Le Sentier de la vie

Date: 62-0621B | La durée est de: 56 minutes | La traduction: Shp
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1 Merci, Frère Borders. Vous savez, c’est vraiment un bon privilège que de se retrouver parmi les gens. Et puis, étant donné que c’est ma toute première fois d’être dans une synagogue juive, c’est vraiment un rare plaisir pour moi. Et puis, de mieux comprendre ce… l’ordre de – de ces rouleaux, et comment on en prend soin, et ainsi de suite. Ce serait un bon moment que de venir une fois tenir un service de guérison dans cette synagogue, et d’avoir les – les Juifs, et... Merci, frère. Merci beaucoup.
J’ai toujours eu de la sympathie pour les Juifs. Peut-être qu’il n’y en a aucun ici mais – ce matin, mais j’ai de la sympathie pour eux, j’en ai toujours eu. Et je crois qu’un jour la – l’église des Gentils amènera le Message aux Juifs, comme les Juifs l’ont apporté aux Gentils. Je crois cela de tout mon coeur.

2 Et alors quand il retournera aux Juifs dans sa plénitude, observez, la porte des Gentils sera alors fermée, et ce sera [le tour] des Juifs. Ainsi, c’est maintenant le temps. Je suis très heureux d’être en ce moment même à l’intérieur.

3 Que Dieu bénisse ce bienveillant petit homme, le frère Michaelson. Je ne l’ai jamais vu de ma vie. Je ne le reconnaîtrais pas, s’il se tenait ici. Il peut bien être dans l’auditoire, et je ne le saurais pas. Mais, j’ai suivi son émission, et j’apprécie cela – un grand serviteur de Dieu, ce pauvre petit Juif qui a maintenant consacré sa vie au service de Dieu; moi et pour... J’aime la manière dont il le dit : «Mon Jésus.» Oui, «Mon Jésus.» Je me suis dit que c’était très frappant qu’un Juif dise cela.

4 Il a certainement été un porteur de flambeau, quelqu’un qui tient le flambeau pour les Juifs dans ce pays, partout à travers l’Amérique ici. Et ma sincère prière est que Dieu donne à ces vieux et faibles bras la force de le tenir jusqu’à ce que Jésus vienne, si cela est possible. Je l’admire. J’admire les vieux hommes quand ils ont combattu le bon combat.

5 Je me souviens du Docteur F.F. Bosworth, l’un de mes associés. Quand je suis entré là pour le voir, à quatre-vingt-quatre ans, il avait étendu ses vieux petits bras comme cela, et ils... là... on revenait à peine du champ missionnaire en Afrique, à quatre-vingts ans, il était à l’oeuvre missionnaire avec moi dans les jungles. Et j’ai couru jusqu’à lui et je l’ai entouré de mes bras. Je savais qu’il se mourait, et je me suis écrié : «Mon père, mon père, chars d’Israël et leur cavalerie!» Le... Quel vaillant homme!
Et il a dit : «C’est le moment le plus heureux de ma vie, Frère Branham.» C’est ce qu’il a dit.
J’ai dit : «Savez-vous que vous êtes mourant?»
Il a dit : «Je ne peux pas mourir. Je suis déjà mort depuis soixante ans.» Il a dit : «J’attends juste le moment où je verrai tout ce pour quoi j’ai vécu, le moment où je Le verrai entrer par cette porte pour m’inviter à Sa maison.» Il a dit : «C’est cela.»

6 Alors je pense : La vie de tous les grands hommes nous rappelle
Que nous pouvons rendre nos vies sublimes,
Et, en partant, laisser derrière nous,
Des empreintes de pas sur le sable du temps.

7 C’est vrai. [Quelqu’un parle à frère Branham. – N.D.E.]
Oui?
[Il continue de parler. – N.D.E.]
Peut-être que je n’ai pas entendu juste... J’ai appris qu’il a serré la main de – debout dans la pièce, il a serré la main...
[Il continue à parler. – N.D.E.]
Oui, monsieur, oui, oui. Oui, monsieur cela... J’ai appris cela. C’est bien, Frère Kopp. Je suis heureux que vous me l’ayez rappelé. Oui. Ils ont dit que juste quelque temps avant qu’il meure ou qu’il rentre à la maison, il s’est levé, et il a serré pendant un long moment la main de ses convertis qui étaient venus à Christ par son ministère, et puis il a rendu l’âme, et il est allé pour rester avec eux. Quel vaillant... J’aime vraiment de telles choses. C’est juste...
Frères, c’est vraiment un privilège que d’être ici à Los Angeles ou plutôt ici à South Gate (je ne sais comment on appelle ce lieu où nous sommes en train de tenir cette série de réunions), dans cette bonne communion. C’est... de m’avoir invité ici. Et je ne serais pas venu si je n’avais pas senti une sorte d’attraction pour venir.

8 Et je me rends compte que – que mon ministère est arrivé au point où c’est presque une confrontation, je… C’est comme si toutes choses en arrivent à ce... J’ai... Les gens ont commencé à déclarer des choses, le monde le fait, et les associations, et ainsi de suite, disant que je suis un faux prophète, et – et toutes sortes de choses. Et je m’attends à cela. Je m’étonnais que cela ne soit pas arrivé avant ce temps-ci, et... Mais je m’attends même à ce que cela devienne pire.
Et de voir qu’en cette heure de – de mes épreuves, de détresse profonde que je traverse, de voir que vous, frères, vous m’accueillez à bras ouverts, je vous apprécie. Que le Seigneur vous bénisse. Et je suis ici pour faire tout ce que je sais pour – pour aider vos églises à être plus fortes, pour aider les gens à se rassembler d’un seul coeur dans la fraternité (Et c’est là le but que je poursuis.) et à… comme je l’ai dit hier soir, pour pêcher à la seine dans chaque petit coin, pour attraper chaque petit fretin qui peut être attrapé pour le Royaume de Dieu.

9 Et, j’étais donc en retard hier soir, et nous avons commencé en retard. Et je suis presque toujours en retard. Ma mère disait que j’étais un bébé de neuf mois pleins, et j’étais un peu en retard quand je suis venu ici-bas. Et à ma naissance, je ne pesais que 2,5 kg, et j’ai eu un mauvais départ, et je n’ai plus jamais beaucoup grossi. Et je suis vraiment – j’étais en retard à mon mariage. Je – j’ai fait attendre ma femme pendant longtemps. Et c’est tout le temps attendre et être en retard. Eh bien, si seulement je peux être en retard pour mes funérailles, c’est tout. C’est très bien. Juste laisser les gens attendre aussi longtemps qu’ils le peuvent, car je – je désire rester le plus longtemps possible pour prêcher l’Evangile et communier avec mes frères. Et maintenant, très… J’essaierai simplement d’être un peu plus expéditif ce soir.

10 Hier soir... Eh bien, si je comprends bien, il n’y a que des ministres ici. Je cherche à mettre un appât. Eh bien, il y a des pécheurs par-là. Vous voyez? Et premièrement... Il se peut que vous vous soyez demandé pourquoi je n’ai pas fait d’appel à l’autel. Premièrement, j’ai senti que j’étais un peu en retard, et cela fatigue les gens et tout. Mais juste un appât sous le discernement ou autre chose, cela va saisir leur – les attirer. Et alors, étendez votre filet là tout autour, vous voyez, et ensuite, faites-les entrer. Soyez vraiment – vraiment patients avec moi maintenant. Je vais y aller selon que je pense être conduit par l’Esprit.

11 Et maintenant, si nous en attrapons dans le filet quelques-uns qui désirent être sauvés et remplis du Saint-Esprit, frères, vous, vous savez de quel district ils viennent. Amenez-les à votre église, parce que c’est... Nous ne pouvons les conduire que jusqu’à l’autel. Et ensuite, conduisez-les le reste du chemin à partir de là. Faites-les entrer, baptisez-les et restez avec eux jusqu’à ce qu’ils reçoivent le Saint-Esprit. Et – et c’est la raison pour laquelle nous sommes ici en cette grande heure sombre, pendant que le soleil se couche à l’ouest, et que la Lumière du soir apparaît.

12 Et je suis parmi les gens... Si vous, beaucoup d’entre vous... Ce n’est pas un secret; vous avez tous mes bandes, vous tous. Mais parmi les gens de l’extérieur, je n’aborde vraiment pas les doctrines scripturaires dures, comme je l’aurais fait si j’étais au Tabernacle ou ailleurs ainsi que – ainsi que sur les bandes où les ministres peuvent prendre cela, et l’étudier ce matin, j’ai rencontré un Grec qui venait de la campagne, et il a ma bande de six heures sur «La semence Parole». Et il me dit qu’il y va juste petit à petit chaque jour, et prend cela, il analyse cela, et il traduit cela en grec; et il montrait comment (moi je n’en savais rien) – comment cela s’accorde parfaitement comme cela. C’est pour une étude.

13 Ici, nous essayons de pêcher. C’est ça. Nous mettons l’appât là, et nous ne montrons jamais l’hameçon au poisson. Vous lui montrez l’appât. Il saisit l’appât et prend l’hameçon. Ainsi, c’est – ainsi, la plus grande partie de mon temps dans la prière pour les malades et autres, c’est juste pour attirer l’attention du pécheur. C’est l’appât. Mais l’hameçon, l’hameçon de l’Evangile, c’est ce que vous utilisez. J’agite tout simplement l’appât devant lui. Vous voyez? Ainsi, vous – vous utilisez le – l’hameçon.
Ainsi donc... Et ce soir, j’essaierai de raccourcir davantage nos petits entretiens, vous savez, de sorte que je puisse juste... Et frère Borders parle un petit peu avant moi, et – et j’entre. J’essaierai de rendre ma prédication... Comme ce sont de petits entretiens, c’est juste puéril pour vous les frères. Et – et si vous trouvez que c’est le cas, bien sûr, tout ce que je peux dire sera probablement puéril pour vous. Mais vous êtes tous des enseignants, moi je ne suis pas un enseignant. Et je suis... Mais mon but est d’essayer d’aider le Royaume de Dieu, d’essayer de fortifier vos églises, et de consolider la fraternité parmi les hommes, pendant que nous attendons la Venue du Seigneur. Et je suis sûr que vous comprendrez cela.

14 Et maintenant, ici à Los Angeles, comme je l’ai remarqué ce matin... Et j’ai rencontré certains de mes amis ici : frère Sothman là de Jeffersonville, il est d’origine canadienne; et frère Tom qui est aussi un Canadien, qui séjourne à présent avec nous à Jeffersonville, ainsi que – ainsi que le frère Welch Evans là de Tifton, en Géorgie, il séjourne aussi avec nous; il fait mille cinq cents miles [2.413,5 km – N.D.T.] en voiture chaque dimanche pour – pour m’entendre prêcher l’Evangile. Eh bien, il y a aussi le frère et la soeur Norman, la soeur Evans et le frère Willie. Je ne peux jamais m’imaginer... Un petit groupe de gens réunis là en petit comité qui est venu ici parmi nous pour prier avec nous et se fortifier comme nous entrons dans le service. Je suis heureux de les avoir parmi nous dans ces réunions.

15 Eh bien, en préparant cette série de réunions, je – j’ai regardé, et nous avions un répertoire de réunions – juste les gens. Et la difficulté que nous connaissons maintenant parmi les frères dénominationnels et beaucoup d’entre eux, c’est qu’ils... les frères dénominationnels comme vous l’êtes tous... Néanmoins ce matin, j’aimerais exprimer du haut de cette chaire mon opinion. Vous voyez? Vous savez vous-mêmes, frères, que parmi les vôtres vous pouvez dire quelque chose dans ce sens, mais quelqu’un va le prendre dans ce sens-ci, et commencer à l’incliner dans ce sens-là. Et il va le rapporter au suivant, et le suivant à l’autre. Et la première chose, vous savez, c’est complètement de travers. Et quelqu’un va l’incliner dans ce sens, et il va prendre cela dans l’autre sens. Vous savez cela.
Et je suis sûr que vous les frères, vous comprenez que c’est ainsi que beaucoup de choses se disent à mon endroit, certains prennent tout simplement cela et le comprennent mal, et vont tout simplement de côté. Ce n’est pas du tout ce que ça voulait dire.

