E-1 Que Dieu vous bénisse. Bonsoir, mes amis. Je me sens très humble et très petit d’avoir ici un frère comme frère Parton, pour dire, faire une–une présentation si honorable. Je peux certainement rendre ce compliment et dire que c’est un sentiment réciproque. J’ai rencontré de très braves hommes, mais je ne pense pas avoir déjà rencontré un frère plus gentil, plus humble, meilleur que notre frère Parton. Je suis très content de savoir que cette bonne foule de gens ici de cette ville et des alentours a un–un pasteur ici comme frère Parton. C’est un très bon frère.
Et l’autre jour, je suis sûr, quand nous avons suggéré de tenir cette réunion de clôture le dimanche après-midi afin que chaque pasteur puisse tenir son–son propre service cette soirée-là, alors frère Parton a si humblement dit: «C’est bien–c’est bien gentil.» Je suis sûr que cela a été apprécié par chaque pasteur et–et par chaque membre de toute autre église...?.... C’est vraiment un gentleman, à part qu’il est chrétien, n’est-ce pas? C’est–c’est bien de faire cela. Je suis sûr que tous les pasteurs apprécient cela. J’espère qu’un jour, Dieu voulant, nous pourrons revenir dans cet Etat avec une tente, afin que nous puissions rester plus longtemps et avoir un bon et long service.
E-2 Je suis venu vers vous, frère, difficilement. En effet, je suis venu vers vous très fatigué. Et celui-ci est le plus long que j’aie jamais entrepris au cours de six ou sept dernières années sans une interruption pour me reposer. Ça fait quatre mois sans arrêt, allant d’un service à un autre. Et alors, ça rend la chose vraiment difficile. Ma gorge est faible et fatiguée. J’ai encore deux services, encore, avant d’avoir un quelconque–un quelconque repos. Je n’ai pas été à mesure de beaucoup parler, ou de beaucoup prêcher sur la Parole. Simplement un petit témoignage ou quelque chose comme cela, et aller de l’avant. Vous avez merveilleusement soutenu cela et j’apprécie certainement cela. Vous ne savez combien j’apprécie tout un chacun de vous.
Et je sais que dans une assistance de cette taille, si je revenais dans une année, certains parmi vous ne seraient pas ici. Si je suis ici, certains parmi vous n’y seront pas. Quelqu’un sera parti, peut-être certains parmi vous les jeunes gens, peut-être dans un accident, vous irez à la rencontre du Seigneur. Et peut-être que ça serait certains parmi vous les personnes avancées en âge, vous qui avez pratiquement consommé votre vie, une personne malade, je ne sais pas. Peut-être que c’est moi qui partirais; je ne sais pas. Tout cela repose entre les mains de Dieu.
E-3 Mais si je revenais, avec autant de gens, je suis sûr que quelqu’un sera parti, celle-ci aura été notre dernière rencontre sur terre. Et je suis très content de savoir que notre dernière rencontre comme celle-ci, que vous êtes venus et vous avez soutenu la Parole de Dieu que je vous ai prêchée dans la Bible. Et je suis très content de savoir que frère Parton ici a... Est-ce que je prononce bien ce nom-là? Parton, Parton. C’est lui qui était... frère... Et la présentation qu’il m’a réservée l’autre soir à l’église, disant que quand il a lu le livre, il se posait parfois des questions si je viendrais.
E-4 Eh bien, je devais venir à son église, non pas dans un auditorium, à l’église. Et c’est quelque chose, c’est rare que je tienne une série de réunions dans–dans une église à cause de l’encombrement. Mais voici ce que j’ai toujours pensé, amis: Nous nous connaissons, nous parlons à coeur ouvert les uns aux autres un moment (N’est-ce pas?), juste comme c’est la clôture cet après-midi. J’essaie toujours de faire ceci...?... Généralement, quand un homme reçoit juste une petite bénédiction de la part de Dieu, la chose suivante, vous savez, il va se mettre à penser qu’il est un peu plus grand que quelqu’un d’autre. Et quand vous le faites, vous êtes sur votre route vers le bas. C’est vrai. Peu importe combien le lieu est petit, je vais des fois à de petites églises qui n’offriront même pas des places assises à plus d’une douzaine de personnes, de petites missions, je prêche de toutes mes forces comme je le ferais dans un grand auditorium. Eh bien, qu’est-ce que cela change? L’Eglise, c’est là où nous sommes assemblés. Jésus a dit: «Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je serai au milieu d’eux.»
E-5 Et nous sommes venus, qui sait... Vous vous rappelez la conversion de Dwight Moody, je pense que c’était lui. C’était une vieille lavandière qui avait fait la lessive toute la semaine et qui avait distribué des tracts; c’était au début de l’Eglise méthodiste. Et personne ne voulait les recevoir, ils les jetaient par terre et s’en allaient, ils pensaient qu’ils étaient des saints exaltés et autres. Et elle avait loué une écurie des chevaux, elle l’avait nettoyée, elle avait placé sa vieille planche à lessive là. Un drôle de petit garçon est passé par là, portant les bretelles de son papa, des cheveux lui tombant sur le visage, il a dit: «Femme, que distribues-tu?»
Elle a dit: «Des tracts, fiston.» Elle lui en a donné.
E-6 Quand le prédicateur est venu prêcher cette soirée-là, savez-vous qui était là? La vieille femme et le petit garçon. Le prédicateur était un vieil homme brave, il est dans la Gloire aujourd’hui. Il a prêché ce sermon-là qui pratiquement lui brûlait le coeur, il a fait son appel à l’autel pour un seul élève, le petit garçon. Je ne pense pas que c’était Moody; je suis désolé, je pense que c’était lui ou un autre; c’était peut-être Smith, ou je ne sais plus qui c’était, il a envoyé pratiquement un million d’âmes à Christ, après qu’il s’était agenouillé à l’autel cette soirée-là. Il ne savait pas qui cela... Vous ne savez pas ce que vous faites. C’est parfois à de petits endroits que vous faites quelque chose pour Dieu; nous travaillons pour une seule cause noble: le Royaume de Dieu. Et il incombe à tous de travailler à cette fin-là.
E-7 J’ai constaté... Au début, quand j’avais commencé, je savais qu’il y avait beaucoup de choses qui étaient rattachés à ceci, et il n’y avait personne sur le champ de travail à l’époque. Et moi, étant un baptiste, parmi les gens du Plein Evangile, je me suis rendu compte de ce qui allait se passer. Et il y avait trois choses que j’avais constatées dans la Bible, qui chaque fois...?... un ministre. Et l’une d’elles, c’est l’argent; l’autre, c’est la popularité; puis les femmes. Je sais donc que Saül était tombé à cause de la popularité. Balaam, à cause de l’argent; et Samson, à cause des femmes. Ainsi donc, je savais que ces trois choses étaient un obstacle que nous devons toujours gardé caché. Et l’argent, évidemment, c’est le–le plus grand. Et... ou essayer de penser qu’on est juste un peu meilleur que quelqu’un d’autre.
E-8 Je–j’ai essayé, amis chrétiens, j’ai essayé de mon mieux, par la grâce de Dieu, je peux dire avec Sa grâce, que tout cela a été mon passé. Priez que je le maintienne ainsi. Je n’ai jamais pris l’argent. Je suppose que... Billy m’a dit il y a quelques minutes, il a dit: «Papa, je pense qu’on a prélevé une offrande d’amour pour toi.» Ce n’était pas nécessaire, vous n’aviez pas à faire cela, je ne suis point venu dans ce but-là. Dieu le sait. Non, monsieur. Je suis un homme pauvre, je pouvais devenir un multimillionnaire. Beaucoup parmi vous savent qu’on m’avait remis une fois un million cinq cents mille dollars, du coup. Quand les agents de la police m’ont apporté cela, j’ai refusé de regarder leur ordre de paiement; j’ai dit: «Non, monsieur, je ne mettrais pas la main dessus.»
E-9 Ils ont dit: «Oh! la la! ont-ils dit, mais cet homme a vingt-huit millions de dollars. Il est propriétaire d’une grande Mission Bell Winery... et tout.
J’ai dit: «Peu m’importe ce qu’il possède, monsieur, mon Père possède des bétails sur chaque colline et Il... Je–je n’ai pas besoin d’argent.»
Et il a dit: «Eh bien, je venais de voir la maison de votre mère et la vôtre ici, la maison du pasteur et, a-t-il dit, vous pouvez vous en servir.»
J’ai dit: «Oui, quand j’en aurai besoin, le Père m’en enverra. Mais je–je n’en ai pas besoin maintenant.» Et j’ai refusé de regarder cela: un million cinq cents mille dollars en une seule offrande. Je préférerais recevoir cinquante cents ou une pièce de dix cents de tel et tel, tel et tel, permettant ainsi à tout le monde d’y contribuer, plutôt que de recevoir beaucoup d’argent. Des chagrins, des troubles et puis, vous pensez: «Eh bien...» C’est simplement trop, la malédiction de l’amour de cela. Et je–je suis né pauvre, j’ai grandi pauvre, les membres de ma famille sont pauvres; je veux mourir pauvre. Tout ce que je veux avoir à ma mort, c’est la faveur de Dieu; c’est tout ce que je veux. Je n’ai rien apporté dans le monde, il est certain que nous n’en emporterons rien. C’est vrai. Ce que nous recevons donc de la part de Dieu, c’est tout ce que nous pouvons emporter avec nous. Si jamais vous voulez donc prier pour moi, ce n’est pas pour que j’aie de l’argent, pas pour que j’aie de grandes maisons, ou que je sois populaire, mais priez simplement que je reste entre les mains de Christ, qu’Il me modèle, de l’argile, afin qu’Il me modèle, qu’Il m’utilise, de n’importe quelle manière qu’Il trouve convenable de le faire. Je prierai de même pour vous, afin que vous soyez de même.
E-10 Eh bien, peut-être, très bientôt, je vais affronter le front de l’Afrique, les différentes parties du monde une fois de plus. Je demande toujours ceci à mes réunions. Des choses deviennent difficiles... Vous pouvez vous imaginer comment ça se passe parfois. Vous ne saurez jamais, amis chrétiens; non, vous ne saurez jamais ce que c’est, une vie de ce genre. Certains parmi vous pensent que tout est rose; vous n’avez pas la moindre idée, mon bien-aimé frère ou ma bien-aimée soeur. J’aurais bien voulu échanger de position aujourd’hui, si cela plaisait à Dieu, avec celui d’un ministre qui vient juste prêcher l’Evangile, qui sort et fait son appel à l’autel plutôt que d’avoir... de connaître ceci. Eh bien, vous ne savez pas ce que c’est. Mais c’est cela ma vie; c’est ce que je dois faire.
E-11 Il y a quelques années, quand j’ai effectué mon premier voyage, ma fillette Rebecca avait constaté l’un de mes déplacements. Je suis allé pour six mois avant de revenir. J’allais simplement de lieu en lieu. J’étais resté huit jours et huit nuits sans jamais quitter l’estrade; je disais: «Je vais prier pour eux tous, sinon je mourrai ici en essayant cela.» Eh bien, vous, ça ne sert à rien d’essayer, il y en a eu plus à la fin qu’au début. La ligne de prière n’en finissait pas, tout le temps, des milliers et des milliers passaient dans la ligne de prière. On apportait le jus d’orange, je dormais, je mettais ma tête contre la chaire, je dormais, je reprenais la ligne de prière. Je suis resté là même avec eux. Ils restaient juste debout sous la pluie et tout, attendant.
E-12 Quand je suis rentré chez moi à la maison, ma fillette ne m’a pas reconnu. J’étais devenu un étranger. Elle a dit... Sa maman lui montrait ma photo. Mais quand je suis rentré chez moi à la maison, j’avais perdu mes cheveux, mon visage était ridé, ratatiné; j’avais perdu environ vingt-cinq livres [11,3 kg]. Ce n’était pas son papa. Cela a failli me tuer lorsque j’ai su que ma propre enfant ne me reconnaissait pas. Eh bien, c’est ainsi que c’était...?... avec Billy. Mais je Le connais. J’aimerais qu’Il dise en ce jour-là: «Tu as fait de tout ton mieux.» Ça sera donc bien tant que c’est en ordre.
E-13 Une femme m’a dit il n’y a pas longtemps, elle avait suivi plusieurs réunions, elle cherchait à entrer dans divers endroits pour qu’on prie pour elle, la pauvre créature. Finalement, elle est entrée, on a prié pour elle. Quand elle était sur le point de quitter, elle a simplement fondu en larmes, elle s’est mise à pleurer, elle a dit: «Frère Branham, puis-je poser une question?»
J’ai dit: «Assurément, soeur.»
Elle a dit: «Quand prenez-vous donc du repos?» On était vers quatre heures du matin. Elle a dit: «Quand prenez-vous donc du repos? Regardez ce groupe de gens-là qui attendent toujours.»
J’ai dit: «Soeur, quand j’aurai traversé de l’autre côté, c’est alors que j’aimerais me reposer.»
E-14 Ici, nous ne pouvons pas nous reposer, ici. Le soleil se couche; les âmes doivent être sauvées; quelque chose doit être fait. Si jamais cela doit se faire, ça doit être fait maintenant même. C’est ce que je crois. Et je–je veux que vous priiez pour moi, que Dieu me garde tel qu’Il peut m’utiliser. Je veux qu’Il dise, n’importe quand qu’Il veut que quelque chose se fasse, qu’Il dise: «J’ai un serviteur en qui je peux placer Ma confiance, il fera ce que Je lui ordonnerai.» C’est ainsi que je veux être.
E-15 Et vous ne savez pas, je promène le regard, je pense aux malades, je parcours du regard, je vois ces hommes aux cheveux grisonnants qui sont assis ici, les femmes aussi. J’aurais bien voulu avoir le temps de vous donner ma vision sur ce qui va m’arriver un jour, selon la Bible. Je peux vous le prouver; on va rajeunir, en des jeunes hommes et des jeunes femmes une fois de plus. Mais quand je vois tel que vous êtes, je vois certains parmi vous qui tombent malades...?... gravement malades, la maladie du coeur. C’est le tueur numéro un.
E-16 Un estropié, et j’en ai vu, je suis très content que des civières et autres soient vides ce soir. Mais vous voyez, un estropié peut mener une vie ordinaire, dans cet état là; c’est horriblement difficile, certainement. Mais un homme qui souffre du coeur, il faut que quelque chose soit fait immédiatement, sinon il va mourir. Voyez? Un homme peut avoir un coeur et des poumons en bon état et être estropié, il vivra. Mais pour cet autre homme, quelque chose doit être fait immédiatement, sinon il va mourir. La tuberculose, le cancer, c’est ça la chose; ce sont des tueurs. L’état d’estropié ne vous tue pas, mais ces maladies-là, ce sont elles qui vous tuent. Quand je pense: «Que puis-je faire pour quelqu’un? La meilleure approche pour moi, c’est quoi? Que–que puis-je faire?» Alors, cela m’emballe. Tout ce que je peux faire, c’est–c’est de... par un don...
E-17 Si je savais qu’il me faut venir prendre chacun de vous dans mes bras, vous étreindre en–en priant pour vous, puis tomber sur le pavement, ou prendre une pièce de vingt-cinq cents et la déposer sur le pavement, la pousser avec mon nez de part et d’autre de ces villes, je l’essayerais. J’essayerais. Je le ferais certainement, mais cela ne vous ferait aucun bien. L’essentiel pour vous, c’est avoir la foi ici en Christ. Voyez? Et le petit don humble qu’Il m’a donné, c’est pour élever votre foi à faire face à cela. J’espère que vous comprenez toujours cela. Et peut-être, si vous ne comprenez pas, priez simplement et je suis sûr qu’Il vous le fera savoir.
E-18 Merci pour l’offrande. Est-ce... C’était bien, n’est-ce pas? Merci, frère Par–Parton, j’apprécie certainement cela. A vous et à tous vos membres, à vous tous, les membres du Corps de Christ, j’apprécie cela. Je ne mérite pas votre offrande, c’est vrai. Mais j’ai beaucoup de dépenses. Pour mon bureau et ma maison, on dépense cent dollars par jour là même, que je prêche ou pas (Voyez?), cent dollars par jour. Je n’ai pas du tout de revenus, pas de sponsors des dénominations, rien du tout, pas de bailleurs des fonds, rien, juste des offrandes que des gens m’envoient et me donnent librement. Et parfois, j’ai des dettes de centaines de dollars. Et puis peut-être, je reçois une forte offrande d’amour quelque part de quatre, cinq, six cents dollars, peut-être mille, deux mille. J’ai reçu jusqu’à cinq mille dollars d’offrande. Ce que je fais, je vais auprès de mon secrétaire et je dis: «De combien avons-nous besoin?»
Il dit: «Eh bien, Billy, nous avons une dette d’environ mille cinq cents.»
Je dis: «Eh bien, payez cela. Eh bien, combien en faut-il pour le fonctionnement jusqu’à ce que nous obtenions encore?»
E-19 «Et il faudra encore cinq cents pour le fonctionnement jusqu’à votre prochaine réunion.»
«Eh bien alors, le reste de cela, affectez-le aux missions à l’étranger afin que je sache...»
Alors, quand j’en aurai assez réuni là, réuni un montant assez consistant, je peux aller outre-mer et prêcher à ces pauvres petits païens nus, qui crèvent de faim, et tout, les voir être conduits à Christ. Alors, je sais que je suis juste un administrateur de l’argent de Dieu, je dois rendre compte de ce que je fais avec. Je sais alors que cela n’est pas donné à quelque–quelque chose pour qu’on se promène en voiture, qu’on aille dans des voyages de Safari et des choses semblables. Je sais que cela a été affecté au Royaume de Dieu. C’est vrai. Et puis, là, quand je répondrai, ça sera au mieux de ma connaissance, comment procéder. En effet, je reçois l’argent et, grâce à cela, je prêche l’Evangile aux païens.
