Les Actes du prophète

Les Actes du prophète

Perry Green

15. La vision de la tente



Avant de commencer ceci, je voudrais lire dans I Corinthiens, chapitre 15 et depuis le verset 50. Voulez-vous vous tenir debout avec moi durant cette lecture ?

« Ce que je dis, frère, c'est que la chair et le sang ne peuvent hériter le Royaume de Dieu et que la corruption n'hérite pas l'incorruptibilité.

» Voici, je vous dis un mystère : nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés (ce qui signifie que certains ne mourront pas, mais seront changés) en un instant, en un clin d'œil, à la dernière trompette. La trompette sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés. Car il faut que ce corps corruptible revête l'incorruptibilité et que ce corps mortel revête l'immortalité. Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l'incorruptibilité, et que ce corps mortel aura revêtu l'immortalité, alors s'accomplira la parole qui est écrite :

» La mort a été engloutie dans la victoire. » O mort, où est ton aiguillon ? » O tombeau, où est ta victoire ?

» L'aiguillon de la mort, c'est le péché ; et la puissance du péché, c'est la Loi. Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ !

» Ainsi, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, travaillant de mieux en mieux à l'Œuvre du Seigneur sachant que votre travail ne sera pas vain dans le Seigneur. »

Vous pouvez vous asseoir.

Si quelqu'un avait dû écrire l'histoire de la vie de l'Apôtre Paul, il me semble qu'il lui aurait été indispensable d'avoir mentionné ce que Paul croyait du futur aussi bien que de l'état actuel de ceux qu'il pensait avoir abandonné la foi. Il en est de même pour moi qui me propose d'écrire l'histoire de la vie de frère Branham. Je ressens que si un homme a une conviction, si un homme a une croyance, ou si un homme a une espérance, alors cette conviction, cette croyance ou cette espérance a un effet sur ses actions et sur ce « type » de personne et sur les choses qu'il pourra avoir à accomplir ses ambitions, ses désirs, ses plans, spécialement et ce qui concerne l'avenir s'il s'agissait d'un ministre de Dieu.

Maintenant, je ressens que frère Branham s'attendait à quelque chose, parce que Dieu lui avait montré que certaines choses arrivaient et il croyait que ces choses allaient se manifester. Mais il dit que quand nous nous attendons à quelque chose, nous devons savoir ce que nous attendons. Ce matin, en tant que votre pasteur, j'aimerais discuter ce sujet avec vous. J'ai apporté un message intitulé. La vision de la tente où j'essaye d'apporter ce que j'en ai entendu dire, pour ou contre, ce qui a été dit en interprétation aussi bien que toutes déclarations que j'ai pu entendre au sujet de la « Vision de la tente ». Mais si nous attendons l'accomplissement d'« une Vision de la tente » alors qu'il y en a qui disent que cela a été accompli, alors nous devons savoir ce que nous attendons ou ce qu'ils ont vu qui leur permet de sentir de cette manière.

Or, je ne vous demande pas d'attendre l'accomplissement de vos pensées ou de votre interprétation de « la vision de la tente ». Je vous demande de regarder à ce qu'était « la vision de la Tente ». Frère Branham dit que le seul moyen de voir une chose correctement, c'est de regarder dans la Parole. Si vous attendez l'interprétation d'une vision, ce doit être selon la Parole. Si vous interprétez cette vision hors de la Parole, alors vous vous attendez à quelque chose qui n'aura jamais lieu.

Je voudrais illustrer ce point en vous contant l'histoire d'un professeur que j'ai eu en classe de théologie systématique, à l'Ecole Biblique, et qui était trinitaire. Il y avait là un couple de mes camarades qui avaient discuté de la Divinité avec moi, et je leur avais montré par les Ecritures que le Seigneur notre Dieu était un seul Dieu et non pas trois. Et l'un de ces étudiants a parlé à ce professeur un jour, disant : « Docteur Mac Caferty, que ferez-vous quand vous arriverez au Ciel et que vous découvrirez qu'ils ne sont pas trois, mais qu'il n'y en a qu'UN SEUL ? »

Il baissa la tête, jeta à cet étudiant un regard au-dessus de ses lunettes et déclara : « Si j'arrive là-haut et qu'il n'y en a qu'UN, je ferais demi-tour et je m'en irai. » Et je pris la parole pour dire : « Docteur Mac Caferty, soyez sans crainte. Avec une telle attitude, vous n'irez jamais là-haut. » Il préférait se fier à sa propre interprétation de la Divinité que d'écouter la vérité ; parce qu'en lui-même, il s'était persuadé qu'il y avait trois dieux. Et tout ce que vous pourriez dire ne le ferait jamais changer d'avis.

Je vous demanderai ceci dans l'humilité au cas où il serait possible que cela vienne de moi et je m'adresse à ceux qui ne croiraient pas cela possible. Voilà pourquoi je m'adresse ainsi à eux. Mais que ferez-vous si la « vision de la tente » ne s'accomplit pas de la manière dont vous l'avez prévue ? Refuserez-vous de l'accepter si elle s'accomplit de la manière que Dieu avait prédite ? Vous dites : « Bien, je sais ce qui va se passer. » Alors vous pouvez être assuré d'une chose : si vous le savez, vous êtes dans l'erreur. Parce que le prophète de Dieu a dit : « Si vous vous figurez que cela se passera ainsi, vous pouvez être assurés d'une chose vous êtes dans l'erreur ! » parce qu'il a dit : « Personne ne le saura. »

La première fois que j'ai entendu parler de « la vision de la tente », c'était en 1964. D'autres personnes m'avaient dit ce qu'elles en pensaient. Mais ce n'est pas avant septembre ou octobre 1964, lors d'une partie de chasse en Colombie britannique, que le frère Branham me parla pour la première fois de sa « vision de la tente ». Il me raconta cette vision en détail. Il m'a dit aussi que le nom d'une personne qui avait offert l'argent pour payer cela, et qui avait promis de payer. Et il me dit : « Frère Pearry, tout ce que j'ai à faire, c'est de la commander, et cela sera payé. »

Il parlait comme un homme qui considérait « la vision de la tente » comme une espérance dans sa vie et son ministère. Il me parla de toutes ces portes qui étaient fermées à son message. Il me disait qu'aussi longtemps qu'il avait prêché la Guérison Divine, toutes les portes lui avaient été ouvertes, et il me cita toutes les églises, les réunions en plein air et toutes les conventions qui l'avaient accueilli avec joie. Mais quand il vint leur parler de doctrine avec « Ainsi dit le Seigneur », ils fermèrent leurs portes. Mais, dit-il, « Frère Pearry, une chose me console, c'est que Dieu m'a donné la vision de cette tente, et m'a fait savoir que quand toutes les portes seraient fermées, j'aurais encore un lieu pour prêcher l'Evangile, avec " Ainsi dit le Seigneur " ».

En août 1965, frère Branham me parla à nouveau de « la vision de la tente. Nous étions assis à la cafétéria de « Holiday Inn » à Jeffersonville, Indiana. Ce jour-là, il m'avait parlé de l'épée qui était apparue dans sa main. Il me parla de la nuée qui lui était apparue et de cette expérience. Je m'étonnais de l'entendre répéter toutes ces choses qu'il m'avait si souvent dites lorsqu'il fit cette déclaration : il me dit : « Frère Pearry, vous avez entendu parler de ma « vision de la tente », n'est-ce pas ? » Je lui répondis : « Oui, Monsieur, vous me l'avez raconté et d'autres que vous m'en ont parlé également ! ».

Il me dit : « Vous savez qu'il y a un tas de frères qui ont été choisis à cause de leur emploi » Je dis : « Oui, Monsieur, je — je connais certains conducteurs de camion, des monteurs de tente et d'autres encore à qui vous avez dit qu'ils pourraient aider. »

« Frère Pearry, dit-il, je ne sais pas. Vous savez, je — je parle seulement en homme dans cette sorte d'affaires.» Il dit : « C'est quelque chose d'une vision que Dieu m'a donnée. » Et il dit : « Je crois que quand le temps viendra, le Même qui m'a donné la vision me montrera ce que chaque frère devra faire  quand cette vision sera accomplie. » Il ajouta : « Frère Pearry, je crois qu'il y aura une place pour vous. »

Moi, comme tout le monde, je  j'appréciais tant frère Branham, et je le voyais en pensée avec une tente comme aucun évangéliste n'en avait eu, et des réunions, et des foules dont on n'avait jamais entendu parler à cette heure-là dans le monde. Je pensais tout cela parce que d'autres m'avaient dit qu'il l'aurait ici, il l'aurait en un certain lieu d'Amérique. J'avais entendu une bande où il avait mentionné qu'il désirait la monter à Mexico-City. Je savais qu'il avait parlé à certains frères de l'établir outre-mer.

