William Branham

William Branham "Un Homme, envoyé de Dieu"

Gordon Lindsay

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Les réunions de frère Branham dans les journaux américains

Chapitre 19



Ces dernières années, peu de prédicateurs de l’Évangile consacrés ont fait l’objet des éloges de la presse. Au contraire, quand les journaux daignaient leur accorder une couverture, c’était le plus souvent pour dénigrer ces prédicateurs. Cependant, de nombreux journaux ont consacré du temps et de la place à couvrir, souvent avec un point de vue favorable, les campagnes de guérison de William Branham. Évidemment, il ne fallait pas s’attendre à ce que la totalité des journaux fassent des commentaires positifs. Les journalistes qui assistent à ce genre de réunions viennent souvent avec leur idée toute faite, et ne restent guère dans la salle que le temps nécessaire pour pouvoir donner une description très schématique de la réunion, qu’ils agrémentent ensuite de diatribes ironiques, d’un faux-semblant de sagesse et d’un cynisme subtil. Toutefois, pour les campagnes Branham, il apparaît que l’intérêt des journalistes était si intense que ces derniers restaient assez longtemps dans la salle pour être convaincus, - tout du moins en partie, - par ce qu’ils voyaient et entendaient. A plusieurs occasions, c’est un rapport très favorable et honnête qui en ressortait. Ce n’est que rarement qu’on a trouvé des articles entièrement sceptiques. Au cours du présent chapitre, nous donnerons des extraits de récits des réunions Branham parus dans différents journaux des États-Unis et du Canada. Celui que voici a paru le 14 mars 1949 dans le «News-Sun» de Waukegan.

«Au cours des trois jours de prédications du pasteur Branham, des dizaines de personnes disent avoir été guéries. Tous les cas de strabisme pour lesquels l’évangéliste a prié sont redevenus normaux avant la fin de la prière. De nombreux corps infirmes et gravement tordus ont été guéris et redressés, et des sourds ont retrouvé l’ouïe.

Pendant la réunion d’hier soir, un jeune homme paralysé des bras, des jambes et du dos, tordu et déformé, a été amené par sa mère de Bensenville (Illinois), et le pasteur Branham a prié pour lui. À l’issue de la prière, il a quitté l’estrade en marchant tout seul, d’un pas ferme et droit.

Deux femmes, que la cataracte avait rendues complètement aveugles depuis deux ans, ont été guéries à la même réunion. Après avoir été conduite jusqu’à l’estrade et que l’évangéliste ait prié pour elle, la première pouvait de nouveau voir et marcher et, comme le dit son mari : «Même la rougeur des veines de ses yeux avait disparu.»

Voici ce qu’écrit la même journaliste, Fannie Wil- son, dans le numéro du 24 mars du «Community News», un journal représentant plusieurs villes au nord de Chicago :

«La principale différence entre le pasteur William Branham et la plupart des autres est la suivante : pour eux, la Bible, c’est de l’histoire ancienne ; pour lui, c’est une puissance tout aussi vivante et réelle aujourd’hui qu’à l’époque de Jésus de Nazareth. Ce qui le distingue, c’est qu’il prouve cette affirmation.

» Il ne s’agit pas d’un débat, loin de là ! Le pasteur Branham est plus humble que toutes les plus humbles personnes qu’on connaisse rassemblées. (Imaginez donc : un Blanc, natif du Kentucky, prend dans ses bras une petite enfant noire de la rue Market, à Wau- kegan, atteinte de strabisme, et dit : «Ma fille, sois guérie au Nom du Seigneur Jésus-Christ» !) Et ses yeux sont redevenus normaux, comme ce fut le cas pour beaucoup d’autres, pendant ce service de guérison et au cours des réunions de réveil qui se sont tenues à la Grâce Missionary Church. Parmi ceux pour qui l’évangéliste a prié lundi soir se trouvait un important médecin de la ville de Waukegan.

»Au cours de la seule réunion du lundi soir, neuf personnes sourdes et muettes de naissance sont guéries. La plupart d’entre elles sont nées dans la ville même, ou étaient connues ici avant leur guérison. L’un de ces sourds-muets a également été guéri de cécité. Une fois guéris, tous pouvaient parler, bien que les sons qu’ils émettaient, étaient aussi approximatifs que ceux d’un enfant. Ils semblaient également surpris d’entendre leur propre voix.

»Un homme venu de l’Iowa avait un cancer à la jambe, qui s’étendait du genou jusqu’à la cheville, et qui disparut immédiatement après la prière. Lors de la réunion d’hier soir, des enfants paralysés, handicapés moteurs, et retardés furent guéris suite à la prière.

