Montre nous le Père et cela nous suffit (Voir Dieu)
1 Et je… Nous étions assis là, nous entretenant, frère Thomas, moi, ainsi que frère Rhodes que je venais d'avoir le privilège de rencontrer. Et nous passions simplement un… Vous savez combien nous avons un petit sens de l'humour …?… un peu ce dont j'allais parler ce matin, quand j'étais ici, mais je n'en ai pas eu le temps : Laisser échapper la pression. Ainsi, le seul moyen que nous avons pour laisser échapper la pression, c'est quand nous avons un - un petit sens de l'humour.
Et un pieux et saint vieux frère qui s'en est allé dans la gloire il n'y a pas longtemps, et que la plupart d'entre nous connaissent, frère F. F. Bosworth, avait toujours un grand sens de l'humour. J'étais quelque peu réticent pour ce qui est de regarder et d'écouter, parce que moi, je veux "oui pour oui " et "non pour non ". Quand j'ai vu ce vieil homme pieux et son sens de l'humour et qu'ensuite j'ai vu d'autres grands serviteurs, frère Vayle et ces autres frères-ci ainsi que tous les autres, lorsqu'ils se réunissaient, et qu'ils avaient un petit sens de l'humour, je me disais : " Eh bien, peut-être que ce n'est qu'une - une tradition de ces derniers jours parmi les ministres. "
Et puis, j'ai lu dans le Concile Pré-Nicéen, et dans Les pères Nicéens et ailleurs, au sujet de certains de ces grands serviteurs de Christ d'autrefois, ils avaient le sens de l'humour. Et, vous savez, j'ai finalement découvert que Dieu a le sens de l'humour. Ainsi…
2 Et en parlant de la communion, je pensais à une chose que frère Bosworth disait. Il me disait, il disait : " Frère Branham, savez-vous ce qu'est la communion [fellowship en anglais - N.D.T.]? "
Je disais : " Oui, je crois que oui. "
Il disait : " Cela signifie deux compagnons [fellows en anglais - N.D.T.] à bord d'un bateau [ship en anglais - N.D.T.]. " C'est donc ce que… C'est alors que vous pouvez être très proches l'un de l'autre, vous savez, c'est donc ça la communion. Et ceci est certainement un glorieux moment de communion.
Bon, j'avais… Au fur et à mesure que je - que vous prenez un peu de l'âge, je - je ne réfléchis plus aussi vite que lorsque j'étais un jeune comme frère Parker que voici. Je… Il y a un instant il parlait, disant qu'il disait toujours à son épouse qu'elle vieillissait tandis que lui rajeunissait et ainsi de suite. Et moi aussi, j'ai essayé de faire aussi cela chez moi, mais ça n'a pas très bien marché. Eh bien, soyez bien sûr si oui ou non cela peut marcher dans votre cas. Mais - mais, de toute façon, quand je lui ai dit juste - que nous avons une différence de dix ans, j'ai dit : "Avancez encore de dix ans sur la route, au lieu d'éloigner la Bible comme cela, il vous faudra voir à l'aide des lunettes quand - quand vous serez un peu plus avancé en âge. "
3 Nous sommes donc très contents de cette série de réunions et de ses résultats. Et je passais un petit moment… Frère Parker que voici m'expliquait certaines Ecritures, et je sais par quoi vous passez tous là-bas dans la-dans la salle, au tabernacle, avec cet enseignement sur l'Ecriture. Et de voir la manière combien humble et douce dont il a abordé cela pour me parler de certaines choses ; et je le lui ai dit que dès qu'il aura mis cela à l'écrit, qu'il me le donne afin que je puisse m'asseoir et étudier cela. Et je - j'aime cette façon d'approcher quelqu'un (pas vous?), qui ne consiste pas à chercher à vous faire gober quelque chose, mais plutôt à y aller avec humilité et douceur.
4 L'autre… Il y a quelques jours, je parlais à un groupe de frères qui avaient - d'une certaine dénomination ; ils me blâmaient rudement. Et ils disaient : " C'est une chose ridicule que de prêcher la guérison divine. " Oh ! la la ! ils connaissaient toute la Bible, vous savez, et ils disaient : " Eh bien, il y a longtemps que cette époque-là est révolue. "
J'ai dit : " Eh bien, quelque part, frère, cela est retourné, car je - je suis certainement… "
Et ils me disaient cela, que je n'aurais pas dû essayer de prêcher sans avoir d'instruction, sans avoir été à l'école biblique et avoir appris quelque chose. Et je - j'ai simplement attendu qu'ils aient terminé, et j'ai dit : " Vous savez, ai-je dit, je vous assure , frères, vous devez vraiment avoir un temps glorieux. " J'ai dit : " Vous savez, malgré toutes mes erreurs et mes fautes, Il - Il m'aime comme Il m'aime, et des fois, c'est avec peine que je puis supporter cela. " J'ai dit : " Ceux qui sont dans la vérité, je me demande, je me demande comment il - ils peuvent donc supporter cela, vous savez, en aimant donc tant cela." J'ai dit : "C'est juste parler… " Malgré - malgré toutes ces erreurs dans lesquelles nous sommes supposés nous trouver, vous savez, et s'Il nous aime à ce point, qu'en est-il de ceux qui sont vraiment dans la vérité? J'imagine qu'ils passent vraiment de grands moments, ne le pensez-vous pas ? Ainsi, nous allons simplement tels que nous sommes jusqu'à ce qu'Il nous montre notre erreur. Et alors, nous allons avancer jusqu'à atteindre ce qu'eux pensent être la vérité ; si Lui dit que c'est la vérité et si Sa parole déclare cela.
5 Et ainsi… Mais dans un groupe comme celui-ci, c'est l'endroit le plus proche du Ciel qu'il y a sur terre. Quand nous sommes assis ici ensemble ce matin, nous sommes déjà morts ; l'oeuvre est déjà achevée. Et nous sommes - nous sommes ensevelis. C'est juste, nous sommes tous ensevelis. Et alors nous sommes… Pas seulement cela, mais nous sommes ressuscités. Nous sommes ressuscités et en Christ dans Sa résurrection. Nous en faisons partie. Et maintenant nous sommes ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ. Vous voyez? Nous sommes en Lui par le baptême. Vous voyez ? Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps, et nous voici à présent rassemblés, le Corps du Seigneur Jésus.
6 Et maintenant, vos cultes commencent dans environ 30 ou 35 minutes. Et si j'essaye d'apporter ce sujet : Laisser échapper la pression, nous la laisserons échapper jusqu'à midi, et je pense que les gens la laisseront bien échapper. Mais je me suis dit que je prendrais peut-être un petit témoignage sur quelque chose, et - et ainsi nous pourrons regagner nos églises.
J'aurais aimé être là, m'asseoir et suivre les enseignements de ces grands serviteurs de Christ : frère Vayle, le frère là-bas, notre précieux frère Parker, frère Iverson, ainsi que beaucoup d'autres frères qu'il y a ici, et j'aurais aimé les écouter. Il me parlait de l'ordre dans la réunion : "Laisser l'Esprit agir". J'aime cela. Et alors, le prochain orateur qui se lève continue avec cela dans l'harmonie. Eh bien, c'est ça le Saint-Esprit. C'est juste. Mais quand on trouve quelqu'un qui entre en contradiction, alors cela brise ce - ce temps de communion. Cela brise la… Vous voyez, il y a quelque chose qui cloche là-dedans.
7 Bon, j'ai dit à frère Parker, alors qu'il m'invitait une fois avec bienveillance, que peut-être - peut-être l'année prochaine, si le Seigneur tarde, je pourrais revenir, et j'aimerais aller là et - et avoir un jour pour m'asseoir avec les frères et parler de mon expérience personnelle, comment entrer en contact avec l'Esprit Lui-même.
Vous ne pouvez pas parler ouvertement de ces choses là dehors devant le monde. Si vous dites quelque chose (j'ai observé cela), vous prononcez simplement un mot, et l'un prendra cela et penchera de ce côté-ci avec cela ; et l'autre prendra cela et penchera de ce côté-là avec cela. Et tout de suite, vous savez, cela sort complètement du sujet, complètement de ce que… Et ensuite, cela se répand parmi les gens, et quelqu'un dira : "Frère Branham dit ceci. " Et cela… Eh bien, cela ne concerne pas que moi ; c'est la même chose pour n'importe quel frère. Ainsi, juste s'asseoir avec les ministres, un cadre où vous avez le privilège de soulever… Et c'est ce qui vous purifie, quand vous pouvez vous asseoir et écouter, partager vos - vos points de vue les uns avec les autres.
8 Eh bien, j'apprécie tous ces merveilleux moments. Je sollicite vraiment vos prières, comme je vais à… Maintenant, d'ici je dois aller à Columbia dans le Sud, et ensuite me hâter pour rentrer directement chez moi. J'arrive chez moi mercredi soir pour quitter jeudi matin. J'arrive chez moi mercredi soir, à 21, 22 heures. Et je quitte jeudi matin aux environs de 4 heures pour aller à la Côte Ouest afin de commencer des réunions au Cow Palace. Et de là… Il s'agit de la grande exposition du bétail - du bétail de l'Ouest, à Southgate en Californie. Et ensuite, de là, nous irons à Grass Valley, c'est près de - vers le Nevada. Et ensuite nous continuerons jusqu'à la - jusqu'à la Foire Internationale de l'Etat de cette année, et puis nous continuerons jusqu'au Canada. Et nous sommes pour ainsi dire soumis à un programme, attendant de voir - d'arriver en Californie à partir de - continuer jusqu'en Alaska à partir de là. Priez donc pour moi.
9 Et je vous apprécie, et frère Parker pour son grand amour, et pour m'avoir invité à venir ici à sa convention, et pour le privilège qu'il m'offre en me cédant volontiers la chair pour que je dise tout ce que Dieu a mis sur mon coeur. J'ai de l'estime pour un homme pieux. Et, frères, soeurs, ce matin j'ai pensé vous parler juste du fond de mon coeur. Il n'y a plus beaucoup de portes qui me sont ouvertes. Et je… Sans en vouloir à mes frères, pas du tout, mais des fois, je crois que… C'est juste comme je l'ai dit. Les gens affichent une mauvaise attitude et penchent de ce côté-ci et de ce côté-là avec la chose, et cela crée de la confusion parmi les frères. Et je vois qu'ils sont des bergers et qu'ils peuvent comprendre cela. Bien sûr, je m'y attendais et je savais que cela arriverait. Et j'ai mes propres convictions, comme tout ministre. Je ne cherche pas, parmi les congrégations, je ne cherche pas à semer la discorde, car s'il y a une chose que Dieu déteste, c'est la discorde parmi les frères.
10 Mais lorsque je suis ailleurs dans des réunions, je - j'essaie de ne toucher que les grands (j'appellerais cela ainsi, je pense) - les grands enseignements évangéliques fondamentaux, les grandes doctrines de la Bible, les choses fondamentales, l'apparition personnelle de Jésus, la mort, l'ensevelissement, la résurrection, l'ascension et le retour physiques, et ainsi de suite. Je n'enseigne que ces choses là, la guérison divine et tout, car… Nous tous les gens du Plein Evangile, nous sommes certainement d'accord là-dessus. Et je voudrais que vous, frères, vous sachiez que les bandes des enseignements que j'apporte dans ma propre église circulent parmi vous, et ainsi de suite, dans vos congrégations, et que j'ai mes propres convictions. Et - et, bien sûr, pour revenir maintenant sur mes conventions - convictions, je ne voudrais pas faire cela, car je serais un hypocrite. Vous voyez ? Je - je serais un hypocrite en faisant cela. Je - je crois donc effectivement ce que j'ai enseigné sur les bandes. J'en crois chaque mot. Je ne voudrais pas nourrir le peuple avec quelque chose de faux. Et si je suis dans l'erreur, je - je prie Dieu de me pardonner pour cela, car c'est au mieux de ma compréhension.