J'aimerais injecter cette pensée dans votre esprit. Jean le Baptiste s'est tenu un jour dans la rivière du Jourdain et a baptisé Jésus-Christ, le fils du Dieu Vivant. Il vit l'Esprit de Dieu descendre du Ciel comme une colombe. Et il sut que c'était le signe envoyé de Dieu pour qu'il puisse annoncer au monde : « Voici l'Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. » L'onction était sur lui quand il parla de ces choses.

C'est comme frère Branham disait, concernant Elie qui se tenait sur le Mont-Carmel et faisait descendre le feu du Ciel, puis prenait 400 faux-prêtres et les égorgeait. Quand il pria et ferma les cieux pendant trois ans et demi puis il se retourna et les ouvrit à nouveau. Alors, il courut devant le char jusqu'à la ville. Mais quand une petite femme se leva et l'accusa, il s'enfuit pour sa vie. Il disait : « Cela montre la différence qui existe quand l'Onction de Dieu repose sur un prophète. » Mais il dit : « L'Esprit avait quitté Elie quand Jézabel l'accusa. » Et Dieu devait soutenir sa vie même. Il n'était plus capable de sortir et de se procurer du pain  Dieu dut l'envoyer à une petite veuve afin qu'il ait la nourriture et un lieu pour se reposer.

Et ainsi en est-il avec Jean-le-Baptiste. Il se tenait là, ce jour, sans aucun doute en lui-même, il dit : « Voici l'Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. » Et quelques mois plus tard, Jean-le-Baptiste était en prison en Matthieu, chapitre XI. Et il envoya deux de ses disciples vers Jésus pour demander : « Es-tu Celui qui doit venir ou devons-nous en attendre un autre ? » Alors ne savait-il pas ce qu'il disait lorsqu'il proclama : « Voici l'Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde ? ». .

Maintenant, en parlant d'Elie, j'ai indiqué ce qu'il pouvait faire lorsque l'Onction était sur lui. Il parlait comme Dieu. Jean-le-Baptiste parlait avec autorité comme Dieu. Mais nous devons nous rappeler que bien qu'ils fussent prophètes, ils étaient cependant des hommes et ils parlaient également comme des hommes.

Le jour où notre frère Branham parla de cette vision de la tente, il dit : « Observez-la ! Comme les autres visions l'avaient été, cette vision-là est selon le " Ainsi dit le Seigneur " ». Il parlait comme Dieu mais ensuite, dans des discussions privées, vous ne pouvez pas tenir compte de chaque détail qu'il vous a donné et vous ne devez pas les inclure dans votre propre interprétation selon le « Ainsi dit le Seigneur ». Vous ne pouvez dire que c'est « Ainsi dit le Seigneur » car vous pouvez n'avoir pas bien saisi le sens de ce qu'il vous a dit personnellement.

« La vision de la tente » est « Ainsi dit le Seigneur ». Et cela sera ! Aucun doute à son sujet dans ma pensée. Et si c'est vous qui interprétez, je me questionne à ce sujet. Parce que le jour où frère Branham a dit : « Frère

Pearry, je crois qu'il y aura une place pour vous ». Il ajouta aussi : « Frère Pearry, je ne sais pas si c'était bien une tente », il dit : Cela paraissait être une tente, cela pouvait être aussi bien un grand bâtiment qu'une cathédrale. » Il ajouta : « Vous savez, il y a tant de gens qui attendent une tente, frère Pearry. Mais je me demande s'ils attendent une tente ou s'ils attendent l'Enlèvement. »

Certains disent que l'Enlèvement ne peut avoir lieu tant que la « Vision de la tente » n'a pas été accomplie. Et si je n'ai rien appris d'autre, j'ai au moins appris à ne pas dire : « Rien ne peut se produire parce que ceci n'a pas encore eu lieu. » Parce qu'il a dit : « Ne regardez pas à ces choses mais attendez-vous à l'Enlèvement. »

Quand ce jour-là, nous nous sommes retirés, frère Branham a fait cette déclaration  s'il ne l'a pas dite, alors j'en répondrai au jour du Jugement  il dit : « Frère Pearry, je vous ai dit ces choses aujourd'hui afin qu'à votre retour à Tucson, vous puissiez aider les frères à voir ce qu'ils doivent faire ou non. »

Beaucoup n'ont pas apprécié cela, mais si ce fut un honneur pour moi d'avoir reçu toutes les choses qu'il m'a dites, et d'avoir passé tous ces instants avec lui, il est évident qu'il y a aussi une responsabilité qui m'incombe. Il dit qu'il ne voudrait rien donner à un homme mielleux qui ne pourrait pas se lever et dire ce qu'il pense. Et en moi-même, je crois qu'il savait que je répéterais ces choses avec sincérité, avec une conscience honnête et pure, ne cherchant rien d'autre qu'à aider. Aussi je leur ai dit.

En septembre 1965, je me tenais dans une salle de « Ramada Inn » dans la ville de Tucson et frère Branham me répéta à nouveau les mêmes choses. Il me parla de ces visions. Il revint à nouveau sur « la vision de la tente ». Et après qu'il eut terminé je lui demandai encore : « Frère Branham, pourquoi avez-vous passé tout ce temps avec moi ? Frère Branham, je connais au moins cent personnes dans cette ville qui voudraient avoir cette interview avec vous, ce matin. Vous m'avez appelé. Pourquoi - pourquoi avez-vous passé tout ce temps avec moi ?» Il me regarda simplement et dit : « Frère Pearry, cela doit être ainsi. »

Maintenant, qu'est-ce que la « vision de la tente » ? Sans aucun doute, vous en avez entendu parler et j'aimerais vous dire avec mes expressions personnelles, si c'est possible, ce que je pense que frère Branham a dit que c'était. Premièrement, la « vision de la tente » était « Ainsi dit le Seigneur ». N'oubliez jamais cela. En dépit de ce que vous avez pu entendre à ce sujet, souvenez-vous que c'était « Ainsi dit le Seigneur ». Ce n'était pas : « Maintenant, je pense que j'ai vu ceci. » Il a dit que c'était « Ainsi dit le Seigneur ».

« La vision de la tente » était l'une de trois visions qui vinrent en même temps. Les deux autres visions ont été expliquées. « La vision de la tente » a des secrets la concernant  des mystères, vous pourriez les appeler  Il a dit que l'Ange du Seigneur lui avait donné la vision, qu'il était avec lui et lui avait dit : « Tâche de n'en parler à personne. » Et il dit : « Si je meurs avant la venue du Seigneur, j'emporterai ce secret avec moi dans mon cœur. »

Comme arrière plan, je voudrais déclarer qu'en préparation des déclarations que je vais faire ce matin, j'ai lu chaque brochure de « La Parole parlée », qui ont été imprimées. J'ai lu cela cette semaine et si je dis quelque chose qui n'a pas votre accord, je ne veux pas argumenter avec vous à ce sujet. Je sais dans mon cœur avec une pure conscience, dans la crainte de Dieu, étant un des responsables que si je vous égare, j'en rendrai compte.

Mais je vais tenter de ne rien dire que je ne puisse épauler avec ses paroles. Je ne vais pas vous permettre de venir et d'argumenter avec moi à ce sujet car, si vous avez fixé votre pensée sur une interprétation de la « vision de la tente », je ne pourrais rien y changer même si je le voulais. Je veux seulement vous demander ceci : Considérez ce que je dis puis lisez les livres de « La Parole parlée » et écoutez les bandes et vous l'entendrez dire les mêmes choses que j'ai entendues.

La première fois que frère Branham parla de la « vision de la tente ». C’était dans un message intitulé « Voile intérieur ». Il a prêché cela le ler janvier 1956. Il avait eu la vision en décembre 1955. Avant que je vous lise ce que frère Branham a dit au sujet de la tente, la première fois qu'il en parla à sa congrégation à Jeffersonville, j'aimerais vous ramener neuf ans en arrière  quand frère Branham eut la Visitation de l'Ange de Dieu, le 7 mai 1946. Quand il lui dit qu'il prêcherait devant des rois et des potentats, des conducteurs religieux et des grands de ce monde, et qu'il prêcherait devant des auditoires de masse tout autour du monde  et que Dieu honorerait Sa Parole dans sa vie s'il voulait être humble, sincère et s'il pouvait amener le peuple à croire qu'il était le prophète de Dieu, rien ne résisterait à sa prière, pas même le cancer.

Je désire que vous sachiez qu'avant tout cela, frère Branham avait vécu dans la pauvreté. En fait, enfant, il était si pauvre qu'il n'avait même pas de chemise pour aller à l'école. Il boutonnait son veston jusqu'en haut et l'institutrice lui demandait : « As-tu froid, Billy ? » et comme il devait garder son vêtement afin qu'elle ne puisse pas voir qu'il n'avait pas de chemise, il disait : « Oui, Madame », et faisait semblant de frissonner. Elle le rapprochait alors du poêle et cela ne faisait qu'augmenter la chaleur qu'il ressentait. Et il devait s'asseoir là et agir comme s'il avait froid alors qu'il rôtissait.

