Le livre "Conduite, ordre, doctrine de l'Eglise 2 (COD) "
Contenu du livre
• 61-0112 QUESTIONS ET RÉPONSES
• 61-0723E QUESTIONS ET REPONSES (DIEU MAL COMPRIS)
• 61-1015M QUESTIONS ET RÉPONSES
• 62-0527 QUESTIONS ET RÉPONSES
• 62-0601 SE RANGER DU COTE DE JESUS
• 63-0324M QUESTIONS ET REPONSES SUR LES SCEAUX
• 63-1226 L’ORDRE DE L’ÉGLISE
• 64-0823E QUESTIONS ET RÉPONSES n° 1
• 64-0823M QUESTIONS ET RÉPONSES n° 2
• 64-0830E QUESTIONS ET RÉPONSES n° 3
• 64-0830M QUESTIONS ET RÉPONSES n° 4
1 ...un
bon nombre qu’il me faudrait
prendre, mais j’ai pris, j’ai apporté ma concordance. Je vais peut-être
la
remettre à Léo, ici, ou à quelqu’un qui est assis tout près, qui
pourrait
peut-être m’aider, s’il vous plaît, si nous avons à nous en servir.
2 Maintenant,
cette dame qui est là-bas,
s’il y a, si elle... Où est... Qui est son mari? Oui. Eh bien, si vous
désirez
que votre femme vienne s’asseoir à vos côtés, on–on peut, il n’y a rien
qui se
dise entre frères qui ne puisse être dit à une soeur aussi. C’est que
nous...
vous savez. Est-ce que–est-ce que ça va? Si vous voulez qu’elle vienne,
là, je
vous en prie, faites. Est-ce que–est-ce qu’elle a assez chaud là-bas,
Doc? Eh
bien, d’accord, mais elle doit se sentir un peu isolée.
3 Et
ici, il n’y a rien–rien... Parfois,
la raison pour laquelle je dis “les hommes”, c’est que parfois les
hommes,
entre hommes, peuvent poser une question à laquelle on ne pourrait pas
répondre
en présence de femmes. Mais là, il n’y en a aucune à laquelle on ne
puisse
répondre dans l’église locale, à la réunion, parce qu’elles portent
surtout sur
les ministres, et tout ça, en quoi consiste leur–leur mandat et ce
qu’ils
doivent faire.
4 Maintenant,
je pense que ceci est
enregistré. Si... Je n’en suis pas sûr. Frère Goad, où est-ce, est-ce
qu’on
enregistre en ce moment? Très bien. La raison pour laquelle nous
faisons ceci,
c’est afin de découvrir, frères, quelle est, principalement, quelle est
la–la
partie... ce qui occupe l’esprit des hommes, quelles–quelles sont les
choses
qui nous concernent.
5 Nous–nous
devons tenir tous un même
langage. Si, par exemple, quelqu’un arrive ici et que, disons,
peut-être que
ces gens vont à l’église du frère, ici (Quel est votre prénom, frère?
Willard.
Frère... Bon, il y a deux Willard ici, je vais devoir vous nommer
autrement. Si
je... Quel est votre nom de famille, alors? Crase.), à l’église de
Frère Crase,
et là Frère Crase dit une certaine chose. Ensuite, de Sellersburg, ils
se
rendent chez Frère Ruddell, et chez Frère Ruddell, ce serait autre
chose. Ils
vont chez Frère Junie, et là c’est tout autre chose. Ils viennent au
Tabernacle, et là encore, c’est autre chose. Voyez? Cela embrouille les
gens.
6 Bon,
par exemple, quelqu’un qui dirait
: “Oh, je ne crois pas qu’on, qu’il faille réellement recevoir le
Saint-Esprit.
Je ne pense pas que ce soit nécessaire.” Disons, par exemple, que Frère
Crase
dise ça. Ensuite, on va chez–chez Frère Ruddell, et lui, il dit : “Si,
c’est
essentiel.” Ensuite, on va chez Junie, et il dit : “Eh bien, ça ne
change pas
grand-chose.” Voyez? Si nous pouvions nous réunir, même... j’aimerais
que nous
puissions avoir tous les ministres de Jeffersonville (de cette ville)
réunis,
pour que nous tenions tous un même langage.
7 Et
c’est pourquoi, souvent, les
diacres et les administrateurs, ils doivent se renseigner pour savoir
en quoi
consiste leur fonction. Et je vois que ce soir nous avons ici le
trésorier de
l’église et le concierge, alors nous allons voir en quoi consiste leur
fonction
à eux. Mais, pour la plupart, celles que nous avons ici, ce sont des
questions
qui pourraient être posées n’importe où, et auxquelles on pourrait
répondre
n’importe où. Ce sont des questions toutes simples, et qui ont trait,
par
exemple, aux fonctions des administrateurs, aux fonctions des... Or,
s’il est
question des fonctions proprement dites, je pense que ça, c’est affiché
ici,
sur le tableau, en ce moment, les fonctions des administrateurs et ce
qu’ils
doivent faire. Mais je me suis dit que, peut-être...
8 Et,
nous en avons justement reçu une,
là, – et je trouve que c’est bien, j’y répondrai dans quelques
instants, si le
Seigneur nous donne de l’aborder, – c’est :
Dans telle
situation critique, alors que doit faire le diacre? Qu’est-ce qu’il...
Quel est
son devoir, que doit-il faire lorsque confronté à telle situation
critique?
Comment doit-il agir? Voyez? Ou que doit faire l’administrateur, que
doit faire
le pasteur, quelque chose comme ça, lors d’une situation critique? Nous
connaissons le train-train habituel, mais s’il arrive quelque chose en
dehors
du train-train, vous voyez, dans ce cas, que doivent-ils faire?
9 Et
ainsi nous connaissons exactement
la manière de procéder; c’est comme former une armée, nous connaissons
chacun
notre position. Or, avec ce type de groupe, nous pourrions passer la
moitié de
la nuit ici, nous le savons, mais ce, je ne pense pas que ce soit
nécessaire.
Nous allons répondre. Maintenant je tiens à ce que chacun...
10 Bon, les
noms ne sont pas inscrits, sur
quelques-unes le nom est inscrit, mais je–je ne donnerai pas le nom des
gens,
parce que, seulement–seulement la question, je vais juste lire la
question. Il
n’y en a que deux, peut-être, sur lesquelles le nom est inscrit.
Attendez, j’en
ai peut-être trouvé une autre. Je sais, c’est le brave docteur
Ingleman, que je
devais visiter dans la–l’aile sud, au 4–426 de l’aile sud. C’est en le
faisant,
là, que ce brave docteur, nous sommes allés là-bas aujourd’hui, à
Georgetown,
il a été guéri ou a repris connaissance après être resté si longtemps
inconscient, et–et tout. Bon, je pense qu’elles y sont toutes,
maintenant nous
allons aborder les premières questions que nous avons, commencer par
celles que
j’ai étudiées.
Maintenant, levons-nous un instant,
s’il vous plaît.
11 Notre Père
Céleste, nous nous sommes
réunis ici, un groupe d’hommes, d’hommes chrétiens, qui T’aimons, qui
croyons
en Toi, et qui avons dédié nos vies et nos services à Ton service. Il y
a ici
des ministres, des jeunes hommes, des hommes d’âge mûr, qui ont des
églises,
ils sont responsables devant Dieu. Il y a ici des diacres, qui ont leur
responsabilité de par leurs fonctions dans ces différentes églises. Il
y a des
administrateurs, qui ont leurs responsabilités. Pasteurs, évangélistes,
quoi
que nous soyons, Seigneur, nous avons une responsabilité envers Toi. Et
c’est
pourquoi nous nous sommes réunis, afin que nous tenions tous un même
langage,
comme nous avons été exhortés à le faire, dans l’Écriture. Nous devons
tous
tenir le même langage.
12 Et, Père,
nous pensons que, dans un
groupe de ce type, il pourrait se trouver que quelques-uns de nos
frères, ou
que quelques-uns d’entre nous, aient de petites divergences de vues sur
certaines choses, et quelques-uns auront simplement posé une question
pour
réellement savoir la Vérité sur ces choses. Et nous savons que nous
sommes,
chacun de nous, incapables. Si je demandais aux autres frères, à
n’importe
lequel d’entre eux, de venir répondre à ces questions, peut-être
seraient-ils
tout aussi capables, ou même plus capables que moi d’y répondre. Mais
ensemble,
nous comptons sur Ta révélation, afin que Tu nous révèles, au moyen de
la
Parole et de, par Ton Esprit, que... afin que nous ayons une réponse à
chaque
question. Qu’ainsi nos cœurs... que nous soyons pleinement satisfaits
des
réponses, et que nous puissions repartir en ayant le sentiment que nous
sommes
mieux équipés pour Te servir et pour exercer nos fonctions que–que nous
le
sommes en ce moment. C’est dans ce but que nous sommes ici, Père.
Accorde-le,
maintenant.
13 Et réponds
à nos questions, Père, alors
que nous nous attendons à Toi. Qu’il ne subsiste aucun point obscur
dans nos
esprits, au contraire, que nous ne laissions aucune question de côté
avant que
la réponse ait été entièrement donnée et que nous soyons satisfaits par
l’Esprit, dans un accord unanime à cause de Sa Présence. Nous le
demandons au
Nom de Jésus. Amen.
14 Pour
commencer, je veux juste citer un
passage de l’Écriture. Comme l’a dit Ésaïe, l’a dit le prophète :
Venez... plaidons! dit l’Éternel.
15 Et je
pense que c’est pour ça que nous
sommes ici, ce soir : pour essayer de plaider, de discuter ensemble
afin de
régler des choses. Et maintenant, j’aimerais commencer... j’ai noté
quelques-uns des points ici, que j’ai numérotés, et tout, j’avais ça,
et Frère
Wood l’a apportée; j’ai cette enveloppe, qui contient des réponses. Et
maintenant, je tiens à ce que chacun de vous, mes chers frères, vous
sachiez
que–que ces réponses sont–sont vraiment données de mon mieux, du mieux
que je
peux, avec la compréhension que j’ai de ces choses.
16 Et ces
réponses ne sont pas
infaillibles, vous voyez; en effet, ce sont les Écritures qui sont
infaillibles, et pour autant que je sache, elles s’accordent avec les
Écritures. J’espère que c’est un éclaircissement. Et on conservera la
bande,
là, alors tous ceux qui aimeraient l’avoir, eh bien, ils pourront
l’avoir.
Mais, bon, je sais que les Écritures sont infaillibles, mais mes
réponses ne
sont pas infaillibles. Alors, ça, je suis sûr que tout le monde le
comprend. Et
si elles ne sont pas–si elles ne sont pas infaillibles, alors vous avez
le
droit, disons, de m’interroger, à n’importe quel moment.
17 Même si
c’est la question de quelqu’un
d’autre, pas nécessairement votre question à vous, mais même si c’est
la
question de quelqu’un d’autre, peut-être quelque chose qui ne vous
était jamais
venu à l’esprit, mais quelque chose, nous sommes là pour apporter notre
aide.
Nous sommes là pour–pour nous réunir, parce que nous sommes dans les
derniers
jours, et les jours sont mauvais, et–et nous voulons recevoir un
entraînement,
une formation.
18 Frère
Stricker, un soldat; Frère Goad,
là-bas, un soldat; et peut-être Frère Ruddell, ici, qui a été soldat;
Frère
Beeler; et tous ceux qui–qui ont connu la vie militaire : on s’assied
ensemble,
on–on se consulte, on apprend le déroulement du combat avant d’arriver
là-bas,
et tout ce qu’on peut connaître des tactiques utilisées par l’ennemi,
en vue de
pouvoir l’affronter sur son terrain.
19 À l’époque
où je faisais de la boxe. Ils
se renseignaient sur mon adversaire, ce qu’il allait être, quel type de
coup il
utilisait, si c’était l’uppercut, ou le direct du gauche, ou le crochet
du
droit, s’il était droitier ou gaucher, quelle était sa force, le jeu de
jambes
qu’il utilisait, comment il se servait de ses yeux, de quel coin il se
présentait, et tout ce que nous pouvions connaître des tactiques qu’il
utilisait. Et ils se renseignaient sur... Les–les entraîneurs avaient
vu cet
homme se battre précédemment. Et donc, ils mettaient avec moi un homme
qui
devait m’entraîner exactement selon la méthode de combat de l’homme en
question,
pour–pour que je sache ce qu’il allait faire.
20 C’est pour
ça que nous sommes ici, ce
soir. Nous connaissons le coup de l’ennemi. Nous connaissons ses
tactiques. Et
nous sommes ici, ce soir, avec l’Écriture pour le coincer de toutes
parts, de
sorte qu’il ne puisse pas agir – parce que l’ennemi est partout.
21 Frère
Roberson, je me disais – je l’ai
vu, là-bas au fond – que lui, il est bien placé pour savoir ce qu’est
un
soldat. Il a vraiment passé un mauvais quart d’heure! Combien y a-t-il
de
soldats ici, faites voir, ont été soldats, dans l’armée? Regardez-moi
ça, vous
voyez, bon nombre d’entre vous ont été soldats. Très bien, donc, vous
savez ce
que c’est. Et c’est bien ce qu’on étudie, n’est-ce pas, Frère Roy,
Frère
Beeler, et vous qui êtes des vétérans et tout? Voilà, on étudie
l’ennemi :
“Qu’est-ce qu’il va faire? Quelle est sa technique?”, pour ensuite
connaître le
moyen de l’affronter.
22 Et c’est
pour ça que nous sommes ici,
c’est pour étudier la technique de l’ennemi, et–et pour connaître le
moyen de
l’affronter, ce qui le vaincra.
23 Et,
souvenez-vous, permettez-moi de dire
ceci, frères, cette petite église a commencé à avoir part aux dons,
ici, vous
voyez, les dons commencent à se manifester dans l’église. Mais qu’il
s’y trouve
des dons ou pas, même s’il n’y avait jamais un seul don, je vais vous
dire une
chose, le don ne vaincra pas toujours l’ennemi, mais la Parole le fera.
La
Parole pourra l’affronter partout.
24 Et Jésus,
quand Il était sur terre, a
prouvé ça. Ses... Il était Dieu manifesté dans la chair. Mais, pour
vaincre
l’ennemi, Il n’a jamais utilisé aucun des dons remarquables qu’Il
avait. Nous
voyons que, dans Matthieu, au, je crois que c’est au chapitre 2 ou 3 de
Matthieu, Il a dit, – non, c’est au chapitre 2 de Matthieu, – lorsqu’Il
a
affronté l’ennemi, Il l’a affronté sur le terrain de la Parole : “Il
est
écrit.”
Et l’ennemi
a répliqué : “Il est écrit.”
25 Il a
répondu : “Il est aussi écrit”,
comme ça, jusqu’à ce qu’Il ait vaincu l’ennemi. Et c’est pour ça que
nous
sommes ici, c’est pour affronter l’ennemi avec le matériau que Dieu
nous a
donné pour–pour l’affronter.
26 Maintenant,
j’ai environ quatre
questions ici, qui sont sur, qui se trouvent sur un–qui se trouvent sur
un bout
de papier, et je les ai numérotées : un, deux, trois, quatre, cinq,
six...
huit, dix, et ainsi de suite, comme ça. Et dès que j’aurai terminé
celles-là,
alors je passerai tout de suite à celles qui sont là. Ça dit :
107. Frère
Branham, si ces questions ne conviennent pas ici, alors n’en tenez
aucun
compte, et cela ne m’ennuiera pas, car je saurai que ce n’était pas la
main du
Seigneur. Question
numéro un : Frère Branham, je vous ai
entendu... que cela devrait–devrait reprendre le... Je–je–je vous ai
entendu
dire que je devrais reprendre le ministère, et j’ai moi-même songé à le
faire,
mais j’attendais d’avoir reçu de Sa part une parole claire à cet effet.
Jusqu’à
présent, elle n’est pas venue. Or, sachant que la fin est tellement
proche,
devrais-je encore attendre que le Seigneur Jésus me parle? Ou
trouverait-Il bon
de vous indiquer quoi me dire, puisque je sais que vous êtes Son
porte-parole
pour aujourd’hui?
27 Bon, eh
bien, frère, je... J’ai noté ici
ma réponse à ça. Dieu qui appelle ce frère, par un appel dans sa vie,
maintenant voilà un point très important, nous pourrions vraiment
prendre ça
comme sujet et prêcher là-dessus toute la soirée, vous voyez, sur ce
point-là :
“une vocation”. “Affermissez votre vocation et votre élection”, vous
voyez. On
ne veut pas être là à se demander si on a été appelé. Il faut avoir été
appelé,
sinon vous serez vaincu; nous livrons un combat. Voyez? Et si vous êtes
absolument certain, frère, que votre vocation, vous la tenez de Dieu,
et que
vous avez été appelé par Dieu à faire un travail...
28 Or, il y a
un vilain tour que l’ennemi
peut vous jouer, là. Il peut vous faire croire que vous n’avez pas été
appelé,
alors que vous avez été appelé, et puis il peut faire l’inverse, vous
faire
croire que vous n’avez pas été appelé, ou, vous faire croire que
vous–vous avez
été appelé, alors que vous n’avez pas été appelé; vice versa, l’un ou
l’autre.
Alors il faut faire attention.
29 Maintenant,
voici comment faire. Il faut
d’abord découvrir... Bon, là, ce sont des conseils, c’est tout ce que
je peux
vous donner à ce sujet, des conseils. Voyez? Mais assurez-vous que vous
tenez
votre vocation de Dieu, et ensuite examinez vos motifs et vos
objectifs. Voyez?
Bon, vous savez ce que j’entends par là. Quel est le motif qui vous
incite à
prêcher? Est-ce que c’était seulement... Vous êtes-vous dit que ce
serait un
travail plus facile que celui que vous avez? Alors, il vaut mieux
laisser
tomber, ce n’était pas un appel.
30 Un appel
de Dieu brûle tellement dans
votre cœur, qu’il ne vous donne aucun repos, ni le jour ni la nuit.
Vous ne
pouvez pas y résister, ça vous hante continuellement.
31 Et–et, si
vous deviez prêcher... Vous
dites, eh bien, là, un autre objectif : “Je crois que, par rapport à
mon
travail actuel, si je pouvais être un évangéliste réputé ou un pasteur,
avoir
un bon salaire fixe, avoir une maison où m’installer, et tout, où
habiter,
alors je–je crois que ce serait bien, que ce serait beaucoup plus
facile que ce
que je fais actuellement. Et réellement, je pense que ce serait...” Là,
vous
voyez, votre objectif est faux, au départ. Vous voyez, il n’est pas
bon. Voyez?
Vous–vous avez tort, là.
32 Et puis,
si vous disiez : “Eh bien,
peut-être parce que je suis... Je pense que peut-être je jouirais d’une
plus
grande popularité auprès des gens.” Vous voyez, vous allez constater
que vous
vous préparez à un grand fiasco. Vraiment, vous voyez!
33 Mais, bon,
si votre objectif, c’est :
“Même si je dois manger des crackers et boire de l’eau plate, ça m’est
égal, je
vais quand même prêcher l’Évangile.” C’est quelque chose qui vous
obsède,
carrément : “Il faut que je prêche l’Évangile, sinon c’est la mort!”
Voyez?
Alors là, vous–vous réussirez, parce que c’est Dieu qui traite avec
vous. Dieu
Se fait connaître à vous, puisque, effectivement, c’est Dieu qui ne
vous donne
aucun repos. Et, généralement, un homme qui a été appelé de Dieu ne
veut jamais
faire le travail. Aviez-vous déjà songé à ça? N’importe quel homme...
34 Dernièrement,
la question m’a été posée
par de très précieux frères, qui m’ont dit : “Maintenant que nous
sommes entrés
dans cette Voie, Frère Branham, maintenant que nous avons trouvé le
Seigneur et
avons reçu le Saint-Esprit, devons-nous rechercher des dons pour le
ministère
que nous devons exercer?”
35 J’ai dit :
“N’allez jamais faire ça.”
Voyez? N’allez jamais conseiller aux gens de faire une chose pareille,
parce
que, d’habitude, l’homme qui tient à le faire, c’est justement l’homme
qui–qui
est incapable de le faire.
36 L’homme
qui cherche à fuir, c’est
celui-là que Dieu utilise. Voyez? S’il cherche à résister : “Oh, frère,
je vais
te dire une chose, je, la vocation est en moi, mais je... Fiou! Oh, mon
gars,
ça me coûte terriblement de me lancer.” Eh bien, voilà, vous voyez.
Chercher à
fuir, c’est–c’est ça.
37 S’il–s’il
tient mordicus à le faire,
avant longtemps il devient un “grand prétentieux”. Par exemple, de dire
: “Ô
Dieu, donne-moi le pouvoir de transporter des montagnes, je T’assure
que
j’accomplirai quelque chose pour Toi, si Tu me donnes de transporter
des
montagnes.” Non, il ne le fera pas, car il ne peut même pas se mettre
lui-même
en mouvement en prenant l’attitude qu’il faut, vous voyez, alors jamais
il ne
transporterait des montagnes pour Dieu.
38 Prenez,
par exemple, Paul. Pensez-vous
que Paul aurait pu échapper à sa vocation? Oh, frère! Il ne le pouvait
pas. Ça
le hantait jour et nuit, carrément, si bien qu’il a quitté son église,
qu’il a
tout quitté, et–et il est parti pour... Je crois que c’était l’Asie,
n’est-ce
pas? Et il est resté là-bas pendant trois ans, à étudier les Écritures,
pour
voir si c’était vrai ou pas, vous voyez, pour voir si Dieu l’avait
réellement
appelé.
39 Donc, si
Dieu vous appelle, frère, et
que, dans votre cœur, c’est une obsession continuelle, alors je dirais
:
“Rejetez tout fardeau, et le péché qui vous enveloppe si facilement.”
Vous
voyez? Si... Mais si ce n’est pas une obsession, alors, à votre place,
je–je–je
n’y songerais pas trop. Laissez simplement les choses suivre leur cours.
Maintenant, il a dit, ce frère a dit
ici :
Frère
Branham, devrais-... Pensez-vous que Dieu parlerait (à moi,
pour que je le lui
dise)...
40 Je crois
que Dieu lui parlerait
directement, à lui. En effet, vous savez, Dieu, nous ne sommes pas
importants
au point qu’Il ne puisse pas nous parler. Et Il–Il–Il nous parlera,
c’est sûr.
Vous voyez, c’est qu’Il, Il nous parlera.
