change toute sa constitution. C’est un miracle plus grand que n’importe–que n’importe quelle sorte de guérison divine que je–que j’aie jamais vue ; et par la grâce de Dieu, j’ai vu presque tout ce à quoi je pouvais jamais penser, ou dont j’ai entendu parler, être accompli par notre Seigneur Jésus, même la résurrection des morts après qu’ils étaient partis. Toujours est-il que, à mon avis, le salut est le plus grand miracle.
5 Eh bien, il y a de grandes choses que nous pouvons faire dans le–le domaine de la foi. La foi opère de grandes œuvres pour nous, et si vous les frères ici, vous prenez votre… Et vous ne pouvez pas avoir la foi si vous n’avez pas l’amour. C’est tout ce qu’il en est. Vous… L’amour parfait bannit toute crainte, et vous… Tant que vous avez peur, vous ne pouvez pas avoir la foi. Ainsi, il vous faut d’abord avoir l’amour. Il chasse toute peur, et alors–alors la foi entrera, prendra la place de la peur. Donc, dès que vous avez cela, vous évoluez bien. Eh bien, je pensais à ce que Jésus, ou plutôt Dieu dit dans Psaume 103.3 : « Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies. » Eh bien, nous regardons aujourd’hui et nous voyons la science réaliser de grandes œuvres. Les médecins réalisent de grandes interventions chirurgicales ; et de grandes choses se produisent. Nous voyons les chiropracteurs en voie de–en voie… progresser, et nous voyons les praticiens progresser, et tout ce que nous voyons progresse ; et alors, l’Eglise du Dieu vivant aussi progresse. Eh bien, aujourd’hui, il se passe des choses qu’on aurait trouvé totalement impossible il y a dix, quinze ans, mais aujourd’hui, nous les voyons s’accomplir.
6 Quelqu’un m’a demandé : « Eh bien, alors, Frère Branham, êtes-vous un apôtre ou un prophète ? »
J’ai répondu : « Je n’ai jamais dit que j’étais l’un ou l’autre. » J’ai dit–j’ai dit : « Je suis un serviteur du Seigneur. »
Il a dit : « Eh bien, croyez-vous que vous avez le Saint-Esprit ? »
J’ai dit : « Oui, je le crois. »
Il a dit : « Eh bien, si vous L’avez, pourquoi n’allez-vous pas là à l’hôpital dire : ‘Que tous les malades se lèvent et me suivent dehors parce que vous êtes guéris. Je suis venu vous guérir’ ? »
J’ai dit : « J’aimerais vous poser une question, frère. Croyez-vous que vous êtes un prédicateur ? »
« Oui. »
« Croyez-vous au salut de l’âme ? »
« Certainement. »
J’ai dit : « Pourquoi n’allez-vous pas dans des bars dire : ‘Vous tous pécheurs, venez. Vous êtes sauvés’ ? »
Il a dit : « Eh bien, je le pourrais s’ils croyaient. »
J’ai dit : « Moi aussi. » Oui. C’est donc ça. C’est ce qu’il faut. C’est la foi de l’individu dans le Seigneur ressuscité qui produit les résultats.
7 Eh bien, c’est à ça que tout aboutit, mes amis. Je suis très reconnaissant pour le pro… le progrès de la science. A propos, un homme de science a déclaré l’autre jour, disant : « Si le monde pouvait subsister mille ans… (Je vais retrancher 950 ans à cela.), si le monde pouvait subsister une autre période de mille ans, la chirurgie serait une chose à laquelle on ne penserait même plus. » Il a dit : « Les gens deviennent intelligents et entrent dans la sphère spirituelle au point que la chirurgie ne devra plus être pratiquée. » J’ai dit : « Gloire au Seigneur ! » Je crois cela que quand les cœurs des hommes commenceront à se mettre en ordre avec Dieu, à se mettre en ligne et à regarder l’hypothèse droit en face, alors je crois qu’on n’aura pas à pratiquer la chirurgie. Et je… Si–s’ils veulent s’arrêter… Je suis très reconnaissant pour les hôpitaux, pour la médecine et–et pour ce que nous avons appris tout du long, mais voici l’application que je fais de tout cela, mes amis. Quand les prédicateurs, les médecins, les chiropracteurs et tous, pourront se mettre en ordre avec Dieu et avancer ensemble, bras et cœurs unis, pour le bénéfice de l’humanité, ce sera un grand jour, quand cela arrivera.
8 C’est… Tout égoïsme et tout, ce sera fini. Le prédicateur est… ou plutôt le médecin s’en prend au prédicateur à cause, la plupart du temps, de son gagne-pain, et il veut éloigner les gens de la guérison divine. Alors, cela pousse le prédicateur à parler du médecin, alors qu’ils devraient travailler la main dans la main pour le Royaume de Dieu, fournissant des efforts pour aider leur frère ou leur sœur dans le besoin. Et j’espère voir le jour où la–l’Eglise du Dieu vivant aura une foi si grande que ces choses se produiront.
9 Ce même homme… Je ne devrais pas dire ceci, je suppose, mais je me sens plutôt à l’aise ici avec vous les enfants. Mais écoutez. Cet homme a dit : « Ecoutez. Je vous ai entendu dire dans votre sermon que Jésus-Christ était ressuscité d’entre les morts et qu’Il était le même hier, aujourd’hui et éternellement, le même dans chaque attribut. »
J’ai dit : « C’est vrai. C’est ce que déclarent les Ecritures. »
Il a dit : « Alors, pourquoi ne brisez-vous pas le pain pour nourrir cinq mille personnes ? Pourquoi ne changez-vous pas l’eau en vin ? »
J’ai dit : « Eh bien, vous devez admettre une chose. » J’ai dit : « Si seulement nous pouvons nous débarrasser d’un peu plus de sceptiques comme vous, nous ferons cela juste… Nous progressons. Nous avançons. Nous montons tout le temps l’échelle. » J’ai dit : « Même les médecins acceptent tous aujourd’hui la guérison divine. Ils disent que c’est possible. Attendez simplement. Accordez-nous juste un peu de temps. Nous grandissons, nous progressons. » Ainsi, gloire au Seigneur pour cela, nous montons l’échelle.
10 Eh bien, un glorieux jour, je crois que Jésus viendra, et–et nous n’aurons plus de guérison divine. Nous n’en aurons plus besoin, et nous ne prêcherons plus aux pécheurs parce qu’il n’y aura plus de pécheurs à qui prêcher. C’est ce jour que nous attendons impatiemment.
J’aimerais vous parler juste un petit moment ce soir, sachant que vous avez été au travail. Je ne savais pas, maintenant… Il y a eu une erreur quelque part, et j’étais censé être ici cet après-midi. Nous ne sommes rentrés que tard de toute façon, mais j’aurais pu rouler pendant plus longtemps hier soir pour arriver ici cet après-midi, mais je n’avais simplement pas compris. Je suis désolé de n’avoir pas été ici. Frère Moore a dit qu’on commence le dimanche soir et on continue jusque l’autre dimanche soir, et j’avais résolu de ne jamais, Dieu aidant, même s’il fallait m’amener sur une civière, annuler une réunion…?... jusqu’à ce que j’arrive aux lieux de mes rendez-vous.
11 Et je viens de commencer cette nouvelle année avec quelque chose de neuf, et frère Joseph Boze sera ici dans quelques soirées, si vous n’avez pas… Combien reçoivent ce Héraut de la Foi ? Est-ce comme ça qu’est intitulé le journal de frère Boze : Le Héraut de la foi ? Avez-vous lu la vision ? Combien ont lu la vision qui est là ? C’est bien. Eh bien, il sera ici dans quelques soirées, et je parlerai un peu plus là-dessus. L’une des plus grandes choses, je pense, l’une des choses les plus remarquables qui me soient jamais arrivée depuis que je sers le Seigneur, c’est ce qui s’était passé. Les plus glorieux jours de tous sont au-devant de moi. Souvenez-vous-en.
12 Et je crois que cette année 1956 sera décisive. Je prédis cela, pas par une inspiration spirituelle donc, ou je ne dis pas cela, pas par une vision. Mais celui-ci est un temps décisif pour les Etats-Unis. Ils vont soit accepter cela cette année, soit être rejetés. Voyez, il y a de toute façon tellement de poissons à attraper, et après qu’on aura tout épuisé dans un étang en y pêchant à la seine, il ne servira à rien d’y jeter encore les filets. Ce temps va donc arriver.
Il n’y a pas longtemps, j’étais dans la grande ville de Rome et j’ai vu les grands Néron et empereurs qui y avaient autrefois vécu. La grande puissance du monde, c’était Rome ; et aujourd’hui, il vous faut creuser à une profondeur de 30 pieds [9 m] pour en trouver les ruines. J’étais à Athènes, en Grèce, où l’imposant Alexandre le Grand et beaucoup de ces grands hommes ont vécu ; ces anciennes villes sont sous terre, beaucoup d’entre elles.
13 Alors, j’ai pensé à moi-même, il y a quelques années, on dirait… Je n’étais qu’un petit garçon, et maintenant, ça a changé. Je suis allé à un vieil arbre, j’en avais l’habitude il y a des années, et j’observais ces immenses branches, comment le vent y soufflait magistralement, et combien cela semblait fort. Je suis passé par là il y a quelques jours, et c’était pratiquement détruit. Qu’est-ce ? C’est le mortel qui cède et fait place à l’immortalité.
Et un glorieux jour, ce pays dans lequel nous vivons aujourd’hui et que nous aimons tombera en ruines si Jésus tarde, mais il y aura une Cité, un–un Corps pour tous les croyants. « Si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous avons déjà un édifice qui attend. » Nous ne ferons que sortir et entrer. Nous avons une Cité dont Dieu est le Constructeur et l’Architecte. Un glorieux jour, quand tout ce qui est mortel sera passé, le dernier, nous irons vivre dans cette Cité où il y aura l’Arbre de Vie sur chaque rivage de la rivière. Il n’y aura plus jamais de chicot. Il y aura toujours un arbre. C’est pour ce glorieux jour que nous travaillons durement aujourd’hui, dans le champ, pour le Maître.
14 Prions juste un instant. Notre Bienveillant Père céleste, nous nous approchons de Toi ce soir sur invitation du Seigneur Jésus qui nous a promis : « Si vous demandez quoi que ce soit au Père en Mon Nom, Je le ferai » ; et il ne nous faut même pas avoir une très grande foi. Ce n’est pas sur base de la foi ce soir, ni de la prière, ni rien qui relève de notre mérite, mais c’est sur invitation ; Jésus a promis : « Si vous demandez quelque chose au Père, Je le ferai. »
Maintenant, nous demandons au Père, ce soir, au Nom du Seigneur Jésus, de bien vouloir permettre que Sa Présence soit parmi nous, ou plutôt continue à être parmi nous, pour nous bénir abondamment, au-delà de toute mesure, au-delà de tout ce que nous pouvons même penser ce soir. Entre dans la Parole, Seigneur, prends… Que le Saint-Esprit L’amène tout droit à chaque cœur selon que nous en avons besoin. Reçois la gloire.
15 Nous sommes si reconnaissants de savoir que cette grande communion ici dans ces villes jumelles parmi les prédicateurs… Ô Dieu, c’est le bruit dans les mûriers. Dieu marche au-devant de nous. Ô Dieu, je Te prie de leur donner non seulement un réveil au niveau de la ville, mais une secousse à l’échelle nationale juste avant la Venue du Seigneur.
Ô Dieu, que la semaine prochaine soit l’une des plus glorieuses semaines, non pas parce que nous nous sommes rassemblés ici ou à divers… Nous ne sommes pas différents, mais juste parce que la moisson est mûre. C’est le moment. Tout semble bien mûr, et nous prions, Père, que ceci produise l’une des plus grandes réunions que cette ville ait jamais eues. Accorde-le, Seigneur.
16 Puissent les pécheurs affluer à l’autel et être sauvés, et que ceux qui n’ont pas le Saint-Esprit soient remplis ; qu’il y ait dans des maisons des réunions de prière qui durent toute la nuit, et que des gens aient tellement faim qu’ils mettront de côté les repas. Ô Dieu, donne-nous encore une fois seulement un réveil à l’ancienne mode, avant que nous voyions la Venue du Seigneur Jésus. Accorde-le, Seigneur, car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.
Pour la semaine prochaine, le Seigneur voulant… D’abord, je suis reconnaissant pour cette occasion de–de–de parler. Je ne suis pas un très bon orateur. Généralement, mon ministère, c’est pour des–des lignes de guérison et autres, et vous savez, par la vision, je vais expliquer ce qui se passe…?... abondamment, au-delà de toute mesure, mais pendant que j’attendais cela, j’ai reçu un Message pour l’Eglise.
17 Eh bien, non pas… Je ne suis pas quelqu’un d’instruit et je–je… Permettez cela, s’il vous plaît, mais je connais très bien l’Auteur de ce Livre, et j’ai un Message pour l’Eglise. Eh bien, dans quelques soirées… nous allons simplement continuer pendant quelques soirées. Et j’aimerais que chaque pécheur, pendant que nous parlerons, fasse l’inventaire de sa propre vie, place cela sur la balance de l’Evangile et voie les résultats.
Là, dans Hébreux, au chapitre 10, j’aimerais prendre comme passage ce soir, dans les Ecritures, juste quelques versets :
En effet, la loi, qui possède une ombre des biens à venir, et non l’exacte représentation des choses, ne peut jamais, par les mêmes sacrifices qu’on offre perpétuellement chaque année, amener les assistants à la perfection.
Autrement, n’aurait-on pas cessé de les offrir, parce que ceux qui rendent ce culte, étant une fois purifiés, n’auraient plus eu aucune conscience de leurs péchés ?
Mais le souvenir des péchés est renouvelé chaque année par ces sacrifices.
Car il est impossible que le sang des taureaux et… boucs ôte les péchés.
C’est pourquoi Christ, entrant dans le monde, dit : Tu n’as voulu ni sacrifice ni offrande, mais Tu m’as formé un corps ;
Tu n’as agréé ni holocaustes, ni sacrifices pour le péché. Alors j’ai dit : Voici, je viens (Dans le rouleau du livre il est question de moi), pour faire, ô Dieu, ta volonté.
Après avoir dit d’abord : Tu n’as voulu et tu n’as agréé ni sacrifices ni offrandes, ni holocaustes… sacrifices pour le péché (ce qu’on offre selon la loi) ,
Il dit ensuite : Voici, je viens pour faire ta volonté. Il abolit ainsi la première chose pour établir la seconde.
C’est en vertu de cette volonté que nous sommes sanctifiés, par l’offrande du corps de Jésus-Christ, une fois pour toutes.
Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de la Parole.