Son père était un trafiquant d'alcool. Et chacun le savait. Et il portait le nom de Branham, le nom de son père et s'il marchait dans la rue, les gens passaient à l'autre trottoir pour ne pas avoir à lui parler. Il était si pauvre que s'il pouvait avoir 5 cents, il allait achetait une cartouche  allait tuer un lapin, le vendait 15 cents, retirait 5 cents pour acheter une autre cartouche et avec les 10 cents restants, il achetait de la nourriture pour sa famille.

Quand il vint dire à son peuple qu'un Ange du Seigneur était venu à lui, lui disant qu'il aurait du succès dans ses réunions, les gens dirent : « Oh ! Billy, lu es tombé de ta chaise à bascule. Bien, il n'y a personne qui t'écoutera. Tu es un Branham. Tu es d'une famille catholique irlandaise avec mauvais caractère. Tous tes voisins le savent. Personne ne viendra l'écouter. Tu n'es pas un homme de réputation. Tu n'as même pas d'instruction. »

Sœur Meda m'a dit une fois que, lorsque l'Ange du Seigneur vint à lui, en 1946, et lui a dit d'aller prêcher au monde un message de guérison divine frère Branham était si pauvre que les cols de ses chemises blanches étaient complètement usés. Et pour qu'il puisse aller à sa première réunion à Saint-Louis, Missouri, elle dut démonter ses cols et les retourner.

Dans sa biographie, il nous dit qu'il avait un trou dans la poche de son veston. Et pendant qu'il prêchait, il cachait avec la main, cette ouverture parce qu'il ne voulait pas que les gens voient le trou dans son costume.

Jusqu'à cette date, il n'avait, de toute sa vie, possédé une paire de pyjamas. A la réunion de Saint-Louis, quelqu'un lui donna sa première paire de pyjamas et quand il revint à la maison, c'est tout juste s'il pouvait attendre pour le montrer à sœur Branham.

Vous pouvez vous demander ce que cela vient faire ici. Mais il est allé dans des réunions qui coûtaient des milliers de dollars. Il avait promis à Dieu qu'aussi longtemps qu'il pourrait aller prêcher sans avoir besoin d'emprunter pour couvrir les frais, il resterait dans le champ. Mais en 1955, il tint une réunion en Californie. Et celui qui avait la charge de la réunion vint lui dire qu'ils avaient 15 000 dollars de déficit. Cette nuit-là, après la réunion (il se tenait dans une petite cabine qu'ils avaient louée pour lui), à environ 2 h 30 du matin, il se leva et partit dans les bois. A 4 heures du matin, il était toujours là parlant avec Dieu : « Maintenant, Seigneur, je t'ai promis en 1946, quand je n'avais rien, que j'irais, que j'obéirais à ce que l'Ange m'avait dit, étant entendu que Tu pourvoirais et que nous n'aurions jamais à faire d'appels d'argent. Et maintenant, Seigneur, ils viennent me dire que j'ai 15 000 dollars de dettes. Aussi, c'est temps pour moi de retourner d'où je viens et de m'attendre à Toi, pour me dire ce que Tu veux que je fasse d'autre. »

Ainsi, frère Branham, commença à reprendre le chemin du retour avec sa famille, au travers du pays. Il ne dit rien ni à Billy ni à sœur Branham. II ne voulait pas leur dire son intention d'abandonner le champ. Il se disait : « Je les aviserai quand j'arriverai en Arizona. » Quand il fut arrivé dans cet état, il se dit : « J'attendrais d'être arrivé dans le grand état du Texas dont ma mère est originaire. » Quand il fut arrivé au Texas, il ne leur dit toujours rien. Il attendit d'être arrivé à Jeffersonville. Billy lui dit : « Papa, la Parole ne dit-elle pas : Malheur à moi si je ne prêche pas l'Evangile ! Sais-tu de quoi tu parles ? » Sœur Branham dit : « Billy, j'espère que tu sais ce que tu fais. »

Il répondit à cette dernière qu'il allait appeler son vieux patron de la Compagnie des Services publics afin d'y travailler à nouveau. Il disait qu'en cas d'insuccès, il pourrait peut-être aider le frère Wood dans ses affaires de constructions et démolitions. « Nous irons démolir quelques maisons et ainsi de suite. » Il était las et fatigué. Suivant ses propres paroles, il n'arrivait pas à comprendre.

Par contre, ce qu'il savait, c'est qu'il y avait neuf ans de cela, il avait promis à Dieu de rester dans le champ aussi longtemps que Dieu pourvoirait aux besoins, sans avoir recours à des tiers. Ces hommes en Californie s'étaient portés garants du déficit mais frère Branham disait : « Ce n'est pas là mon accord avec Dieu. Mon accord était que Dieu pourvoirait par le moyen des gens sans que nous ayons à mendier.» Il dit : « J'ai 15 000 dollars de dettes et je vais retourner à la maison et reprendre mon ancien travail »,

Frère Branham a dit que ce matin-là, quand il s'éveilla, il était assis au bord du lit parlant avec sa femme de ces choses, quant tout à coup une vision éclata devant lui. Je vous la lis telle qu'il l'a dite à l'assemblée : « Vous, peuple qui me connaissez, vous savez que je ne suis pas un fanatique. Je ne dirais pas ces choses si ce n'était pas la vérité. J'ai vu cette vision et dans cette vision, j'ai vu frère Arganbright qui se tenait là. Je montais jusqu'à lui et il dit : Frère Billy, nous avons donné toutes les cartes de prière, et tout est prêt maintenant pour la réunion. Nous avons un moyen pour vous faire entrer et sortir. »

Il dit : Merci, frère Arganbright. Il dit qu'il s'éloigna pour voir d'autres serviteurs. Et quand il le fit, il découvrit qu'il y avait un autre serviteur qui prêchait. Et il leur demanda : « Qui est-ce ?» et ces ministres se retournèrent et dirent : « Ils l'ont mis là. »

II dit : « Qui c'est " ils " ? » et ils se retournèrent et s'en allèrent. Et l'homme qui avait la charge de la réunion mit fin au service et laissa la congrégation s'en aller. Et frère Branham dit : « Vous ne devriez pas faire cela parce que vous n'avez pas fait d'appel aux âmes. » Et un autre individu dit : « Quelle différence cela fait-il ? Nous avons pris l'offrande. » Et il lui répondit : « Bien, depuis quand l'offrande est-elle plus importante que les âmes pour Christ ? »

Et à cela, il dit, le Seigneur le prit et  à une autre scène et l'installa au bord d'un bel endroit pour pêcher. Il dit qu'il pouvait voir le poisson qui nageait là. Il savait qu'il y avait du poisson et une voix lui parla et dit : « Je vais faire de toi un pêcheur. » Il dît : Maintenant, jette ton leurre dans l'eau et quand tu le fais, tu tires tout doucement la première fois. La fois suivante, donne-lui une petite secousse, pas trop forte. Et la fois suivante, place ton hameçon pour la prise. »

Il dit : « Je commençais à lancer ma ligne dans l'eau et je tirais et chacun se réjouissait et disait : « C'est merveilleux, c'est merveilleux, Frère Branham. » Il dit : « Je commençais à m'exciter et la fois suivante, je secouais très dur. » Et il dit : « Je tirais le petit poisson hors de l'eau. Et qu'est-ce que c'était ? » Il dit : « C'était un petit poisson, tout petit. » Il dit : « Il semblait que la peau avait  que la peau du poisson était étroitement tendue sur l'amorce. » Il se demandait comment le poisson avait attrapé l'amorce dans sa bouche car l'amorce était aussi grande que le poisson.

En plus de cela, disait-il, sa ligne était toute emmêlée, et il était là, debout, essayant de la démêler. Celui qui était alors avec lui, se mit à lui parler. Quand Frère Branham se retourna pour voir qui il était, il vit un homme habillé comme un Palestinien. Il avait un turban sur la tête et il portait une robe blanche. Cet homme-là lui dit : « Frère Branham, c'est cela. » Celui-ci répondit : Je sais que je n'ai pas fait cela correctement. » J'ai secoué la ligne alors que je n'aurais pas dû le faire.