E-20 Et je sais que, là, on est dans le bon là. Chaque missionnaire est toujours dans le bon. «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création», ce sont des ordres généraux. On est donc toujours dans le bon. Et je vais vous assurer ceci, amis, chaque sou... Certains parmi vous, les mères et les papas, vous avez de petits enfants et autres, j’espère que vous ne vous êtes pas privé en faisant cela. J’espère que vous ne l’avez pas fait. Je prie que cela vous revienne au centuple. Et puis, je vais vous le rassurer, chaque sou sera affecté, au mieux de ma connaissance, au Royaume de Dieu.
J’ai des enfants à nourrir; j’ai une maison dont m’occuper et des choses à faire. Mais chaque chose, en dehors de cela, je l’affecterai directement au Royaume de Dieu, au mieux de ma connaissance. Merci pour votre confiance, pour avoir cru que je ferai cela. Que le Seigneur vous bénisse.
E-21 Encore d’autres mouchoirs déposés ici pour qu’on prie dessus. Rappelez-vous donc, écrivez-moi n’importe quand. La nuit ne sera jamais trop sombre, ni la pluie ne tombera jamais trop abondamment pour m’empêcher d’être prêt à faire pour vous tout ce que je peux faire. Ecrivez-moi donc simplement n’importe quand, réclamez un tissu ou–ou un contact au téléphone quelque part, là où je peux accéder à cela et prier pour vous. Je ne pourrais pas venir chez vous parce que... à moins que... le Saint-Esprit donne une vision, je suis constamment en mouvement avec cela tout le temps. Mais quant à dire, je viendrai chez vous, vous pouvez vous imaginer combien... On a évalué l’autre jour, nous sommes entrés en contact personnel avec plus de dix millions; vous pouvez donc vous imaginer ce que cela représenterait. Voyez, vous ne pouvez guère faire une déclaration et être juste. J’aimerais faire cela, mais je ne le peux simplement pas. Et je suis sûr que vous–vous les braves gens, vous comprenez cela. J’espère revenir une fois de plus auprès de vous à un moment donné. Maintenant, merci encore une fois si je...
Et j’aimerais complimenter les huissiers, les musiciens, la dame qui joue ici au piano, et tous, pour tout ce que–tout ce que vous avez fait; vous avez été vraiment gentils. Merci.
E-22 Et à vous les pasteurs, vous les pasteurs qui collaborez, que Dieu vous bénisse. Vous tous, mettez vos coeurs ensemble maintenant, et revenons encore, soyons tous ensemble et tenons une très grande réunion. Vous tous les méthodistes, les baptistes, les pentecôtistes, les gens du Plein Evangile, les Foursquare, vous tous, soyons ensemble. Nous serons ensemble là-Haut, soyons donc ensemble ici bas et travaillons ensemble pour le Seigneur. Ne pensez-vous pas que c’est bien? Oui. Parlons-Lui maintenant pendant que nous prions pour les mouchoirs.
E-23 Bien-Aimé Père céleste, ô Dieu, regarde ici et, même notre petite automobile, le petit jouet d’un enfant... Ô Dieu, un pauvre petit enfant, peut-être qu’il n’avait pas un mouchoir; en effet, j’ai prié sur son petit jouet pendant qu’il était en train de jouer avec, il a été guéri. Veux-Tu l’accorder, Seigneur. Du fond de mon âme, je Te demande d’exaucer ma prière.
Voici de petits mouchoirs et des linges, ils seront envoyés à ceux qui sont nécessiteux. Ô Dieu, regarde en bas, s’il Te plaît, ô Dieu, accorde que chacun d’eux soit touché par Ta puissance divine, ils recevront exactement ce qu’ils demandent. Peut-être, pour certains d’entre eux, ce sont leurs foyers qui sont sur le point de se briser, Satan est en train de séparer papa et maman. O Dieu, viens vite vers eux; entoure-les de Tes bras, Père, et fais-leur savoir que dans le Jardin d’Eden, c’est Toi qui as créé une compagne pour un homme, le mari et la femme sont devenus un. Ne laisse pas cela arriver. Bénis toutes ces choses. Accorde-le. Tire gloire de tout cela, Père. Nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.
E-24 Gypsy Smith a dit une fois, on avait prélevé une offrande d’amour pour lui une fois et il a dit... Ce–c’était une bonne offrande d’amour; c’était à Londres, en Angleterre, je pense, peut-être, à Royal George Hall [Salle du Roi Georges] quelque part où il tenait une série de réunions. Il a dit que, après que tout cela était terminé et qu’il était sur le point de quitter ce soir-là, une petite fille en lambeaux se tenait derrière la marche. Elle a dit: «Monsieur Smith, je n’ai pas eu l’occasion de vous donner mon offrande d’amour avec les autres, parce que je ne pouvais pas entrer. Mais je me suis dit que peut-être je vous remettrai mon offrande d’amour ici.»
Et il a dit: «Merci, chérie.» Une fois rentré, il a ouvert cela, c’était un petit papier, il y avait une petite note dessus: «Papa m’a donné ce bonbon il y a environ deux semaines, et mon papa a été sauvé de son état d’ivrogne, dans une réunion, et ceci est mon offrande.»
Il a dit que tout l’argent que les gens lui avaient donné, rien n’égalait cela, de cette pauvre petite fille en lambeaux.
E-25 C’est tout ce qu’elle avait. Elle pensait peut-être jouir de ce bonbon ou avait un enfant quelque part. La simplicité des enfants nous enseigne beaucoup de choses, n’est-ce pas? Juste combien c’est simple! Vous voyez rarement Dieu rejeter un enfant; Il ne peut simplement pas le faire. Ils viennent d’une manière simple comme cela. C’est ainsi que nous devrions être.
Vous êtes très gentils, je peux vous parler toute la soirée, mais j’ai six cents et quelques kilomètres de parcours en véhicule tout de suite, aussitôt ceci terminé, pour rentrer à Charlotte et commencer le mercredi soir prochain. Priez. Et le frère, je pense que c’est le Fox Theater là-bas. Venez nous voir, nous serons content de vous voir venir là. J’aimerais essayer d’amener ma femme et le petit Joseph encore. Nous n’avons jamais eu... Mes deux petits enfants, j’en ai trois ... Billy est d’une autre mère qui est allée dans la Gloire il y a plusieurs, plusieurs années quand j’étais un jeune ministre baptiste. J’étais à la fois mère et papa pour lui, nous sommes des copains ensemble, il s’attache à moi, il va çà et là, m’assistant, il représente beaucoup pour moi. Et priez aussi pour lui. J’étais resté célibataire pendant des années, puis je me suis remarié encore. J’ai trois enfants: deux fillettes, la petite Rebecca et Sara, ainsi que Joseph.
E-26 S’il y a un quelconque–s’il y a un quelconque mérite à attribuer à la famille Branham, attribuez-le à madame Branham. A trente-sept ans, elle a complètement grisonné, à force de se tenir entre le public et moi pendant ces années, l’intermédiaire protecteur à la porte, partout. Avec même tant de fanatiques et autres qui se sont levés, cherchant à maudire et à dire que si on ne fait pas telle et telle chose... Pauvre petite femme, elle est si nerveuse qu’elle a de la peine à aller de l’avant. Je vais essayer de l’amener, étant donné que vous êtes gentils ici en Caroline; j’aimerais qu’elle fasse votre connaissance et que vous fassiez sa connaissance. Nous retirons la fillette de l’école la semaine prochaine, Dieu voulant, pour l’amener cette fois.
E-27 Maintenant, pour vous parler juste un peu de la Parole, si vous le permettez, nous prierons pour les malades. Rappelez-vous toujours, amis, que je dis ceci, j’enregistre cela, vous voyez ces enregistreurs qui tournent. Observez-Le, ce qu’Il dit. Voyez? Une vision ne vous guérit pas. Une vision, c’est ce que Dieu montre pour élever votre foi au niveau où vous acceptez l’oeuvre achevée de Christ au Calvaire. Combien savent cela? Eh bien, combien comprennent à fond cela? Voyez? Il n’y a rien que j’ai pour vous guérir, ou la vision ne vous guérira pas.
E-28 Eh bien, une vision apparaîtra pour édifier une personne. Souvent, je vois que quelqu’un va mourir; je ne dis rien, jamais, peut-être juste «Que le Seigneur vous bénisse, allez de l’avant.» Je le dis comme cela afin que, vous savez, même si la mort a été prononcée sur un être humain, parfois la prière peut changer la mort. Saviez-vous cela? La Bible le dit. Eh bien, cela était arrivé effectivement. Ezéchias était couché malade, et le prophète Esaïe, il était un prophète de Dieu, il est allé lui annoncer qu’il allait mourir, qu’il ne descendrait pas du lit.
E-29 Alors, Ezéchias tourna son visage contre le mur et pleura amèrement. Ecoutez sa prière: «Seigneur, je T’en supplie, aie de la considération pour moi. J’ai marché devant Toi avec intégrité de coeur.» C’est ainsi qu’il faut prier. «J’ai marché devant Toi avec intégrité de coeur.» Dieu l’a épargné. Combien ce prophète a été embarrassé de revenir, de rétracter sur tout ce qu’il avait dit. Il est revenu et a dit: «Dieu a exaucé ta prière.»
Maintenant, écoutez. Qui est l’homme le plus important dans un pays? Le roi. Eh bien, pourquoi n’a-t-Il pas alors parlé au roi si le roi parlait face à face avec Jéhovah? L’entretien s’est déroulé entre le roi, ou le roi a parlé à Jéhovah. Pourquoi Jéhovah n’a-t-il pas répondu au roi? En effet, c’est l’homme le plus élevé dans le pays, et le roi de la plus grande nation du monde. Et là, le plus Grand Roi du Ciel, le Roi des rois répondait au roi, ou le roi de la terre parlait au Roi du Ciel. Et puis, Il revient, Il envoie Son prophète. C’est étrange, n’est-ce pas? Voyez?
E-30 Je... Vous n’allez probablement pas me pardonner de vous retenir comme ceci...?... juste–juste pour vous montrer quelque chose, amis. Excusez-moi de dire cela, de vous expliquer quelque chose. Dieu a certaines voies pour opérer. Combien comprennent cela? Qu’ils disent amen. [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Très bien. Dieu a certaines voies pour opérer. Et vous devez travailler suivant Sa façon de travailler. Voyez? Vous ne pouvez pas suivre votre voie et vos pensées, et–et vous devez suivre Sa voie.
E-31 Maintenant, écoutez ceci, laissez-moi vous donner une petite illustration. Voici les–les produits du champ sur cette colline, et cela est en train simplement de se consumer faute d’eau. Arrivez-vous à m’entendre? Les produits du champ dans cette colline, en train de se consumer faute d’eau, et sur cette autre colline (les deux collines vous appartiennent), et par ici, il y a un puits artésien qui est en train de faire jaillir de l’eau et cela se gaspille. Eh bien, et si vous vous teniez là et que vous disiez: «J’aimerais que cette eau arrose les produits de mon champ là. Eau, je t’ordonne d’aller arroser les produits de mon champ là. Eau, je t’ordonne d’aller arroser les produits de mon champ là.» Elle n’ira jamais. Certainement pas.
E-32 Mais il y a une loi de gravitation. Eh bien, vous pouvez irriguer cette eau là ici si vous utilisez là-dessus correctement. Si vous travaillez selon les lois de la gravitation, vous pouvez irriguer cette eau, la faire contourner la montagne et la projeter directement de ce côté-ci et irriguer tous les produits du champ. Est-ce vrai? Vous vous tenez là à crier: «Eau, viens ici, eau, viens ici», cela ne se fera pas. Mais si vous travaillez selon les lois de la gravitation, vous aurez votre l’eau là. Vous devez travailler selon les lois de la gravitation.
Eh bien, une fois, Benjamin Franklin a dit qu’il y avait assez d’électricité dans une pièce pour la faire exploser, si la–si la chaleur et autres étaient séparés. La chaleur séparée du froid, cela produisait l’éclairage, ou le... électrique...
E-33 Eh bien, et si vous vous teniez au milieu de l’un de ces grands bois une nuit, ici sur la montagne, et que vous disiez: «Oh! Electricité, je suis perdu ici; je n’arrive à rien voir; il y a... tu es ici, électricité; je sais que tu es ici. Alors, vous toute l’électricité, venez, éclairez le chemin, et montrez-moi l’issue.»
L’électricité est là; c’est vrai. Mais ce n’est pas ainsi que vous l’obtenez. Vous devez travailler suivant les lois de l’électricité. Est-ce vrai? Si cette électricité est attirée là, qu’elle passe par un générateur pour produire la lumière, elle va éclairer le chemin pour vous montrer l’issue. Vous devez travailler suivant les lois de l’électricité.
E-34 C’est pareil avec Dieu. Il y a ici un homme malade, il se meurt ici. Le médecin ne peut plus rien faire pour lui. Mais il ne peut pas juste crier: «Hé! Jésus, je veux que Tu viennes me guérir», dire: «Je vais faire ceci.» Ça ne marchera pas. Vous devez travailler selon les lois de l’Esprit. C’est vrai. Voyez, vous devez travailler selon les lois de Dieu.
Maintenant, je vais lire une portion de Sa Parole, et puis, nous allons parler de la Parole pendant quelques minutes et avoir un service de prière pour les malades. Dans Saint Jean 14, et à partir du verset 5...
Thomas lui dit: Seigneur, nous ne savons où tu vas; comment pouvons-nous en savoir le chemin?
Jésus lui dit: Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient à Moi que... ou au Père par moi.
Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. Et dès maintenant vous le connaissez, et vous l’avez vu.
Philippe lui dit: Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit.
Jésus lui dit: Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m‘as pas connu, Philippe! Celui qui m‘a vu a vu le Père; comment dis-tu: Montre-nous le Père?
Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même; et le Père qui demeure en moi, c’est lui qui fait les oeuvres.
Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la Parole. Je vais parler cet après-midi pendant les vingt prochaines minutes, ou plus sur: Montre-nous le Père, et cela nous suffit.
E-35 Eh bien, si Dieu est une Personne si remarquable, pourquoi n’arrivons-nous pas à Le voir? Tout cela... Est-ce vrai? Eh bien, nous allons voir si je peux rendre Dieu, amener plutôt Dieu vers votre... afin que vous soyez rassuré de Le voir ici même cet après-midi. Apprécierez-vous cela? Maintenant, si Dieu est une Personne si remarquable, pourquoi n’arrivons-nous pas à Le voir? S’Il est le Créateur de l’être humain, pourquoi n’arrivons-nous pas à Le voir? Et Philippe a dit, vous savez: «Montre-nous le Père, et cela nous suffit.»
Maintenant, je vais prendre quatre voies par lesquelles on voit Dieu. Nous aurions voulu prendre une centaine, mais je vais juste prendre quatre voies, me dépêcher à les terminer, voir si nous ne pouvons pas voir Dieu. Eh bien, nous allons parler de Dieu dans Son univers, Dieu dans Sa Parole, Dieu dans Son Fils, Dieu dans Son peuple. Et maintenant, voyons si nous pouvons voir Dieu.
E-36 Maintenant, il arrive souvent, et il a été dit que nul ne peut, à aucun moment, voir Dieu. C’est ce que dit la Bible. Mais le Fils unique du Père est Celui qui L’a fait connaître. Philippe était très curieux ici; il voulait voir le Père. Il dit ici qu’Il a dit: «Il y a si longtemps que Je suis avec vous, Philippe, et tu ne Me connais pas?» Il a dit: «Lorsque tu Me vois, tu vois Mon Père.»
En d’autres termes, vous voyez le Père s’exprimer au travers du Fils. Lui et le Père étaient un dans le sens que Son Père demeurait en Lui, ce n’était pas Lui qui faisait les oeuvres; Il était un Fils, Lui-même, l’Immortel, né d’une vierge, Fils de Dieu. Et alors, en Lui habitait Dieu le Père, qui se manifestait au monde, Son attitude envers les gens. Voyez? Eh bien, c’est ainsi que Christ et Dieu étaient Un. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Eh bien, Il a dit: «Quand vous Me voyez, vous voyez le Père, et pourquoi dites-vous: ‘Montre-nous le Père?’»
E-37 Maintenant, voyons Dieu dans Son univers. Nous considérons le grand cycle du monde. Saviez-vous qu’aucun homme, jusqu’à ce jour, ni aucune science ne peut prouver ce qui fait tourner le monde tel qu’il tourne? Avez-vous déjà essayé cela? On a eu souvent à pivoter une balle en l’air et la faire tourner, et elle ne restera pas dans la même orbite. Elle va ralentir ou aller plus vite; elle ne restera pas la même une seconde, au cours du même tour, car elle tourne à une certaine vitesse.
Mais ce monde tourne si parfaitement qu’on peut même vous dire quand la lune, l’étoile et le soleil connaîtront l’éclipse dans vingt ans. C’est parfait. Il n’y a pas une seule pièce de la mécanique de votre voiture, aucune pièce de la mécanique nulle part qui fonctionnera si parfaitement. On peut vous dire à la minute même, dans vingt ou trente ans quand le soleil connaîtra l’éclipse, déterminer le temps à partir de la révolution de sa rotation. Comme c’est merveilleux, comment ça reste là en place. Et j’ai dit: «La gravitation, est quoi?»