18 Eh bien, ce soir, nous allons parler sur un sujet ici, pour essayer de trouver un contexte à ce que nous venons de lire, sur la réconciliation par la communion avec Dieu. Vous savez, c’est juste le moment où… Je n’y avais jamais pensé jusqu’à mon arrivée à la porte il y a juste quelques instants, alors que ce frère-ci m’a rencontré, m’a serré la main et m’a parlé de cette glorieuse chose qui se passe dans la ville. Alors, cela m’est très vite venu à l’esprit : « La communion. » Je me suis dit : « C’est une chose merveilleuse. Dieu voulant, j’aimerais parler de cela, de La Communion, ce soir, ce que signifie avoir communion. »
Vous savez, dans chaque cœur humain, il y a quelque chose qui désire ardemment la communion. Pourquoi nous sommes-nous rassemblés ici ce soir ? Vous ne sortez jamais par une nuit comme celle-ci, vous tenir contre les murs et tout, rien que pour montrer que vous portez un costume neuf, une nouvelle jupe ou quelque chose du genre. Vous êtes venu parce que l’église s’est rassemblée, et nous désirons cette communion avec les gens. C’est–c’est pourquoi j’ai traversé la neige pour être ici, parce que j’aime la communion. Les chrétiens ont quelque chose qui fait qu’ils aiment être ensemble.
19 Maman me disait, elle disait : « Ceux qui se ressemblent s’assemblent. » Eh bien, c’est tout à fait vrai. Et alors, si vous avez… Vous ne voyez jamais les corbeaux et les colombes manger ensemble, parce qu’ils ont des goûts différents. Leurs–leurs régimes ne peuvent pas être identiques. Leur langage n’est pas le même. Et c’est pareil pour l’homme qui n’est pas en communion avec Dieu, il n’a plus… aucun désir d’aller à l’église ou de pratiquer le bien, mais ceux qui sont avec Dieu désirent ardemment cette communion, lui ne peut simplement pas supporter cela.
Il n’y a pas longtemps, quand j’étais pasteur d’une église baptiste, je descendais d’un pôle où… J’ai toujours travaillé pour gagner ma vie, et je travaillais pour le service public, alors je descendais d’un pôle après avoir relevé le compteur du pôle, et je me déplaçais là, de lieu en lieu avec du matériel d’installation des lampes, ou plutôt certaines pièces pour fixer les lampes. Alors, pendant que je descendais, un pasteur d’une autre église très célèbre, m’a demandé : « Billy, sais-tu ce qui s’est passé ? »
J’ai répondu : « Non. »
20 Il a dit : « J’ai envoyé cinq cents cartes de prière pour essayer d’avoir les gens, ou plutôt des cartes pour amener les gens à s’engager à venir à l’école du dimanche au moins six mois dans l’année. Sur nos cinq cents membres, sais-tu combien ont répondu à cela ? »
J’ai dit : « Je n’en ai aucune idée, docteur Brown. »
Il a dit : « Deux. » Voyez ?
Eh bien, je savais qu’ils étaient trop formalistes et indifférents. Alors, j’ai dit : « Vous savez, docteur Brown, la raison en est que leur cœur n’est pas droit. Si le cœur d’un homme est en ordre, et que la cloche de l’église sonne, cet homme ne peut pas rester tranquille. Il… Il doit aller. C’est tout. C’est pour lui une question de vie ou de mort. Il doit y aller. »
21 Eh bien, l’homme a toujours désiré ardemment cette communion, et la raison pour laquelle il a…Vous êtes-vous déjà arrêté pour penser comment… Qu’est-ce qui fait que les gens désirent ardemment cela ? Qu’est-ce qui amène les hommes et les femmes à désirer ardemment être ensemble ? Et quand vous devenez chrétien, combien vous désirez ardemment entrer dans la Présence de Dieu! Tout le monde ici présent qui a déjà eu une expérience avec Dieu, pour lui, la plus grande joie de la vie, c’est quand il peut se retrouver tout seul un petit moment avec Dieu. Juste couper tous les liens, entrer dans le lieu secret, fermer la porte, lever les mains et entrer simplement dans cette communion-là. Oh ! il y a là quelque chose de merveilleux.
J’y suis entré (et vous aussi), et je m’agenouille simplement, je pleure, je pleure jusqu’à ce qu’on ne puisse plus supporter cela, on dit simplement : « Ô Dieu, je–je ne peux plus–je ne peux plus supporter cela. »
22 Je me souviens du petit Joseph, mon petit garçon. Savez-vous où Joseph m’a été promis ? Juste ici à Minneapolis, environ six ans avant sa naissance. J’étais ici un jour, lisant au sujet de Joseph de la Bible, et j’ai vu qu’il était un homme parfait. Nous avions en ce temps-là une fillette, on avait attendu quatre ans avant qu’elle vienne, et elle est venue par césarienne, et puis, environ quatre ans s’étaient encore écoulés. On disait qu’on ne pensait pas qu’elle pouvait encore… que ma femme pouvait encore avoir un autre enfant. Donc, j’étais entré là et je pleurais de joie, et les larmes ne faisaient que couler. J’étais dans un placard où j’avais suspendu mes habits, là, à l’hôtel.
Nous tenions une série de réunions sous tente ici, et je ne faisais que pleurer. Alors, Quelque chose, comme une voix, m’a parlé, disant : « Tu auras un fils et tu l’appelleras Joseph. »
23 Eh bien, j’en suis sorti tout ravi et heureux, et je me suis mis à raconter cela à tout le monde. Et environ trois ou quatre mois après, la maman, elle a su qu’elle attendait encore famille. Certaines personnes ont demandé : « Est-ce Joseph ? »
J’ai dit : « Je ne sais pas. »
Alors, quand cette enfant est née, c’était une fille. Alors, tout le monde riait, disant : « Je pensais que le Seigneur ne vous disait jamais quelque chose de faux. »
J’ai dit : « Il ne le dit jamais. Joseph sera là. Ne vous en faites pas. » Des années s’écoulèrent. Il tient toujours Sa promesse. Vous le croyez, n’est-ce pas ? La raison pour laquelle nous pouvons L’aimer et placer notre confiance en Lui, c’est qu’Il est fidèle à Sa promesse.
Remarquez. Des années s’écoulèrent. Quatre ans ou plus passèrent encore. Pas de signe, rien. Et un jour, nous avons vu qu’elle attendait encore famille.
Quelqu’un a demandé : « Est-ce Joseph ? »
J’ai répondu : « Je ne sais pas, mais, ai-je dit, il sera là. » Et alors, quand cet enfant est né, l’infirmière est venue. Nous étions là, un groupe d’hommes assis là dans–dans une salle.
Elle a demandé : « Révérend Branham ? »
J’ai dit : « Oui, madame. »
Elle a dit : « Vous avez un beau garçon de 7,3 livres [3,3 kg]. »
J’ai dit : « Joseph, tu as mis longtemps à venir, mon fils, mais je suis certainement heureux que tu sois là. » C’est donc cela.
Elle a demandé : « Pourquoi l’avez-vous appelé Joseph ? »
J’ai dit : « C’est son nom. C’est son nom : Joseph. »
24 C’est donc en ce moment de communion fraternelle et de communion que Dieu m’a parlé. C’est ainsi que nous voulons entrer dans l’esprit de la chose. Aimez-vous prier jusqu’à entrer dans l’Esprit ? C’est l’unique moyen pour vous de pouvoir le faire. Enfermez-vous loin du reste du monde et soyez seul avec Dieu. Et la raison pour laquelle vous aimez faire cela, c’est que quand le premier couple, Adam et Eve, est venu sur la terre, c’est ce qu’il faisait. Dans la fraîcheur du soir, ils revenaient de leur vigne et s’agenouillaient sous les arbres, la grande cathédrale, pour ainsi dire, alors que le soleil, peut-être, se couchait, Dieu descendait comme un éclair dans un buisson, dans la fraîcheur du soir, et communiait avec Adam et Eve. Oh ! la la ! Cela va jusqu’au bout. On sait que quand on entre en contact avec Dieu, avec l’homme, quand vous entrez en contact avec votre ami, et Dieu est votre Ami, Vous aimez donc communier avec Lui et parler avec Lui.
25 Eh bien, depuis que le péché a brisé cette communion, l’homme est ballotté par tout vent de doctrine et il est toujours ballotté. Il a été chassé du jardin d’Eden pour se débrouiller tout seul, et alors, en ce grand moment, il continue à être ballotté.
Dieu a préparé une voie pour que l’homme soit ramené à cette communion. Oh ! rien d’autre… Nous avons essayé… Il a offert à la race humaine. Le Sang était le chemin du retour à la communion. Dieu a tué des animaux, Il a pris leurs peaux, Il a répandu le sang innocent de l’animal, Il a apporté la peau dont Il a revêtu Adam et Eve, alors Il a de nouveau communié avec eux, après l’effusion du sang.
C’est ça la voie de Dieu. C’était la voie de Dieu. Ça sera toujours une chose correcte que de communier au travers du sang : la réconciliation, rétablir le contact entre le croyant et son Créateur. Nous avons essayé d’obtenir cela en instruisant les gens. Cela ne marchera jamais. Nous avons essayé d’ériger des barrières dénominationnelles, en disant : « Comme vous fréquentez telle ou telle autre église… » La dénomination, l’instruction, les signes ou quoi que ce soit d’autre en dehors du Sang versé du Seigneur Jésus-Christ ne ramènera jamais la communion entre le peuple et Dieu.
26 Nous nous séparons toujours par une clôture et nous formons des sectes et des clans, mais Dieu veut que nous démolissions ces barrières comme vous le faites tous par ici en ce moment : amener le Corps entier du Seigneur Jésus dans la communion autour du Sacrifice, le Seigneur Jésus.
Eh bien, oh ! la la ! vous parlez des dons spirituels dans l’église ; gardez simplement cette communion et observez ce qui se passe. Cela tombera à verse…?... de soi. Si vous faites bien marcher la chose, cela marchera et Dieu ajoutera à cela, mais il vous faut d’abord prendre la bonne voie, et vous y êtes maintenant que vous vous êtes mis à briser les barrières dénominationnelles, à placer vos bras les uns autour des autres, en disant : « Nous sommes frères. » Et alors, vous êtes sur le chemin du retour. Vous êtes sur le chemin de retour à l’originel.
27 Alors, le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous purifie de toute iniquité. Nous avons alors communion les uns avec les autres, alors le Sang nous purifie de toute iniquité. La seule voie que Dieu ait jamais reconnue, c’est au travers du Sang versé.
Je n’ai rien contre les dénominations. Elles sont toutes bonnes. Je n’ai rien contre l’instruction, c’est tout à fait bien. Je n’ai rien contre les grands festivals des chansons, c’est bien. Je n’ai rien contre le fait d’adhérer à une église ou quoi que vous puissiez être, c’est en ordre ; mais cela ne rapportera jamais, jamais, tant que le Sang n’a pas été appliqué. Le Sang appliqué au cœur de l’homme produira toujours des résultats. C’est ce dont nous avons besoin ce soir, et une fois que vous obtenez cela, alors les choses iront de soi, une fois que nous le faisons.
28 Eh bien, nous remarquons que tout au long de l’âge, Dieu a toujours reconnu cette unique chose, ce Sang. C’est l’unique chose qui va–qui va… qu’Il agréera, le Sang.
Eh bien, après l’Eden, après que les enfants de Dieu eurent été chassés de l’Eden à cause de leurs péchés, Dieu a frayé une voie pour se tenir à la brèche jusqu’au jour où la pleine rédemption aura été accomplie. Le Livre le plus ancien de la Bible, c’est Job. Eh bien, l’ancien, l’ancien Evangile, cet ancien Evangile, Il n’a pas à avoir des mots recherchés ; Il doit être apporté dans la simplicité et être accepté sur ces bases-là, et Il produira des résultats. Croyez-vous cela ? Oui, oui. Acceptez simplement cela dans sa simplicité. Rien de tout élaboré. Rien de grand ni de haut que vous ne puissiez atteindre. Le Royaume des cieux est tout près de vous.
29 Bien des fois, nous compliquons tellement cela avec nos crédos, et diverses choses dont nous nous occupons, divers ismes, et des choses que nous avons confectionnées dans notre propre esprit charnel ; et bien des fois, par cela, nous éloignons de Dieu les pécheurs. Mais rendez Cela simple, de telle manière que les petits enfants puissent comprendre, et alors, cela élèvera Christ. Et Il a dit : « J’attirerai tous les hommes à Moi. »
Remarquez. Job, le Livre le plus ancien de la Bible, il était un homme juste. Dieu a dit qu’il n’y avait personne comme lui sur terre. Et puis, il a eu des problèmes, c’était Dieu qui avait lâché Satan sur lui. Avez-vous remarqué que c’est Dieu qui a dû provoquer cela en premier ?
Il y a quelque temps, j’étais étonné alors que j’étais là dans un pays de l’Est, un pays oriental ; et j’entendais parler de cette Ecriture de Saint Jean, chapitre 5, où Jésus dit : « Je suis la Porte de la bergerie ». Je me demandais toujours comment cela se pourrait que Jésus, un Homme, puisse être la Porte de la bergerie. Je n’arrivais pas à le comprendre jusqu’à ce que j’étais allé dans ce pays et que j’avais vu ce que cela était réellement.
30 C’est étonnant de voir ce que la Bible devient, une fois qu’on est allé dans ce pays où Elle a été écrite, et qu’on voit comment le… l’entendement que nous En avons, nous les gens de l’ouest, est souvent contraire à la tradition orientale. Et comment ils s’y prennent : un berger a un troupeau, il fait entrer ses brebis, et après qu’elles sont entrées à l’intérieur, il se couche à la porte. Par conséquent, aucune brebis ne peut sortir, ni aucun loup ne peut entrer sans passer par le berger. Pensez combien vous êtes en sécurité!
Il y a quelques nuits, je m’étais réveillé, ayant sur le cœur un sermon sur le repos. Je n’avais pas d’auditoire, aussi m’en suis-je trouvé un constitué d’une femme, mon épouse. Je l’ai réveillée. Je lui ai dit : « Chérie, je dois simplement prêcher juste une minute. » J’ai prêché environ trois heures. Oh ! le repos !
31 L’expérience chrétienne repose solennellement et totalement sur le repos : « Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et Je vous donnerai du repos. » Nous serons ballottés par tout jusqu’à ce que nous venions à Christ, c’est alors que tout sera fini. Le repos en Christ, c’est parfait. Advienne que pourra, rien ne peut nous atteindre sans passer par le Berger. Il doit permettre cela.