Celui-là lui répondit : « Ne garde pas ta ligne emmêlée en des temps comme ceux-ci. » Et il poursuivit en ces termes, raconte Frère Branham : « Maintenant, la première fois que je t'ai parlé, tu mis tes mains sur les gens et tu leur as dit ce qui n'allait pas en eux. C'était ton premier pull. Le second pull serait quand tu connaîtrais les secrets de leur cœur et tu l'as fait. Et j'ai fait de toi un voyant aux yeux des gens, mais 'tu as toujours essayé d'expliquer cela. Tu n'aurais pas dû le faire. Tu en as fait un spectacle. » Frère Branham lui répondit : « Je, je suis vraiment navré. »

Alors, dit-il, la scène changea pour la troisième fois. Il dit : « Alors, il le transporta et lui montra une grande, une immense tente. » Il dit : « Je n'avais jamais vu une telle tente, c'était plein et il y avait même des gens en dehors des rangs. »

Et il dit qu'il était au-dessus des gens, mais sous la tente, regardant vers l'estrade et il dit qu'il y avait des centaines de gens tout autour de l'autel comme  s'il venait juste de faire l'appel. Il ne disait pas qu'il en avait fait un, il disait « comme s'il en avait fait un ». Il avait vu cette scène auparavant  il avait vu des gens tout autour de l'autel comme cela. Mais il n'était pas sur la plate-forme mais sous la tente, mais au-dessus de la tête des gens, regardant vers la plate-forme.

Et il regarda et il entendit un homme se lever et dire il disait que c'était un homme âgé, gentil, aimable.

Cet homme dit : « Appelez la ligne de prière. » Il dit : « Tandis que Frère Branham se repose un peu, nous allons appeler la ligne de prière. » Il dit que les gens commencèrent à s'aligner mais c'était à la droite de la plateforme comme toujours parce que l'Ange du Seigneur se tenait toujours à son côté droit. C'est pourquoi sa ligne de prière venait de la droite. Et de là où il la regardait, la ligne de prière se formait à sa gauche. Et ils s'alignaient tous. Et, dit-il, la ligne sortait dans la rue et descendait la rue.

Et il dit, qu'alors il regarda vers la gauche, à l'avant de la ligne de prière, il y avait une petite construction en bois. A d'autres moments quand il relata cette vision, il déclara qu'il y avait là une petite chambre de toile tendue. Et il y avait là une dame qui semblait relever les noms. Si quelqu'un venait sur un brancard, un homme apparaissait et les poussait à l'intérieur.

Lorsqu'il vit cela, dit il, il vit cette même lumière qui fut photographiée à Houston, dans le Texas, le 24 janvier 1950, qu'il avait vue depuis qu'il était un petit garçon et qu'il disait être jaunâtre-vert  couleur de l'ambre  comme la colonne de feu qui conduisait les enfants d'Israël de nuit, la même dont il a parlé à des millions de gens  dans l'auditoire, il disait : « La colonne de feu est ici et elle repose sur la tête de telle personne. »

Il disait, quand il était dans cette vision de la tente, qu'il voyait cette lumière. Elle le quitta et s'en alla dans cette petite chambre. Et celui qui était avec lui, lui dit : « Je te rencontrai là, ce sera le troisième pull. » Il posa la question : « Pourquoi ? » et il lui donna en réponse : « Eh bien ! Ce ne sera pas un spectacle public comme ils en ont eu. » Et, dit-il, il sortit de la vision.

Maintenant, je vous demande de comprendre que Dieu donna à son prophète cette vision à l'un des pires moments de sa vie. Il venait juste d'avoir neuf ans du plus glorieux ministère qu'aucun homme ait eu sur la face de la terre. Je vais le dire d'une manière différente  le ministère du plus grand succès qu'aucun homme n'ait jamais eu. Et cependant, il lui fallait rentrer à la maison et sortir du champ sans autre explication, ce qui ferait dire à certains : « Bien, William Branham a perdu sa puissance avec Dieu. Il n'a plus le même don. »

Mais il était volontaire pour faire marche arrière et honorer sa parole donnée à Dieu, et si c'était nécessaire, reprendre du travail dans un service public alors que, partout dans le monde, les gens avaient déclaré qu'il était un merveilleux homme de Dieu. Il pouvait avoir tout ce qu'il désirait, tout ce qu'il demandait, sur simple demande. Il aurait pu garder le million et demi de dollars que cet homme de Chicago lui avait envoyé, s'il l'avait voulu, mais il le renvoya.

Et maintenant, il se trouvait avec 15.000 dollars de dettes. Là où il recevait mille lettres par jour, son courrier était descendu à 75. Il ne vendait rien. Il ne faisait pas de publicité. Tout ce que les gens pouvaient obtenir de son bureau c'était un tissu de prières et une prière pour leur guérison. Et parce qu'il ne faisait pas de publicité, parce qu'il ne faisait rien selon la voie naturelle des gens, ils se tournèrent vers ceux qui leur semblaient plus populaires. Ses dépenses pour son bureau seulement étaient de 100 dollars par jour et c'est pour cela qu'il ne pouvait pas se contenter de quitter. Il était dans une vallée  de décision. II demandait à Dieu qu'elle était la volonté de Dieu pour sa vie, quand Dieu lui donna ces visions que je viens de vous lire.

C'est encourageant de penser que c'est à l'heure la plus sombre, que votre plus grande espérance vous est accordée.

Cinq mois plus lard, le 8 avril 1956, Frère Branham alla visiter à Chicago l'église de Frère Mattson Boze, qui s'appelait Philadelphia Church. Il apporta un message intitulé: «Visions et prophéties ». Dans cette église de Frère Boze, il parla aux gens de cette vision. Mais entre  temps, Frère Arganbright l'avait appelé et demandé d'aller avec lui à Mexico, afin d'y tenir une réunion. Frère Branham lui avait dit : « Il y a beaucoup de personnes qui m'ont demandé d'aller à Mexico mais je n'y suis encore jamais allé », ajouta-t-il, « car j'ai toujours pensé que ce serait un des premiers endroits où j'irais dresser ma tente »

Maintenant, vous voyez, il venait d'avoir cette vision en décembre 1955 et nous étions aux premiers mois de 1956. Et, naturellement, cette tente était dans sa pensée. Il se demandait lui-même : « Qu'est-ce que c'est ? ». Il avait pris cela comme une grande espérance car il avait besoin de quelque chose pour s'y accrocher. Et Dieu lui avait donné ceci pour lui faire connaître que, même si l'autre pull avait diminué, il y avait toujours devant lui un pull plus merveilleux, plus puissant, plus complet.

En fait, avant de partir en 1946, Frère Branham dit à son église : « Ces choses arriveront. Ce frère construira une église sur cet emplacement même. Ce frère « Un Tel » se trouve actuellement sur son lit de mort mais il vivra encore trois années. » Et il dit : « Ne vous ai-je pas dit que cela arriverait ? Eh bien, c'est arrivé. » Il dit : « De même que ces choses ont été accomplies, le signe dans la main et les secrets du cœur, ainsi s'accomplira cette vision car elle est : « Ainsi dit le Seigneur. »

Aussi, en quelques jours, après qu'il eut la vision et l'eut exposée à son église, Frère Arganbright lui téléphona pour aller à Mexico. Il répondit au Frère Arganbright qu'il n'en avait pas tellement l'envie mais qu'il le ferait. Quelques jours plus tard, Frère Arganbright le rappela pour lui dire : « Vous savez, Frère Branham, nous avons loué les arènes de Mexico. » Et Frère Branham déclara que quand il entendit cela, il réalisa que cela cadrait avec la vision parce que dans celle-ci il y avait une vue panoramique de la foule.

D'autres détails de la vision montrent qu'en se rendant à ce service, il avait plu. Et c'était la première partie de ces trois visions où, quand il était arrivé là, le serviteur de Dieu avait mis fin à la réunion, et renvoyé l'auditoire après avoir pris l'offrande. Frères Arganbright, Jack Moore et les autres avaient arrangé les réunions à Mexico-City. Et Frère Branham était venu et leur avait dit : « Garçons, nous allons avoir des ennuis. » Ce jour-là, quand ils se rendirent à la réunion qui devait se tenir dans les arènes, il se mit à tomber de la bruine, une très fine pluie. Lorsqu'ils arrivèrent sur place, ils furent tous surpris ! Quelqu'un avait renvoyé la réunion et ils ne purent jamais découvrir qui l'avait fait. Ils se renseignèrent de tous côtés et ils ne purent pas trouver qui avait mis fin à la réunion. Ils ne purent même pas trouver les ministres qui s'étaient portés garants de la réunion.

Ainsi, le jour suivant, Frère Branham dit qu'il prit un avion pour rentrer à Jeffersonville. Frère Moore lui dit : « Frère Branham, je découvrirai qui a renvoyé cet auditoire. » Et plus tard, il apprit que Frère Moore n'avait pu découvrir le responsable ; personne ne savait rien à ce sujet. Et Frère Moore dit à Frère Branham : « Après vous avoir suivi si longtemps, si jusqu'à présent je n'avais pas cru en vous, sûrement je croirais maintenant. »

Frère Branham dit que c'était la première vision qu'il avait eu en décembre 1955, il eut la vision panoramique de la foule et qu'ils avaient renvoyé l'auditoire. C'est lui-même qui en donne l'interprétation.

Il ajoute que la seconde c'était quand il essayait d'attraper le poisson. C'était le second pull. Et il se vit  quand il essayait d'expliquer des choses surnaturelles à des bébés pentecôtistes.