E-38 Personne ne sait. Il y a quelque chose qui fait tourner cela, on ne sait pas pourquoi cela tourne. Mais il y a une parfaite rotation. Et si cela tournait juste un peu vers le monde, cela se consumerait. Si cela s’éloignait un peu du monde, cela gèlerait. Mais cela reste bien parfaitement en place. Il y a une parfaite succession des saisons: l’été, l’hiver. Cela montre qu’il y a un génie là derrière. Absolument.
Il y a quelque temps, je parlais à un infidèle. J’étais à Colorado. Nous parcourions la montagne. Je suivais la piste d’un élan, à pied. Et lui chevauchait, et... sur son cheval, et il a dit: «Salut.»
Et j’ai dit: «Bonjour, monsieur.»
Et il a dit: «Où allez-vous?»
J’ai dit: «Je rentre voir... le fermier m’a renvoyé vers un–un camp là derrière, un camp de cow-boys.»
«C’est le sommet de la colline, là, a-t-il dit; suivez ce–ce sentier.» Il a dit: «Que faites-vous?»
J’ai dit: «Je suis la piste d’un élan.»
Il a dit: «Je ne veux pas mentir, vous dire que vous êtes un menteur, mais vous êtes en train de suivre la piste d’une vache.»
Et j’ai dit: «J’ai suffisamment chassé pour faire la différence entre un élan et une vache.» Voyez? Et j’ai dit... «Un élan n’a pas de patte comme cela, ou une vache n’a pas de patte comme cela; c’est la piste d’un élan.»
Il s’est accroupi, il a encore regardé cela et a dit: «Eh bien, peut-être que vous avez raison.» Il a dit: «Avez-vous chassé auparavant?»
J’ai dit: «Un peu.»
Il a dit: «D’où venez-vous?»
J’ai dit: «De l’Indiana.»
Il a dit: «Que faites-vous?»
J’ai dit: «Garde chasse.»
Il a dit: «Vous n’êtes même pas le bienvenu dans cette région», un très dur à cuire.
E-39 J’ai dit: «Eh bien, j’y suis quand même.» J’ai dit: «Bob Steel de Interstate Game Commission m’a envoyé ici. Je suis ici derrière pour chasser un ours grizzly.»
Il a dit: «Il n’y a pas de grizzly par ici.»
J’ai dit: «Il a dit qu’il y en avait. Je le crois sur parole là-dessus.»
Alors, il a dit: «Pouvez-vous chevaucher?»
Eh bien, vous devez faire attention en disant cela. Et j’ai dit: «Oh! ai-je dit, j’ai chevauché un peu.» Et j’ai dit: «Je ne suis pas un cavalier de toute façon.»
Il a dit: «Pensez-vous que vous pouvez monter ce cheval?»
J’ai dit: «Oui, monsieur.»
«Eh bien, montez-y.» Il a dit: «Et vous êtes garde chasse?»
J’ai dit: «Pas de cet Etat.» En effet, je savais que si j’en étais un, il serait un contrevenant. Alors, j’ai dit: «Pas de cet Etat, de l’Indiana.»
Et il a dit: «Eh bien...»
J’ai dit: «Je n’ai rien à faire avec vos lois ici. Je suis ici juste par courtoisie. Je chasse cet ours.»
Et il a dit: «Eh bien, je ne crois pas qu’il y ait des ours là derrière.»
Et j’ai dit: «Eh bien, nous en saurons plus à ce sujet après que je l’aurai chassé.»
Et il a dit: «Touchez-vous un très bon salaire?»
E-40 Et j’ai dit: «Non, pas grand-chose.» J’ai dit: «Voyez, la raison pour laquelle je suis garde-chasse, ai-je dit, je fais cela pour m’occuper, subvenir à mes besoins, mais je suis ministre.»
Il a dit: «Un quoi?»
J’ai dit: «Un prédicateur.»
Il a dit: «Vous avez l’air trop intelligent pour être ça.»
Et j’ai dit: «Eh bien alors, monsieur, c’est tout ce qu’il y a d’intelligent à ma connaissance.»
Et il a dit: «Eh bien, croyez-vous cette naissance virginale?»
Et j’ai dit: «Oui, monsieur.»
Il a dit: «J’aimerais vous dire pour commencer que je suis un incroyant.»
Et j’ai dit: «Eh bien, il n’y a rien de quoi se vanter là.»
Et il a dit: «Eh bien, a-t-il dit...»
E-41 Un... J’ai dit: «Loin de moi l’intention de m’en prendre à vous; je chevauche votre cheval. Mais, ai-je dit, j’aimerais simplement vous faire savoir, vous dire cette chose, que vous êtes un frère déchu, et vous êtes... Vous devriez vous redresser.»
Il a dit: «Redressez-moi alors. Corrigez-moi sur la naissance virginale, j’accepterai cela.» Il a dit: «Je ne crois pas qu’il y ait un seul mot de vrai en cela.»
J’ai dit: «Ne le croyez-vous pas?»
Il a dit: «Non, monsieur, c’est contraire à toute preuve scientifique.»
J’ai dit: «Quels livres avez-vous lus?» Il avait lu Darwin, l’Ethique de Darwin et les autres. J’ai dit: «Oui, mais vous n’avez pas lu le bon livre.»
«Oh! J’ai aussi lu la Bible.»
J’ai dit: «Eh bien, ne La croyez-vous pas?»
Il a dit: «Ecoutez, prédicateur...» Après environ une heure de discussion, il a dit: «Il n’y a aucun moyen possible au monde pour que cela arrive.» Il a dit: «C’est contraire à toute... scientifique»
J’ai dit: «Vous ne connaîtrez jamais Dieu par la science. Vous connaissez Dieu par la foi.»
E-42 Et il a dit: «C’est contraire à toutes les règles scientifiques.» Il a dit: «Ecoutez, il doit y avoir un contact réel entre le mâle et la femelle, même pour le maïs, pour les fruits, pour tout le reste, les abeilles portent les pollen, tout.» Il a dit: «Cela doit se faire.» Il a dit: «Cela doit se faire.» Il a dit: «Ça ne peut simplement pas se faire.»
J’ai dit: «Eh bien, vous me disiez comment le monde se retrouve ici, comment le soleil et la lune se sont... détachés l’un de l’autre se divisant simplement par ici. Là où le... Et comment le premier homme était une éponge, puis il est devenu un singe et autres, tout ça.» J’ai dit: «Maintenant, toutes ces choses-là, il y a... Vous avez eu à croire cela de par un livre. Et simplement, je–j’ai assez de foi pour croire cela. Je crois simplement ce que Dieu a dit, que c’est la vérité.»
Et il a dit... J’ai dit: «Et vous ne croyez pas que cela pouvait arriver par une naissance virginale?»
Il a dit: «Non. Pour commencer, je ne crois même pas qu’il y ait quoi que ce soit qui puisse faire qu’il y ait une naissance virginale.»
J’ai dit: «Dieu Tout-Puissant, le Créateur.»
Il a dit: «Je ne crois même pas dans Un.»
E-43 J’ai dit: «Eh bien, alors, vous êtes dans un mauvais pétrin, bien assurément.» J’ai dit: «J’aimerais vous poser une question.» Vous savez que maman me disait toujours, c’est un vieux dicton: «Si on lâche la bride à une vache, elle se casse elle-même au cou.» Et c’est vrai. «J’aimerais vous poser une question. Allez-vous alors accepter qu’Il avait eu une mère, d’après les Ecritures?»
«Oui, Marie était Sa mère. Mais c’est impossible que ce soit un Etre Créateur (Voyez?) qui L’avait créé. Il a dû y avoir un contact réel avec un père terrestre qu’on affirme être Joseph ou un autre homme.» Il a dit: «C’et tout à fait exact.»
J’ai dit: «Nul ne peut venir ici par une mère sans en fait un père terrestre.»
Il a dit: «C’est exact.»
E-44 J’ai dit: «Comment alors le premier homme est-il venu ici? Que ça soit le singe, le têtard, ou quoi que ce soit; il a dû avoir un papa et une maman, tous les deux, d’après votre perception?» Il ne m’a jamais répondu à cela jusqu’à ce jour. C’est vrai. Voyez, vous devez croire qu’Il existe. J’ai dit: «Frère, vos pensées sont plus minces qu’un bouillon fait à base de l’ombre d’un poulet qui a crevé de faim.» J’ai dit: «Vous–vous n’avez pas de fondement, car c’est faux.»
Et maintenant, cet homme est un fervent chrétien, il aime le Seigneur Jésus. Je l’ai conduit à Christ environ deux ou trois jours après cela. L’homme a seulement campé une nuit, vers une heure, quand il a regardé les étoiles suspendues juste au-dessus de lui.
Eh bien, vous voyez, il vous faut connaître Dieu. Dieu est dans Sa nature, en train de travailler. Comment cette fleur pouvait-elle là... qu’est-ce qui rend cette fleur jaune; et la suivante, blanche; et la suivante, bleue? Comment meurent-elles et repoussent-elles? Comment Dieu a fait que cette grande...
E-45 Vous êtes-vous déjà arrêté pour contempler le coucher du soleil, quelque chose vous envahit et vous vous mettez simplement à pleurer? Je l’ai fait plusieurs fois. Il y a quelque temps, je parlais quelque part. Il y a quelques jours, j’en parlais. J’espère que ce n’était pas ici. Mais de toute façon, je chassais l’élan un automne, là loin au sommet d’une montagne. Et il faisait froid là. Et en automne, il pleut, et ensuite le soleil réapparaît, et puis la–la neige tombe et se fond. Il y a on dirait une tempête. Un troupeau d’élan était là-haut.
E-46 J’aime les montagnes. Ma–ma grand-mère était une Cherokee pur sang des vallées ici, et ma conversion ne m’en a jamais débarrassé; j’aime la nature. En effet, je vois Dieu dans la nature. Comment un arbre peut-il laisser tomber ses feuilles, et–et toute sa vie descend vite dans l’autre maison, et vit ici en bas jusqu’à ce que l’hiver soit passé, ensuite cela remonte et il produit de nouveau des feuilles, des pommes et autres? C’est Dieu qui doit faire cela. Certainement, tout celui qui jouit de ses facultés sait cela. Dieu est dans Ses arbres. Dieu est dans le coucher du soleil. Dieu est dans les petites abeilles. Comment avez-vous eu la climatisation? On a découvert cela à partir de l’abeille. Comment elle porte le pollen, entre là-dedans... Elle vit seulement six semaines. Ses petites ailes battent toute la nuit alors qu’elle transporte l’eau; d’autres apportent l’eau, et elle travaille elle-même à mort. Ses petites ailes deviennent fragiles, elle tombe, et les oiseaux la ramasse. Six semaines, c’est–c’est la durée normale de vie d’une abeille. Et comment Dieu opère à travers Sa nature, et on voit cela, comment Il s’y prend.
E-47 Je me promenais là-haut cette année, et il y avait un... si vous regardez partout, vous verrez Dieu, pourvu que vous croyiez cela. Alors, je me promenais là-haut sur la montagne, pas tellement pour chasser l’élan et autres (Oh! la la!) non. C’était juste pour me retrouver seul, après la réunion, être là seul, tenir un fusil en main, une paire de mocassins aux pieds, m’envoler, faire une longue promenade à pied, trente-cinq, quarante miles [56,64 km] par jour, à travers les falaises, de neige, et partout comme cela, me retrouver seul, isolé, là où on peut s’arrêter, promener le regard et Le voir, s’asseoir au sommet de la montagne.
Floride; j’espère ne pas blesser vos sentiments, vous de Floride. Quand j’ai effectué ma première visite en Floride, et que j’avais traversé la frontière, j’ai signé...?... avec les Indiens Séminole. Tout ce montage artificiel me rappelle une femme qui cherche à paraître jolie avec un tas de produits Max Factor sur elle. C’est une honte. Oui, monsieur, elle est artificielle. Amenez-la au lavabo, elle ne conservera pas cet air-là. C’est ce que je pense de Floride, tout ce montage, et c’est... ce n’est pas naturel. J’aime voir cela tel que Dieu l’a créé, tel qu’Il l’a créé au commencement, de grandes collines, belles. C’est comme ça que Dieu a créé cela. Et vous voyez Dieu là dans la nature, et vous pouvez voir cela.
E-48 Alors, un jour, je me promenais là, une tempête a éclaté. Et je me suis refugié derrière un arbre et il y avait un vieil arbre abattu par le vent, là-haut, comme le troupeau d’élans n’était pas encore descendu. La tempête n’était pas assez forte pour les faire descendre; c’était sec là en bas; il fallait un temps orageux pour les faire descendre. Je m’étais donc refugié derrière l’arbre et je me tenais droit, comme ceci, derrière l’arbre, attendant la fin de la tempête.
Après que la tempête s’était calmée... Il faisait froid pendant la tempête, pendant que la tornade passait par là. J’ai regardé, et là où le... tout avait gelé, là où l’eau avait gelé, les glaçons se suspendaient aux arbres à feuilles persistantes, vous savez; tout cela avait gelé comme de gros morceaux de glaçon. Là loin, dans la contrée de l’ouest, dans les fissures des rochers, le soleil se couchait. Alors, j’ai regardé et un arc-en-ciel s’était formé là dans la grande vallée, c’était haut. J’étais probablement à quarante, cinquante miles [64, 80 km] de tout être humain. Et là, ce grand et bel arc-en-ciel, et j’ai dit: «Ô Grand Jéhovah, que Tu es grand! Voilà le signe que Tu ne détruiras plus jamais le monde par l’eau.» L’arc-en-ciel représente une promesse. J’ai regardé cela et je me suis dit: «Ô Dieu, assurément que Tu es ici en haut dans les montagnes. Oh! Que c’est beau!»
E-49 Juste à ce moment-là, j’ai entendu quelque chose. Je me suis arrêté comme tout chasseur le ferait, j’ai écouté, il y a eu un beuglement. Qu’était-ce? C’était un élan mâle, il s’était égaré du troupeau. Ils se sont mis à brailler par ici; la tempête les avait séparés, et ils beuglaient l’un vers l’autre. Et, oh! la la! comme David l’a dit: «La profondeur appelle la profondeur.»
Et là loin sur ce flanc de la montagne, un vieux loup gris s’est mis à hurler. Sa compagne lui répondait vers le bas. Eh bien, vous parlez d’un homme qui pleure; cela vous fera pleurer. Il y a là quelque chose; vous aimez ça. Il y a quelque chose qui se meut. J’étais là, j’ai dit: «Ô Jésus, Fils de Dieu, ô que Tu es grand.» Il y avait un grand oeil qui voit tout, qui regardait là, partout où vous regardez. Je pouvais L’entendre dans le troupeau d’élans. Je pouvais L’entendre dans le loup des bois. Je pouvais Le voir dans l’arc-en-ciel. Partout où vous regardez, vous pouvez Le voir. Oh! Que c’est beau de Le voir! Vous devez premièrement avoir cela ici à l’intérieur.
E-50 Un petit garçon dans notre région avait l’habitude... Il fréquentait une église, il avait entendu dire que Dieu était grand. Alors, il a dit: «Maman, quelqu’un peut-il voir Dieu? Il est si grand.»
Elle a dit: «Demande au pasteur, chéri; comment peux-tu t’attendre à ce que moi, je sache?»
Eh bien, elle est allée... il est allé auprès du pasteur, il a dit: «Pasteur, a-t-il dit, quelqu’un peut-il voir Dieu?»
Il a dit: «Non, fiston, non. Aucun homme ne peut voir Dieu et vivre.»
Il est allé auprès de sa monitrice de l’école du dimanche; elle a dit: «Non, personne ne peut voir Dieu et vivre.»
E-51 Il aimait la nature. Il y a une île juste au nord de chez nous là, appelée Six Miles Island. Et un vieil homme pêchait là, il s’en est allé dans la Gloire récemment. Il portait une barbe blanche et des cheveux blancs. Un jour, le petit garçon l’avait accompagné là sur la rivière. Pendant qu’ils descendaient la rivière, une pluie est survenue, et le soleil se couchait à l’ouest, et il s’est formé un–un arc-en-ciel à l’est. Pendant que le vieux pêcheur pagayait avec ses rames, pagayant en produisant un bruit dans l’eau comme seul un pagayeur peut apprécier la nature. Et quand il s’est mis à pagayer comme cela, la chose suivante, vous savez, cela produisait un bruit alors qu’il pagayait comme cela. Il a levé les yeux: L’eau a débarrassé toutes les feuilles de la poussière, c’était en plein été; il a vu l’arc-en-ciel. Il s’est remis à tirer, puis, il a arrêté ces rames, il les a laissées se balancer pendant que la barque voguait.
E-52 Peu après, le petit garçon qui était assis à la poupe de la barque a vu des larmes couler sur le visage du vieux pêcheur et descendre sur sa barbe blanche. Le petit garçon fut tout excité, il courut au milieu de la barque, tomba sur les genoux du vieux pêcheur et dit: «Monsieur, je vais vous poser une question à laquelle mon père n’a pas pu répondre, mon pasteur n’a pas pu répondre, mon école de dimanche n’a pas pu répondre, ma mère n’a pas pu répondre.»
Il a dit: «C’est quoi, fiston?»
Il a dit: «Si Dieu est si grand, pourquoi ne pouvons-nous pas Le voir?»
Il a simplement ramené les rames sur ses genoux et s’est mis à pleurer, il a entouré le petit garçon de son bras, il a dit: «Fiston, tout ce que j’ai vu pendant les quarante dernières années, c’était Dieu.» Voyez? Il y avait tellement de Dieu dans le coeur du vieil homme qu’il pouvait Le voir partout où il regardait. Si vous L’avez ici dedans, vous pouvez Le voir là dehors. C’est vrai. Il se servira de vos yeux pour regarder. Vous ne verrez pas de maux, des dangers et des fautes, et des choses, vous ne verrez que Dieu, partout.