La Bible dit : « Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment le Seigneur. » Ça doit d’abord passer par le Berger. Il a dit : « Je suis la Porte. Nul ne peut entrer sans que Moi, Je l’accepte. » Permettez-moi–permettez-moi de vous dire que, quand Dieu permet quelque chose, cela concourt à votre bien. Serait-ce de même pour la maladie ? Certainement. C’est afin que Dieu puisse vous guérir pour montrer un grand témoignage. Il vous donne un petit quelque chose pour continuer à avancer. « Toutes choses concourent au bien. »
32 Remarquez donc comme c’est beau : le berger se couche à la porte pour s’interposer ou la barrière… J’ai alors pensé à mon texte sur Job, comment Job avait été testé et éprouvé, combien il était sûr d’être juste pour avoir offert le sacrifice, l’holocauste, et il s’est tenu ferme là-dessus. Peu importe combien de membres de son église disaient : « Job, tu as tort. Tu es un pécheur en secret », Job savait qu’il avait confessé ses péchés et qu’il avait offert à Dieu le sacrifice approprié, ce que Dieu avait exigé comme sacrifice, l’holocauste. Il savait qu’il était juste aux yeux de Dieu.
33 Oh ! si donc vous les chrétiens, qui vous relâchez, qui faites marche arrière, qui êtes pied dedans, pied dehors, et qui ensuite pensez : « Eh bien, je–je ne peux pas y arriver», vous ne pouvez pas y arriver, pour commencer. Ce n’est pas à vous d’y arriver. Dieu a déjà fait cela pour vous en Christ. Le prix est complètement payé. Tout ce qu’il vous faut faire, c’est accepter la voie pourvue par Dieu et vous y tenir, advienne que pourra. Ne vous agitez pas. Reposez-vous. Le Berger veille sur Ses brebis. Il connaît même un passereau. A combien plus forte raison vous ?
Autre chose que j’ai remarquée (Excusez-moi de m’écarter un instant de ce que je disais, pendant que je pensais aux bergers), vous savez, en Orient, on a plus de considération pour le berger que pour n’importe qui d’autre. On parcourait les rues et soudain, un coup de sifflet a retenti, les voitures, et…?... et tout, je me suis demandé ce qui se passait. Nous étions à bord d’une vieille petite Jeep, marque anglaise, et alors, vous savez, un berger traversait la route avec ses brebis, et tout le–le trafic s’était arrêté pour lui accorder la priorité.
34 C’est comme ça avec notre Berger. Amen. Il a la priorité. Il conduira Ses brebis. Rien ne va leur faire du mal ni les déranger. Je ne sais pourquoi, là sur la montagne, j’ai remarqué qu’il y avait beaucoup de bergers, là-haut, et ils paissaient diverses espèces d’animaux. Ils paissaient des ânes, des chameaux, et–et des chèvres.
J’ai dit : « Eh bien, un berger, c’est juste un pâtre. »
« Oui, a-t-il dit, c’est vrai, Frère Branham. Un berger, c’est quelqu’un qui fait paître ou un pâtre » Mais il a ajouté : « Vous savez, la chose étrange, c’est que le berger est plus attaché à ses brebis qu’à tout le reste. » Il a dit : « Eh bien, tous deux mangent la même nourriture, la même herbe, mais quand la nuit tombe, les mulets, les chèvres, restent tous dehors, et le berger appelle ses brebis et les fait entrer dans la bergerie. »
35 Je me suis dit : « Ô Dieu, c’est ce que j’aimerais être, une brebis. La nuit va tomber l’un de ces jours. Seules les brebis entreront. » Dieu appelle, si vous n’êtes qu’un membre d’église, si tout ce que vous savez, c’est adhérer à l’église, ou si vous ne connaissez pas Christ par expérience…
« Oh! direz-vous, je connais notre credo. Je connais mon catéchisme. » Connaître le catéchisme, ce n’est pas la vie. Connaître Christ, c’est la Vie. Ce n’est pas connaître vos crédos, connaître la doctrine de votre église, mais Le connaître, Lui, et Lui seul, c’est ça la Vie : Le connaître.
Encore une chose étonnante que j’ai observée. Le berger passait droit dans la rue et, à côté, des hommes avaient leurs marchandises étalées, il y avait toutes sortes de choses appétissantes pour les brebis, mais l’homme qui me conduisait à bord de la petite Jeep a garé à côté, il a dit : « Eh bien, Frère Branham, observez ça. » Il a dit : « Voyez-vous ce berger s’engager dans la rue du marché là ? »
J’ai dit : « Oui, oui. »
36 Il a dit : « Eh bien, observez-le quelques minutes. » Alors, il a parcouru cette rue, avec environ cinquante brebis derrière lui, il est directement passé à côté de toutes ces bonnes choses : des poires, des légumes et des choses étalées là, qui auraient vraiment tenté les brebis, mais ces brebis ont suivi le berger sans jamais regarder ni à gauche, ni à droite. Elles ont directement suivi le berger, c’est tout. Ce berger pouvait s’écarter du chemin comme ceci, et chaque brebis décrivait le même mouvement en passant. Oh ! la la !
J’ai dit : « Frère, excusez-moi une minute. Je dois vraiment louer le Seigneur. » Suivre les traces des pas du Berger : « Mes brebis connaissent Ma Voix ; elles ne suivront pas un étranger », passer juste là où Lui est passé. Il est bien passé par là. Il a été tenté de toutes parts, partout. Fixez votre regard sur le Berger. Ne regardez pas à vous-même. Regardez au Berger et avancez.
37 Eh bien, Job, il avait offert le sacrifice. Il savait qu’il était juste, pas par lui-même, mais il était juste pour avoir satisfait aux exigences de Dieu.
C’est ainsi que je sais que nous sommes justes, quand nous satisfaisons à ce que Dieu dit. Non pas… Dieu, à aucun moment, ne nous a dit d’adhérer à une église, quoique ce soit une bonne chose. Saviez-vous que nous n’avons jamais reçu la commission, dans le Nouveau Testament, d’aller construire des églises ? Saviez-vous que nous n’avons jamais reçu la commission de former des organisations ? Saviez-vous donc cela ? Laissez-moi vous amener un peu plus loin. Saviez-vous que nous n’avons jamais reçu la commission de bâtir une église, une école ou un hôpital ? Eux tous…
38 Tout ça, c’est très bien, mais la commission de l’Eglise était : « Prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création, alors Il reviendra. Prêchez la Bonne Nouvelle par tout le monde, alors, Jésus reviendra.» Et nous vivons au jour où ce monde reçoit la plus grande secousse qu’il ait jamais reçue de toute l’histoire du temps. Nous allons aborder cela cette semaine quand nous entrerons dans la demeure secrète ; et puis, la jonction au bout de la route, au fur et à mesure que nous évoluerons cette semaine. Suivez donc, prenez notes, étudiez cela ; et la soirée suivante, revoyez, et voyez si c’est vrai ou pas. Examinez cela à la Lumière des Ecritures, alors vous saurez que vous êtes dans le vrai.
39 La Bible dit qu’il viendra un temps où Satan serait si–si rusé et si malin qu’il séduirait même les élus s’il était possible. Nous devons veiller. Veillons sur nos églises. Dans le monde aujourd’hui, il se passe des choses qui ne sont pas correctes (Nous le savons). Même des signes et des prodiges qui sont accomplis, qui ne sont pas scripturaires. C’est vrai. Ce n’est pas… C’est en dehors du sentier battu. Voilà donc pourquoi j’ai pris ce temps, je suis entré dans l’église et j’ai dit : « Soyez prêts. Examinez cela, si ce n’est pas scripturaire, alors, ce n’est pas vrai. Cela doit provenir de la Bible. »
Cette Bible déclare que le… «Il s’élèvera dans les derniers jours de faux prophètes et de faux christs et autres, ils feront de grands prodiges et des miracles au point de séduire, s’il était possible, même les élus. » Un temps périlleux, notre église est à deux doigts de cela.
40 Les gens du Plein Evangile, comme ils acceptent des prodiges et des miracles, mais faites attention à leur provenance, cela doit venir du Seigneur. Ne l’oubliez pas, l’antichrist va accomplir les mêmes œuvres. Il n’y a qu’un seul moyen pour vous d’être en sécurité. C’est de vous placer sous le Sang. Restez sous le Sang. C’est ça la voie de Dieu. Vous êtes alors caché ; le diable ne peut pas vous atteindre, s’il le lui fallait.
Eh bien, comme le Berger se couche à la porte, le diable devra d’abord Le traverser. Il ne le peut pas. C’est vrai. Entrez dans ce lieu secret avec le Seigneur. Job, sachant que ce qui pouvait advenir lui importait peu, il s’était toujours accroché à cela.
Dans l’Ancien Testament, le seul lieu de communion pour Israël, c’était sous le sang versé. Peu importe où les gens se trouvaient, ils venaient au temple, là où le sang était versé, et là, ils communiaient entre eux, sous le sang répandu, il n’y avait de communion nulle part ailleurs. Quand quelqu’un entrait au temple, la première chose qu’il faisait, c’était de s’avancer pour être purifié par le lavage d’eau, une séparation d’avec l’extérieur. Il passait sous les sept rayures sur la porte, qui montraient par là que quelque chose était mort pour vous précéder, sept rayures du sang ; puis, il entrait en communion. C’est par le moyen de la foi que vous êtes sauvé, par la grâce. C’est vrai, mais après, nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former une seule communauté, le Corps du Seigneur Jésus, alors nous devenons participants de Ses bénédictions et de cette merveilleuse communion.
41 Remarquez. Israël se rencontrait à ce temple, c’est là qu’ils se réunissaient. Avant qu’un prosélyte puisse y entrer, il devait être circoncis, c’est-à-dire subir l’amputation du prépuce du mâle. Donc, avant qu’un homme puisse venir à Christ, la première chose qu’il doit faire, c’est être circoncis ; circoncis, non pas dans sa chair, mais par l’Esprit. On le débarrasse de tout ce qui est du monde et de la folie du monde, par l’Evangile. C’est Ça, ce Bistouri béni de la circoncision, et l’Unique que je connaisse. Hébreux 4 dit : « La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu’à séparer moelle et jointures, Elle discerne les pensées de l’esprit. » Dieu connaît les cœurs.
42 Remarquez. Alors, une fois circoncis, toutes les choses du monde ôtées, il passe, en tant que croyant, par les Eaux de séparation, c’est la Parole, la prédication de la Parole. Alors, il arrive et reconnaît que quelque chose est mort pour le précéder. Il y a là les sept rayures qui étaient sur la porte, qu’Eléazar y mettait avec son doigt, après avoir immolé la génisse rousse, il plaçait des rayures du sang sur la porte pour que les adorateurs les voient.
Vous pouvez lire cela dans Exode, vers chapitre 16, si vous le voulez, demain, et alors, vous verrez qu’on immolait cette génisse, on la brûlait, on en faisait les eaux de séparation qui étaient gardées dans les parvis extérieurs, de sorte que chaque fois qu’un homme péchait ou n’avait plus communion, la première chose qu’il faisait, c’était de venir se purifier par les eaux de séparation.
43 L’unique moyen pour un homme de pouvoir reconnaître qu’il est un pécheur, c’est par l’écoute de la Parole de Dieu. La foi vient de ce qu’on entend. Et là dans l’Ancien, dans le Nouveau Testament, il est dit : « Nous sommes lavés par le lavage d’eau de la Parole. » Et c’est la Parole qui nous sépare des choses du monde.
Vous ne pouvez pas avoir la foi… La foi n’est pas basée sur le sable mouvant de la théologie humaine. La foi n’est pas basée sur le manuel d’une quelconque église ni sur un quelconque credo. La foi est solidement basée sur la Parole immuable de Dieu. La foi vient de ce qu’on entend, et c’est par cela qu’un homme se sépare de choses du monde, en venant à Christ.
44 C’est donc… Eléazar, après avoir immolé la génisse, il la brûlait pendant qu’elle saignait, il rendait un témoignage public en plongeant ses doigts et en faisant sept fois des rayures sur la porte. C’est sept fois (si nous avions le temps d’aborder cela), cela représente les sept âges de l’Eglise. Chaque âge, chaque personne, chaque époque doit reconnaître le Sang. Car, sans l’effusion de Sang, il n’y a pas de pardon du péché. Donc, avant qu’il puisse entrer en communion, il devait lever les yeux et reconnaître que quelque chose était mort à sa place et que cela l’avait précédé.
Chaque homme aujourd’hui, peu importe à combien d’églises il adhère, combien de pages il tourne, doit reconnaître que Christ est mort à sa place et qu’Il l’a précédé, frayant une voie au travers de Son Sang, afin qu’il soit un vase sanctifié pour le Seigneur. Amen. Non pas votre sanctification, cela ne relève pas de quelque chose que vous avez fait, mais Sa sanctification à Lui, par Lui qui s’est donné pour nous, Il est mort à notre place. Que cette foi se mette une fois à l’œuvre dans le cœur, alors observez ce qui se passe. Vous tous, vous n’avez pas à prendre une quelconque théorie d’homme ; vous avez la Parole. C’est vrai.
45 Donc, en entrant au temple, ce croyant reconnaissait que ce sang l’avait précédé, en passant sous le sang, pas sur le sang, mais sous le sang. Amen. Eglise, c’est là que nous commettons l’erreur. Nous sortons du séminaire et nous pensons connaître plus que Dieu à ce sujet, considérant le Sang de Jésus-Christ comme inutile, et nous nous confions à notre instruction, à nos études, à notre époque scientifique et tout ; et nous pensons avoir les meilleures églises et tout, mais nous avons des chaires plus faibles. C’est vrai. C’est la vérité.
Remarquez, mes amis. Quand vous avez de la considération pour le Sang du Seigneur Jésus…
46 Il y a quelque temps, John Sproule, un ami à moi, était à Alsace Lorraine, en France, on lui faisait visiter un jardin, sa femme et lui, leur montrant des statues et autres ; et il y avait là une statue de Christ. John s’est tenu là et l’a regardée, et il a dit : « Frère Branham, j’ai regardé, cela ne paraissait pas bien. Je ne voyais pas pourquoi on avait érigé une telle statue pour servir d’autel pour Christ. »
Il a dit : « Cela n’exprimait aucune souffrance, aucune pitié, c’était juste un vieux morceau de pierre, on dirait, suspendu là, taillé en croix. » Et il a ajouté : « Le guide m’a dit : ‘Gentil monsieur, a-t-il dit, peut-être que vous critiquez la statue.’ »
Il a dit : « Oui. »
Le guide lui a dit : « Vous ne la regardez pas comme il faut. » Il a dit : « Vous voyez, il y a un autel là en bas. » Il a dit : « Eh bien, allez vous agenouiller à cet autel et, ensuite, levez les yeux, et alors, revenez me dire ce que vous en pensez. »
47 Il est donc parti s’agenouiller, a-t-il dit, à l’autel, il a levé la tête et il a dit que son cœur a failli s’arrêter. Cela exprimait la souffrance, la–l’agonie de Christ. Le sculpteur avait sculpté sur le visage la cruelle souffrance que Christ avait endurée, et cela faisait la différence. Cela a fait fondre le critiqueur en larmes.