11 Et ainsi… Mais de m'inviter ici et d'avoir ce merveilleux groupe de prédicateurs, de ministres, assis ici ce matin, de saints hommes… Et j'étais au… Il n'y a pas longtemps, un frère bienveillant (et soeurs, excusez-moi)… J'étais à Phoenix, à une très glorieuse réunion avec un précieux frère que j'aime. Et il m'a invité dans son bureau. Il était très sincère, il a dit : " Frère Branham, a-t-il dit, vous savez que je vous aime. "
Et j'ai dit : " Merci, mon frère. Je vous aime certainement. "
Et il a dit : "Vous savez, nous estimons que votre ministère est en quelque sorte ce qu'il y a de meilleur. "
J'ai dit : " Oh, ne dites pas cela. " J'ai dit : " C'est… je ne… ce n'est pas vrai. " J'ai dit : " J'ai simplement suivi le Seigneur, et vous avez fait de même. Nous sommes donc tous… " J'ai dit : "Voyez combien Il vous a béni, et de loin plus que moi, et ces grandes choses qu'Il vous a données, ai-je dit, Il n'a jamais fait ces choses pour moi. " Et j'ai ajouté : "Il vous faut prélever beaucoup d'argent. Mais moi, je n'ai jamais prélevé de l'argent parce que je pense qu'Il pourrait… Vous savez, Il - peut-être qu'Il ne peut pas me faire confiance si j'en ai. Vous voyez ? " Et j'ai dit : " Je… Autre chose, ai-je dit, mon petit ministère - je ne pourrais pas me rendre à de tout petits endroits comme… " Tout récemment, j'ai tenu une réunion à un endroit où je n'avais que 20 personnes ; mais, c'est le Seigneur qui m'avait conduit là-bas. Et je - je veux aller où Il me conduit ; je n'ai pas besoin de l'argent. Vous voyez ? Et je - je veux simplement aller partout où je me sens conduit à aller.
12 Et l'autre jour, même malgré tous ces ennuis, j'ai jeté un coup d'oeil à nos registres, il y a 300 grandes villes ou plus des Etats-Unis qui m'appellent pour que j'y aille ; ainsi - en plus du champ missionnaire à l'étranger. J'étais donc… Ce frère a dit : " Eh bien, voici ce que je voudrais vous dire, Frère Branham. " Il a dit : " Vous - vous êtes… vous être trop radical. "
J'ai dit : " Eh bien, je suis un Irlandais de - de naissance, par ma première naissance, un Juif par la seconde. " Et j'ai dit, de toute façon, j'ai dit : " Alors, vous comprenez qu'en mélangeant cela, ai-je dit, c'est difficile de dire ce que vous obtenez. " Et j'ai dit : " Peut-être, ai-je dit, je suis - je suis effectivement radical, je pense. C'est tout simplement ma nature d'être ainsi. J'y vais simplement sans retenue. Quand j'estime qu'une chose est juste, je renonce à tout ce que j'ai pour celle-ci. Vous voyez? " J'ai dit : "C'est ainsi qu'il en était pour moi avec Christ. "
" Et puis, mes ancêtres étaient catholiques, ai-je dit ; ils sont venus de l'Irlande, ils sont tous venus de Dublin. " Et j'ai dit : " Alors eux, cela… J'ai entendu parler des choses qui sont arrivées lorsque j'étais un petit garçon. Il y avait un appel dans ma vie. "
13 "Et alors, les Catholiques ont dit : 'C'est nous l'église', et ils excluent les autres. Et quand je vais auprès des Luthériens, ils disent : 'C'est nous l'église', et ils excluent tous les autres. " Et j'ai dit : " Il existe environ 600, 700, peut-être 900 différentes dénominations, comment allons-nous connaître la vérité ? Moi, je ne m'en tiens donc qu'à la Bible. Et je m'en tiens à la manière dont je la lis, et je garde simplement cela comme ça. "
Et il a dit : " Eh bien, voici une chose. " Il a dit : " Vous vous acharnez toujours sur ces femmes. " Il a dit…
J'ai dit : " Je suis jaloux d'elles. "
Et il a dit : " Vous leur dites comment elles doivent s'habiller et tout, qu'elles sont trop sexy, et - et qu'elles ne devraient pas porter ces habits, ces shorts ; et qu'elles devraient cesser de se couper les cheveux et toutes ces autres choses que vous avez dites." Il a dit : "Vous vous acharnez sur cela. " Il a dit…
"Eh bien, ai-je dit, cela se trouve dans les Ecritures. "
Alors, il a dit - il a dit : " Eh bien, je le sais aussi. "
J'ai dit : " Ne croyez-vous pas cela, en tant qu'un prédicateur pentecôtiste ? "
Il a dit : " Si, mais, a-t-il dit, Frère Branham, a-t-il dit, les gens croient que vous êtes un prophète. "
J'ai dit : " Non, je ne le suis pas. "
Il a dit : " Mais, c'est ainsi qu'ils vous considèrent." Il a dit : " Et vous devriez enseigner à ces femmes comment recevoir de grands dons spirituels et des choses comme cela. " Et il a dit : " Alors - alors la - l'église serait de loin mieux. "
J'ai dit : " Frère… "
Il a dit : "Si vous êtes entré dans les profondeurs de Dieu, enseignez aux gens les profondeurs de Dieu. "
J'ai dit : " Comment pourrais-je leur enseigner l'algèbre quand ils ne veulent même pas écouter leur ABC ? " Vous voyez ? J'ai dit : "Oh, quand je dis …?… C'est donc simplement un peu… "
14 Il a dit : " Eh bien, Frère Branham, puis-je faire quelque chose pour vous ? " Il a dit : " Je crois que si seulement vous laissiez tomber cela, et que vous alliez de l'avant en priant pour les malades, et je… et - et que vous laissiez tomber cela … Dieu vous a appelé à prier pour les malades. "
J'ai dit : " C'est vrai. "
Il a dit : " Alors, à ce propos, laissez simplement tomber cela. " Vous voyez ? " Laissez simplement tomber cela pour prier pour les malades. "
J'ai dit : " Et qu'en est-il de cette autre chose ? "
Il a dit : " Je n'y crois pas non plus. " Mais, il a dit : " Vous savez quoi ? Si je disais quelque chose comme cela, eh bien, a-t-il dit, les gens diraient ceci, cela… "
J'ai dit : " Vous y êtes. Vous voyez ? Oui, vous y êtes. " Vous voyez ? J'ai dit : " Si nous, nous ne défendons pas cela, alors qui va le faire ? Vous voyez ? Cette génération doit être jugée. " Et j'ai dit : " Alors cela doit venir de quelque part. "
Il a dit : " Eh bien, je vais vous dire ce que je vais faire. Allez-vous me permettre de vous imposer les mains et de prier Dieu de vous ouvrir les yeux à la vérité ? "
J'ai dit : " Je le ferai à une seule condition. Si vous me permettez de vous retourner ce compliment. "
Il a dit : " Très bien. " Nous avons donc prié l'un pour l'autre. Je - j'espère que cela m'aide beaucoup. Certainement. J'espère que cela - j'espère que sa prière m'aide, parce que moi, si… je - je - je veux être aidé. Je suis ici dans ce but.
15 Bon, votre culte commence précisément dans 25 minutes. Mais permettez-moi juste de lire un passage ici dans la Bible, et de parler un peu, ou de donner un témoignage et ensuite nous partirons. Matthieu 5.8 ou bien, voyons, je crois que je vais lire plus que ça. J'ai autre chose que je désire lire. Cela me vient fraîchement à l'esprit, si seulement je peux retrouver cela maintenant, le passage en question. Je crois bien, si j'y arrive, je n'en suis pas sûr, je dois lire quelque chose ici dans Saint Jean. Oui, je désire lire cela ici, Saint Jean chapitre 6. Commençons au verset 36 du chapitre 6. Mais, je vous l'ai dit, vous m'avez vu, et vous ne croyez point. Tout ceux que le Père me donne viendront à Moi, et je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi ; Car je suis descendu du ciel pour faire, non ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé. Or, la volonté de celui qui m'a envoyé, c'est que je ne perde rien de tout ce qu'il m'a donné, mais que je le ressuscite au dernier jour. La volonté de mon Père, c'est que quiconque voit le Fils et croit en Lui ait la vie éternelle ; et je le ressusciterai au dernier jour. Jésus… (excusez-moi) … Les Juifs murmuraient à son sujet, parce qu'il avait dit : Je suis le pain qui est descendu du ciel. Et ils disaient : n'est-ce pas là Jésus, le fils de Joseph, celui dont nous connaissons le père et la mère ? Comment donc dit-il : Je suis descendu du ciel ? Jésus leur répondit : Ne murmurez pas entre vous. Nul ne peut venir à moi, si le Père qui m'a envoyé ne l'attire ; et je le ressusciterai au dernier jour. Il est écrit dans les prophètes : Ils seront tous enseignés de Dieu. Ainsi quiconque a entendu le Père et a reçu Son enseignement vient à moi. C'est que nul n'a vu le Père, sinon celui qui vient de Dieu ; celui-là a vu le Père. En vérité, je… dis… en vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi a la vie éternelle. Je suis le pain de vie.
16 Je méditais pendant que j'étais assis ici à la table, pour mon petit contexte en rapport avec le sujet que j'ai noté là, Laisser échapper la pression … Je me disais ce matin : " Qu'est-ce qui amène les gens à conduire… " J'ai un ami ici qui vient de là au Texas et - et qui traverse la contrée. J'ai des amis assis ici, qui viennent du Canada. Et ce matin, dans ce petit groupe de gens, nous avons des amis qui viennent de partout. Certains d'entre nous sont des ministres, d'autres sont des ouvriers, des ménagères et ainsi de suite. Et quel est le but de notre rassemblement?
Et beaucoup d'entre vous tous viennent chaque année pour écouter notre précieux frère, et suivre ses enseignements. Et beaucoup d'entre vous ont lu ses articles. Je les ai lus et je pense qu'ils sont profonds. Chaque fois, Billy, qui est le secrétaire de nos campagnes, me réserve toujours un exemplaire du Cri de minuit [" Midnight Cry " - N.D.T. "], car j'aime bien lire frère Parker, son approche des Ecritures. Lisez cela, et méditez cela. Alors, lorsque les réunions sont organisées, nous nous rassemblons. C'est parce qu'il y a quelque chose en nous qui soupire pour - pour écouter davantage, pour - pour - pour s'emparer de quelque chose. C'est la vie. Le plus grand mot auquel nous puissions penser ce matin, c'est la Vie. " Celui qui ne croit pas dans le Fils ne verra pas la Vie. "
17 Combien aveugle doit être une personne qui ne peut voir la vie ! Et je pense que beaucoup de gens ne voient pas la vie. Or, nous pouvons bien voir cela, mais le mot voir ne signifie pas regarder ; le mot voir signifie comprendre la chose. Eh bien, Jésus a dit à Nicodème : " Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le Royaume. " Ainsi, en d'autres termes, quand vous regardez quelque chose et que vous dites : " Je ne vois pas cela ", vous voulez dire que vous ne comprenez pas cela. Voir, ce que nous, nous appelons voir, c'est regarder. Mais voir, selon la terminologie de la Bible, c'est comprendre ce que nous regardons, ce qui est révélé. Et nous, nous rassemblons comme ceci afin que Christ puisse être révélé parmi nous. C'est dans ce but qu'on tient des conventions. Et une chose aussi importante que la vie…
18 Je pensais à un témoignage que je pourrais bien donner à présent, juste pour prendre dix ou quinze minutes de plus. J'ai prêché une fois, peut-être ici (j'ai prêché cela à plusieurs endroits) sur Montre-nous le Père et cela nous suffit, voir Dieu tout autour de nous.