16 Pour ce qui est d’être contre la dénomination; non, certainement. Mes frères y sont. Il semble que trop de gens aujourd’hui dépendent de la dénomination. Eh bien, nous avons ici un frère de l’Eglise des frères unis, et de différents endroits. C’est... Ces dénominations sont très bien, tant que vous étendez la couverture un peu plus loin là, et que vous pouvez ouvrir la porte, et que vous buvez au troisième puits (vous savez ce que je veux dire) que Jacob a creusé et – et que vous pouvez communier.

17 Mais quand vous venez, et que tout ce qu’il vous faut faire, c’est d’être membre de la dénomination; non, il y a beaucoup plus que ça à ce sujet, frères. Et c’est là que le monde entier a toujours… et vous… Ce matin, nous avons un honorable historien ici parmi nous, et nous savons que dès que les églises tracent cette limite, la dénomination : «Nous sommes ceci», Dieu les quitte juste là, et ils meurent et ne reviennent plus jamais à la vie. Vous voyez? Il n’y a aucun récit historique qui parle d’une église qui est tombée et qui s’est relevée. Elle ne se relève pas. Et parce que…

18 Lorsque je suis entré dans ce – dans ce ministère au début, c’était vous les frères de l’Eglise pentecôtiste unie qui, les premiers, m’avez accueilli à bras ouverts. C’était frère Richard Reed, frère Jack Moore, et frère Ben Pemberman, et ma première réunion s’était tenue à St. Louis. Et la première réunion à laquelle j’ai assisté, c’était… et où j’ai su quelque chose là-dessus, c’était les «.P.A.W.» et les «P.A.J.C.» [Assemblées Pentecôtistes Mondiales, Assemblées Pentecôtistes de Jésus-Christ – N.D.T.], tels qu’ils étaient avant qu’ils fusionnent et se mettent ensemble – frère Ryall à Mishawaka. Je n’ai jamais vu une si belle communion de frères.

19 Eh bien, j’ai alors découvert… Je pensais que c’était tout ce qu’il y avait comme pentecôtistes, que c’était ça la Pentecôte. Mais j’ai découvert qu’il y avait plusieurs groupes partout là-bas, et qu’il y avait des gens bien dans chacun d’eux. Ainsi, j’ai essayé de me tenir à la brèche, les bras étendus, essayant d’appeler chaque frère à l’unité de la communion, pour que nous ayons de la compréhension, peu importe ce qu’ils croient, aussi longtemps que nous sommes des frères. En effet, je suis sûr que si je devais me placer moi-même… Il y a beaucoup de défauts que Dieu pourrait me pointer du doigt ce matin, et Il dirait : «Jeune homme, tu es bien loin d’être parfait toi-même.» Ainsi, ce sont là les sentiments que je me suis efforcé d’avoir envers tout le monde : essayer de rassembler les gens. C’est donc là mon but, celui d’avoir une union dans la communion. Que Dieu vous bénisse beaucoup.

20 Et – et comme j’ai commencé à le dire il y a quelques instants, au milieu de tout ceci, il y avait cependant des appels qui venaient des centaines d’endroits et du champ missionnaire. Et pour le moment, j’ai un voyage d’évangélisation. Je vais traverser le pays. Et aussitôt que j’aurai fini cela, j’irai dans les pays étrangers, en voyage missionnaire.
Et je m’efforce en moi-même (je n’ai pas le temps de l’expliquer) de chercher quelque chose auprès de Dieu, parce que je crois que l’approche… La Venue de Christ est plus proche que nous le pensons réellement. Je crois que c’est juste à la porte, et cela me rend vraiment nerveux quand j’y pense, pas nerveux en ce qui me concerne, mais nerveux pour ceci : ai-je fait de mon mieux? Y’a-t-il encore en moi une once que je pourrais donner pour le Royaume de Dieu? Y a-t-il quelque chose que j’aurais pu faire? En effet, celle-ci est la seule occasion que nous aurons eue, juste maintenant.

21 Et j’ai – j’ai réprimandé l’église; j’ai réprimandé notre peuple; j’ai réprimandé nos soeurs du fait qu’elles se coupent les cheveux, je les ai réprimandées du fait qu’elles se maquillent. J’ai réprimandé nos frères du fait qu’ils leur permettent de faire cela, ainsi que nos ministres et le reste comme cela – pas parce que j’ai quelque chose contre eux. C’est parce que je suis jaloux d’eux. Ils sont l’héritage de Dieu.

22 Et je – et j’ai réprimandé mes frères ministres pour n’avoir pas –pour s’être enfermés dans une petite chose, dans un groupe. Eh bien, je pensais… S’il y avait une dénomination qui pouvait dire : «Nous croyons ceci, virgule, plus tout ce que Dieu peut ajouter à cela…» Mais lorsque, établissant nos domaines dénominationnels, nous disons : «Nous croyons ceci, point final», et le Saint-Esprit, dès qu’Il y entre, en ressort immédiatement. C’est vrai. Vous voyez? Eh bien, si nous pouvons terminer cela avec une virgule, alors nous continuerons tout simplement à croître.

23 Récemment, j’ai tenu une réunion avec des frères luthériens (je pense que vous en avez tous entendu parler) à Minneapolis, dans le Minnesota. Et oh! la la! qu’est-ce qu’il m’avait vertement réprimandé dans une lettre de vingt-deux pages! Il a dit : «En voilà une idée» Il a dit : «Hier soir, j’ai fait quinze miles [24 Km – N.D.T.] en voiture, traversant une tempête de neige aveuglante, me disant que j’allais entendre un serviteur de Christ, et je n’ai entendu qu’un fin devin!» Et oh, il… Et il a dit : «Rien qu’à penser à vous, un homme ayant été quinze ans dans le champ missionnaire, et – et vous dites que vous avez prêché l’Evangile depuis vingt-cinq ans.» Et il a dit : «Alors d’entendre – de vous entendre utiliser cette grammaire que vous utilisez, et – et la doctrine même que vous prêchez» Il a dit : «Vous avez beaucoup insisté hier soir que Satan ne peut pas guérir.» Il a dit : «Honte à vous pour une telle déclaration.» Et j’ai pensé : «Un doyen d’une université luthérienne!»

24 Et il a dit : «Juste non loin de notre université, ici, il y a une femme qui a un démon familier. Elle porte un grand tablier, et les gens viennent, et elle leur impose la main – les mains. Et ensuite elle leur pique aux veines, et elle prend un peu de cheveux de sa nuque, et enroule cela, elle applique du sang dessus, descend à un ruisseau derrière chez elle et elle jette cela par-dessus sa tête comme cela dans le ruisseau. Elle s’en va avec les mains…»
Et il a dit : «Les gens se tiennent debout là, si elle est contrainte à regarder en arrière, la maladie se retrouve sur le sang de la personne… dans ses cheveux.» Et il a dit : «Alors, quand elle regarde en arrière, la maladie reviendra sur la personne. Mais dans le cas contraire, a-t-il dit, la personne doit être guérie.» Et il a dit : «Environ vingt pour cent de ces gens sont guéris. Et puis vous dites que le diable ne peut pas guérir.»

25 Oh, il – il avait une bonne approche intellectuelle. Mais, frère, ce n’est pas de cela que nous faisons l’approche – pas l’intellectuel; nous faisons l’approche des Ecritures. Ainsi, je me suis dit : «Eh bien, une lettre de vingt-deux pages; il ne m’a même pas appelé frère; il a juste dit : ‘Branham.’» Ainsi, j’ai pensé : «Eh bien…»
Il a dit : «Et vous parlez de vos années, a-t-il dit, moi, je prêchais l’Evangile avant votre naissance.»
Eh bien, je me suis dit : «Un homme qui prêche l’Evangile depuis si longtemps mérite des égards, peu importe ce qu’il est.» Vous voyez? On devrait le respecter.

26 Ainsi, je me suis assis et je lui ai adressé une correspondance – avec mon petit griffonnage, la meilleure que je pouvais – deux pages pour lui répondre, pour le reconnaître. Et je – j’ai dit : «Cher frère, je – j’apprécie certainement les nombreuses années que vous avez passées et tout ça.» J’ai dit : «Je–j’apprécie cela, un serviteur de Christ. Et j’apprécie effectivement les critiques.» Eh bien, un homme qui ne peut pas accepter les critiques, il y a quelque chose qui cloche dans son expérience, vous voyez, car Dieu nous envoie les critiques pour nous corriger, pour nous montrer nos – nos défauts. J’ai été beaucoup aidé par les critiques, qui sont amicales, pas juste en se montrant méchant et en étant en colère, mais juste – juste des critiques amicales. J’ai donc dit : «J’apprécie cela, Monsieur.»

27 Et ensuite j’ai dit : «Il y a juste une chose que j’aimerais exprimer ici, comme vous avez fait mention de ma grammaire; naturellement, je ne suis pas – je n’ai pas d’instruction. C’est vrai.» Mais j’ai dit : «La chose qui m’a surpris, c’est de voir un doyen d’une université luthérienne baser sa théologie sur une expérience, plutôt que sur la Parole de Dieu, lorsque vous avez parlé de la sorcière qui peut guérir.»

28 J’ai dit : «Jésus a dit : Si Satan peut chasser Satan, alors son royaume est divisé.» Il ne peut pas guérir. Eh bien, vous pouvez… Voyez, s’il peut… Jésus a dit qu’il ne peut pas guérir; mais vous, vous dites qu’il peut guérir. Moi, je vais croire Jésus, voyez, c’est vrai, parce qu’Il a dit que toute parole d’homme soit tenue pour fausse et la Sienne pour vraie. Et j’ai dit : «Moi, je crois Jésus. Et je suis surpris qu’un doyen d’une université luthérienne base sa théologie sur la – une expérience ou une émotion, plutôt que sur la Parole de Dieu.» J’ai dit : «Un doyen, ou n’importe qui d’autre, n’importe quel ministre devrait baser sa théologie sur la Parole du Seigneur.» Et j’ai dit : «Je suis certainement...

29 Et ce que vous qualifiez de divination, ai-je dit, je me permets de dire que c’était le discernement.» Et j’ai dit : «Saviez-vous qu’autrefois les pharisiens et les sadducéens eux-mêmes ont fait cette déclaration, lorsqu’ils ont vu la même chose être accomplie par notre Seigneur, ils L’ont appelé Béelzébul?» J’ai dit : «Eh bien, qu’en serait-il si peut-être j’avais raison? Eh bien, Jésus a dit que lorsque le Saint-Esprit viendra pour faire la même chose, prononcer une parole contre cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir, peu importe vos cinquante ans de prédication. Une parole contre le Saint-Esprit, ai-je dit, moi je vous pardonne cela, et je suis certain que Dieu aussi, car Il a vu que vous n’avez pas compris cela.» Et je lui ai écrit la plus belle lettre que je pouvais lui écrire. Plus tard, j’ai reçu une lettre m’invitant à aller là-bas.
Ainsi, [Frère Branham tousse. – N.D.E.] j’étais à un – (excusez-moi) – j’étais à un déjeuner d’hommes d’affaires là-bas, et je prêchais pour les Hommes d’Affaires du Plein Evangile. Et M. Moore, frère Jack Moore, beaucoup parmi vous frères le connaissent, un brave homme, et moi... il...