41 Et je vous
dirai ceci : s’Il me le
disait, à moi, alors ce frère, peut-être qu’il dirait : “Eh bien, Il
l’a dit à
Frère Branham, alors, gloire à Dieu!”
42 Mais, vous
voyez, ce n’est pas Frère
Branham qui vous adresse cet appel, c’est le Seigneur Jésus qui vous
adresse
cet appel. Voyez? Et, si c’est le Seigneur Jésus qui vous adresse cet
appel,
c’est Lui qui parlera. Voyez? Je pourrais vous parler à l’oreille, mais
quand
Christ vous appelle au ministère, c’est dans votre cœur. Voyez? C’est
là que la
chose doit s’ancrer, alors vous ne pourrez pas y échapper.
Maintenant, je crois, pour ce qui
est de la deuxième question...
43 Bon, s’il
y a des questions là-dessus,
que cela suscite des questions, vous voyez, à savoir que l’appel d’un
homme
doit être dans son cœur, venir de Dieu. Et–et un autre frère... Oh, je
sais qui
a écrit ceci. Vous voyez, je sais qui l’a écrit, un cher, précieux,
charmant
frère, dont je crois réellement qu’il a un appel de Dieu. Mais c’est
que je, je
ne voudrais pas qu’il aille de l’avant en se fondant sur quelque chose
que je
(c’est pour cette raison que j’ai répondu comme je l’ai fait), vous
voyez, sur
le fait que j’aie dit : “Eh bien, oui, Frère Untel devrait entrer dans
le
ministère.” Voyez?
44 Là vous
dites : “C’est Frère Branham qui
m’a dit que je devrais le faire.” Vous voyez, et peut-être que, et si
quelque
chose arrivait à Frère Branham, que je me fasse tuer, ou que je meure,
ou–ou
que je parte? Alors, vous voyez, votre vocation est terminée, dans ce
cas. Mais
si c’est Jésus qui vous appelle, frère, tant qu’il y aura une Éternité,
cet
appel continuera à retentir. Voyez? Et là vous savez à quoi vous en
tenir.
Maintenant,
la deuxième...
45 Ou,
quelque chose comme ceci : “Sachant
que c’est le dernier jour.” J’apprécie réellement cela, de ce frère.
J’apprécie
vraiment cela, de la part de ce frère, il se rend compte que nous
sommes au
dernier jour, et avec la sincérité de son cœur, il désire accomplir
quelque
chose pour Christ.
La suivante, c’est :
108.
Maintenant, si notre précieux Seigneur me permettait d’accomplir un
petit
quelque chose pour Lui, devrais-je retourner dans les quartiers où j’ai
prêché
alors que j’étais partiellement en... dans l’erreur (ce que je
regrette)... il a mis ça
entre
parenthèses... et essayer de leur annoncer
la Vérité? Ils me tiennent vraiment beaucoup–ils me tiennent vraiment
beaucoup
à cœur.
46 Non,
frère, je ne pense pas qu’il soit
nécessaire que vous retourniez dans le même quartier. Je crois, mon
cher frère,
que lorsque le Seigneur vous appellera, il se pourrait qu’Il ne vous
laisse
jamais y retourner, car vous étiez autrefois dans un quartier où vous
avez
peut-être enseigné des choses ou inculqué des choses qui n’étaient
pas... qu’en
fait, vous ne voyez plus de la même manière maintenant, voyez, que vous
voyez
peut-être autrement qu’à cette époque-là. Alors, et le Seigneur, quand
Il vous
aura appelé, il se pourrait qu’Il... s’Il rend la chose réelle à vos
yeux, Il
pourra vous envoyer n’importe où. Voyez? Vous n’aurez pas à aller dans
un
certain quartier, ni rien.
47 Quand vous
vous trouviez là-bas, vous
étiez sincère. Je connais le frère, comme je le disais, qui a écrit ces
questions. Avec la sincérité la plus profonde, un vrai, un authentique
Chrétien, vous avez fait de votre mieux, fait tout ce que vous avez pu,
et
c’est tout ce que Dieu demande. Voyez? Par contre, si Dieu vous
appelait à
retourner dans ce quartier, alors, à votre place, j’y retournerais sans
hésiter; mais, dans le cas contraire, je–je crois que j’irais là où Il
m’enverrait, c’est tout. Y a-t-il une question?
Numéro trois :
109.
Comment reconnaître sa position légitime dans le Corps de Christ?
48 Voilà une
bonne question, une très bonne
question : “Comment...” C’est le genre de question qui pourrait se
poser parmi
bon nombre d’entre nous ici, ce soir : “Comment reconnaître
légitimement?” Bon,
je présume que ce frère veut savoir : “Quelle position, laquelle en
Christ,
quel est le rôle de Christ que je remplis?”
49 Bon, par
exemple, je l’exprimerais comme
ceci, frère, pour vous répondre du mieux que je peux. Votre position
est, en
Christ, vous est révélée par le Saint-Esprit. Et puis, si vous voulez
savoir si
c’est le Saint-Esprit ou pas, voyez si oui ou non Il ajoute Sa
bénédiction à ce
que vous faites. Et s’Il y ajoute Sa bénédiction, alors c’est Lui. S’Il
n’ajoute pas Sa bénédiction...
50 C’est
comme ce que me disait quelqu’un,
il n’y a pas longtemps, il disait : “Le Seigneur m’a appelé à prêcher.”
J’ai dit : “Eh bien, alors,
prêchez.” Voyez? Et, donc il–il...
51 Vraiment
je trouve que c’est très...
Satan, s’il peut seulement amener quelqu’un à–à avoir ce
comportement-là, et
ensuite le tromper, voilà, c’est justement ce qu’il cherche à faire.
Ensuite,
le monde entier va montrer ça du doigt. Quelqu’un qui pense avoir un
don de
parler en langues et d’interprétation; certains qui ont le don de
guérison
Divine; certains qui ont ces choses, comme... Parfois, ils font erreur
sur ces
choses, vous voyez. Et parfois, ils pensent qu’ils ne l’ont pas, alors
qu’ils
l’ont. Donc, c’est plutôt compliqué.
52 Alors
voici, frères, ce qu’il faut
toujours faire, lorsque vous avez le sentiment que vous devez faire une
certaine chose, voyez d’abord s’il est Scripturaire pour vous de le
faire (si
c’est dans les Écritures). Pas écrit seulement à un endroit, mais je
veux dire
entièrement Scripturaire – d’un bout à l’autre de la Bible – pour vous
de le
faire : votre position, par exemple, si c’était d’être évangéliste,
pasteur,
docteur, prophète, quelle que soit la position à laquelle Dieu ait pu
vous
appeler. Vous voyez? Ou, si vous avez un don de langues, un don
d’interprétation, un don quel–quel qu’il soit, parmi les neuf dons
spirituels
qui sont dans l’église, et les quatre fonctions spirituelles de
l’église,
quelle que soit la position, voyez d’abord si Dieu a appelé.
53 Après
quoi, généralement, ma manière à
moi, c’est d’observer, simplement... ceci, c’est ce que moi, je fais,
j’observe
la nature de la personne et je vois quel type de don elle professe.
Vous voyez,
Dieu œuvre avec Sa créature telle qu’Il l’a faite. Voyez? Il fera une
créature...
54 Si vous
voyez quelqu’un qui est très
instable et irréfléchi, vous... et qu’il dit : “Le Seigneur m’a appelé
à telle
et telle chose, à être pasteur.” Or un pasteur ne peut pas être une
personne
instable. Un pasteur est bien affermi, équilibré. Voyez?
55 “Dieu m’a
appelé à être docteur.”
Observez comment il interprète la Parole. Voyez? S’il L’embrouille, et
tout,
alors on peut voir ce qu’il en est. Voyez?
56 Mais,
donc, ce qu’il faut faire; en
général, votre position se reconnaît par ceci : si vous êtes capable de
faire
le travail, oui ou non.
57 Or, quand
Dieu m’a appelé à être
évangéliste, moi je désirais être pasteur. Et je me disais que rester
au
bercail, ici, ce serait très bien. Et le Seigneur m’a appelé. Et enfin,
tous
les gens se sont réunis – il ne reste pas un seul d’entre eux ici, ce
soir – et
ils ont pleuré, ils sont allés là-bas, au 1717 de la rue Spring. Et
cette dame,
Mme Hawkins, là, est venue me voir et a dit (elle pleurait, c’était
pendant la
dépression, à cette époque où quelqu’un dans le quartier faisait cuire
une
grande quantité de haricots, et tous, on se retrouvait là pour partager
ce
repas), elle a dit : “Je suis prête à rationner mes enfants, aux repas,
si vous
acceptez de construire un tabernacle.” Voyez?
58 Et ma
vocation, c’était d’être
évangéliste. Le matin... Ici même, dans la pierre angulaire, si nous
pouvions
l’ouvrir ce soir, vous y verriez une page de garde de ma Bible, au
moment où Il
m’avait dit que je devais être évangéliste. Voyez? Je n’étais pas un
pasteur
accompli, et je ne le serais jamais, parce que je n’ai pas la patience
et les
qualités requises pour être pasteur. Voyez? Et donc, si j’essayais
d’être
pasteur, je serais complètement hors de ma position, autant qu’un
pasteur qui essaie
d’être évangéliste.
59 Vous voyez
ce que je veux dire? Vous
pouvez voir la voie dans laquelle le Seigneur vous a appelé, quelle est
votre
position dans le Corps. Y a-t-il une question?
110. Est-ce
que toutes les personnes remplies du Saint-Esprit parlent tôt ou tard
en
langues?
60 C’est la
première question. “Est-ce que
toutes les personnes remplies du Saint-Esprit...” C’est que celles-là
sont
regroupées dans une seule question, que j’ai notée comme question
numéro
quatre. Mais je vais–je vais commencer par dire ceci, vous voyez :
Est-ce que toutes les personnes qui ont le
Saint-Esprit parlent tôt ou tard en langues? J’ai vu un passage où Paul
a dit
“qu’il parlait en langues plus qu’eux tous”.
Très bien,
question numéro quatre : Est-ce que tous
parlent en langues au moment où ils reçoivent le... Ou, non, ça dit
: Est-ce que tous parlent en langues... Non
: Est-ce que toutes les personnes
remplies du Saint-Esprit parlent tôt ou tard en langues?
61 Bon,
frère, je, c’est une question
profonde. Alors, là, on va probablement, je vais probablement recevoir
des
réponses là-dessus.
62 Le
Saint-Esprit, une partie du
Saint-Esprit, c’est la justification. Ça, c’est au début, quand vous...
Dieu
doit vous appeler, sinon vous ne serez jamais appelé. Vous voyez, de
vous-même,
vous ne pouvez rien faire. “Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’a
attiré
premièrement.” Pas vrai? Donc, une partie de la justification est le
Saint-Esprit.
63 Avez-vous
entendu ce que j’ai expliqué à
ce doyen luthérien, cette fois-là, au sujet du champ de maïs? Vous
voyez : “Le
maïs, un homme est allé ensemencer deux... ensemencer son champ de
maïs. Le
lendemain matin, il est allé là-bas, et ‘rien’. Au bout d’un certain
temps, il
a trouvé deux petites pousses qui sortaient de terre, il a dit :
‘Gloire à Dieu
pour mon champ de maïs.’” J’ai dit : “Est-ce qu’il avait un champ de
maïs?”
Et le doyen luthérien a dit :
“Potentiellement.”
64 J’ai dit :
“C’est exact, potentiellement
il en avait un.” Mais j’ai dit : “Après...” J’ai dit : “Ça, c’était
vous, les
luthériens.
65 “Après
quelque temps, les pousses se
sont développées et ont formé l’aigrette. Ça, c’était les méthodistes.
Le
deuxième stade du maïs, c’est l’aigrette.” (C’est bien ça, je pense,
les frères
agriculteurs.) “Et là, l’aigrette abaisse ses regards vers la feuille,
et dit :
‘Hum! Moi, je suis une aigrette, toi tu n’es qu’une feuille! Tu vois,
je n’ai
plus besoin de toi.’ Et là l’aigrette, le pollen retombe de l’aigrette
dans la
feuille; il lui faut la feuille.
66 “Et alors,
c’est ce qui produit l’épi.
Ça, c’était le pentecôtisme, la restauration des dons tels qu’ils
avaient été
donnés au début, le retour aux dons originels. Ensuite, quand l’épi a
émergé,
il a dit : ‘Je n’ai pas besoin de toi, l’aigrette. Et je n’ai pas
besoin de toi
non plus, la feuille.’”
67 Mais,
après tout, c’est cette même vie
qui était dans la–la pousse de maïs qui a produit l’aigrette. Et c’est
ce qui
était dans la pousse et dans l’aigrette qui a produit le grain. Alors,
le
Saint-Esprit qui parle en langues, qu’est-ce que c’est? C’est la
justification,
à un stade avancé. Voyez? L’église pentecôtiste, qu’est-ce que c’est?
L’église
luthérienne, à un stade avancé. Voyez?
68 Mais
maintenant, une fois que le stade
avancé a été atteint, voici la question qui se pose : “Alors, dois-je
simplement m’arrêter là?” Non! Non, le maïs parvient à maturité. Voyez?
On
commence avec le grain. On commence avec la–la Parole, le grain, c’est
Ce qui
produira la justification. Puis restez dans la justification jusqu’à ce
que
Cela produise la sanctification. Restez dans la sanctification jusqu’à
ce que
vous receviez le Saint-Esprit.
69 Maintenant,
une fois que vous avez reçu
le Saint-Esprit, qu’est-ce qu’Il produira? Qu’est-ce que... Vous avez
encore
une question, n’est-ce pas? Très bien :
111.
Qu’est-ce que “le parler en langues”?
70 Le parler
en langues n’est qu’un
baptême, du Saint-Esprit qui vous a justifié et qui vous a sanctifié.
On est
tellement rempli! Bon, j’ai désiré, je désirais recevoir cette
question. Dieu
sait que je n’étais pas du tout au courant que cet homme allait poser,
répondre, ou, la poser.
71 Bon,
est-ce qu’il fait trop, s’il se met
à faire trop chaud ici, ouvrez cette porte, si vous vous sentez gagné
par la
somnolence ou autrement incommodé. Je veux que vous saisissiez très
bien ceci.
Parce que, c’est vrai qu’il–qu’il fait un peu chaud, ça pourrait vous
rendre
somnolents.
72 Maintenant
remarquez, remarquez ceci :
la justification, la sanctification, le baptême du Saint-Esprit.
73 Maintenant
regardez bien, voici ce que
c’est. Je vais illustrer ça. Là je suis ici, en bas, je suis un
pécheur, je
marche dans cette direction-ci. Après un certain temps, tout à coup,
Quelque
Chose me parle. Et rien ne peut me faire changer de direction, Dieu
seul. Pas
vrai? Par ce changement de direction, je vais de ce côté-ci. Or, quand
je fais
demi-tour, ça, c’est ma justification. Pas vrai? Bon, cette image,
c’est
l’objet vers lequel je me dirige, vous voyez, l’image de Christ.
74 Maintenant
je veux en arriver à me
sentir à l’aise auprès de Lui. Vous voyez, je suis justifié. J’en suis
à ce
stade-ci, où je peux Lui parler, parce que... J’ai encore honte de moi.
Je fume
encore, j’ai encore menti, j’ai encore fait des petites choses
sournoises,
choses que je ne devrais pas faire, et j’ai tout le temps des hauts et
des bas,
des hauts et des bas, mais je veux qu’Il me purifie de toutes ces
choses, pour
que je puisse vraiment m’approcher de Lui et vraiment Lui parler.
Voyez? Très
bien, voilà, c’est la sancti-... l’étape de la sanctification. Or,
qu’est-ce
que cela a produit? Cela m’a fait marcher droit. Voyez?
75 Maintenant
je continue à avancer, vers
le Saint-Esprit. Voyez? Et quand je pénètre ici, je suis dans le
Saint-Esprit,
par un baptême. Pas vrai? Qu’est-ce que le Saint-Esprit produit? Il me
donne la
puissance. Le pouvoir d’être prédicateur, le pouvoir d’être chanteur,
le
pouvoir de parler en langues, le pouvoir d’interpréter les langues. Il
est
rempli de puissance; en effet, le Saint-Esprit, c’est la puissance de
Dieu. Et
la puissance de Dieu est ce qui m’a fait faire demi-tour. La puissance
de Dieu
est ce qui m’a sanctifié. Et maintenant la puissance de Dieu est ce qui
m’a
rempli.
76 Maintenant,
à une certaine occasion, je
me trouve ici, j’essaie de dire quelque chose, et la puissance de Dieu
me saisit
avec une telle force que je n’arrive carrément plus à articuler. Voyez?
Je me
mets à balbutier. Comme si j’allais dire : “Frères,” comme ceci, par
exemple.
77 Voici, je
vais l’illustrer de cette
façon. Je vais vous parler, à vous, les frères, pour bien m’assurer que
vous
saisissiez. “Comment–comment–comment ça va, frère?” Vous voyez, je suis
encore
coupable. “Euh, je–je suis rudement content d’être–d’être encore l’un
des
vôtres. Je–je–je suis si content, vous voyez.” Bon. Maintenant, quelque
temps après,
quoi? Je sais que vous fixez les regards sur moi, et vous savez que je
fais
encore des trucs, que je fais encore des choses entachées de la
souillure du
monde.
78 Quelque
temps après, il se fait un
nettoyage en moi. Là il s’est passé quelque chose : je suis sanctifié.
Je peux
vous regarder bien en face, je suis l’un des vôtres. Voyez? “Très bien,
frère.
Gloire à Dieu! Je suis content de faire partie de ce groupe rempli du
Saint-Esprit. Je suis content d’être parmi vous, frères saints.”
Pourquoi? Vous
ne pouvez rien me reprocher, tout a été nettoyé en moi. Mais maintenant
Dieu va
me mettre en service. Bon. Oui monsieur!
79 “Frère
Branham, vous avez été justifié?
80 – Si! Je
me rappelle quand j’osais à
peine vous regarder. Frère, maintenant je peux vous regarder bien en
face.”
81 Vous
voyez, voilà. Bon, alors, l’autre,
qu’est-ce que c’est? Maintenant je vais... Ceci, c’est être nettoyé et
mis à
part pour le service, et ceci, c’est entrer en service. Or nous savons
tous que
le mot sanctifier est un mot grec, un mot grec composé qui veut dire
“nettoyé
et mis à part pour le service”. Les ustensiles étaient purifiés et, par
l’autel, sanctifiés par l’autel, et mis à part pour le service. Mais
être mis
en service, c’est être rempli et mis en service.
82 Maintenant,
je vais par là, maintenant
j’entre en service. Or, c’est Dieu qui m’avait fait changer de
direction, en
disant : “Écoute-Moi. Écoute-Moi! Écoute-Moi!” Et Il dit...
83 Vous
saisissez ce que je veux dire?
Voyez? Voici [Frère Branham imite quelqu’un qui parle en
langues.–N.D.É.]. Vous
voyez, voici, on est tellement rempli, au point qu’on... C’est ça.
Voilà,
parler en langues, c’est ça.
84 Et je
crois ceci, là : je ne crois pas
que le parler en langues est la preuve qu’on a le Saint-Esprit. Ça ne
l’est
pas! En effet, j’ai vu des sorciers, des magiciens, des manipulateurs
de
serpents, des démons et tout, parler en langues, alors ce n’est pas un
acte
infaillible de Dieu (quand on parle en langues), une indication qu’on a
le
Saint-Esprit. Mais, souvenez-vous, le Saint-Esprit parle effectivement
en
langues, et le diable peut imiter ça.
85 La–la
preuve qu’on a le Saint-Esprit,
c’est la vie qu’on mène, vous voyez : “C’est à leurs fruits que vous
les
reconnaîtrez.” Et le fruit de l’Esprit, ce n’est pas (on ne trouve ça
nulle
part dans l’Écriture) le parler en langues. Le fruit de l’Esprit, c’est
l’amour, la joie, la foi, la longanimité, la bienveillance, la douceur,
la
bonté, la patience. Vous voyez, donc, c’est ça le fruit. C’est ce qu’on
trouve
sur l’arbre, qui permet de reconnaître de quelle sorte d’arbre il
s’agit.
Voyez?
86 C’est ce
que les hommes cherchent à voir
en vous les prédicateurs, en vous les diacres, en vous les
administrateurs, en
vous les évangélistes. Vous aurez beau parler en langues, là, dans la
rue, à
longueur de journée, jamais ils ne vous croiront. Mais vivez les choses
que
vous prêchez, montrez de la douceur, montrez qu’il n’y a plus aucune
racine
d’amertume en vous, et là les hommes constateront qu’il y a quelque
chose.
87 “Le parler
en langues.” Bon, par contre,
je crois ceci, qu’un jour ou l’autre, une personne qui est remplie du
Saint-Esprit, et qui reste sous l’autel de Dieu, parlera en langues.
Mais j’ai
vu bien des gens qui parlaient en langues, et qui ne savaient
absolument rien
sur Dieu. Voyez? Ils ne savaient rien du tout sur Lui – et pourtant ils
parlent
en langues. On peut imiter n’importe lequel de ces dons-là. Voyez?
88 Mais c’est
le fruit de l’Esprit qui
démontre quel est l’Esprit qui est à l’intérieur : vous rendez
témoignage de la
Vie de Jésus-Christ. En effet, s’il y a la sève d’un pêcher dans un
pommier, il
produira des pêches, aussi sûr que deux et deux font quatre. C’est
vrai. Vous
voyez, parce que c’est cette vie-là qui est à l’intérieur de lui.
89 Alors,
ici, c’est la même chose. Mais,
bon, pour bien vous faire saisir ceci, pour que tous, nous soyons au
courant de
la même chose. Je crois qu’une personne qui est remplie du
Saint-Esprit, qui...
Bon, cette personne entre en Christ par un baptême, et, tout
simplement, ce
n’est pas... Le parler en langues n’est pas la preuve qu’on a reçu un
baptême.
Voyez?
90 Un baptême
– on peut être introduit dans
la puissance du diable par un baptême, et parler en langues par ce
baptême de
l’esprit trompeur du diable. Combien de fois avons-nous vu cela se
faire?
Combien de fois ai-je moi-même vu cela se faire?
91 J’ai même
eu connaissance que certains
ont bu du sang dans un crâne humain et parlé en langues.
92 J’ai vu
ceux qui exécutent la danse du
serpent, dans le désert, alors qu’ils enroulent un grand serpent autour
d’eux,
et se promènent en parlant – le magicien sort, comme ça, et ils parlent
en
langues et interprètent cela.