» Plusieurs notables bien en vue du comté du Lac entendirent et virent frère Branham «diagnostiquer» de nombreuses maladies. Mais surtout, la personne pour laquelle il allait prier voyait l’effet produit par sa maladie sur la main gauche de l’évangéliste, jusqu’à ce que sa maladie soit arrêtée suite à sa prière. À plusieurs reprises, l’évangéliste rappelle à ses auditeurs qu’il ne possède pas lui-même le pouvoir d’accomplir ces guérisons, mais que ce sont des «interventions de Dieu» grâce à la foi de la personne pour qui l’on prie.

«THE ALBERTAN», DE CALGARY (CANADA) Le récit suivant est tiré du numéro du 21 août 1947 du quotidien «The Albertan», de Calgary (Canada).

«C’est toute une gamme d’émotions humaines qui ont pu être observées chez les quelque 3000 citoyens qui avaient rempli le Pavillon Victoria, mercredi soir, pour voir William Branham, de Jeffersonville (Indiana), ou pour recevoir son aide, à l’occasion de sa campagne de guérison par la foi.

» Connu pour avoir contribué à la guérison de plus de 35000 personnes aveugles, paralysées, atteintes du cancer, de la poliomyélite, de la tuberculose et d’autres maladies encore, depuis qu’il a reçu le «don de guérison divine» il y a environ un an, le prédicateur américain a attiré hommes, femmes et enfants de tous types de milieux.

L’une des premières personnes à passer dans la ligne de prière est M. André, d’Edmonton, qui dira qu’il souffrait d’une hernie discale. Il dit avoir consulté des dizaines de médecins de l’Ouest Canadien, ainsi que les frères Mayo, à Rochester. Il affirme que ces praticiens lui ont dit qu’il fallait lui opérer la colonne vertébrale.

M. André, qui déclarait à l’ «Albertan» qu’il ne pouvait pas se souvenir de la dernière fois qu’il avait pu toucher ses orteils sans fléchir les genoux, rencontre ensuite le "praticien de la guérison divine".

Branham prend la main droite de M. André dans sa main gauche, se met à décrire de quoi souffre ce dernier, fait une prière, puis lui demande de se baisser jusqu’à toucher ses orteils. M. André s’exécute, sans fléchir les genoux. L’immense foule pousse une exclamation de surprise et d’admiration.

Fort ému, M. André murmure un simple "merci" à l’évangéliste avant de se précipiter vers le microphone pour rapporter à l’auditoire que les médecins lui avaient dit qu’il allait devoir se faire opérer du dos.

L’évangéliste dit que c’est au moyen de mystérieuses vibrations dans sa main gauche qu’il est à même de distinguer le cancer, la tuberculose et d’autres germes.»

LE «STAR-PHOENIX» DE SASKATOON Voici un extrait du «Star-Phoenix» de Saskatoon (Canada), du 2 août 1947 :

«Mlle M. B., qui a passé dix ans dans des écoles pour sourds-muets à Saskatoon et à Winnipeg, a prononcé distinctement «Papa» et «Maman», après que le pasteur William Branham ait prié pour elle mercredi soir à l’église apostolique, où 800 personnes s’étaient rassemblées pour assister à la «guérison par la foi».

Mlle B., interviewée vendredi par le «Star- Phoenix», disait qu’elle entendait assez bien de l’oreille droite, mais que son oreille gauche était encore sourde. Elle croyait qu’elle parviendrait à parler normalement d’ici peu de temps. La dame chez qui elle loge dit que Mlle B. a commencé à lui dire «bonjour» et «au revoir», chose qu’elle n’avait jamais faite depuis qu’elle loge chez elle.

Pendant que les auditeurs gardent la tête baissée, les centaines de personnes désirant la guérison passent devant M. Branham, qui prie pour chacun, l’un après l’autre. Il dit aux auditeurs qu’il faut que tous soient dans une attitude de foi et de respect total, et qu’ils doivent tous courber la tête. Ceux qui refusent sont enjoints de quitter l’église.

Avant l’arrivée de M. Branham, les auditeurs ont entendu d’autres orateurs leur parler des choses merveilleuses qui ont déjà été accomplies par la foi. Une dame témoigne du fait que M. Branham a prié pour elle, et que le lendemain matin l’une de ses oreilles, qui n’entendait plus, était redevenue normale, et que plusieurs autres petits problèmes de santé avaient disparu. L’un des orateurs a parlé d’une dame de Regina, qui ne supportait plus que de la nourriture liquide depuis des mois, mais pour qui M. Branham a prié, et qui le lendemain matin s’est levée et a pris un petit déjeuner normal.»