30 Ce docteur Aegery est venu auprès de – auprès de frère Moore et lui a demandé si je pouvais – s’il pouvait m’amener là à l’université.
Et je me suis dit : «Je vais avoir des ennuis maintenant.» Ainsi je... Frère Moore est un théologien; je me suis donc dit : «Eh bien, je ferais mieux de l’amener.» Et j’ai donc dit : «Mettez-vous juste à coté de moi. Et s’il utilise des termes et de la grammaire que je ne comprends pas, je vais vous faire signe de la jambe comme cela. Alors prenez la relève à partir de là.»
Et il a dit : «D’accord.»
Nous nous sommes donc rendus là à l’université. Et quand nous y sommes arrivés, ils avaient un local presque aussi grand que cet auditorium-ci, pour le – le dîner. Et le – c’étaient des Norvégiens, et leur dîner était prêt, et il était très bon, excellent. Et le doyen s’était mis juste d’un côté et son associé de l’autre.
Ainsi, après que j’avais terminé, il a dit : « Frère Branham, nous voudrions vous poser quelques questions.» J’ai dit : «Permettez-moi plutôt de dire d’abord quelque chose.» J’ai dit : «Je – je – je pourrai ne pas être en mesure de répondre à vos questions.» J’ai dit : «Je... Si je n’y arrive pas, ce serait en ordre que frère Moore m’aide là-dessus.» J’ai dit : «Mais j’ai – je – il se peut que je ne réponde pas bien à vos questions, toutefois je ferai mon possible.»

31 Et il a dit : «Voici ce qu’il en est.» Il a dit : «Ça fait des années et des années que nous avons entendu parler des pentecôtistes.» Et il a dit : «Nous sommes allés les voir.» Et il a dit : «Qu’avons-nous trouvé, sinon qu’ils renversaient les chaises à coups de pieds, et qu’ils défonçaient les fenêtres et – et toutes sortes de choses semblables, a-t-il dit, et tous ces bruits que nous n’avons jamais entendus de notre vie...» Il a demandé : «Qu’est-ce que ces gens ont?»
J’ai répondu : «Le Saint-Esprit.»
Il a demandé : «Le Saint-Esprit?»
J’ai répondu : «Oui», acquiesçant. J’ai dit...
Il a demandé : «Avez-vous toujours été un pentecôtiste?»
J’ai dit : «Eh bien, autrefois j’étais membre de l’Eglise baptiste missionnaire; je n’étais qu’un jeune garçon quand j’ai été ordonné.» Mais j’ai dit : «Immédiatement après mon ordination, ai-je dit, je – j’ai reçu le Saint-Esprit, ainsi je pense que je suis devenu pentecôtiste.»
Il a dit : «Vous voulez me dire que ce sont des pentecôtistes – ces pentecôtistes, que c’est le Saint-Esprit qui les fait renverser les chaises à coups de pieds et se comporter comme cela?»

32 J’ai dit : «Oui, c’est le Saint-Esprit.» J’ai dit : «Voici ce qu’il en est, ai-je dit, ils ont accumulé beaucoup de pression, de vapeur, ils laissent échapper cela par le sifflet au lieu de mettre cela dans la machine pour faire tourner les roues. Vous voyez? C’est – c’est tout.» J’ai dit – j’ai dit : «C’est vrai.» J’ai dit : «Il y a là tellement de pression qu’il leur faut tout simplement laisser échapper cela par le sifflet. «C’est tout ce que je sais. Voyez?» Et j’ai dit : «Ils ne peuvent pas retenir cela plus longtemps.»
Et il a dit : «Eh bien...»

33 J’ai dit : «Si je pouvais amener l’enseignement fondamentaliste dans la foi pentecôtiste, ou la foi pentecôtiste dans l’enseignement fondamentaliste... Ces gens sont des serviteurs de Dieu, mais ils ne comprennent pas vraiment la position qu’ils occupent. C’est tout.»
Et il a dit : « Eh bien, que pensez-vous que les luthériens ont?»
J’ai dit : «Le Saint-Esprit.»
Il s’est alors arrêté, et il a dit : « Eh bien, je ne sais quelle question vous poser.»
J’ai dit : «Eh bien, si je comprends bien, vous avez ici environ mille hectares où vous avez planté du maïs.» J’ai dit : «Si les étudiants ne peuvent pas payer leurs études, alors ils peuvent travailler pour payer leurs études à l’université.»
Il a dit : «C’est juste.»

34 Ainsi, le Seigneur m’a inspiré une petite pensée, et j’ai dit : «Monsieur, une fois, un homme avait défriché un grand champ pour y planter du maïs, et il a planté son maïs dans ce champ. Et le prochain... Un matin, il est sorti. Et quand il a regardé son champ, il a vu deux petites feuilles.» Tout celui qui a cultivé le maïs sait que c’est ainsi qu’il pousse. Ce que nous appelons les «pousses de maïs» [«sprig corn» en anglais – N.D.T.] dans le Sud, ça pousse juste comme cela – deux petites feuilles.
Et j’ai dit : «Cet homme s’est tenu à sa porte, et a dit : «Gloire à Dieu pour mon champ de maïs!» J’ai dit : «Eh bien, avait-il un champ de maïs?»
Il a dit : «Eh bien, il – il avait un début.»
Et j’ai dit : «Eh bien, potentiellement, il avait un champ de maïs. Voyez? Il avait cela dans sa première étape.» Et j’ai dit : « Ça, c’était vous les luthériens.»

35 Et j’ai dit : «Finalement, ce maïs a grandi jusqu’à porter une aigrette. Et savez-vous ce que l’aigrette a fait? L’aigrette a regardé en arrière aux petites feuilles, et a dit : ‘Je n’ai plus besoin de toi. Moi, je suis une aigrette.’ Mais elle devait encore se servir de la feuille en vue de se reproduire. Alors à partir de cette aigrette, cela a produit en passant encore par les – les feuilles, cela a produit un épi.»

36 J’ai dit : «Eh bien, la première étape, c’étaient vous les luthériens; la seconde étape, c’était le mouvement méthodiste de Dieu, et la troisième, l’épi, c’était le groupe pentecôtiste qui a ramené une restauration des dons à l’Eglise, une restauration du grain original qui était allé en terre. C’est juste une restauration, comme le dit Joël.» Vous voyez? J’ai dit : «Je sais donc qu’on a beaucoup de moisissure sur cet épi; et pourtant nous avons quelques grains là aussi, vous savez.» J’ai dit : «Nous...»
Et il a dit : «Eh bien…»

37 J’ai dit : «C’est le grain original.» J’ai dit : «Eh bien, l’Eglise pentecôtiste, c’est l’Eglise luthérienne avancée. Après tout, le – s’il n’y avait pas de feuilles, il n’y aurait point d’aigrette; et la vie qui était dans la feuille a produit l’aigrette. Et la vie qui était dans l’aigrette a formé le grain. Ainsi, c’est l’Eglise du Dieu vivant avancée.»

38 Il s’est arrêté, il a repoussé son assiette. Il a dit : «Frère Branham, une fois j’étais allé à l’Ouest. Qu’il... J’ai écrit... J’ai entendu parler d’un livre qui a été écrit sur tous les dons spirituels.» Et il a dit : «Je – je me suis rendu à l’Ouest pour rencontrer cet homme.» Et il a dit : «Quand je suis arrivé, il a dit : ‘Oh, j’ai simplement écrit à ce sujet; je n’en avais pas moi-même.’ Il a dit : ‘J’ai simplement écrit à ce sujet.’ Eh bien, a-t-il dit, j’aurais pu faire cela.’» Et il a dit : «Je suis allé partout là-bas et j’ai vu tout cela; et je suis allé parmi les groupes pentecôtistes et ainsi de suite.» Et il a dit : «Je – je les ai vus pousser des cris.»
Vous voyez, il s’est fait que la chose était là. Le diable l’avait mis là au mauvais moment, vous savez, quand les gens étaient vraiment en train de se réjouir. Et là, il s’est fait une opinion, et il est sorti. Voyez-vous?
Et il a dit : «Je m’excuse pour la lettre que je vous ai écrite.» Il a dit : «Je me suis joint à tel groupe, qui était contre cela, et c’est là que j’ai mis le doigt dessus, juste là; et j’ai dit que vous n’étiez rien [d’autre] qu’un devin.» Il a dit : «Je vous demande de me pardonner.» Il a dit : «Eh bien, certainement, Monsieur. Je ne voudrais jamais garder quelque chose et je n’ai jamais – ce que je vous ai dit dans la lettre.»
Il a dit : «Je voulais l’entendre de votre bouche.» Il a dit : «Eh bien, Frère Branham, quant à moi et tous les étudiants, nous avons tous soif du Saint-Esprit. Que devons-nous faire?»

39 Ainsi, vous savez ce que je lui ai dit, n’est-ce pas? Je leur ai dit : «Tournez vos dos, vos dos dans cette direction-ci, et vos visages contre le mur d’un bout à l’autre. Et prenez la résolution dans votre coeur, que vos genoux ne quitteront pas le sol avant que Dieu ne vous ait donné le baptême du Saint-Esprit.» Et j’ai dit : «Eh bien, ne pensez pas à ceci ou à cela. Restez juste là et dites : ‘ Ô Dieu, j’ai besoin du Saint-Esprit.’» Je suis allé là et je leur ai imposé les mains, et quarante ont reçu le Saint-Esprit sur-le-champ. Et à présent, ils sont environ cinq cents, ils sont forts et vont de l’avant, accomplissant des signes, des miracles, des prodiges et autres. Vous voyez?

40 Frères, je crois que nous avons la chose que le monde doit avoir. Mais nous devons aborder cela d’une manière… Que se passerait-il si vous étiez un charpentier? Je vais prendre cet homme qui est ici au bout, ou frère Borders là-bas qui est charpentier, je pense. Eh bien, que se passerait-il s’il enfonçait, s’il enfonçait des clous avec un marteau comme ceci, et que j’avais une sorte de marteau automatique dans lequel je peux déverser un paquet de clous, et que je peux soulever comme ceci, et brrrip!! et ces planches sont clouées comme cela de loin mieux qu’il ne peut le faire avec son marteau? Eh bien, si je m’avançais vers lui et que je lui disais : « Pfft! Mon garçon, tu ne t’en sors même pas. Tu ne t’y connais pas. Eh bien, tu es en train de te broyer les doigts. Oh! la la! tu n’as pas de résultat pour commencer», je le vexe. Je ne vendrai jamais le marteau. C’est vrai. Vous voyez? Il s’agit de mon approche avec ce que j’ai. Mon produit, je le sais bien, est meilleur que ce qu’il a. Mais je dois me rappeler qu’il me faut l’aborder de la manière convenable.
Et si je m’avançais vers lui, disant : «Bonjour, monsieur. Je m’appelle Branham.»
– Moi, je m’appelle Borders.
– Je vois que vous êtes un charpentier.
– Oui. Oui, monsieur, je le suis.
– Moi aussi, je crois vraiment que vous êtes un bon charpentier.
– Oui.
– J’étais en train d’observer la manière dont vous maniez–maniiez votre marteau.
– Oh, oui. Le vieux Betsy est resté longtemps avec moi.
Je dirais : «Oui. C’en est un bon. Oui, c’est vraiment bon, aussi. Et vous savez réellement le manier. Oui.» Je continue de lui parler pendant quelque temps. Je dirais : «Avez-vous déjà entendu parler de tel nouveau marteau?»
– Non, je ne pense pas.
– Eh bien, le voici. Introduisez vos clous ici à l’intérieur et clouons tout simplement là ces planches. Observez le temps que ceci prend et quel résultat j’obtiens.» Je le lui montre comme cela. Je dis : «Prenez-le. Essayez-le pendant quelques jours et voyez ce que vous en pensez. Je vais revenir.» Voyez-vous? Si c’est un bon produit, il se vendra tout seul. Vous savez ce que je veux dire, n’est-ce pas, frère? Voyez-vous?

41 Voyez, nous avons la chose correcte. Nous devons aborder les gens avec cela de la manière correcte. Voyez-vous? C’est ça la chose. Voyez-vous? C’est la chose véritable et authentique. Ceci, c’est le Saint-Esprit. Je crois cela de tout mon coeur.