Un vieil homme vivait près de la rivière. Il est déjà mort maintenant. Et c'était un vieux pêcheur. Son petit garçon avait l'habitude d'aller à la rivière et de faire la pêche avec lui. Le petit… Un jour, en descendant la rivière, il a… La pluie était tombée et avait débarrassé le ciel de la poussière et avait arraché des arbres toutes les feuilles, puis un arc-en-ciel est apparu à - à l'ouest, ou plutôt à l'est. Eux se dirigeaient vers l'ouest, en descendant la rivière Ohio. Et le vieux pêcheur se mit… de très grosses larmes coulaient sur ses joues tandis qu'il observait l'arc-en-ciel. Et le petit fut très enthousiasmé. Il se leva dans le bateau, au milieu du bateau et il dit : " Monsieur, je voudrais vous poser une question. " Il a dit : " Mon pasteur n'arrive pas à me donner la réponse, ni ma mère, ni mon moniteur de l'école du dimanche. " Il a dit : " Si Dieu est si grand, a-t-il dit, pourquoi personne ne peut Le voir ? "
Et le - le vieil homme, touché par les paroles du petit, l'entoura de ses bras. Il dit : " Béni soit ton coeur, chéri. Pendant ces cinquante années, tout ce que j'ai vu, c'est Dieu. " Voyez-vous ? Il pouvait voir Dieu, voir la Vie. Dieu est la Vie. La Vie c'est Dieu.
19 Il y a quelques - environ deux ans, mon brave ami, qui est assis ici quelque part, et moi, nous étions au Kentucky pour chasser l'écureuil et laisser échapper la pression accumulée pendant les réunions. Nous avions campé et j'étais sale. Et c'est très peu commode de dire une telle chose devant les frères. Je n'avais pas pris un bain depuis deux semaines. Et ainsi - ainsi j'étais vraiment très … Eh bien, j'avais terriblement besoin d'un bain. Ainsi… Mais frère Wood et moi, il en avait autant besoin que moi, nous ne faisions donc simplement pas attention l'un à l'autre quand... Ainsi nous… Il faisait très sec là dans les bois, et nous avions les visages couverts de barbe, et ainsi nous sommes allés au…
Les écureuils, ils… Quand vous marchez dans les broussailles, eh bien, ils vous entendent. Et, oh ! la la ! Houdini, le spécialiste de l'évasion, n'est rien à côté de ces petites bêtes. Et là-bas, quand ils s'approchent-quand on leur tire dessus n'importe comment, ils s'affolent. Ils disparaissent tout simplement. Et il a dit… Je - j'ai dit : " Frère Wood, si nous arrivons à trouver un endroit où il y a des dépressions… " Je me demande si ces frères, vous savez… Combien savent ce que c'est qu'une dépression ? Eh bien, c'est très bien. Vous savez, c'est une fosse qui traverse les bois. Et généralement l'eau se déverse et coule dedans. Et cela garde les feuilles humides.
20 J'ai dit : " Si nous avions une… " C'était dans un grand bois plat que nous chassions. Et j'ai dit : " Si nous pouvions trouver un endroit où il y a de très profondes dépressions entretenues par les sources, ai-je dit, nous pourrions y trouver facilement des écureuils. "
Et il a dit : " Oh ! je connais un tel endroit. "
J'ai dit : " Eh bien, allons-y. "
Et nous sommes montés dans la voiture et nous avons quitté notre campement. Et sur la route, il a dit : " Frère Branham, a-t-il dit, je voudrais vous dire, a-t-il dit, que vous feriez mieux de me laisser parler. "
J'ai dit : " D'accord. Je vous en prie, certainement. "
Et il a dit : "L'homme en question est un incroyant. Et, oh, c'est le plus dur de la contrée. "
J'ai dit : " Très - très bien. Eh bien, vous, prenez donc la parole. "
Alors - alors il a dit : " Je pense qu'il pourrait me reconnaître. " Monsieur Wood vient de cette contrée-là.
21 Nous nous sommes donc rendus à cet endroit-là. Et nous sommes allés tout au fond, nous avons roulé, traversant des champs, des gorges et gravissant des collines. Et je n'avais donc jamais été dans cette contrée-là. Et alors, quand nous sommes arrivés là à cet endroit, eh bien, nous nous sommes arrêtés devant une grande maison là au fond. Et deux hommes âgés étaient assis là dehors, des hommes bien avancés en âge, je pense qu'ils étaient dans les soixante-dix ans ; ils étaient assis à l'ombre d'un pommier. Nous nous sommes approchés. Monsieur Wood est descendu. Et j'ai entendu la vieille expression du Kentucky : " Entrez. "
Vous savez, c'est ainsi que les gens de l'Indiana sont appelés des hoosiers. Vous voyez ? Comment ont-ils reçu ce nom? Au départ, le Kentucky faisait partie du Sud. Quand on arrivait donc dans un foyer du Sud, là-bas dans le Sud et qu'on disait : " Bonjour ", on vous répondait : " Entrez. " Peu importe qui vous étiez, tant que vous marchiez, que vous ayez des souliers aux pieds ou pas, vous entriez de toute façon, vous étiez le bienvenu.
Mais quand on traversait la frontière pour entrer dans l'Indiana, les gens étaient un peu méfiants. Quand quelqu'un disait : " Bonjour ", on disait : " Qui est là ? " Ils veulent d'abord se rassurer. Je suis heureux d'être du Sud. Et pour ainsi dire, j'aime cela ainsi.
Et ainsi, il - il a dit : " Entrez. " Monsieur Wood s'est donc approché. Il a dit… a appelé l'homme par son nom. Il a dit : "Est-ce bien vous ? "
Il a dit : " Je suis cette vermine-là. "
22 Il a donc dit… J'ai vu qu'il était plutôt un vieil homme rude. Et j'ai dit… je suis resté dans la voiture. Et monsieur Wood a dit : " J'aimerais vous demander… " Il a dit : " Je voudrais d'abord me présenter. " Il a dit : " Je m'appelle Wood, Banks Wood. " Et il a dit : " Je chassait l'écureuil, et j'ai été par ici à un certain endroit. " Et il a ajouté : " C'est une forêt plane, et il fait très sec par là. Nous savions que vous possédiez quelques hectares ici où il y a des dépressions, et je me suis dit que je viendrais peut-être vous demander de me permettre de chasser. "
Le vieil homme cracha le gros morceau de tabac qu'il avait et dit - dit : " Es-tu le fils de Jim Wood ? "
Il dit : " Oui. "
Il dit : "Jim Wood ? "
Eh bien, ils étaient des témoins de Jéhovah, vous savez. David (je pense qu'ils sont venus ici ce matin. Ils vendent des livres là lors des réunions) - il avait une jambe recroquevillée. Et - et monsieur Wood qui était un témoin de Jéhovah était venu à l'une des réunions. Et avant que je ne quitte la salle, le Saint-Esprit m'a dit qu'il y avait là un garçon, et Il a dit : " Son père s'appelle Wood, ils viennent du sud du Kentucky. " Et Il a dit : " Il a souffert de la polio. " Et Il a dit : " Prononce la Parole ; il va marcher. " Et j'ai regardé tout autour pour voir une vision. Je n'arrivais pas à voir le garçon. Et j'ai continué. Au bout d'un moment, je l'ai repéré tout au fond. Je l'ai appelé par son nom ; sa jambe se redressa là. Vous voyez ? Alors il n'était plus témoin de Jéhovah.
Je… Par la grâce de Dieu, j'ai conduit chaque membre de sa famille (Son père est un lecteur chez les témoins de Jéhovah.), eux tous à Christ et au baptême du Saint-Esprit, et je les ai tous rebaptisés… Ainsi donc - ainsi donc, par des visions, selon ce que le Seigneur accordait, et j'annonçais des choses qui arrivaient.
23 Ainsi donc, il a dit : "Quiconque - quiconque est de la famille du fils de Jim Wood peut chasser partout où il veut. " Il a dit : " Sers-toi tout simplement. " Il a dit : " J'ai ici 500 hectares rien que des bois vierges. Sers-toi tout simplement. "
Il a dit : " Je suis accompagné de mon pasteur. Cela ne vous dérangerait pas qu'il vienne? "
Il a dit : " Wood, tu ne vas pas me dire que tu es tombé si bas, au point de devoir trimballer avec toi un prédicateur partout où tu vas ! "
Et il a alors dit : " Eh bien… " Il a dit…
Et je me suis dit qu'il était donc temps que je descende, vous savez. Je suis donc descendu de la voiture et j'ai contourné celle-ci, et j'ai dit : " Bonjour. " Et monsieur Wood s'apprêtait à me présenter. Avant qu'il n'ait eu le temps de le faire… Et oh, j'avais une longue barbe de deux semaines, du sang des écureuils sur moi, et je puais comme un putois. Je me suis avancé là, et j'ai dit : " Bonjour, monsieur. "
Il a dit : " Et vous êtes prédicateur ? "
J'ai dit : " Eh bien, j'aimerais bien l'être. Je… "
Et il a dit : " Eh bien, je… simplement,… Vous savez, a-t-il dit, je passe pour un infidèle. "
J'ai dit : "Il n'y a pas là de quoi se vanter, n'est-ce pas, monsieur ? "
Et il a dit - il a dit : " Non, je reconnais que non. " Il a dit : " Il y a juste une chose que j'ai contre vous autres. "
Et j'ai dit : " Oui, monsieur. Si ce n'est qu'une seule chose, c'est - vous êtes dans une très bonne position. " J'en ai rencontré qui avaient… J'ai beaucoup de chrétiens (ils sont supposés l'être) qui ont plus que ça contre moi. Ainsi, j'ai dit - j'ai dit : " Eh bien, c'est - c'est très bien. "
Il a dit : "Voici ce que j'ai contre vous : vous êtes toujours en train de hurler au sujet de quelque chose dont vous ne savez rien. "
J'ai dit : " Quoi par exemple, monsieur ? "
Et il a dit : " Vous parlez de Dieu, alors que ça n'existe pas. "
- Oh, ai-je dit, c'est ça ?