C’est pareil pour la Parole de Dieu. La Parole de Dieu n’est pas censée être apprise comme une histoire dans un journal. On n’est pas censé chercher à La comprendre. Il faut s’agenouiller, lever les yeux vers Cela et dire : « Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi, et donne-moi la foi pour croire Ta Parole. J’accepte maintenant le Sang du Seigneur Jésus pour mes péchés. » Alors, Ce sera vraiment différent. Cela amènera les critiqueurs à croire dans la guérison divine. Cela amènera ceux qui n’ont pas le Saint-Esprit, qui ne sont jamais nés de nouveau, ceux qui ne connaissent rien au sujet de Dieu ou de la nouvelle naissance, à chercher le Saint-Esprit et non à discuter. Cela répandra l’amour dans son cœur quand il regardera la Parole au travers du Sang de Christ et dira : « Oui, ô Dieu, Tu es mort pour rendre cette Parole réelle pour moi. » Cela changera toute votre attitude. Cela fera de vous une personne différente.
48 Remarquez. Quel temps! Eh bien, alors l’adorateur entrait à l’intérieur. Il était dans cette communion bénie des croyants. Et maintenant, aujourd’hui, quand l’adorateur passe par le Sang du Seigneur Jésus, entre au tabernacle ou dans la tente des croyants, avec les premiers-nés de l’Eglise, l’Epouse du Saint-Esprit, alors, vous avez communion les uns avec les autres, car le Sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché. Je me suis souvent souvenu que dans… c’est l’Ancien Testament que j’ai appris en premier à l’école. Je me disais combien j’aime l’Ancien Testament, car c’est un type du Nouveau, et l’adorateur venait, sachant qu’il était coupable et qu’il devait mourir parce qu’il avait péché contre Dieu, il avait brisé Ses lois, et il amenait un agneau sous le bras. Et il apportait l’agneau au sacrificateur, et il posait l’agneau là. Il plaçait ses mains sur le–l’agneau et confessait son péché, et on tranchait la gorge à l’agneau.
49 Avez-vous déjà entendu un agneau mourir ? C’est la chose la plus pitoyable que vous ayez jamais entendue. Même un pauvre petit agneau… Quand on va le tuer, il voit les instruments avec lesquels on va le tuer, il se met à crier et bêler.
Il y a quelque temps, je les observais. On allait trancher la tête à un agneau… un boucher… le tuer, quand ce pauvre petit agneau a vu cette hache s’approcher, il s’est mis à bêler continuellement. Je–je ne pouvais plus rester là.
J’ai observé les… on donnait un coup au petit agneau là, le couteau lui tranchant la gorge, et en mourant, il gigote. Les mains de l’adorateur baignent dans le sang, alors il lève les yeux vers Jéhovah et dit : « Jéhovah, ça devait être moi, mais cet agneau a pris ma place. »
Mais cet homme retournait avec, dans son cœur, le même désir de pécher qu’il avait toujours eu, parce que la vie qui était dans le sang de l’agneau, c’était une vie animale ; la vie animale, l’esprit animal, ne pouvait pas revenir pour s’unir à l’esprit humain, car l’un est animal et l’autre, humain.
50 Mais depuis la mort de Jésus au Calvaire, l’adorateur vient donc au Calvaire, par la foi, il pose ses mains sur la tête du Fils de Dieu, en confessant ses manquements, et il sent les larmes et l’agonie du Calvaire qui avait en fait payé le prix pour lui, la dette qu’il devait payer, il sent cela dans sa propre âme.
Et la vie qui était dans la cellule de Sang de Jésus-Christ n’était rien d’autre que Dieu Lui-même. Et quand ce Saint-Esprit qui était dans le Sang de Christ revient sur lui, cela fait de lui une nouvelle créature en Jésus-Christ. Par conséquent, l’esprit de l’homme se met à l’écart et Dieu entre et prend la relève. Alors, ils ont communion l’un avec l’autre, et le Dieu même qui a créé les cieux et la terre, qui a écrit Sa Parole, demeure en vous. Alors, vous croirez que tout ce que Dieu a écrit est la Vérité, vous accepterez cela, croirez cela, vous vous y accrocherez, et vous aurez communion.
51 C’est pourquoi nous sommes ici ce soir. C’est pourquoi nous nous retrouvons dans de grands rassemblements. C’est pourquoi nous nous réunissons, c’est parce que quelque chose en nous nous contraint à être ensemble. Nous avons des choses en commun. Votre cœur soupire de venir à l’église. Votre cœur soupire après la communion, à l’idée que l’heure sombre vient au devant de nous quand nous serons privés de ceci.
Juste un instant avant de terminer, j’aimerais dire ce mot. Dans le jardin d’Eden, quand Adam et Eve avaient été chassés pour avoir péché, et Dieu ne peut pas supporter le péché, Il… Voici une chose, Dieu est… Moi, je peux faire une promesse. Je peux y manquer. Je peux faire une promesse et ne pas être en mesure de la tenir, mais Dieu ne peut pas faire une promesse sans la tenir, parce qu’Il est Dieu. Il doit tenir Sa Parole. Advienne que pourra, Dieu est tenu à Sa Parole.
52 C’est pourquoi cela marche devant les assemblées dans la guérison. C’est pourquoi cela marche avec les visions. Dieu a fait la promesse. Il doit la tenir. Il est tenu à Sa Parole. Peu importe combien je suis mauvais, ou combien vous êtes mauvais, acceptez cela. Et Dieu est obligé de tenir cela. Il le fera.
C’est pourquoi en Afrique, parmi les sorciers, là en Inde parmi les vaudous qui venaient là, cherchant à me jeter un sort, et malgré tout cela, je n’avais pas peur. Pourquoi ? Je savais que j’étais couvert par le Sang du Seigneur Jésus. J’avais communié avec Lui. J’avais parlé avec Lui. C’était Lui qui m’avait conduit à y aller, et je savais qu’Il était capable de garder ce que je lui avais confié pour ce jour-là. J’en ai vus devenir paralysés sur leurs sièges, pendant qu’ils étaient assis là. Ils pouvaient faire venir l’orage par des incantations, cherchant à écrouler le bâtiment. Nous levions les mains au ciel et nous disions : « Ô Dieu du Ciel, C’est Toi le Créateur de toutes choses. Arrête cet orage. » Dans les cinq minutes, le soleil brillait. Qu’est-ce ? C’est une vie cachée, consacrée en Christ, où tout est possible.
53 Les grandes choses qui étaient… Nous ne regardons pas cela, juste les regarder et dire : « Eh bien, c’était quelque chose d’autre. » Agenouillez-vous et regardez-les une fois au travers du Sang, et voyez combien ça paraît différent. Ce sont de vraies promesses. Elles vous appartiennent.
En tenant Sa Parole envers Adam, Dieu a dû se séparer de lui. Et alors, je peux voir ces enfants, Adam et Eve, très beaux… je peux m’imaginer Eve, la plus belle femme que le monde ait jamais vue.
Il n’y a pas longtemps, j’étais à Athènes, je regardais le–le… un tableau d’Adam et Eve peint par un artiste. Oh ! c’était une insulte à l’humanité. Eve avait l’air d’un animal préhistorique. Et elle était là, dans un état horrible, et Adam, les poils lui ressortaient par le nez comme cela. Cela montre ce que conçoit un esprit non converti.
54 Un homme qui est déjà entré en contact avec Dieu sait que Dieu ne fait pas pareilles choses. Ils étaient parfaits. Puis, après qu’ils eurent péché… Remarquez, après qu’ils eurent péché et qu’ils se furent rendu compte qu’ils avaient mal agi, alors Eve… Adam n’avait jamais péché. La Bible dit qu’il n’était pas… Il… C’est Eve qui a péché, et Adam aimait tellement Eve qu’il a pris sa place, pour quitter le jardin avec elle. Adam n’a pas été séduit. C’est Eve qui a été séduite. Adam ne l’était pas. Et Adam était un type de Christ à tous égards. Et Christ n’a pas été séduit et Il n’était pas non plus un pécheur, mais Il est descendu et Il a tellement aimé Son Eglise, Eve, qu’Il est allé au Calvaire pour Elle, pour La racheter. Christ est venu prendre la place du pécheur.
55 Y avez-vous déjà pensé, pécheur ? Voici ce que je me disais : « Moi, qui ne suis pas aimable ; moi, indigne ; et Christ, le Fils de Dieu, est descendu et est devenu moi, afin que, par Sa grâce, je puisse devenir Lui. » Et nous nous tenons dans la Présence de Dieu, pas comme des pécheurs, mais comme des fils et des filles de Dieu lavés par le précieux Sang de Jésus-Christ. Amen. Cela devrait déchirer le cœur de chaque pécheur qui se rend compte que Christ est devenu péché afin que lui, par la justice qui vient de Son obéissance à Dieu, puisse devenir Christ dans la Présence de Dieu, se tenir sans tache ni…?... par l’offrande du Sang qu’Il a versé.
Et je vois Eve et Adam debout là, j’entends la sentence de mort être prononcée contre eux, je vois les larmes qui coulent sur les joues d’Adam tomber sur la tête d’Eve, alors que celle-ci avait posé sa petite tête sur l’épaule d’Adam. Ils devaient quitter la Présence de Dieu, ils se tenaient là, enveloppés de ces vieilles peaux de brebis ensanglantées. Et alors qu’ils quittaient le jardin, la Présence de Dieu, je peux entendre ces vieilles peaux de brebis taper sur leurs jambes, comme cela, alors qu’ils partaient. Dieu, le Père, regarde du haut des cieux et voit Ses enfants, être chassés comme cela à cause de la désobéissance, Il s’arrête, ne pouvant pas supporter cela. Il dit : « Je mettrai inimitié entre sa postérité et la postérité du serpent ; et–et la tête du serpent blessera le talon de la femme, et le talon de la femme écrasera la tête du serpent», promettant le Libérateur.
56 Au fil des années, en attendant l’accomplissement de cette promesse, le seul lieu de communion, entre-temps, c’était au travers de l’holocauste, l’agneau. Et finalement, un jour, quatre mille ans plus tard, là dans la ville de Jérusalem…
Effectuons un petit voyage dans les rues de Jérusalem, qui mènent vers la porte de Damas, ou plutôt qui mènent à la colline de Golgotha. Tirons les rideaux. J’entends du bruit dehors. Qu’est-ce ? On entend certaines personnes dire : « Qu’Il s’en aille, cet Homme. »
Je vois une petite femme courir devant la foule, en disant : « Qu’a-t-Il fait sinon prêcher l’Evangile, guérir vos malades et faire de bonnes œuvres ? »
Je vois d’autres personnes la repousser et dire : « Allez-vous écouter cette femme ou votre sacrificateur ? Allez-vous rejeter ce… accepter ce que cette femme a dit et rejeter votre sacrificateur là ? Certainement. « Qu’Il s’en aille! »
57 « Qu’a fait cet Homme ? » J’entends bondir quelque chose qu’on traîne sur la chaussée et en regardant, je vois un petit corps frêle d’environ 120 livres [54 kg], portant sur Ses épaules une croix pesant autant que Lui. Il descend la rue en traînant cette croix, Sa tête se frottant contre un côté de cette croix, les épines Lui blessant le front, et le sang coule. Son corps était écorché comme ça, alors qu’Il marchait dans les rues. J’entends cette vieille croix taper : bump, bump, bump. Peu après, je commence à voir sur toute Sa petite robe, qui était renvoyée sur Son dos, c’était un vêtement sans couture, je Le vois être amené là au Calvaire, et on Lui enlève cette robe ; et c’était vulgaire, Il était exposé là nu. Mais avec cette robe sur Ses épaules, alors qu’Il marchait dans la rue, j’ai vu de petites taches rouges partout sur le dos de cette robe, et alors qu’Il se dirigeait vers Golgotha, je vois que ces taches grossissent de plus en plus. Peu après, elles forment toutes une seule tache, une seule très grande tache rouge.
58 J’entends quelque chose d’autre battre. Qu’est-ce ? C’est cette promesse que Dieu avait faite là, dans le jardin d’Eden. C’est le second Adam allant mourir là à votre place. C’est le Sang du Seigneur Jésus qui coulait goutte à goutte en ce jour-là, cela frappe ce…?... et le Sang coulait sur Ses jambes et dessinait les empreintes des pas du Porteur au fur et mesure que la croix avançait.
Je Le vois tomber sur Son chemin vers Golgotha alors qu’Il gravit la colline, là l’abeille de la mort Le piquant, cherchant à bourdonner, Lui disant : « Ce n’est plus pour longtemps maintenant. Tu vas–Tu vas au Calvaire. Ne voudras-Tu pas abdiquer ? » Jésus ne faisait pas cas de cela, de cette abeille qui Le piquait. L’aiguillon de la mort avait toujours été une chose horrible qui avait gardé les hommes enfermés pendant des années.
59 Mais l’avez-vous déjà remarqué ? Tenez, un petit insecte comme des abeilles, et des insectes qui ont des aiguillons, et si jamais cet aiguillon s’ancre profondément, il s’enlève et l’abeille s’en va, et l’aiguillon est arraché à l’abeille, et cette abeille ne peut plus piquer. C’est ce que Jésus a fait à la mort, pour le croyant, quand la mort a piqué Jésus. Il a arraché l’aiguillon de la mort quand Il est monté là à Golgotha, et maintenant, la mort n’a plus d’aiguillon. Il n’est pas étonnant que le grand saint Paul ait pu dire : « Ô mort, où est ton aiguillon ? Ô mort, où est ta victoire ? Mais grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ. » L’aiguillon a été arraché à la mort pour tout homme qui confessera ses péchés et acceptera la mort de Jésus-Christ à sa place. Croyez-vous cela ? Elle n’a plus d’aiguillon.
60 Il n’y a pas longtemps, un croyant… J’entrais dans une chambre où une vieille dame se mourait un matin, alors elle m’a regardé et a dit… J’ai demandé : « Eh bien, Sœur Fullman, qu’en est-il ? »
Elle a dit : « Je L’aime, Frère Branham, de tout mon cœur. » Elle a ajouté : « Pensez-y. D’ici peu, je serai dans Sa Présence. » Oh ! quel glorieux matin ce sera !