93 Je me suis
trouvé dans des camps de
sorciers, où ils posaient un crayon comme ça, et posaient un livre
comme ceci,
et le crayon montait et descendait sur le tuyau de poêle en jouant “Rasage et coupe de cheveux : vingt-cinq
cents”, et écrivait en langues inconnues, et le magicien
interprétait ça,
il disait exactement ce qui s’était passé. Ça, je–j’en ai moi-même eu
connaissance.
Voyez? Alors, je... Vous voyez, on ne peut pas.
94 Paul a dit
: “Les langues cesseront. Les
prophéties prendront fin. Tous ces dons disparaîtront bientôt.” (On a
cette
question-là pour un peu plus tard.) “Mais quand ce qui est parfait est
venu, ce
qui est partiel disparaît.” Voyez? Donc, nous voulons la chose
parfaite,
frères. Voyez? Nous avons vu trop de trucs bidon, et nous avons mal
interprété
ces choses.
95 N’allez
jamais, devant une personne qui
parle en langues, et–et, à cause de ça, croire qu’elle a le
Saint-Esprit.
Voyez? Mais vous croyez qu’elle a le Saint-Esprit à cause des fruits
qu’elle
porte, puisque Jésus a dit : “C’est à leurs fruits que vous les
reconnaîtrez.”
Voyez? C’est vrai : “À leur fruit.”
96 Bon, mais
maintenant, je ne vais pas m’arrêter
là; en effet, je ne voudrais pas déshonorer un grand don que Dieu a
donné.
Voyez? Je crois qu’un homme, ou une femme, ou un enfant, qui est rempli
du
Saint-Esprit, et qui vit sous l’autel de Dieu, au bout de peu de temps
il
parlera en langues. Voyez? Je crois qu’il le fera, ou qu’elle le fera.
97 Or, vous
pouvez recevoir le
Saint-Esprit, sans que peut-être vous ayez parlé en langues au moment
où vous
L’avez reçu. Voyez? Mais si vous demeurez constamment là, toujours
devant Dieu,
et que vous recevez baptême sur baptême, il se produira quelque chose.
Voyez?
Un jour, vous serez tellement rempli que vous ne pourrez pas parler
autrement;
vous voyez, vous–vous–vous essayez de dire quelque chose, et vous
n’arrivez
plus du tout à le dire, vous n’arrivez plus à le dire. Et souvent, si
les gens
se rendaient compte que c’est le Saint-Esprit, ça, alors voilà, ils
ouvriraient
simplement leur cœur et laisseraient Dieu leur parler.
98 La Bible
dit : “C’est par des lèvres
balbutiantes et par des langues étrangères que Je parlerai à ce
peuple.” Ésaïe
28, vous voyez, 28.18. Donc : “C’est par des lèvres balbutiantes et par
des
langues étrangères que Je parlerai.”
99 Un
“balbutiement”, qu’est-ce que c’est?
Quelqu’un qui n’arrive pas à articuler distinctement, qui fait [Frère
Branham
imite quelqu’un qui balbutie.–N.D.É.]. On, simplement, on balbutie, on
essaie.
Vous voyez, tellement rempli de l’Esprit! Il essaie de dire, par
exemple, si
j’allais dire : “Frère Ja-Jack-Ja-Frè-Jack-Frère
Ja-Ja-Jack-Jack-Jackson.” Vous
voyez, comme ça, vous essayez de dire, vous n’arrivez pas à le dire.
Vous
voyez, c’est ça, tellement rempli de l’Esprit! Ça...
100 Je voudrais vous poser
une question,
frères : avez-vous déjà senti le Saint-Esprit vous secouer tellement
que vous
n’arriviez quasiment plus à parler, vous restez assis là pendant un
moment,
assis là à pleurer? Avez-vous déjà fait ça? Eh bien, c’est le
Saint-Esprit, ça.
Si vous aviez... Si les gens ne parlent pas en langues, souvent c’est
parce
qu’ils ne savent pas s’abandonner à l’Esprit, et ils cherchent quelque
chose au
loin, alors que C’est juste là, sur eux. Voyez? C’est pour ça qu’ils
ne...
101 D’autre part, il y a
des gens qui se
laissent emporter par leurs émotions et prononcent un tas de mots qui
ne
veulent rien dire, et pourtant ils n’ont pas le Saint-Esprit, mais ils
cherchent à dire qu’ils L’ont parce qu’ils ont parlé en langues. “C’est
à leurs
fruits que vous les reconnaîtrez”, vous voyez.
102 Maintenant, y a-t-il
une question? [Frère
Junior Jackson dit : “Frère Branham?”–N.D.É.] Oui, frère. [“Je suis
content
qu’on ait posé cette question, parce que, sans doute que peut-être
certains ont
pu se demander ce que je croyais et ce que j’enseignais depuis
longtemps. Mais
ce que je crois là-dessus, c’est exactement ce que vous avez
enseigné.”] Merci,
Frère Jackson. [“Peu importe combien de fois je pourrais parler en
langues, ou
quoi que ce soit, si ma vie ne rend pas témoignage de ce que dit la
Bible,
alors je ne vaux pas mieux qu’un vulgaire chien qui marche dans la
rue.”] C’est
vrai. [“Et c’est seulement six mois après avoir reçu mon baptême que
j’ai parlé
pour la première fois dans une langue inconnue.”] C’est à peu près la
même
chose pour moi, Frère Jackson.
103 J’ai reçu le baptême
du Saint-Esprit
là-bas, dans mon petit hangar, vous voyez. Et environ un an plus tard,
ou
quelque chose comme ça, j’étais–j’étais... j’ai parlé en langues.
104 Et environ un an ou
deux après, de
nouveau, je prêchais dans une église, j’étais–j’étais debout sur
l’estrade,
comme ceci, et je... Quand j’étais jeune, je n’étais pas aussi raide et
aussi
vieux que je le suis aujourd’hui, je pouvais me mouvoir un peu mieux et
je
prêchais avec beaucoup d’émotion. J’étais en train de prêcher, là, et
d’un bond
je me suis retrouvé sur un pupitre. C’était dans une église baptiste,
l’église
baptiste de Milltown, et me voilà parti dans l’allée, en train de
prêcher de
toutes mes forces, comme ça. Et au moment où j’ai arrêté de prêcher,
Quelque
Chose qui m’avait complètement transporté a dit plusieurs mots, quatre
ou cinq,
ou six mots, en langues inconnues. Et avant que j’aie pu me rendre
compte de ce
que je faisais, je me suis entendu m’écrier : “Le Rocher dans un pays
aride,
l’Abri à l’heure de la tempête.” Voyez?
105 Et un jour, le long
d’une voie ferrée – je
marchais sur la voie ferrée, de ce côté-ci de Scottsburg, le long de la
voie
ferrée, je faisais ma ronde. Les vents soufflaient fort, oh! la la! et
les
rails étaient couverts de glace. J’ai traversé, pour faire ma tournée
d’inspection des lignes de trente-trois mille volts; la route 66 allait
dans
l’autre sens, comme parallèle à la voie ferrée. Et, en longeant la voie
ferrée,
soudainement... pendant que je marchais, je chantais. Je chantais
toujours. Il
y avait plusieurs endroits où j’allais prier. Chemin faisant je
chantais, et
tout à coup, je me suis surpris à parler en langues, vous voyez, sans
me rendre
compte de ce que je faisais.
106 Le parler en langues
se fait en combustion
si vive que la personne ne sait pour ainsi dire pas ce qu’elle fait,
ou, elle
ne sait pas ce qu’elle dit. Et l’interprétation, c’est pareil. Ils ne
savent
pas ce qu’ils vont dire. Ils ne se doutent pas le moins du monde qu’ils
vont
dire ça, parce que c’est surnaturel. Vous voyez, tant que vous faites
intervenir le domaine naturel, alors vous ne, vous–vous–vous restez
dans le
domaine naturel, vous voyez. Mais si quelque chose vous saisit et
s’empare de
vous, et que vous agissez sous l’effet de cela. Voyez?
107 [Frère Neville dit :
“Frère Branham,
est-ce que je peux dire quelque chose ici?”–N.D.É.] Bien sûr que tu
peux, Frère
Neville. [“Maintenant, la manière dont tu l’exprimes, là, tu ne veux
pas dire,
par contre, que–que les langues seraient en ordre, pendant le service,
si un
homme n’arrivait pas à les maîtriser? Parce qu’il, un homme qui a un
don doit
pouvoir le maîtriser.”] Il peut se maîtriser. Oui, tout comme... [“Il
doit en
avoir suffisamment conscience pour savoir qu’il est sur le point de
parler en
langues.”] Oui, c’est exact. [“Sinon c’est, dès le départ, du désordre
de sa
part.”] C’est exact, il sent venir cela. Voyez? Bon, comme le dit la
Bible :
“Si–si quelqu’un parle en langues, et qu’il n’y a pas d’interprète,
alors qu’il
se taise.” Donc, bien sûr.
108 Disons, par exemple,
que je me trouve ici,
n’importe qui – quand vous êtes sur le point de crier, même chose.
Avez-vous
déjà senti la puissance de Dieu vous envahir, au moment où vous vous
mettez à
crier? Combien ont déjà fait ça? Eh bien, tous, nous l’avons fait.
Voyez? Vous
êtes assis là, simplement, vous la sentez vous envahir. Bon, à
certaines
occasions, on peut réprimer ça, vous voyez. On peut retenir ça, vous
voyez : ce
n’est pas convenable.
109 Supposons que vous
êtes en train de parler
au–au président des États-Unis, ou que vous êtes là, en train de parler
au
maire de la ville, que vous parlez de quelque chose, là, en pleine rue,
vous
parlez à un groupe de gens, et tout à coup, vous avez envie de
sautiller, de
pousser des cris, de crier à tue-tête “Gloire! Alléluia!”, de donner
des coups
de pied partout, et de courir dans la rue, comme ça, dans tous les
sens. Les
gens diraient que vous êtes fou. Voyez? Ils diraient : “Cet homme est
fou.”
Voyez?
110 Eh bien, voyez, alors
vous vous gardez
bien de faire ça. Vous vous abstenez, bien que ça vous démange, que
vous ayez
toutes les peines du monde à retenir ça. Vous dites : “Oui, monsieur.
Oui,
monsieur. Ah oui. Ah oui. Oui. Oui, monsieur. Ah oui.” Oh, mon gars, ça
vous
démange terriblement, mais vous savez tout de suite qu’il faut vous
taire.
Voyez?
111 Par exemple, dans un
palais de justice, il
n’y a pas longtemps, ils avaient fait comparaître des pentecôtistes
pour–pour
avoir fait quelque chose, crié trop fort ou quelque chose comme ça, ce
qui
était-ce qui était tout à fait légitime de leur part, vous voyez,
c’était vrai.
Mais chaque fois que le juge se mettait à parler, se mettait à leur
dire
quelque chose, eux, ils parlaient en langues. Voyez? Le juge a dit :
“Faites
sortir d’ici cette bande de fous.” Voyez?
112 Par contre, s’il y
avait eu une
interprétation de ces langues-là, et qu’on avait dit au juge : “AINSI
DIT LE
SEIGNEUR,” telle et telle chose, qui était vraie, “AINSI DIT LE
SEIGNEUR!
Monsieur le juge, pourquoi est-ce que vous êtes là à me juger, alors
qu’hier
soir vous avez eu une relation avec une prostituée? Elle s’appelait
Sally
Jones, elle habitait au 44, de tel et tel endroit, comme ça. Pourquoi
est-ce
que vous me jugez? C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR! Maintenant niez ça et
vous
tomberez raide mort.” Alors, oh, frère! Là, c’est tout autre chose.
113 Mais quand vous ne
faites que vous tenir
là et parler, alors il a dit : “Vous êtes un barbare pour eux.” Vous
voyez? Or,
vous savez quand il faut se taire et quand il ne faut pas. Voyez? Or,
ça, vous
voyez, je... Vous me comprenez bien maintenant, vous savez ce que je
veux dire.
Voyez? C’est ça. Certainement.
114 On a cette question-là
quelque part plus
loin. C’est pour ça que je la retenais comme ceci, c’est qu’on a la
même chose
: “Doivent-ils se taire?” Vous voyez? C’est pour ça que j’avais limité
ma
réponse à ce que vous disiez. Mais c’est le moment d’y répondre,
maintenant,
vous voyez, maintenant même. Et nous y répondrons aussi quand nous
arriverons à
cette question, plus loin, j’y ferai de nouveau référence. Est-ce que
tout le
monde comprend bien cette question?
[Frère Fred
demande : “Frère Branham?”–N.D.É.] Oui, Frère
Fred. [“Est-ce que–est-ce que quelqu’un
parle par–par l’Esprit, celui-ci lui donnant de s’exprimer (disons
qu’il est
Anglais et qu’il parlait anglais), alors est-ce l’Esprit qui lui
donnerait de
s’exprimer?”]
115 Certainement. Oui
monsieur. Vous voyez,
parce que le Saint-Esprit parle toutes les langues. Voyez? Le Jour de
la
Pentecôte, toutes les langues qui existaient sous le ciel étaient
réunies, vous
voyez. Parler en anglais... Or, je reconnais toujours ceci, Frère
Freddie,
moi-même, je, si jamais je fais une prédication et qu’il y a l’onction
sur
elle, c’est l’Esprit qui me donne de m’exprimer, tu vois. C’est...
Voyez? Donc,
ce serait là une langue inconnue pour un homme qui ne comprend pas
l’anglais.
Mais pourtant...
116 De même, la langue
inconnue n’est pas une
langue “inconnue”, elle est, il y a là quelqu’un... Par exemple, le
Jour de la
Pentecôte, ils ont dit, tous ces pécheurs, ils ont dit : “Comment les
entendons-nous dans notre propre langue à chacun? Comment
entendons-nous ces
Galiléens parler dans notre propre langue?” Il n’y avait là absolument
rien
d’“inconnu”. Le Jour de la Pentecôte, il n’y a pas eu de langues
“inconnues”,
pas du tout. Ça, vous voyez, ce n’est pas biblique du tout. Voyez? Ce
n’était pas
inconnu, ce n’était pas une langue inconnue, c’était un langage.
“Comment les
entendons-nous dans notre propre langue à chacun, dans notre langue
maternelle?” Rien d’inconnu là-dedans, rien du tout. Voyez? Là, y
a-t-il une
question là-dessus maintenant, tout de suite, avant que nous passions à
autre
chose? “Comment les entendons-nous dans notre propre langue à chacun?”
Voyez?
117 [Un frère dit :
“C’est–c’est là qu’on a
une petite erreur, à cause de la faiblesse humaine, quand les gens
refusent–refusent d’accepter quoi que ce soit, se bornant à dire : ‘Je
ne le
croirai pas autrement que conformément à Actes 2.4!’”–N.D.É.] Eh bien,
s’ils
l’avaient reçu conformément à Actes 2.4, ils ne parleraient
certainement pas
dans une langue inconnue. [“Non, un langage.”] Oui. Forcément qu’ils
parleraient dans la–la langue intelligible pour les gens, vous voyez,
puisque
“chacun entendait dans sa propre langue”.
118 Or, si je recevais à
l’instant même le
Saint-Esprit conformément à... Je dis... Je crois qu’il y a ici un
frère qui
recherche le Saint-Esprit, il s’agit de–de–de Frère Wood. N’est-ce pas,
Frère
Wood? Je ne veux pas te dénoncer, mais tous, nous sommes entre frères
ici, et
nous voulons juste exprimer ceci. Il recherche le baptême du
Saint-Esprit.
Donc, si Frère Banks recevait le Saint-Esprit, là, la manière correcte,
s’il Le
recevait conformément à la Bible, là il se lèverait, il parlerait, il
parlerait
en anglais, en disant : “Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est
ressuscité”, il
parlerait avec l’ardeur impétueuse de la prophétie, pour l’exprimer.
“Je sais
qu’Il est ressuscité, parce qu’à l’instant Il est entré dans mon cœur.
Il est
le Fils de Dieu! Mes péchés ont disparu, il m’est arrivé quelque
chose.” Voyez?
Voilà. Voilà ce qu’est parler dans...
“Comment les entendons-nous dans
notre propre langue à chacun?”
119 Supposons, par
exemple, que nous de
l’Indiana, nous parlions une autre langue que celle des gens du
Kentucky, et
que Frère Banks était du Kentucky? Eux, donc, ils parlent une autre
langue, et
ici nous sommes au courant qu’il ne sait pas parler la langue de
l’Indiana. Et
le voilà qui se lève, en parlant la–la langue de l’Indiana, alors que
nous
savons qu’il ne la connaît pas. Voyez? Nous l’entendons dans la langue
de
l’Indiana, alors que lui, il pense qu’il est en train de parler la
langue du
Kentucky. Il témoigne, tout simplement : “Gloire à Dieu! Jésus est
ressuscité
des morts. Alléluia!”, mais nous, nous l’entendons dans la langue de
l’Indiana.
120 C’est ce qui est
arrivé le Jour de la
Pentecôte. Voyez? “Comment les entendons-nous chacun,” vous voyez,
“voici, ces
gens qui parlent ne sont-ils pas tous Galiléens”, vous voyez, des gens
du
Kentucky? “Comment nous, qui sommes de l’Indiana, de l’Ohio, de
l’Illinois, du
Maine, du Massachusetts, de la Californie, les entendons-nous dans
notre
langue, dans notre langue maternelle?” Vous saisissez? Vous voyez,
c’est
l’inspiration. Vous voyez, c’est l’inspiration qui les fait entendre,
c’est
l’inspiration qui est sur eux.
121 Vous voyez, le
message... voici de quoi il
s’agit : c’est un témoignage de la résurrection de Jésus-Christ. Vous
voyez,
c’est vrai. Maintenant, si Dieu ne vit pas cette Vie-là en vous, alors
peu
importe combien vous En rendez témoignage, vous ne L’avez toujours pas
reçue.
Voyez? C’est vrai. Combien vous...
122 Y a-t-il une autre
question, là? [Frère
Roy Roberson dit : “Eh bien, Frère Branham, je crois que nous avons vu
cela se
produire dans une ligne de prière : cette jeune fille de langue
espagnole.”–N.D.É.] Oui. Très juste, Frère Roy. C’était à–à, justement
là où je
m’en vais, à Beaumont–Beaumont. Était-ce Beaumont? Oui, monsieur.
123 Là, on avait arrêté la
ligne de prière.
Une jeune fille de langue espagnole est montée sur l’estrade. Eh bien,
en fait,
j’allais partir, n’est-ce pas? Howard m’emmenait, et–et cette...
Je–je–j’ai
entendu quelqu’un qui pleurait, c’était une jeune fille de langue
espagnole qui
était là, oh, elle avait environ quinze ou seize ans, vraiment, juste
une
gamine. Et–et j’ai regardé, la prochaine carte de prière, c’était elle
– si
j’avais continué. J’en avais fait venir un bon nombre, la prochaine
carte de
prière, c’était elle. J’ai dit : “Faites-la venir.” Alors, ils l’ont
fait
monter. Je devais me rendre à une autre réunion, et, j’ai dit :
“Faites-la
monter.”
124 Alors, j’ai constaté,
je lui ai dit
quelque chose comme ceci : “Maintenant, est-ce que tu vas croire? Si
Jésus
m’aide à te dire ce qui ne va pas chez toi, est-ce que tu vas croire
que–qu’Il
te guérira?” Et elle gardait la tête baissée. Je me suis dit qu’elle
était sans
doute sourde et muette. Voyez?
125 Alors, quand j’ai
regardé de nouveau, j’ai
dit : “Non, c’est qu’elle ne parle pas l’anglais.” Alors ils ont fait
venir un
interprète, et j’ai dit : “Est-ce que tu vas croire?” Et elle a répondu
par un
signe en direction de... Là elle comprenait, avec l’aide de
l’interprète, bien
sûr. Voyez?
126 Eh bien, alors j’ai
dit... J’ai regardé et
j’ai eu une vision. J’ai dit : “Je te vois assise près d’une cheminée à
l’ancienne, et il y a une grande marmite qui est suspendue là, remplie
d’épis
de maïs jaune. Tu as tr-...” Tu te souviens de ça, Frère Roy? J’ai dit
: “Tu as
trop mangé de ce maïs. Et à ce moment-là, tu as été prise d’un violent
malaise,
ta mère t’a étendue sur le lit, et c’est là que tu as commencé à avoir
des crises
d’épilepsie.” Et j’ai dit : “C’est depuis ce jour que tu souffres de
cela.”
127 Et la voilà qui se
tourne vers
l’interprète et lui dit dans sa propre langue : “Je croyais qu’il ne
parlait
pas l’anglais... ou, ne parlait pas l’espagnol!”
128 Il s’est tourné vers
moi en disant : “Vous
n’avez pas parlé en espagnol, n’est-ce pas?”
129 J’ai dit : “Non.”
Alors, nous avons
vérifié ce qu’avait capté le magnétophone, arrêté les magnétophones, et
c’était
bel et bien de l’anglais.
130 Mais alors,
l’interprète a dit : “Alors,
dis-moi ce qu’il a dit.” Vous voyez, il fallait qu’il donne
l’interprétation.
Il a dit : “Dis-moi ce qu’il a dit.” Et elle le lui a répété mot pour
mot, et
il a retransmis ça.
131 Elle, donc, m’a
entendu dans sa propre
langue, dans sa langue maternelle, et moi je parlais en anglais. Elle a
entendu
ça en espagnol. “Comment les entendons-nous dans notre propre langue à
chacun,
dans notre langue maternelle?” Et l’enfant a été guérie. Vous voyez,
c’est ça;
ce sont les merveilles de Dieu.
[Un frère
demande : “Dans ce cas, le vase qui contient le
Saint-Esprit ne... sera tout simplement un vase, et Celui qui le
remplit pourra
le remplir de ce qu’Il...?”–N.D.É.]
132 De ce qu’Il veut,
c’est exact. Tout à fait
exact. Et là regardez de quoi il est rempli, alors vous saurez si c’est
le
Saint-Esprit ou pas que vous avez reçu, alors. Voyez? Il suffit de
regarder de
quoi il est rempli. Si le–si le vase est rempli d’impuretés, alors ce
n’est pas
le vase de Dieu. Mais s’il est rempli de pureté, alors c’est le vase de
Dieu.
Vous voyez ce que je veux dire? [Le frère dit : “Et ce vase, à
certaines
occasions, ce vase sera utilisé sans le savoir au moment même, qu’il a
été
utilisé?”–N.D.É.] Oh, bien sûr. [Le frère donne un témoignage.] Oui.