42 Je ne crois pas que les frères soient des renégats. Je crois que ce sont des frères. Je ne crois pas que l’Esprit qui opère ce discernement soit un esprit de divination. Je crois que c’est le Saint-Esprit qui Se révèle dans Son Eglise, Il est juste en train d’amener l’Eglise à sa position. Et si nous pouvions avoir un moyen de prendre le mouvement pentecôtiste tout entier, et démolir simplement nos petites barrières, et avoir un lieu où nous pouvons nous rassembler, et nous asseoir dans les lieux célestes en Jésus-Christ, là où nous sommes baptisés par un seul Esprit, oh! je pense qu’il y aurait des manifestations jamais connues avant. Et si nous pouvions nous approcher des méthodistes, des baptistes et des pentecôtistes, nous pourrions aller partout à n’importe quel endroit, je crois que ça peut se faire, frères.

43 Je ne voudrais pas m’arrêter ici. J’aimerais lire juste une ou deux paroles dans la Bible et vous parler juste pendant un moment. Mais je voulais… Je sais que vous devez partir, et moi aussi, et je – j’ai ce déjeuner le – samedi matin; et – et j’ai prévu de rester lundi soir pour [en avoir] un autre ici. Je ne sais pas encore. Il faut que je parle à frère Borders et aux autres. Mais j’aimerais vous laisser sur ceci : je suis ici pour vous aider. C’est simplement… Nous n’avons que quelques minutes pour nous mettre ensemble. J’aimerais que nous puissions rester ici jusqu’au début du service de cet après-midi, et puis revenir demain matin. Et j’ai suivi ce que vous les frères aviez à dire et j’apprécie beaucoup cela.
Mais maintenant, juste pour vous faire savoir ce qu’il y a sur mon coeur. Je vous apprécie, et je ferai tout ce que je peux pour vous aider, en tant que mes frères, pour – avec ce petit ministère que le Seigneur m’a donné, et ce qu’Il vous a donné, afin que nous puissions unir cela en ce moment pour voir ce que nous pouvons faire pour Son Royaume. Inclinons la tête juste un moment, avant d’aborder Sa Parole.

44 Ô Dieu plein de grâce, au Nom de Jésus-Christ, nous venons à Toi avec des esprits humbles, contrits et brisés, Seigneur, sachant que nous sommes prêts à être modelés, comme le prophète qui est allé dans la maison du potier pour y être modelé. Et Père, dans nos coeurs nous désirons, ce matin, que Tu nous brises de telle sorte que nous soyons modelés en différents caractères, des caractères qui représenteront Jésus-Christ. Prends mon coeur insensé, Seigneur. Prends mes paroles balbutiantes et brise-les en morceaux, Seigneur. Ecarte ma propre volonté et fais de moi une nouvelle personne en Christ. Accorde-le, Seigneur c’est le désir de nos coeurs. C’est la raison pour laquelle nous sommes ici.
Et, Seigneur, pendant que nous sommes en train de parler de Toi à cet autel, où ce petit frère Juif qui croit en Toi, le frère Michaelson... Je–je prie pour lui, Père. Je Te prie de le bénir. Et nous sommes reconnaissants pour cette occasion d’être ici dans cette synagogue chrétienne.
Bénis-nous tous ensemble en ce moment, comme nous nous attendons pour quelques instants à la lecture de la Parole. Bénis cela dans nos pensées. Bénis nos services, Seigneur. Ô Dieu, Tu connais nos coeurs. Et j’aimerais vraiment être uni d’un même coeur, d’une même âme, dans un seul but, c’est-à-dire, avec mes frères ici, qui sont ici sur cette terre sombre et maussade de ce vingtième siècle, ici en 1962 près du tournant du vingtième siècle une fois de plus, il n’y a plus de temps.

45 Et la civilisation est parvenue ici à la côte ouest, ayant voyagé de l’est vers l’ouest, et nous nous rendons compte qu’elle ne peut pas aller plus loin maintenant. Nous rentrons encore à l’est lorsque nous quittons cette côte-ci. Et de la même manière que la civilisation est venue, nous nous rendons compte que le soleil voyage de l’est à l’ouest. Et il y eut un temps où le F-i-l-s est venu chez le peuple oriental, et Il a montré une grande Lumière, et de grands signes montrant qu’Il était le Messie. Et Il a promis…

46 Le prophète a dit qu’il y aurait un jour qui ne pourrait être appelé ni jour ni nuit. Nous avons connu ce jour brumeux et sombre de deux mille ans, presque, où nous avons juste pu croire dans assez de lumière pour nous permettre de nous déplacer, et sachant qu’Il était le Fils de Dieu, et nous nous sommes bâti une église, une organisation et nous essayons de garder les frères et les soeurs ensemble, et de les amener à mener une vie correcte… Mais, Seigneur, les brouillards sont en train de se dissiper, et une Lumière vient sur le peuple occidental, le même F-i-l-s avec les mêmes signes, le même Evangile, une restauration.
Tu as promis que dans les derniers jours, le Message qui ramènerait la foi des enfants aux pères viendrait. Ô Dieu, laisse-nous retourner à ce jour original de la Pentecôte. Laisse-nous revenir à cette grande foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.
Et puisse le grand Arbre-Epouse de Dieu, que le jélek a dévoré, puisse-t-Il produire au sommet des fruits que feront mûrir les Lumières du soir pour la Venue du Fils de Dieu. Accorde-le, Seigneur. Aide-nous alors que nous y mettons tous du nôtre, dans ce but précis. Nous nous abandonnons à Toi. Nous sommes à Toi. Seigneur, fais de nous comme bon Te semble. Nous nous abandonnons entre Tes mains, ce matin, dans cette synagogue, Seigneur. Et puisse Ton grand dessein être accompli dans nos vies pendant que nous nous abandonnons complètement à Toi, pas comme Samson. Samson a donné sa force, mais il n’a point donné son coeur. Ô Dieu, puisse notre coeur, notre force, tout ce que nous sommes, tout ce que nous sommes T’être consacré. Rends cela puissant, Seigneur. Multiplie cela pour le Royaume de Dieu. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

47 Dans Psaumes 16, juste pour la lecture, le dernier verset : Tu me feras connaître le sentier de la vie; il y a d’abondantes joies devant ta face, des délices éternelles à Ta droite.

48 Et maintenant, vous savez, je ne voudrais pas essayer de prêcher. J’aimerais juste vous parler pendant une minute, ou plutôt je dirais par exemple, environ quinze, vingt minutes.
Ici David parlait de la vie. «Tu me feras connaître le sentier de la vie.» Avez-vous remarqué cela? «Me feras-tu connaître? Ou, pourrais-Tu me faire connaître? J’espère que Tu me feras connaître»; «Tu me feras connaître.»

49 Je crois que tout celui que Dieu a appelé entendra et viendra. Eh bien, je crois que c’est ce à quoi nous faisons face maintenant dans nos réunions. Nous pouvons simplement semer la semence. Une partie tombera le long du chemin; une partie tombera d’un côté, une autre tombera de l’autre. Mais une partie tombera sur le bon terrain. C’est vrai. «Fais-moi connaître le sentier de la vie.»

50 Eh bien, la vie est la chose la plus grande que nous puissions obtenir. Il n’y a rien de plus grand que la vie. Si je pouvais aller dans la gloire ce matin, et que nous pouvions tous y monter, je pourrais rencontrer Abraham.
«Quelle est la chose la plus glorieuse qui existe, Abraham?» Il répondrait : «La vie.» Il… peu importe ce qu’est tout le reste, la vie est la plus grande chose que tout homme peut obtenir – c’est la vie. Que donnerez-vous en échange de la vie?

51 J’ai un livre à la maison. Et je – je crois qu’il était écrit par frère Nugent, un aumônier des prisons. Et dans ce livre, il donne les témoignages de grands personnages qui sont morts sur terre depuis l’époque de Christ jusqu’à ce jour. Et il donne le témoignage de grands personnages méchants et le témoignage de grands personnages spirituels dans l’autre partie du livre. Et je lisais cela, je crois qu’il s’agissait de la sanguinaire Marie d’Angleterre, là où elle disait : «Si je pouvais… Je donnerais mon royaume en échange de cinq minutes de plus à vivre», le royaume pour lequel elle avait mis tant de personnes à mort à cause de – et ainsi de suite, et cependant elle voulait donner ce royaume en échange de cinq minutes de plus à vivre.

52 Je me souviens encore du témoignage de Paul Rader, juste ici, lorsqu’il est mort là au tabernacle, ou plutôt là où ils avaient le tabernacle, lorsqu’il a dit… Lorsqu’il était mourant, il a appelé Luc, son frère. Ils étaient en quelque sorte devenus copains, comme je le suis avec Billy Paul, mon fils.
Si je comprends bien, ils avaient fait venir là un quatuor de–de l’école Moody, qui était en train de chanter. Et Paul avait le sens de l’humour. On chantait : Plus près de Toi, mon Dieu, et il a dit : «Dites donc, qui est en train de mourir ici, vous ou moi?» Et il a dit : «ouvrez les fenêtres, et chantez-moi un bon cantique de l’Evangile et qui a du punch.» Et ils ont commencé à chanter : Là à la croix, quelque chose comme cela, ce quatuor. Et il a dit : «Où est Luc?»
Il était dans la pièce voisine. Ils l’ont fait venir. Il a saisi Luc par la main. Il a dit : «Luc, penses-y. D’ici cinq minutes, je me tiendrai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa justice.» J’aimerais partir de cette manière-là.

53 Dwight Moody, vous connaissez ce qu’était son témoignage, lorsqu’il s’est levé et qu’il a dit : «Est-ce ça la mort?» Il a dit : «Ceci est le jour de mon couronnement.» C’est de cette manière-là que j’aimerais partir.

54 J’ai tenu très récemment la main de ma précieuse mère lorsqu’elle partait. J’ai tenu la main de mon épouse lorsqu’elle est partie. Je les ai observées lorsqu’elles sont arrivées au bout du chemin. La vie est la chose la plus glorieuse qui existe. Et ceux qui n’ont pas d’espoir après que celle-ci est terminée, c’est une chose horrible. Nous marchons sur le sentier de la vie.
Beaucoup de gens disent : «Qu’est-ce que la vie? Où pouvons-nous la trouver?» Eh bien, elle est tout autour de nous. Dieu l’a faite tellement…
C’est comme Job, nous voyons dans le – le… dans Job, il a posé cette question à ce sujet. Toute la – nous entendons cela, cette question être posée à ce sujet tout au long de la vie.

55 Cela me rappelle un petit garçon qui vivait à Jeffersonville, où je vis. Un jour, il est dit qu’il était – il s’est rendu auprès de sa mère, et il a demandé : «Maman, Dieu, ce Dieu dont tu parles, c’est vraiment une grande personne. Peut-on Le voir?» Elle a répondu : «Demande au pasteur.»
Ainsi, il est allé chez le pasteur et lui a demandé, et il a dit… non, c’était la monitrice de l’école du dimanche. Et la monitrice de l’école du dimanche a dit : «Tu ferais mieux de demander au pasteur.» Elle ne savait pas.
Aussi s’est-il rendu chez le pasteur. Ce dernier a dit : «Non non, mon fils.» Il a dit : «Personne ne peut voir Dieu et vivre.» Il a dit : «On ne voit pas Dieu.» Eh bien, le petit ami était en quelque sorte déçu.

56 Et il y avait là un vieux pêcheur. Et il était là sur le fleuve, un jour, avec ce vieux pêcheur, en train de pêcher, et une tempête est survenue. Comme beaucoup parmi vous, je pense, sont de l’est et savent comment le… arrache les feuilles. Et il descendait le fleuve. Et le petit garçon était assis à l’arrière du bateau. Et le soleil se couchait à l’ouest. Et l’arc-en-ciel traversait la rivière comme cela et le vieux pêcheur, ramant… Et les eaux s’étaient calmées après la tempête, et tout était devenu frais ainsi que le parfum des fleurs. Et comme il pagayait, de grosses larmes argentées ont commencé à couler sur sa barbe grise–sur sa barbe, pendant qu’il contemplait. Et le petit garçon a regardé tout autour pour voir ce que l’autre contemplait. Il a regardé le vieux pêcheur.