Je me tenais à côté de Paul Rader… Beaucoup parmi vous ont connu Paul Rader, n’est-ce pas ? Combien il avait combattu pour gagner le prix et il était là en Californie, abattu par l’influence de–d’une grande dénomination, et il était là dans une chambre, se mourant d’un cancer.
Le petit quatuor de l’Institut biblique Moody était là, chantant pour lui, et quand il était sur le point de mourir (Paul avait un peu le sens de l’humour), il a demandé : « Oh ! qui se meurt ici, vous ou moi ? » Il a dit : « Tirez ces rideaux, et chantez-moi des cantiques pleins d’entrain. » Alors, ils se sont mis à chanter :
A la croix où mourut mon Sauveur,
J’ai crié pour être purifié du péché ;
Là, le sang fut appliqué à mon cœur ;
Gloire à Son Nom !
Paul a dit : « Ça, c’est mieux. » Il a dit : « Où est Luc ? » C’est son frère qui l’accompagnait toujours. Ils avaient voyagé ensemble comme Billy, mon garçon, et moi. Et quand il a…
On lui a répondu : « Il est dans la pièce à côté. » Il ne pouvait pas supporter voir son frère partir.
61 Il a dit : « Dites-lui de venir ici. » Et quand il s’est approché de lui, il a tendu la main et a tenu celle de Luc. Il a dit : « Luc, nous venons de loin ensemble, frère. » Il a dit : « Penses-y, dans cinq minutes donc, je vais me tenir dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa Justice. » Il a serré la main de son frère et s’en est allé à la rencontre de Dieu.
Oh ! que ma fin soit pareille! Quand j’arriverai au bout du chemin, que je… Il y a un grand passage là devant moi ; il est placé devant chaque personne ici. Ça s’appelle la mort. A chaque battement de votre cœur, vous vous approchez un peu plus de cela ; et l’un de ces jours, vous passerez par cette porte. Cela peut avoir lieu avant le lever du soleil pour certaines personnes. Y avez-vous déjà pensé ? Vous ne savez pas quand votre carte sera retirée du fichier, là dans la Gloire. Et vous aurez à répondre. Il n’y a pas assez de médicaments au monde pour vous garder ici.
62 Et voici ce que j’aimerais faire, une fois arrivé moi-même au bout de la route, quand je verrai et entendrai les vagues, les brisants, mugir là, et que je devrais entrer dedans, j’aimerais avoir cette assurance de Le connaître dans la puissance de Sa résurrection, que quand Il m’appellera d’entre les morts, je sortirai et je serai à Lui. Vous ne pouvez y arriver qu’au travers du Sang versé du Seigneur Jésus. Inclinons la tête un instant pour la prière…?...
Pendant que nous avons tous nos têtes inclinées et que tout le monde est en prière, je me demande ce soir s’il y a parmi nous (je ne sais pas, mon frère), mais je me demande s’il y a ici quelqu’un qui ne s’est jamais réellement soumis au Saint-Esprit, qui n’a pas complètement livré sa vie, au point que Dieu dirige et règne souverainement, et que la vie qu’il mène maintenant est une Vie changée. J’ai vu des chrétiens qui ont essayé de faire cela. Ils n’y arrivaient simplement pas. On dirait qu’ils avaient tellement des hauts et des bas qu’ils n’y arrivaient pas.
63 Je me demande s’il y a quelqu’un ici, dans la Présence Divine, maintenant même, qui a confiance en Christ, qui veut être reçu dans Son Royaume, et qui dit : « Frère Branham, je lève maintenant les mains vers le Dieu Tout-Puissant, et je Lui demande d’être miséricordieux envers moi. J’aimerais que vous vous souveniez de moi dans la prière maintenant même, afin que Dieu me donne Sa vie, que je sois sûr d’avoir cette communion que j’ai autrefois désirée et que j’ai toujours désirée. Je veux cela maintenant. »
Pendant que nous avons nos têtes inclinées, je me demande si quelqu’un voudrait lever la main vers Dieu pour dire : « Ô Dieu, voici ma main. J’ai besoin de cette véritable et authentique communion. » Que Dieu vous bénisse, et vous. Là au balcon, que Dieu vous bénisse. Je vous vois, sœur. Quelqu’un d’autre là, qui lève la main pour dire : « Ô Dieu, voici ma main. C’est tout ce que je peux faire, Seigneur. Je… Tu connais mes désirs, ainsi je lève simplement la main pour Te demander d’être miséricordieux envers moi et… »
64 Oui, la dame ici, que Dieu vous bénisse. Et la dame là-bas, que Dieu vous bénisse, sœur. Quelqu’un d’autre, levez simplement la main. Non pas vers moi, moi je ne suis qu’un homme, mais vers Dieu pour dire : « Ô Dieu, j’ai vraiment besoin de cette communion. Je veux que le Sang me purifie maintenant même de toutes mes mauvaises voies ; de toutes mes mauvaises pensées. J’en suis arrivé à devenir membre d’église, mais je–je n’ai vraiment pas ce dont j’ai besoin, je le sais. Si je mourais, si je savais que mon temps était arrivé maintenant même, je dirais : « Ô Dieu, accorde-moi encore une heure pour me mettre en ordre. » Eh bien, ô Dieu, j’aimerais le faire pour moi maintenant, que je puisse entrer dans la communion parfaite, car je sais que Tu viens bientôt. Le monde entier est agité, et j’attends impatiemment la Venue du Seigneur, et je veux qu’on se souvienne de moi, ô Dieu, quand j’arriverai au bout de la route. Je lève ma main maintenant vers Toi, ô Dieu, et je Te demande de m’aider. »
65 Quelqu’un d’autre voudrait-il lever la main ? Quatre ou cinq mains se sont levées, et je vous vois là au balcon. Que Dieu vous bénisse là derrière, ma chère sœur. Eh bien, quelqu’un d’autre là au balcon ?
Dites : « Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi. J’ai besoin de Jésus en ce moment même. Je Le désire de tout mon cœur. » Si vous avez confiance… J’ai été ici dans les services de guérison et tout, et je dis ceci humblement, avec révérence. Vous savez que c’est le cas. Je n’ai pas l’intention de dire ceci dans un intérêt personnel, mais j’ai des visions qui s’accomplissent. Je vois ce qui se passe, une fois en contact avec l’au-delà. Oh ! si je n’avais pas cela ce soir, je ne sais pas ce que je ferais, ami. Je ne sais pas comment j’affronterais… ni comment je pourrais même affronter le public, comment je pourrais faire face à ma femme, à mes enfants, et à Dieu, n’en parlons même pas.
66 Si vous croyez que Dieu exauce mes prières, et que vous voulez qu’on se souvienne de vous, voudrez-vous juste lever la main pour dire : « Je T’en prie, ô Dieu. » Un ami pécheur qui n’a peut-être jamais accepté Christ de toute sa vie, et qui veut qu’on se souvienne de lui dans la prière maintenant même. Voudriez-vous discrètement lever la main ? Que Dieu vous bénisse, petite dame. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Quelqu’un d’autre qui dit : « Eh bien, me voici, Seigneur, je viens de T’entendre parler dans mon cœur, maintenant même, et peut-être que Tu ne nous parleras plus. »
Il y a quelques soirées, on m’a appelé quelque part où une femme qui avait été pianiste dans une église… Oh ! elle pensait assurément être dans le bon. Elle n’avait jamais atteint ce niveau. Et quand elle se mourait, elle s’est mise à crier, et elle… Son pasteur a accouru et a dit : « Eh bien, tenez, tenez. Vous êtes agitée. »
Elle a dit : « Toi, espèce de séducteur. Pourquoi m’as-tu laissé évoluer comme ceci ? »
Il a dit : « Venez ici, docteur. Donnez-lui un hyposulfite. »
67 Elle a dit : « Je veux…?... »
Et il a injecté un hyposulfite, et il a dit : « Donnez-lui un autre. »
« Je veux…?...» Bien, il lui a fermé la bouche avec l'hyposulfite, mais pas cette âme-là, elle aura à vivre avec cela dans tous les âges. Elle a été attristée dans plusieurs réunions, alors qu’on faisait un appel à l’autel, elle refusait de venir, se disant qu’elle était en ordre. « Telle voie paraît droite à un homme. » Et, mon frère, ma sœur, si vous n’avez pas une constante communion continue avec Christ, vous avez besoin de Lui. Ne soyez pas séduit. Levez la main pour dire : « Ô Dieu, c’est moi. Peu m’importe depuis combien de temps je fréquente l’église. Je… C’est moi. Je–je veux la communion. Je veux savoir où j’en suis. Je veux être avec Toi, Seigneur. » Voulez-vous lever la main maintenant pour dire : « Souvenez-vous de moi dans la prière » ?
68 Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, frère. C’est bien. Deux ou trois autres ont levé la main. Encore un peu maintenant, j’attends encore juste quelques minutes maintenant. « Je crois maintenant en Toi, Seigneur. Je–je veux passer par le Sang. Je veux une douce demeure. »
Que Dieu vous bénisse, sœur…?... Le Saint-Esprit parle tout du long, à diverses personnes. « Je veux que vous vous souveniez de moi, Frère Branham. » Que Dieu vous bénisse, sœur, par ici. Je vois votre main, là à gauche. « Je veux qu’on se souvienne de moi maintenant même. Je veux que Tu me viennes en aide, Dieu bien-aimé. » Maintenant, pendant que les autres prennent leur décision, que la musique joue doucement.
69 « Parce que je crois Ta promesse. Ô Agneau de Dieu, me voici, je viens. Je viens maintenant même à l’autel. » J’aimerais que vous veniez vous tenir une minute ici même à l’autel. Laissez-moi prier pour vous, vous imposer les mains, comme je le fais pour les malades, les aveugles et les affligés.
Cette semaine, nous raconterons des expériences vécues là en Inde, où cinq cent mille personnes ou plus ont assisté aux réunions, et ce que Dieu a fait. Et observez simplement…?... rien, je ne suis pas un fanatique. Je ne cherche simplement pas à mal interpréter les choses. J’essaie d’être honnête et de dire la vérité autant qu’il m’est accordé de le dire. Si vous croyez que Dieu exauce les prières, et que vous aimeriez que je prie pour vous, voudriez-vous venir ici me serrer la main et vous tenir ici ? Frayez-vous simplement un passage pendant que l’auditoire chante, tête inclinée, vraiment doucement et calmement…?... « Parce que je crois Ta promesse. Ô Agneau de Dieu, je viens. » [L’auditoire chante. – N.D.E.] …?...
Ne voulez-vous pas venir juste ici ? « J’aimerais que vous…?... Seigneur. » Où que vous soyez…?... venez juste ici à…?... Venez à…?... [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Tel qu’Il veut que vous soyez. « Je veux être couvert par Son Sang, je veux venir juste tel que je suis. Je n’ai rien à offrir. » C’est comme ça que Dieu veut que cela…?... débarrasser mon âme de l’un…?..
E-1 Very happy to be here this evening in the Name of the Lord to enjoy this great time of fellowship here in this convention. "I was happy," said the Psalmist," when they said unto me, 'Let us go to house of the Lord.'" It's a wonderful place to be in the house of the Lord, in the service of the King.
I just had a little time getting up here. You got snow in this country, and this is kind of hard on my southern blood. When coming along here about eight inches of snow in Chicago yesterday, why, it was... You missed that snow? Ya'll missed that snow? Yeah? Well, you bypassed something then. I was watching a few moments ago when we was singing "Only Believe," and these little children along here with their hands up singing "Only Believe." I recognized the little Stadsklev children; they was singing 'Only Believe." That's fine. You believe do you, do you...?... That's fine.
E-2 Well, it's good to be in Minneapolis tonight. I don't know any place I'd rather be 'less it would be in glory. You know, we're all looking for that great day, but to be assembled here at this convention...
I was speaking to one of the brethren out there just a few moments ago when I come up, and he was telling me about what a wonderful thing the Lord's a doing here in this Twin Cities area, how that everybody's becoming of one heart and one accord. Now, that sounds like abundance of rain to me, and you see that when they begin to break down the barriers and come together, then the Bible said, "If the people that are called by My Name shall assemble themselves together, and pray then I'll hear from heaven." That's the only way we'll have a revival is when we come together.
E-3 Just recently listening to two outstanding clergymen discussing the subject of Divine healing in the Bible, each one said, "Why, it would be radic to think that--that the dead could be raised up or the miracles of Jesus could absolutely be possible." Said, "Because it was--it was too much, that such things as that couldn't take on the form that the--the healing of the sick, and the lepers, and so forth." They said, "Oh, perhaps maybe it was some tale that was told around or some psychological effect it had on the people and..."
But the thing is that Jesus did do it, and then at their--their conversation both of them could believe in the miracle of salvation, forgiveness of sin which is far beyond any physical healing that could be done is the miracle of forgiveness of sin.
E-4 Greatest miracle ever performed when God can take something, and convert it, and bring it back to itself again, just the same as you could take an animal by science and drop a little drop of water on top of a hog and make it a lamb. Now, that's the miracle of it, change his whole nature, appetites, attitudes, everything. That's what God does when He saves a man from sin. He changes his entire makeup. So greater miracle than any--any part of Divine healing that I--that I've ever seen; and I, by the grace of God, I've seen pretty near everything that I could ever think of or hear of, done by our Lord Jesus, even to raising up the dead after they were gone, and still I think that salvation is the greatest miracle.
E-5 Now, we have great things that we can do in the--the realm of faith. Faith works great things for us, and if you brethren here getting your... And you can't have faith till you have love. That's just all there is to it. You just... Perfect love casts out all fear, and you... As long as you got fear you can't have faith. So you got to have love first. It drives all fear out, and then--then faith comes in, takes the place of fear. So when you have that you're coming right along.
Now, I was thinking of how that Jesus or God said in Psalms 103:3 "I'm the Lord Who healeth all of thy diseases." Well, we look today and we see science and they're doing great things. Doctors are making great operations; and great things are taking place. We see the chiropractics on the up... on the... marching up, and we see the practitions on the march, and everything that we see is moving upward, and then also the Church of the living God is moving upward. Why, things are happening today that ten, fifteen years ago people thought would've been a perfect impossibility for things to happen, but today we're seeing it happen.
E-6 Someone said, "Well now, Brother Branham, you're an apostle or a prophet?"
I said, "I never said either one." Said, "I said, 'I was a servant of the Lord.'"
He said, "Well, do you believe that you have the Holy Spirit?"
I said, "Yes, I believe that."
He said, "Well if you have, why don't you go out here to the hospital and say, 'All the sick people get up and follow me out because you're healed. I come to make you well.'"
I said, "I want to ask you something, brother. Do you believe you're a minister?"
"Yes."