J'aimerais maintenant vous entretenir du Message : « Messieurs, quelle heure est-il ? » dans lequel notre Frère Branham nous raconte tout cela en détail. Au début de cette vision, il essayait d'enfiler dans l'œillet d'un chausson de bébé, un lacet qui lui paraissait être une grosse corde. Alors il entendit cette voix qui lui disait : « Tu n'y arriveras pas. Regarde l'autre bout du lacet. » Il s'aperçut alors que l'autre extrémité était bien de l'épaisseur correcte. Alors qu'il s'apprêtait à retourner le lacet, la scène changea, et soudain il commença à pêcher.

Vous devez lire : Messieurs ! Quelle heure est-il ? », « Visions et Prophéties » et « Le voile intérieur » pour avoir tous les détails de ces trois visions qui sont réunies dans la vision de la tente. Vous devez savoir que Frère Branham est persuadé que la première vision était la vision du premier pull. Elle s'accomplit à Mexico où il y avait cette multitude de gens.

Le second pull concernait la connaissance des secrets du cœur. Il essayait d'enseigner aux autres serviteurs la manière de pêcher. L'Ange du Seigneur le réprimanda et dit : « Tu n'as rien fait d'autre que d'amener une bande d'imitateurs charnels  des gens qui essayent de copier ce que tu fais, parce que tu leur as expliqué, ce que tu n'aurais pas dû faire. »

Il expliqua chaque vision excepté la vision de la tente  chaque phase de cette vision, excepté la portion concernant la tente.

Mais nous savons que le 22 décembre 1962, il eut une vision, il était assis sur le flanc d'une montagne, retirant un piquant d'une jambe de son pantalon, quand survint une explosion. Je veux vous lire cette vision : « Maintenant, dans cette vision, alors que je parlais, je vis une chose étrange. Il me semblait que mon petit garçon Joseph était à mes côtés et je lui parlais. Si vous voulez faire attention à la vision très attentivement, vous verrez pourquoi Joseph se tenait là. Je regardais et il y avait un gros buisson. Et dans ce buisson, il y avait une constellation d'oiseaux, de tous petits oiseaux, d'environ un centimètre et demi de long et un centimètre et demi de haut.

Il déclare : C'étaient de petits vétérans. Leurs petites ailes étaient toutes abattues. Il y en avait deux ou trois sur les branches du sommet, six ou huit sur la branche suivante, et quinze à vingt sur la branche inférieure. Le tout en forme de pyramide. Ces petits amis ressemblaient, dit-il, à des petits messagers. Et ils étaient totalement épuisés. »

Il déclare : « J'étais à Tucson, Arizona, aucun doute à ce sujet. Dieu voulait que je sache où j'étais. Et ces petits messagers, ces tout petits oiseaux regardaient vers l'est. J'étais là retirant ce piquant de la jambe de mon pantalon, et ces petits oiseaux regardaient vers l'est, et tout à coup ils prirent leur essor et s'envolèrent vers l'est. »

« Et, dit-il, dès qu'ils furent partis, vint une constellation d'oiseaux plus grands. Ils ressemblaient à des colombes. Ils avaient des ailes très pointues et une sorte de couleur grise, une couleur plus légère que celle des premiers petits messagers. Ils venaient dans la direction de l'est très rapidement. »

Je venais de les perdre de vue, et de nouveau, je tournais mes regards vers l'ouest et soudain cela arriva : Il y eut une explosion qui secoua la terre entière. Il dit : « Ne manquez pas cela, vous qui écoutez les bandes magnétiques et soyez bien sûrs de l'enregistrer : d'abord une explosion ressemblant au « bang » des avions lorsqu'ils dépassent le mur du son ou quoique ce soit que puisse faire un avion quand il va réellement vite. » Il dit : « J'entendis cette grande explosion. Il me semblait qu'elle venait du sud, de Mexico.

Cela secoua la terre et à ce moment, je continuais à regarder vers l'ouest jusque dans l'éternité. Je vis une constellation de quelque chose qui approchait. Cela paraissait être des petits points. Il y en avait pas moins de cinq et pas plus de sept. Ils étaient en forme de pyramide comme ces messagers étaient venus. Quand cela arriva la Puissance du Dieu Eternel m'enleva à leur rencontre.

Il dit : « Huit jours se sont écoulés depuis que cela est arrivé ! Je ne peux pas l'oublier. Rien n'a jamais pu me tracasser comme cela. Ma famille vous le dira. Je pouvais voir ces anges, ces ailes, ces ailes arrière, voyageant plus vite que le son. En un clin d'œil, ils venaient de l'éternité. Je n'ai même pas eu le temps d'abaisser mes paupières. Je les vis et ils se tenaient déjà devant moi. Je n'ai même pas eu le temps de les compter. C'étaient des puissants, de grands anges puissants, avec des ailes blanches comme la neige. Ils volaient comme Woo, Wheew, produisant ce son. Tout mon corps en était engourdi. »

Il se dit en lui-même : « Oh la la, cela signifie qu'une explosion me tuera et je suis à la fin de ma route maintenant. Quand la vision partira, je ne dois rien dire à mon peuple. Je ne veux pas qu'ils sachent que mon Père Céleste m'a laissé savoir maintenant que mon temps est terminé. Je ne vais pas le dire à ma famille pour qu'ils ne se tourmentent pas à mon sujet parce qu'il. Il se prépare à me prendre. Ces anges sont venus pour moi et je vais être tué rapidement maintenant dans une sorte d'explosion. »

Il dit : « Alors, je me mis à dire : Non, ce n'est pas cela. S'il t'avait tué, Joseph aurait été tué aussi. Or, je pouvais entendre Joseph qui m'appelait.

Je pensais alors « Seigneur, Dieu, que signifie cette vision ? Je, je me demande. » Alors, il me vint ceci à l'esprit ce n'était pas une voix. Il dit : « Il m'est juste venu : « Oh, ce sont les anges du Seigneur venus m'apporter une nouvelle commission. » Et quand j'eus pensé cela, je levais les mains et dis : « Oh, Seigneur Jésus, que veux-tu que je fasse ? » Et la vision me quitta. El, dit-il : « Pendant près d'une heure, je ne sentais plus rien. » Il dit : « Maintenant, vous vous connaissez ce que sont les bénédictions du Seigneur, mais la puissance du Seigneur est quelque chose de totalement différent. Je vous dis la Vérité. Comme Paul l'a dit : « Je ne mens pas. » Puis, il demanda : « Seigneur Jésus, si je dois être tué, fais-le-moi savoir afin que je ne dise rien à mes gens à ce sujet. Mais si c'est quelque chose d'autre, dis-le-moi. » Je ne reçus aucune réponse, Il reprit : « Seigneur, si c'est alors que je... que je vais être tué, si tu en as fini avec moi sur la terre, si je dois être envoyé à la maison maintenant, lequel... Si c'est cela, c'est bien. C'est très bien ! Si c'est cela, fais-le-moi savoir. Envoie sur moi la puissance une fois encore pour que, que je sache et ne dise rien aux miens ni à qui que ce soit, car tu as décidé de me prendre loin d'ici. » Mais, de nouveau rien ne se produisit.

Il attendit un peu, puis il dit : « Seigneur Jésus, si ce n'est pas cela, il semble que tu as pour moi quelque chose à faire, mais qui ne doit être révélé que plus tard, alors envoie ta puissance. » Et cela le jeta presque hors de la chambre.

Il expliqua ceci à son assemblée. Plus tard, dans le même sermon, il se référa à nouveau à la constellation d'étoiles qui vinrent ensemble le 11 juin 1933 quand il baptisait dans la rivière Ohio quand cette étrange lumière descendit en tourbillonnant et resta suspendue sur la tête d'un pasteur baptiste. Quatre mille personnes assises sur la berge de la rivière en furent témoins. Certains, effrayés, s'enfuirent. D'autres adorèrent. D'autres hurlèrent : « Qu'est-ce que cela veut dire ? » De cette lumière, une voix se fit entendre : « Comme Jean le Baptiste fut envoyé pour préannoncer la première venue du Seigneur, de même tu es envoyé pour préannoncer Sa Seconde Venue. »

Il dit : « Il y a une différence entre les êtres angéliques du ciel et des messagers terrestres. » Et il demandait au peuple de voir qu'il y avait quelque chose qui devait arriver et qu'il ne comprenait pas pleinement. II avait prêché les « âges de l'Eglise » mais il savait que Dieu lui avait donné une vision de la tente. Il savait maintenant que Dieu lui avait dit que quelque chose d'autre allait prendre place, qui serait un plus grand ministère que tout ce qu'il avait eu jusqu'alors. Et il essayait d'expliquer à son Assemblée que ce n'était pas lui mais que c'est Dieu qui faisait ces choses. Exactement comme Dieu avait fait par le moyen des autres messagers. Celui-ci étant le messager du septième âge de l'Eglise quelque chose de surnaturel s'apprêtait à se manifester.