Il a dit : " Oui, c'est ça. "
J'ai pensé : " Ô Seigneur, aide-moi. "
24 Or, il y a juste deux manières d'approcher quelque chose, mes frères ; il y a la bonne manière et il y a la mauvaise manière. Je pense… Puis-je arrêter un moment ici avec mon histoire, pour dire que je pense que c'est là le problème que j'ai, ainsi que beaucoup d'entre nous, frères. Nous avons ici un produit magnifique, mais nous approchons très mal le public avec cela, en nous faisant des isolationnistes. Vous voyez ? Le produit se vendra tout seul. Vivez simplement la chose. Vous voyez ? " Vous êtes le sel de la terre. " Et le sel, aussi longtemps qu'il a de la saveur, il conserve quand il entre en contact. Mais s'il perd sa saveur, peu importe combien fort nous pourrions crier ici, et combien nous pourrions sautiller, il faut qu'il y ait ici une vie qui confirme cela.
25 J'ai donc regardé le vieux gentleman ; j'ai pensé : "Ô Seigneur, le pauvre vieil homme, il a travaillé durement par ici sur cette vieille terre. Mon papa, s'il était encore en vie, aurait à peu près cet âge. Or, il suffirait que Tu m'aides à dire un petit quelque chose ici, et sans doute, cela aiderait ce vieil homme à voir." Et j'en ai vu beaucoup qui se disent des infidèles, et je me suis tenu auprès de certains d'entre eux au moment où ils s'en allaient. Ils ne sont pas des infidèles. Ils hurlent tout simplement. Voyez-vous ? Et ainsi… Il s'agit là de l'expression de la rue, mais c'est comme ça que vous pouvez bien comprendre cela : hurler, laisser échapper la pression.
Et j'ai dit : " Eh bien, c'est une… C'est, bien sûr, ai-je dit, c'est une opinion, bien sûr. "
Et nous sommes restés là un instant. Et nous nous tenions sous un pommier. Il a dit : " J'ai assisté à ces réunions, ils sont tout simplement comme des chiens trompeurs. " Il a dit : " J'avais autrefois un vieux chien trompeur, et je l'ai abattu. " Il a dit : " Je le suivais chaque nuit. Je le faisais sortir par ici et il aboyait, et il allait là… Et il était supposé être un chien de chasse au raton laveur. " Et il a dit : " Le raton laveur était sur l'arbre. " Et il a dit : " Alors, la première chose, vous savez, il aboyait à cet arbre comme cela, et moi, j'allais par là, en braquant la torche partout. Le raton laveur s'était déjà sauvé par le sommet de l'arbre. "
26 J'ai dit : " Mais, monsieur, après tout, le raton laveur était là. Lui n'était qu'un chien. " Vous voyez ? J'espère qu'il a saisi ce que je voulais dire, et je suis sûr que vous aussi.
Alors il a dit : " Je l'ai donc abattu. " Et il a dit : " Je ne - je n'aime pas tout ce qui trompe. Et je pense que lorsqu'un homme parle, il devrait savoir de quoi il parle. "
J'ai dit : " Je suis certainement d'accord avec vous. "
Il a dit : " Il y a un prédicateur que j'ai entendu, si jamais j'avais l'occasion de voir cet homme… "
Il a dit : " Je ne l'ai jamais entendu, mais j'ai entendu parler de lui. Si jamais j'avais l'occasion de voir cet homme, je vais l'entendre. "
Et j'ai dit : " C'est très bien. "
Il a dit : " Il est venu à un petit endroit par ici qu'on appelle Acton. C'est un camp méthodiste. " Et frère Wood m'a regardé, et j'ai secoué la tête.
Il a dit : " La vieille soeur Unetelle est ici sur la colline. J'oublie son… (Il ne l'a point appelée sa soeur - Madame Untel) elle a environ soixante-cinq ans. " Il a dit : " Elle se mourait d'un cancer de l'estomac. " Et il a dit : " Elle avait fait venir ici des médecins de Louisville. " Et il a dit : " Ils ont là-haut une belle ferme. " Et il a dit : " Ils avaient de quoi payer pour cela. On l'a amenée à Louisville pour qu'elle subisse une opération. Cela n'a pas fait le moindre bien. On l'a ouverte, puis on l'a suturée. Le cancer l'avait déjà complètement envahie. "
27 Il a dit : " Elle se mourait progressivement ici depuis plusieurs mois. " Il a dit : " Finalement, cela en est arrivé à un point où elle était en très mauvais état et je… (Excusez-moi, mon frère, ma soeur.) Il a dit qu'ils… (Je vais tout simplement le dire dans ses propres termes.) Elle n'était même plus en mesure de se mettre sur le bassin hygiénique. On ne pouvait même plus en placer un sous elle, on ne pouvait même pas la soulever à cette hauteur. On devait utiliser une alaise, un drap en caoutchouc, et donc une alaise. "
Il a dit : " Mon épouse et moi, nous montions là-haut chaque matin pour faire - mon épouse faisait son lit. Et j'aidais à retirer les draps sur lesquels elle était couchée et ainsi de suite. " Et il a dit : "Elle était simplement… Le médecin avait dit qu'on lui administre un peu de morphine ou quelque chose comme ça, pour la garder autant que possible à l'aise jusqu'à ce qu'elle meure. " Il a dit : " Elle avait environ deux semaines à vivre. "
28 Et il a dit : " Un prédicateur de l'Indiana est venu ici et il avait - ici au camp méthodiste. " Il a dit : " Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées là-bas et elles disaient qu'elles étaient venues entendre ce prédicateur. " Et il a dit : " Et ce soir-là, a-t-il dit, pendant qu'il prêchait, a-t-il dit, la soeur de cette femme était assise là derrière, il s'agissait de madame Untel qui habite ici sur l'autre corniche. " Et il a dit : " Ce prédicateur était censé avoir quelque chose tel qu'il pouvait dire aux gens ce qu'ils avaient fait, pourquoi ils étaient malades et tout à ce sujet. " Et il a dit : " J'en avais entendu parler, mais, naturellement, je ne croyais pas dans une chose aussi originale. "
Et il a dit : " Mais, de toute manière, ce soir-là cette femme était assise dans la réunion. Et pendant que le prédicateur parlait, il s'est tourné vers cette femme, et elle était assise au fond de la salle. Et il a dit : 'Quand vous avez quitté chez vous ce soir, Madame Untel, là au fond, a-t-il dit, vous avez fait sortir d'une commode un petit mou… bleu - un petit mouchoir ayant un motif bleu au coin, et vous l'avez mis dans votre sac à main.' Et il a dit : 'Vous priiez là au fond pour votre grande soeur qui se meurt, elle s'appelle Unetelle, elle vit ici sur la colline.' Il a dit : 'Le Seigneur a entendu vos prières. A présent, prenez ce petit mouchoir et posez-le sur votre soeur, et le cancer va la quitter.' "
29 " Eh bien, a-t-il dit, vers - près de minuit cette nuit-là, j'ai cru qu'on avait amené l'Armée du Salut là sur le flanc de la colline, tant il y avait des hurlements et des cris. "
Je ne voudrais pas embarrasser qui que ce soit, mais c'était Ben, qui est assis ici, frère Ben. Vous connaissez son cri habituel d'amen, il le lance chaque soir dans les réunions là-bas, et cela secoue l'endroit. Frère Ben avait amené la femme là sur la colline, chez sa soeur, et avait posé le mouchoir sur elle, et Ben croyait cela. Il s'est donc simplement mis à crier avant que cela ne se produise. Il avait donc simplement devancé la chose. Ainsi frère Ben…
Il a dit : " J'ai pensé que cette femme était morte. Eh bien, a-t-il dit, c'était autour de minuit. Ainsi, le lendemain matin, a-t-il dit, mon épouse et moi nous sommes montés là-bas. " Et il a dit : " Vous savez quoi ? " Il a dit : " Cette femme était debout, préparant son petit déjeuner, mangeant une tourte aux pommes frites."
30 Combien parmi vous autres rebelles [Terme pour désigner les habitants des Etats du Sud des USA qui s'étaient rebellés contre le Gouvernement Fédéral lors de la guerre civile - N.D.T.] savent ce que c'est qu'une tourte aux pommes frites ? Oh ! la la ! j'aime vraiment cela. J'aime mettre de la mélasse dessus. Vous voyez ? Je - je - je ne suis pas un méthodiste, je suis un baptiste, j'aime baptiser cela avec de la mélasse, vous savez, j'en mets beaucoup dessus, ensuite je les mange, avec du beurre chaud, et hmmm !
Ainsi donc, quand… " Elle mangeait ces tourtes aux pommes frites. " Et il a dit : " Cela a vraiment failli nous faire tomber à la renverse, mon épouse et moi", et il a dit : " Si vous ne croyez pas cela (montrant du doigt), a-t-il dit, je vais immédiatement vous amener là-haut et vous la montrer maintenant même. Elle est… "
Et le vieil homme qui était là a dit : " C'est vrai, ça. " (L'autre vieil homme.) Vous voyez ?
Et j'ai dit : " Oh, je vous crois. "
Il a dit : " J'ai appris que cet homme va venir ici à Campbellsville, au stade. " Et il a dit : " Je vais aller l'écouter. Et je vais lui parler. "
J'ai dit : " Oui oui. "
Et il a dit : " Et je vais lui demander quelle est cette chose qui pouvait lui parler au sujet de cette femme, et savoir qu'elle allait se rétablir. " Et il a dit : " Eh bien, je ne comprends tout simplement pas cela. "
31 "Oh, ai-je dit, c'est vraiment phénoménal. " J'ai dit : " Ça l'est certainement. " Et j'ai pensé : " Ô Seigneur, aide-moi maintenant, pour la chose suivante que je dois dire. " Et je me rappelle que ma vieille mère me disait : " Donne à la vache assez de corde, et elle s'étranglera toute seule ", vous savez. C'est donc tout simplement un très vieux diction du Sud qui est vrai. Je me suis dit que j'allais simplement voir à quel point la chose l'intéressait vraiment. J'allais le faire sortir du sujet. J'ai dit : " Cela vous dérangerait que je prenne une de ces pommes ? "
Il a dit : " Les guêpes les mangent toutes. Je pense que vous pouvez en prendre une. "
Vous savez ce qu'est une guêpe ? Elle suce simplement les pommes. C'était vers la mi-août. J'en ai cueilli une et je l'ai frottée sur mon vieux pantalon sale et couvert de sang, et j'en ai pris une bouchée. J'ai dit : " Oh ! la la ! c'est délicieux. "
Il a dit : " Oh oui. C'est délicieux. "
J'ai dit : " Combien - combien de temps… Quel âge a cet arbre ? "
" Eh bien, a-t-il dit, c'est moi qui l'ai planté. "
J'ai dit : " Oh ! "
32 Il a dit : " Il a environ quarante-huit ans. " Il a dit : "Voyez-vous la vieille cheminée qui se dresse là sur la colline ? " Il a dit : " C'est là que je suis né. " Il a dit : " Et… moi, quand mon père est mort… " Il a dit : " Nous avons bâti cette maison-ci par ici. " Il a dit : "Alors, j'ai déménagé vers ici, et tous mes enfants sont nés ici. " Et il a dit : " Je vis ici depuis lors. Et j'ai planté cet arbre là, c'était un tout petit arbre. Et je - j'ai simplement grandi avec cet arbre. "
" Oui, oui. Je vois. " J'ai dit : " Je vois que toutes ces pommes sont en train de tomber. "
Il a dit : " Ouais, ouais ! "
J'ai dit : " Les feuilles tombent. "
- Oui, oui.