E-53 Je me rappelle, je me tenais là à côté de cet arbre, pour en terminer l’histoire, avant que nous abordions un autre sujet. Je me tenais là à côté de l’arbre, je louais simplement Dieu. J’avais les mains levées et je me suis mis à crier. Vous êtes... Vous allez probablement me taxer de saint exalté de toute façon, vous feriez tout aussi mieux de vous habituer à cela maintenant. Je contournerais cet arbre là à toute vitesse, criant à tue-tête. Eh bien, si quelqu’un était passé par là, il aurait pensé que c’était quelqu’un sorti d’un établissement psychiatrique, ou que l’Armée du Salut se trouvait là dans les bois. Je criais, je courais, je hurlais autant que possible. Je devais donner libre cours à mes sentiments. Dieu était partout autour de moi. Il était là dans l’arc-en-ciel. Il était là dans les loups. Il était là dans le troupeau d’élans. Il était là partout. J’ai dit: «Ô Jéhovah, oh! je T’aime.» Et je contournais sans cesse cet arbre-là une fois de plus à toute vitesse.
E-54 J’ai regardé là, j’ai vu le soleil se coucher. J’ai dit: «Oh! Ton oeil qui voit tout, Tu veilles sur moi. Tu es là, hurlant dans l’ours. Tu es là, beuglant dans l’élan. Oh! Tu es partout, Jéhovah.» Et j’ai encore contourné sans cesse cet arbre. Je ne pouvais pas m’en empêcher. Il y avait en moi quelque chose qui m’amenait à adorer. J’étais dans Sa Présence, dans la plus grande cathédrale où je me suis jamais trouvé de ma vie, la grande cathédrale de Dieu, écoutant ces pins se cogner, ce murmure dans ces pins qui chantaient: «Il y a un pays au-delà de la rivière, qu’on appelle la terre de joie éternelle.» C’est comme si ça chantait comme cela, ces pins murmuraient, oh! je me suis dit: «C’est vrai, Seigneur. Alléluia!», ai-je dit. Ce grand pays quelque part. Et j’adorais. Puis, je me suis arrêté. Je passais juste un énorme jubilée à l’ancienne mode, seul. Mais peu m’importait qui m’entendait. J’adorais Dieu. Alors, j’ai arrêté quelques minutes. Je me suis dit: «Oh! Que c’est merveilleux!»
E-55 J’ai commencé à entendre quelque chose. J’ai regardé à côté de moi, et là était un petit écureuil de pin. Je ne sais pas si vous en avez par ici ou pas. C’est la bête qui fait le plus de bruit dans les bois. Et il était là avec sa petite queue dressée, jacassant, jacassant, jacassant, jacassant, jacassant, jacassant; jacassant, jacassant, jacassant, jacassant, jacassant, jacassant, jacassant, jacassant, comme s’il allait me tailler en pièces. Je me suis dit: «T’ai-je provoqué, petite bête? Je n’en avais pas l’intention. Mais, ai-je dit, oh! tu es...?... comme je l’ai fait. Alléluia! Alléluia!» Et j’ai dit: «Oh! Que c’est merveilleux!»
Et il a continué à jacasser, jacasser, jacasser, jacasser. Ses yeux de coton bleu regardaient en bas comme ça. Je me suis dit: «Ce n’est pas moi que tu regardes.» Et tout d’un coup, j’ai vu un énorme aigle que la tempête avait forcé à descendre, sous cet arbre abattu par le vent, et il a sauté là-dessus. Il m’a regardé avec ses gros yeux gris. Il a tourné le regard vers ce petit écureuil de pin. Je me suis dit: «Eh bien, ô Dieu, Tu es dans le loup. Tu es dans l’élan. Tu es dans le coucher du soleil. Tu es dans le vent. Tu es dans l’arbre. Tu es dans l’arc-en-ciel. Pourquoi as-Tu interrompu cela? Maintenant, que–que–que–qu’y a-t-il dans cet aigle-là? Que–qu’est-ce que cet écureuil de pin a à faire avec cela? Alors que je T’adore ici, et quelque chose comme cela arrive.»
E-56 J’ai regardé ce grand aigle; je me suis dit: «Eh bien, qu’est-ce qui le rend si brave?» Je me suis dit: «Dis donc, toi oiseau, as-tu peur?» Simplement, il... J’ai vu qu’il n’avait pas peur. Je me suis dit: «Dieu est là même.» Dieu n’est pas un lâche. Et Il ne peut pas utiliser des lâches, qui ont peur de témoigner de leur guérison ou de leur salut; Il ne peut pas vous utiliser; vous êtes bon à rien. Voyez? Il a quelqu’un qui a une colonne vertébrale, qui se lèvera et appellera le chat par son nom. C’est le genre de personnes qu’Il peut utiliser. Cela est apprécié de tout le monde. Cela est apprécié des hommes et des femmes. Peu importe combien elle est laide, ou ce qu’elle peut être, il l’appréciera si elle garde sa place, peu importe ce qu’elle est; c’est vrai. Cela est apprécié de plusieurs, des soldats, partout. C’est parmi... dans l’armée de Dieu, combien Dieu apprécie, comme David, selon Son propre coeur.
E-57 J’ai vu ce drôle d’aigle perché là. Je me suis dit: «Je t’apprécie, mais en fait, as-tu peur?» Je me suis dit: «Sais-tu que mon fusil se trouve ici et que je peux te tirer dessus?» Je ne le ferais pour rien. J’ai donc dit: «Tu sais que je peux te tirer dessus?» Cela ne le dérangeait pas. Je me suis dit: «Je pense que je vais juste voir comment... si–s’il va sauter, s’il sait ce que c’est ce fusil.» J’ai saisi ce fusil-là. Dès que j’ai saisi le fusil, il m’a regardé comme ça, il a battu ces gros yeux, il m’a regardé. Mais il ne se souciait pas de moi. On dirait que ce petit tamia rayé l’énervait, ce petit écureuil de pin, avec sa petite queue en l’air, il se mettait à jacasser, jacasser, jacasser, jacasser, jacasser, jacasser, jacasser, jacasser, jacasser. Et je me suis dit: «Oh! la la! Tu es une petite bête bruyante.» Et je me suis dit: «Pourquoi n’as-tu pas peur? Qu’est-ce qui fait que tu n’as pas peur?»
E-58 Eh bien, il m’est arrivé de remarquer qu’il continuait à faire comme ceci, vous savez, avec ses ailes.» «Oh! ai-je dit, je vois ça.» Voyez? Dieu lui a donné deux ailes, c’est le moyen auquel Dieu a pourvu pour lui. Il savait qu’avant que je mette ce fusil sur mes épaules, il se retrouverait sur ce buisson-là. Voyez? Il savait où il se tenait, il n’avait donc pas peur.
Et si Dieu peut donner à un aigle autant de courage, avec deux ailes, pour être en sécurité, que ferait-Il pour un homme qui est rempli du Saint-Esprit? Qu’est-ce que cela devrait faire, tant qu’Il est présent?» Je me suis dit: «C’est en ordre.»
Alors, peu après il en avait marre de regarder ce drôle de petit écureuil de pin, ou de l’entendre. Alors, il a juste fait un grand bond, il a battu ses ailes à quelques reprises, il était au-delà du buisson, en plein ciel. Et alors, j’ai pleuré. Il n’a plus jamais battu des ailes, il n’a pas cherché à battre ses ailes pour s’en aller; il les a simplement déployées. Et à chaque coup de vent, il savait bien comment disposer ses ailes face à ce vent, et cela le faisait simplement monter. Je l’ai observé. Le vent, en soufflant, le faisait monter, le faisait monter, jusqu’à ce qu’il fût totalement hors de vue. Il a laissé ce petit écureuil perché là, blasphémant et continuant comme il le faisait. Je me suis dit: «C’est ça, Seigneur; pas un saut, un saut, ici, courir, courir, ici, adhérer aux méthodistes, adhérer aux baptistes, revenir à ceci et se faire baptiser comme ceci, comme cela, ce n’est pas ça. Il est juste question de disposer vos ailes de la foi, de...?... humble, du Saint-Esprit arrive, se lève de là, sans cesse, sans cesse, totalement hors de vue, laissant cette vieille doctrine terrestre ici: «Jacasserie, jacasserie, jacasserie: les jours des miracles sont passés. Jacasserie, jacasserie, jacasserie...?... Jacasserie, jacasserie, jacasserie, ne recevez pas le Saint-Esprit.» Laissez cela, éloignez-vous en naviguant, continuez et déployez vos ailes, éloignez-vous-en. Dieu fait descendre le vent, chevauchez dessus. C’est vrai. Eloignez-vous de cette jacasserie, jacasserie terrestre: «Ceci ne peut pas arriver, cela ne peut pas arriver.» J’ai dit: «Seigneur, c’est ça.»
E-59 C’est ça, amis. Dieu dans Son univers. Il parle à Son peuple. Croyez-vous cela? Maintenant, nous devons nous dépêcher. Nous pouvons traîner dessus pendant des heures. Dieu est dans Sa Parole. Croyez-vous cela? Chaque Parole de Dieu est une Semence. Jésus l’a dit. La Parole est une Semence. Et ce qu’est la semence, c’est ce que cela reproduira exactement, ce qu’est la semence. Si vous...
Dans la Bible, Il est appelé Jéhovah-Jiré, Jéhovah-Rapha, Jéhovah notre Bannière, Jéhovah Manassé, tous ces Noms rédempteurs; tout cela était les promesses, Qui Jéhovah était. Chaque promesse divine de Dieu s’accomplira si elle tombe dans la bonne terre.
Voici ce qui arrive, ici. Souvent, les gens... Je le constate dans des réunions, en suivant ces bandes lorsque les gens parcourent les lignes de discernement. Les gens peuvent être assis là, on dirait qu’ils sont à des millions de kilomètres. Ils ne sont même pas... Ils ne pensent à rien... ils pensent même à la guérison. Mais ça ne se passe pas ici dans leurs facultés mentales; c’est dans leur subconscient que ça se passe. Votre subconscient, c’est votre âme.
E-60 Eh bien, il n’y a pas longtemps, pour vous montrer combien la Parole de Dieu est parfaite, la Bible dit: «L’homme est comme les pensées de son âme.» Est-ce vrai? L’incrédule des temps anciens–anciens disait: «Maintenant, n’est-ce pas insensé? Eh bien, il n’y a pas de facultés mentales dans le coeur de l’homme. Il y a juste une petite pompe qui pompe du sang. Il ne peut pas penser dans son coeur. Il pense dans sa tête. La Bible est donc en erreur conformément à cela.»
L’année passée, vers janvier de l’année passée (il y a de cela deux ans maintenant), j’étais à Chicago, et à la une d’un journal il était mentionné: «La science a découvert...» Ecoutez ceci: «La science a découvert dans le coeur humain un petit compartiment qui n’a même pas une cellule de sang. Cela n’existe pas chez l’animal; c’est seulement chez l’être humain.» Et ils disent: «C’est la demeure de l’âme.» Ainsi donc, un homme est comme les pensées de son âme; Dieu avait raison. Cela a-t-il... Eh bien, ici. Voyez, ici à l’intérieur–à l’intérieur, vous dites: «Eh bien, faites-moi voir. Oui, cela dit cela, mais je me demande si c’était pour moi. Hum! Je ne sais simplement pas si c’était cela ou pas.» C’est le raisonnement. Vous pouvez raisonner avec ceci.
E-61 C’est la raison pour laquelle les prédicateurs aujourd’hui, qui ne croient pas dans la guérison divine...?... le salut n’est jamais descendu dans leur coeur; c’est seulement dans leur tête. Ils sont sortis du séminaire, là où ils ont acquis toute la théologie. Ils auraient dû oublier tout cela pour suivre Christ. Comment pouvez-vous croire alors qu’il n’y a rien en vous pour croire? C’est seulement de la théologie mentale.
Tout récemment, nous avions eu une femme à Louisville, dans le Kentucky, et elle était une... elle était près de notre église là-bas, une très bonne jeune fille, mais d’une–une grande et bonne église, une église méthodiste. J’avais toujours pensé que cette jeune fille n’avait pas la chose, elle n’était pas correcte. Mais elle s’est mariée à un garçon qui était vraiment un bon garçon chrétien, rempli du Saint-Esprit. Ils sont allés, après leur mariage. Et son père était diacre dans cette église-là, un homme bien, un homme rempli de l’Esprit.
E-62 Et alors, elle s’est mise à se promener dans la contrée, et tout d’un coup, vous savez, ils... il s’est passé quelque chose, et son–son travail l’a obligé d’aller dans une autre ville. Quand il est allé dans l’autre ville, il a alors trouvé du travail là, et elle, elle est une pianiste, elle est donc devenue la pianiste de cette église-là. Et ils ont fini par découvrir que cette église-là méthodiste n’était pas très spirituelle. Ils ont constaté que toutes, pratiquement toutes les femmes fumaient la cigarette. Honte à elles! C’est le plus grand mouvement de la cinquième colonne que le monde ait jamais connu. J’aurais bien voulu avoir le temps de traîner là-dessus. Les prédicateurs le feront de toute façon.
Ecoutez, j’ai mon opinion sur les femmes qui fument la cigarette. J’en ai assurément. J’en avais depuis que j’étais un petit garçon, et je n’ai jamais changé cela. Oh! C’est la chose la plus mesquine que vous ayez jamais faite. C’était le plus grand mal que cette nation et la maternité aient jamais connu. Les statistiques montrent que huit, que, je pense environ quatre-vingt ou quatre-vingt-dix pour cent des enfants qui naissent, si une mère les tète et ne leur donne pas... à moins qu’elle leur donne le lait de vache, elle absorbera le poison de la nicotine, l’enfant le fera, et il ne vivra pas dix-huit mois. Vous parlez de la cinquième colonne; ne vous inquiétez pas de ce que la Russie viendra ici nous capturer. La Russie ne va pas nous capturer; c’est notre propre pourriture qui nous aura. C’est ce qui se passe. Ce n’est pas le rouge-gorge qui picore la pomme qui la ruine, c’est le ver qui est dans le trognon. C’est tout à fait vrai. C’est–c’est donc de l’autre côté, ces prédicateurs vous en parleront.
Mais maintenant, c’est ce dont vous avez besoin aujourd’hui, c’est d’un bon nettoyage de la maison, à l’ancienne mode, dans l’église. C’est vrai. Retournez au bon ancien réveil à la Saint Paul et de nouveau au Saint-Esprit de la Bible. Il n’est pas étonnant que nous soyons dans la corruption telle que nous y sommes. Certainement, c’est ça. Je sens bien le Saint-Esprit vous pousser à faire sortir cela de vous de toute façon.
E-63 Remarquez. Et puis, tout...?... cette–cette jeune fille, elle s’est mise aussi à fumer. Elle a commencé à raisonner: «Eh bien, si les autres femmes peuvent le faire (Elles sont bien considérées), pourquoi ne puis-je pas faire cela?» Elle a commencé à constater que ses voisines, toutes ses soeurs dans le quartier portaient ces petits habits scandaleux. Et, évidemment, vous savez, vous devez les porter dehors, à l’heure où les hommes reviennent de, vous savez, de l’usine et autres. Vous devez sortir et exposer tout ce que vous avez. Vous ne–vous n’apparaissez pas devant les hommes comme cela... vous n’apparaissez pas devant Dieu comme cela; vous faites cela pour apparaître devant l’homme. Et vous les mères, qui laissez vos enfants faire cela, vous devriez passer de bons moments à l’ancienne mode, à subir une stimulation du protoplasme postérieur, qui vous soit ajouté. C’est tout à fait vrai.
E-64 Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’une bonne maman à l’ancienne mode qui pourrait... Je disais que j’ai deux jeunes filles, elles peuvent être étendues là, l’une d’elles, une fois pour se bronzer. Elles recevront un bronzage du fils. Mais cela ne viendra pas du soleil là dehors, ça viendra du fils de Branham, avec une lamelle d’un tonneau aussi fortement que je peux atteindre cela. Elles recevront très bien un bronzage du fils. C’est vrai. En tant que fils de mon père, le fils le fait aussi. Oui, oui, c’est une honte, la façon dont vous laissez tomber les barrières. Vous les méthodistes, les baptistes, et les pentecôtistes aussi... certainement. Autrefois, c’était mauvais dans l’église, mais maintenant, oh! le diable peut être démodé, mais il n’a pas arrêté son affaire, je vais vous le dire maintenant. Alléluia! Je me sens religieux.
Laissez-moi vous dire, frères: Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un bon retrait du feu, de la fournaise, à l’ancienne mode, pour le remettre sur l’autel, le ramener aux coeurs des gens et–et commencer le réveil. Autrefois, c’était mauvais, ça l’est aujourd’hui. C’est vrai.
E-65 Remarquez, là, elle s’est mise à porter ces petits habits. Son mari a dit: «Chérie, je ne pense pas...»
«Eh bien, a-t-elle dit, écoute, si Suzie, Ella et toutes les autres peuvent les porter, pourquoi pas moi?»
Voyez, au fin fond de son âme, la chose disait: «C’est mauvais.» La conscience vous le dira. Mais qu’a-t-elle fait? Elle s’est fiée à ses facultés intellectuelles au raisonnement. «Eh bien alors, si les autres peuvent faire cela, pourquoi pas moi? Elles sont bien considérées, elles sont toutes des chrétiennes; elles fréquentent l’église. Pourquoi ne puis-je pas le faire si elles le font.»