Et il demanda à sa congrégation : « Si c'était quelque chose qui nous fasse connaître comment entrer dans la foi de l'Enlèvement ? Si c'est cela, nous courrons et sauterons par-dessus les murs. Quelque chose va arriver et ces corps vils, pourris, vont être changés. » Et il lui demanda : « Pourrais-je vivre pour le voir, Seigneur ? Est-ce si imminent que je vais le voir ? Est-ce ici la génération ? Messieurs, mes frères, quelle heure est-il ? Où en sommes-nous ? »

Et il continua à expliquer en apportant plus de détails. Sachez que lorsque j'eus cette vision, je devais la comparer avec la Parole. (Ceci se passait avant qu'il ne prêche les sept sceaux.) J'ai lu dans l'Apocalypse où... quand le premier sceau est ouvert, il y a une puissante explosion. » Et, en la mettant à l'épreuve de la Parole, il commença à demander au Seigneur Lui-Même :   « Seigneur,  est-ce  l'ouverture   des sept   sceaux ? »

Et il dit ces mots : « Ou est-ce cela le troisième pull dont il m'a parlé il y a trois ou quatre ans ? Le premier pull vous vous rappelez ce qui est arrivé ? »

J'essayais de l'expliquer. II me dit : « Ne fais pas cela. » Le second pull II dit : « N'explique pas cela non plus. » Mais II dit : « Le troisième pull » n'essaie pas de l'expliquer.

Il dit : « Si ceci est le troisième « pull », alors il y a un grand ministère devant nous. » Il ajouta : « Je ne sais pas. Je ne peux rien dire. Je ne sais pas. Mais surveillez le troisième « pull ». II dit : « Arrêtons-nous là-dessus une minute. Dans la vision, le premier vol, c'était les petits oiseaux messagers. C'était quand nous avons commencé. Cela grandit depuis le fait de prendre la personne par la main et... vous souvenez-vous de ce qu'il m'a dit : « Si tu es sincère, il arrivera que tu connaîtras le secret même de leur cœur. » Qui sont ceux qui se souviennent quand II annonça cela ? Depuis ici et à travers toute la nation ? Exactement ! Alors il dit : « Ne crains point. Je serai avec toi. »

Quand il était petit garçon, il parla de cela. Il vit ce feu couleur d'ambre qui brûlait et en parla. Les gens se moquaient disant : « Billy, reviens à toi. » Mais le temps vint, dit-il, où l'ange le visita et il connut « Ainsi dit le Seigneur ». Il commença avec le signe dans la main. Dieu l'authentifia. Il continua connaissant les secrets du cœur. Dieu confirma. Il dit : « Le second était plus grand que le premier et le troisième sera plus grand que  le  second. »

La semaine suivante, frère Branham déménagea dans la ville de Tucson, Arizona. Et, dans le mois de mars, il prêcha à Jeffersonville un message intitulé « Dieu dans la simplicité ». Et, dans ce sermon, il fit cette déclaration : « l'Enlèvement sera si simple qu'il arrivera l'un de ces jours et personne n'en saura rien. » Le jour suivant il prêcha : « La brèche entre l'âge de l'Eglise et les sceaux. »

Et le jour suivant, il prêcha le mystère du « Premier sceau ». Et avant de le prêcher, il déclara : « Il y a sept sceaux et sept mystères. Mais, alors viendront sept tonnerres mystérieux qui ne sont pas écrits du tout. C'est vrai. Je crois que ces  sept  tonnerres  seront  révélés  dans les  derniers jours, en vue de rassembler 1 épouse pour obtenir la foi de l'Enlèvement. Car, avec ce que nous avons actuellement, il nous serait impossible de le faire. Pour aller plus loin, il y a quelque chose que nous devons obtenir, car nous n'avons pas assez de foi pour croire en la guérison divine. Il faut que nous ayons assez de foi pour être changés. »

Maintenant, je voudrais m'arrêter un moment. Qu'a-t-il vu dans la vision de la tente ? Que s'y est-il passé ? Qu'a-t-il dit que firent les sept tonnerres ? Ils nous changeront. Qu'a vu Paul arriver au peuple ? Il a vu des gens qui ne mourraient pas mais qui étaient changés. Il dit : « Nous devons avoir assez de foi pour être changés en un instant, pour être balayés hors de cette terre. Dieu voulant, nous allons trouver où cela est écrit. »

Il ajouta : « Ces sceaux ont tous été brisés à travers les âges. Ils viennent d'être révélés. » Vous voyez, c'est comme je le dis à cette congrégation l'autre jour. Les quatre premiers sceaux traitent des Gentils. Maintenant le cinquième sceau a été ouvert. Il a été accompli et il a été révélé. C'était les âmes des juifs criant sous l'autel. Hitler en tuant six millions de juifs a accompli cela.

Le sixième sceau a été révélé, mais il n'a pas été accompli. J'apprécie la question que vous m'avez posée, amis. Mais j'ai découvert dans les paroles de frère Branham que le sixième sceau, la période de la tribulation, traitant des juifs, etc. n'arrivera pas avant que l'Epouse ne soit enlevée. Et il sera ouvert par un terrible tremblement de terre tel que les hommes n'en ont jamais connu. Le séisme créera également une résurrection. Et, après le tremblement de terre, Jésus se révélera Lui-Même à ses frères. Maintenant, vous savez qu'attendre.

Mais, quand vous vous serez imaginés tout cela, souvenez-vous que c'est faux. Cela vous dit d'être de simples chrétiens, d'être prêts à tout instant. Vous connaissez la raison pour laquelle il vous a dit cela ? Il ne veut pas que vous argumentiez à ce sujet, comme vous le faites. Et tout homme qui argumentera à ce sujet et éloignera du message quelqu'un sur une différence d'interprétation, celui-là n'a pas l'Esprit de Christ ou encore il n'a pas le Signe. Car le Signe c'est le Saint-Esprit. L'Habit de Noces, c'est le Saint-Esprit.

Certains d'entre vous  il se peut que vous ne me suiviez pas, mais j'ai confiance que vous serez suffisamment repris dans vos cœurs pour voir qu'il y a des choses dont vous n'avez jamais entendu parler, par lesquelles vous devez être mis à l'épreuve  car il est plus tard que vous ne pensez ! Frère Branham déclare que ce qui nous donnera la foi pour l'Enlèvement, ce sont les sept tonnerres.

Quand il prêcha le septième sceau, il parla d'une expérience qu'il avait eue à Sabino Canyon, la seconde semaine de janvier 1963. Le lundi ou le mardi avant l'ouverture de la Convention de Phœnix  le mercredi  il se rendit à la montagne très tôt, avant le lever du jour, grimpant par" ce petit sentier, parmi les pierres qui roulent, etc. Et il demandait : « Dieu, que signifie cette vision ? »

Maintenant, je voudrais vous rappeler ce qui est arrivé à Jean-Baptiste, en Matthieu II. Frère Branham se tenait dans son Assemblée et leur expliquait qu'il avait demandé au Seigneur, dans la caverne : « Si ceci signifie que je vais être tué, montre-moi. » Puis quand il dit : « Si c'est un ministère futur, montre-moi. » Et, dit-il, la puissance de Dieu fut telle qu'elle le balaya presque hors de la chambre.

Mais, revenons à lui, mon frère. Il marche dans les montagnes et il crie à Dieu : « Dieu, que veut dire cela ? Donne en mon cœur une assurance. Seigneur, cela veut-il dire que je vais être tué ? » Dieu lui avait déjà montré. Mais pour l'amener à crier à Dieu et à être humble, Dieu l'avait tellement séparé du péché et avait détourné sa Face de sorte qu'il ne trouvait pas de réponse, et n'avait pas la paix. Et, alors qu'il demandait la paix pour lui-même, Dieu lui donna la Parole pour l'Epouse !

Cela prouvait que Dieu l'aimait. C'est un châtiment qu'un homme supporte difficilement ! Demander à Dieu quelque chose pour soi-même et Dieu se tourne et donne, par votre intermédiaire, quelque chose à quelqu'un d'autre et détourne de vous sa Face. J'espère que vous comprenez ce que je veux dire.

Alors, il leva les mains et dit : « Seigneur, cela veut-il dire ma mort ? Je fais des préparatifs pour ma famille. Je leur prépare une maison, Seigneur, pour qu'ils aient un lieu où demeurer. Je désire qu'ils vivent ici, où le climat est meilleur. » Quand, soudainement, une épée frappa dans sa main. Tout là-haut sur la montagne. A des kilomètres, personne. Regardant vers la ville de Tucson, en bas. Quand une épée lui tomba dans la main !