J'ai dit : " C'est étrange, n'est-ce pas ? "
Il a dit : " Que voulez-vous dire ? "
J'ai dit : " Vous savez, nous n'avons pas eu de gel, et déjà les feuilles tombent. " Et j'ai dit : " C'est la raison pour laquelle nous sommes venus ici pour chasser dans les dépressions. Les feuilles tombent des arbres. " Et j'ai dit : " Je me demande pourquoi elles tombent avant qu'il n'y ait de gel ? "
- Oh, a-t-il dit, elles - elles tombent avant qu'il n'y ait de gel.
Et j'ai dit : " Oui, oui. " Et j'ai dit : " Qu'est-ce qui les fait tomber ? "
Il a dit : " Eh bien, la - la vie les a quittées. "
J'ai dit : " Je vois. Et où est-elle partie, la vie ? "
Il a dit : " Elle est redescendue dans l'arbre-dans la racine de l'arbre. "
" Oh, je vois, ai-je dit, autrement dit, si cette feuille restait là et que la vie restait là haut, elle garderait la feuille là. "
- Oh, oui.
Et j'ai dit : " Alors, la feuille tombe de l'arbre, et elle redescend dans la racine pour se cacher. "
- Oui.
J'ai dit : " Pourquoi y descend-t-elle ? "
- Eh bien, a-t-il dit, si elle reste là, l'hiver tuera le - l'arbre. La vie doit descendre dans la racine, dans le sol où il fait chaud, pour être préservée, afin de produire une autre feuille l'automne suivant.
- Oh, ai-je dit, je vois. Et chaque fois qu'elle remonte, elle vous amène un tas de pommes et ainsi de suite ?
- Ouais, c'est juste.
33 J'ai dit : " Eh bien, monsieur, j'aimerais vous poser une question. "
Il a dit : " Allez-y. "
J'ai dit : " Je vous prie de me dire quelle est cette Intelligence qui dit à cette feuille, avant qu'il y - ou plutôt à cette vie qui est là dans cet arbre, quelle est cette Intelligence qui dit à cette - à cette vie : 'Quitte ici en haut, et descends dans les racines, sinon tu vas périr' ? " Et j'ai dit : " Ensuite - ensuite, au printemps suivant, cela produit une autre feuille. " J'ai dit : " Eh bien, qu'est-ce qui fait qu'elle descende dans la racine de l'arbre ? "
- Oh, a-t-il dit, c'est la nature qui fait descendre l'eau.
J'ai dit : " D'accord. Si peut-être je plaçais un seau d'eau sur ce poteau là-bas. Vers la mi-août, cette eau descendra au fond du poteau puis remontera le printemps suivant. "
- Non, elle ne le fera pas.
Je - j'ai dit : " Pourquoi ne le fera-t-elle pas ? "
- Eh bien, dit-il, là ce n'est pas la nature.
J'ai dit : " Qu'est-ce que la nature ? Qui dirige la nature ? Pourquoi alors cela ne se fait-il pas pour le pin? [Sorte d'arbre dont les feuilles restent vertes toute l'année - N.D.T.] Elle [la vie] ne descend pas. Quelle différence - qu'est-ce qui fait la différence entre eux ? "
34 Le vieil homme a réfléchi un petit moment. J'ai dit : " Vous voyez, monsieur, ai-je dit. Il doit exister une Intelligence, car l'arbre n'a point d'intelligence. Il faut que quelque chose lui fasse faire cela. Ce n'est pas un dispositif mécanique. C'est une Intelligence qui fait descendre la vie dans la racine de l'arbre, ce qui correspond à la mort, l'ensevelissement et la résurrection. " Il avait vécu toutes ces années, mais il ne pouvait pas voir la vie.
J'ai dit : " J'ai… " Je suis missionnaire, et j'ai tout entendu (c'est à vous que je dis ceci) ; j'ai entendu toutes ces différentes conceptions : le bouddhisme, l'indouisme, différentes théories, mais elles sont toutes fausses. Le Christianisme est basé sur l'ensevelissement et la résurrection, pas la reproduction ; la résurrection. Il ne s'agit pas de susciter quelque chose de semblable ; la même chose qui était allée sous terre se relève, le même Jésus.
35 Si vous remarquez bien, Dieu rend chaque jour témoignage de notre vie. Le matin le soleil naît. A dix heures, il est dans son adolescence. A midi, il est dans toute sa force, et il se couche le soir. Est-ce sa fin ? Ce n'est que pour revenir : la naissance, la vie, la mort, la résurrection, continuellement ; Dieu rend témoignage par la vie.
L'arbre - la sève redescend dans les racines pour reproduire la vie l'année suivante. Nous sommes… Vous et moi, nous sommes suspendus à l'Arbre de la Vie. Nous sommes - nous sommes les fruits de cet Arbre.
Le vieil homme, après s'être tenu là un petit moment, a dit : " Je n'y avais jamais pensé. "
J'ai dit : " Vous n'avez pas répondu à ma question. Je veux que vous me disiez quelle est cette Intelligence qui contrôle cette vie qui est dans cet arbre pour qu'elle descende. Cette Intelligence peut parler à cette vie, pas l'arbre ; la vie (la vie qui est en vous. Voyez-vous ?), Elle contrôle cette vie, Elle la renvoie là en bas et la cache (comme l'a dit Job : 'Cache-moi… Si Tu voulais me cacher dans le séjour des morts. Garde-moi dans le lieu secret.'), et ensuite la ramène au printemps. " Et il n'a pas pu me donner la réponse.
36 J'ai dit : " La même Intelligence qui parle à cette vie qui est dans l'arbre en disant : 'Cache-toi si tu veux subsister', c'est la même Intelligence qui m'a dit ce qu'il fallait dire à cette femme-là pour qu'elle vive : croire. "
Il a dit : " Ce n'est pas vous ce prédicateur-là ? "
J'ai dit : "Si, si. C'est moi. "
Ce jour-là, là sur place, avec une simple petite histoire… Je sais qu'il se fait tard, je suis vraiment… J'aurais dû être déjà en route. J'ai… Ce n'est pas tout. Et là même, ce jour-là, avec juste une toute petite chose pour que l'homme voit la vie, je l'ai conduit à Christ.
L'année passée, j'y suis retourné et sa veuve se tenait sur la porche quand je suis arrivé. Elle m'a reçu. Avec ses mains étreignant les miennes, elle a dit : " Frère Branham, il est mort dans la foi dans le Seigneur Jésus. Il est parti. "
37 " Celui qui croit au Fils aura… peut voir la vie. " Ce n'est donc pas difficile pour nous de voir qu'il y a quelque chose qui contrôle notre vie. C'est ce que nous sommes venus chercher ici : la vie, et cette vie en abondance. Et je prie Dieu ce matin pendant ce petit déjeuner, que nous ayons la vie en abondance. Et Celui qui peut parler à l'arbre par Son Intelligence, et l'arbre obéit automatiquement à l'appel du Maître pour se cacher, s'il veut vivre… Et je connais un autre merveilleux endroit où se cacher pour préserver la vie. Cachons-nous-y simplement ce matin, pas sous un abri contre les bombes, mais cachons-nous sous Ses ailes. Prions.
38 Notre Père céleste, oh, nous savons cela aujourd'hui, même à présent, que nous sommes tout simplement enveloppés de la vie. Nous sentons cela. Nous voyons le soleil se lever, se coucher. Nous voyons les fleurs s'épanouir. Et puis le gel les frappe, il y a une procession funèbre, les pluies d'automne, ces grosses larmes de pleurs tombent et les ensevelissent. Elles reposent dans la tombe et pourrissent. Mais ce n'est pas leur fin. Tu as préservé leur vie.
Et alors, aussitôt que le soleil, s-o-l-e-i-l [S-u-n, en anglais - N.D.T.], commence à se lever, peu importe si un gros rocher a été placé au-dessus de cette semence, ou si un béton mesurant des mètres de volume a été coulé dessus pendant l'hiver, là où cette semence a été ensevelie, quand ce soleil chaud qui contrôle la vie végétale commence à réchauffer la terre, cette semence sort. Nous voyons que l'herbe la plus touffue que nous avons est juste sur le bord du sentier. C'est la semence qui avait été ensevelie là en dessous. Cela ne peut pas cacher la vie. La vie doit sortir. Nous pouvons la placer dans un panier et l'enterrer au fond du panier, suspendre ce panier à un arbre. Malgré tout, la petite vie va pousser, à la gloire de Dieu.
39 Ô Dieu, puissions-nous ne pas avoir l'esprit si borné, si étroit, mais puissions-nous tout simplement regarder autour de nous et voir Dieu partout. Et à combien plus forte raison nous pouvons Le voir ce matin dans Ses aimables enfants, tandis que nous communions ensemble ici en Jésus-Christ, qui est la Vie. Que chaque pèlerin, ô Seigneur… Nous ne sommes pas de ce monde ; nous sommes pèlerins et étrangers ; nous sommes des voyageurs. Et en tant que des voyageurs de la Georgie, du Canada, du Texas, de partout, réunis ici dans ces petits endroits pour échanger nos idées, et donner nos témoignages de Sa gloire, puissions-nous partir de cette réunion avec la Vie Eternelle en abondance, afin que nous puissions apprendre aux autres comment trouver cela. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Merci.
[Quelqu'un dit quelque chose à frère Branham - N.D.E.] Oh, c'est OK.
40 Merci. [Espace vide sur la bande - N.D.E.] On me considère comme un isolationniste, mais je ne le suis pas. Vous voyez ? Je - j'aime la communion. Et voici que c'est moi qui vais tenir la réunion là-bas, je m'empresse d'y aller. Vous avez tous la Vie Eternelle, croyez donc simplement cela. Mais ici, c'est juste un petit endroit où les gens se mettent à parler avec vous. Vous voyez ? Et s'il y a quelque chose qui cloche, cela commence à vous déranger ; vous percevez cela. Et quand vous faites cela, alors (vous voyez ?) cela me met encore en pièces pour la soirée. Vous voyez ? Et je suis sûr que les chrétiens comprennent cela.
Ce n'est pas - ce n'est pas que je ne vous aime pas. Oh ! la la, n'eût été vous, que serait mon ministère ? Et ceux qui sont là-bas ? Peu importe combien ce ministère est grand, il ne peut être grand que si vous le rendez grand. Moi-même, je ne peux pas faire cela. Il faut vous et moi ensemble pour le faire. Voyez-vous ? Par moi seul, il n'est rien ; par vous seuls, il n'est rien. Mais quand nous sommes ensemble, le Seigneur manifeste Son ministère. Si vous n'aviez pas cru cela, cela ne se serait jamais produit. Il faut que vous croyiez cela. C'est donc ce qui fait que la chose se produise, quand vous croyez cela. Que Dieu vous bénisse.
E-1 And I... We were setting here talking one with the other, Brother Thomas, and I, and Brother Rhodes, that I've just had the privilege of meeting. And we were just having a... You know how we have a little sense of humor...?... to kinda what I was going to speak about this morning when I was here, but I haven't got time of, "Letting Off Some Steam." So that's the only way we have of letting off steam, is when we have a--a little sense of humor.
And a godly, saintly old brother that's just went on to glory that most all of us are acquainted with, was Brother F. F. Bosworth. And he always had a great sense of humor. I used to be a little reluctant about watching and listening, because I want "Yea, yea," and "Nay, nay." When I seen this godly old man and the sense of humor he had, then I seen other great servants, Brother Vayle, and these other brethren here and all of them, when they get together they had a little sense of humor, and I thought, "Well, maybe that's just a--a tradition of this last day amongst ministers."