57 Et de la poupe du bateau, il a couru jusqu’au milieu du bateau, et il s’est assis près des genoux du vieux pêcheur, et il a demandé : «Monsieur, j’aimerais vous poser une question. Ma mère n’est pas en mesure de me répondre, la monitrice de l’école du dimanche et mon pasteur non plus.» Il a dit : «Est-ce que… Dieu étant si grand, un homme peut-il Le voir?»

58 Et le vieux pêcheur a tiré les rames sur ses genoux, et il a appuyé la tête du petit garçon contre son épaule, et a dit : «Que Dieu te bénisse, chéri. Tout ce que j’ai vu, toutes ces quarante dernières années, c’était Dieu.» Voyez-vous? Il était simplement… Il vous faut avoir Dieu ici à l’intérieur pour Le voir là à l’extérieur, voyez-vous, Dieu à l’intérieur regardant au travers de vos yeux.

59 Je regarde un arbre de l’autre côté de la rue. Je pense maintenant au moment où je traversais le désert de Mohave, ou le désert en venant ici, tout semblait tellement mort. Et juste quand je me suis approché de la rivière Colorado, il y avait un petit buisson vert. Il était très remarquable. Je me suis dit : «D’où tire-t-il la vie?» Voyez, il avait la vie. Il était vivant. Dieu est dans la vie. Il est… Tout ce qui est vivant a Dieu en soi.

60 Un jour Job a dit : «Si un arbre meurt, il revient à la vie. Mais un homme meurt, il rend l’âme, il – et où est-il? Ses fils viennent pleurer et lui rendre le dernier hommage, mais il ne voit pas cela. Oh, si Tu voulais me cacher dans le séjour des morts la tombe, n’y tenir à couvert, jusqu’à ce que Ta colère soit passée.»

61 Et il – il a vu; il a vu Dieu dans Sa nature, dans la vie : comment une petite fleur pousse et se tient là. Et après quelque temps… Elle est jolie, et il y a quelques jeunes fleurs dans le parterre de – de fleurs, et des fleurs d’âge moyen, et des vieilles. Mais lorsque la gelée vient et les frappe, ça les tue toutes. Et la petite fleur fait tomber ces pétales. Et de ce bouton de fleur, il y a une petite semence noire, petite, minuscule, qui tombe.

62 Et aussi étrange que cela paraisse… Mais cependant, Dieu organise un cortège funèbre pour ces fleurs. Saviez-vous cela? Les pluies d’automne viennent, et elles pleurent et laissent couler de grosses larmes d’eau. Et Il ensevelit cette petite semence dans la terre. Et la brise d’hiver vient et gèle cela, et ça éclate, et la pulpe s’en détache. Toute chose naturelle qu’on pouvait regarder s’en est allée.

63 Et un homme de science pourrait prendre une poignée de cette terre, l’amener au laboratoire et l’examiner minutieusement. Et vous ne saurez pas découvrir ce germe de vie. Il n’y est pas. Le – le potassium, le calcium, le pétrole, l’humidité, et tout ce qui est là à l’intérieur est retourné à la poussière. Mais quelque part là, il y a un germe de vie qui est caché. Et aussi sûr que le soleil se lève encore au printemps, il vivra de nouveau. Dieu a pourvu à une voie pour cela.

64 Prenez le béton et placez-le dans votre cour au printemps, et posez des pierres. Où y aura-t-il plus de gazon? C’est juste là tout autour de la bordure de votre allée. Pourquoi? Ce sont ces semences qui ont été couvertes. Et lorsque le soleil commence à briller sur cette vie botanique, cette petite semence de vie va se frayer un chemin autour de tout ce béton, par-dessus chaque pierre, sous chaque morceau de bois, et va contourner jusqu’à ce qu’elle puisse dresser sa petite tête à l’extérieur, et louer le Dieu de la vie. Vous ne pouvez tout simplement pas cacher la vie. C’est le but pour lequel nous sommes ici, mes frères, pour apporter la vie.

65 Il n’y a pas longtemps, j’étais assis là, prenant mon dîner avec un vieux ministre méthodiste, un vieux et bienveillant saint de Dieu. Il avait le Saint-Esprit dans sa vie. Et nous étions en train de suivre «L’heure de l’Agriculture», une émission à partir de Louisville. Et le Club 4H avait une machine avec laquelle on pouvait mettre au point un grain de maïs, le rendre si parfait, de sorte qu’à base de cela, on obtienne du pain de maïs qui sera aussi bon que celui à base du maïs qui est cultivé dans le champ – le même genre de cornflakes de maïs. Et effectivement, vous pourriez ouvrir cela, mettre cela dans un laboratoire, et son coeur serait au bon endroit, avec une bonne proportion d’humidité, de potasse, et tout ce qui constitue le maïs. Vous ne saurez pas les distinguer. Une fois que vous les avez mélangés, vous ne saurez distinguer l’un de l’autre, cela était si parfait.
Il a dit : «Et l’unique façon pour vous de pouvoir distinguer l’un de l’autre, c’est de les enterrer. Celui que la machine a fabriqué pourrira, et c’est tout. Mais celui que Dieu a fait croître, il contient la vie là à l’intérieur, qui se lèvera à nouveau.»
Un homme pourrait avoir l’apparence d’un chrétien, imiter un chrétien, ou marcher comme un chrétien, ou que sais-je encore. Mais si ce germe de vie n’est pas là, il ne peut pas ressusciter.

66 Jésus a dit : «Je suis venu afin qu’ils aient la vie», Zoé, la vie même de Dieu en eux. Et il y a… Tout ce qui a eu un commencement, a une fin. Ce sont des choses qui n’ont point eu de commencement qui n’ont pas de fin. Il n’y a qu’une seule chose qui n’a jamais eu de commencement; c’est Dieu. Et nous sommes devenus Ses enfants, une partie de Lui, alors Zoé, la vie même de Dieu, la Vie Eternelle nous est transmise. C’est la seule façon pour nous de pouvoir vivre. Et c’est l’unique façon pour nos frères perdus qui sont là, même les membres d’église, de pouvoir jamais revivre, c’est parce que Zoé leur a été transmise, et nous En sommes devenus une partie.

67 Avez-vous remarqué au jour de la Pentecôte, comment Sa grande Colonne de Feu, qui, nous le savons tous, était le Messager de l’Alliance, qui était Jésus-Christ, qui… Moïse considéra l’opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l’Egypte; en effet, il a abandonné l’Egypte, et a suivi ce grand Messager, cette Lumière.

68 Le jour de la Pentecôte, lorsque cette grande Lumière est entrée là, Dieu S’est divisé. Des langues de feu se sont posées sur chacun d’eux, et ils étaient tous remplis du Saint-Esprit, et ils ont commencé à parler en d’autres langues selon que le Saint-Esprit leur donnait de s’exprimer, Dieu Se séparant, quittant l’état d’un seul Être pour être dans Son église, partageant Sa vie avec Son peuple. Voilà le message que nous devons apporter aux gens. Ils périront sans cela. Absolument.

69 Ma propre mère est morte récemment. Lorsque je me suis tenu à ses côtés, et qu’elle a dit : «Billy…» Tous nos enfants étaient – ses enfants, nous nous tenions là, nous qui sommes en vie : Deux d’entre nous sont déjà partis sur les dix. Et la fille… Elle m’a regardé, elle a dit… Elle a d’abord regardé Dolores. Elle a dit : «Ma première, et ma dernière.» Et maman était une chrétienne gracieuse, je l’ai conduite à Christ et l’ai baptisée il y a plusieurs années.
Et elle a dit : «Dolores, tu as été bonne envers moi. Tu m’as aidée. Tu as–tu as beaucoup fait la lessive pour moi, lorsque je suis devenue vieille et que je ne pouvais plus le faire. Tu venais nettoyer ma maison. Tu faisais ces choses. Elle a dit : «Je t’aime, chérie.»

70 Et Dolores, une jeune chrétienne, se tenait là se contenant, les yeux baissés, et elle a dit : «Maman, c’était vraiment insignifiant.»
Elle a dit : «Billy, tu as veillé à ce que je ne meure pas de faim.»
Et j’ai dit : «Maman, combien de fois as-tu quitté la table pour que moi je puisse avoir quelque chose à manger, lorsque nous étions – lorsque nous n’avions rien à manger?» Et j’ai dit : «Ce n’était qu’un devoir, maman.»
Et elle a dit : «Et puis tu as été en quelque sorte un guide spirituel pour moi, Billy. C’est toi qui m’as baptisée. C’est toi qui m’as montré le chemin de la Vie.»

71 J’ai dit : «Maman, tu sais que nous sommes issus d’un milieu catholique.» Et j’ai dit : «Puis, je – je fréquentais l’église, mais on disait : ‘Ceci est l’église.’» Et elle était contraire à la Parole. Je suis allé d’église en église, et j’ai découvert que c’était si contraire. C’est ainsi que je m’en suis tenu à la Parole, maman.» Et j’ai dit : «Et j’ai essayé de te dire ce qui était juste et de te conduire à Christ.» Et la vieille et sainte bien-aimée s’en est allée rencontrer Dieu. Et alors, j’ai une fois de plus confié son âme à Dieu.
Dolores m’a appelé et elle a dit : «Billy, je – je ne peux tout simplement pas supporter cela.» Elle a dit : «Maman…»
J’ai dit : «Dolores, regarde de l’autre côté de la route, en face de là où tu habites. N’y a-t-il pas un grand chêne qui se tient là?» Elle a dit : «Oui.» Ça, c’était juste quelques jours avant que maman meure. Et elle a dit : «Oui.»
J’ai dit : «Maintenant l’automne approche.» J’ai dit : «Il y a environ un mois, ces feuilles étaient très jolies et vertes.»
«Oui, Bill», a-t-elle répondu.
J’ai dit : «Quand est-ce que… comment sont-elles maintenant?»
Et elle a dit : «Eh bien, elles sont jaunes, brunes, vertes et rouges.»
Et j’ai dit : «Dolores, qu’est-ce qui les rend jaunes, brunes, vertes et rouges?»
Elle a répondu : «Elles se meurent.»
J’ai dit : «Quand est-ce que l’arbre était dans sa plus belle forme?»
Elle a répondu : «Maintenant.»

72 J’ai dit : «La Bible dit : «Précieuse aux yeux de l’Eternel, est la mort de Ses saints.» Voyez-vous? C’est lorsque ce moment arrive. J’ai dit : «La vie retourne. La vie, c’est un arbre. Nous sommes tous accrochés à un Arbre de Vie. C’est vrai.»

73 Monsieur Wood, qui vend les livres dans les réunions, il était un témoin de Jéhovah. Et il était – il avait un garçon, qui est aussi avec lui; sa jambe s’était recroquevillée comme ceci suite à la polio. Et il était à Louisville dans l’une des réunions, et il a remarqué ce discernement. Et il a dit : «Eh bien, cela me semble vrai.»
Et ainsi, il s’est rendu à Houston, au Texas, lorsque j’étais là avec frère Kidson et les autres, lorsque cette photo de l’Ange du Seigneur a été prise. Et, eh bien, elle a été prise à maintes reprises; et tout récemment Il a encore été pris en photo. Il a été pris en photo en Allemagne, et à plusieurs reprises.