E-66 Or, vous voyez, la Bible nous ordonne de renverser le raisonnement. Voyez? Comme certains prédicateurs qui ne croient pas dans la guérison divine. Comme des gens qui ne croient pas dans le surnaturel. Tout ce qu’ils ont, c’est le raisonnement intellectuel. Ecoutez, cette âme ici à l’intérieur, c’est Dieu. Et Dieu acceptera Sa Parole tout le temps. Il ne raisonnera pas Là-dessus; Il croira Cela. Et quand vous croyez Cela du fond de votre coeur, la Bible dit que vous aurez cela. C’est ce qui se passe, vous essayez de laisser le raisonnement recevoir cela, alors que c’est votre coeur qui doit recevoir cela.
La chose suivante, vous savez, elle s’est mise à... un petit roublard a aménagé dans le quartier avec pratiquement un tonneau de graisse sur ses cheveux, et il s’est mis à lui donner des baisers pour lui souhaiter bonne nuit à la clôture de derrière, dans une petite affaire d’amour. Et tout d’un coup, vous savez, elle a quitté le pauvre John, elle a fui, elle s’est marié au petit roublard. Ils n’ont vécu ensemble que peu de temps, avant qu’il trouve une autre plus jolie qu’elle, alors... Voyez, elle aurait dû avoir assez de bons sens pour savoir cela. Il a fui et il l’a laissée. Elle a épousé un autre. Puis, il a fui et il l’a laissée; finalement, elle a eu un concubin.
E-67 Mais vous savez, la Bible dit: «L’âme qui pèche, c’est celle qui mourra.» La mort veut dire la séparation. Elle s’est continuellement éloignée de cela, de plus en plus, de plus en plus, de plus en plus, et cela s’éloignait d’elle. Voyez? La première fois qu’elle s’est mise à fumer, elle aurait dû le savoir. L’âme dit: «C’est mauvais.» Le raisonnement dit: «Mais les autres peuvent le faire, pourquoi pas moi?» Quand elle a porté ces petits habits impies, la nature elle-même pouvait lui faire savoir que c’était mauvais. Mais elle disait: «Si les autres le font, pourquoi pas moi?» Voyez-vous où nos femmes américaines en sont arrivées?
E-68 Combien ça s’est empiré là à San Angelo...?... Il n’y a pas longtemps à Rome, il y avait un écriteau là: «Femmes américaines, s’il vous plaît, habillez-vous avant d’entrer, par respect aux morts.» En un lieu comme Rome, honte à vous! Peut-être que je vous consume, mais ma maman me disait quand je prenais l’huile de ricin... Je ne peux pas supporter cela jusqu’aujourd’hui.
Chaque samedi soir, on prenait bain dans un vieux baquet bois de cèdre et puis, on devait prendre une dose d’huile de ricin. Nous n’avions pas un bon genre de nourriture à prendre et autres, alors elle faisait... je–je disais: «Maman, je ne peux pas supporter cela.» Je me pinçais le nez et j’avais haut-le-coeur. Je disais: «Cela me rend vraiment malade.» Elle disait: «Si cela ne te rend pas vraiment malade, ça ne te fera pas du bien.» J’en ferai donc peut-être une application ici. Voyez? Cela vous rend vraiment bien malade, puis ça peut peut-être vous remuer les organes spirituels, votre gastronomie, ainsi vous pourrez digérer un bon repas du Saint-Esprit de temps à autre.
E-69 Remarquez, laissez-moi vous dire. Puis, cette femme, lorsque, quelque temps après, elle en était arrivée là où elle était... elle est tombée malade. Elle a reporté un peu cela, finalement, elle est allée consulter un médecin. Eh bien, frère, cela vous rattrapera aussi certainement que deux fois deux font quatre. On a découvert qu’elle avait une tumeur maligne, à un niveau avancé, qu’il n’y avait rien à faire, sinon la mort.
Le pasteur de notre église, le révérend Orman Neville, de l’église méthodiste, est parti voir la femme. Il a dit: «Eh bien, j’irai la voir, car je sais que frère Branham connaît son papa et je pense qu’il la connaît. Et je sais qu’elle mène ce genre de vie.» Il a dit: «Je–je vais la voir et la redresser, car c’est ce qu’il lui aurait dit aussitôt arrivé là, et lui demander si elle voudra que j’aille là-bas.» Elle s’est avancée et il a dit: «Comme nous sommes membres de la même église, madame, je viens vous parler.»
Elle a dit: «Très bien. Qu’y a-t-il, monsieur?»
E-70 Et il lui a dit ce qu’il y avait, il a dit: «Votre père et moi, nous sommes de très bons amis; nous avons été tous là-bas, et le pasteur, nous avons fréquenté l’université Asbury ensemble.» Il a dit: «Nous sommes de très bons amis.» Il a dit: «Je veux juste vous poser une question.» Il a dit: «Ne voudriez-vous pas mettre votre vie en ordre et revenir à Christ?»
Elle a dit: «Quoi?»
Il a dit: «Mettre votre vie en ordre et revenir à Christ?»
«Eh bien, a-t-elle dit, je suis tout aussi bonne que vous.»
Il a dit: «Ce n’est pas le sub-... Ce n’est pas là la question. Ne voulez-vous pas mettre votre vie en ordre?»
E-71 Elle a dit: «Je suis membre d’une église, et je le suis depuis mon enfance, depuis le berceau. Et je suis une chrétienne; je suis une chrétienne, et moi, quand je mourrai, j’irai au Ciel.» Elle croyait effectivement cela, par raisonnement. Et elle a dit: «Je suis tout aussi bonne que vous.»
Il a dit: «Connaissez-vous frère Branham?»
Elle a dit: «J’ai entendu parler de lui.»
Il a dit: «J’aimerais qu’il vienne vous voir.» Et il a dit: «Je sais qu’aussitôt qu’il sera venu, il vous éclaircira la chose.»
Elle a dit: «Quelle chose?»
Il a dit: «Madame, cette chose qui se trouve dans ce paquet de cigarette. Qu’en est-il?»
Elle a dit: «Eh bien, vous fanatique, je pense, vous pensez que c’est mauvais.»
Il a dit: «Je sais que c’est mauvais.»
Elle a dit: «Je ne vous ai jamais envoyé chercher.»
Il a dit: «Juste une minute, madame.» Il a dit: «Qu’en est-il de votre concubin?»
E-72 Elle a dit: «La porte par laquelle vous êtes entré est prête à vous recevoir pour sortir. Si je voulais quelqu’un qui a assez de bon sens pour me parler, j’enverrai chercher quelqu’un et pas vous.»
Alors, il a dit: «D’accord, madame; souvenez-vous-en donc.»
Il est rentré, il m’en a parlé quand je suis revenu. Il a dit: «J’aimerais que vous alliez là.»
J’ai dit: «Observez-la seulement à la fin.»
Quand elle est arrivée à la mort, son pasteur rétrograde se tenait là, il l’avait laissée s’en tirer avec pareille chose sans lui dire la vérité, ils étaient tous dans la pièce. Et tout d’un coup, vous savez, ses facultés intellectuelles ont commencé à céder, elles ont commencé à se relâcher. Elle ne pouvait plus penser.
E-73 «Eh bien, l’âme qui pèche, c’est celle qui mourra.» Est-ce vrai? Cela veut dire se séparer. La mort veut dire la séparation. «Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle», il ne peut pas mourir. Voyez? Mais quand vous attristez cette âme-là, elle s’éloigne de vous. Elle s’était déjà éloignée d’elle, elle ne lui parlait plus. Mais quand ses facultés intellectuelles ont commencé à céder, elle a dit... Rien ne restait alors ici, mais l’âme devait revenir. Eh bien, dans quelle condition était–dans quelle condition était... Voyez? Quand elle a refait surface, elle s’est mise à la réprimander à cause de la vie qu’elle avait menée. Elle a dit: «Oh! la la! Mon Dieu, je suis perdue.»
Alors, le–le pasteur a dit: «Oh! Eh bien, tiens, ne sois pas hystérique.»
Elle a dit: «Je ne suis pas hystérique.» Elle a dit: «Allez très vite appeler frère Neville.»
Il a dit: «Tiens, tiens, tiens, tiens donc, tiens, je vais faire venir l’interniste.» Et le médecin est arrivé, il lui a donné une piqûre.
Et elle a dit: «Je suis–je suis perdue.»
«Donnez-lui une autre piqûre, docteur.»
«Je suis–je suis perdue; je suis perdue. Je suis perdue. Je suis...» Et l’hypo a arrêté la confession. Mais cette âme qu’elle avait attristée, elle aura à être tourmentée par ça tant qu’il y aura une éternité qui durera. Voyez? Faites attention. Recevez la Parole de Dieu. Dieu est dans Sa Parole, pas dans une théologie d’homme, mais dans Sa Parole. Croyez-vous cela?
E-74 Dieu est dans Son Fils. Vous... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] cela? Croyez-vous que Dieu est dans Son univers? Croyez-vous que Dieu est dans Sa Parole? Maintenant, Dieu est dans Son Fils. Maintenant, nous allons nous dépêcher. Dieu est dans Son Fils. Maintenant, Dieu est en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.
E-75 Ici, récemment, une femme, membre d’une certaine église... je ne fais pas de remarque légère; c’est la Science Chrétienne. Mais mon intention n’est pas de nuire; je ne parle pas de la religion de quelqu’un. Mais écoutez, cette femme m’a dit, elle a dit: «Révérend Branham, vous commettez une faute que vous devriez éviter.»
Et j’ai dit: «Laquelle?»
Elle a dit: «Vous vantez trop Jésus.»
J’ai dit: «Je ne pourrais pas Le vanter assez, à moitié.»
Elle a dit: «Vous accentuez trop le fait qu’Il était Dieu.»
J’ai dit: «Il était la Divinité. Il était Dieu.»
Elle a dit: «Oh! Révérend Branham, a-t-elle dit, assurément, un homme de votre calibre devrait être mieux avisé.»
J’ai dit: «Non, madame, je ne suis pas mieux avisé. Et j’espère ne jamais le devenir. Si je le suis, j’ai perdu la tête.»
Elle a dit: «Voulez-vous me dire qu’Il était Divin?»
J’ai dit: «Il était Divin.»
Elle a dit: «Il ne pouvait pas être Dieu.»
J’ai dit: «Il était Divin.»
Elle a dit: «Oh! Il était un grand docteur. Il était un prophète.»
E-76 J’ai dit: «S’Il était un prophète et un grand docteur, je suis perdu et tout le monde est perdu. Ce Sang-là n’était rien d’autre que le Sang–le Sang du Dieu Tout-Puissant. Il était Dieu.»
Elle a dit: «Si je vous prouve par la Bible qu’Il n’était pas Dieu, allez-vous accepter cela?»
J’ai dit: «Si la Parole de Dieu dit qu’Il n’était pas Dieu, alors je retirerais tout ce que j’ai dit.»
Elle a dit: «Je vais vous le prouver.»
J’ai dit: «D’accord.»
Elle a dit: «Dans Saint Jean, chapitre 11...»
«Oui.»
Elle a dit: «Quand Il allait à la tombe de Lazare...»
J’ai dit: «Oui.»
«La Bible dit qu’Il pleura.»
«Eh bien, ai-je dit, qu’est-ce que cela a à faire avec la chose?»
«Elle a dit: «C’était la preuve qu’Il n’était pas Divin. Comment un homme Divin pouvait-Il pleurer?» Elle a dit: «Il ne pouvait pas être Divin, car Il a pleuré.»
J’ai dit: «Vous manquez de voir cela, madame. Dieu était en Christ réconciliant la Parole. Il était un Homme Dieu. Il était Emmanuel. Voyez, Dieu était en Lui.»
Elle a dit: «Non, Il ne pouvait pas L’être et pleurer.»
E-77 J’ai dit: «Madame, j’aimerais vous poser une question.» J’ai dit: «Il était un Homme quand Il se dirigeait vers cette tombe-là en pleurant. Mais quand Il s’est tenu là et qu’Il a redressé Ses petites épaules voûtées, un Homme de trente ans qui paraissait en avoir cinquante ans, disait-on–on, sans beauté pour attirer nos regards, quand Il a renvoyé ces petites épaules en arrière et qu’Il a dit: ‘Je suis la Résurrection et la Vie, dit Dieu. Celui qui croit en Moi, quand bien même il serait mort, vivra.’ Que voulez-vous dire? Il avait effectivement pleuré comme un homme, mais quand Il a redressé ces petites épaules et qu’Il a parlé à un homme mort depuis quatre jours, la corruption dans son corps, la corruption avait reconnu son Maître, l’âme avait reconnu Son Créateur, et un homme mort depuis quatre jours s’est tenu là sur terre et a vécu encore. C’était plus qu’un homme. C’était plus qu’un homme. C’était Dieu dans Son Fils.»
E-78 Quand Il descendait de la colline ce soir-là, affamé, cherchant dans cet arbre-là un fruit et qu’Il n’en a pas trouvé, Il avait faim, en tant qu’homme. C’est vrai. Il était alors un Homme. Mais quand Il a pris cinq petits pains et deux petits poissons et qu’Il a nourri cinq mille personnes, là, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu dans Son Fils. Assurément.
Il était un Homme quand Il était couché dans l’une de ces barques cette nuit-là, qui était juste comme un bouchon de liège ballotté, et Lui était très fatigué, la vertu était sortie de Lui, au point que les vagues ne Le réveillaient pas. Dix mille démons de la mer juraient de Le noyer, Il était couché là, à la poupe, tournant à tout vent, Lui était couché sur l’oreiller. C’était un Homme couché là, endormi, assurément. Mais dès qu’Il s’est réveillé, Il mit Son pied sur le bastingage de la barque, Il leva les yeux et dit: «Silence, tais-toi», les vents et les vagues Lui obéirent. C’était plus qu’un homme. C’était Dieu sous forme de Jéhovah Dieu parlant dans Son Fils, Jésus-Christ. C’est vrai.
E-79 Quand Il criait là à la croix, réclamant la miséricorde à grands cris, C’était un Homme. C’était un Homme quand Il mourait, mais quand Il a brisé le sceau le matin de Pâques et qu’Il est ressuscité, Il a prouvé qu’Il était Dieu quand Il est sorti de la tombe. Oh! Même les poètes ont dit:
Vivant, Il m’aima; mourant, Il me sauva;
Enseveli, Il emporta mes péchés au loin;
Ressuscitant, Il me justifia gratuitement pour toujourS
Un jour, Il va venir, oh! glorieux jour!
Dieu était dans Son Fils; croyez-vous cela? Assurément, Il l’était. Dieu est dans Son univers. Dieu est dans Sa Parole. Dieu est dans Son Fils. Maintenant, Dieu est aussi dans Son peuple. Amen. Croyez-vous cela?
E-80 Un petit groupe de lâches, contournant discrètement le coin, s’était enfermé dans une chambre haute, ils avaient été avec Lui pendant trois ans et six mois. Ils sont montés là, ils avaient peur de Juifs. Jésus leur avait parlé, disant: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde.»
E-81 Et pendant qu’ils s’étaient enfermés là attendant la promesse, c’était un groupe de lâches. Ils avaient Dieu en dehors d’eux; ils connaissaient tous les crédos, toutes les formules et tout. Mais soudain, Dieu descendit comme un vent impétueux, Il remplit toute la maison où ils étaient assis. Il se passa quelque chose. Dehors...?... ils sont sortis par des portes et des fenêtres, ils sont entrés dans la ville, titubant sous la forte puissance du Saint-Esprit. Ils ont parcouru la ville, guérissant les malades, ressuscitant les morts, chassant les démons. Des signes et des prodiges ont commencé à tomber...?... Dieu est dans Son peuple. Amen.
E-82 Dieu est dans Son peuple, Se manifestant vivant. Dieu est ici cet après-midi. Dieu est dans Son peuple. Croyez-vous cela? Assurément qu’Il l’est. Est-Il dans Son univers? Est-Il dans Sa Parole? Est-Il dans Son Fils? Et Il est dans Son peuple. Savez-vous quoi? La Bible dit que vous êtes des dieux parce que vous êtes une partie de Dieu; vous êtes des fils et des filles de Dieu. Une fois votre théologie abandonnée, toutes vos facultés mentales ici ne regardent à rien d’autre que la Parole de Dieu, et le Saint-Esprit descend ici pour rendre témoignage, vous êtes une partie de Dieu.
Je suis une partie de Charles Branham, parce que je suis son fils. Vous êtes une partie de Dieu, parce que vous êtes Son fils, né de Son Esprit, lavé dans Son Sang. Alléluia! Oui, vous l’êtes; vous êtes une partie de Lui. Et vous devenez un créateur. Savez-vous cela? Saviez-vous...
E-83 Permettez-moi de vous donner un brun de lumière juste une minute maintenant. Juste quelques minutes maintenant avant que nous commencions la ligne de prière. Vous êtes vous-même un créateur, un créateur en miniature. Ecoutez. Avez-vous déjà vu des gens qui étaient des gens gentils, pourtant vous ne pouvez pas rester près d’eux, ou à peine, avoir quelque chose que vous ne pouvez simplement pas supporter? Avez-vous déjà vu des gens auprès de qui vous aimez rester? Avez-vous déjà vu ce genre de gens? C’est l’atmosphère qu’ils créent eux-mêmes.