And then I was reading in the pre-Nicene Council, and the Nicene fathers and so forth, of some of those great servants of Christ in bygone years, and they had sense of humor. And you know, I finally come out to find out that God's got a sense of humor. So...
E-2 And talking of fellowship, I was thinking one that Brother Bosworth used to say. He said to me; he said, "Brother Branham, you know what fellowship is?"
I said, "Yes, I believe I do."
He said, "It's two fellows in one ship." So that's what... You can be pretty close together there, you know, so that's fellowship. And this is certainly a great time of it, of fellowship.
Now, I had... As I--you get a little older, I--I don't think as fast as I did when I was a young man like Brother Parker here. I... He was talking awhile ago, and said he was always telling his wife she's getting old and he's getting young, and so forth. And I try that at home too, but it don't work very good. Well, know whether you can make it work or not... But--but however, when I told him just--there's just ten years difference in our age, I said, "You come on up the road ten more years, and instead of pushing that Bible away like that you'll have to be looking through a few glasses when--when you get a little older."
E-3 And so, we're very pleased with this meeting and its results. And I was having a little time... Brother Parker here was explaining to me some of the--the Scriptures, and I know what you all are going through with down there at the--at the building, down at the Tabernacle, of this teaching of the Scripture. And how, what a humble, sweet way he approached it, to tell me about some things; which I told him, as soon as he got it on some paper, let me have it so I could set down, study on it. And I--I like that approach (don't you?) to somebody, that don't try to poke something down you, but just let it be humbly and sweetly.
E-4 The other... Some days ago I was talking to a group of brethren who had--of a certain denomination; they were really pulling me through the coals. And they said, "It's ridiculous to preach Divine healing." Oh, my. They knowed all the Book, you know, and said, "Why, that days is gone a long time ago."
I said, "Well, somewhere, brother, it's returned again, because I--I sure am..."
And they were telling me that, about I should not have tried to preach without having an education, without going to Bible school and learning something. And I--I just waited till they got finished, and I said, "You know," I said, "I tell you. You brethren really must have a great time." I said, "You know, in all my errors and mistakes, and He--He loves me the way He does, and I just can't hardly stand it sometimes." I said, "Wonder them that's in the truth, wonder how he--they can ever stand it then, you know, so loving it like that." I said, "It's just speak..." In--in all this error that we are supposed to be in, you know, and if He loves us this much, how about those who really have the truth? I imagine they really have a time, don't you think? So we'll just remain as we are until He shows us our error. And then, we'll move on up into what they think is the truth; if He says it is, and His Word declares it.
E-5 And so... But in a group like this it's the closest place to heaven that there is on earth. When here we are setting together this morning, we are already dead; that job's done over. And we are--we are buried. That's right, all buried. And then we are... not only that, but we are risen again. We're raised and in Christ in His resurrection. We're part of it. And now we're assembling together in heavenly places in Christ Jesus. See? We are in Him by baptism. See? By one Spirit all baptized in one body, and here we are now assembled, the body of the Lord Jesus.
E-6 And now, your services starts in about thirty minutes, or thirty-five minutes. And if I would try to use this text of Letting Off The Steam, we'd be letting it off till noon, and I guess they'd be--be letting off right. But I thought maybe I would just take a little testimony of something, and--and so we can get back to the church.
I'd love to be there and set under the teaching of these great servants of Christ, Brother Vayle, brother up there, and our precious Brother Parker, and Brother Iverson, many of the other brethren here, and would like to hear them. He was telling me the order of the meeting, "letting the Spirit move." I like that. And then the next man that raises up carries that on in harmony. Now, that's the Holy Spirit. That's right. But when you find out someone comes in contradictory, then that breaks that--that time of fellowship. It breaks the... See, there's something wrong in that.
E-7 Now, I told Brother Parker as he graciously invited me one time, maybe--maybe next year if the Lord tarries, might come back and I'd like to go down and--and have a day just to set with the brethren and talk of my own personal experience, of how meeting the Spirit itself.
You can't talk out before the world out there those things. If you say something (I've watched it.), you just speak a word, and one will take it and lean this way with it; and the other one take it and lean that way with it. And the first thing you know, it's altogether off of the subject altogether than what... And then it gets out amongst the people, and some said, "Brother Branham says this." And that... Well, it's not only to me; it's with any brother like that. So just to set together with ministers, where you have the privilege of raising up... And that's what makes you pure, is when you can set down and listen, and divide your--your thoughts together.
E-8 Now, I appreciate all this wonderful time. I do solicit your prayers as I go on in... I've got to go now down south from here to Columbia, and then hurry right home. I get home Wednesday night, leave Thursday morning. I get home Wednesday night, nine, ten o'clock. I leave about four o'clock Thursday morning to go to the west coast to begin services at the Cow Palace. And from there... That's the great livestock--western Livestock Exhibit at Southgate, California. And then we go from there on up into Grass Valley, and that's near--up towards Nevada. And then on to the--up into the World Fair state this year, and then on into Canada. And we're kind of scheduled, waiting to see--get to California from--going on into Alaska from there. So pray for me.
E-9 And I appreciate you, Brother Parker and his great love, and at inviting me to come here to his convention, and the privilege of turning me loose on the platform to say whatever God would put on my heart to say. I appreciate a godly man. And, brother, sisters, I thought this morning just talk to you from my heart. There's not too many doors open for me. And I... Not holding this against my brethren, not at all, but I believe sometimes that... It's just like I said. The people take the wrong attitude and lean this way and that way with it, and it causes confusion among the brethren. And I can see they're shepherds, and can understand it. 'Course, I've been expecting it, and I believed that it would. And I have convictions of my own, as every minister does. I try not, amongst congregations, to try to sow a discord, because that's one thing God hates, is discord among brethren.
E-10 But when I'm out in the meetings, I--I try to hold just the great (I'd call it, I guess)--great fundamental, evangelical teachings and doctrines of the Bible, the fundamental, he personal appearance of Jesus, and the physical death, burial, resurrection, ascension, and return, and so forth. I just teach those things: Divine healing and so forth, which... All of us full Gospel people surely agree upon that. And I want you to, brethren, to know that the tapes that I teach in my own church got out among you, and so forth, among your congregations, and I have my own convictions. And--and, of course now to back down on my conventions--convictions, I wouldn't do it, because I'd be a hypocrite. See? I--I'd be a hypocrite to do that. So I--I do believe what I taught on the tapes. I believe every Word of it. I would not feed the people the wrong thing. And if I'm wrong, and I--I pray that God will forgive me for it, because it's the best of my understanding.
E-11 And so... But to invite me here and to have this ministerial, fine group of ministers setting here this morning, godly men... And I was at a... A gracious brother not long ago (and sisters, excuse me)... I was at Phoenix, and a most glorious meeting with a precious brother who I love. And he called me to his room. He was deeply sincere, and he said, "Brother Branham," he said, "you know I love you."
And I said, "Thank you, my brother. I certainly love you."
And he said, "You know, we feel like that your ministry has kind of been a great cream of the crop."
I said, "Oh, don't say that." I said, "It's... I don't... That's not right." I said, "I just followed the Lord, and you've done the same. So we're all..." I said, "Look how He's blessed you, beyond what He ever has me, and the great things that He's given you." I said, "He never done those things to me." And I said, "You have to take lots of money. And I never did take up money, because I guess He would... You know, He--maybe He couldn't trust me with it. See?" And I said, "I... Another thing," I said, "My little ministry--I couldn't go to little bitty places like..." Just recently held a meeting where I only held twenty people; but the Lord led me there. And I--I want to go where He leads me; I don't need money. See? And I--I just want to go wherever I feel led to go.
E-12 And the other day, even in the midst of all this trouble, I looked over our books, and it's three hundred or better major cities in the United States calling for me to come to them; so--besides the foreign fields. So I was... This brother said, "Well, here's what I want to tell you, Brother Branham." He said, "You--you are... You're too radical."
I said, "Well, I'm an Irishman by--by birth, the first birth; a Jew by second." And I said any way, I said, "Then, you know that, mix that together," I said, "hard telling what you would have." And I said, "Maybe," I said, "I'm--I am just actually radical, I guess. It's just my nature to be that way. I just go wholehearted. When I think anything's right, I just sell out everything I got to it. You see?" I said, "That's the way it was with Christ, to me."
"And now, my people before me, back, was Catholic," and I said, "from Ireland--all come from Dublin." And I said, "Then they, that... I heard about when I was a little boy, the things that happened. There was a call in my life."
E-13 "And then the Catholics said, 'We are the church,' and it shuts the rest of them out. And I go to the Lutheran; they say, 'We are the church,' and it shuts all the rest of them out." And I said, "About six, seven hundred, or maybe nine hundred different denominations, how we going to know what's right? So I just got to the Bible. And I just stay with the way I read it, and just keep it like that."
And he said, "Well, here's one thing." Said, "You're always hammering at them women." He said...
I said, "I am jealous of them."
And he said, "You tell them how they must dress and all about they're too sexy, and--and they shouldn't wear those clothes, and those shorts; and quit cutting their hair and all these other things you said." Said, "You hammer at that." He said...
"Well," I said, "that's in the Scripture."
So he said, he said, "Well, I know it too."
I said, "Don't you believe that, being a Pentecostal minister?"
He said, "Yes, but," said, "Brother Branham," he said, "the people believe you to be a prophet."
I said, "No, I'm not."
He said, "But they believe you that way." He said, "And you should be teaching those women how to receive great spiritual gifts and things like that." And said, "Then--then the--the church would be better off."
I said, "Brother..."
He said, "If you're deeper with God, teach the people deeper with God."
I said, "How can I teach them algebra when they won't even listen to their ABC's like that?" See? I said, "How, when I say...?... So that's just about..."
E-14 He said, "Well, Brother Branham, can I do something for you?" He said, "I believe if you would just leave that off, and just go ahead and pray for the sick, and I--and--and let it go... God called you to pray for the sick."
I said, "That is true."
He said, "Then, just leave it go at that." See? "Just leave it go and pray for the sick."
I said, "But what about this other?"
He said, "I don't believe that either." But said, "You know what? If I said something like that, why," said, "they would this, that..."
I said, "There you are. See? Yes, there you are," See? I said, "If we don't stand for it, then who is going to? See? This generation's got to be judged." And I said, "Then it's got to come from somewhere."
He said, "Well, I'll tell you what I'll do. Will you permit me to lay my hands upon you and pray that God will open your eyes to truth?"
I said, "I will under one condition. If you'll let me return the compliment."
Said, "Very well." So we prayed for one another. I--I hope it helps me a whole lot. I certainly do. I hope that--I hope his prayer helps me, because I, if--I--I--I want to be helped. I'm here for that purpose.
E-15 Now, it's just now twenty-five minutes until your service starts. But let me just read one Word out of the Bible here, and just talk, or give a testimony, and then we will go. Matthew 5:8 or, let's see, I believe I'll read more than that. I've got something else want to read. It just comes on my mind, if I can find it now, just where it was at. If I believe I can, I'm not too sure of it. I've got to read something here out of St. John. Yes, I want to read it from here, St. John, the 6th chapter. Let's begin about about the 6th chapter and the 36th verse.