Oui. C’est
tout à fait exact, bien sûr. Oh, nous tous, nous constatons ça. J’ai
constaté
ça bien des fois. Oui, monsieur. Oui, monsieur. Nous tous, nous
connaissons,
nous avons eu connaissance de ces choses.
Je crois que
celle-là, c’était le
numéro quatre : Est-ce que toutes–est-ce
que toutes les personnes remplies du Saint-Esprit parlent tôt ou tard
en
langues? J’ai vu un passage où Paul a dit : “Je parle en langues plus
que–qu’eux tous.”
Bon, ce que moi, je pense – pour
terminer la question de ce frère :
Paul, qui
parlait en langues plus que tous.
133 Paul était un homme
intelligent, il
connaissait lui-même bien des langues. Vous voyez, il savait parler en,
il,
vous vous souvenez, quand il devait passer en jugement, il savait
parler telle
langue ou telle autre langue, ou quoi encore. Et ça, pour les gens, ce
sont des
langues inconnues, mais ce n’était pas des langues inspirées. C’était
des
langues de conversation, vous voyez. Mais, et...
134 Mais, oui, je crois
qu’une personne
remplie du Saint-Esprit qui vit sous l’autel de Dieu aura sans doute,
tôt ou
tard, l’expérience du parler en langues, parce que cette chose-là est
parmi les
moins élevées, parmi les moindres, d’après la description de Paul. Si
on les
classait par ordre d’importance, celui-là est le dernier des dons, vous
voyez :
le parler en langues.
135 Mais, bon, d’abord, on
est baptisé...
Disons que vous tous, vous êtes des dons. Moi, je suis à l’extérieur.
Maintenant : “Par une seule Porte, un seul Esprit”, on entre dans cette
pièce.
Pas vrai? Or, je ne peux pas entrer par ici, je ne peux pas entrer par
là, ni
par là-bas. Voyez? Comment est-ce que j’entre ici? Par Frère Roberson?
Non,
monsieur. Par, eh bien, disons, Frère Léo? Disons que lui, c’est un don
de
parler en langues, vous voyez, est-ce que j’entre par Léo? Non,
monsieur.
Non–non. Eh bien, comment est-ce que j’entre? “Par une seule Porte, par
un seul
Esprit.” L’Esprit, ce n’est pas juste les langues. Non. Voyez? Vous
voyez :
“Par un seul Esprit je suis baptisé pour entrer dans ce Corps.”
136 Bon, ceci, c’est
l’Esprit, vous, vous êtes
des dons. Vous dites : “Eh bien, Dieu soit béni!” Je m’approche et,
disons, il
y a là–il y a là Frère Wood, lui, c’est les miracles. Voyez? “Oh, un
miracle
s’est accompli grâce à moi. Je sais que j’ai le Saint-Esprit, parce que
j’ai
accompli un miracle.” Ce n’est pas par un seul “miracle” que nous
sommes tous
baptisés pour entrer dans le Corps.
137 Ensuite je vais
trouver Frère Junie, lui,
c’est la connaissance. “Eh bien, eh bien, j’ai la connaissance de la
Bible! Oh,
mon gars, je t’assure, je sais que j’ai le Saint-Esprit, parce que j’ai
ça.”
Non, ce n’est toujours pas le moyen d’entrer.
138 Très bien. Pas par
Frère Léo, pas par
Frère Wood, pas–pas par Frère Junie. Voyez? Non. Mais par un seul quoi?
[L’assemblée dit : “Esprit!”–N.D.É.] Très bien. Je suis baptisé pour
entrer
dans ce Corps, maintenant me voici à l’intérieur, maintenant où mon
Père
va-t-Il m’utiliser? Voyez? Il s’est trouvé que Léo était assis près de
la
porte; sans doute que ce serait une des premières choses qui se
produiraient.
Mais peut-être que non. Peut-être que je suis beaucoup plus riche en
l’Esprit,
si bien que je pourrais aller directement trouver Frère Wood, tout
là-bas, sans
passer par tous les autres. On ne peut pas me dire que je n’ai pas le
Saint-Esprit, là, car je suis dans le Corps par un baptême. Mais Dieu
ne m’a
pas fait entrer là pour que je dise : “Eh bien, Dieu soit béni, je
pense que je
vais m’asseoir maintenant, me la couler douce : je m’en vais au Ciel.”
Hum!
Vous voyez ce que je veux dire?
139 Mais à partir de ceci,
je pourrais aller
tout là-bas. Vous voyez ce que je veux dire? Je pourrais passer d’une
extrémité
à l’autre, ou je pourrais peut-être aller au milieu, ou n’importe où.
Mais il
arrivera quelque chose, forcément qu’il se produira quelque chose.
Qu’est-ce
donc? Par le baptême du Saint-Esprit, c’est ce qui m’indique que je
suis dans
le Corps : “Par un seul Esprit.” Vous avez saisi, frère, ici? D’accord!
C’est
réglé? Très bien.
112. .Dans
quel ordre est-ce que les langues et les prophéties doivent être
utilisées
pendant le service...
(Elles ne doivent pas être utilisées du tout pendant le service!
Voyez?) ...pour glorifier Dieu... (Du tout!) ...et pour édifier l’église? Je sais que le
peuple dit que l’esprit du prophète... Je sais que le–je–je sais que
le...
(p-... Je pense que ce... Non, pardon, c’était “la Bible”, B-i-b-l-e.
Pour
commencer je lisais p-e-p-l-e, ou quelque chose comme ça. Non.) ...La–la Bible dit : “L’esprit des
prophètes est soumis au prophète.” (Exactement.)
140 Le parler en langues
spirituel et la
prophétie ont pour but d’édifier l’église, mais il y a un service
réservé à
cela. Voyez? Ces choses ne doivent déranger à aucun moment pendant que
le
prophète de l’église est... la réunion se déroule avec ordre. Voyez?
Elles ne
doivent jamais interrompre la réunion.
141 Alors, vous voyez,
“les esprits des
prophètes”. Nous–nous avons une autre question, là, alors on va laisser
ça de
côté pendant un instant. Vous voyez, la manière vraiment correcte de
ces,
d’exploiter ces dons... Ceci donne la réponse pour bien des dons, vous
voyez.
Quand nous arriverons à ceux-là, nous pourrons dire que nous avons
donné la
réponse dans cette première question de la personne qui a demandé ceci.
Voyez?
Celle-là, c’est le numéro cinq :
Est-ce que
les langues et les prophéties doivent être utilisées pendant les
services, pour
glorifier Dieu?
142 Vous voyez, bon, le
ministre, si le
ministre est oint de Dieu, et qu’il y a un ordre établi dans l’église,
alors,
la manière correcte... Beaucoup d’entre vous le savent, je–je vous en
ai parlé,
“qu’il faut qu’il y ait un ordre établi pour ça”. Ces dons sont
censés...
Maintenant, voici ce que nous ferons dans le Tabernacle, si le Seigneur
le
veut. Maintenant j’observe, je vois quelque chose, je laisse Frère
Neville et
ces autres frères, là, avec un ordre établi. Or vous êtes... Et bon
nombre de
ces frères, là, ce sont de jeunes frères.
143 Or moi, par rapport
à–à vous tous, je–je
suis un vieux vétéran dans cette Voie. J’Y suis depuis trente et un
ans. J’ai
posé cette pierre, là, il y a environ trente ans. J’ai dû affronter à
peu près
tout ce qu’on peut affronter, et il faut vraiment savoir ce qu’on dit,
d’ailleurs, quand on fait face à ces choses. Il faut, non seulement
savoir ce
qu’on dit, mais, lorsqu’on a–lorsqu’on a fini, il faut que Dieu soit là
pour
confirmer ce qu’on a dit.
144 Alors, la façon de–de
procéder qui permet
les meilleurs résultats, là : vous pourriez avoir une réunion spéciale.
Je
crois que c’est ce qu’ils faisaient, dans I Corinthiens 14, là : “Si un
autre
qui est assis a une révélation, que le premier se taise.” Je crois que
c’était
“une réunion spéciale, réservée aux dons”, ce qui serait tout à fait en
ordre.
S’ils désiraient avoir une réunion spéciale, où tous les gens qui ont
des dons
se réunissent, une fois par semaine, ceux qui possèdent des dons, ils
se
retrouvent à l’église, ce serait très bien. Qu’ils aient cette réunion,
où il
n’y a, n’y aurait aucune prédication, elle serait réservée aux dons de
l’Esprit.
145 Elle ne s’adresse pas
à ceux du dehors ni
aux incroyants. Eux, ils entreraient, s’assiéraient et diraient...
Quelqu’un se
lèverait, ferait “ââh-ââh”, parlant en langues; l’autre dirait
“whââ-ââh”.
“Mais qu’est-ce que c’est que ça?” Ils entreraient et diraient : “Où
sont les
chants? Où sont les autres choses?” Voyez?
146 Mais, c’est que ces
gens qui parlent en
langues, bon nombre d’entre eux – et qui interprètent, et tout – sont
des bébés
dans l’Évangile. Voyez? Ne–ne les offensez pas, laissez-les–laissez-les
grandir, jusqu’à ce que ce don... Dans certaines de ces choses, vous
pouvez
voir que Satan essaie de se faufiler dans certaines d’entre elles.
Évidemment,
les vétérans, nous–nous–nous voyons ça, vous voyez, nous pouvons le
détecter.
Et vous allez surveiller ça.
147 Il n’y a pas
longtemps, un certain
ministre, qui est assis ici même en ce moment, est venu me voir et m’a
dit, m’a
fait venir chez lui, un très précieux frère.
148 Je ne dis pas ça parce
qu’il est assis
ici, mais vous êtes tous de précieux frères. Si je ne le pensais pas,
je vous
dirais : “Vous et moi, réglons d’abord entre nous cette affaire-là.”
Voyez?
C’est vrai. Voyez? Je vous aime tous, et si je suis ici, c’est
uniquement avec
un esprit de tolérance, ayant en vue la Bible, vous voyez, en vue
de–d’apporter
mon aide. Voyez?
149 Ce frère m’a fait
venir chez lui, pour...
une certaine femme, et cette femme était dans l’erreur. Et là... Je
n’avais
jamais vu cette femme, mais j’avais entendu ça sur une bande, je
l’avais
entendue donner une interprétation de langues et dire quelque chose. On
pouvait
tout de suite détecter ça.
150 Un jour, à un autre
ministre et à moi, de
cette même personne, nous nous sommes assis sur une souche, à la chasse
aux
écureuils, et nous en avons parlé. Et les deux ministres, qui sont
présents en
ce moment, savent ce qui est arrivé, finalement. Vous voyez, observez.
151 Lorsque vous, les
ministres, vous corrigez
des gens au sujet d’un don, que vous les corrigez, que vous les
corrigez par
l’Écriture, et qu’ils s’offensent, souvenez-vous, ce n’était pas
l’Esprit de
Dieu, parce que l’Esprit de Dieu ne peut pas s’offenser de Sa Parole.
Il se
rallie à Sa Parole. Vous voyez, il fait toujours preuve de bonne
volonté. Un
vrai saint de Dieu veut marcher droit. Oui monsieur.
152 Je veux être corrigé.
Je veux que le
Saint-Esprit me corrige dans ce que je fais qui n’est pas bien. Je ne
veux
aucun substitut. Je–je veux la chose authentique ou rien, ou
laissez-moi comme
ça, que–que je n’aie rien du tout. Voyez? En effet, je préférerais
faire comme
ça plutôt que de jeter l’opprobre sur le Christ.
153 Et je n’enseignerais
rien, et je ne dirais
rien, à moins que l’Écriture...
154 Et si un frère, un
frère chrétien me
voyait enseigner quelque chose de faux – je serais reconnaissant que
vous me
preniez à part après le service, et que vous me disiez : “Frère
Branham,
j’aimerais m’entretenir avec vous dans votre bureau, vous êtes dans
l’erreur à
propos de quelque chose.” Voyez? Je–j’en serais vraiment reconnaissant,
frère,
parce que je veux être dans le vrai. Je le veux.
155 Tous, nous voulons
être dans le vrai,
c’est pourquoi nous tenons–nous tenons à dire ces choses. Et il faut
absolument
qu’elles viennent des Écritures, vous voyez, pour que les Écritures
s’harmonisent.
156 Donc, le parler en
langues devrait... Bon,
un peu plus tard... Pour le moment, là, laissez faire, pendant quelque
temps.
Vous voyez, je vous conseille de laisser faire, de ne pas intervenir.
Vous les
ministres, là, vous les pasteurs, laissez faire, jusqu’à ce que ces
bébés
soient un peu plus âgés. Or, peut-être que tôt ou tard, si c’est
l’ennemi qui
cherche à tromper cette personne, ça se verra. Nous n’en sommes pas
tout à fait
certains.
157 Ensuite, bon, avant de
procéder comme ça,
mettez d’abord là l’esprit de sagesse, de discernement des esprits,
vous voyez,
ce qui permettra de voir ce qu’il en est. À un moment donné vous
commencez à
remarquer qu’il y a quelqu’un qui se met à déceler un petit quelque
chose qui
cloche : c’est ça le discernement. Et là, dorlotez ça pendant quelque
temps.
Voyez? Ensuite, quand vous voyez que le discernement devient faux,
alors
corrigez cela. Et si cette chose-là, si c’est de Dieu, il supportera la
correction apportée par la Parole. Voyez?
158 Mettons, à titre
d’exemple, je vais dire
que nous parlons en langues, que quelqu’un, que nous, que ceci est
un–un groupe
d’hommes qui ont des dons. Léo se lève et parle en langues; après quoi,
un
frère, ici, Willard, donne l’interprétation. Très bien. Maintenant, je
vais
dire que Frère Neville, Frère Junie et Frère Willard Collins sont ceux
qui
exercent le discernement, vous voyez. Maintenant, puisque Léo a
parlé... Bon,
là nous participons simplement à un genre de petite réunion des saints,
une
réunion pour les dons, et Léo a parlé, Willard a donné
l’interprétation, là, il
a dit : “AINSI DIT LE SEIGNEUR! ‘Mercredi soir, une femme viendra ici,
et elle
sera–elle sera violente. Dites à Frère Branham de ne pas la reprendre,
parce
qu’elle est atteinte de folie. Mais dites-lui de l’emmener dans le
coin, parce
que c’est dans un coin qu’un jour elle a fait une chose vraiment
méchante, et
qu’une certaine chose est arrivée.’” Voyez? Ça sonne vraiment bien,
n’est-ce
pas? Voyez? Très bien.
159 Mais avant toute
chose, là, vous savez,
dans l’Écriture ancienne, quoi que le prophète ait dit, ou que qui que
ce soit
ait dit, c’était d’abord vérifié par l’Urim Thummim. Vous voyez,
c’était
présenté devant la Parole. Et si les lumières ne brillaient pas, ils
laissaient
tomber la chose. Voyez?
160 Et donc, avant toute
chose, confrontons
cela avec la Parole. Bon, cet homme-ci a parlé en langues, ça avait
l’air bien.
Celui-là a interprété, ça avait l’air bien. Mais la Parole dit : “Que
cela soit
d’abord jugé par deux ou trois juges.” Présentez cela devant l’Urim
Thummim.
161 Alors, d’abord,
Willard Collins dit :
“Cela venait du Seigneur.” Junie dit : “Cela vient du
Seigneur–Seigneur.” En
voilà deux sur trois. Très bien, c’est noté sur un bout de papier,
c’est
prononcé ici même, dans cette église. Ensuite les gens, qui ont vu cela
être lu
avant que la chose arrive, et qui voient ensuite la chose arriver, ils
disent :
“Frère, ça, c’est Dieu! Vous voyez, ça, c’est Dieu!”
162 Mais si la chose
n’arrive pas, alors
qu’est-ce qui se passe ensuite? Voyez? (Maintenant nous allons en venir
à un
autre point que je pourrais toucher ici : “Est-ce que toute prophétie
est...
toutes les interprétations et les messages sont une prophétie?”) Bon,
un
instant. Maintenant, si la chose n’arrive pas? Dans ce cas, Léo a parlé
par un
faux esprit; lui, il a donné une fausse interprétation; et vous, vous
avez donné
un faux jugement. Alors, débarrassez-vous de cette chose-là. Vous ne
voulez pas
de ça. C’est mal. Laissez tomber ça. C’est le diable. Voyez?
[espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] “Moi, je ne suis pas un
prédicateur, mais je suis un–je suis un interprète. Tu vois, je suis un
interprète, Seigneur, je–je ne suis pas un prédicateur. Je...” Frère
Léo dirait
: “Seigneur, je ne suis pas un prédicateur, mais je–j’ai un don de
langues, et
le diable m’a contrecarré, là. Ô Dieu, débarrasse-moi de cette
chose-là.” Vous,
vous dites : “Seigneur, tu m’as donné l’esprit de discernement, et je
T’ai vu
tant de fois à l’œuvre, comment est-ce arrivé? Père, purifie-moi!
Qu’est-ce qui
s’est passé?” Vous voyez, voilà, là vous avez quelque chose
d’authentique.
163 Voyez, ça, c’est une
réunion habituelle
des saints. Je pense que c’était comme ça dans la Bible, parce que Paul
a dit :
“Si quelqu’un prophétise, et si quelque chose est prophétisé, si
quelque
chose... si quelqu’un qui est assis a une révélation; qu’il se taise,
jusqu’à
ce que celui-ci ait d’abord parlé, ensuite il pourra parler. Et vous
pouvez
tous prophétiser successivement.” Or ça, ça ne peut pas être pendant
une
réunion habituelle, vous le savez, chaque personne n’aurait pas pu le
faire.
164 Maintenant, pour
confirmer que cela vient
de Dieu, vous voyez. Parce que, si ce ne sont que des sottises, cela ne
vient
pas de Dieu. Si la chose ne s’accomplit pas, cela ne vient pas de Dieu.
Voyez?
Il faut que la chose s’accomplisse. Et–et c’est pourquoi, dans nos
églises,
vous voyez, frères – comme ça nous avons une église bien affermie, vous
voyez,
où personne ne peut déclarer qu’on dit ou qu’on fait quoi que ce
soit...
165 Regardez dans quelle
situation cela me
met, lorsque je suis là devant un public. Regardez cela! Et s’il y
avait là une
seule erreur? Voyez? C’est que je Lui fais confiance. Voyez? Je Lui
fais
confiance. Quelqu’un dira : “Avez-vous peur de faire une erreur, Frère
Branham?” Non, non, non–non, je n’ai pas peur de faire une erreur. Je
crois en
Lui. Il est ma Protection. J’ai été établi pour faire ceci, alors je ne
bougerai pas de là.
166 Si Dieu vous a établi
pour faire quelque
chose, alors Il est votre Protection. Vous voyez, Il vous protégera.
S’Il vous
a envoyé, Il confirmera votre parole. Vous êtes alors un ambassadeur.
Toi, tu
es un ambassadeur, muni du don des langues; toi, tu es un ambassadeur,
muni du
don d’interprétation; toi, tu es un ambassadeur, muni du don de
discernement;
vous trois. Vous voyez ce que je veux dire? Alors, qu’est-ce que vous
avez?
Vous avez une église bien affermie. Vous ne craignez pas. Pas plus tard
qu’hier, justement, j’étais...
167 Tenez, je me trouvais
à une réunion,
là-bas, pas loin. Un jeune Anglais, de l’Angleterre, est venu, il
voulait se
suicider. Frère Banks est venu là-bas, il m’a dit “qu’il était là
depuis quatre
ou cinq jours”. J’avais beaucoup de choses à faire, mais il m’a dit :
“Ce
garçon va se suicider.” Là-bas, à l’hôtel Waterview; il me parlait de
l’état de
ce garçon.
168 Je suis allé dans la
pièce, prier pour
lui. Je suis ressorti, et j’ai dit : “Bon, Frère Banks, je n’ai jamais
vu cet
homme et je ne sais rien sur lui, mais je vais te dire quel est son
problème
avant d’arriver là-bas.” Pas vrai, Frère Banks? Et quand nous sommes
arrivés
là-bas, le Saint-Esprit est descendu là et lui a dit quelle était la
cause de
ça, et tout sur lui, où il avait été, et tout sur sa vie. Il en est
presque
tombé à la renverse.
169 “Avez-vous peur de
faire une erreur, Frère
Branham, de dire à un homme quelque chose comme ça?” Et sur l’estrade,
de dire
à un homme qu’il est infidèle à sa femme, qu’il a eu un bébé d’une
autre femme,
alors? Il vous fera jeter en prison. Vous avez intérêt à avoir raison!
Voyez?
Voyez? N’ayez pas peur, si c’est Dieu. Mais, si vous n’avez pas peur...
si–si
vous ne savez pas que c’est Dieu, alors restez tranquilles, jusqu’à ce
que vous
sachiez que c’est Dieu. Pas vrai? Soyez bien sûrs que vous êtes dans le
vrai,
et ensuite allez de l’avant.
170 Ceci est un
enseignement dur, frères, mais
vous êtes mes frères. Vous êtes–vous êtes–vous êtes de jeunes ministres
qui
prendront la relève, et moi, je suis un homme âgé, un de ces jours je
vais
partir. Voyez? Donc, soyez bien sûrs que ces–que ces choses sont vraies.
171 En sortant de la
pièce, de... Je vais
peut-être revenir là-dessus un peu plus tard, là. Un garçon... Eh bien,
je vais
en raconter une partie tout de suite. Hier, Frère Banks et moi, j’étais
très
occupé, je faisais (oh! la la!) aussi vite que possible, et je–je vais
vous
dire ce que je me suis proposé de faire, lors de ces réunions. Léo et
Gene, et
un groupe d’entre nous, nous nous sommes proposé d’aller là-bas, et des
frères,
disons, nous nous sommes proposé d’aller à la chasse au cochon sauvage,
au
sanglier. Ils ont prévu partir pour cinq jours de chasse au pécari en
Arizona,
après la réunion, après que la réunion sera terminée. Nous allons à
Phoenix
pour un jour, et devons attendre cinq jours avant d’en avoir une autre,
quatre
jours, avant qu’il y ait une autre réunion quelque part. Il faut que
nous restions
là, en Arizona. Eh bien, il se trouve que c’est justement la saison de
la
chasse au pécari là-bas.
172 Alors, je voulais
aller tirer, pour
ajuster ma petite carabine, voir si elle était bien réglée. Banks
m’accompagnait. Nous étions au portail, nous étions au portail. Et
voilà un
homme qui entre comme ça, à pied, sans tenir compte de l’écriteau (Vous
voyez,
ça dit : “Prière de ne pas demander à voir Frère Branham.”).