Et permettez-moi de vous le dire aujourd’hui, mes chers amis, la plus grande chose qu’il y a de ce côté-ci du Ciel, c’est l’a-m-o-u-r, l’amour divin. Dieu est amour. Vous avez lu le livre, quand un fou avait accouru pour me tuer à l’estrade cette soirée-là. Je n’avais pas haï l’homme. Je l’avais aimé, assurément, j’avais eu pitié de lui. C’est ce qui l’a terrassé à l’estrade. C’est ce qui a terrassé ces sorciers qui se tenaient là ce jour-là...?... des être humains pour qui Dieu était mort, qui se tenaient là, cherchant à me jeter un mauvais sort, des sorciers comme cela. Ils se tenaient là devant Lui, et vous les voyez tomber par terre, incliner leur tête comme ceci, et donner leur coeur à Christ. C’était l’amour qui faisait cela. L’amour est la force la plus puissante qui existe. Même l’amour phileo amènera une mère à traverser un feu pour s’emparer de son enfant qui brûle. Elle ne pensera pas à elle-même.
E-84 Cela me rappelle une fois une femme, qui se tenait là, sa jeune fille était allée à l’université, et elle revenait. Et alors, la maman était à la gare; le train s’est arrêté et tout le monde criait: «Hourra!» Et elle ramenait avec elle de l’école sa petite fille effrontée. Et sa mère se tenait là, et la petite fille effrontée a dit: «Hé! Qui est cette épave horrible là? Regarde quel aspect elle affiche!»
E-85 Et la maman... La jeune fille, étant une petite je-sais-tout, ce qu’elle avait appris à l’école, elle a eu honte de sa mère. Et quand elle est descendue du quai, sa mère a dit: «Chérie, je suis très contente de te voir.» Elle s’est détournée et s’en est allée parce que sa petite amie avait–avait dit cela. Il s’est fait que le machiniste connaissait l’histoire; il a dit: «Viens ici, jeune fille.» Il l’a saisie par l’épaule, il a dit: «N’as-tu pas honte de toi-même, en reniant ta propre mère?»
Elle a dit: «Je ne la connais pas.» Elle appelle sa petite...
Elle a dit: «Marthe, est-ce ta maman?»
Elle a dit: «Non, je ne la connais même pas.»
E-86 Le machiniste a dit: «Honte à toi!» Il a dit: «Ecoute ça, jeune fille, j’aimerais te dire quelque chose.» Et la foule s’est mise à écouter. Il a dit: «Quand... tu es une belle jeune fille aujourd’hui; c’est vrai, a-t-il dit, tu l’es. Mais, a-t-il dit, ta mère était de loin plus belle jeune fille que tu l’aies jamais été ou que tu le seras jamais.» Et il a dit: «Un jour, alors qu’elle était là dans la cour arrière à étaler des habits...» Il a dit: «J’habitais le même pâté de maisons.» Et il a dit: «La maison a pris feu; tu étais un petit bébé là à l’étage dans ton berceau. Et quand le véhicule anti-incendie est arrivé, la mère a vu cela s’arrêter devant sa maison, les voisins avaient appelé là, elle est allée, mais les escaliers étaient sur le point de s’écrouler.» Elle a dit: «Cette mère-là, sans penser à elle, elle a foncé dans les flammes de feu et le pompier la retenait. Elle a quand même foncé dans les flammes de feu. Elle est entrée là en courant, elle t’a saisie sur le... elle t’a fait sortir du lit. Elle a enlevé les habits qu’elle portait sur son corps et elle t’en a enroulé le visage et tout. Elle a bravé les flammes de feu en ressortant aussi.» Il a dit: «Cela l’a brûlée, l’a écorchée, l’a fanée. Et aujourd’hui, parce que tu es jolie, elle est devenue laide. Et tu veux me dire que tu vas renier cette femme-là qui t’avait sauvé la vie, et ta beauté, que tu as honte maintenant de ta mère, que tu feras cela?»
E-87 Quand on m’a raconté cette histoire-là, je me suis dit: «Ô Dieu, comment puis-je, quand bien même cette vieille croix rugueuse est si méprisée du monde, je vois que Christ a été fait péché afin que moi, par Sa justice, je devienne une partie de Lui.» Que m’importe qu’on me taxe de saint exalté? Que m’importe qu’on me taxe de guérisseur divin? Tout ce qu’ils veulent, Il est descendu, Il est devenu laid et pécheur, afin que par cela, par Sa justice...? je puisse avoir une maison au Ciel et avoir le droit de devenir un fils du Dieu vivant, et de croire en Lui. Ce qu’il y a, c’est qu’Il est devenu moi afin que moi, par Sa grâce, je devienne Lui. Il a pris ma place comme un pécheur, afin que moi, en tant qu’un pécheur, je prenne Sa place comme la justice. Comment pouvons-nous Le renier? Assurément.
E-88 Créez autour de vous l’amour. Qui peut renier ce grand amour? Ecoutez juste un instant ce qu’est le grand amour. L’amour vaincra, alors que la haine, la malice, le credo, le débat, les disputes repousseront. L’amour vaincra. Je vais vous raconter quelque chose maintenant. Cela est juste sur mon coeur, une vie antérieure, juste dans une ou deux minutes, et alors nous allons–nous allons commencer la ligne de prière. Il nous reste encore environ, peut-être six ou huit minutes. Ecoutez juste une minute.
Il y a quelques années, je montrais à quelqu’un... La maison était pleine toute la journée, des gens partout. Les enfants n’arrivaient même pas à manger, rien. Finalement, quand la maison s’était vidée, quelqu’un arrivait et on devait carrément demander aux gens de partir. Ils venaient, non pas d’un seul endroit, mais de partout dans le monde. Des écriteaux sur la porte, partout ailleurs: «N’entrez pas». Ils venaient quand même. Vous ne pouvez pas les blâmer. Ce sont des êtres humains qui ont besoin de l’assistance. Si je ne suis pas là, mais rien que quelques heures de fois; ma famille m’est pratiquement étrangère.
E-89 Je suis entré, et là se trouvait ma chère épouse dans un coin en train de pleurer. Sara et Rebecca se battaient à cause de... là dans une autre chambre, le petit Joseph criait à tue-tête, le dernier qui restait. Billy et les autres étaient venus, les avaient tous fait sortir, frère Wood et mes voisins et les autres. Je me suis donc tenu là; je me suis dit: «Eh bien, ils sont tous nerveux et bouleversés.» Je me suis dit: «Père céleste, il nous faut changer cette situation ici.»
Alors, je me suis avancé, elle a dit: «Billy, chéri, que vais-je faire? a-t-elle dit. Je perds la tête, toute la journée durant, ce martellement, tout le monde par ici, des gens disent: ‘Si tu ne viens pas dans telle ville, on a déjà annoncé, et tu vas être maudit par Dieu si tu ne le fais pas.’»
J’ai dit: «Chérie, ce sont des fanatiques. Si Dieu veut que j’aille quelque part, Il me le dira.» Et j’ai dit: «Je parle avec Lui.» Et j’ai dit: «S’Il veut aller... Ne fais pas attention à ces choses.» J’ai dit: «Nous avons du fanatisme en tout et on dit ceci, cela et autres.»
E-90 Elle pleurait, je me suis mis à lui parler; j’ai dit: «Mais tu sais, chérie, j’ai vu la petite robe la plus jolie dans une certaine ville, tu sais.» Et tout d’un coup, vous savez, elle était en train d’éplucher les pommes de terre, et elle s’est complètement calmée. Quand elle s’est calmée, les enfants se sont calmés, Joseph s’est calmé, très bien. Voyez, vous devez changer la situation. Vous pouvez le faire.
Laissez-moi vous dire quelque chose. Ceci est un peu intime; vous–vous pouvez mal me juger après ceci. Quand j’étais garde-chasse, j’ai vu ceci arriver plusieurs fois. Vous m’avez entendu dire que j’étais dans des montagnes (Voyez?), là dans des montagnes avec des animaux sauvages. Eh bien, il y a quelque chose à ce sujet. Voyez, vous devez connaître le Créateur.
E-91 Or, les animaux sauvages vous agresseront si vous avez peur d’eux. Si vous n’avez pas peur d’eux et que vous les aimez, ils ne vous agresseront pas. Vous ne pouvez pas bluffer avec cela donc, vous ne pouvez pas... Il vous faut être réellement sérieux là-dessus. Je me suis avancé en face des ours grizzlis, des lions africains, et tout le reste. Voyez? C’est vrai. Ils ne vous agresseront pas si vous n’avez pas peur. Mais il y a quelque chose en vous, votre corps émet une... Vos nerfs dégagent une odeur. Avez-vous déjà vu un chien? Il va... [Frère Branham imite le reniflement.–N.D.E.] N’essayez pas de le bluffer. Il sait si vous avez peur ou pas. Il sait. Si vous avez peur, il vous mordra. Vous n’avez pas peur; je n’en ai encore jamais vu un seul qui ne soit dompté quand je passe–passe une cour. Voyez? Si vous n’avez pas peur d’eux, ils le savent.
E-92 Tenez, un jour, j’étais là aux pieds d’une colline, relâchant des poissons. J’étais au service de la conservation de la nature. Nous étions censés porter un pistolet, mais je ne voulais pas de pistolet. Je parlais à l’homme; je pensais que je ferai de lui un gars meilleur plutôt que de l’arrêter, après tout.
Ainsi donc, j’étais allé là relâcher des poissons. Et je me suis rappelé, sur la colline, que j’avais là-bas un ancien ami mourant, ou qui était gravement malade. Je me suis dit: «Je traverserai le voir.» Et j’ai simplement fermé la portière de la camionnette, je me suis mis à traverser le champ, je traversais cela. Ce n’était pas comme ici; il y avait de petits arbrisseaux là dans le champ. Et pendant que je traversais là, et que j’étais en plein milieu du champ, derrière ces arbrisseaux; je n’avais pas constaté, mais là...
E-93 Environ six semaines auparavant, un très gros taureau Durham avait tué un homme de couleur. Eh bien, c’est un tueur, aux longues cornes...?... là à la ferme Burk, il l’avait tué. Ceci était donc dans une autre ferme; on l’avait vendu parce que c’était une bonne race de taureau. Mais quand il était... ce taureau s’est directement levé dans le champ; j’avais oublié qu’il était là. Et là, il n’était pas à plus de dix-huit mètres de moi. Il a surgi, il m’a regardé; il a lâché un cri et a planté ses cornes dans la terre comme ça. J’ai regardé la clôture derrière; je ne pouvais pas courir plus vite que lui. Il n’y avait pas d’arbre où aller. Que pouvais-je faire? J’étais dans la même situation que celle de ce fou que vous lisez dans le livre. Que pouvais-je faire.
E-94 Maintenant, écoutez, vous ne pouvez pas vous en tirer, cela doit arriver. Maintenant, écoutez attentivement. Mais d’une façon ou d’une autre, quelque chose arriva dans mon coeur; au lieu d’avoir peur, je l’ai aimé. Cela paraît puéril, mais c’est vrai. Je me suis dit: «Pauvre bête, il était juste en train de dormir, je l’ai dérangé.»
Et le voici foncer, brandissant ses cornes, il s’est accroupi comme ça, et il a de nouveau brandi ses cornes, il a relevé sa queue, et il a foncé. Eh bien, au lieu d’avoir peur, je n’avais pas peur de ce taureau-là plus que je n’en ai de mes frères qui sont assis ici à l’estrade. Il a foncé droit vers... Si jamais vous pouvez avoir ce... J’aurais bien voulu vivre avec ça tout le temps.
E-95 Mais il a foncé là, il a foncé droit vers–vers moi, et j’ai dit: «Maintenant, je regrette de t’avoir dérangé; tu es une création de Dieu, je suis un serviteur du Créateur, Jésus. Je suis en route pour rendre visite à Son serviteur malade. Je dois aller prier pour lui. Je regrette de t’avoir dérangé. Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, rentre te coucher; je ne vais pas te déranger; nous allons nous dépasser.»
Alors, ce taureau-là, avec sa tête inclinée, il fonçait pour charger. Eh bien, nous aurons à rencontrer... Je ne sais pas–sais pas ce que vous en pensez, mais je peux seulement vous relater le fait. Ce taureau était arrivé à environ cinq pieds [1,52 m] de moi, juste comme... et je n’avais plus peur; je me suis dit: «Pauvre bête, je regrette de t’avoir dérangée.» J’étais sur son terrain. Il a foncé tout droit vers moi, et il s’est arrêté, il semblait être très dégonflé; il a regardé de ce côté, il a regardé de ce côté-là, il s’est retourné, il est allé là se coucher. Je me suis tenu là, je suis passé à côté de lui, à cinq pieds [1,52 m] de lui, comme ça. Il a levé les yeux vers moi, je suis passé, j’ai traversé la clôture, alors je me suis mis à trembloter.
Qu’était-ce? Dieu. Il m’aurait tué. Le même Dieu qui avait pu arrêter un lion avait cet Ange de Feu, cette Lumière qui s’était interposée entre Daniel, l’animal a peur de feu. L’Ange se tenait là, assurément, qu’arriva-t-il? Le lion était allé se coucher.
Le même Dieu qui a vécu du temps de Daniel est le même Dieu aujourd’hui. Il a pu arrêter un lion, Il a pu arrêter le taureau.
E-96 L’herbe dans ma cour avait poussé l’été dernier. J’étais en train de tondre là, et je devais faire quelques tours, et puis enlever ma salopette, entrer pour prier pour les malades, et ressortir. Avant que je passe dans la cour de derrière, l’herbe de la cour de devant avait poussé. Maintenant, écoutez.
J’étais allé au fond de la cour arrière; j’avais enlevé ma chemise, il n’y avait personne là derrière, c’était là loin derrière la maison. Et j’étais en train de pousser de toutes mes forces la petite tondeuse, et cela faisait bang, bang, bang. J’avais oublié qu’il y avait un grand nid de frelons suspendu au coin. Et j’y ai cogné cette tondeuse, et une minute après, j’étais couvert par un grand... Vous savez ce que sont les frelons; ce sont de très gros insectes, ils peuvent frapper... ils peuvent vous tuer.
E-97 Et j’étais là torse nu, et couvert de frelons à peu près comme cela. Eh bien, au lieu (quelque chose arriva de nouveau.) au lieu d’avoir peur, je n’ai pas eu peur. Je me suis dit: «Eh bien, je les ai dérangés, n’est-ce pas une honte?» Et j’ai dit: «Eh bien, petites créatures de Dieu, je suis serviteur de Dieu; je suis en train de tondre cette pelouse. Je dois me dépêcher parce que les enfants de Dieu malades viennent pour que je prie pour eux, et je dois me dépêcher. Je regrette de vous avoir dérangés. Je regrette. Maintenant, au Nom de Jésus, rentrez dans votre nid; je ne vous dérangerai plus.»
Et Dieu qui est mon Juge solennel, cette Bible est ici, ces frelons m’avaient entouré. Je me suis tenu juste là, ils ont formé une seule file comme cela, ils sont rentrés tout droit dans le nid, c’était tout pour eux. J’ai demandé... j’ai vu cela arriver plusieurs fois.
E-98 Léo et Gene sont ici; ils sont assis juste ici derrière moi maintenant; ils sont on dirait, des ministres étudiants. Ils étaient assis sous la véranda l’été dernier. Puis, nous terminons. On était vers dix heures du matin, n’est-ce pas, jeunes gens? Vers dix heures, ils étaient assis là, je leur parlais d’une jeune fille de couleur; sa photo avait été publiée dans un journal, elle avait pris son enfant, une belle jeune femme, elle avait pris son enfant, elle l’avait étouffé dans une couverture, elle l’avait amené sur le pont à bord d’un taxi et l’avait jeté dans l’eau. On l’avait attrapée. Et j’ai dit: «Ce n’était pas là une mère; c’est une femelle, pas une mère. Une mère ne ferait pas cela.»
Et pendant... le laitier s’est avancé, apportant du lait. Monsieur Wood, il sera avec moi à la prochaine réunion. Sa femme est une vétérinaire, alors ils... leur enfant avait été estropié, avec une jambe recroquevillée. Il était un témoin de Jéhovah; elle était un méthodiste. Ils l’avaient amené à la réunion, ils étaient assis au fond. Des centaines de... des milliers de gens là-dedans... Quel était ce nom, Paul? Où? Non? Là où David Wood avait été guéri? Non, ce–c’est là-haut, là où il y a ce grand lac. Oh! Je vais–je vais m’en souvenir dans quelques minutes. De toutes les façons, c’était ici au bord de Great Lakes.
Et il était assis là au fond, dans la réunion. Et le Saint-Esprit est allé là et a dit: «Vous êtes un entrepreneur; vous êtes un témoin de Jéhovah. Votre femme est présentement une méthodiste; elle a une excroissance. Vous avez avec vous un petit garçon qui a une jambe recroquevillée suite à la polio, mais AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous êtes guéris.» Voyez?
E-99 Et elle est restée assise là un petit temps, ils se sont mis à regarder. Elle a dit: «Banks, s’adressant à son mari...» Si vous êtes à la prochaine réunion, vous pourrez l’entendre témoigner. Elle a dit: «Regarde ici.» Madame Wood a dit: «David, mets-toi debout.» Il était là tout aussi normal; c’est un copain de mon fils ici maintenant. Alors, eux donc... il a donc arrêté son travail d’entrepreneur; elle a arrêté le travail de vétérinaire, ils ont aménagé, ils sont mes proches voisins.
Ils étaient dans la cour, Léo et Gene. Et un opossum descendait la route. Vous avez des opossums par ici, n’est-ce pas? Des opossums? Eh bien, celui qui connaît la conservation de la nature sait qu’un opossum est aveugle la journée; c’est un rôdeur nocturne. Il descendait la route, il a dépassé trois ou quatre maisons qui n’avaient pas clôture, il est directement entré chez moi où il y avait une clôture, un mur en pierres, il est directement venu me rencontrer. J’ai dit: «Voilà venir un opossum; il a la rage.» J’ai dit: «Je ferais mieux de sortir pour l’arrêter.»