74 Ainsi, et – et frère Wood a amené son garçon, et il était là à l’une des réunions, et ils étaient assis tout au fond, oh! presque à un demi-pâté de maisons, ou plus loin. Un soir que je me tenais sur l’estrade, je n’avais jamais entendu parler de lui de ma vie, j’étais juste debout là promenant le regard tout autour. J’ai eu une vision devant moi, et j’ai dit : «Il y a un homme. Il est assis très loin là au fond, lui et sa femme. Et ils viennent de l’Etat du Kentucky, de très loin, d’un endroit appelé La Grange, dans le Kentucky. Il s’appelle Wood. C’est un charpentier. Il a un garçon dont la jambe a été endommagée par la polio, qui lui a tiré la jambe vers le haut comme ceci. «AINSI DIT LE SEIGNEUR, le garçon est guéri.» Et celui-ci s’est simplement mis à marcher comme ça. Et sa femme était une méthodiste, ainsi – ou je pense qu’elle était de l’Eglise de Dieu, l’Eglise de Dieu d’Anderson. Ainsi…

75 Il a dit : «Ruby, as-tu entendu cela?» Et ainsi, il a dit : «David, lève-toi», sa jambe était devenue tout aussi parfaite que l’autre. Il est dans cette réunion. Et alors, ce témoin de Jéhovah s’est donné à Christ.

76 Et alors, à cause de cela son frère est venu à… Oh! ils… vous savez comment ils… les Témoins de Jéhovah se sentent. Ils sont venus là pour chasser son frère de leur communion. Il a dit : «Tu écoutes ce genre de choses?» Il a dit : «Ces choses fausses qui circulent comme cela? Tu as été…?…» Son père est un lecteur chez les Témoins de Jéhovah. Il a dit : «Tu es mieux avisé.» Il a dit : «Si jamais je voyais cet homme, je lui dirais mes quatre vérités.» Il a dit : «Je connais bien l’enseignement que mon père m’a donné.»
Il a dit : «C’est celui qui est en train de tondre le gazon là-bas.»
Et je suis entré avec mon vieux chapeau rabattu, vous savez, et je me suis assis et je lui ai parlé. Il a dit : «Eh bien, a-t-il dit, je vous dirais, Monsieur Branham, a-t-il dit, que nous avons été élevés comme des Témoins de Jéhovah.»

77 J’ai dit : «C’est très bien.» J’ai dit : «Je préférerais être un russelite plutôt que de n’avoir pas de lumière du tout», et j’ai continué comme cela, sans négliger quoi que ce soit qu’il – il avait dit, et je lui ai parlé de mon mieux. Et j’ai dit : «Je vois que vous êtes un homme marié, et vous avez deux enfants.» Et j’ai dit : «Mais, vous vous êtes séparé de votre femme.»
Et il a jeté un coup d’oeil vers Banks. Il s’agit de monsieur David – le père de David Wood, celui qui est ici dans la réunion. Il a jeté un coup d’oeil… Il a pensé que monsieur Wood m’avait dit cela, et je saisis immédiatement sa pensée. Voyez-vous?

78 Ainsi, j’ai dit : «Vous avez pensé que frère Wood me l’a dit. Il ne me l’a pas dit. Il ne m’a rien dit sur sa famille.» Mais j’ai dit : «Vous pensez peut-être que si Wood me l’a dit… Avant hier soir vous étiez avec une femme aux cheveux châtains roux. Vous étiez dans la chambre avec elle lorsque son amant s’est pointé à la porte, et il a frappé à la porte. Et elle est allée à la porte, et elle n’a pas voulu que vous vous présentiez, et vous avez regardé par la fenêtre. C’était une bonne chose. Il vous aurait fait sauter la cervelle par un coup de feu.» J’ai dit : «L’homme se tenait là à la porte en complet sombre, avec une cravate rouge.»

79 Oh! il a failli s’écrouler sur le plancher. Il a dit : «C’est la vérité. C’est la vérité.» Et je l’ai baptisé là. Et quelques jours plus tard, son père s’est amené. Sa – sa soeur s’est amenée. Elle venait pour redresser les deux garçons. Je l’ai baptisée le même jour où elle est venue, par la même chose. Son père s’est amené, et il allait nous redresser tous. Ainsi, il voulait nous avoir.

80 J’ai dit… Il était un pêcheur. J’ai dit : «Eh bien, Banks, amenons-le à la pêche.» Ainsi, nous avons commencé à traverser la rivière. Il avait plu toute la nuit. Vous savez comment ça se passe à l’est. Ces rivières montent et tout. Nous descendions le «Wolf Creek Dam» [Barrage du ruisseau du loup – N.D.T.]. Et sur la route là… Il n’avait encore rien dit sur la religion, c’était un vieil homme très austère. Et il a dit… Et il était habile au possible. Il a donc traversé la rivière.
J’ai dit : «Eh bien…» J’ai eu une vision devant moi là, pendant que je me tenais là. Banks était au volant. J’observais cette vision. J’ai dit : «Eh bien, chaque ruisseau que nous traverserons…»
Il a juste dit; ce soir-là, il a dit : «Si jamais je voyais quelque chose comme cela arriver, je croirai cela.»

81 Ainsi ce matin-là… La grâce du Seigneur, et j’ai dit : «Chaque ruisseau que nous traverserons sera boueux. Lorsque nous sommes arrivés au ‘Wolf Creek Dam’… Les eaux de pluie seront montées jusqu’au-dessus du barrage et cela – ou plutôt seront en dessous du barrage, et ce ne sera pas boueux, et nous pêcherons aujourd’hui. Nous n’attraperons rien aujourd’hui jusqu’au soir. Et alors monsieur Wood (ici présent, Banks Wood), toi tu vas attraper un petit poisson-chat. Moi, je vais en attraper un d’environ vingt livres [dix kilos –N.D.T.], et certains autres qui pèseront chacun dix livres [cinq kilos –N.D.T.]. Tu pêcheras avec le même appât au même endroit, tu n’attraperas rien. Nous pêcherons jusqu’aux environs de vingt-trois heures. Les poissons cesseront de mordre. Nous rentrerons et – et nous prendrons notre souper à 23 heures, et nous resterons là toute la nuit. Et le lendemain matin, nous sortirons, et moi j’attraperai un gros poisson qui aura des écailles, et ce sera la dernière proie qui sera attrapée. Nous n’allons pas… Nous pêcherons le reste de la journée, mais nous n’attraperons rien.»

82 Et le vieil homme a un peu regardé tout autour comme cela. Nous sommes allés; et tout est arrivé parfaitement à la lettre, la façon dont c’est arrivé. Et lorsque nous sommes revenus à la rive ce soir-là, il a dit : «Voici l’eau. Qu’est-ce qui m’empêcherait d’être baptisé?» Et voilà tout leur groupe. Oh! c’est une chose glorieuse de savoir que nous sommes accrochés à cet arbre.

83 Eh bien, il y avait… Monsieur Wood et moi étions en train de chasser l’écureuil. Comme vous le savez, je suis – j’aime chasser. Ainsi, nous étions en train de chasser l’écureuil ensemble là dans le Kentucky, il y a de cela environ deux ans maintenant. J’étais allé là en vacances cet automne-là. Et j’ai chassé en Afrique, en Inde, et presque à travers le monde entier, mais je – j’ai vraiment passé un matin brumeux au mois d’août, ou une fois en – avec une carabine de chasse de calibre 22.

84 Et ainsi, j’aime vraiment faire la chasse aux écureuils. Et nous étions là dans le Kentucky pour un séjour de deux semaines, et il faisait très chaud. Eh bien, vous – vous les gens de la Californie, vous ne savez peut-être pas ce dont je parle, lorsque les feuilles et tout deviennent si chauds… Et le – et vous marchez là, et ces petits écureuils gris…

85 Et nous tirons uniquement dans l’oeil, uniquement, à cinquante yards [environ 46 mètres –N.D.T.]. Et si l’écureuil se trouve à quarante yards [environ trente-sept mètres –N.D.T.], nous reculons jusqu’à cinquante yards [environ 46 mètres –N.D.T.] et nous tirons dans l’oeil. S’il ne… Si cela l’atteint en dessous de l’oeil ou au-dessus de son oeil, je vais changer de fusil. Il y a quelque chose qui cloche. Ainsi, nous nous en tenons juste à cela. C’est ainsi… J’ai essayé de m’y entraîner, pour atteindre précisément le point visé.
Et ainsi, alors, nous avons campé là, et il faisait terriblement chaud. Et ces petits écureuils gris… Et vous parlez de Houdini qui est un professionnel de l’évasion; c’est un amateur à côté de l’un d’eux. Dès que vous effleurez une petite broussaille, il se sauve.

86 Vous connaissez tous frère G.H. Brown; demandez-le-lui une fois. Nous avons chassé ensemble. Ainsi donc… Et je le taquine au sujet de son vieux fusil de chasse automatique, que sa femme lui avait acheté, vous savez, il y a environ vingt ans, ainsi – il tirait les écureuils avec ce fusil de chasse.

87 Ainsi, nous étions donc en train de chasser, et il y avait… Frère Wood a dit : «Vous savez, Frère Branham, a-t-il dit, ici à un certain endroit il y a des dénivellations.» Je ne pense pas que vous en ayez en Californie. C’est en bas, vraiment en bas, là où les ruisseaux coulent et forment des marécages. Là sur une terre plane, dès que vous effleurez une broussaille, les voilà qui détalent. Vous ne pouvez pas les atteindre, car… Ils s’éloignent à environ deux cents ou trois cents yards [183 ou 274 mètres –N.D.T.]. Ils filent à une très grande vitesse. Ainsi donc, nous avons dit : «Nous nous rendrons là-bas, et nous verrons s’il nous permettra de chasser. Il possède environ 500 âcres» [environ 202 hectares –N.D.T..
Et j’ai dit : «Eh bien, ce serait très bien.»

88 Ainsi, nous nous sommes rendus là – les routes ne sont pas bonnes comme on en a ici, mais on est passé au travers des pistes de sangliers, et tout le reste, au travers des broussailles, passant par ces dénivellations, jusqu’à ce que nous sommes arrivés là. Il a dit : «Eh bien, il y a seulement un obstacle là.» Il a dit : «Ce vieil homme, a-t-il dit, est un incroyant. Et, oh! il est rude.»

89 J’ai dit : «Oh, je – je vous laisserai lui parler.» Ainsi, je me suis assis dans la petite camionnette, et nous avons roulé jusqu’à une blanche – une belle petite maison blanche, très loin là-bas au pied d’une grande colline, et – et il y avait une grande étendue d’herbes et un carré de maïs de ce côté. Nous nous sommes arrêtés là. Il y avait deux vieux hommes assis là, de véritables Kentuckiens. Et le Kentucky a son propre mode de vie, vous savez.

90 Frère David qui est là derrière, un frère grec, a dit : «Frère Branham, j’ai écouté votre bande.» J’ai dit : «Je…» C’est un peu affreux de dire ceci après le déjeuner. Il a dit : «Vous avez fait mention d’un cheveu dans le biscuit.» Il a dit : «J’ai cherché. Je n’arrive pas à trouver ce que c’est.»

91 Et j’ai dit : «Ça, c’est propre au Kentucky, vous voyez, un cheveu dans le biscuit.» J’ai dit : «N’essayez pas de chercher cela dans le dictionnaire car ça ne s’y trouve pas.» J’ai dit : «Au Kentucky…»
Nous sommes donc rentrés là dans cette cuvette de sassafras, vous savez, avec de vieux et grands chapeaux pendant comme cela. Nous nous sommes arrêtés, et frère Wood est sorti, il est allé là. Il y avait deux vieux hommes assis là, et il s’est avancé vers l’un d’eux. Et il s’est adressé à lui, en disant : «Bonjour.»