173 Vous voyez, la raison
pour laquelle ils
procèdent comme ça... Ça, ça ne s’applique pas aux gens qui sont
malades. Oh,
et à la maison, – demandez à Banks, il habite à côté, – des gens
viennent jour
et nuit, et tout, avec des enfants malades, et tout. Nous ne refusons
jamais
une personne comme ça. Mais...
174 Ils m’appellent, Léo
et les autres, de la
roulotte là-bas, Jim et les autres : “Il y a quelqu’un ici, avec un
bébé
malade. Il y a un homme ici, qui a un cancer.” Nous laissons tout le
reste de
côté, et nous allons vers lui.
175 Hier soir, on m’a fait
venir dans une
chambre d’hôpital, là c’est quelqu’un qui m’avait appelé, et quand je
suis
arrivé là-bas, l’homme n’a même pas voulu me laisser entrer. Vous
voyez,
c’était quelqu’un d’autre, poussé par son enthousiasme. Mais ça ne fait
rien,
j’y vais quand même. Voyez? Parce que c’est mon devoir d’y aller, vous
voyez,
et d’essayer d’aider quelqu’un.
176 Eh bien, l’écriteau,
ce n’est pas pour ça.
Mais cet homme, juste au moment où nous montions dans la voiture, et
Frère
Banks le sait, j’avais dû, pour une raison ou pour une autre, j’étais
resté à
attendre dans la maison. Quelqu’un s’est présenté chez Frère Banks, ce
qui l’a
retenu. À peine arrivé, c’est moi qui ai été retenu. Puis, dès que nous
avons
pris notre carabine, nous allions monter dans la voiture, et voilà un
homme qui
entre, à pied. Il arrive.
177 J’allais lui dire
qu’il devait composer ce
numéro, là-bas (le BUtler 2-151 9),
qui se trouvait sur l’écriteau. J’ai dit : “Nous sommes pressés.”
Il a dit : “Je pense que vous êtes
pressé, monsieur.”
J’ai dit : “Je m’appelle...”
178 D’abord je me suis
avancé vers lui, il a
dit : “Bonjour.” J’ai vu qu’il ne savait pas qui j’étais.
J’ai dit : “Je m’appelle Branham.”
Il a dit : “Vous êtes Frère
Branham?”
J’ai dit : “Oui.”
179 Et il a dit : “Je–je
suis... Je voulais
vous rencontrer, Frère Branham.” Il a dit : “Je vois que vous êtes sur
le point
de partir.”
J’ai dit : “Oui, monsieur.”
Il a dit : “Je sais que vous êtes
pressé.”
J’ai dit : “Je le suis en ce moment,
monsieur.”
180 Et il a dit : “Eh
bien, je voulais juste
vous parler pendant quelques minutes.”
181 J’allais lui dire ça;
et le Saint-Esprit a
dit : “Emmène-le dans le bureau, tu peux l’aider.” Bon, là, ça change
tout. On
laisse tomber le fusil et tout ça, l’œuvre de Dieu passe avant tout le
reste.
Voyez? Et il a dit...
182 J’ai dit : “Venez,
suivez-moi.” J’ai dit :
“Je reviendrai dans quelques instants, Frère Banks.”
Il a dit : “C’est au sujet de mon
âme, Frère Branham.”
J’ai dit : “Très bien, entrez.”
Je suis passé dans la maison, Méda a
dit : “Tu n’es pas encore parti?”
183 J’ai dit : “Non, non,
non, il y a
quelqu’un, là.” J’ai dit : “Garde les enfants dans l’autre pièce.” Je
l’ai
emmené dans mon petit bureau, je me suis assis. À peine m’étais-je
assis...
184 Cet homme était à
l’église hier soir. Ou,
est-ce qu’il est venu, Banks? Est-ce que tu... Oui, eh bien, il était
censé y
être hier soir. C’est qu’il...
185 D’abord, le
Saint-Esprit a commencé par
lui dire qui il était, ce qu’il avait fait, ce qui était arrivé au long
de sa
vie, tout à ce sujet, vous voyez, d’un bout à l’autre, Il lui a tout
dit. Banks
en est témoin. Il n’avait pas ouvert la bouche, m’avait à peine dit
deux mots;
et voilà, c’est Lui qui est venu lui dire, Il a dit : “Vous avez été un
vagabond, vous habitez, en fait, à Madison. Vous arrivez d’Evansville,
Indiana.
Vous êtes allé là-bas, à cet institut biblique, une secte, ça vous a
complètement déboussolé. Vous êtes arrivé à Louisville il y a quelques
minutes.
Il y avait là un homme, un homme qui vous a dit (avec lequel vous vous
êtes
assis pour manger), qui vous a dit de venir me voir et : ‘Il va vous
sortir du
pétrin.’” J’ai dit : “C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR!”
186 Cet homme était assis
là, battant des
paupières, en me regardant, il a dit : “Oui, monsieur!”
J’ai dit : “Ça vous a ébahi,
n’est-ce pas?”
Il a dit : “Effectivement.”
J’ai dit : “Croyez-vous le
Saint-Esprit?”
Il a dit : “Je veux Le croire,
monsieur.”
187 J’ai ajouté : “Vous
voulez que je vous
dise ce que vous êtes en train de penser?”
188 Il a dit : “Oui,
monsieur.” Et je le lui
ai dit. Il a dit : “Et, frère, c’est la vérité.”
Et j’ai dit : “Pensez à autre
chose.”
Il a dit : “Très bien, c’est fait.”
J’ai dit : “Voici ce que vous êtes
en train de penser.”
Il a dit : “C’est vrai! C’est vrai!”
189 J’ai dit :
“Maintenant, vous n’avez pas
besoin d’une vision, vous avez juste besoin d’être redressé.” Et je lui
ai dit
là quelque chose que vous, vous ne voudriez pas que je répète. Si vous
aviez ce
problème-là, vous ne voudriez pas que je le répète. C’était une vilaine
chose,
horrible, alors vous ne voudriez pas que je le répète, si vous aviez ce
problème-là. Et je ne répète pas ce que le Seigneur me montre au sujet
des
gens. Alors, j’ai juste dit : “Très bien, vous allez le faire?”
Il m’a dit : “Oui.”
J’ai dit : “Reprenez votre route.”
190 Nous ne sommes pas
restés là plus de dix
minutes, n’est-ce pas, Frère Banks? À peu près, de sept à dix minutes.
Nous
sommes ressortis, nous avons repris la route, et en faisant route, lui
et moi,
et Banks, et mon petit garçon Jo, je crois, nous roulions ensemble dans
la
voiture, sur le boulevard Pike. Il s’est tourné vers moi, il a dit :
“Monsieur,
je voudrais vous poser une question.”
J’ai dit :
“D’accord.”
191 Il a dit : “Je suis un
peu dérouté.” Il a
dit : “Comment avez-vous su toutes ces choses-là sur moi?” Voyez? Banks
était
assis là.
192 Et j’ai dit :
“Monsieur, avez-vous déjà
entendu parler de mes visions et de mon ministère?”
193 Il a dit : “Il y
environ une heure je ne
connaissais même pas votre nom. Quelqu’un me l’a dit, vient de me dire
là-bas,
à Louisville, m’a dit de venir ici, et j’ai traversé le pont à pied.”
Pas vrai,
Banks? Il a dit : “Je ne connaissais même pas votre nom, ne savais pas
qui vous
étiez.”
194 J’ai dit : “Dans mon
ministère, c’est un
don de Dieu, qu’Il a envoyé.”
195 Il a dit : “Dans ce
cas, si c’est–c’est
comme ça,” il a dit, “maintenant je suis...” Il a dit : “Pour moi,
tout... tout
va bien pour moi maintenant,” il a dit, “tout est parti.” Voyez? Il a
dit :
“Là, en fait, c’était Dieu qui me parlait, à travers vous.”
J’ai dit : “C’est exact.”
196 Il a dit : “Bon,
d’après ce que j’ai
compris, dans la Bible... À un moment donné, j’ai lu dans la Bible, et
là,
a-t-il dit, Jésus parlait à Ses disciples”, en fait, il voulait dire
“aux
gens”, vous voyez. Il a dit : “Il parlait à Ses disciples et Il leur
disait les
choses qu’ils étaient en train de penser.” Vous voyez : “connaissant
leurs
pensées”, voilà ce à quoi il se reportait. Il a dit : “Et Il disait que
c’était
Son Père qui parlait à travers Lui.”
J’ai dit : “C’est exact.”
197 Il a dit : “À présent,
à présent, donc le
Père vient de vous utiliser, afin de me parler, à travers vous, afin de
me dire
ces choses, pour m’amener à croire que ce que vous m’avez dit est la
vérité.”
J’ai dit : “Est-ce que c’était la
vérité?”
Il a dit : “Oui.” J’ai dit : “Alors,
ça ne peut être que Dieu.”
198 Et j’ai dit : “Frère,
maintenant vous en
savez plus” (moi et Banks avons fait cette remarque) “que certaines
personnes
qui assistent aux réunions depuis dix ans, et qui ne savent toujours
pas.”
Cet–cet homme-là, tout simplement! Alors, voilà ce que c’est. Voyez?
L’Esprit
(avec ordre) par les langues, ce qui est la prophétie, doivent être
utilisées
pendant le service?
199 Non. Elles doivent
être utilisées de cette
manière-là, et ensuite énoncées pendant le service. Mais, pour le
moment, pour
le moment présent, laissez-les parler. Bon, si ça se met à déraper,
alors ce
n’est pas, il faut surveiller ça. Or parfois, ça pourrait quand même
être Dieu.
Ces petits-là, c’est comme un petit enfant qui essaie de marcher, là,
s’il
tombe trois ou quatre fois... Bon, de ça, j’en ai vu depuis que je suis
ici, à
l’église, et–et, eh bien, je–je laisse aller. Voyez? Et, mais, vous
voyez, mais
alors, direz-vous : “Frère Branham, pourquoi n’avez-vous pas corrigé
ceci?”
Non, non.
200 Quand Billy Paul,
là-bas, a fait ses
premiers pas, il était debout, et par terre, par terre plus souvent que
debout.
Mais il ne savait pas marcher. Je crois pourtant qu’il avait un don de
marche.
Voyez? Je l’ai laissé marcher pendant un moment. Mais là, quand il
trébuche,
avec ses grands pieds, maintenant je lui en parle. Vous voyez ce que je
veux
dire? Voyez? Il marche en regardant autre chose, et il bute contre
quelque
chose, je lui dis : “Soulève les pieds, mon garçon. Où est-ce que tu
vas?”
Voyez? Alors, voilà–voilà la différence, vous voyez.
201 Donc,
laissez-les–laissez-les trébucher et
laissez-les se coincer ici et là pendant quelque temps. Maintenant,
lorsque
vous devez les corriger, s’ils sont hostiles à cela, alors là vous
reconnaissez
vous-même que ce n’était pas Dieu. Parce que l’Esprit de Dieu est
soumis, comme
vous l’avez un peu mentionné ici : “L’esprit de prophétie est soumis au
prophète.” Voyez? C’est vrai.
[Frère
Stricker dit : “Frère Branham, j’aimerais que quelque
chose soit corrigé.”–N.D.É.] Très bien, frère. [“Il
m’est arrivé souvent d’assister à des services, où j’entendais
parler en langues et interpréter, et dans la plupart des cas
j’éprouvais un vif
sentiment de malaise vis-à-vis de cela. Alors je rentrais chez moi, et
c’est
comme si je me repentais tout le long du chemin. Est-ce parce que je
sentais
que ce n’était pas de Dieu, ou est-ce parce que c’était du désordre?”]
202 C’était peut-être,
frère, c’était
peut-être l’un ou l’autre. Voyez? Je dirais... Bon, ici, c’est–c’est
William
Branham, vous voyez; tant que je n’aborde pas l’Écriture, eh bien,
c’est
toujours moi, vous voyez. Bon, voici ce que je dirais, Frère Stricker :
c’est
peut-être l’un ou l’autre. C’est peut-être parce que c’était du
désordre; c’est
peut-être parce qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas chez toi;
c’est
peut-être parce qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas chez cette
personne; quelque chose qui clochait dans le message; ou tout ce qui
pourrait
t’amener à éprouver un sentiment de malaise.
203 Maintenant,
maintenant, permets-moi de
t’aider un peu, Frère Stricker, ici. Tu vois? Toujours, il ne faut
jamais juger
de quoi que ce soit par les sentiments que cela inspire, tu vois. Il
faut juger
de la chose par ses attributs, tu vois; par le fruit qui est produit
par cela,
tu vois. En effet, parfois...
204 Évidemment, nous
comprenons bien que
certaines choses nous font effectivement éprouver une espèce de
sentiment
lugubre. Il m’arrive moi-même d’avoir ça, et, ah, mes amis, là je
m’éloigne
tout–tout doucement, vous savez. Mais je ne dis rien. Je laisse, parce
que je
ne sais pas ce que ça peut être, vous voyez – jusqu’à ce que je sache
ce que
c’est.
205 Bon, par exemple, bien
des gens disent :
“Fiou! Frère, je sais que j’ai reçu le Saint-Esprit! Alléluia! Dieu
soit loué!”
Mais ils n’ont toujours pas le Saint-Esprit. Ils pourraient parler en
langues,
et tout le reste, et pousser des cris, et danser par l’Esprit, sans
pour autant
avoir le Saint-Esprit. En effet, la pluie tombe sur les justes, et sur
les
injustes. Ce n’est pas par les sentiments, c’est par leur fruit.
206 Tenez, il y a... Vous
vous souvenez de la
vision que j’ai eue de cela? Que... Hébreux 6, vous voyez : “La pluie
qui tombe
souvent sur la terre sert à l’abreuver, pour ce qui y est cultivé, mais
les épines
et les chardons qui sont près d’être rejetés, on finit par y mettre le
feu.”
207 Excusez-moi, je vais
faire entrer un peu
d’air ici, je sais qu’il y a le sommeil qui commence à vous gagner, et
la
fatigue qui commence à vous gagner. Alors, mais attendez, il va falloir
que je
me dépêche de voir ces choses, que je fasse un peu plus vite, sinon je
n’arriverai pas à les traiter. Il y a ici, nous touchons, pour ainsi
dire, à la
base de–de tout ça, rien que dans cette poignée de questions, ici. Mais
elles...
Vous voyez, le...
208 Voici un–un champ
couvert de blé. Et dans
ce champ, on a semé des stramoines, des graterons, ou quoi encore, des
mauvaises herbes. Eh bien, là il y a une sécheresse. Maintenant,
n’est-ce pas
que la stramoine et le grateron ont soif tout autant que le blé? Et
quelle
sorte de pluie, là, une pluie particulière tombe sur le blé, et ensuite
une
pluie particulière tombe sur le grateron? Pas vrai? Non, c’est la même
pluie
qui tombe sur eux. Pas vrai? L’Esprit qui descend sur l’hypocrite,
c’est ce
même Esprit qui descend sur le Chrétien, même chose. Mais c’est à leur
“fruit”!
Est-ce que ça pénètre en profondeur, frères?
209 La preuve qu’on a le
Saint-Esprit, c’est
le fruit de Celui-ci, le fruit de l’Esprit. Eh bien, là, bon, eh bien,
vous
dites : “Je suis une tige, je suis un grateron. Je suis une tige,
autant que ce
blé est une tige.” Mais quelle sorte de vie est en vous? La vie qui est
à
l’intérieur produit des épines : toujours en train de faire des
histoires et de
critiquer vivement, et de “grogner”, méchant et malveillant, et tout.
Vous
voyez ce que je veux dire? Arrogant; vous voyez, le fruit de l’Esprit,
ce n’est
pas ça. Le fruit de l’Esprit, c’est la douceur, la patience, la bonté,
vous
voyez, tout ça. Voyez?
210 Il aura beau dire :
“Eh bien, je peux
crier aussi fort que toi. Dieu soit béni, le Saint-Esprit descend sur
moi!”
C’est peut-être tout ce qu’il y a de plus vrai, mais la vie qu’il mène
ne
confirme pas ses propos. Voyez? Il est une mauvaise herbe, il était une
mauvaise herbe dès le départ.
211 Maintenant, nous en
venons à une grande
question, là, vous voyez, sur l’élection, vous voyez. Donc, c’est que,
il faut
qu’on soit cela. Vous le comprenez.
212 Eux, c’étaient des
graterons dès le
départ; lui, il était du blé dès le départ. Alors, il y a eu la
sécheresse; la
pluie est tombée sur les justes et sur les injustes. D’accord, vous
avez saisi?
[Un frère
demande : “Et, pour un prédicateur, les fruits,
est-ce que ce serait... est-ce que c’est de prêcher la Parole?”–N.D.É.]
213 Le prédicateur, encore
là, même s’il se
tenait là et prêchait la Parole comme un Archange, vous voyez, qu’il
comprenait
les mystères de la Bible, et était, de fait, un très bon pasteur, qu’il
allait
rendre visite aux gens et tout ça, il pourrait quand même être perdu.
Voyez?
C’est le fruit qu’il porte qui est l’indication, chaque fois, frère.
Voyez? Il,
peu importe combien il est bon, ou ce qu’il est, il faut qu’il ait le
Saint-Esprit dans sa vie. Voyez?
214 Or, Jésus n’a-t-Il pas
dit : “Plusieurs
viendront à Moi en ce jour-là, disant : ‘Seigneur, n’ai-je pas
prophétisé
(prêché) par Ton Nom, et n’ai-je pas opéré des miracles par Ton Nom?’”
Il avait
parlé en langues, il avait fait des miracles, présenté
l’interprétation, les
choses mystérieuses de Dieu, et toutes ces choses-là; Il a dit :
“Retirez-vous
de Moi, ouvriers d’iniquité, Je ne vous ai jamais connus.” Vous voyez
ce que je
veux dire?
[Frère
Taylor dit : “Et l’homme qui apporte un–un message qui
est faux? Je veux dire, il–il pense être dans le vrai, mais il prêche
des
faussetés.”–N.D.É.]
215 Eh bien, je crois que
cet homme est
sincère, comme ce frère qui est assis ici, qui a voulu vérifier, voir
ce qu’il
en était de ces choses, comme ça. Si cet homme a été élu de Dieu, et
qu’un jour
la Vérité lui est présentée, il–il reconnaîtra ce qu’il En est. Vous
voyez :
“Mes brebis connaissent Ma Voix.” Vous compre-... Vous voyez ce que je
veux
dire, Frère Taylor? Est-ce de ça que vous parlez? Voyez?
216 Bon, par exemple,
disons que Frère
Crase–Crase–Crase, disons qu’il était prédicateur baptiste, et qu’il
n’avait
jamais rien su sur le baptême du Saint-Esprit, qu’il n’avait jamais non
plus
connu toutes ces autres choses, les dons de l’Esprit, et qu’il était un
bon
prédicateur baptiste loyal. Voyez? Mais, à un moment donné, Ceci lui
est
présenté. Et je crois que chaque enfant de Dieu sera... que chaque âge
lancera
le filet, jusqu’à ce que Dieu l’ait attrapé. Le Royaume ne peut pas
venir avant
que la Volonté de Dieu ait été faite. C’est vrai. Et pas un seul ne
périra,
vous voyez. Donc, vous voyez, c’est comme ça.
217 Le Royaume des Cieux
est semblable à un
homme qui a jeté un filet dans la mer et l’a ramené. À ce moment-là, il
a
attrapé toutes sortes de choses. Il a gardé les poissons; les tortues
et les
tortues d’eau douce sont retournées dans l’eau. Il l’a jeté de nouveau,
en a
attrapé d’autres, peut-être qu’il a attrapé un seul poisson. Mais Il a
continué
à pêcher au filet, jusqu’à ce que tous les poissons aient été retirés.
Maintenant vous voyez ce que je veux dire?
218 Mais ce poisson était
un poisson au
commencement. Il a simplement été mis au service du Maître, c’est tout,
mis
dans un autre étang, où c’était mieux, plus clair. Mais Lui, Il
continue à
pêcher au filet dans cet étang à grenouilles, jusqu’à ce qu’Il en ait
retiré
toutes les perches. Vous voyez ce que je veux dire? Vous saisissez ce
que je
veux dire, Frère Taylor. Vous êtes bien placé pour le savoir, vous en
avez un
là-bas.
Très bien, maintenant :
113. Est-ce
que celui qui... Est-ce qu’il a, en tout temps, la maîtrise de
l’Esprit, à
savoir quand et comment agir?
219 Oui monsieur. Oui
monsieur, le
Saint-Esprit maîtrise. Oui monsieur. Il vous maîtrise, et vous Le
maîtrisez, et
Il ne vous fera jamais faire quelque chose qui est contraire à
l’Écriture. Il
vous fera... “L’Esprit n’agit pas avec inconvenance.” C’est vrai.
D’accord.
220 “De quelqu’un qui vous
aime.” Oui,
c’est–c’est ce qui est là. Bien, maintenant nous allons passer à une
autre,
ici, et voir où nous en sommes.
221 Bon, je trouve que
nous avons fourni là une
base. Maintenant–maintenant, quand je cite ces questions, s’il y a une
question... Y avait-il encore une question là-dessus? Nous comprenons
tous?
Nous comprenons de quelle manière nous Le croyons, là?
222 [Un frère dit : “Moi,
j’ai une
question.”–N.D.É.] Allez-y. Toujours sur ceci? D’accord. [“Oui, sur
cette
question. J’ai hésité un peu, mais...”] N’hésitez pas, ceci,
c’est–c’est...
[“Vous parliez de l’homme qui prêche, et s’il ne prêche pas le Message
que
Christ a apporté, peu importe ce qui se produit dans son ministère.
Lorsqu’il
entre en contact avec la Vérité et qu’il La rejette, alors
qu’arrive-t-il?”] Il
est perdu. Excusez-moi un instant, de... [“Au sujet de la
prédestination, ou
d’avoir été établi d’avance, avant la fondation du monde.”] C’est
exact. C’est
exact. Voyez? [“C’est donc qu’il n’avait pas à être comme ça?”] Il
n’avait pas
à être comme ça, dès le commencement, vous voyez. “Ils sont sortis du
milieu de
nous, parce qu’ils n’étaient pas des nôtres.”