But I said unto you, That ye also have seen me, and believe not.
All that the Father giveth me shall come to me; and him that cometh to me I will in no wise cast out.
For I came down from heaven, not to do my own will, but the will of him that sent me.
And this is the Father's will which hath sent me, that of all which has--he hath given me I should not lose nothing, but should raise it up again at the last day.
And this is the will of him that sent me, that every one which seeth the Son, and believeth on him, may have everlasting life: and I will raise him up at the last day.
Jesus... (Pardon me.)... The Jews then murmured at him, because he said, I am the bread which come down from heaven.
And they said, Is not this Jesus, the son of Joseph, whose father and mother we know? how is it then that he saith, I come down from heaven?
Jesus therefore answered and said unto them, Murmur not among yourselves.
No man can come to me, except My Father which hath sent me draws him: and I will raise him up at the last day.
It is written in the prophets, And they shall all be taught of God. Every man therefore that has heard, and has learned of the Father, cometh to me.
Not that any man has seen the Father, save he which is of God, he hath seen the Father.
Verily, I say... Verily, verily, I say unto you, he that believeth on me has everlasting life.
I am the bread of life.
E-16 I was just thinking while I was setting here at the table, and my little context of a text that I had wrote out there, "Letting off Steam"... I thought this morning, "What causes people to drive..." I got a friend here that's come all the way from Texas, and--and across the country. I got friends setting here from Canada. And we got friends from all around in this little group of people this morning. Some of us are ministers, some are workmen, housewives, and so forth. And what is the purpose of us assembling together?
And many of you all come each year to hear our precious brother and his teaching. And many of you read his articles. And I've read them, and I think they're profound. Always, Billy, who's our secretary of the campaign, saves that "Midnight Cry" for me each time, because I like to read Brother Parker's, his approach to the Scripture. And you read it, and you--you think of it. Then when the meetings are, we assemble together. It's because that there's something inside of us that longs to--to hear more, to--to--to get a hold of something. It's life. There is no greater word that we could think of this morning than life. "He that believeth not on the Son shall not see life."
E-17 How blind a person must be that can't see life. And think that many people doesn't see life. Now, we might see it, but the word "see" doesn't mean to look at; the word "see" means "to understand it." Now, Jesus said to Nicodemus, "Except a man be borned again, he cannot see the Kingdom." Now, in otherwise, you be looking at something and you say, "I don't see it"; you mean you don't understand it. "To see,' what we call see, that's "to look at." But "to see" in Bible terminology is "to understand what we're looking at, to be revealed." And we assemble together like this that Christ might be revealed among us. That's what the conventions are held for. And such a great thing as life...
E-18 I was thinking of a testimony, that I might give at this time, just to take up another ten, fifteen minutes. I preached one time, maybe here (I've preached it several places.) on "Show Us The Father And It Will Sufficeth Us," and to see God all around us.
An old man used to live down on the river. He's gone on now. And he was an old fisherman. His little boy used to go up the river and fish with him. The little fellow... One day coming down the river, he'd... The rain had come and washed out the skies from the dust and all the leaves off the trees, and a rainbow came out in the--in the west, or in the east. They were going westward down the Ohio River. And the old fisherman begin--great big tears running down his cheeks as he watched the rainbow. And the little fellow was so enthused. He got up to the boat, to the middle of the boat, and he said, "Sir, I want to ask you a question." Said, "My pastor cannot answer it, my mother, my Sunday school teacher." Said, "If God is so great," said, "why can't one see Him?"
And the--the old fellow, overcome by the little fellow's expression, put his arms around him. He said, "Bless your heart, honey. All I've seen for fifty years has been God," See? He could see God, see life. God is life. Life is God.
E-19 A few--about two years ago, my good friend, setting in here somewhere, and I, were down in Kentucky squirrel hunting, letting off steam from the meeting. And we'd been camped out, and I was dirty. And this is awful rude to make an expression like this before brethren... I hadn't had a bath in two weeks. And so--so I was really pretty--well, I needed one pretty bad. So... But Brother Wood and I, he needed it as bad as I did, so we just didn't notice each other when... So we... It got awful dry back in the woods, and our beard out on our face, and so we went to...
The squirrels, they... Tramping on the brush, why, they can hear you. And, oh, my. Houdini, an escape artist, has nothing on them little fellows. And down there when they get by--shot at anyhow, they get wild. They just escape. And he said... I--I said, "Brother Wood, if we could find a place that had some hollows..." Wonder if these brother, you know, how many knows what a hollow is? Why, that's all right. It's a, you know, a ditch goes down through the woods. And usually there the water drains out and runs down. And it keeps the leaves wet.
E-20 I said, "If we had some..." This was a big flat woods we were hunting in. And I said, "If we could find a place had some big deep hollows where the springs keep it," I said, "we could find squirrels better."
And he said, "Oh, I know such a place."
I said, "Well, we'll go."
And we got in the car and left our camp. And on the road over, he said, "Brother Branham," he said, "I want to tell you," said, "you better let me do the talking."
I said, "All right. You're sure welcome."
And he said, "This man is an infidel. And oh, he's the rankest in the country."
I said, "All--all right. Now, you do the talking then."
So--so he said, "I think he might know me." Mr. Wood was from down in that country.
E-21 So we went on over to the place. And we drove way back through the fields, and down through the gaps, and up over the hills. And so, I had never been in the country. And so, when we got over there to this certain place, why, we stopped at a big house back there. And there was two old men setting out there, pretty well stricken in age, I guess in their seventies, setting under an apple tree shade. We drove up. Mr. Wood got out. And I heard the old Kentucky expression, "Come in."
You know, that's how they call the Indiana people "Hoosiers," See? How they got that, in the early days, in Kentucky that was in the south. So when you come up to a southern home down there in the south they'd say, "hello." You'd say, "Come in." No matter who you was, long as you was walking, had shoes on, or if you didn't have shoes on, come in anyhow; you're welcome.
But when you got across the line in Indiana they was a little suspicious. Say, "Hello." They said, "Who's there?" They want to know first. I'm glad I'm a southerner. And I kind of like it that way.
And so he--he said, "Come in." So Mr. Wood went up. He said... called the man by name. He said, "You are he?"
Said, "I'm that varmint."
E-22 So he said... I seen he was rather a stern old fellow. And I said, set in the car. And Mr. Wood said, "I would like to ask you..." He said, "First I want to introduce myself." He said, "My name is Wood, Banks Wood." And he said, "I was squirrel hunting, and I've been over here on a certain place." And he said, "It's flat woods, and it's got so dry over there. We knew you owned some acreage here that had hollows, and thought, maybe I'd come over and ask you, and you'd let me hunt."
The old man spit his big chew of tobacco out and he said--said, "Are you Jim Wood's boy?"
He said, "I am."
He said, "Jim Wood?"
Now, they were Jehovah Witness, you know. David, he (I guess they've got in here this morning. They sell books there at the meeting.)--his leg had been drawed up under him. And--and Mr. Wood, being a Jehovah Witness, had come to one of the meetings. And before I left the building the Holy Spirit had told me there'd be a boy there, and said, "His father's name will be Wood, and they're from southern Kentucky." And said, "He's got polio." And said, "Speak the Word; he will walk." And I looked all around to see the vision. I couldn't see the boy. And I went on. After while I spotted him way back in the back, called his name; there come his leg straight. You see? So he was no more Jehovah Witness.
I... By the grace of God, I've led every one of his family (his father a reader in Jehovah Witness) all to Christ and the baptism of the Holy Spirit, and rebaptized all of them... So then--so then, by visions, what the Lord would give, and say things that would take place.
E-23 So then, he said, "Anybody--anybody that's relation to Jim Wood's boy can hunt anywhere he wants to." Said, "Just help yourself." Said, "I have five hundred acres here of all virgin timber. Just help yourself."
He said, "I got my pastor along with me. You won't mind if he goes?"
He said, "Wood, you don't mean to tell me you got low enough down till you have to carry a preacher with you wherever you go."
And so he said, "Well..." said...
And I thought it about time for me to get out then, you know. So I got out of the car and walked around the side, and I said, "How do you do?" And Mr. Wood was going to introduce me. Before he had time to do it... And oh, whiskers two weeks long, and squirrel blood, and stink like a pole cat. So I started around there, and I said, "How do you do, sir?"
He said, "And you're a preacher?"
I said, "Well, I'd like to be. I..."
And he said, "Well, I just... You know," he said, "I'm supposed to be an infidel."
I said, "It's not much to brag about, is it, sir?"
And he said--he said, "No, I reckon it's not." He said, "There's just one thing that I got against you fellows."
And I said, "Yes, sir. If it's just one thing that's--you're pretty good shape." Some of them I've met to they had... I got a lot of Christians, that's supposed to be, has got more than that against me. So I said--I said, "Well, that's--that's pretty good."
He said, "What I got against you guys is this: you're always hollering about something that you know nothing about."
I said, "For instance, what, sir?"
And he said, "You're talking about God, and there is no such a thing."
"Oh," I said, "that's what it is?"
He said, "Yeah, that's it."
I thought, "Lord, You help me."
E-24 Now, there's just two ways to approach anything, my brethren; that's the right way and the wrong way. I think... May I stop here a moment in my story, and say I think that's what's the matter with me, and many of us brethren. We've got a great product here, but we're approaching the public wrong with it too much, making us isolationists. See? It'll sell itself. Just live it. See? "Ye are the salt of the earth." And salt, as long as the savour's in the salt, it'll save if it contacts. But if it's lost its savour, no matter how loud we shout down here, and how much we jump up and down, there's got to be a life out here that backs that up.
E-25 So I looked at the old gentleman; I thought, "Lord, poor old fellow, hammered around on these old clods here. My daddy would've lived, he'd have been about that age. Now, there's just a little something here that You could help me to say, no doubt, that'd help the old fellow to see." And I've seen many that call themselves infidels, and I've stood by some of them when they were going. They're not infidels. They're just popping off. See? And so... That's the street expression, but that's the way you'll understand it: popping off, and letting off steam.
And I said, "Well, it's a... That's 'course," I said, "that's opinion, of course."
And we stood there a moment. And we were setting under an apple tree. He said, "I been to them meetings, and they're just like a lying dog." He said, "I used to have an old lying dog, and I shot him." He said, "I'd follow him every night. Take him out here and he'd be barking, and go up there... And he's supposed to be a coon dog." And said, "The coon would be up the tree." And said, "Then the first thing you know, he'd be barking up this tree like that, and I'd go around there and shine the light all up. The coon had done went out through the top."
E-26 I said, "But, sir, after all, the coon was there. He's just a dog." See? I hope he got what I meant, and I'm sure you do.
So he said, "So I shot him." And he said, "I don't--I don't like anything that'll lie. And I think if a man talks, he ought to be knowing what he's talking about."
I said, "I certainly agree with you."
He said, "There was one preacher that I heard, that if I ever get to see the man..." Said, "I never heard him, but I heard of him. If I ever get to see the man, I'm going to hear him."
And I said, "That's very nice."
He said, "He come to a little place over here called Acton. It's a Methodist campground." And Brother Wood looked at me, and I shook my head.