A maintes reprises, il s'assit et, tenant des objets dans les mains, il me dit : « Frère Pearry, c'était juste aussi réel que ce... que j'ai dans la main maintenant. Ce n'était pas une vision, ce n'était pas un rêve. C'était réel. » Et une voix lui parla et dit : « C'est l'Epée du Roi. » Il se dit en lui-même : « Oh, l'Epée d'un roi avec laquelle vous sacrez chevalier. » Alors, la voix reprit : « Pas un roi  l'Epée du Roi. » C'est sa Parole, ce dont je vis. Aussi, aide-moi. Seigneur. Revêts-moi de ton saint vêtement trempé dans le sang. La Parole se tenait là même et c'est la Parole.

Bien sûr, dit-il, « ces choses, même si elles arrivent des centaines, des milliers de fois, vous ne pouvez pas vous y habituer ». Et une crainte vint le remplir. Et cette voix parla et dit : « Me crains point ; c'est le troisième « pull ».

La tente c'était le troisième pull. Est-ce exact ? Cette explosion, dit-il, pouvait-elle être ce troisième pull dont il m'avait parlé durant des années > Et maintenant, la Parole venant à Lui déclare que c'était le troisième pull.

Dans : « Regarde vers Jésus », frère Branham assure à ceux qui sont spirituels que la Parole parlée s'est manifestée elle-même cinq fois. Il parla amenant à la vie un poisson. Il parla et des écureuils existèrent. Il parla au cœur de la veuve ; au Colorado il parla à une tempête et il parla à une1 tumeur dans le corps de sa femme et elle disparut. II dit : « cinq fois ». Aussi sûrement que le premier pull a été manifesté, le second a été revendiqué, le troisième aussi a été authentifié. Maintenant, restez bien tranquilles et soyez seulement d'humbles chrétiens et attendez jusqu'à ce que vienne la pression. Alors vous verrez sa manifestation d'une manière que vous n'avez aperçue qu'en amateurs.

Maintenant donc la vision de la tente est le troisième pull. L'ouverture des sceaux est le troisième pull. La venue de la Parole était le troisième pull. Dans le septième sceau frère Branham lui-même dit : « Le troisième pull, vous vous en souvenez. » Vous avez eu tellement d'imitateurs quand vous tentiez d'expliquer. N'essayez pas cela. Vous vous en souvenez ? Combien se rappellent de cette vision ? C'est sur les bandes magnétiques. Vous pouvez écouter ce que je vous en dis. Il dit : « C'est le troisième pull, mais je te rencontrerai là-dedans. »

Maintenant, c'est ce que l'ange a dit dans la vision de la tente, et je veux que vous sachiez que frère Branham inter-relate toutes ces choses que je viens de vous nommer et qu'il appelle le troisième pull. Il ne les sépare pas.

II dit : « Quand je me tenais là avec ce petit soulier de bébé quand il m'a dit : « Maintenant, fais ton premier pull. Quand tu le feras, le poisson courra après le leure. Alors, surveille ton second pull car il n'y aura que de petits poissons. Alors le troisième pull l'attrapera. » Il dit : « Tous ces serviteurs m'entourant et tout, disant : Frère Branham nous savons que tu peux le faire ; Alléluia, Frère Branham ! Il dit : « C'est alors que j'étais lié avec une bande de prédicateurs et que j'ai emmêlé toute ma ligne. » Il dit : « Dieu, pardonne-moi. Je suis stupide. Seigneur, pardonne-moi. »

Mais, alors, il dit : « Après ces deux visions, il m'enleva. Il me prit et m'établit tout en haut, là où se faisait une réunion. Cela ressemblait à une tente ou une cathédrale ou quelque chose du même genre. Je regardais et il y avait une petite pièce sur le côté. Et je vis que cette lumière parlait à quelqu'un au-dessus de moi, cette lumière que vous voyez sur la photo. Elle roula, tourbillonnant en s'éloignant de moi, vint au-dessus de la petite chambre et dit : « Je te rencontrerai là. Ce sera le troisième pull et tu n'en parleras à personne. »

Et dans Sabino Canyon, il déclare : « C'est le troisième pull et il y a trois grandes choses qui vont avec. Il est triple. L'une de ces choses fut révélée hier. L'une d'elles fut révélée aujourd'hui. L'une des choses je ne peux l'interpréter parce que c'était dans une langue inconnue. Mais, dit-il, quand le septième sceau fut ouvert, c'était le troisième pull qui montait et le Saint-Esprit de Dieu. C'est la raison pour laquelle tout le ciel était silencieux. » 11 ajouta : « Il vaut mieux que je m'arrête ici et n'en dise pas plus. Le septième sceau, la raison pour laquelle il ne fut pas ouvert 1 a raison pour laquelle II ne la révéla pas, c'est parce que personne ne doit en connaître.

« Et je veux que vous sachiez qu'avant que je ne connaisse un mot concernant la signification du septième sceau, Dieu me donna cette vision des années à l'avance. Il dit ici c'est juste comme pour les deux autres, cela glisse directement en place. Il est plus tard que nous ne le pensons. Il dit qu'il a révélé tous les six sceaux. Mais pas un mot n'a été dit concernant le septième sceau. Mais II dit qu'il viendra un temps où tous les mystères seront connus. »

Il reprit : « Quel est ce grand secret qui repose sous le septième sceau, je ne sais pas. Or, s'il déclare qu'il ne sait pas et si nous déclarons seulement ce que dit le messager, comment certains peuvent-ils dire qu'ils savent. Il assura qu'il n'en savait rien. Maintenant, si vous dites : « Oh, oui, Il savait, alors vous le traitez de menteur, moi pas. Il a dit que je ne pourrais pas en parler. Je ne peux vous dire que ce qu'il a dit. Mais je sais qu'il y avait ces sept tonnerres rugissant presque en même temps, formant un « bang » sept fois différentes. Et cela se dévoila dans quelque chose d'autre que je vis et quand je vis cela, je m'attendais à l'interprétation qui coulait mais je ne pouvais pas la saisir car c'était en langues inconnues. Il dit : l'heure n'en est pas tout à fait arrivée mais elle se meut en ce cycle. Cela va se rapprocher. Ainsi la seule chose que vous puissiez faire, c'est de vous souvenir que je vous parle dans le nom du Seigneur. Soyez prêts car vous ne savez pas quand quelque chose va se produire.»

A Phœnix, Arizona, il y avait un groupe de frères qui interrogèrent frère Branham concernant la vision de la tente. Ils demandèrent : « Frère Branham, que pouvons-nous faire pour aider ? » Il répondit : Soyez seulement certains d'être dans la résurrection. »

Frère Branham a dit que la Parole Parlée, la Manifestation de la Parole Parlée apporterait la foi pour l'Enlèvement. II a dit que les sept tonnerres apporteraient la foi d'Enlèvement. Si un plus un égale deux ; si deux plus deux égale quatre, alors un plus un plus deux égale quatre. Me suivez-vous ? Des égaux ajoutés à des égaux produiront des égaux. J'ignore si vous savez ce que signifie le mot synonyme mais il signifie qu'ils sont la même chose.

Ohhh, quel tonnerre vont faire ces Paroles Parlées. Sept d'entre elles tonnant ensemble ! Il va tonner. Les gens vont se boucher les oreilles pour se protéger du bruit. Mais il dit que la parole parlée apportera la foi de l'Enlèvement. Et il dit que les sept tonnerres apporteront la foi pour l'Enlèvement. Ainsi, je n'interprète pas quand je dis que la Parole Parlée et les sept tonnerres sont une seule et même chose.

Il déclare que le septième sceau est un mystère dont on ne doit pas parler. C'est le troisième pull. Il ajoute que la vision de la tente était un mystère qu'il ne pouvait pas dire. Et il dit que c'était le troisième pull. Alors, si quelque chose est la même chose que quelque chose d'autre, alors le septième sceau et la vision de la tente doivent être la même chose, s'ils sont tous deux le troisième pull.

Dans « Questions et réponses » on pose à frère Branham certaines de ces questions. Ses réponses sont formelles : « Oui, c'est cela qui apportera la foi pour l'Enlèvement. » Et frère Branham m'a dit que les morts en Christ ressusciteront premièrement et passeront un minimum de trente jours avec nous, sur la terre. Bien sûr, cela aura des conséquences. Mais dans « Questions et réponses », livre I, frère Branham dit ceci : « Alors nous serons rassemblés tous ensemble. Et, quand nous commencerons à nous rassembler, nous qui serons restés vivants nous serons changés. Ces corps mortels ne verront pas la mort, mais, tout à coup, il y aura au-dessus de nous comme un souffle et nous serons changés. Comme Abraham le fut, vous serez changés d'un vieil homme en un jeune homme ; d'une vieille femme en une jeune femme. Après ce changement soudain et après un peu de temps, vous vous déplacerez aussi vite qu'une pensée et vous pourrez voir ceux qui sont déjà ressuscites ! Pour que vous puissiez les voir, il vous faudra être changé. Cependant, il dit quand nous commencerons à voir nos bien-aimés, nous saurons que le temps est proche. Je veux être changé. J'espère qu'il y a certains changements qui ont lieu actuellement. Dans 1' « Enlèvement » il dit qu'il y aura un cri. Ce serait un message pour dire à l'épouse de se tenir prête. Il dit que cette! Voix ressuscitera les morts et la trompette nous rassemblera tous ensemble.