223 Par exemple, comme
ceci : dans Hébreux 6,
c’est la même chose. Voyez? Les gens interprètent tellement mal cette
Écriture,
ils pensent que c’est “impossible”. Il a dit : “Il est impossible que
ceux qui
ont été une fois éclairés, qui ont eu part au Saint-Esprit, et qui sont
tombés.” Vous voyez, ils ne saisissent vraiment pas ce qu’il En est. Il
dit :
“Il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés et qui ont eu
part au
Saint-Esprit, puisqu’ils sont tombés, soient encore renouvelés et
amenés à la
repentance, puisqu’ils crucifient pour leur part le Fils de Dieu et
L’exposent
à l’ignominie; ils ont tenu pour ‘profane’ le Sang de l’alliance, par
lequel Il
a été crucifié, et ont outragé les œuvres de la grâce.”
224 Eh bien, à mon sens,
c’est une révélation.
Bien sûr. Tout comme Actes 2.38, et Actes... et Matthieu 28.19. Il faut
Le
saisir, c’est tout, vous voyez.
225 Maintenant regardez,
voici ce qu’il en
est, même chose. Eh bien, là, il parle aux Hébreux. Voyez? Maintenant
continuez
à lire, dans ce chapitre, jusqu’à l’endroit où il est dit à leur sujet
: “Car
c’est une chose terrible de tomber entre les–tomber entre les mains du
Dieu
vivant.” Maintenant, voici un homme, qui est comme ce croyant
frontalier.
Tenez, voici un... Tenez, c’était la même chose, tenez, je vois
l’exemple
parfait dans ma pensée.
226 Dieu a appelé Israël
hors d’Égypte. Tous
ces gens-là sont sortis, tous sans exception, ils ont été libérés, ils
ont
traversé la mer Rouge, sont entrés dans le désert. Pas vrai? La mer
Rouge. Le
moment où ils se sont préparés, ont écouté le message de Moïse, se sont
mis en
marche (la justification) : ils ont changé de direction, ont pris le
départ
ici.
227 Ils sont arrivés à la
mer Rouge (le Sang),
ils ont traversé la mer Rouge, et, derrière eux, tous les chefs de
corvées
gisaient morts. À ce moment-là ils n’étaient qu’à environ trois jours
du pays
promis. Voyez? Ils n’en étaient pas plus loin que ça, à moins de
quarante
milles [soixante-cinq kilomètres], vous voyez. Alors, les voilà, ils
auraient
pu être là-bas au bout de deux jours, tout à fait.
228 C’est ce que j’ai
l’intention de prêcher à
Phoenix, dans quelques jours, à la réunion des Hommes d’Affaires :
Rester sur
cette montagne. Mais Il les a gardés là-bas pendant quarante ans, parce
qu’ils... Ah oui. Voyez?
229 Donc, ils sont arrivés
à ceci, et ils ont
regardé derrière eux (sanctifiés) : “Oh, alléluia! Que Dieu soit loué!
Gloire à
Dieu! Alléluia! Voilà, la chose qui me causait des ennuis dans le passé
est
morte. Les cigarettes que je fumais, c’est du passé. L’alcool que je
buvais
dans le passé s’en est allé dans la mer rouge du Sang de Jésus-Christ.
Oh,
gloire à Dieu! Alléluia!”
230 Tous, ils sont venus
jusqu’ici, maintenant
les voilà devant Canaan, ils ont traversé le Jourdain. Eh bien, il a
choisi un
représentant de chacune des tribus. Pas vrai? Et il les a envoyés
là-bas. Eh
bien, certains d’entre eux ont dit : “Ah, ah, ah, nous ne pouvons pas y
arriver. Non, c’est–c’est que... Voyons, nous sommes comme des
sauterelles à
côté d’eux!” Voyez?
231 “Mais, à quelle sorte
d’église est-ce que
je prêcherais, si j’enseignais ça, le Saint-Esprit et tout ce genre de
chose?
Voyons, ce que j’aurais, c’est des sièges vides. Mes méthodistes
prendraient la
porte, mes baptistes, mes presbytériens.” Laissez-les prendre la porte.
C’étaient des boucs dès le départ. Vous voulez avoir des brebis, vous
voyez.
Voyez? Vous n’êtes pas un pasteur de boucs. Soyez un pasteur de brebis!
À quoi
ça sert d’être un pasteur de boucs, alors que...?... qu’il y a des
brebis qui
ont besoin d’un pasteur? Voyez? Et voilà–voilà, vous êtes là-bas, vous
voyez.
J’ai toujours déclaré que je préférerais prêcher à quatre poteaux, et
prêcher
la Vérité – l’Église. Oui monsieur, venu jusque-là.
232 Mais, vous voyez, là,
ce qu’il a fait? Ils
sont revenus, et Josué et Caleb, deux pour cent, ou est-ce, quel
pourcentage?
Deux sur... deux douzièmes d’entre eux, deux douzièmes. Eh bien, ils
étaient
douze, et là, deux sur douze, deux douzièmes d’entre eux Y ont cru. Ils
sont
entrés tout droit dans le pays promis, ils ont dit : “Ah, mes amis,
voici un
endroit où il fait bon être.” Le brave Josué, avec Caleb, oh, eux ils
mettaient
leur confiance dans la Parole; Dieu le leur avait donné, Il avait dit :
“C’est
à vous.” Ils sont allés là-bas, ils ont coupé une énorme grappe de
raisin, et
les voici qui reviennent en la ramenant, comme ceci. “Venez, les gars!
C’est un
endroit merveilleux! Prenez-en une bouchée”, vous voyez, des raisins à
peu près
gros comme ça.
233 Et, oh, mon vieux, ils
ont vu ça, ils ont
dit : “Ah, nous ne pouvons pas y arriver.” À leur retour, ils ont dit :
“Non,
frère, voilà que Moïse nous a menés ici, dans le désert,” le
Saint-Esprit, vous
voyez, qu’il représentait, “nous a menés ici, dans le désert. Et nous
voici,
notre ministère est fichu, et, nous ne pouvons pas faire une chose
pareille.”
234 “Ils repartent”, vous
voyez, “ceux qui ont
été une fois éclairés, justifiés par la foi, sanctifiés.” Vous voyez,
ils ont
franchi ce deuxième autel, et jettent un coup d’œil dans le pays
promis. “Nous
qui avons été une fois éclairés et qui avons été, qui avons goûté les
dons
Célestes.” Vous voyez : y avons “goûté”. Ils avaient rapporté ça. “Nous
voyons
que C’est juste. Nous voyons vraiment ce qu’il En est.” “Avons goûté
les dons
Célestes, eu part à cette Chose, vous voyez, à ce Saint-Esprit, avons
pris part
à Cela.”
235 “C’est vraiment bien,
dis donc, regarde
cet–cet homme. Eh bien, je sais qu’il était aveugle, maintenant il
voit.
Regarde ce vieux... Dis donc, qu’est-il arrivé à ce gars-là? Qui aurait
pu
croire que ce gamin-là, qui n’a pas d’instruction, et il est là-bas, en
Feu,
parcourant le monde.” Vous voyez? Voyez? Voyez?
236 Et qui sont ensuite
tombés, vous voyez, et
qui, soient encore renouvelés, ramenés de nouveau à la repentance, ils
retournent prêcher la repentance au lieu de cela, ce qu’Il avait dit en
premier
lieu, posant le... que nous... Vous savez, au sujet de poser de nouveau
le
fondement des œuvres mortes desquelles se repentir, et ainsi de suite.
C’est ce
que nous ferons, si Dieu le veut, vous voyez. Vous voyez, nous le
ferons, nous
retournerons poser ce fondement de nouveau, mais ils retournent se
repentir, se
repentir de cela, d’être montés jusque-là. “Je regrette d’être monté
jusque-là”, et il tient pour “profane” le Sang de l’alliance par lequel
il
avait été sanctifié, et il a outragé les œuvres de la grâce. Il est
fichu,
frère! C’est tout. Il est fini. Voyez?
237 Bon, eh bien, il est
impossible pour un
enfant élu de faire ça. Il ne va pas faire ça. “Mes brebis connaissent
Ma
Voix.” Qu’ils soient appelés à aller en Canaan, ou n’importe où, ils y
vont.
Voyez? “Mes brebis connaissent Ma Voix.”
[Un frère
demande : “Et il leur faut croire Actes 2.38 aussi,
n’est-ce pas?”–N.D.É.]
238 Ils vont accepter ça,
toute l’Écriture,
d’un bout à l’autre, ils L’acceptent toute. C’est tout à fait exact,
frère.
114. Est-ce
qu’il y a deux, est-ce–est-ce qu’il y a deux types différents de
langues
bibliques? Est-ce qu’il y a une différence entre les langues prononcées
en
priant en privé, et celles dans l’église, où il faut qu’il y ait une
interprétation? Le Jour de la Pentecôte, les langues ont été comprises
par des
hommes de plusieurs nations; par contre, dans les langues inconnues de
I
Corinthiens 14.2, on parlait à Dieu, pas aux hommes. I Corinthiens 13.1
indique
qu’il y a celles de tels hommes... (C-o-r, je
pense que c’est Corinthiens 13, ce
qui...) ...de tels hommes et les autres,
celles des anges.
239 Oh, oui. Voyez? Eh
bien, ça... Maintenant,
frère, qui que vous soyez, vous–vous avez vous-même donné la réponse
ici.
Voyez? Voyez :
Est-ce
qu’il y a deux sortes de langues? (Il y a une
grande diversité de langues. Voyez?) Est-ce qu’il y a deux
sortes de langues,
dans la Bible, deux sortes de langues?
240 Le Jour de la
Pentecôte, toutes les
nations qui sont sous le ciel étaient présentes, et toutes les langues.
Voyez?
Très bien.
Et est-ce
qu’il y a une différence entre les langues prononcées en priant en
privé, et
celles dans les églises, là où il faut qu’il y ait une interprétation? Oui.
241 Paul a parlé, là aussi
dans Corinthiens,
le passage sur lequel portait votre question, il a dit : “Il y a les
langues
des anges, et il y a les langues des hommes.” Or, les langues des
anges, c’est
lorsqu’un homme prie, entre lui–entre lui et Dieu, tout seul. Mais,
lorsqu’il
parle un–un langage, celui-ci doit être interprété dans l’église, pour
que
l’église en reçoive de l’édification. “Celui qui parle dans une langue
inconnue
s’édifie lui-même; mais celui qui parle, celui qui prophétise édifie
l’église.”
Alors, il a dit : “J’aime mieux dire cinq paroles avec mon intelligence
que dix
mille dans une langue inconnue, à moins, sauf s’il y a une
interprétation.” Et
dans ce cas, alors, c’est–c’est prononcé par prophétie, ce qui sert à
édifier.
Vous voyez ce que je veux dire?
242 Or, les... Or, il y a
deux sortes de
langues : celles des hommes et celles des anges. Voyez? Et Paul a dit :
“Quand
je parlerais les langues des hommes et des anges”, vous voyez, les
deux, des
hommes et des anges, ces deux sortes de langues, celles qu’on ne peut
pas...
242 Bon, et c’est
là-dessus que les
pentecôtistes, les gens qui soutiennent que les langues sont la preuve,
m’ont
dit – il m’a dit : “Là, Frère Branham, vous mélangez tout.”
244 J’ai dit, j’ai dit :
“Eh bien, si vous le
recevez conformément à Actes 2.4, alors tout le monde vous a entendu
parler,
chacun dans sa langue maternelle.”
“Oh!”, il a dit. “Non! Non!”, il a
dit.
J’ai dit : “C’est sûr. Oui
monsieur.”
245 Il a dit : “Là, Frère
Branham, vous
mélangez tout.” Il a dit : “Vous parlez des...” Il a dit : “Il y a les
langues
des ‘anges’. Ça, c’est l’ange du Saint-Esprit, qui descend et qui parle
à
travers vous.”
246 Ça sonne bien, ça,
vous voyez, ça semble
contenir beaucoup de vérité, mais ce n’est pas toute la Vérité. Quand
Satan a
dit à Ève : “Vous ne mourrez point certainement”, ce qu’il lui avait
dit était
en grande partie la vérité, mais ça, ce n’était pas la Vérité. Voyez?
247 Alors, il a dit :
“‘Des hommes et des
anges’, et l’ange dont il parlait, c’était...”
248 Maintenant, nous
allons voir que ça ne
colle pas avec l’Écriture, ça. Voyez? Bon, ça ne “s’accorde” pas, c’est
ce que
je voulais dire. Pardon, je ne voulais pas dire “coller” avec les
Écritures. Je
veux dire “s’accorder” avec les Écritures, ou “se conformer,
coordonner” avec
les Écritures, voilà le terme le plus approprié.
249 “Maintenant, l’homme
qui parle les langues
des anges,” dit-il, “ça, ce sont les langues du Saint-Esprit, là,”
dit-il, “au
moment où vous, où nous, où ils ont reçu le Saint-Esprit.”
J’ai dit : “Est-ce que... À quel
moment, où L’avez-vous reçu?”
250 Eh bien, il m’a
précisé l’endroit, la
minute et l’heure. Je ne doute pas qu’il L’ait reçu. Voyez? Je n’ai
pas, je ne
suis pas son juge. Voyez? Il a dit : “C’est là que j’ai eu ce parler en
langues.” Il savait précisément à quel endroit. Il a dit : “Il m’est
arrivé
quelque chose.”
251 J’ai dit : “Je le
crois. Voyez? Mais ce
n’était quand même pas la preuve que vous aviez le Saint-Esprit, mon
garçon.
– Oh oui!” Il a dit : “Avec ça, ça y
était!”
Et : “Non.”
Il a dit : “Bon, regardez, je
voudrais vous dire quelque chose, frère.”
252 J’ai dit : “Est-ce que
les gens de votre
auditoire, cette église, là-bas à Indianapolis, l’endroit où vous avez
déclaré
L’avoir reçu, est-ce que ces gens vous ont entendu parler en anglais,
leur
parler de la résurrection et de la puissance de Dieu, et tout?”
Il a dit : “Mais non! J’ai parlé
en–en langues inconnues.”
253 J’ai dit : “Ce n’est
pas du tout
conformément à Actes 2.4 que vous L’avez reçu, parce que chacun, pas un
seul
mot n’était inconnu. ‘Nous les entendons dans notre propre langue à
chacun.’”
254 “Oh,” il a dit, “Frère
Branham, je vois ce
qui vous embrouille.” Il a dit : “Vous voyez,” il a dit, “il y a les
langues
qui sont les langues des anges, au moment où on reçoit le
Saint-Esprit,” il a
dit, “à ce moment-là on parle en langues, et personne n’a à interpréter
ça,
c’est–c’est le Saint-Esprit qui parle. Voyez? Mais il y a aussi un don
de
langues, et à ça, il faut qu’il y ait une interprétation.”
255 J’ai dit : “Alors vous
mettez la charrue
avant les bœufs. Le Jour de la Pentecôte, ils auraient mis la charrue
avant les
bœufs. Avant qu’ils aient reçu le Saint-Esprit, les langues inconnues,
ils ont
parlé dans des langues qui ont été comprises.” Voyez? Alors, c’est
vraiment...
256 Il y a deux sortes de
langues. Les langues
des anges, ça, c’est l’homme qui est en prière en privé là-bas, quelque
part,
qui parle à Dieu, qui parle à Dieu dans des langues angéliques. Je
pourrais
d’emblée vous rapporter un cas de cela, mais je n’ai pas le temps de le
faire.
Vous vous rappelez la fois où cette femme est venue à la salle, là-bas,
à
l’endroit d’où vient le docteur Alexander Dowie, à Zion. Vous vous
rappelez que
j’étais allé là-bas? Billy était venu me chercher, là-bas, pour
m’amener à la
réunion, et j’ai dit : “Billy, retourne là-bas.” Et je...
Il a dit : “Pourquoi tu pleures?
Quelqu’un est venu?”
257 J’ai dit : “Mais non.
Retourne là-bas, dis
à Frère Baxter de prêcher ce soir.”
258 Je me suis mis à
genoux et j’ai dit :
“Seigneur, qu’est-ce que j’ai?”
259 Et tout à coup j’ai
entendu Quelqu’un près
de la porte, qui parlait en langues étrangères. J’ai pensé... C’était
en
allemand. J’ai pensé : “Eh bien, cet homme est venu chercher...” J’ai
arrêté,
vous savez, de prier, je l’ai écouté, je suis resté comme ça. Et j’ai
pensé :
“Eh bien, comment est-ce que ce gars-là va pouvoir comprendre ça?” En
effet, je
connaissais l’homme qui dirigeait ce motel, situé à environ cinq milles
[huit
kilomètres] de la ville, vous savez. Il m’avait fallu aller à cet
endroit (il y
avait beaucoup de monde un peu partout), c’est une petite ville. Je me
suis dit
: “Eh bien, c’est bizarre, ça. Hum!” Et je me suis dit : “Là, eh bien,
dis
donc, as-tu déjà entendu... quoi, ce gars-là, c’est à peine s’il
reprend son
souffle.” Vous voyez, je me disais ça, parce qu’il parlait à toute
vitesse! Eh
bien, je me suis dit : “Eh bien, ça alors, mais c’était moi!” Alors, je
suis
resté bien tranquille, vous voyez, je n’ai pas dit... je suis resté là,
bien
tranquille. Au bout d’un moment, Il s’est arrêté de parler, et à ce
moment-là,
j’ai eu l’impression que j’aurais pu me précipiter sur une troupe en
armes, et
franchir une muraille.
260 Je suis sorti, Billy
était au portail, je
lui ai crié : “Attends une minute!”
261 Il est revenu, il
avait bu une boisson
gazeuse. Et il a dit : “Papa, qu’est-ce qu’il y a?”
262 J’ai dit : “Attends un
instant, un
instant, je t’accompagne.”
263 Je me suis lavé le
visage en vitesse. Il a
dit : “Qu’est-ce qu’il y a?” Il se garde bien de me parler pendant que
nous
nous rendons à la réunion. Il a dit : “Qu’est-ce qu’il y a?”
264 J’ai dit : “Rien,
rien, rien, rien du
tout. Allez, on s’en va à la réunion.”
265 Nous sommes allés à la
réunion. Frère
Baxter était là, ils jouaient Non, rien entre mon Sauveur et mon âme.
Il est
venu, il a dit : “Fiou! J’ai cru que tu n’allais pas venir!”
J’ai dit :
“Chut.” Je me suis avancé, j’ai simplement commencé à prêcher.
266 Au moment où je
finissais, à peu près au
moment où je finissais de prêcher, eh bien, oh, c’est comme si
quelqu’un avait
pris d’assaut le fond du bâtiment, là-bas, au fond de cette grande
salle. Ils
ont envoyé un micro baladeur là-bas, une femme était là, à faire les
cent pas
dans l’allée, criant de toutes ses forces.
267 J’ai appris qu’elle
avait la tuberculose,
et elle était venue des “Twin Cities”, de Saint Paul; l’ambulance
n’avait pas
voulu la transporter, parce qu’on craignait qu’elle se perfore les
poumons. Le
docteur avait dit : “La moindre chose – ses poumons sont comme un nid
d’abeilles,” qu’il avait dit, “si jamais ils se déchiraient, elle
mourrait. Ce
serait la fin.” Alors quelques saints ont pris une vieille Chevrolet 193 8,
ils ont arrangé la banquette
arrière, ils ont installé cette femme à l’intérieur, et ils étaient en
chemin
pour se rendre là-bas. Il y a eu un petit cahot, ou quelque chose du
genre, et
alors elle a eu une hémorragie, le sang s’est mis à gicler, et elle...
ça lui
sortait par le nez et tout. Elle s’affaiblissait de plus en plus, et
finalement, elle ne voulait pas mourir dans la voiture, elle leur a dit
de
s’arrêter et de la déposer sur l’herbe.
268 Ils l’ont déposée là.
Ils se sont tous
penchés vers elle, ils priaient, et tout à coup, elle dit que quelque
chose l’a
saisie, elle s’est levée d’un bond. Elle est partie en courant sur la
route, en
criant de toutes ses forces. Et elle était là, à l’église, parcourant
les
allées.
269 J’ai dit : “Soeur,
c’est arrivé à quelle
heure?” À l’heure même où le Saint-Esprit avait parlé à travers moi.
Qu’est-ce
que c’était? Des dons.
270 Pourquoi est-ce que
ce–ce brave opossum
est resté étendu là, au portail, pour qu’on prie pour lui? Un animal
ignorant,
qui n’a même pas d’âme, qui ne sait pas distinguer le bien et le mal;
vous
voyez, il n’a pas d’âme, il a un esprit, il n’a pas d’âme.
271 Qu’est-ce que c’était?
Le Saint-Esprit,
qui intercédait. Dieu a envoyé un don sur la terre, et le Saint-Esprit
ne
pouvait plus attendre, alors Il est simplement venu et m’a pris sous
Son
contrôle, et Il s’est mis à parler Lui-même, comme ça, à parler
Lui-même, à
intercéder Lui-même. Et là nous avons vérifié l’heure : à la minute
même où
elle... Ils l’ont déposée sur l’herbe, comme ça, ils ont voulu voir...
En
effet, ils savaient qu’elle agonisait, et qu’ils allaient devoir
mentionner
l’heure de sa mort. C’est à cette minute même que le Saint-Esprit est
descendu
sur moi, là-bas, et s’est mis à intercéder, à s’exprimer, des mots
qu’on ne
peut comprendre, vous voyez, comme ça, Il donne de s’exprimer. C’est le
Saint-Esprit qui parle.
272 Je n’avais pas à
savoir. Vous voyez, je
n’avais pas à savoir. C’était son, peut-être son ange, – nous allons y
venir
dans quelques minutes, vous voyez, – qui est venu là-bas et qui a
communiqué ce
message, vous voyez.
273 Donc–donc, c’est–c’est
exact. Il y a deux
sortes de langues, dont l’une doit être...
274 Y a-t-il une question?
Très bien, quant à
chercher à savoir ce que Dieu est en train de dire, vous voyez.
Maintenant,
je–je dirais, Frère Stricker, là-dessus, par rapport à ça : ne cherche
pas à
réfléchir à ça, tu vois. Laisse simplement le Saint-Esprit parler
Lui-même. Ne
cherche pas à comprendre, tu vois; en effet, abandonne-toi davantage à
l’Esprit. Tu vois. C’est que tu cherches à–à–à dire : “Hé, qu’est-ce
que tu
dis?” Tu vois? “Hé, c’est à moi que tu parles? Hein?” Vous voyez, il,
vous
voyez, il s’efforce.
115. Bon. Est-ce en ordre pour une personne de parler en langues
pendant qu’elle
prie pour d’autres personnes autour de l’autel [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.]
sans qu’il y ait une interprétation? [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.]