He said, "Old Sister So-and-so up on the hill here. I forget her... (He never called her Sister--Miss somebody) is about sixty-five." Said, "She was dying with cancer in the stomach." And said, "She had doctors out of Louisville here." And said, "They got a nice farm up there," and said, "they could afford it. They took her up to Louisville for an operation. Didn't do one bit of good. They cut her open, sewed her up. Cancer done wrapped her all through."
E-27 Said, "She gradually died here for several months." Said, "Finally got to a place that she was so bad and I..." (Excuse me my brother, sister.) Said they... (I'm just going to express it the way he said it.) She couldn't even get on to the bedpan. They could never put one under her, couldn't raise her that high. They had to use a draw sheet, rubber sheet, and then a draw sheet."
Said, "Wife and I went up there every morning and would change--the wife change her bed. And I'd help get the sheets out from under her, and so forth." And said, "She was just... The doctor said just give her a little morphine or something, to keep her as easy as possible until she died." Said "She had about two weeks to live."
E-28 And he said, "There come a preacher down here from Indiana, and had--over here at the Methodist campground." He said, "There's several hundreds of people gathered over there, they said, to hear this preacher." And he said, "And that night," said, "while he was preaching," said, "her sister was setting back there, which was Mrs. So-and-so that lives over here on another ridge." And said, "This preacher was supposed to have something another, that he could tell the people about what they had done, and why they were sick, and all about that." And said, "I'd heard about it, but of course, I didn't believe such a radical thing as that."
And he said, "But however, this woman that night was setting in the meeting. And while the minister was speaking, he turns to this woman, and her setting in the back of the building. And said, 'When you left home tonight, back there, Mrs. So-and-so,' said, 'you picked up a little blue han--a little handkerchief with a blue figure in the corner of it off of a dresser, and you put it in your purse.' And said, 'You're praying back there for your older sister who's dying, by the name of So-and-so, that lives over here on the hill.' Said, 'The Lord has heard your prayers. Now, take this little handkerchief and lay it upon your sister, and the cancer will leave her.'"
E-29 "Well," said, "about--around close to midnight that night, I thought they had the Salvation Army on the hillside up there, all the screaming and hollering."
I don't want to embarrass anybody, but that was Ben, setting here, Brother Ben. You know that familiar squall of an "Amen," he gives out every night in the meeting down there, that shakes the place. Brother Ben had took the woman up there, her, to her sister, and had laid the handkerchief on her, and Ben believed it. So he just started shouting before it happened. So he was just getting at it first. So Brother Ben...
He said, "I thought the woman had died. Well," said, "it was around midnight. So the next morning," said, "the wife and I went up there." And said, "You know what?" Said, "That woman was up, cooking her breakfast, eating fried apple pie."
E-30 How many of you rebels know what a fried apple pie is? Oh, my, do I love them. I like them to put molasses on. See? And I--I--I'm not a Methodist; I'm a Baptist--I like to baptize them with molasses, you know, put plenty of it on, then eat them, hot butter and mmm.
So then when... "She was eating these fried apple pies." And said (it really like to took wife and I off our feet), and said, "If you don't believe that," pointed his finger, said, "I'll take you right up there and show her to you right now. She's..."
And the old man setting there, said, "That thar' is right." (The other old man. See?)
And I said, "Oh, I believe you."
He said, "They tell me the man's coming over here to Campbellsville, at the stadium. And said, "I'm going over to hear him. And I'm going to talk to him."
I said, "Yes, sir."
And he said, "And I'm going to ask him what that was that could tell him about that woman, and know that she's going to be well." Said, "Now, I just don't understand it."
E-31 "Oh," I said, "that's really phenomenal." I said, "It certainly is." And I thought, "Lord, You help me now," this next thing to say." But I remember my old mother used to tell me, "Give the cow enough rope, she'll hang herself," you know. So that's just about a good old southern expression that's true. I thought I'd just see how much he really cares. I'll throw him off the subject. I said, "You mind if I have one of them apples?"
He said, "The yellow jackets are eating them up. Guess you can have one."
You know what a yellow jacket is? Just sucking around on the apples. It was about the middle of August. And I picked up one and rubbed it on them old bloody, dirty pants, and took a bite off of it. Said, "My, it's a dandy."
Said, "Oh, yes. It's a dandy."
I said, "How--how long... how old is that tree?"
"Well," he said, "I planted the thing."
I said, "Oh."
E-32 He said, "It's about forty-eight years old." He said, "You see where that old chimney's standing up there on the hill?" Said, "I was borned up yonder." He said, "And--I when my pappy died..." He said, "We'd built this house down here." And said, "And then I moved down here, and all my young'uns has been born down here." And he said, "I've lived here ever since. And I planted that tree there, a little bitty thing. And I--I've just growed up with the tree."
"Yes, sir. I see." I said, "I notice all them apples are falling off."
He said, "Yeah, yep."
I said, "The leaves are falling."
"Yes, sir."
I said, "That's strange, isn't it?"
He said, "What do you mean?"
I said, "You know, we haven't had no frost, and yet those leaves are falling." And I said, "That's the reason we come over here to hunt in the hollow. The leaves on the trees are falling." And I said, "Wonder why they're falling before they have any frost?"
"Oh," he said, "they--they fall before they have frost."
And I said, "Yes, sir." And I said, "What makes them fall?"
He said, "Well, the--the life left them."
I said, "I see. And where did the life go?"
He said, "It went back down the tree, into the root of the tree."
"Oh, I see." I said, "Otherwise, if that leaf stayed on there, and the life stayed up there, it would hold the leaf there."
"Oh, yeah."
And I said, "Then the leaf goes off the tree, back down to the root to hide."
"Yes."
I said, "Why does it go down there?"
"Well," he said, "if it stayed up there, the winter would kill the--the tree. The life has to go down into the root, in the warm ground, to preserve the life, to bring another leaf up next fall."
"Oh," I said, "I see. And every time it comes up it brings you up a bunch of apples and so forth?"
"Yep, that's right."
E-33 I said, "Well, sir, I'd like to ask you a question."
He said, "All right."
I said, "Pray tell me, what intelligence that tells that leaf before there--or that life up in that tree, what intelligence tells that--that life, 'Get away from up here and get down into the roots, because if you don't you're going to die.'?" And I said, "Then--then the spring of the year, it brings up another leaf." I said, "Now, what makes it go down into the root of the tree?"
"Oh," he said, "that's nature for the water to drop."
I said, "All right. Perhaps I'll set a bucket of water on the post out here. And about the middle of August it'll go down into the bottom of the post, and come back again next spring."
"No, it won't do it."
I--I said, "Why won't it do it?"
"Well," he says, "it isn't nature for it."
I said, "What is nature? Who governs nature? Why is it that it doesn't do it for the pine tree then? It stays up here. What different makes the it--differentiates the difference between them?"
E-34 The old man studied a little bit. I said, "You see, sir," I said, "there has to be an intelligence, because the tree has no intelligence. It has to be operated. It isn't a mechanical device. It is an intelligence that sends the life down into the root of the tree, like death, burial, and resurrection." Lived all that years and couldn't see life.
I said, "I have..." I'm a missionary, and I've heard all (I'm saying this to you); I've heard all the different ideas: Buddha, Hindu, and different theories, but they're all wrong. Christianity is based upon burial and resurrection, not reproduction; resurrection. Not bring up something like it; the same thing that went down, comes up, the same Jesus.
E-35 If you'll notice, God testifies every day of our life. Of a morning the sun is born. At ten o'clock it's in its teen-age. At noontime it's in its full strength, and it sets in the evening (Is that the end of it?), only to come up again: birth, life, death, resurrection, constantly, God testifying in life.
The tree goes back down, the sap into the roots to bring forth life again next year. We're... You and I are hanging on the Tree of Life. We are--we are the fruit of that tree.
The old man, after he set there a little bit, he said, "I never thought of that."
I said, "You haven't answered my question. I want you to tell me what Intelligence that controls that life in that tree that goes down. This Intelligence can speak to that life, not the tree; the life (the life that's in you. See?), controls that life, and runs it back down here and hides it (as Job said, 'Hide... Thou would hide me in the grave. Keep me in the secret place.') and then brings it back again in the spring." And he couldn't answer me.
E-36 I said, "The same Intelligence that speaks to the life in that tree and says, 'Hide if you expect to live,' that's the same Intelligence that told me what to say to that woman how to live, believe."
He said, "You're not the preacher?"
I said, "Yes, sir. I am."
There on the ground that day, with a simple little story... I know it's getting late, I'm way... ought to have been gone. I got... There's some more goes to it. But on that ground that day, by just a simple little thing of the man just seeing life, I led him to Christ.
Last year I was back again and his widow was setting on the porch when I come up. She met me. With her hands clasped in mine, she said, "Brother Branham, he died in the faith of the Lord Jesus. He's gone on."
E-37 "He that believeth on the Son shall have... can see life." It's not hard for us then, that we can see that there's something controls our life. That's what we're here to seek: life, and that more abundant. And I pray to God this morning in this breakfast that we will have abundance of life. And He who can speak to the tree with His intelligence, and the tree quickly obeys the Master's call to hide, if it expects life... And I know another great hiding place to preserve life. Let's just hide there this morning, not in a bomb shelter, but beneath His wings let's hide. Can we pray?
E-38 Our heavenly Father, oh, we know that today, even now we are just shrouded around with life. We feel it. We see the sun rise, set. We watch the flowers as they bloom. And then frost strikes them, and the funeral procession comes along, the fall rains, and cries big tears down and buries them. They lay in the grave and rot. But that's not the end of it. Thou hast preserved their life.
And then as soon as the sun, s-u-n, begins to rise, no matter if that seed, a big rock has been placed over it, or yards of concrete poured over it in the winter where that seed is buried. When that warm sun that controls botany life begins to warm the earth, that seed comes forth. We find the thickest of our grass right along the edge of the walk. It's the seed that was buried under there. It can't hide life. Life has to spring forth. We can put it in a basket and bury it in the bottom of the basket, hang the basket in a tree. But the little life will grow up to the praises of God.
E-39 Oh, God, may we not be so short minded, so narrow, but just look around us and see God everywhere. And how much more can we see Him this morning in His lovely children, as we are fellowshipping together here in Christ Jesus, Who is Life. May every pilgrim, Lord... We are not of this world; we are pilgrims and strangers; we are sojourners. And as the sojourners from Georgia, from Canada, from Texas, from everywhere around, has met together here in these little places to swap our ideas, and give our testimonies of His glory, may we go from this meeting just with abundance of Eternal Life that we might teach others the way to find it. We ask it in Jesus' Name. Amen. Thank you.
[Someone says something to Brother Branham--Ed.] Oh, that's okay.
E-40 Thank you. [Blank.spot.on.tape--Ed.] I've been thought of as an isolationist, but I'm not. See? I--I love fellowship. And here I'm holding the meeting down there, rush right on down. You all have Eternal Life, so just believe it. But here, just a little place they go to talking with you. You see? If anything's wrong, it starts bothering you; you catch it. And when you do that, then (You see?), it just tears me to pieces for the evening again. See? And I'm sure Christians understand that.
It is not--isn't I don't love you. My, if it wasn't for you, what would my ministry be? How about those out there? No matter how great the ministry would be, it can't be great until you make it great. I can't do it myself. It takes you and I together to do it. See? By myself, nothing; by yourself, is nothing. But us together, the Lord produces His ministry. If you didn't believe it, it would never happen. You've got to believe it. Then that's what makes it happen, because you believe it. God bless you.