"Do you believe in salvation for the soul?"
"Certainly."
I said, "Why don't you go down to the taverns and say, 'All you sinners come on. You're saved.'"
He said, "Well, I could if they'd believe."
I said, "So could I." Yeah. So that's it. That's what it takes. It's the individual's faith in the resurrected Lord that brings the results.
E-7 Now, here's what it all amounts up to, friends. I'm very thankful for the ad--advanced science. By the way, a science made a remark the other day and said, "If the world could stand a thousand years... (I'll put nine hundred and fifty off of that.) If the world could stand another thousand years that surgery will be a thing was never even thought of." He said, "That the people were getting so smart and getting into the realms of--of--of the spirit that surgery will not have to be performed anymore."
I said, "Praise the Lord." I believe that. That when man's hearts begin to get right with God, and straighten up, and look the proposition right in the face, then I believe surgery won't have to be performed. And I... If--if they would stop. I'm very thankful for the hospitals, and medical science, and--and what we have learned along the line, but here's my application to all of it, friends. When ministers, and doctors, and chiropractors, and all can get right with God, and they move on forward with our arms together, and our hearts together for the benefit of humanity, it'll be a great day when that happens.
E-8 That's... And all selfishness and everything is gone. The minister is... The doctor becomes angry with the minister because most of the time it's the bread and butter ticket, and he wants to get put the Divine healing away from the people. Then that makes the minister talk about the doctor when they ought to be working hand in heart together for the Kingdom of God, trying to help their brother or sister that's in need. And I hope to see the day that when the--the Church of the living God become so strong in faith until those things will take place.
E-9 This same man... I oughtn't to say this, I suppose, but I kinda feel at home here with you children. But look. The man said, "Listen. I heard you say in your sermon that Jesus Christ had raised from the dead and He was the same yesterday, today, and forever, and every attribute the same."
I said, "That's true. The Scripture says that."
Said, "Then why don't you break the bread, feed the five thousand, turn the water into wine?"
I said, "Well, you have to admit to one thing." I said, "If we can just get a few more skeptics like you out of the way, we'll be doing that just... We're going right along. We're just moving along. We're coming up the ladder all the time." I said, "Even the doctors all admit now about Divine healing. They say it can be done. Just wait. Just give us a little time. We're growing, making progress." So praise the Lord for that, that we're coming up the ladder.
E-10 Well, some glorious day I believe that Jesus will come, and--and we won't have anymore Divine healing. We won't need it, and we won't have any more preaching to the sinner because there'll be no sinners to preach to. That's the day we're looking forward to.
I want to speak to you just a little while tonight, knowing that you've been in service. I didn't know now. There was a slip-up somewhere that I was supposed to have been here this afternoon. We never got in till late, however, but I could've drove longer last night and would've got here this afternoon, but I just didn't understand. I'm sorry that I--that I was to be here. Brother Moore said start Sunday night through Sunday night, and I purposed in my heart to never, by God's help if they have to pack me in a stretcher to cancel a meeting...?... till I get to a place to where my appointments are.
E-11 And I just started out this New Years on something new, and Brother Joseph Boze will be here in a few nights if you haven't... How many gets that "Herald Of Faith"? Is that what it's called, "Herald Of Faith," Brother Boze's paper? Did you read the vision? How many read the vision in there? That's fine. Well, he will be here in a few nights, and I'll talk a little more of it. One of the greatest things, I believe one of the most outstanding things to ever happened to me in my days of serving the Lord was that happening. The greatest days of all lays just ahead. Remember that.
E-12 And I believe that this 1956 is a turning time. I predict this, not by spiritual inspiration, or I don't say that, not by vision. But this is the turning time for the U.S.A. They'll either accept it this year or they'll be cast off. See, there's only so many fish to be caught anyhow, and when the pond's all seined dry, won't do no good to cast nets in no more. So there'll be a time.
I stood not long ago at the great city of Rome and saw the great Neros and emperors that once lived there. The great power of the world existed in Rome, and now you'd have to dig thirty feet underground to find the remains of it. Stood in Athens, Greece, where the--the great Alexander the Great, many of those great men where old ancient cities are sunk, many of them.
E-13 Then I thought of myself a few years ago, looked... I was just a boy and now changing. I went to a old tree that I used to go to years ago and watched its great big limbs, how masterly the wind blowed through them, and how strong it seemed to be. I went through it a few days ago, and it was almost destroyed. What is it? It's mortal giving away to immortality.
And some great day this nation that we now live in and love, will crumble beneath the sod of the earth if Jesus tarries, but there's coming a City and a--a body to all the believers. "If this earthly tabernacle be dissolved, we have one already waiting," just to move out and move into. We have a city whose Builder and Maker is God. Some glorious day when all things that's mortal gives away, the last one, we'll go to live in that city where the Tree of Life will stand on either side of the river. There'll never be a snares. It'll always be a tree. For that glorious place we now labor in the field for the Master.
E-14 Shall we pray just a moment. Our kind heavenly Father, we approach Thee tonight upon the invitation of the Lord Jesus that promised us, "If you ask the Father anything in My Name I'll do it," and we don't even have to have very much faith. No faith tonight and prayer, or nothing in our merit, but upon the invitation that Jesus promised, "If you'll ask Father anything, I'll do it."
Now, we ask the Father tonight within the Name of the Lord Jesus, that if He will let His Presence come into our midst, or continue to be in our midst, rather, and to bless us exceedingly abundantly above that which we could even think of tonight... Get in the Word, Lord, take... May the Holy Spirit take It right straight to every heart just as we have need of. Get glory...
E-15 We're so thankful to know that this great fellowship here in the Twin Cities among the ministers... God, that means that there's a sound in the mulberry bush. God's going on before us. God, I pray that You'll give them not only a citywide revival, but a nationwide shaking just before the coming of the Lord.
God, may this coming week be one of the greatest weeks, not because that we've gathered here or different... We're not different, but just because that the harvest is ripe. It's time... Everything looks just right, and we pray, Father, that this will produce one of the greatest meetings that this city has ever had. Grant it, Lord.
E-16 May sinners just pour to the altar, be saved, and those who are without the Holy Spirit be filled, that all night prayer meetings will be in homes, and people being so hungry till meals will be set aside. And God give us an old fashion revival just once more before we see the coming of the Lord Jesus. Grant it, Lord, for we ask it in Jesus' Name, Thy Son. Amen.
For this coming week, the Lord willing... I am thankful for the opportunity first to--to--to speak. I'm not much of a speaker. Usually my ministry of--of healing lines and so forth, and you know by the vision, which I will explained just what's coming up...?... exceedingly abundantly, but while I'm waiting on that, I've got a Message for the Church.
E-17 Now, not... I'm not an educated person and I--I... You excuse that, if you will, but I know the Author of this Book real well, and I got a Message for the Church.
Now, in a few nights we'll just be continuing on for a few nights. And I want every sinner while we're speaking to take inventory of your own life and place it at the...?... of the Gospel and see how it comes out.
Over in Hebrews the 10th chapter I wish to read for a reading tonight in the Scripture just a few verses.
For the law having a shadow of good things to come, and not the very image of the things, can never with those sacrifices which were offered year by year continually make the comer unto perfect.
For then would they have not ceased to be offered? but because that the worshipper once purged should have no more conscience of sins.
But in those sacrifices there's a remembrance again made of sin every year.
For it is not possible that the blood of bulls and... goats could take away sin.
Wherefore when he cometh into the world, he saith, Sacrifice and offerings thou wouldest not, but a body has thou prepared me:
In burnt offerings and sacrifices for sin thou has had no pleasure.
Then said I, Lo, I come (in the volume of the book as it is written of me,) to do thy will, O God.
Above when he said, Sacrifice and offerings and burnt offerings... offerings for sin thou wouldest not, neither has pleasure therein; which are offered by the law;
He said... Then said he, Lo, I come to do thy will, O God. He taketh away the first, that he may establish the second.
By the which... we are sanctified through the offering of the body of Jesus Christ once for all.
May the Lord add His blessings to the Word, the reading.
E-18 Now, we're going to speak tonight as a text in here to try to find a context of this we have just read, upon the reconciliation to the fellowship of God. You know it's just the time when... I never thought of that until I come in the door just a few moments ago and this Brother here met me and shook my hand and told me about this great thing going on in the city. Then that come into my mind right quick, "Fellowship." I thought, "That's a wonderful thing. God willing, I wish to speak on that--the fellowship, tonight, what it means to have fellowship."
You know, in ever human heart there's something longs for a fellowship. Why are we here together tonight? You never come out on a night like this and standing around the walls and so forth just to show that you had on a new suit or a new skirt or something. You come because that the Church has gathered, and we desire that fellowship with the people. That's--that's why I come up through the snow to be up here, is because I love fellowship. There's something about Christians that they like to associate together.
E-19 Mother used to tell me. She said, "Birds of a feather flock together." Well, that's a whole lot of truth to that. And then if we have... You never see the crows and doves feeding together, because their appetites are not the same. Their--their diets cannot be the same; their talk isn't the same. And so is the man that's out of fellowship with God has no more--no desire to go to church or do right and those who are with God long for that fellowship, you just can't stand it.
Here sometime ago when I was pastoring a Baptist church, I was coming down a pole where... I've always worked to make my living, and I was working for the public service, and I was coming down a pole from reading a pole meter and taking some light fixtures up there, some things to fix the lights, rather, from place to place. And while I was come down, a minister of another very prominent church, he said, "Billy, you know what happened?"
I said, "No."
E-20 He said, "I sent five hundred prayer cards out trying to get the people, or cards, rather, to get the people to come and promise that they'd come to Sunday school at least six months out of the year, of our of five hundred members. You know how many responded to it?"
I said, "I don't have any idea, Dr. Brown."
He said, "Two." See?
Well, I knew they were very formal and indifferent, so I said, "You know, Dr. Brown, the reason of it is, they don't have the right thing in their heart. If a man is right in his heart and the church bell rings, he just can't stand still. He just... He's got to go. That's all. It's life and death to him. He must move."
E-21 Now, man has always longed for this fellowship and the reason that he did... Did you ever stop to think how--what makes people long for this, what makes men and women long to associate with each other? And when you become a Christian, how you long to get in the Presence of God. There isn't a person in here that's ever had an experience with God, but what the greatest joy of your life is when you can get just alone a little while with God, just cut loose every shoreline, and get in the secret closet, and close the door, and lift up your hands and just come into that communion. Oh, there's something about it that's marvelous.
I've got in there and you have too, and just kneel down and weep and weep till you just couldn't stand it no more, just saying, "God, I--I just can't--I just can't stand no more of it."
E-22 I remember little Joseph, my little boy. You know where Joseph was promised to me, at? Right here in Minneapolis about six years before he was born. I was over here one day reading Joseph in the Bible, and I seen what a perfect man he was. We had one little girl at the time, been four years 'fore she come, and she was a caesarean, and then about four years had passed again. And they said they didn't think she'd ever--wife would ever have another child; and I went in and was weeping and the...?... just pouring down. I was in the closet where I had my clothes hanging up here in the hotel.
We had the tent meeting going on out here, and I was just weeping, and Something just like a voice spoke to me and said, "You'll have a son and call his name Joseph."
E-23 Well, I went out all elated and happy, and I begin to tell everybody about it. And about three or four months after this the mother, she knew that she was to be mother again. Some of them said, "Is this Joseph?"
I said, "I don't know."
So when it was borned, it was a girl. Then everybody laughed, said, "I thought the Lord never told you anything wrong."
I said, "He never does. Joseph will be here. Don't worry." Years passed on. He always keep His promise. Don't you believe that? The reason we can love Him and put our confidence because He is truthful to His promise.
Notice. Years passed on by. Four years or more passed again. No sign, no more. And one day we found out that she was to be mother again. Some said, "Is this Joseph?"
I said, "I don't know." But I said, "He will be here." And so when he was borned the nurse come down. There was a bunch of us men setting out in--in the room.
She said, "Reverend Branham?"
I said, "Yes, ma'am."
She said, "You have a fine, seven pound and three ounce boy."
I said, "Joseph, you been a long time coming, son, but I'm sure glad you're here." So, that's it.
She said, "Why did you call him Joseph?"
I said, "That is his name. That's his name: Joseph."
E-24 So in that time of fellowship and communion, that's where God spoke to me. That's the way we want to just get into the spirit of it. You like to pray through and get in the Spirit? That's the only way you can do it. Shut yourself off from the rest of the world and get alone with God. And the reason that you like to do that, because when the first couple came on earth, Adam and Eve, that's what they did.
In the cool of the evening they come in from their vineyards and got down under the trees, the great cathedral as it was, and as the sun, perhaps, was setting streaking down through the bushes God came down in the cool of the evening and fellowshipped with Adam and Eve. Oh, my. That comes right on down. Knowing yet when you get in contact with God... And men when you come in contact with your friend, and God is your Friend. So you love to commune with Him and talk with Him.
E-25 Now, since sin broke that fellowship, man has been tossed about from ever wind of doctrine and he's still tossed about. He was turned out of the garden of Eden to shift for himself, and then that great time he's still tossing about.
God made one preparation for man to be restored back to that fellowship. Oh, nothing else... we have tried... He offered to the human race. Blood was the way back to fellowship. God killed some animals and took their skins, shed the innocent blood of the animal, and brought the skin and wrapped Adam and Eve in it, and fellowshipped with them again after the shedding of the blood.
This is God's way. It was God's way. It'll always be the right thing to fellowship through the blood, reconciliation bringing the believer back into contact with his Maker. We've tried to educate people to it. It'll never work. We've tried to draw denominational barriers, and say, "Because you go to this church or this church..." Denomination, education, signs or anything else outside the shed Blood of the Lord Jesus Christ will never bring fellowship back to the people again with God.
E-26 We always fence ourselves off and make cults and clans, but God wants us to tear down them barriers like you all are doing around here now, bringing the whole Body of the Lord Jesus in fellowship around the Sacrifice, the Lord Jesus.
Why, my, you talk about spiritual gifts in the church; just keep that fellowship up and watch what happens. It'll pour down...?... automatically. If you get the thing running right, it'll run and God will add to it, but you've got to get on the right road first, and you're on the right road now when you go to breaking the denominational barriers down, putting your arms around one another, and say, "We're brethren." And then you're on your road back. You're on your road to the original.
E-27 Then the Blood of Jesus Christ, God Son cleanses us from all unrighteousness. We have fellowship one with another then when the Blood cleanses us from all unrighteousness. The only way that God has ever recognized has been through the shed Blood.