92 Et l’autre a répondu : «Bonjour, monsieur.» Et il a dit : «Je suis… Mon nom c’est Wood. Je suis Banks Wood.» Il a dit : «Je voudrais savoir… Nous étions ici à la chasse, à Dutton…» Ils nomment leurs lieux d’après les noms des rivières. Il a dit : «Nous étions à la chasse là à Dutton, et nous nous demandions si nous pouvions chasser chez vous.»
Il a dit : «Quel Wood es-tu?»
Il a dit : «Je suis le fils de Jim Wood.»
Il a dit : «Tout ce qu’ils…» C’était un groupe de témoins de Jéhovah qui étaient des gens bien. Il a dit : «Tout ce que Jim Wood – n’importe qui des siens est le bienvenu pour tout ce que j’ai ici à cet endroit.» Il a dit : «Le vieux Jim, est-il toujours en vie?»
Il a dit : «Oui. Il est là dans l’Indiana pour le moment.» Et il a dit : «J’habite là aussi.» Il a dit : «Et je viens chasser les écureuils chaque automne.»
Eh bien, il a dit : «Je vous en prie. J’ai cinq cents acres [environ 250 hectares – N.D.T.], et il y a plein de dénivellations et tout. Je vous en prie donc.»
Il a dit : «Eh bien, merci beaucoup.» Il a dit : «J’ai amené avec moi mon pasteur.» Il a dit : «Cela vous dérangerait-il s’il chassait aussi?»
Il a dit : «Wood, tu ne vas pas me dire que tu es tombé si bas que tu es obligé de trimballer ton pasteur partout où tu vas?» Et il a dit…
Ainsi, je me suis dit qu’il était temps que je sorte de la voiture. Ainsi, je suis sorti de la voiture, vous savez, je me suis avancé là, et j’ai dit : «Bonjour.»

93 Il a dit : «Salut.» Et il a dit… Avant qu’il ne puisse me présenter, il est intervenu immédiatement. Il a dit : «Eh bien, je n’ai que faire de vous, mes gars.»
J’ai dit : «Eh bien, j’admire votre honnêteté.»
Et – et il a dit : «La raison en est que… c’est celle-ci.» Il a dit : «Premièrement, vous n’avez pas l’air d’un prédicateur.» Avec le sang des écureuils et des moustaches, je n’avais pas pris de bain depuis deux semaines, je… Hmm. Ainsi, j’ai dit : «Eh bien, je pense que c’est aussi vrai.»
Et il a dit : «Ce que j’ai contre vous, vous êtes en train d’aboyer à un arbre où il n’y a rien.»

94 Eh bien, je ne sais pas si vous savez ce que ça veut dire. C’est une autre expression du Kentucky, David. N’essaie pas de chercher cela dans le dictionnaire. Lorsqu’un chien qui fait la chasse au raton laveur est trompé, il va courir jusqu’à un arbre. Et le raton laveur a une astuce : il va courir, il va sauter sur un arbre, et puis il s’échappe d’un bond. Vous voyez? Et si le chien n’est pas bien dressé, il va courir jusqu’à cet arbre où il a vu le raton laveur, il va flairer en suivant ses traces autour de l’arbre, il se tiendra là et il va se mettre à aboyer. Mais il n’y a rien dans cet arbre. Ainsi, un chien pareil, d’habitude, on lui tire dessus.

95 Ainsi, il a dit : «Vous les gars… C’est de cela dont vous avez besoin, de recevoir une bonne mitraille, a-t-il dit, parce que vous êtes en train d’aboyer là où il n’y a rien.» Vous savez ce que je veux dire, en prêchant. Il a dit : «On me considère comme un incroyant.»
J’ai dit : «Eh bien, tout homme a son opinion. Mais quant à moi, il n’y a pas de quoi s’en vanter.»
Il – il a dit… Eh bien, il a dit… «Eh bien, a-t-il dit, voici la chose, a-t-il dit, vous êtes – vous parlez de quelque chose là – quelque chose qui n’existe pas du tout.»
J’ai dit : «Oui, monsieur.» J’ai dit : «Bien sûr que, ça, c’est votre opinion.»

96 Et il a dit : «Eh bien, a-t-il dit, vous les gars, vous parlez d’un Dieu, et cela n’existe pas.» Et il a dit : «S’il y en avait un, je L’aurais vu.» Et il a dit : «J’ai vécu toutes ces années. J’ai environ soixante-dix ans, et a-t-il dit, je n’ai encore rien vu à Son sujet.» Et il a dit : «Cela n’existe pas, et vous mes gars, vous aboyez à un arbre où il n’y a rien. Et vous prenez l’argent des gens pour votre subsistance, et des choses semblables, et vous n’êtes qu’une bande d’escrocs.»
Je me suis dit : «Oh! la la!» J’ai dit : «Oui, monsieur. Naturellement, c’est une opinion.» Je me suis dit : «Ô Dieu, si Tu ne me viens pas en aide…» Ainsi, je – j’ai dit : «Oui, monsieur. C’est – c’est bien sûr une opinion», ai-je dit.

97 Et vous savez, maman, une vieille mère du sud, me donnait toujours un bon conseil, et une fois elle m’avait donné une expression. Elle avait dit : «Donnez à la vache assez de corde et elle se pendra elle-même.» Vous voyez? Ainsi, je me suis dit que c’en était une bonne pour lui : le laisser juste aller de l’avant et aboyer pendant quelque temps, et nous allons voir sur quel arbre il sera. Vous voyez? Ainsi donc, je l’ai laissé aller de l’avant et parler, et j’ai trouvé quelque chose. Et quelque chose m’est venu à l’esprit.

98 Il y avait là un pommier sous lequel ils étaient assis. Et au cours de l’année, en automne, les pommes étaient (c’était presque la dernière semaine du mois d’août), les pommes étaient en train de tomber et les guêpes les rongeaient. Vous savez ce que sont les guêpes? Très bien. Eh bien, de quelle partie du Kentucky êtes-vous? Vous voyez? Et ainsi donc, je lui ai dit, j’ai dit : «Cela vous ennuierait-il si je prenais une pomme?» Il a dit : «Servez-vous. Les guêpes les mangent.»
J’ai tendu la main et j’en ai cueilli une, et je l’ai frottée sur mon vieux pantalon couvert de sang, vous savez, et j’ai mordu dedans; j’ai dit : «Oh! la la! C’est une bonne pomme.»
Il a dit : «Oui, c’est très bon.»
J’ai dit : «On dirait que cet arbre produit vraiment beaucoup de pommes.»
«Oui, monsieur.» Il a dit : «J’en récolte beaucoup de tonneaux chaque année.»
J’ai demandé : «Quel âge a cet arbre?» Changeant de sujet avec lui, vous savez.

99 Et il a dit : «Oh, a-t-il dit, est-ce que vous voyez où se tient cette vieille cheminée là, de l’autre côté?» Il a dit : «J’étais né là.» Il a dit : «Maman et papa vivaient là, et il a dit, et le feu a brûlé cela. Nous avons bâti cette nouvelle maison par ici.» Et il a dit : «Alors, j’étais élevé là-bas.» Et il a dit : «Lorsque papa et maman sont morts, je – je suis resté juste dans cette maison.» Et il a dit : «Lorsque nous nous sommes déplacés vers ici, j’ai planté cet arbre là-bas, il y a quarante, cinquante ans, ou quelque chose comme cela.» Et il a dit : «Il est là depuis lors.»
J’ai dit : «C’est bon.» J’ai dit : «Oh! la la! C’est merveilleux.»
Il a dit : «Oui, monsieur.»
Il a dit : «Revenons au fait d’être prédicateur.» Il a dit : «J’aimerais vous poser une question.»
J’ai dit : «Oui, monsieur. Laquelle?»
Il a dit : «Vous les gars, si vous pouviez produire quelque chose, eh bien, ce serait différent.» Il a dit : «Eh bien, une fois, j’ai entendu un prédicateur, ou plutôt j’ai entendu parler de lui.»

100 Il a dit : « Ma vieille soeur (quelqu’un) là-bas sur la colline, a-t-il dit, elle se mourait de cancer.» Et il a dit : «Un prédicateur est venu par ici à Acton, dans le Kentucky»; c’est ça, c’était à environ trente miles [48 km – N.D.T.] de là. Et Wood a lancé un regard dans ma direction, et j’ai secoué la tête, il a dit : «Là sur le terrain de camping des méthodistes.»

101 Il a dit : «Ce prédicateur venait de l’Indiana.» Et il a dit : «Et il est venu là, et on raconte qu’il y avait deux mille cinq cents personnes réunies là, ce soir-là.» Et c’était tout au fond dans les collines, vous savez. Les gens venaient à cheval et ainsi de suite pour atteindre le lieu.
Et il a dit : «Il était là pour trois soirées.

102 Et il a dit : «La seconde soirée, a-t-il dit, la soeur de cette vielle dame vit là quelque part à un endroit appelé Campbellsville. Et pendant que ce prédicateur prêchait, il a regardé là au fond dans l’auditoire, là au fond où cette femme se trouvait et il l’a appelée par son nom, et il a dit : ‘Ce soir, avant de quitter la maison, vous avez regardé dans un tiroir du commode, du côté gauche. Vous avez pris un petit mouchoir qui a un dessin bleu au coin. Vous l’avez dans votre sac à main, et vous avez une soeur du nom de telle, qui se meurt d’un cancer de l’estomac. Allez, prenez ce mouchoir-là et posez-le sur la femme, et elle se rétablira.’»

103 «Eh bien, a-t-il dit, presque vers minuit cette nuit-là, nous avons cru qu’il y avait là au sommet de cette colline les gens de l’armée du salut.» Il a dit : «Je n’ai jamais entendu un tel brouhaha de ma vie, et ils étaient en train de pousser des cris.» Et si quelqu’un parmi vous les connaît, c’était frère Ben, et les autres; ils étaient là pour poser ce mouchoir sur la femme. Et il a dit : «Nous nous sommes dit peut-être que la vieille dame était morte.»

104 «Et le lendemain matin, a-t-il dit, nous nous sommes rendus là pour voir s’ils avaient fait les préparatifs pour les funérailles, et a-t-il dit, elle était assise là à table, elle et son mari, en train de manger des tartes aux pommes frites et de prendre du café.»

105 Vous savez ce que c’est qu’une tarte aux pommes frites, un chausson aux pommes en forme d’un croissant de lune? Je suis sûr que je suis chez moi. Ainsi c’est… vous savez, je – j’aime cela avec de la mélasse dessus, vous voyez? Et je n’aime pas les asperger. Je – je les baptise, vous savez. J’en déverse vraiment dessus. J’aime avoir une bonne quantité de la mélasse sur ma tarte. Ainsi je – j’aime vraiment ces choses.
Ainsi donc, elle mangeait cette tarte aux pommes frite. Et j’ai dit : «Le jour précédent, elle était vraiment dans une condition déplorable, au point que nous ne pouvions même pas… On ne pouvait plus la placer sur le bassin hygiénique, de sorte qu’on devait juste utiliser une alaise.»