E-100 Monsieur Wood était en train de ratisser la cour. Alors, j’ai pris le râteau, je l’ai déposé sur lui. J’ai appelé Gene et Léo là dehors, ils sont tous sortis, et ils regardaient l’opossum. J’ai dit: «Regardez-le.» Et il m’est arrivé de remarquer; il n’avait pas de rage, mais son épaule gauche était toute écrasée. Le chien l’avait mordue. Eh bien, ce n’est pas bien à dire, mais la gangrène s’était installée, les asticots avaient fait gonfler cela et cette jambe était mise en pièces, et il la traînait comme ceci. J’ai dit: «Regardez cette pauvre créature.» J’ai dit: «C’est ce qui a fait qu’elle soit comme ça.»
Et généralement, dès qu’on les touche, ils font l’opossum, mais il se débattait simplement pour se relever de là. Et quand j’ai constaté, il... Eh bien, il n’y a que deux animaux qui ont des poches; c’est le kangourou et l’opossum, là où ils portent leurs petits. Et leurs nerfs se relâchent, cette petite poche s’ouvre. Et elle avait neuf petits, nus, à peu près longs comme ça, de petits opossums. Alors, j’ai dit: «Regardez là, jeunes gens, ai-je dit, venez ici. Cet opossum est plus mère que cette jeune fille de couleur.» J’ai dit: «Cette jeune fille de couleur avec un enfant en bonne santé, elle a donc pu continuer à courir là, elle a noyé son enfant. Et cette mère opossum a environ vingt minutes à vivre, ou une demi-heure tout au plus à vivre, et elle passera ces vingt minutes à se débattre pour ses petits.» Oui, oui. J’ai dit: «Dieu va... Dieu est avec cet opossum-là.» Et j’ai dit: «Regardez là. N’est-ce pas quelque chose?»
E-101 Je me suis donc relevé, et eux tous étaient venus là et ils la regardaient. Et aussitôt que je m’étais relevé, elle s’est dirigée droit vers ma porte. Et quand elle est arrivée juste devant ma porte, là sous un soleil accablant, en juillet, elle s’est épuisée et s’est écroulée. Monsieur Wood a dit: «C’est fini pour elle.»
J’ai dit: «Ouais, je pense qu’elle est morte.» J’ai dit: «Quelle honte!»
Elle s’est avancée là, et elle était juste un... elle s’est décontractée comme cela, ses petits étaient en train de la téter. Et je continuais à lui donner des coups avec le bâton; j’ai dit: «Je me demande si elle est morte.» Et je lui donnais des coups. Il a dit: «Oui, regarde sa jambe aller tout en arrière comme cela.» J’ai dit: «C’est pitoyable, n’est-ce pas, cette pauvre vieille mère, combien elle tenait à vivre pour ses petits.»
E-102 Et j’ai regardé les petits, ils ne faisaient que tirer et téter. De tout petits, à peu près comme ça. Et je–j’ai dit: «C’est vraiment dommage, n’est-ce pas?» Je lui ai donné des coups, j’ai dit: «Elle vit; regardez-la, et un petit sourire on dirait s’est dessiné sur son menton comme cela.» J’ai dit: «Je crois qu’elle vit»
E-103 Et madame Wood a dit: «Eh bien, Frère Branham, a-t-elle dit, tout ce qu’il y a à faire maintenant, a-t-elle dit, c’est juste prendre... juste–juste aller de l’avant et la tuer, prendre ces petits et les tuer, a-t-elle dit, parce que vous ne pouvez pas les élever. Ils ont de petites bouches rondes, ils devaient ... et ils sont juste... ce vieux lait maternel, et elle est morte, a-t-elle dit; ils mourront d’une mort horrible.»
J’ai dit: «Mais je–je ne peux pas faire cela.»
Et elle a dit: «Eh bien (Oh! la la!), que Banks le fasse alors.»
J’ai dit: «Non, je–je ne peux simplement pas accepter cela.» J’ai dit: «Pensez-y, c’est une mère qui se débat pour ses petits, elle tient à vivre.»
Elle a dit: «Eh bien, a-t-elle dit–dit, vous êtes un chasseur; allez prendre un de vos fusils et tirez-leur dessus. Si vous ne voulez pas...»
Elle voulait que je les renverse par terre et que je les tue. J’aï dit: «Je suis un chasseur, mais je ne suis pas un meurtrier.» J’ai dit: «Je ne peux pas les tuer.»
Elle a dit: «Eh bien, vous ne voulez pas me dire que vous allez les laisser coucher là et mourir comme cela?» La femme avait raison, évidemment.
Et j’ai dit: «Soeur Wood, je–j’ai beaucoup de considération pour vous en tant que ma soeur chrétienne, mais je–je ne peux pas la tuer, et je n’aimerais pas que quelqu’un d’autre la tue.»
Elle a dit: «Eh bien, Frère Branham, vous agissez mal, mon fils.» Elle a dit: «Cet–cet opossum, a-t-elle dit, ces petites créatures mourront pendant qu’elles sont étendues là. Et de quelle mort ils vont mourir!»
J’ai dit: «C’est peut-être vrai, mais je ne peux simplement pas la tuer.»
E-104 Je suis donc allé de l’avant. Cet après-midi-là, je suis revenu tard, elle était couchée là. Nous avons déversé de l’eau sur elle. Nous avons tout fait. Elle n’était point revenue à elle. Elle est restée simplement couchée là. Monsieur Wood est venu une prendre, nous sommes allés faire un tour, il a dit: «Eh bien, tu as été occupé toute la journée, Frère Branham, il te faut sortir ce soir.» Nous sommes donc allés faire un tour quelques instants. Nous sommes revenus vers vingt-trois heures, et la vieille opossum était couchée là, toujours étendue, toute recouverte de rosée; ces pauvres petits tétaient toujours d’elle. Et il a dit: «Si jamais elle avait bougé, quand le soleil s’était couché, elle serait partie.» Vous savez aussi cela, vous les chasseurs. Et il a dit: «Elle serait partie quand le soleil s’était couché», car c’est alors qu’ils se déplacent. Il a dit: «Elle ne se déplacera plus jamais, Frère Branham.» Il a dit: «Pourquoi ne la tues-tu pas maintenant?»
Et j’ai dit: «Non.»
E-105 Billy est rentré de la pêche vers minuit-trente. La vieille mère opossum était toujours là. J’ai pensé à elle toute la nuit. Maintenant, écoutez. Le lendemain matin, je me suis réveillé très tôt, je suis sorti là, et une fois sorti là, la vieille mère opossum y était toujours couchée. Je me suis dit: «Oh! la la! Que vais-je faire d’elle?»
Et la petite Rebecca... (Elle a eu sa première vision il n’y a pas longtemps.) Voilà venir ma fillette, non pas parce qu’elle est mienne, mais Dieu est avec elle. Ainsi, elle va à une réunion et porte quelqu’un sur son–son–son coeur, et elle se met à prier pour lui, cinq minutes ne passeront pas sans que le Saint-Esprit réponde à cela. C’est vrai. Voyez?
Et elle–elle était là; elle regardait cette vieille... Elle a dit: «Papa, que vas-tu faire de cette vieille pauvre mère opossum?»
J’ai dit: «Je ne sais pas, chérie.»
Elle était en pyjama. Maman et les autres ne s’étaient pas encore réveillés; il n’y avait encore personne là dehors, sur–sur l’allée. Et j’ai dit: «Chérie, je ne sais pas quoi.»
Elle a dit: «Tu vas la tuer, papa?»
Et j’ai dit: «Non, chérie, je ne peux simplement pas la tuer de toute façon.»
E-106 J’ai dit: «Que fais-tu en ce moment-ci? Tu ferais mieux de retourner au lit auprès de maman; tu ferais mieux de vite rentrer à l’intérieur maintenant.»
Elle a dit: «Eh bien, papa, j’ai vraiment pitié de cette pauvre vieille mère opossum.»
J’ai dit: «Moi aussi, chérie, mais elle est morte.» Et il a dit... Et j’ai dit: «Ces petits opossums, je ne sais quoi faire.»
Elle a dit: «Es-tu... Pourquoi ne laisses-tu pas frère Wood la tuer?»
J’ai dit: «Non, je n’ai pas envie de faire cela, chérie.» J’ai dit: «Rentre vite et monte au lit.»
E-107 Je suis entré par la porte de côté, dans mon bureau. Je me suis assis avec mes mains juste comme ceci. Je me suis dit: «Que ferai-je de cet opossum aujourd’hui? Je ne sais pas.»
Eh bien, je ne sais comment vous allez juger ceci, mais Quelqu’Un m’a dit, a dit: «Pourquoi la laisses-tu couchée là-bas?»
J’ai dit: «Eh bien, je–je ne sais pas.» J’ai dit...
Il a dit: «Eh bien, a-t-Il dit, Je–Je l’ai envoyée ici. Tu as prêché un sermon sur elle hier, disant combien elle était une mère.»
J’ai dit: «Oui, c’est vrai.»
Il a dit: «C’est Moi qui l’ai envoyée ici pour que tu pries pour elle, et elle est restée couchée à ta porte, attendant son tour pendant vingt-quatre heures; tu ne M’as point dit un mot à ce sujet.»
E-108 J’ai dit: «Eh bien, je n’ai pas...» J’ai dit: «A qui je parle? Ai-je perdu la tête?» J’ai dit: «Qu’y a-t-il? Quoi? ‘C’est Moi qui l’ai envoyée ici.’» Je me suis dit: «Ô Dieu, assurément, Tu connais les animaux. Tu connais les passereaux; aucun ne peut tomber sans que Tu le saches.» J’ai dit: «Eh bien...?... Pardonne-moi, Père, si Tu as une mère opossum... Je T’ai vu agir comme cela avec des êtres humains, mais jamais avec un opossum. L’as-Tu envoyée ici?»
Alors, je suis sorti là, et Becky regardait par la fenêtre. Je suis allé là où était l’opossum. Je l’ai regardée. Becky est sortie. J’ai dit: «Père céleste...» Je dois rencontrer ceci au Jugement. J’ai dit: «Père céleste, Ton serviteur a-t-il été assez stupide pour ne pas savoir que Tu es dans la nature, que Tu es dans les animaux, que Tu es partout? Et comment pourrait...?... Tu sais que Tu m’as envoyé prier pour des gens et Tu as envoyé cet opossum ici. Eh bien, cet opossum connaît la guérison divine plus que beaucoup de prédicateurs.» J’ai dit: «Cette bête est restée couchée ici, elle n’a pas d’âme, elle ne peut pas être conduite par l’esprit, elle n’a pas d’âme. Mais Tu as eu à la guider par l’instinct, et c’est Toi qui l’as créée. Elle veut vivre pour élever ses petits. Et Tu l’as placée sur mes marches ici, elle est restée étendue ici vingt-quatre heures. Pardonne-moi, ô Dieu.» J’ai dit: «Alors, Seigneur Jésus, si Tu as placé cet opossum ici, je Te prie donc de la guérir, au Nom du Seigneur Jésus.»
E-109 Vous devez me croire sur parole. Quand j’ai dit cela, l’opossum a retourné la tête et m’a regardé. Elle s’est relevée de là, cette jambe-là était tout aussi normale que n’importe quelle autre jambe, elle a rassemblé ses petits dans son sein, elle s’est mise à se pavaner sur la route comme cela, elle a atteint le portail, sa queue dressée comme cela, elle s’est retournée comme pour dire: «Merci, monsieur», elle est directement descendue la route, elle est allée dans les bois.
Ô Dieu, Il est partout. Assurément, si par l’instinct Dieu peut conduire un opossum à un endroit pour qu’on prie pour lui, à combien plus forte raison peut-Il conduire un homme et une femme?» Oh! Dieu est dans Son univers; Dieu est dans...?... Dieu est dans Ses oiseaux. Dieu est dans Son peuple. Dieu est dans Sa Parole. Dieu est dans Son Fils. Dieu est dans Sa création, partout. Et Dieu est ici aujourd’hui. Dieu est dans cette salle. Croyez-vous cela? Prions.
Père céleste, oh! un jour, quand tout sera terminé, nous pourrons nous asseoir de l’autre côté; alors, nous connaîtrons tel que nous avons été connu. Quelles histoires! Nous entendons les patriarches se lever, nous entendons Daniel et les prophètes, et nous les entendons eux tous se lever avec leur... les grandes choses que Tu as faites. Eh bien, nous nous serrerons la main, nous nous réjouirons et nous contemplerons le Trône et Celui Qui y est assis, et nous reconnaîtrons que c’est par Sa bonté que tout subsiste.
E-110 Mon esprit se rappelle aujourd’hui beaucoup de choses, de pauvres illettrés, comment Tu as eu une grande compassion et Tu as accompli de grands signes et des prodiges, et pour des animaux partout où on regarde, on Te voit. Ô Dieu, ôte ce petit voile sur les coeurs de gens aujourd’hui. Ôte cette chose intellectuelle qui les amène à vouloir s’accrocher à un credo, qu’ils ouvrent leur âme et leur coeur et qu’ils voient Jésus qui se tient près avec des bras ouverts. «Voici, Je me tiens à la porte et Je frappe: si quelqu’un ouvre, J’entrerai et Je souperai avec lui. Demandez ce que vous voudrez au Père en Mon Nom (Tout ce que vous désirez), Je vous le donnerai. Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé.» Montre-nous le Père, et cela nous suffit.
Ô Dieu, je Te regarde simplement; Tu es partout. Tu es ici même en train de Te mouvoir parmi ces gens. Mettez-vous à pleurer un peu, puis levez les mains et criez un peu, puis mettez-vous à vous abreuver un peu, la grande Fontaine est ouverte aujourd’hui. Je prie que chaque pécheur s’y plonge. Et Toi qui as pu conduire un opossum, Tu connais l’histoire, Seigneur, Tu sais comment cette même petite histoire a parcouru le monde.
E-111 Et, Père, je prie aujourd’hui, peut-être que cette pauvre vieille opossum est toujours là avec ses petits, heureuse, parce qu’elle a été conduite par le Saint-Esprit, elle est restée couchée, attendant comme une dame; Tu lui as épargné la vie afin qu’elle puisse élever ses petits. Ô Dieu, Tu fais cela pour une mère opossum, qu’en est-il d’une fille d’Israël? Qu’en est-il d’une fille de Christ, un fils de Christ, un enfant de Christ? Accorde-leur, Seigneur, ouvre leur entendement. Puisses-Tu parler d’une façon spéciale maintenant même, alors que nous le demandons, au Nom de Christ. Amen.
E-112 C’est vraiment agréable de vous parler; je regrette d’avoir parlé si longtemps. Je ne savais pas que je le faisais; pardonnez-moi. Non, ne me pardonnez pas; je n’en avais pas l’intention. Je ne demande pas pardon pour la Parole de Dieu, ou pour le témoignage de Jésus-Christ, pas du tout. Je vous aime, et vous m’aimez; c’est ce qui fait que nous sommes un. Jésus est ici avec Son peuple. Croyez-vous cela? Maintenant, nous allons... Avez-vous distribué des cartes de prière? Vous l’avez fait. C’était laquelle? G...?... de 1 à 100?
Les jeunes gens distribuent des cartes de prière. A partir d’où avons-nous appelé dernièrement? Nous n’avons pas appelé de... Nous n’avons pas appelé... Nous n’avions pas de cartes de prière hier soir, n’est-ce pas? Avant-hier soir, laquelle? Nous avions appelé, je pense, environ quinze, n’est-ce pas? De 85 à 100. Eh bien, retournons alors, appelons alors aujourd’hui à partir de 1. Qui a G numéro 1? Levez la main. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
Et ne doutez pas, et vous verrez la gloire de Dieu, si vous pouvez croire. Mais vous devez croire.
E-113 Est-ce cette dame? Excusez-moi, venez ici juste une minute. Quelqu’un m’a écrit une petite note l’autre soir, disant: «Frère Branham, qu’est-ce qui fait que vous vous frottez souvent le visage?» Parfois, on sent comme si les lèvres sont très épaisses. Alors, on–on le fait inconsciemment. Mais j’aimerais que vous croyiez maintenant de tout votre coeur. Je suis votre frère, et je déclare que Jésus-Christ est dans Son univers, dans Sa Parole, dans Sa nature, dans Ses animaux, dans Son peuple; et Il est ici maintenant. Quoi de plus peut-Il faire?
Il a prouvé qu’Il est ici dans la Parole, Il a prouvé qu’Il est ici dans l’univers. Il prouve qu’Il est ici dans Son peuple. Ce serait certainement un péché pour vous que de ne pas croire. Vous n’avez aucun fondement sur lequel vous tenir au jour du Jugement, si ce n’est de vous avancer là et reconnaître que vous êtes condamné et que ça en est fini de vous.
Maintenant, cette dame ici debout devant moi, elle m’est inconnue. Est-ce vrai, madame? Nous sommes totalement inconnus l’un à l’autre. Je ne connais pas la femme. Eh bien, n’est-ce pas de nouveau un tableau du puits où notre Seigneur Jésus se tenait et où Il avait parlé à une femme? Maintenant, j’aimerais que vous me répondiez afin que je puisse entendre la réponse, parce que je ne peux pas voir très loin là derrière en ce moment-ci. Voyez?