I have nothing against denominations. Those are all right. Nothing against education, that's all right. Nothing against great song festivals, that's all right. Nothing against joining church, or whatever you may be, it's all right, but it'll never, never produce until the Blood's been applied. The Blood applied to the human heart will always bring a result. That's what we need tonight, and when you get that, then things will just automatically take place when we do that.
E-28 Now, we notice all down through the age how God has always recognized that one thing, that Blood. That's the only thing that'll--that'll--He will accept will be the Blood.
Now, after Eden, after the children of God was driven from the Eden because of their sins, God made a way just to stand between until the day of full redemption would come. The oldest Book in the Bible is Job. Now, the old, old Gospel, this old-time Gospel, it don't have to have fancy words; it must be laid out in its simplicity and accepted on those grounds, it'll bear results. You believe it? Yes, sir. Just accept it in its simple way. Nothing all broke up. Nothing great and high that you can't reach. The Kingdom of heaven is right at your hand.
E-29 Many times we make it so complicated with creeds, and different things to deal with, different isms, and things that we've made up inside of our fleshy mind; and we many times through that, drive sinners far away from God. But just make it simple that little children would understand, and then it'll lift up Christ, and He said, "I will draw all men unto Me."
Notice. Job the oldest Book in the Bible, he was a righteous man. God said there was none on earth like him. And when he got into trouble, and God turned Satan loose upon him. Did you notice how that God had to do it first?
Here sometime ago I was amazed as I was standing in an eastern country, oriental country, and I heard this Scripture of Saint John the--the 5th chapter, where Jesus said, "I am the door to the sheepfold." Always wondered how that could be, that Jesus, a Man, could be a Door to His sheepfold. I couldn't understand it till I got into the country and seen what it really was.
E-30 It's amazing to see how the Bible seems when you go into the land where It was written and see how the--our western interpretation of It is many times contrary to the eastern tradition. And how they did it, the shepherd has a fold, and he drives his sheep in there; and after the sheep is in, he lays down in the door. Therefore, no sheep can go out, or no wolf can come in 'less it comes over the shepherd. Think of it, how safely you are.
Few nights ago I woke up, and I had a sermon on my heart of resting. I didn't have no audience, so I had a one woman audience, my wife. I woke her up. I said, "Honey, I just got to preach to you a minute." I did about three hours. Oh, resting...
E-31 The Christian experience is based solemnly and wholly upon rest. "Come unto Me all ye that labor and heavy laden, I'll give you rest." We're tossed about with everything until you come to Christ, then it's all finished. Resting in Christ, perfectly. No matter what comes or goes, nothing can touch us without it comes over the Shepherd. He has to permit it.
The Bible said, "All things work together for good to them that love the Lord." Has to come over Shepherd first. Said, "I'm the door. No man can come in without Me accepting it." Let me--let me tell you that when God permits anything, it's working to your good. So would sickness be the same thing? Certainly, that God might heal you to show a great testimony, give you a little something to move on for. "All things work together for good."
E-32 Noticing then how beautiful that the shepherd laid himself at the door to be the go-between or the block... I thought then in my text of Job, how that Job being tested and tried, how that he knowed that he was righteous, because he had offered the sacrifice, the burnt offering and stood firm on it. No matter how many of his church members said, "Job, you're wrong. You're a secret sinner," Job knew that he had confessed his sins and had offered God the appropriate offer, the one that God had required to be offered, the burnt sacrifice. He knowed he was righteous in the sight of God.
E-33 Oh, if Christians now who will fall away, and run back, and run out, and run in and out, and then you think, "Well, I--I can't make it." You couldn't make it in the first place. It's not your place to make it. God's already made it for you in Christ. The price is fully paid. The only thing you have to do is to accept God's provided way and stand in it, no matter what takes place. Don't move; rest. The Shepherd's watching over His sheep. He knows even a sparrow. How much more does He know about you?
I noticed another thing, if you'd excuse me for getting off my line of talk a moment, while I was thinking about shepherds. You know shepherd in them eastern countries has more respect than anybody else. Going down through the streets, all at once the whistle, the cars, and...?... and everything I wonder what's taking place. We was in a little old British Jeep, and the first thing you know, it was a shepherd crossing the street with his sheep, and the--all the traffic held up, give him the right of way.
E-34 That's the way our Shepherd is. Amen. He gets the right of way. He will lead His sheep. Nothing's going to harm or bother them...?... up on the mountain I noticed there was a lot of shepherds up there, and they was herding different kinds of animals. There was some donkeys they were herding, and some of them were camels, and--and some were just goats. I said, "Why, a shepherd means just a herder."
"Yes," he said, "that's right, Brother Branham. A shepherd is a grazeman or a herder." But he said, "You know the strange thing that the shepherd is a attached more to his sheep than anything else." He said, "Now, they both eat the same food, the same grass, but when nighttime comes, the mules, the goats, are all left out, and the shepherd calls his sheep and takes them into the sheepfold.
E-35 I thought, "O God, that's what I want to be, a sheep. Nighttime's going to fall one of these days. Just the sheep's a going in." God calling, if you're just a church member, if you know no more than just joining church, or if you don't know Christ by an experience...
"Oh," you say, "I know our creed. I know my catechism." To know the catechism isn't life. To know Christ is Life. Not to know your creeds, not to know your doctrine of your church, but to know Him, Him alone is Life: to know Him.
Another amazing thing I noticed. The shepherd will come right down through the street, and on the side the man with their produce laying out there, there'll be all kinds of appetizing things for the sheep, but the fellow that was driving me in the little jeep, he pulled over to one side, said, "Now, Brother Branham, watch this." Said, "See that shepherd entering that market street there?"
I said, "Yes, sir."
E-36 Said, "Now, watch him for a few minutes." And he walked down through that street and about fifty sheep following him, walked right down through where all them fine things: pears and vegetables and things laying there which would be very tempting to the sheep, but them sheep followed the shepherd and never looked right or left, just went right on through with the shepherd. That shepherd could step out of line like this and every one of them sheep would put the same line going right through. Oh, my.
I said, "Brother, you excuse me for a minute. I just got to praise the Lord." Following in the footsteps of the Shepherd, "My sheep know My Voice; a stranger they'll not follow," just move where He'd move. He'd go right there. He was tempted on every hand, everywhere. Keep your eyes on the Shepherd. Don't look to yourself. Look at the Shepherd and move on.
E-37 Now, Job, he had offered the sacrifice. He knowed that he was righteous, not in himself, but he was righteous because he had met God's requirement.
That's how I know we are righteous, when we meet what God says. Not... God never at no time said for us to join church, yet that's good. Did you know there never was a commission given in that New Testament for us to go build churches? Did you know there never was a commission for us to set organizations up? Did you ever know that? Let me bring you a little farther. Did you know we never was commissioned to build a church, or a school, or a hospital? They all...
E-38 That's all all right, but the commission of the Church was, "Preach the Gospel to every creature, then He will return. Preach the Gospel unto all the world, and then Jesus will return." And we're living in the day that when this world has got the greatest shaking it's ever had in all the history of time. We're going to get to that this week when we come into the secret abiding place, and then the junction at the end of the road as we go on through the week, and you watch, and take notes, and check her up, and the next night come back and find out if that's right or not. Look at it in the face of the Scripture, then you know you're right.
E-39 The Bible said that the time would come when Satan would be so--so cunning and so shrewd, till he would deceive the very elect if possible. We have to watch. Watch our churches. There's rising things in the world today that's not right (We know it.), even signs and wonders being performed that's not according to the Scripture. That's right. It's not... It's off the beaten path. So that's why I've taken this time out, kind of get into the church and say, "Be ready. Watch it if it doesn't co-op with the Scripture then it's not right. Got to come from the Bible."
This Bible said that the--there'd be false prophets and false christs and so forth that would raise in the last days, show great signs and wonders insomuch that it would deceive the very elect if possible." Dangerous time, our Church is setting at the brink of it.
E-40 The full Gospel people because they accept signs and wonders, but be careful where it comes from, must come from the Lord. Remember the antichrist is going to do the same thing. There's only one way that you can be sure. That's get under the Blood. Stay under the Blood. That's God's way. You're hid away then; the devil couldn't get to you if he had to.
Now, if the Shepherd's laying at the door, the devil would have to cross Him first. He can't do it. That's right. Come into this secret place with the Lord. Job, knowing that no matter what come or went, he still stayed right with it.
Israel's only place in the Old Testament where they ever had fellowship was under the shed blood. No matter where people was, they come up through the temple where the blood was shed and there they had fellowship with each other there under the shed blood, no other fellowship nowhere else. When he come into the temple the first thing he did, come up, be cleansed by the washing of the water, a separation from the outside come under the seven streaks over the door, showing that something died to go before you, seven streaks of blood, then into the fellowship. By faith are you saved, through grace. That's right, but then by one Spirit, we're all baptized into one fellowship, the Body of the Lord Jesus, and partakers of His blessings, in that marvelous fellowship.
E-41 Notice. Israel met at this temple, and there they come together. A proselyte, before he could be come in had to be circumcised. That's coming by the cutting off of the flesh of the foreskins of the male. Then a man before he can come to Christ, the first thing has to take place, he has to be circumcised, circumcised not his flesh, but by the Spirit. It cuts all the world and the foolishness of the world cut off of him by the Gospel. This is that blessed circumcision knife and the only one that I know of.
Hebrews 4 said, "The Word of God is sharper than a two-edged sword, cutting even to the marrow of the bone and a discerner of the thoughts of the mind." God knows your heart.
E-42 Notice. Then when he's circumcised all the world cut off as a believer, he comes through the Water of separation which is the Word, preaching the Word. Then he comes and recognizes that something died to go before him. There's the seven stripes that was on the door where Eleazer put it with his finger from the killing of the red heifer, and striped the door with the blood to let the worshippers see.
Exodus about the 16th chapter you'd read it, if you want to read it tomorrow, and then you'll find out through the killing of this heifer, burning her, made a waters of separation that's kept in the courts on the outside, that every time a man sinned or dropped out of fellowship, the first thing he did was come and be cleansed by the waters of separation.
E-43 The only way a man can recognize that he's a sinner is by hearing the Word of God. Faith cometh by hearing. And over in the Old, in the New Testament said, "We are washed through the waters by the Word." And the Word is what separates us from the things of the world.
You can't have faith... Faith's not based upon sifting sands of man's theology. Faith's not based upon the document of some church or some creed. Faith is based solidly on the unmovable Word of God. Faith cometh by hearing, and a man through that separates himself from the things of the world when he is coming to Christ...?...
E-44 Then there's--Eleazer after killing the heifer burning her while she was bleeding he made a public testimony dipping his fingers and striping seven times over the door. That's seven times, if we had time to go into it, represents the Seven Church Ages. Every age, every person, every time must recognize the Blood. For without the shedding of Blood there's no remission of sin. Then before you could come into fellowship he had to look up and recognize that something died in his stead and went on before him.
Every man today no matter how many churches you join, how many pages you turn, you've got to recognize that Christ died in your stead and went on before you, making a way and through His Blood you are a sanctified vessel unto the Lord. Amen.
Not your sanctification, not laying in something you did, but His sanctification, through Him Who gave Hisself for us, died in our stead. Let that faith go to work down in the heart one time and watch what takes place. All of you, you don't have to take some man's theory; you got the Word. That's right.
E-45 Then this believer as he went on into the temple recognizing that this blood went before him when he crossed under the blood, not over the blood, but under the blood... Amen. Church, there's where we make the mistake. We come out of the seminary, and we think we know more about it than God does, and we just count the Blood of Jesus Christ as if it wasn't nothing, and trust in our education, our...?... our day of science and things, and think that we got better churches and so forth, but we got weaker pulpits. That's right. It's true.
Notice friends. When you respect the Blood of the Lord Jesus...
E-46 Some time ago John Sproule, a friend of mine was at Alsace Lorraine, France, and they was taking him out through a garden, he and his wife, and was showing them the statues and so forth; and there was a statue of Christ. John stood and looked at it, and he said, "Brother Branham, I looked, and it just didn't look right. I didn't see why they put a statue like that as a shrine to Christ."
He said, "There was no suffering, no pity, just an old piece of rock, looked like hanging there, hewed out on the cross," and said, "The guide said to me, 'Kind, sir,' said, 'you'll perhaps criticizing the statue.'"
He said, "Yes, I am."
He said, "You're just not looking at it right." He said, "You see, there's an altar down below it." He said, "Now, you go and kneel down at that altar, and then you look up, and then come back and tell me what you think."
E-47 So he went down and knelt, he said, at the altar, raised his head up and said his heart almost failed. There was the suffering. There was the--the agony of Christ. The sculptor had cut out into the face of the cruel suffering that He did, and it made a difference. It turned the critic into tears.
That's the way it is with God's Word. God's Word is not supposed to be learned like a newspaper story. It's not supposed to be tried to figure out. It's to get down, look up to it, saying, "God, be merciful to me and give me faith to believe Your Word. I accept now the Blood of the Lord Jesus for my sins." Then it'll look a lot different. It'll make critics believe in Divine healing. It'll make those without the Holy Spirit, never been borned again, knows nothing about God or the new birth, become a seeker of the Holy Ghost and not to be an argue. It'll put a love in his heart when he looks through the Blood of Christ to the Word to say, "Yes, God. You died to make that Word real to me." It'll change your whole attitude. It'll make you a different person.
E-48 Notice what a time. Now, the worshipper then come inside. He was in that blessed fellowship of the believers. And now today when the worshipper comes through the Blood of the Lord Jesus and comes into the tabernacle or the tent of the believers, with the firstborn of the Church, the Holy Ghost Bride, then you have fellowship one with another, for the Blood of Jesus Christ cleanses from all sin.
I've thought many times back in the Old Testament in my first study back in school, I'd think of how I love the Old Testament, for It's a type of the New, and the worshipper coming, knowing that he was guilty, and he must die because he trespassed against God, he'd broken His laws, and he come with a lamb under his arm. And he brought the lamb up to the priest, and he laid the lamb down, put his hands upon the--the lamb and confessed his sin, and his throat was lanced.
E-49 Did you ever hear a lamb die? It's the most pitiful thing you ever heard. Even a poor little lamb... When they go to kill it and he sees even the instruments they're going to kill with it, he starts crying and begging.
Here some time ago I watched them. They was going to chop a, lamb's head off--a butcher--to kill it, when that poor little lamb saw that axe coming, he just started crying and going on. I--I couldn't stay there.
And I watched the... poke the little lamb and in there the lance knife go under his throat, and when it's a dying and kicking, his hands are bathed with the blood, and he looks up to Jehovah and says, "Jehovah, that should be me, but the lamb's taking my place."
But that man went back out with the same desire in his heart to sin that he ever had, because the life that was in the blood of the lamb was an animal life, and the animal life, animal spirit couldn't come back and blend with the human spirit for one is an animal and the other is a human.