106 Et il a dit : « Ma femme et moi, nous nous rendions là et changions son lit deux fois par jour.» Et il a dit : «Le médecin l’avait abandonnée environ six semaines avant cela, et on lui avait administré assez de phénobarbital pour la garder en vie jusqu’à ce qu’elle meure. Le cancer… On l’avait opérée, puis on l’avait juste suturée, ainsi…» Ils ont dit : «Il ne sert à rien de perdre encore du temps avec elle.» Et il a dit : «Et vous savez, elle était assise là, en train de manger, et elle a bondi, elle a couru pour nous serrer la main.» Et il a dit …
J’ai dit : «Pas possible!»
Il a dit : «Si.» Il a dit : «Maintenant…» Et il a dit : «Si tu ne crois pas cela, a-t-il dit, rendez-vous juste là et voyez. Elle vous le dira elle-même.» Voyez, c’est lui qui, à son tour s’était mis à me prêcher à ce moment-là. Je l’ai laissé témoigner pendant quelque temps.
J’ai dit : «Oh, vous ne croyez pas cela, n’est-ce pas?» Il a dit : «Certainement.» Il a dit : «Si vous ne croyez pas cela, rendez-vous là sur la colline et demandez vous-même. Je vous amènerai là.»
J’ai dit : «Oui, oui.» Il a dit : «Non.» J’ai dit : «Je vous croirai sur parole.» Vous voyez? J’ai dit : «Je vous crois sur parole.» J’ai dit : «Dites donc, qui était ce type-là?»
«Je ne sais pas.» Il a dit : «Il est de l’Indiana, on dit qu’il va encore venir ici.» Il a dit : «Je me rendrai auprès de lui lorsqu’il viendra.» Il a dit : «J’irai vers lui pour lui dire : ‘J’aimerais vous dire quelque chose, prédicateur, dites-moi comment donc avez-vous su cela, alors que vous n’étiez jamais dans cette contrée auparavant.’» Je n’y avais jamais été, vous voyez? Il a dit : «Comment avez-vous donc su cela?»
J’ai dit : «Oui, monsieur. Eh bien, j’espère certainement que vous le rencontrerez.» J’ai dit : «J’espère qu’il va vous aider.»
Et il a dit : «Eh bien, je vais y aller.» Il était en train de chiquer du tabac, vous savez, et il a craché par terre comme cela, et les feuilles…

107 Et j’ai dit : «Voulez-vous me dire maintenant… Revenons à cet arbre.» J’ai dit : «Je suis très émerveillé par cela.» Et j’ai dit : «Vous savez, nous n’avions même pas eu une soirée fraîche, pas de gelée, ni rien du tout.» Et j’ai dit : «Ces feuilles sont en train de tomber de cet arbre au sol. Et voilà pourquoi nous sommes venus ici, comme sortant de ces bois de plaines, où les feuilles sont en train de tomber, elles sèchent, et pour entrer dans ces dénivellations, où elles tombent dans l’eau et deviennent humides.» J’ai dit : «Et vous… Pourquoi donc ces feuilles tombent-elles de cet arbre?»
– Eh bien, a-t-il dit, la vie les a quittées.
J’ai dit : «La quoi?»
Il a dit : «La vie les a quittées.»
– A quitté les feuilles?
«Oui.» Il a dit : «C’est ce qui fait qu’elles tombent.»
J’ai dit : «Eh bien, nous n’avons pas eu de gelée ni aucun signe de temps froid.»
Il a dit : «Eh bien, simplement ça – ça les quitte.»
Et j’ai dit : «Eh bien, qu’est-ce qui arrive à la vie?»
Il a dit : «Elle descend aux racines de l’arbre.»
J’ai dit : «Que voulez-vous dire?»
J’ai dit : «Eh bien, l’hiver le fait geler, et cela tuerait ce germe de vie qui se trouve dans l’arbre;»
Et j’ai dit : «Alors elle descend jusqu’à la – jusqu’à la racine de l’arbre pour se cacher là, jusque quand?»
Il a dit : «Jusqu’au printemps.»
«Et ça vous produit un autre tas de pommes et un autre tas de feuilles?»
– Oui, monsieur.
«Oui, ai-je dit, c’est étrange.» J’ai dit : «Je – j’aimerais vous poser une question.» Il a dit : «Oui, monsieur.»

108 J’ai dit : «Quelle intelligence dit à cet arbre, à cette vie qui est dans cet arbre que l’hiver approche? Et si tu ne quittes pas ces branches pour descendre ici et être caché dans ces racines, tu mourras.’ Et cette vie obéit à cette intelligence et descend jusqu’aux racines de l’arbre, et y reste jusqu’à ce que l’hiver soit passé, et ensuite elle remonte et amène une nouvelle feuille?» J’ai dit : «Quelle intelligence fait cela, monsieur?»
Et il a dit : «Oh, c’est la nature.»
J’ai dit : «Qu’est-ce que la nature?»
Il a dit : «Eh bien, c’est effectivement elle qui fait cela.» Il a compris mon argument, vous voyez, et il essayait de s’en dérober. Il a dit : «Eh bien, a-t-il dit, vous voyez, cela…»

109 J’ai dit : «Eh bien, je vous dirai quoi. Prenons un seau d’eau, et mettons-le ici sur ce poteau de chêne. Et maintenant, au milieu du mois d’août, elle va descendre jusqu’au pied de ce poteau, et elle restera là jusqu’au printemps. Et elle va revenir et remplir de nouveau ce sceau. Est-ce que ça se passera ainsi?
Il a dit : «Non, non.»
Et j’ai dit : «Eh bien, dites-moi quelle intelligence? Il faut donc que ça soit une intelligence, parce que l’arbre n’a pas d’intelligence. Il faut que ça soit une intelligence pour faire que cette vie quitte le sommet de l’arbre, ici aux branches pour descendre jusque dans les racines, et une intelligence qui lui dit qu’il est temps de remonter.»
Il a dit : «Au juste, je n’y avais point pensé.»
Et j’ai dit : «Maintenant, réfléchissez-y pendant longtemps. Et lorsque vous aurez trouvé l’intelligence qui dit à cette sève de l’arbre, cette vie, de descendre jusqu’aux racines et de se cacher pour ne pas mourir, alors, je vous dirai l’intelligence qui m’a dit qui était cette femme et ce qu’il fallait faire pour sauver sa vie.»

110 Il a dit : «Ce n’est pas vous ce prédicateur-là?»
J’ai dit : «C’est bien moi.»

111 Là… Montrez-moi… «Tu me feras connaître le sentier de la vie», bien que cela soit si simple. Et là, il s’est mis à genoux, il a ôté son chapeau et je l’ai conduit à Christ. «Fais-moi connaître Ton sentier de la vie», à un fermier ignorant, qui probablement ne savait pas écrire son propre nom. Mais Dieu a une manière de prendre un sentier de la vie, pour l’y conduire. Et, mes frères, nous sommes accrochés à l’Arbre de la Vie. Et un jour, cette vieille feuille tombera.

112 Mais il y aura une résurrection un jour. Il y a devant nous un grand millénium, une grande résurrection. Nous reviendrons un jour parce que nous avons la Vie Eternelle. Nous comprenons cela au moyen d’une parole. Si nous avions du temps, vous savez, comment cela se passe. Nous pourrions aborder cela de plusieurs manières. Les gens… Parfois, il vous faut utiliser différentes méthodes pour attraper une personne.

113 L’année passée, je me suis rendu là; je me suis dit : «J’irai encore chasser chez le vieil homme.» Je me suis rendu là en voiture, et les herbes avaient poussé partout là. J’ai vu une dame avancée en âge, qui était assise à la véranda, en train de peler des pommes de ce même arbre. Je me suis avancé. Je lui ai dit : «Bonjour.»
Elle a dit : «Bonjour.»
Et j’ai dit… J’avais vu beaucoup de grands écriteaux inscrits partout avant d’arriver là. Et j’ai dit : «Je ne sais pas si c’est possible que je puisse chasser l’écureuil.»
Elle a dit : «Monsieur, lorsque mon mari était en vie, il était très étrange. Il a mis des écriteaux dans la concession.» Et il avait dit : «J’ai des garçons de – qui vivent là dans le Kentucky, à Louisville, dans le Kentucky.» Il avait dit : «Et ils viennent chasser ici.»
J’ai dit : «Je comprends bien cela. Il me l’avait dit. Puis-je le voir?»
Elle a dit : «Il est mort.»
J’ai dit : «Vous ne parlez pas sérieusement!»
– Si.
J’ai dit : «Eh bien, il m’a dit lorsqu’il était vivant que je pouvais chasser.»
Elle a demandé : «Qui êtes-vous?»
J’ai dit : «Je suis frère Branham.»
Elle a laissé tomber sa casserole. Elle m’a saisi par la main. Elle a dit : «Frère Branham, il est dans la gloire maintenant.» Elle a dit : «Il a mené une vie chrétienne loyale depuis cette heure-là.»
J’ai dit : «Et vous êtes en train de peler les pommes de ce même arbre.» J’ai dit : «Les pommes reviennent, n’est-ce pas?» J’ai dit : «Il reviendra de même lors de la grande résurrection.»

114 Et, frère, soeur, nous ne pouvons pas nous permettre de laisser les gens que nous aimons, et pour lesquels Christ est mort, quitter cette vie, mourir sans la Vie Eternelle. Faisons tout ce que nous pouvons pour les amener à la position où ils peuvent ressusciter lors de la résurrection. «Tu me feras connaître le sentier de la Vie.»

115 Vous les frères, vous pouvez le faire pour vos assemblées, car beaucoup d’entre vous sont des ministres instruits et des théologiens. Je – je n’ai pas cette capacité. Mais mon petit… Je n’ai aucune capacité, sinon un petit don qui m’a été donné, comme pour me préparer, de sorte que là où les gens sont, ce qu’ils pensent, ce qu’ils font, et ce qu’on devrait faire… C’est un petit moyen pour mon ministère. C’est juste un des petits sentiers que Dieu me laisse emprunter afin d’amener Ses enfants de ce côté-là.

116 Et je joins le mien au vôtre, en ce moment. Et faisons connaître aux gens le sentier de la Vie afin qu’ils trouvent la voie du Seigneur.
Et Il a dit ici : «Car il y a la joie dans la Présence de Dieu.» Il y a la joie, comme nous marchons sur ce sentier, en regardant de part et d’autre, la résurrection des arbres, des feuilles, tout parle de Dieu. Soyons donc comme des créatures de Dieu, parlant de Dieu dans tout ce que nous faisons ou – ou disons. Faites briller cela pour Sa gloire. Que Dieu vous bénisse. Inclinons la tête juste un moment, maintenant.

117 Seigneur Jésus, Toi le Grand Berger du troupeau, je suis très heureux, Seigneur, que Tu m’aies fait connaître le sentier de la Vie. Et je suis très heureux de marcher sur cette vieille grande route. Je suis très heureux d’avoir joint mes bras à ceux de ces frères aujourd’hui, comme nous nous tenons au bord de cette grande route, criant de nos voix, avec tous les talents que Tu nous as donnés, à cette masse de l’humanité mourante, là-bas, pour laquelle Tu es mort. Aide-nous, Seigneur, nous T’en prions.
Puisse chacune de nos vies être un arbre, ou quelque chose qui apportera une telle conviction au pécheur et à l’incrédule que les gens – qu’ils puissent voir la voie du Seigneur et entrer dans les joies du Seigneur. Accorde-le, Père. Bénis-nous dans nos faibles efforts réunis. Nous Te remercions pour ce merveilleux temps de communion, ce grand déjeuner. Et, Père, nous sentons que nous avons juste… Nos âmes et nos corps sont nourris par la bonté de Dieu.
Sois avec nous, maintenant, comme nous allons plus loin pour entrer dans une autre série de réunions, et sois avec nous ce soir, et puisse quelque chose être fait, qui amènera les pécheurs à venir vite à l’autel pour être sauvés. Que les malades soient guéris.

118 Que ceux qui n’ont pas le Saint-Esprit, soient baptisés dans le Corps de Christ. Accorde-le, Seigneur. Nous nous abandonnons à Toi. Nous prenons nos prières, notre foi, et nous mettons cela ensemble, et nous déposons cela sur Ton autel. Et nous T’envoyons cela, Seigneur. Reçois-nous, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Que Dieu vous bénisse, mes frères. Et je pense que maintenant, un des frères viendra congédier l’église, ou la – l’assemblée, officiellement, comme il le faudrait.

119 Et pendant qu’ils décident sur la personne qui viendra, j’aimerais dire : Je vous remercie pour votre aimable présence, et je suis désolé de vous avoir gardés ici jusqu’à midi; ici à ma montre, il est presque onze heures cinq. Et je pourrais rester pour vous parler des choses glorieuses que j’ai vues arriver, des choses que le Seigneur fait là dans le champ de mission, et des choses de grand – des choses glorieuses. N’ayez jamais peur. Rappelez-vous tout simplement : Dieu l’a promis; Dieu doit tenir Sa promesse. Il est simplement obligé de tenir Sa promesse. Que Dieu vous bénisse maintenant. Et frère Borders…

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