LE «JEFFERSONVILLE POST», DE LA VILLE DE FRÈRE BRANHAM Du «Jeffersonville Post», de la ville de frère Branham, édition du 3 novembre 1949, nous avons tiré le récit suivant :

«Dimanche soir, c’est une foule comparable à celle qu’attire le match annuel entre les Red Devils de Jeffersonville et les Bulldogs de New Albany qui se pressait au Branham Tabernacle, à l’angle de la rue Penn et de la Huitième Rue. Débordant de la salle, les gens restaient dehors, sous la pluie, pour écouter, au moyen de haut-parleurs, d’émouvantes manifestations divines par le pasteur William Branham, dont les miracles de guérison ont acquis une renommée internationale.

De source sûre, on nous rapporte la guérison de deux cancéreux, à qui William Branham a confirmé qu’ils étaient atteints d’une maladie mortelle, et leur à annoncé qu’ils seraient guéris en l’espace de quatre- vingt-dix jours ; celle d’une personne à qui l’évangéliste a ordonné de marcher, alors qu’elle était en chaise roulante depuis dix-huit ans ; celle d’une autre amenée à l’église sur un brancard d’ambulance ; celle de sourds qui retrouvent l’ouïe ; toutes ces guérisons accomplies par un homme qui guérit par l’imposition de sa main droite au nom de son Créateur Divin.

De nombreuses personnes disent que l’époque des miracles n’est pas encore révolue, pas même à Jeffersonville.

Depuis qu’il était jeune homme, travaillant à l’extérieur pendant la journée, et annonçant l’évangile le dimanche, sa foi a été de nature à surmonter tous les obstacles. Encore aujourd’hui, il est parfois ridiculisé dans sa propre ville, par des moqueurs qui devraient plutôt l’honorer comme quelqu’un que l’Être Suprême a choisi pour faire avancer Son œuvre.

» Bien que dépourvu d’instruction au sens actuel du mot, il possède la capacité et la ferveur nécessaires pour bien apporter l’évangile.

» Son pouvoir de guérison divine est maintenant de renommée internationale. De Jeffersonville, il se rendra en Louisiane, à Houston (Texas), peut-être en Jamaïque, puis outre-mer.»

Bien d’autres journaux, y compris le «Daily Times» de Chicago, le «Chicago Daily News», le «St. Louis Star-Times» et le «St. Louis Post-Dispatch» ont publié des récits intéressants, et parfois détaillés, des réunions Branham. L’article de ce dernier quotidien occupait presque une page entière. Tous ces récits ne cautionnaient pas les campagnes, mais pour la plupart, ils n’étaient en tout cas pas hostiles. Certains étaient même, pour autant que ce puisse être le cas d’un journal, favorablement impressionnés. Dans la plupart des cas où le journaliste avait eu l’occasion de voir de ses yeux les guérisons manifestées, il était convaincu qu’une puissance surnaturelle se manifestait dans les réunions.

L’ «EVENING SUN», DE JONESBORO (ARKANSAS) FAIT UN COMPTE RENDU FAVORABLE D’UNE SÉRIE DE RÉUNIONS BRANHAM (par le journaliste Eugène Smith, dans le numéro du 12 juin 1947)

«Bien qu’il affirme avoir reçu le don il y a 11 mois environ, le pasteur Branham nous confie, au cours de l’interview, que c’est la première fois qu’il a l’occasion de raconter lui-même son histoire aux journalistes. «Les réunions que je tiens tous les jours m’accaparent tellement que les responsables de l’église m’ont demandé de refuser les entrevues avec les journalistes. Ils m’ont toujours dit : ’ Il y a déjà tellement de gens qui cherchent le secours de votre prière ; si votre présence était annoncée dans les journaux, cela ne ferait que rallonger encore les lignes de prière déjà trop encombrées.»

» Il suffit de se rendre au Bible Hour Tabernacle, rue Matthews est, pour vérifier son affirmation comme quoi il n’a besoin d’aucune publicité. La semaine dernière, les lignes de prière, où il priait individuellement pour les malades, paralytiques, sourds, muets et aveugles, étaient organisées deux fois par jour. Cette semaine, ce sont trois services qui sont organisés chaque jour. Et il ne sera pas encore arrivé au bout de la longue liste quand la série de réunions se terminera, lundi prochain.

» Chaque jour, des gens arrivent en ville en suppliant qu’on leur accorde «une minute seulement avec le pasteur Branham». Un jour, un autobus transportant 45 personnes venues de Fulton (Kentucky) était présent. Le même jour, un avion spécialement affrété amenait un ancien GI de 34 ans, présentent un horrible œdème causé par un cancer, dont il était en train de mourir à petit feu. Mercredi, le pasteur Branham a fait l’aller-retour à El Dorado en avion pour aller prier pour une personne qu’on disait à l’article de la mort.