275 Laissez-moi voir ce
que j’ai inscrit
là-dessus, il faut que je regarde. S’il n’y a pas d’interprète, qu’ils
se
taisent. Dans I Corinthiens, le chapitre 1... le chapitre 14, au verset
28. Qui
a une Bible? [Un frère lit le verset suivant.–N.D.É.]
S’il n’y a
point d’interprète, qu’on se taise dans l’Église,...
276 Très bien. Donc, s’il
n’y a pas
d’interprète, n’importe quand dans l’église, n’importe où dans
l’église, qu’on
se taise, s’il n’y a pas d’interprète.
277 Devant l’autel, la
seule chose que
quelqu’un... On entend souvent parler de gens qui s’avancent à l’autel.
Dernièrement, j’ai entendu un précieux frère, devant l’autel, il s’est
approché
et secouait quelqu’un par les épaules, ensuite il parlait lui-même en
langues,
il parlait en langues, comme s’il essayait de lui montrer ce qu’il
fallait
faire. Vous voyez, ça, c’est, en quelque sorte, de faire venir de façon
artificielle le Saint-Esprit (d’essayer de le faire venir) sur les
gens. Ne
faites pas ça. Voyez? Ce qu’il faut faire, c’est simplement de laisser
cette
personne tranquille. Laissez-la lever les mains, jusqu’à ce que le
Saint-Esprit
entre, vous voyez. Voyez? Donc ce–ce–ce n’est pas bien. Non, ils
doivent se
taire dans l’église, vous voyez.
278 [Un frère demande :
“Frère
Branham?–N.D.É.] Oui, frère. [“Disons qu’une personne assiste au
service, et–et
à la fin du service, d’habitude, lorsqu’un message sera transmis, la
personne
qui a le don sera capable de détecter, ou, est-ce qu’elle sera capable
de faire
la distinction entre le–l’ange, la langue de l’ange, et le message qui
est
ainsi apporté?”]
279 Maintenant, voyons un
peu. Maintenant...
[espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] ...dès qu’ils entraient,
ils
mettaient ça par écrit et posaient ça sur ma chaire. Voyez? Et je
lisais ça
tout haut, comme ceci. Mais, dès que j’entrais dans la salle, là,
frère,
c’était terminé. Voyez?
280 Et avant d’entrer, les
gens attendaient
là, tout le monde était aussi silencieux que possible. Et la soeur
était là,
Soeur Irène, là, à–à l’autel, elle jouait, là, elle jouait À la croix.
Nous ne
permettions pas... Les huissiers circulaient. S’ils voyaient quelqu’un
parler,
ils disaient : “Chut, chut, chut.” Voyez? Et si les enfants se
mettaient à...
Ils s’asseyaient très gentiment et ils leur disaient : “C’est la maison
du
Seigneur, mon petit. Tu ne dois pas faire ça. Tu dois être sage, là,
dans la
maison du Seigneur.”
281 Et les hommes avec
leur femme, et tous, on
leur faisait accrocher leur manteau, et tout ça. Il y avait quelqu’un
ici, à la
porte, pour les accueillir, dès qu’on ouvrait la porte. La... Et tout
était
prêt, vous savez, on voyait à ce que tout soit bien en place, dans
l’église.
Chacun, voir à trouver un siège, et on s’assurait que tous aient pu
s’asseoir.
282 Et moi, j’étais dans
la pièce, en train de
prier, j’y étais probablement depuis quatorze heures ou quinze heures
cet
après-midi-là. Personne ne me dérangeait. Je m’avançais là avec mon
message.
283 Et alors, dès que
c’était le moment de
commencer, le conducteur de chants entonnait un cantique : “Prenons le
cantique
numéro tel et tel,” par exemple, “À la
croix où mourut mon Sauveur”, et ainsi de suite, comme ça, vous
savez, et
il faisait chanter ça, comme ça. Ensuite, après avoir chanté à peu près
deux
chants spéciaux... Nous ne mettons jamais beaucoup de temps dans les
chants; c’est
la Parole qui compte. S’ils font une réunion de chants – ces réunions
de chants
qu’ils font régulièrement, c’est à ça qu’elles servent. Nous
sommes–nous
sommes... La Parole, c’est ça la chose principale pour laquelle les
gens
viennent là : c’est la maison de correction.
284 Ensuite, peut-être que
mon adjoint,
disons, Frère Georges, Frère Georges DeArk, se levait et faisait la
prière.
Ensuite nous avions un chant spécial, comme un solo ou quelque chose
comme ça.
Après quoi c’était le moment, quelqu’un me faisait savoir que c’était
le moment
de venir. Si c’était le moment, très bien, je sortais sous la fraîcheur
de
l’onction. Voyez?
285 Eh bien, peut-être que
pendant la semaine,
ils avaient eu une réunion quelque part ici, dans l’église, ils avaient
eu leur
propre réunion. Peut-être même qu’avant le début du service, ce
soir-là, ils
avaient eu une réunion. Et voici, c’était... Je l’avais là, et je
disais : “Il
est écrit ici, sur ce bout de papier, qu’une certaine tempête passera
dans
cette région la semaine prochaine”, ou quelque chose, une chose, vous
savez,
qu’il arriverait quelque chose du genre. “Cela a été écrit, prononcé en
langues
et interprété par deux saints de cette église, Frère Untel et Frère
Untel. Deux
témoins ont attesté cela, ils ont apposé ici leur signature, consignant
cela
comme ‘venant de Dieu’ : il s’agit d’Untel et d’Untel.” Voilà, c’est la
première chose que je fais.
286 Ensuite je dis : “Très
bien, nous allons
nous préparer pour ça, que chacun soit en prière. Voyez? Maintenant,
vous tous
ici, avez-vous une requête spéciale?”, vous savez. “Prions.” Nous nous
levions
et nous priions. Et sans tarder nous abordions la Parole, nous passions
à la
Parole.
287 Ensuite, immédiatement
après le service,
on faisait l’appel à l’autel. Voyez? L’appel à l’autel, voilà ce sur
quoi on
insistait, l’appel à l’autel, amener les gens à s’avancer à l’autel. Et
puis,
une fois l’appel à l’autel terminé, peut-être que là, je priais pour
les
malades, vous voyez, ou quelque chose comme ça.
288 On avait pris tout le
service, parce que
l’esprit des prophètes est soumis au prophète.
289 C’est à ça que je
réfléchissais – vous
vous rappelez la nuit où j’ai eu la vision, quand l’ange a marché vers
moi?
J’étais assis là, dans la pièce, je réfléchissais. Vers les, oh, très
tard dans
la nuit, je me disais : “‘L’esprit des prophètes est...’ Comment est-ce
possible?” J’ai regardé cette Lumière qui brillait, et voilà qu’Il est
sorti de
celle-ci et a marché jusqu’à moi. Voyez? C’est alors qu’Il m’a donné,
juste là,
vous voyez, le mandat de faire ces réunions.
290 Donc, non – quant à
la–la personne qui
donne le message. C’est ça, votre question, je crois : “La personne qui
donne
le message, est-ce qu’elle, est-ce que–est-ce que la personne qui donne
le
message saurait s’il s’agit de l’ange du Seigneur ou pas?”
291 [Un frère dit : “Là,
la question, c’était,
vous dites qu’il y a les langues des anges...”
Espace.non.enregistré.sur.la.bande.–N.D.É.] Je ne pense pas que lui
pourrait le
savoir. Comme nous procédons actuellement, là. Mais, vous voyez, quand
nous
nous mettrons à procéder comme nous devons le faire, qu’ils auront une
réunion
régulière réservée à cela, que...
292 Vous voyez, chacun est
un ministère.
Disons que toi, tu parles en langues, lui, il interprète, et lui, il
parle en
langues, lui, il prophétise; vous êtes de simples laïques ici, à
l’église, mais
vous avez quand même un ministère, et vous avez quelque chose. Vous
cherchez à
faire avancer le Royaume de Dieu, à accomplir quelque chose en faveur
de
celui-ci, vous voyez, et donc, vous les frères, réunissez-vous. C’est
pour
cette raison que les pasteurs, comme ceci, nous nous réunissons, nous
avons
quelque chose en commun. Vous, les frères, vous vous réunissez, vous
étudiez
les Écritures, vous parlez en langues et vous interprétez, et vous
donnez des
messages, vous voyez.
293 Mais, alors, si cet
homme, là, s’il se
rend compte... Il est allé à la réunion, il a un don de langues. Eh
bien, il va
à la réunion, il parle en langues, mais aucune interprétation n’est
donnée,
l’interprète ne la reçoit pas.
[Un frère
demande : “Diriez-vous, dans ce cas, que ces gens
édifient le Corps, mais que les fonctions, telles que pasteurs,
docteurs, et
tout ça, perfectionnent le Corps?”–N.D.É.]
294 Oui, c’est à cela
qu’elles servent, au
perfectionnement. Voyez? Ils ont été donnés pour le perfectionnement,
vous
voyez. Je crois que ces–ces–ces Esprits sont donnés pour perfectionner,
pour le
perfectionnement de l’église.
295 Or ils, ces gens qui
parlent, ils sont
remplis de l’Esprit, sans aucun doute. Bon, voici un homme, peut-être
qu’il
parle ici, pendant la réunion, et il donne... Pourtant, il est là, en
présence
des interprètes, vous voyez, mais malgré cela, personne ne reçoit
l’interprétation : il y a quelque chose qui ne va pas. L’interprète n’y
peut
rien, vous voyez. Il–il doit interpréter par inspiration, au même titre
que
celui qui parle, là. Et il se peut que celui-ci ait un vrai don de
parler en
langues, par contre il n’a pas le don des langues, du langage. Vous
voyez,
il...
296 Et alors, ce qu’il
doit faire, c’est que,
lorsqu’il emploie cette langue, et qu’il constate... Or, là, il–il ne
cherche
pas à... S’il cherche à se faire valoir, là encore, c’est un grand
prétentieux.
Il n’est pas, il–il a tort, dès le départ, vous voyez, il n’arrivera
jamais à
rien. Vous voyez, de se dire : “Eh bien, Dieu soit béni, ce gars-là, il
ne veut
pas interpréter mes langues, voilà, c’est tout.” Bon, vous voyez, il a
tort dès
le départ. Juste là son–son motif n’est pas bon, son objectif n’est pas
bon.
Voyez?
297 Mais s’il est doux et
humble, il dira :
“Eh bien, peut-être que le Seigneur ne désirait pas m’utiliser pour Son
service. Et pourtant je, Il bénit vraiment mon âme. Il veut m’édifier,
me faire
savoir que je suis près de Lui quand je parle en langues. Alors, je
vais me
retirer dans le champ de pommiers : ‘Ô Dieu!’ Et là la puissance se met
à
descendre sur moi et je me mets à parler en langues. Je reviens
rafraîchi, vous
voyez.” “Oh, Tu vois, c’est à moi que Tu parles, Seigneur, c’est moi
que Tu
gardes sur le droit chemin par le parler en langues.” Voyez? “Et,
Seigneur,
aujourd’hui j’aurais dû parler à cet homme. Pardonne-moi cela,
Seigneur.
Je–je–j’ai laissé passer une occasion, je n’aurais pas dû. Père, je Te
prie de
me pardonner.” Et voilà, c’est parti : il parle en langues. “Ah, fiou,
je me
sens mieux à ce sujet, là!”
298 Vous voyez, ça, c’est
très bien. Vous
voyez, votre–votre don ne doit pas être utilisé dans l’église, mais il
sert
plutôt à vous édifier, vous. “Celui qui parle dans une langue inconnue
(inconnue)
s’édifie lui-même.” Voyez? Alors, s’il n’y a pas d’interprète, dans ce
cas...
Vous voyez ce que je veux dire? Vous voyez, c’est ça. Donc, de
lui-même, il ne
le saura pas. C’est qu’il... Par contre, quand il sera avec les autres,
là, il
le saura.
Donc, pour
le moment vous allez devoir les laisser ensemble, vous voyez, vous ne
pouvez
pas faire autrement, tant qu’on ne les aura pas mis à part. C’est pour
cette
raison, je pense, que...
116.
Expliquez I Corinthiens 14.5.
299 Qui a ça, en vitesse?
Est-ce que l’un de
vous a ça? [Espace.non.enregistré.sur.la.bande. Un frère lit I
Corinthiens
14.5–N.D.É.]
...parliez
tous en langues, mais encore plus que vous prophétisiez. Celui qui
prophétise
est plus grand que celui qui parle en langues, à moins que ce dernier
n’interprète, pour que l’Église en reçoive de l’édification.
300 Très bien. “Je désire
encore plus... Je
désire que vous parliez tous en langues.” Paul essayait de dire...
Comme,
l’église, supposons que vous–vous soyez mon église. Certaines des
églises de
Paul n’avaient pas autant de membres que ce que j’ai ici. C’est vrai,
parfois
dix ou douze. Voyez? Voyez? Bon, donc, là, il a dit : “Je désire que
vous
parliez tous en langues.” Ça vous a surpris, ça?
301 Vous voyez, au moment
où la–la–l’église,
que... Dans Actes 19, je crois qu’elle comptait environ une douzaine de
membres. Voyez? Vraiment très peu nombreuse : des missions, vous voyez.
Donc,
elle a toujours été en minorité, vous voyez. Et je pense qu’il est dit,
et,
qu’elle comptait environ tant, une douzaine d’hommes et de femmes, vous
voyez.
302 Maintenant, si
vous–vous regardez ici, il
a dit : “Je désire que vous parliez tous en langues. Je–je souhaite que
vous
parliez tous, que tous parlent en langues, que vous soyez tellement
remplis du
Saint-Esprit que vous vous mettiez à parler en langues. Mais”, il a
dit, “je
désire encore plus que vous prophétisiez. À moins que ce soit fait en
vue
d’être interprété, qu’il y ait une interprétation.”
303 Comment est-ce
formulé, là? Qui...
Avez-vous ça tout près, là...?... Relisons-le. Maintenant écoutez.
304 [Un frère commence à
lire I Corinthiens
14.5 : “Je désire que vous parliez tous en langues,...”–N.D.É.] Bon,
arrêtez-vous là un instant : “Je désire que vous parliez tous en
langues.”
[“...mais encore plus que vous prophétisiez...”] “Je désire encore plus
que
tous, vous prophétisiez.” [“...celui qui prophétise est plus grand que
celui
qui parle en langues,...”] Bon, arrêtez-vous un instant.
305 Maintenant, qu’est-ce
que c’est : “Plus
grand, celui qui prophétise”? C’est là-dessus que vous vouliez que je
m’arrête?
[Un frère dit : “Je disais seulement que c’était autre chose
que...?...”–N.D.É.] Oui. Voyez? Oui. Voyez? Or, voilà où...
306 Maintenant, à titre
d’exemple, on va dire,
là, que nous avons deux simples auditeurs au milieu de nous ce soir.
Ils ne
connaissent rien de ces choses, et là j’arrive, et vous êtes tous...
nous
commençons la réunion, ici, et–et vous vous mettez à parler en langues,
vous
êtes tous là à parler en langues, parler en langues, et parler en
langues, et
parler en langues. Eh bien, qu’est-ce qu’il y a? Vous voyez, le simple
auditeur
dira : “Hum! Ils sont tous fous!” Voyez? Mais si quelqu’un prophétise,
vous
voyez, alors celui-là dit quelque chose qu’il pourra comprendre.
307 Maintenant allez-y,
lisez le reste, là.
[Le frère continue : “...à moins que ce dernier
n’interprète,...”–N.D.É.]
Voilà. Donc, “à moins que”, vous voyez. Je–je... Ceux qui–ceux qui
prophétisent
sont plus grands que celui qui parle en langues, à moins que celui-ci
en donne
une interprétation. Maintenant allez-y, vous voyez. [“...pour que
l’église en
reçoive de l’édification.”] Voilà, vous voyez, l’église en reçoit de
l’édification.
308 Alors, autrement dit,
eh bien, l’église,
cet homme-ci. Voici–voici, ceux-ci, c’est le nombre de ceux qui sont de
simples
auditeurs : vous êtes seulement assis au milieu de nous ce soir; nous
avons
cette réunion. Nous sommes tous ici, nous recherchons notre... nous
désirons
connaître le Seigneur, et vous vous mettez tous à parler en langues.
Personne
n’a dit quoi que ce soit, vous vous mettez simplement à parler en
langues. “Je
désire que vous, je... Ce serait bien”, a dit Paul. “Que vous parliez
tous en
langues, ce serait bien.” Mais qu’est-ce qui se passerait si certains
d’entre
vous prophétisaient, se levaient et disaient : “AINSI DIT LE SEIGNEUR :
‘Il y a
un homme assis ici, et c’est un inconnu au milieu de nous. Il s’appelle
Jean
Untel. Il vient de tel et tel endroit. Il a laissé là-bas sa femme et
ses
quatre enfants. Il est ici ce soir, parce qu’il cherche du secours. Il
a été vu
par un médecin aujourd’hui, à Memphis, dans le Tennessee. Et il a dit,
le
médecin lui a dit qu’il a un cancer des poumons. Il est mourant’”?
309 Il a dit : “Si tous
parlent en langues, et
que le simple auditeur vienne au milieu de vous, il dira, alors il dira
: ‘Vous
êtes tous fous, ou dérangés, quoi?’ Mais si quelqu’un prophétise et
révèle le
secret du cœur, alors ils tomberont sur leur face, en disant : ‘Dieu
est
réellement avec vous!’” Vous voyez, là?
310 Bon, maintenant,
voici. Maintenant vous
parlez en langues, mais quelqu’un en donne l’interprétation, il dit :
“AINSI
DIT LE SEIGNEUR,” par l’interprétation, “‘Il y a un homme assis au
milieu de
nous, il a quitté sa femme, est allé à Nashville aujourd’hui,’” ou
Memphis, ou
quel que soit l’endroit, “‘et il a un cancer du poumon. Il est venu
ici, et il
s’appelle Jean Untel’”, telle et telle chose, comme ça. Voyez?
311 “À moins que ce soit
fait en vue d’être
interprété”, ou, vous voyez, alors cela produit une édification. Voyez?
Alors
on dira, alors cet homme-là repartira en disant : “Je vais vous dire
une chose
: n’allez pas me dire que Dieu n’est pas avec ces gens, là-bas. C’est
indéniable! Ces gens-là ne me connaissaient pas du tout.” Voyez?
312 Donc, nous voulons les
dons de prophétie
plus les dons de parler en langues. Mais, pour le parler en langues,
vous
voyez, il faut qu’il y ait une interprétation. Et là, une fois
interprété,
c’est une prophétie. Voyez? C’est une prophétie. Bon, j’ai cette
question, ici,
dans un instant, alors, je vais–je vais passer à celle-là au plus vite.
[espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.]
117.
Matthieu 18.10.
[Un frère lit Matthieu
18.10.–N.D.É.]
...de
mépriser un seul de ces petits; car je vous dis que leurs anges–anges
dans les
cieux voient continuellement la face de mon Père qui est dans les cieux.
313 Très bien. Maintenant,
le frère, qui que
vous soyez, – évidemment les noms ne sont pas inscrits, ce sont juste
de petits
billets, vous voyez, – celui qui a dit ceci. Je suis sûr que je...
314 Bon, on pourrait le
prendre de deux
façons, vous voyez. Mais je crois que l’interprétation, si vous me
demandez
simplement : “Expliquez ceci”, ma façon à moi d’interpréter ceci, la
voici.
315 Bon, prenez II
Corinthiens, quelqu’un,
5.1, il y est dit ceci : “Si cette tente où nous habitons sur la terre
est
détruite.” Vous savez ce que c’est, voyez. “Si cette tente où nous
habitons sur
la terre est détruite, nous en avons déjà une autre”, vous savez, “qui
nous
attend.” Très bien.
316 Bon, là Il... Si vous
remarquez, dans
Matthieu 18.10, Il parlait de recevoir les petits “enfants”. C’étaient
des
petits enfants, des bambins de trois ou quatre ans, Il les a pris dans
Ses
bras. “On Lui amena des petits enfants, un enfant.” Enfants, ça vient
du nom “enfant”.
Un enfant, c’est juste un petit–petit, pas un nourrisson, mais juste
entre ça
et un adolescent. Voyez? Il n’est pas encore responsable de lui-même.
317 Alors, Il a dit :
“Gardez-vous de
mépriser.” Si vous prenez, en fait, l’interprétation de ce mot-là,
c’est
“maltraiter”. Vous voyez, “de maltraiter un seul de ceux-là”.
Maltraiter un
enfant, il ne faut jamais faire ça. Ce sont des enfants, ils ne savent
pas.
Voyez?
318 Et maintenant
remarquez, Il a dit : “Parce
qu’ils, leurs anges voient continuellement la face de Mon Père qui est
dans les
Cieux”, vous voyez. Autrement dit : “Leurs anges, leurs–leurs
messagers, leurs
corps, leurs corps angéliques vers lesquels ils iront s’ils meurent,
sont
continuellement devant la face de Mon Père, dans les Cieux.” Voyez?
319 Maintenant : “Si cette
tente où nous
habitons sur la terre est détruite, nous en avons une autre qui nous
attend
déjà.” Pas vrai? C’est un corps.
320 Regardez bien. Si
seulement j’avais le
temps d’examiner ces choses-là à fond! Évidemment, je sais que je–je ne
l’aurai
pas. Mais, tenez, je vais juste vous faire part de ceci, pour que ce
soit sur
la bande, et de toute manière vous le saisirez.
321 Regardez, une nuit,
Pierre était en
prison. Ils ont eu une réunion de prière là-bas, dans la maison de
Jean-Marc,
vous voyez. Alors, l’Ange du Seigneur est entré, cette Colonne de Feu,
une
Lumière, est descendue, et Pierre croyait avoir un songe, quand il a vu
cette
Lumière venir vers lui. La Bible dit que “C’était une Lumière”. Voyez?
Et je
crois que C’est la même qui est avec nous, vous voyez. Il est descendu.
Et si
nous avions le même genre d’ennuis, peut-être qu’il arriverait la même
chose.
Voyez? Il est entré là, donc, et Il a dit : “Viens avec Moi.”
322 Alors, Pierre s’est
dit : “J’ai un songe
en ce moment, alors je vais juste voir ce que signifie ce songe.”
Alors, il a
passé les gardes, et s’est dit : “Ah–ha. Maintenant nous continuons, la
porte
s’est ouverte d’elle-même.” Il a passé la porte suivante, elle s’est
ouverte
d’elle-même. Il est arrivé aux portes qui mènent à la ville, et elles
se sont
ouvertes d’elles-mêmes. Il croyait toujours avoir un songe. Alors,
quand il
s’est retrouvé dehors, il a dit : “Eh bien, je suis libre, alors je
vais aller
chez Jean-Marc, pour fraterniser un peu.”