E-114 Jésus était là et Il parlait à une femme une fois pour découvrir quel était son problème. Combien croient cela dans Saint Jean 4? Qu’ils disent: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Et Il lui a parlé assez longtemps jusqu’à ce qu’Il ait découvert où était son problème, et Il lui a dit ce qu’était son problème. Et elle a dit: «Seigneur, Tu dois être un Prophète.» Combien savent que c’est vrai? Qu’ils disent: «Amen.» Elle a dit: «Nous savons que quand le Messie sera venu (Le Christ), c’est ce qu’Il fera, Il nous annoncera toutes choses. Mais Toi, qui es-Tu?
Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»
Elle savait que c’était là le signe du Messie. Et si le Messie est le même hier, aujourd’hui et éternellement, qu’Il est ressuscité d’entre les morts, ceci ne serait-il pas le signe du Messie cet après-midi? Si ça l’est, dites: «Amen.»
Eh bien, maintenant, si vous–si vous me croyez... Maintenant, Il est donc... Son attitude envers cette femme sera exactement Son attitude envers vous. Seulement le côté humain s’affaiblit beaucoup. Ce–c’est une opération céleste dans une partie humaine au point que cela ne peut simplement pas le supporter; c’est tout.
E-115 Mais maintenant, la dame, je pense, je la vois avec des cheveux grisonnants, peut-être, une mère. Dieu seul sait combien de dures lessives elle a dû faire avec cette main-là, combien de fois cela a séché les larmes de joue d’un petit enfant, elle l’a serré dans son sein et l’a bercé. Dieu seul sait cela. Pas moi. Mais, madame, vous êtes ici pour quelque chose. Loin de moi d’être de loin un séducteur, car vous êtes une croyante, une chrétienne. Et comment me tiendrais-je ici en tant que frère, professant cet office par Christ, sans que je–je sache, soeur? Voici ce qu’Il a dit, quand l’Ange m’a rencontré: «Si tu amènes les gens à te croire...» Eh bien, Il a dit que je suis né pour prier pour les malades.
Et j’ai dit: «Seigneur, je ne suis pas instruit, ils–ils ne me croiront pas.»
Il a dit: «Par ceci, ils croiront.» Il a dit: «Eh bien, si tu peux les amener à te croire et si tu es sincère pendant que tu pries, rien ne résistera à ta prière.»
E-116 Alors cela... Eh bien, je serais la dernière personne à essayer de faire quelque chose de mal, soeur, si je connais mon coeur. Et c’est pourquoi... Regardez ça, je dois un jour rencontrer tous ces gens au Jugement. Je dois vous rencontrer. Et assurément, je préférerais être à la maison avec mes enfants cet après-midi plutôt que d’être ici, cherchant à faire le séducteur. En effet, qu’est-ce qui m’arrivera? Voyez? Je suis... Je peux seulement dire. Le monde est tout instruit, et ils ne croient pas cela. Peu importe... Jésus a dit qu’ils ne croiraient pas, Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez.» Il doit y avoir de vous.
E-117 Maintenant, s’Il se sert de mon pauvre corps indigne que voici, de ma voix, qui ne vaut rien, même tout ce que je suis, rien de bon... mais pour accomplir Sa Parole, Il a dit qu’Il le ferait. Si Lui maintenant, par votre foi, peut venir demeurer ici avec moi, faire la même chose ici qu’Il avait faite pour la femme au puits, et vous dire ce qu’est votre problème, et ce qui cloche chez vous, allez-vous croire en Lui de tout votre coeur? Maintenant, c’est–c’est juste votre parole (Voyez-vous?), et la mienne.
Vous êtes consciente, maman, qu’il se passe quelque chose. Voyez? Entre vous et moi, il y a l’Ange du Seigneur. Maintenant, si l’assistance peut m’entendre, cette femme se déplace... non, elle marche. Je la vois aller quelque part, elle est en train de marcher... Non, elle est dans une maison, parcourant des pièces; elle est très nerveuse. Elle est dérangée par une maladie de nerfs, elle se tord les mains, elle cherche à faire quelque chose, elle prend quelque chose à la fenêtre ou quelque chose comme cela. Elle est très nerveuse en faisant cela. Elle doit... Je vois le soleil comme s’il se couche, elle regarde par la fenêtre. Elle devient très nerveuse, elle va et s’assoit sur un fauteuil, le dos tourné à la fenêtre. Elle devient nerveuse, surtout tard le soir. Et je la vois dans la salle de bain, elle a une maladie gynécologique, une maladie de femme, cela lui cause beaucoup de douleur et ça la bouleverse. C’est la vérité.
E-118 Et afin que vous sachiez que je suis prophète de Dieu, ou Son serviteur, vous étiez censée subir une intervention chirurgicale il n’y a pas longtemps, c’était à cause d’un kyste, et c’était sur le bras gauche, en dessous de vos habits là. Vous y êtes. Maintenant, me croyez-vous? Croyez-vous en Lui. Maintenant, il y a Quelque Chose ici qui vous connaît, n’est-ce pas? Vous croyez que c’est le Seigneur Jésus qui fait la même chose...?... Alors, au Nom de Jésus-Christ, Satan, toi qui as causé le mal, tu n’as pas peur de moi; je le sais. Mais je viens dans le Nom représentatif. Je viens représenter Celui qui t’a dépouillé au Calvaire de toute autorité que tu avais, Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Il t’a dépouillé; tu n’as pas de puissance; tu es un bluffeur. Et nous te forçons la main. Au Nom de Jésus-Christ, sors de la femme; je t’adjure, par le Dieu vivant, de la quitter.
Que Dieu vous bénisse, madame. Maintenant, poursuivez votre chemin en vous réjouissant et en louant Dieu. Amen. Disons: «Gloire au Seigneur!», tout le monde. [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur!»–N.D.E.] Soyez respectueux. Ayez foi. Maintenant, ne vous déplacez pas; soyez simplement respectueux.
E-119 Maintenant, madame, regardez-moi juste une minute. Maintenant, ce que je veux dire par cela, «Regardez-moi», c’est comme Pierre et Jean qui passaient par la porte appelée la Belle. Ils ont dit: «Regarde-nous. Regarde-nous», non pas qu’ils étaient quelque chose, mais cela... voir Dieu en eux.
Maintenant, je... La dame ici debout, je la vois à table. Et la table est... Non, elle quitte la table; elle a des troubles d’estomac. C’est vrai. Et elle ne sait pas ce que c’est. Elle est plutôt bouleversée à ce sujet; elle pense que c’est une grosseur qui est à la base. C’est vrai. Maintenant, croyez-vous qu’Il est ici? Croyez-vous que si je prie pour vous... L’Ange de Dieu a dit que ces choses s’accompliraient; la Bible dit qu’elles s’accompliraient. Il est ici dans Son peuple, dans Son univers. S’Il se tient ici, et Il a promis de faire cela, ne croirez-vous pas cela? Venez ici.
Dieu bien-aimé, au Nom de Jésus, le Fils de Dieu, j’ôte cette malédiction de cette femme, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Eh bien, assurément, remerciez-Le; c’est vrai. Cela vous a quittée. Il n’y a plus de grosseur; c’est parti.
E-120 Ô amis, si seulement vous pouvez... «Comment avez-vous su cela, Frère Branham?» Examinez-la, médecin, découvrez si c’est vrai. Elle revient simplement à elle-même; elle a été si captivée par l’Esprit. C’est ce qui fait qu’elle éprouve cette sensation. Eh bien, c’est assez pour la faire crier. Je crierais aussi; vous aussi. Si vous étiez étendu là mourant, d’une grosse tumeur maligne en vous, et que cela se dissolve et vous quitte, vous vous sentiriez aussi heureux.
Maintenant, soyez respectueux. Maintenant, juste... ce que je veux dire par être respectueux, je ne veux pas dire que vous ne Le louiez pas. Oh! la la! Dieu veut être loué. Il–Il–Il.- Il veut être adoré. Mais ce que je veux dire, c’est: Ne pas bougez; restez tranquilles. Voyez? Vous interrompez.
E-121 Maintenant, voici une dame qui m’est inconnue; je ne la connais pas, je ne l’ai jamais vue. Vous m’êtes totalement inconnue. Gloire à Dieu! Oui, soeur, c’est vous qui étiez en train de prier, n’est-ce pas? Cette maladie de sang dont vous souffriez, et vous étiez assise là, souffrant du coeur, votre foi vous a sauvée. Rentrez chez vous.
Qu’est-il arrivé? Voici cela passer devant moi ici même dans une vision, j’ai vu la femme en train de prier, le Saint-Esprit s’est tenu au-dessus d’elle, ou l’Ange du Seigneur. Je me suis retourné. Il est allé dans cette direction-là. J’ai regardé, je l’ai vue être examinée. Cela vous a quittée. Votre foi vous a guérie. Alléluia!
«Si tu peux croire, tout est possible.» Chaque personne ici présente devra être guérie en cette minute même. Pour Dieu, vous êtes guérie. C’est seulement votre foi qui vous empêche d’être guérie. Nous pouvons arrêter la ligne de prière maintenant même, et que chacun de vous, si vous acceptez cela sur cette base... mais vous devez croire. Vous devez avoir la foi. Croire seulement; avoir la foi; c’est tout ce que je vous demande de faire.
E-122 Il peut guérir le diabète; croyez-vous cela? Vous êtes assis là en train de prier à ce sujet, n’est-ce pas? C’est vrai.
Frère, croyez-vous que je suis Son prophète? Il peut guérir aussi l’hypertension. Croyez-vous cela?
Soeur, ici avec votre main levée, que représente la maladie du coeur pour Dieu, ou l’arthrite, l’un ou l’autre?
Oh! la la! Je souhaiterais que vous puissiez... si vous pouvez saisir la vision. Celle-ci est la première que vous avez réellement crue. C’est ça. Maintenant, vous croyez. Maintenant, vous.-. vos doutes sont dissipés. L’esprit chrétien l’emporte sur les autres incroyants. Vous êtes tous...?... à l’intérieur maintenant. C’est ainsi que le Saint-Esprit est censé travailler. C’est ça. Il a dit: «Si tu peux croire...»
E-123 Qu’en est-il de cela, monsieur, souffrant de prostatite, assis là? Croyez-vous que Jésus peut vous guérir? Pouvez-vous accepter cela? Vous êtes moins...?..., nerveux la nuit, vous, assis là en train de me regarder. Oui, frère.
Voyez, l’homme a perdu sa guérison là même. Voyez? Cela a quitté, c’est redevenu sombre tout autour de lui. Voyez, il n’a pas saisi cela. Vous devez répondre quand le Saint-Esprit vous parle; répondez. Assurément, Il veut que vous Lui répondiez. C’est votre foi qui répond à la réaction de la Parole. Ça devenait clair autour de l’homme; j’ai essayé d’attirer son attention; il est assis quelque part ici à l’intérieur. Cela l’a quitté de nouveau, c’est parti. Je l’ai appelé, j’ai pointé droit vers lui; c’est redevenu sombre autour de l’homme et la vision m’a quitté, cela est retourné vers lui. Voyez? Il faut croire. Vous ne pouvez pas bluffer Dieu. Et vous ne pouvez pas bluffer Satan. Vous devez savoir que Dieu a la prééminence; Il est Dieu. Peut-être que j’essaierai de rester ici à l’estrade.
E-124 Maintenant, croyez, madame. Avez-vous appelé tout à l’heure, madame? C’est vrai? Etait-ce le diabète? Vous aviez aussi le diabète, n’est-ce pas, monsieur? Vous assis au bout de la rangée, là en bas. Exact? Quelque cloche à vos oreilles aussi, n’est-ce pas? Arrêtez de fumer ces cigares; vous fumez des cigares; vous ne devriez pas le faire. Débarrassez-vous-en donc. Ayez foi en Dieu. Oh! Alléluia! Quelque chose doit...?... Ne pensez pas que je suis hors de moi. Je sais où je me tiens.
Madame, je ne vous connais pas. Christ vous connaît. Pas moi. Je vois un jeune homme, et il marche sur... il titube. C’est votre fils. Il est alcoolique. C’est AINSI DIT L’ESPRIT. Vous êtes ici pour le représenter. C’est la vérité.
Ô Jésus, étant moi-même un parent, ô Dieu, sois miséricordieux, et accorde à cette femme sa requête. Que sa foi ne faille pas. Puisse-t-elle voir son fils être sauvé, rempli de Ton Esprit. Je réclame ceci pour la gloire de Dieu, au Nom de Son Fils. Amen.
«Si tu peux croire, tout est possible.» Croyez-vous? Ayez foi. Ayez foi; ne doutez pas.
E-125 L’Esprit allait vers cette dame-là... Madame, votre affection, c’est la glande thyroïde. Vous me regardez comme cela. Assurément, quelqu’un pourrait dire: «Assurément, elle est costaude, ça doit être la thyroïde. Pas nécessairement.» Dites donc, qu’en est-il de la dame à côté de vous, posez votre main sur la dame à côté de vous là, non, celle qui est costaude, imposez-lui la main. Regardez de ce côté, madame. Vous souffrez de la gorge, n’est-ce pas? C’est vrai, levez la main si c’est vrai; vous voyez donc. Très bien. Voyez-vous cet Esprit se mouvoir?
Bonsoir, monsieur. Croyez-vous de tout votre coeur? Regardez de ce côté juste un instant. Vous avez été dans un hôpital. Je les vois, ils vous ont ouvert la partie de devant, comme ceci. Et ils ont pris votre estomac, ils en ont coupé une grande partie. C’est ça votre problème. Vous êtes extrêmement nerveux. C’est vrai. Et vous êtes un prédicateur de l’Evangile. Et autre chose pour laquelle vous voulez qu’on prie pour vous, c’est que vous avez un défaut d’élocution. Je vous vois essayer de dire quelque chose; vous n’arrivez pas à le dire. Cela est causé par une maladie de nerfs, c’est ce qui est à la base de vos troubles d’estomac. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.
Dieu bien-aimé, au Nom de Christ, le Fils de Dieu, je Te prie de guérir cet homme.
E-126 Disons: «Gloire au Seigneur!» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur!»–N.D.E.] Croyez-vous? Rendez-Lui gloire. «Si vous pouvez croire, tout est possible.» Ayez simplement foi. Dieu accordera cela. La Bible dit: «Que tout ce qui respire loue l’Eternel.»
Vous devriez vous sentir heureux à ce sujet, monsieur, vous assis dans l’assistance au bout de la rangée. N’est-ce pas? Vous vous êtes senti très heureux, parce que cet homme-là était guéri? Est-ce vrai? Vous souffrez d’une circulation insuffisante, n’est-ce pas, monsieur? C’est vrai. Ne voudriez-vous pas être si heureux? Assurément que vous le pouvez aussi. Amen. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant et en louant Dieu.
Alléluia! Gloire soit rendue à Jéhovah Dieu. Satan est...?... Maintenant, vous croyez. Maintenant, vous devenez pâle. Ceci est...?... ça continue chaque soir. Amen. Croyez-vous.
E-127 Qu’en est-il de vous, madame? Oh! Vous croyez. Vous croyez que je suis votre frère. Mais croyez-vous que je suis devenu votre frère, plus le prophète de Dieu, Son serviteur. Croyez-vous cela? Alors, je peux vous aider. Si vous croyez cela solennellement dans votre coeur, je peux vous aider. Vous pouvez retourner dans votre ville natale en vous réjouissant. Vous venez d’une autre ville. C’est vrai. Je vous vois regarder quelque chose, Madame Underwood. Dieu peut vous guérir. Croyez-vous cela? C’est ce que vous êtes. C’est vrai. Vous avez une... rénale, le rein droit, du côté droit. C’est exact. Rentrez chez vous et dites: «Gloire au Seigneur!»
Crois-tu? Oh! Il est merveilleux. Il connaît toute chose. Croyez.
E-128 Regardez ici juste un instant, madame? Croyez-vous de tout votre coeur que je suis Son serviteur? C’est vrai. Ayez foi...?... croyez-vous ...?... Croyez-vous? Je ne peux pas vous guérir. Mais je peux vous dire où se trouve votre maladie, juste comme la femme qui toucha...?... Croyez-vous cela? L’asthme. C’est vrai, n’est-ce pas? Ayez foi, tenez-vous là même juste une minute. Ayez foi.
La maladie des nerfs cause un désordre d’estomac (C’est vrai.), un ulcère peptique... C’est vrai. La maladie du coeur, l’asthme, les troubles d’estomac. Si vous croyez. «Si tu peux croire, tout est possible.» Croyez-vous cela? Amen.
Croyez-vous que je suis Son prophète? Vous souffrez de l’arthrite. C’est vrai, n’est-ce pas? Tenez-vous ici juste un instant.
Tout le monde, non...?.... parmi ceux qui ont été guéris jusque-là. Cette femme souffre du coeur. Que tous ceux qui souffrent du coeur se lèvent. Je vais vous montrer quelque chose. Tous ceux qui souffrent du coeur, levez-vous.
Quelle était votre maladie? Les troubles d’estomac. Tous ceux qui souffrent d’estomac, levez-vous. Restez debout, tout celui qui souffre de l’estomac.
Regardez ici. Ces esprits s’appellent les uns les autres...?... heureux.
E-129 Venez ici, de quoi souffrez-vous? Est-ce que je vous le dis directement par l’Esprit? L’asthme? L’asthme, levez-vous. Quelle était votre maladie? De l’arthrite. L’arthrite, levez-vous.
Vous y êtes. Ces esprits tirent les uns les autres. Voyez? ...?... Croyez cela. Croyez-vous cela? Levons-nous et rendons-Lui gloire. Louez Dieu.
Au Nom de Jésus, le Fils de Dieu, je réprimande chaque esprit démoniaque, et je déclare que vous ne pouvez plus les retenir. Sortez de cette assistance...?...
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