» Des habitants de 25 États, ainsi que du Mexique, sont venus à Jonesboro depuis que le pasteur Branham a lancé la série de réunions, le 1er juin. La palette des États ainsi représentés va de la Californie au New Jersey, du Wisconsin à la Floride en passant par le Wyoming et le Texas, et même le Mexique, a-t-on dit à l’envoyé du «Sun». Cette énorme affluence a submergé tous les campings du coin, ainsi que de nombreuses familles qui avaient accepté d’héberger des visiteurs. Un dortoir a également été aménagé pour l’occasion dans l’annexe de l’église.

» Le pasteur Branham explique : "Je suis seulement un homme. Je n’ai aucun pouvoir de guérison. Seul

Jésus-Christ peut guérir. C’est Lui que je prie de guérir ceux qui croient. Personne ne peut être guéri sans avoir la foi en Jésus-Christ. "

» Un autre pouvoir que dit avoir le pasteur Branham est celui de percevoir de quelle maladie est atteinte la personne qui vient le voir. " Quand ils mettent leur main dans ma main gauche, je reçois des vibrations provoquées par les germes qui sont dans la personne. Habituellement, je peux reconnaître de quelle maladie il s’agit. Quand la maladie quitte la personne, les vibrations cessent ", dit-il. Quand le pasteur Branham termine de prier pour quelqu’un, il conclut généralement en disant : «Au nom de Jésus-Christ, je t’ordonne de quitter cette personne !»

» L’an dernier, le pasteur Branham a entamé un programme très prenant : après une campagne à Saint-Louis du Missouri, il est venu à Jonesboro, puis il s’est rendu à Pine Bluff et à Camden. Ensuite, il a pris pour destination Houston, avant de poursuivre vers la Côte Ouest. La semaine prochaine, il prendra l’avion pour la Californie, pour porter le secours de son don à un Arménien.

» Depuis son passage ici en octobre dernier, le pasteur Branham a subi le contrecoup de son rythme poussé : il a perdu 12 kilos, et ses yeux se sont beaucoup creusés. " Pour avoir un tant soit peu de sommeil, il faut que je tienne secret l’endroit où je suis hébergé", dit-il en souriant.

» Le total des personnes ayant assisté aux réunions au cours de ces deux semaines dépassera probablement la barre des 20 000 d’ici dimanche, affirment les responsables de l’église. Deux jours durant, l’envoyé du «Sun» a assisté aux réunions l’après-midi, et a passé une matinée à écouter l’histoire du pasteur Branham. En parcourant les foules, en parlant avec de nombreuses personnes venues d’un peu partout, il n’a pas pu trouver un seul sceptique. Beaucoup de gens lui ont raconté des histoires qui semblent incroyables.

» Par exemple, M. N. Funk, cordonnier à Seymour (Missouri), dit qu’il ne marchait plus depuis cinq ans et cinq mois, quand il a assisté à une réunion tenue par le pasteur Branham à Camden, le 21 janvier. «Je suis resté hospitalisé pendant neuf mois après avoir fait une chute qui m’avait causé des lésions de la colonne vertébrale, en faisant des travaux sur une charpente. Les médecins m’avaient dit que je ne pourrais plus jamais remarcher, ce que je n’ai pas pu faire pendant cinq ans et cinq mois. Je sais bien que c’est difficile à croire, mais frère Branham a prié pour moi, et je me suis immédiatement levé et j’ai marché. Et aujourd’hui, je marche aussi bien que vous ou n’importe qui d’autre», dit-il.

»C. C. Shepherd, le pasteur de l’église pentecôtiste de St. Charles, près de De Witt, a montré lundi soir à l’assemblée quelque chose qui ressemblait à un morceau de peau indurée, dont il disait que c’était un cancer qui l’avait fait souffrir pendant 14 ans. Le pasteur Branham avait prié pour lui mardi dernier. Il dit que le cancer qu’il avait au cou, qui avait été causé par une coupure de rasoir, était rouge au moment où il est monté sur l’estrade, mais qu’immédiatement, il a commencé à prendre une coloration plus foncée. " Il a noirci, il a séché et il est sorti", dit-il. Il lui restait une profonde cavité dans le cou, à l’endroit que la tumeur avait occupé.

»Mme Hattie Waldrop, qui dit que son mari a un atelier de plomberie au 2851, 16ème Avenue nord, à Phoenix (Arizona), est venue jusqu’à Jonesboro pour témoigner du fait que le pasteur Branham l’a fait ressusciter des morts. «Mon pouls avait complètement disparu. Je souffrais d’un cancer du côlon, ainsi que d’ennuis cardiaques et hépatiques, sans aucun espoir de guérison, quand frère Branham a prié pour moi le 4 mars. Aujourd’hui, j’ai une santé magnifique», a-t- elle dit aux journalistes.» (Note de l’auteur : J’ai parlé personnellement avec cette dame et son mari, et je sais que son témoignage est véridique.)



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