E-50 But when Jesus died at Calvary, and the worshipper ever comes to Calvary, by faith lays his hands upon the head of the Son of God, when he's confessing his wrong, and he feels the tear and the agony of Calvary that really paid his price, the debt that he should pay, he feels that in his own soul.
And the life that was in the Blood cell of Jesus Christ was none other than God Himself, and when that Holy Spirit that was in Christ's Blood comes back on him and makes him a new creature in Christ Jesus. Therefore the man's spirit's blended out, and God comes in and takes over. Then they got fellowship one with another, and the very God that created the heavens and earth that wrote His Word dwells in you, and you'll believe that everything God wrote is the Truth, and you'll accept it and believe it and hold on to it, and you'll have fellowship.
E-51 That's why we're here tonight. That's why we gather at these great rallies. That's how we come together, is because something in us constrains us to one another. We have things on a common ground. Your heart aches to come to church. Your heart aches for fellowship, to think the dark hour is coming just ahead of us where these... We'll be deprived of this.
Just a moment before closing I want to say this word. In the garden of Eden when Adam was turned away and Eve, because they had sinned and God cannot bear sin, He... Here's one thing God is... I can make a promise. I can break it. I can make a promise and not able to fulfill it, but God can't make a promise without fulfilling it, because He's God. He's got to keep His Word. No matter what comes or goes, God's obligated to His Word.
E-52 That's why that standing before the congregation in meetings. That's why that standing by the visions. God made the promise. He has to keep it. He's bound to His Word. No matter how bad I am, or how bad you are, accept it. And God's obligated to keep it. He will do it.
That's why in Africa amongst the witch doctors, in India amongst the hoodoo they was coming there, trying to put a spell on me, for all of that I didn't get scared. Why? I knew I was covered by the Blood of the Lord Jesus. I had fellowship with Him. I talk with Him. He was the One directed me to go, and I know He can keep that which I have committed to Him against the day. See them set in their seat and paralyzed when they were setting there. How they called the storm and tried to shake the place down. Raised our hands to heaven and said, "God of heaven, You made all things. Stop that storm." And in five minutes the sun be shining. What is it? It's a hidden life consecrated away with Christ where all things becomes possible.
E-53 The great things that used to be... We don't look at them and just look off there and say, "Well, they were something else." Get down and look up to them through the Blood one time and see how much difference they look. They're real promises. They're to you.
When God keeping His Word to Adam, He had to depart from his midst and then, I can see as those children, Adam and Eve, great beautiful... I can imagine Eve to be the most beautiful woman the world ever saw.
Standing in Athens not long ago I was looking at a--a--where a artist had painted a picture of Eve and Adam. Oh, it was a discredit to humanity. Eve looked like a prehistoric animal. And there she stood in a horrible looking condition, and Adam with hairs out of his nose run way out like that. That goes to show what the unconverted mind has conceptions of.
E-54 A man that's ever come in contact with God knows God doesn't do such things as that. They were perfect. Then after they had sinned... Notice, when they'd sinned and realized they'd done wrong, and Eve... Adam never sinned, the Bible said, that he was not... He... Eve sinned, and Adam loved Eve so well, till he took his place with her to leave the garden. Adam was not deceived. Eve was deceived. Adam wasn't. And Adam was a type of Christ in every figure. And Christ was not deceived and neither was He a sinner, but He come down and so loved His Church, Eve, till He went to Calvary for Her to redeem Her back again. Christ come to take the sinner's place.
E-55 Did you ever think of it, sinner? I thought this, "Me, unlovable, me, not worthy, and Christ, the Son of God, came down and become me that I through His grace might become Him. And we stand in the Presence of God not as sinners but as sons and daughters of God washed by the precious Blood of Jesus Christ. Amen. That ought to tear the heart of any sinner to realize that Christ become sin that you through the righteousness of His obedience to God might become Him in the Presence of God to stand without a blemish or with out a...?... through the shed Blood of His offering.
And I see Eve and Adam standing there, heard their sentence of death pronounced upon them, and the tears running down Adam's cheeks and dropping off onto Eve's head, and her with her little head laying over on his shoulder, and they had to depart out of the Presence of God, standing there wrapped in those old bloody sheepskins. And as they started out of the garden in the Presence of God, I can hear them old sheepskins flapping together on their legs like that, as they went out. God, the Father, looking down and seeing His children being turned out like that because of disobedience, He stopped and He couldn't stand it. He said, "I'll enmity between her seed and--and the serpent's seed; and his head will bruise her heel, and her heel shall bruise his head," promising a Deliverer.
E-56 Down through the years the only place for fellowship come in between that time waiting for the come of that promise was through the offering of the burnt sacrifice, the lamb. And finally one day four thousand years later down in the city of Jerusalem...
Let's take a little trip down into the streets of Jerusalem leads out by the Damascus gate or goes out to the hill of Golgotha. Let's pull up the shade. I hear a noise outside. What is it? You hear some of them saying, "Away with such a Fellow."
I see a little woman run in front of the crowd, say, "What's He done but preach the Gospel, and heal your sick, and do good things?"
I can see some of them throw her aside and say, "Would you listen to that woman in the stead of your priest? Would you turn that--accept what that woman has said and turn your priest down there? Certainly. Away with Him."
E-57 "What's this Man done?" I hear something dragging, bumping, coming down the cobblestones; and I look, and I see a little frail body of about a hundred and twenty pounds with a cross equal His weight laying on His shoulder, coming down the street dragging it along, rubbing His head against the side of it, and the thorns breaking His brow, and the blood coming down. His Body being rubbed like this as He walked down through the streets, I hear the bump, bump, bump of that old cross.
After awhile I begin to notice that all over His little robe that was throwed over His back and wove throughout without seams, seeing they taken Him up to Calvary, and take that off of Him and vulgar, nakedness exposed Him there... But with this robe over His shoulder as He walked down the street, I noticed little red spots all over the back of that robe, and as He goes down towards Golgotha, I notice they get bigger and bigger, bigger and bigger. After while they all run into one, one great big solid mass of red.
E-58 I hear something beating again. What is it? It's that promise God made back there in the garden of Eden. That's the second Adam going yonder to die in your place. That's the Blood of the Lord Jesus, it hit that...?... and the Blood running down His legs and dragging out the footprints of the Bearer as the cross moves up.
See Him fall on His road up to Golgotha as He goes up the hill there, the bee of death stinging around Him, trying to buzz, and telling Him, "It won't be long now. You're going to--you're going to Calvary. Won't you take it back." Jesus wouldn't pay attention to that, this bee stinging at Him. The sting of death always been a horrible thing that's kept man pent up...?... years.
E-59 But did you ever notice? Here a little insect like bees and things that has stingers in them, if that stinger ever one time anchors deeply, it pulls out and the bee goes away, and the stinger's pulled out of the bee, and the bee can't sting no more.
That's what Jesus done to death, to the believer when death was stinging around Him. He pulled the stinger out of death when He went up Golgotha yonder, and now death has no sting. No wonder the great Saint Paul could say, "O death, where is your sting? Grave, where is your victory? But thanks be to God Who gives us the victory through our Lord Jesus Christ." The stinger's been pulled out of death for every man who'll confess his sins and accept Jesus Christ's death in his stead. Do you believe that? It has no sting no more.
E-60 A believer not long ago... I walked into the room where an old lady was going away one morning, and she looked over to me, and she said... I said, "Well, Sister Fullman, what about it?"
She said, "I love Him, Brother Branham, with all my heart." Said, "Think of it. It won't be very long now till I'll be in His Presence." Oh, what a glorious morning that'll be.
Standing by the side of Paul Rader... Many of you knew Paul Rader, didn't you? How he fought to win the prize and standing yonder in California under the influence of the--of great denomination had broke him down, and there he was dying with a cancer in the room.
The little Moody Bible quartet was there, singing for him, and when he about ready for him to die... Paul had quite a sense of humor. He said, "Oh, who's dying here, me or you?" Said, "Raise them curtains and sing me some snappy Gospel songs."
And they got to singing,
Down at the cross where my Saviour died,
Down there for cleansing from sin I cried;
There to my heart was the blood applied;
Glory to His Name!
Paul said, "That sounds better." He said, "Where's Luke?" That's his brother that always went with him. They traveled together like Billy, my boy, and I. And when he got...
He said, "He's in the next room." He couldn't stand to see his brother go.
E-61 He said, "Tell him to come here," and when he got up close to him, he reached over and got a hold of Luke's hand. He said, "Luke, we've come a long ways together, brother." Said, "To think of it, in five minutes from now I'll be standing in the Presence of Jesus Christ, clothed in His righteousness," squeezed his brother's hands and went to meet God.
Oh, let my end be like that. Let me, when I come to the end of the road... There's the big place setting out yonder before me; it's set before ever person here. It's called death. Every time your heart beats, you move one beat closer to that; and one of these days you're going in at the door. That may be before the sun rises in the morning for some. Did you ever think of that? Know what time your card will be taken from the rack up yonder in glory, and you'll have to answer. There's not enough in the medicine in the world to hold you here.
E-62 And here's what I want to do when I come to the end of the road myself, when I see and hear the breakers a roaring yonder, and I got to go into that, I want to have this assurance: that I know Him in the power of His resurrection that when He calls from among the dead, I'll come out and be His. You can only do it through the shed Blood of the Lord Jesus. Shall we bow our heads a moment for prayer...?...
While we all have our heads bowed and everyone in prayer, I wonder tonight if there be in our midst, I don't know, my brother, but I wonder if there's one here who really never has been brought under subjection to the Holy Spirit, giving your life over completely, until God rules and reigns supremely, and the life that you now live is a changed life. I've seen Christians that's tried to do it. They just couldn't do it. Seemed like they just had so many ups-and-downs they couldn't do it.
E-63 I wonder if there's a person in here in Divine Presence, just now, that has confidence in Christ that wants to be received into His Kingdom, saying, "Brother Branham, I now raise my hands to Almighty God and ask Him to be merciful to me. I want you to remember me in prayer right now that God will give me that life of Him, that I'll know that I have that fellowship that I've once desired and always desired. I want it now."
While we have our heads bowed. I wonder if someone would raise up their hands to God and say, "God, this is my hand. I want that real true fellowship." God bless you, and you. Up in the balcony, God bless you. I see you, sister. Someone else up there raise your hands and say, "God, this is my hand. This is all I can do, Lord. I... You know my desires, so I'm just raising my hand to ask if You'll be merciful to me and..."
E-64 Yes, the lady over here, God bless you. And the lady there, God bless you, sister. Someone else just put your hand, not to me, I'm just a man, but to God and say, "God, I really want that fellowship. I want the Blood to cleanse me just now from all of my evil ways, my evil thinking. I got to a place that I--I belong to church, but I just--I just haven't got what I need I know. If I'd die, if I knowed my time was called right now, I'd say, "God, give me another hour to get straightened up. Now, God, I want to do it for me now, that I can come into perfect fellowship, for I know that soon You're coming. The whole world's in a turmoil, and I'm looking forward for the coming of the Lord, and I want to be remembered, God, when I come to the end of the road. I raise my hand now to You, God, and ask that You will help me."
E-65 Will someone else put up their hand? Four or five hands has went up, and I see you up in the balcony there. God bless you back there, my dear sister. Now, someone else in the balcony up there?
Say, "God, be merciful to me. I need Jesus just now. I want Him with all my heart." If you have confidence, I've been here in the healing services and so forth, and I say this humbly, reverently. You know I do. I don't mean to say this for any personal thing, but see the visions happen. Watch what takes place in contact with that other world beyond here. Oh, if I didn't have that tonight I don't know what I'd do, friend. I don't know how I could sleep or how I could face even the public, how I could face my wife, my children, let alone face God.
E-66 If you believe God hears my prayer, and you want to be remembered, will you just raise your hand and say, "Please God." Some sinner friend, maybe that's never accepted Christ in all your life and you want to be remembered in prayer just now, would you slip up your hand? God bless you, little lady. God bless you, lady. God bless you. That's fine. Somebody else say, "Now, here I am, Lord, to feel You talking in my heart right now and You might not talk to us no more."
Here a few nights ago I was called to a place where a woman who had been a piano player in a church... Oh, she thought, surely she was right. She'd never come to that place, and when she was dying, she started screaming, and she... Her pastor run down and said, "Now, here, here. You're getting excited."
She said, "You deceiver. Why did you let me go like this?"
He said, "Come here, doctor. Give her a hypo."
E-67 She said, "I want to...?..."
And he put a hypo, and he said, "Give her another."
"I want to...?..." Well, he stopped her lips with the hypo, but that soul, she'll have to live with it through all ages. That's been grieved away in many a meeting when an altar call was made, and she rejected to come 'cause she thought she was right.
"There's a way that seemeth right unto a man." And my brother, and sister, if you haven't got a constant abiding fellowship with Christ, you need Him. Don't be deceived. Put up your hand and say, "God, it's me. I don't care how long I've gone to church. I...It's me. I--I want fellowship. I want to know where I am. I want to be with You, Lord." Will you put your hand up now and say, "Remember me in prayer"?
E-68 God bless you, lady. God bless you, brother. That's good. Two or three more put up their hand. Just a little longer now, Just waiting for a few minutes longer. "I now believe You, Lord. I--I want to come through the Blood. I want a place where I'm sweetly abiding."
God bless you, sister...?... The Holy Spirit just keeping right along, the different ones. "I want you to remember me, Brother Branham." God bless you, sister, over here. I see your hand over here to the left. "I want to be remembered just now. I want You to help me, dear God." Now, while the rest of them's making up their mind, the music playing sweetly.
E-69 "Because Thy promise, I believe. O Lamb of God, here I come. I'm coming right now to the altar." I'd just like for you to come and stand right here at the altar just a moment. Let me pray with you, lay hands on you, like I do on the sick, the blind, and the afflicted.
This week we'll be telling about the experiences over in India, where five hundred thousand people or more come to the meetings, and the things that God did, and just watch...?... nothing, I'm not a fanatic. I don't just try to misrepresent things. I try to be honest and tell the truth, as far as I allowed to tell. If you believe God hears prayer, you'd like for me to pray for you, would you come here and shake my hand and stand here? Just make your way out while the audience with your heads bowed sings real sweetly and softly...?... Because Thy promise, I believe. O Lamb of God, I come. [Audience sings--Ed.]...?...
Won't you come right here? "I want You...?... Lord." Wherever you are...?... come right on down...?... Come down out...?... [Blank.spot.on.tape--Ed.] As He wants you to be. "I want to be covered by His Blood I want to come just as I am. I don't have nothing to offer." That's the way God wants it...?...
...to rid my soul of one...?...