Maintenant, rappelez-vous ceci : si quelqu'un déclare qu'il sait, alors il est dans l'erreur car seul Dieu sait toutes choses. Mais, dans l'Ecriture que je vous ai lue ce matin Paul déclare que nous ne mourrons pas tous. Il a vu des boiteux, des paralysés recouvrer leurs membres. Il a vu des vieillards redevenir jeunes. Aussi, la vision de la tente est scripturaire. Il n'a rien vu se passer qui ne soit scripturaire.

Et s'il a dit lui-même que le troisième pull ne serait pas connu, s'il a dit que la vision de la tente ne serait pas connue, s'il a dit que le septième sceau ne serait pas connu, serons-nous suffisamment mûris pour nous rendre compte que personne en saura ce que c'est jusqu'à ce que cela arrive. Mais, j'ai une espérance et je sais que c'est « Ainsi dit le Seigneur ». Et cela s'accomplira. Je sais que la vision de la tente le troisième pull, le septième sceau, les sept tonnerres et l'Enlèvement sont si étroitement liés que, nous, dans notre intelligence charnelle, ne pourrons jamais les séparer. Mais un de ces prochains jours, cela sera accompli. Alors, nous pourrons regarder en arrière et voir les mystères tels qu'ils furent révélés.

Je demande combien d'entre vous peuvent chanter « ta Volonté, Seigneur, ta Volonté ». Vous verrez alors qu'il l'accomplit.

Je veux dire ceci en toute gentillesse car je sais que c'est capital. Je connais un certain frère qui croit à la vision de la tente d'une certaine manière parce que frère Branham lui a parlé et lui a dit qu'il serait sur la plate-forme. Et ce frère ne veut rien connaître d'autre. Je ne le blâme pas mais, pour être vrai, je dois dire que frère Branham m'a déclaré que, moi aussi, je serai sur l'estrade, faisant les mêmes choses que ce frère. Voici ce qui se passe. Les gens ne se rappellent pas de frère Branham comme d'un frère. Frère Branham dit que c'est là une des choses qui causent le plus de trouble parmi les disciples. Ils n'arrivent pas à séparer le moment où Dieu parlait du moment où Jésus, l'homme, parlait.

Bien des gens ont dû déchanter depuis que les hommes ont mis les pieds sur la lune car ils disaient que frère Branham avait déclaré qu'ils ne le feraient pas. Disons seulement ce que le messager avait dit: Il avait déclaré : « Je ne pense pas qu'ils y arriveront. Mais s'ils y arrivent, ils n'y trouveront rien. » Et jusqu'à présent, ils n'ont rien trouvé. » Mais, il disait ceci : « Rien n'arrive dans le naturel qui ne soit le type du spirituel. » Ils ont quitté cette planète et ils y sont revenus. Il est temps pour ceux qui l'ont quittée de revenir. Et ils ne sont pas plus loin que là où nous les avons mis.

Viens, Seigneur Jésus, Réalise-toi dans nos cœurs et que ta Volonté soit faite et non la nôtre... Tous ensemble (il chante : ta Volonté, Seigneur, ta Volonté ! ) »

Sa Volonté et non la nôtre. Qu'arriverait-il si vous commenciez à tout imaginer vous-même. Dieu n'avait pas envoyé un prophète. Voilà pourquoi, nous avons suivi 150 directions différentes. Mais voici ce qu'il a dit : Le troisième pull, quand Dieu créa ce continent, il nettoya sa planche à mortier, si je puis dire et II forma cette chaîne de montagnes sur la frontière de l'Idaho et Montana. Il nous conta l'histoire du premier pull, du second, et du troisième pull. Il conta l'histoire de la vie de cet homme. Il laissa ces montagnes pour que tous ceux qui voyagent sur cette autoroute puissent voir. Et frère Branham se tint là et me montra que nous étions arrivés à environ la moitié de l'épaule du troisième pull. C'était il y a quatre ans.

Vous savez la seule chose qui a empêché la famine de la Parole fut la parole enregistrée. Si nous n'avions pas eu cela, nous aurions connu la famine de la Parole. Des gens se sont assis avec un festin à portée de leurs doigts et sont morts de faim. Vous pouvez l'entendre. Ce soir, frère Branham va nous en apporter une partie.

S'il y en a un parmi vous qui n'est pas sauvé ; si vous n'êtes pas prêts pour la venue du Seigneur dans le jour du jugement, voici le conseil que je vous donne : « Si vous ne comprenez même pas ces choses, soyez prêts, car le Seigneur votre Dieu revient. »

Je veux dire ceci à ma congrégation. Vous savez qu'il y en a qui enseignent que l'Enlèvement a eu lieu. Mais ces gens enseignent aussi et croient qu'il nous faut être transportés de ce côté à l'autre côté. Et, pour moi, cela c'est l'Enlèvement. Aussi, vous n'êtes pas trompés par ces mots. Et pour un changement de mots, vous ne devez pas rompre la communion avec eux. Mais quand ils vous disent que l'Enlèvement est passé à cause de leur définition du mot  « Enlèvement »,  quand frère Branham dit : « Enlevé dans un état d'extase. » Mais s'ils aiment ce message suffisamment pour sentir qu'ils ont été enlevés dans un état d'extase et s'ils appellent cela « Enlèvement », je me dois de dire : « Frère, je suis d'accord. » Mais, alors vous voyez, ils doivent dire qu'il existe un temps où nous devons être changés. Maintenant, nous attendons tous la même chose.

Il y a aussi incompréhension sur le fait que les sceaux ouverts ne signifient pas qu'ils sont accomplis. Ils sont révélés. Le premier, second, troisième, quatrième et cinquième sceau ont été accomplis avant d'être révélés. Certains ont demandé à frère Branham : « Le sixième sceau a-t-il été accompli ? » Il répondit : « Non, l'Eglise est encore ici, n'est-ce pas ? » Aussi longtemps que l'Epouse est ici (et ce sont ses propres mots : Eglise et Epouse), aussi longtemps qu'elles sont là, la tribulation ne peut pas commencer. Il ne peut pas se révéler à ses frères.

Or, si vous dites que les sceaux ont été accomplis, je ne peux que dire que vous faites erreur. Il n'y a pas eu de tremblement de terre (comme en parle Daniel) ni comme dans l'Apocalypse 16, ni comme celui qui ouvre le sixième sceau. Mais il y aura et ce sera sur la côte ouest de l'Amérique. Vous voyez en quel temps nous vivons ?

Quand je vois ces frères agir ainsi, savez-vous ce que je fais ? J'essaie de découvrir ce qu'ils disent afin que je puisse être d'accord avec eux plutôt que de les rejeter. Leur attitude n'est pas toujours réciproque. Ils me regardent et disent : « Frère Green, je vous aime et vous estime tant. Nous espérons qu'un jour vous verrez la doctrine comme nous la voyons. » Et je dis : « Frère, si vous pensez que c'est essentiel et si vous pensez avoir raison, attachez-vous-y. Mais ne cessez pas pour autant de m'aimer. Et si vous avez raison et si je suis un membre prédestiné de l'Epouse, ce que je crois être, je verrai cela comme vous le voyez. Mais c'est réciproque. »

Un des plus grands mots qu'un homme puisse apprendre à dire à son ami et spécialement à sa femme, c'est « peut-être que vous avez raison ». Cela brisera dans l'œuf une foule d'arguments. Qu'attendez-vous ?"Je vais vous dire ce que vous devez faire. Soyez de vrais chrétiens, réels, vivez d'une vie simple dans le christianisme de base ; vous aimant les uns les autres dans une attitude convenable et réunissez-vous aussi souvent que possible.

Frère Branham dit : « Si vous habitez près d'une église et que vous n'alliez pas à l'Eglise, vous déshonorez la résurrection. » Je ne vois rien de plus blasphématoire que de déshonorer la Résurrection du Seigneur Jésus-Christ. Cela ne me fait pas des amis mais cela touche les gens. Bon ou mauvais, mais c'est la vérité. Il l'a dit.

Que Dieu soit avec vous. J'ai pris la matière de ce chapitre dans « Messieurs, quelle heure est-il ? Visions et Prophéties » et « Voile Intérieur ». Ne chicanez pas avec moi à ce sujet. Ce n'est pas parce que j'ai raison mais, voyez-vous, cela ne vous changerait pas. Si vous savez quelque chose qu'il a dit à ce sujet, apportez-le-moi. J'aime la lecture.

Que Dieu vous bénisse. Alors que vous partez, prenez le nom de Jésus avec vous!



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