323 Eux, ils étaient
là-bas : “Ô Seigneur,
envoie Ton Ange, et délivre Pierre.”
324 À peu près au même
moment, on a entendu
[Frère Branham frappe.–N.D.É.]. La petite servante est allée à la porte
et a
dit : “Qui est là?” Elle a soulevé le petit treillis, elle a dit :
“Mais, c’est
Pierre!” Alors il est retourné leur dire : “Hé! maintenant vous–vous
pouvez
arrêter de prier, Pierre est là.”
Il a dit : “Oh! la la! Va donc,” il
a dit, “tu es–tu es–tu es...” Voyez?
325 [Frère Branham frappe
de nouveau.–N.D.É.]
Il a dit : “Ouvrez! J’arrive.” Voyez? Donc, il dit...
Donc, il retourne dire : “Non,
c’est–c’est Pierre qui est à la porte.”
326 “Oh,” ils ont dit,
“déjà ils lui ont coupé
la tête, c’est son ange qui est à la porte. Vous voyez, sa tente
céleste, déjà
il l’a reçue, car celle où il habitait sur la terre a été détruite; en
effet,
elle attendait dans le Ciel, qu’il revienne vers elle.”
327 C’est ce que j’ai vu
l’autre jour, dans
cette vision, vous savez, quand je suis passé de l’autre côté. “Si
cette tente
où nous habitons sur la terre est détruite, nous en avons une autre.”
328 Et ces petits-là, qui
n’ont pas encore
commis de péché, vous voyez... Voyez?
329 Quand un bébé prend
forme–un bébé prend
forme dans l’utérus de la mère, dès qu’il est déposé là... Voyez?
Voyez? Mais d’abord,
c’est un esprit. Et cet esprit, comme il commence à s’envelopper d’une
chair,
un petit germe de vie qui commence à s’envelopper d’une chair, aussitôt
qu’il
descend de... Or, dans l’utérus, ce sont de petits muscles qui
frémissent et
qui se contractent. Nous savons cela. Ce sont des cellules. Par
exemple, prenez
un crin de cheval et mettez-le dans l’eau : il s’enrobe et il remue, si
on le
touche, il a des soubresauts. C’est comme ça qu’est le bébé.
330 Mais, aussitôt qu’il
naît dans ce monde,
et qu’il inspire son premier souffle, il devient une âme vivante.
Voyez? En
effet, aussitôt que le corps terrestre naît dans ce monde, il y a un
corps
céleste, ou un corps spirituel, qui s’attache à lui. Et, aussitôt qu’il
laisse
tomber ce corps naturel, il y a une tente céleste qui l’attend. “Si
cette tente
où nous habitons sur la terre est détruite, il y a une tente céleste
qui
l’attend.” Aussitôt que–que le bébé sort, qu’il vient au monde, en
chair, il y
a un corps spirituel qui attend, prêt à l’accueillir. Et aussitôt que
le corps
spirituel... que le corps naturel est détruit, il y a un corps
spirituel qui
l’attend là-bas. Voyez? Ce que nous appelons une “théophanie”, vous
voyez, une
théophanie.
[Un frère
demande : “Eh bien, alors, ce corps-là, est-ce un...
est-il temporaire, en attendant la résurrection de ce corps-ci?–N.D.É.]
Oui. Voyez? Oui. Oh, oui. [“C’est l’état
dans lequel nous vivrons jusqu’à la–la résurrection?”] C’est exact.
Voyez?
Voyez?
331 Cela n’a pas encore
été révélé aux fils
des hommes. Je crois que je, je sais que je l’ai vu. Voyez? Par contre,
je ne
sais pas quel genre de corps c’est, mais je pouvais les toucher,
exactement
comme j’aurais touché vos mains ou n’importe quoi d’autre. Évidemment,
ceci est
enregistré, et vous passerez peut-être la bande des années après mon
départ.
Vous voyez? Mais, et cela, quoi que cela ait été, vous voyez,
je–j’avais la
main sur ces gens et je les accueillais, et c’était tout aussi réel
que–que
vous êtes réels, et pourtant ce n’était pas... Ils ne mangeaient pas et
ne
buvaient pas. Il n’y avait pas d’hier, pas de demain. Vous voyez,
c’était
l’Éternité.
332 Et alors, quand cette
tente... ils sont
partis de là-bas dans ce corps-là, ils reviennent sur terre, c’est dans
ce
genre de corps là qu’ils avaient revêtu l’immortalité. La–la poussière
de la
terre s’est rassemblée dans cette théophanie, d’une façon ou d’une
autre, et
ils sont redevenus humains, il fallait qu’ils mangent, comme ils le
faisaient
dans le jardin d’Éden. Voyez? “Mais, si cette tente où nous habitons
sur la
terre est détruite, nous en avons une autre qui nous attend déjà.”
333 Alors, ces petits
enfants-là, qui
n’avaient pas de péché, vous voyez, pas encore de péché, leurs anges,
leurs
“corps” (celui dans lequel Pierre était revenu...), vous voyez, les
attendait.
“Ils voient la face du Père, dans les Cieux”, ils sont continuellement
devant
Lui; “ils savent”. Voilà.
334 [Un frère dit : “Mais
c’était un peu
difficile, là, lorsque Jésus avait dit, dans la première partie de Sa
résurrection, Il avait dit : ‘Ne me touche pas’, Il n’était pas encore
monté.
Et ensuite, lorsqu’Il est venu dans la pièce où se trouvait Thomas, Il
a dit :
‘Viens, mets ta main dans Mon côté; mets ton doigt.’”–N.D.É.] C’est
exact, Il
n’était pas encore monté. [“Et la–la différence entre les deux, c’est
que,
d’une part, Il–Il leur a dit de ne pas Le toucher, et de l’autre, Il a
dit à
Thomas de venir le faire.”] C’est qu’Il n’était pas encore monté, tu
vois.
Il... [“‘Car Je ne suis pas encore monté vers Mon Père.’”]
335 C’est exact, vous
voyez, il ne fallait pas
Le toucher tant qu’Il... après Sa résurrection. Il était sorti du sein
de la
terre, vous voyez. Il était sorti du sein de la terre, et Il marchait
au milieu
des hommes, mais Il n’était pas encore monté. Il a dit, Il a déclaré à
Marie,
Il a dit : “Ne Me touche pas.”
Elle a dit : “Rabbouni!”
336 Il a dit : “Touche...
Ne Me touche pas,
car Je ne suis pas encore monté vers le Père. Mais Je monte vers Mon
Dieu et
votre Dieu, vers Mon Père et votre Père.”
Et ensuite,
ce soir-là, après qu’Il était monté auprès de Dieu, qu’Il était
ressuscité des
morts et était monté auprès de Dieu. À Son retour, Il a invité Thomas à
venir
toucher Son côté. Vous voyez, Il était alors monté auprès de Dieu.
C’est exact.
D’accord.
337
118. Bon. Dans I Corinthiens 14 : “Recherchez–recherchez la
charité, et
aspirez aussi aux dons spirituels, mais surtout à celui de prophétie.”
Dans le
Webster, il est dit : “prophétiser : prédire les événements futurs,
surtout par
inspiration divine”. Est-ce qu’un message... Or ils... ça,
c’est–c’est ce
qui est dit dans le Webster, et ce que demande le–le frère. Est-ce
qu’un message qui ne prédit aucun
événement futur peut être appelé “prophétie”?
Non monsieur. Prophétiser, c’est
“prédire”. Voyez? Très bien.
119. Bon. I Corinthiens 14.27 – je crois que tous les messages doivent
être
interprétés, et que pas plus de trois messages en langues ne doivent
être
donnés au cours d’un même service.
338 Ça, c’est l’Écriture.
Je l’ai notée ici.
Bien sûr, nous ne, nous sommes au courant de ça, nous savons ça, vous
voyez.
C’est, oui monsieur, c’est, il ne doit y en avoir que trois, chacun à
son tour.
Ça aussi, ça se trouve dans I Corinthiens 14. Voyez? C’est exact :
“trois,
chacun à son tour”. Maintenant, surveillez ça dans vos réunions,
frères. Or,
vous–vous verrez cette situation se produire, là, vous constaterez que
beaucoup
de gens s’emballent. Et n’allez pas dire qu’ils n’ont pas le
Saint-Esprit, là.
Mais, vous voyez, Paul est allé là-bas, mettre l’église de Corinthe en
ordre.
Ça, nous le savons tous, n’est-ce pas? Il lui a fallu la mettre en
ordre. Et il
a dit : “Que tout se fasse avec bienséance et avec ordre.”
339 Or, si vous remarquez,
Paul, quand il
allait là-bas, l’église de Corinthe lui donnait toujours du fil à
retordre.
Jamais il ne s’est trouvé dans une telle situation à... Il n’a jamais
rien dit
à ce sujet à l’église d’Éphèse; à eux, il pouvait leur enseigner la
sécurité
Éternelle. Dans–dans l’église de Corinthe, il n’a pas du tout été fait
mention
de la sécurité Éternelle. C’étaient toujours des bébés, qui essayaient
: “L’un
a une langue, l’un a un cantique.” N’est-ce pas vrai? Voyez? Et si vous
laissez
votre assemblée commencer à faire ça...
340 Par exemple, Martin
Luther : il a été
tellement rempli de l’Esprit qu’il a parlé en langues. Il a dit, dans
son
journal intime, il a dit : “J’ai parlé en langues,” il a dit, “mais si
j’enseigne cela à mes fidèles,” il a dit, “ils rechercheront le don au
lieu du
Donateur.” C’était juste, vous voyez, ils rechercheraient le don au
lieu du Donateur.
341 Et c’est ce que les
gens reçoivent, et
après ils s’énervent, et ils s’enorgueillissent, quand on les laisse
parler en
langues ou quelque chose comme ça. Si cela ne vient pas de Dieu, cela
ne, cela
sera réduit au néant. Mais nous...
342 Or les églises
modernes, elles, elles
rejettent tout ça, d’un bloc, mais pas nous. Nous croyons que c’est le
don de
Dieu et qu’il peut être placé là par l’Esprit de Dieu. Qu’en penses-tu,
Frère
Roy? C’est exact. Oui monsieur. Placé dans l’église! Il a sa place dans
l’église. Le don du parler en langues y a sa place, vous voyez, dans
l’Église
de Dieu.
343 Maintenant, voyons
exactement quelle était
sa question ici. Il disait que :
Je crois
que tous les messages...
(c’est exact) ...doivent être
interprétés – et trois, chacun à son tour.
344 C’est exact, vous
voyez, parce que si vous
laissez... Bon, disons, par exemple, que vous aviez une réunion, qu’on
est
assis ici, et–et... Bon, ça servirait à quoi de laisser celui-ci parler
en
langues, celui-ci parler en langues, celui-ci parler en langues, et
celui-ci?
Voyons, on serait tous si désorientés qu’on ne saurait même plus ce
qu’on fait.
Voyez? Que trois, chacun à son tour... Disons que Hollin, il est en
train de
parler en langues; s’il parle en langues...
345 Il faut aussi qu’il y
ait un interprète.
Or il se peut qu’il n’y ait qu’un seul interprète – à moins que vous
n’interprétiez votre propre langue. Alors, vous... “Que celui qui parle
en
langues inconnues prie afin de pouvoir aussi interpréter.” Il peut
interpréter
ses propres langues, ce qui est tout aussi–tout aussi valide que si
c’était
fait par un interprète. Mais il faut qu’il y ait un interprète, avant
que les
langues puissent être... Si vous avez un tas de gens qui parlent en
langues et
qu’il n’y a pas d’interprète, alors vous-même, priez afin que vous
puissiez
interpréter ce que vous–ce que vous dites.
346 Or, ne faites pas ça
juste pour vous
enorgueillir, parce que, dans ce cas, vous ne faites que vous édifier
vous-même, vous voyez. Ne faites pas ça. Mais parlez en langues afin
d’édifier
Dieu, d’édifier l’église. Vous voyez, tout cela sert à une seule grande
cause,
frère. Ces dons ont pour but d’édifier Dieu, d’édifier l’église,
d’amener des
gens à Dieu, de leur faire reconnaître que Dieu est avec nous. Il n’est
pas un
Dieu mort, Il est un Dieu vivant, qui agit parmi nous. Voyez?
347 Et nous devons
vraiment surveiller ça de
très près, parce que, ah, mes amis, le diable déteste ça à mort, vous
voyez, de
voir de vrais, de véritables dons. En effet, les dons sont faibles,
alors il
peut vraiment agir sur les dons. Oh, mon vieux, oh, il peut vraiment
imiter
chacun d’eux. Alors, c’est pour cette raison que...
348 Maintenant regardez,
la différence entre
un don de prophétie et un prophète : ils sont à mille lieues l’un de
l’autre,
voilà à quel point ils sont différents. Avant qu’une prophétie, d’un
homme qui
a un don de prophétie, puisse même être répétée devant l’église, deux
ou trois
personnes doivent discerner cela et déclarer que “c’est vrai”. C’est
exact.
Mais pas un prophète. Voyez? Un prophète, c’est une fonction. Un don de
prophétie, c’est un don. Un prophète l’est de naissance, il a l’AINSI
DIT LE
SEIGNEUR, frère, il l’a de façon ininterrompue. Rien ne peut
s’infiltrer
là-dedans, vous voyez. C’est un prophète. Par contre, un don de
prophétie,
c’est un don, vous voyez. L’un est une fonction de Dieu, l’autre est un
don de
Dieu. Voyez? Voilà la différence.
349 Alors, les messages,
disons, par exemple,
voici comment ça se passerait. Bon, disons, par exemple, Frère Junie,
ce soir :
il interprète. Nous savons qu’il est un interprète. Frère Neville est
un
interprète, vous voyez, il interprète les langues. Nous savons ça.
Maintenant,
supposons que voici, nous sommes assis ici ce soir, oh, l’Esprit de
Dieu est
présent avec force pour parler. Oh! la la! Et nous ne... nous devons...
nous
devons... Attendez, la réunion va commencer dans quelques minutes. Vous
voyez,
nous–nous nous réunissons juste avant la réunion. Je mets ces choses en
ordre,
comme nous, on les aurait ici.
350 Eh bien, alors, tout à
coup, Frère Ruddell
se lève et parle en langues. Attendez un instant. Voyez? Junie se lève
d’un
bond : “AINSI DIT LE SEIGNEUR : ‘Telle et telle chose.’” Très bien,
quelqu’un,
ici, les scribes prennent en note, là, vous voyez, ce qui a été dit;
oui, il
faut le noter rapidement, parce que ça... saisir, aussitôt sorti,
exactement ce
qu’il a dit. Très bien, ils... Si–si c’est refusé, alors on–on fait
mieux de
laisser tomber, vous voyez, de déchirer ça. Par contre, si ce n’est pas
refusé,
s’ils sont deux à l’accepter, alors c’est mis par écrit ici, et ils y
apposent
leur signature. Voyez? Ça–ça–ça, c’est dans l’intérêt de votre église.
C’est...
Ce que je vous dis là, c’est dans votre intérêt, vous voyez, ça, je ne
sais pas
s’ils le faisaient au commencement ou pas.
351 Et tout à coup, Hollin
se lève d’un bond,
parle en langues. Or, il se peut que l’interprète lance le même
message, vous
voyez, il se peut que ce soit la même chose, une certaine chose qui
doit se
produire, une prophétie; vous voyez, quelque chose qui est sur le point
d’arriver, ou quelque chose que l’on doit faire. Tout de suite après,
Frère
Roberson se lève d’un bond, il parle en langues. Très bien. Il est
possible que
ce soit encore le même message, qu’on y donne la même interprétation,
vous
voyez, ou bien il est possible que ce soient trois messages.
352 Or Dieu ne va pas
lancer cinquante
messages le même soir. Ça, nous le savons. En effet, on–on ne pourrait
pas les
recevoir. Vous voyez? Mais cela sert à édifier l’église : si quelque
chose
opprime l’église, comme... ou s’il y a quelque chose qu’elle fait.
Voyez?
Alors, personnellement, je–je–je ne permettrais pas qu’il y en ait plus
que ça,
vous voyez, parce qu’il est dit là : “Qu’il y en ait trois, chacun à
son tour.”
Voyez?
353 Rien que trois, chacun
à son tour,
ensuite–ensuite je dirais : “Allez-y, mettez-les par écrit, et
posez-les là,
sur la chaire.” Voyez? Ensuite, le lendemain soir, nous nous réunissons
de
nouveau. Voyez? Et s’il survient autre chose d’ici au lendemain soir,
Dieu
l’annoncera dans l’un de ces messages-là. Vous voyez ce que je veux
dire? Qu’il
y en ait trois, chacun à son tour. Et je pense, là, que dans le Webster
il est
dit que la prophétie...
Est-ce
qu’une ques-... qu’un message qui ne prédit aucun événement futur peut
être
appelé “prophétie”?
354 Non. Si c’est une
prophétie, cela
prophétise, prédit quelque chose qui va s’accomplir. Ça aussi, c’est
vrai.
355 Très bien, et je
pense... Bon, celle-ci
est la dernière avant que nous passions à celles que j’ai ici.
120. Frère
Branham, est-ce que n’importe laquelle de ces... Frère Branham,
n’importe
laquelle de ces questions...
C’est écrit à la machine, et les caractères sont presque effacés. Est-ce que n’importe laquelle de ces
ques-... Frère Branham, n’importe laquelle de ces questions, si vous ne
vous
sentez pas conduit à y répondre ou à commettre... ou à commenter
(oui), à commenter, mettez-la de côté, cela ne
m’ennuiera pas du tout. Quelles sont, selon l’Écriture, toutes les
fonctions du
diacre?
356 Eh bien, je–je crois
qu’ils ont ça là-bas.
Si c’est l’un... Je sais que c’est l’un des diacres de notre église.
Donc, je
crois qu’ils en ont quelques exemplaires, là. Il faudrait faire faire
d’autres
copies de ça, si nous n’en avons plus, et donner ça à chacun de nos
diacres. Je
me demande si on pourrait faire faire une copie de ça, Gene, l’un...
ou, toi ou
Frère Léo, ou quelqu’un, environ, faites-en faire environ six ou huit,
et
remettez ça à nos diacres. Cela présente les fonctions, selon
l’Écriture, ce
que doit faire le diacre.
121. Dans
une situation où nous aurions une prophétie ou un message en langues
qui soit
donné de façon contraire au bon ordre, en pareil cas, comment
devrions-nous
corriger cela?
357 Maintenant, voilà un
bon cas d’urgence,
vous voyez. Voyez? Alors, que Dieu te bénisse, diacre qui as fait
mention de
ceci, parce que c’est là un bon point. Pour gérer cette situation, il
faut
mettre des gants de caoutchouc. Bon, si vous donnez un... Si quelqu’un
vient au
milieu de notre assemblée, ici, et donne un message ou une prophétie de
façon
contraire au bon ordre, il n’y a pratiquement rien que vous puissiez
faire,
s’ils ont déjà pris la parole. Voyez? Vous n’avez qu’à... Ils savent
que ces
gens ne respectent pas l’ordre et que cela va–cela va, pourrait gâcher
la
réunion. Voyez? Mais, dans ce cas, le mieux, c’est que les diacres
restent bien
tranquilles. Voyez? Parce que le prophète, sur l’estrade, en fait,
c’est lui
qui... Vous, vous êtes–vous êtes sa protection, vous êtes ses
policiers, vous
voyez, vous êtes les gardes qui nous entourent. Voyez?
358 Maintenant, si c’est
quelqu’un qui est de
notre ass-... Si elle n’est pas de notre assemblée, cette personne n’a
pas reçu
l’enseignement, vous voyez, elle n’a pas été formée. C’est ce que nous
voulons
voir établi ici, vous voyez, nous–nous savons ce qu’il faut faire. Nous
savons
comment former nos fidèles. Mais si elle n’est-elle n’est pas de notre
assemblée, eh bien, nous ne savons pas quel enseignement cette pauvre
personne
a reçu.
359 Par exemple, comme –
Billy se souvient de
ceci – à Costa Mesa, en Californie. Chaque fois que je m’apprêtais à
faire un
appel à l’autel, une femme se levait d’un bond, elle courait dans les
allées,
en parlant en langues, et elle démolissait carrément l’appel à l’autel.
Et je me
voyais contraint de partir. Ça se voyait que l’Esprit avait–avait été
attristé,
vous voyez. Rien n’attristera l’Esprit de Dieu si c’est fait avec
ordre. Voyez?
[espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] ...juste avant, elle se
préparait à
commencer, là, elle se préparait; en effet, je la surveillais. C’est ce
que
fait tout ministre, lorsqu’il voit quelque chose qui est contraire à
l’ordre.
Donc, cette femme était là-bas, au fond, et elle avait dit à Billy,
Billy me
l’a rapporté quand je suis arrivé ce soir-là, il a dit : “Papa, tu
sais, cette
femme qui a interrompu les–les appels à l’autel, les deux soirs?
– Oui.”
360 Il a dit : “Elle est
assise là-bas,” il a
dit, “elle a dit : ‘Gloire à Dieu, Billy, j’ai un autre message pour ce
soir!’”
361 Eh bien, alors, vous
voyez, je la
surveillais, là dans l’auditoire. Il y avait des milliers de personnes
présentes; c’est là que le Reader’s Digest a écrit cet article sur la
guérison
de Donny Morton, vous savez, Le miracle de Donny Morton. Donc, je
surveillais
cette femme, et juste au moment où j’allais faire mon appel à l’autel,
elle...
Bon, elle n’avait pas reçu l’enseignement, c’est tout; une brave femme,
sans
aucun doute. Mais elle a regardé autour d’elle, elle s’est mise à
arranger ses
cheveux. Elle avait les cheveux coupés, vous voyez. Donc, vous voyez,
elle
était membre des Assemblées ou de certaines des églises qui–qui
permettent ça.
Elle arrangeait ses cheveux. Elle s’est penchée et a remonté ses bas,
elle
s’est préparée, comme ça. Et juste au moment où j’allais faire l’appel
à
l’autel... J’ai dit : “Maintenant, combien ici, combien de personnes
présentes
en ce moment aimeraient s’avancer et–et donner leur cœur au Seigneur
Jésus?”
362 Elle s’est levée d’un
bond. J’ai dit :
“Asseyez-vous.” Et elle a commencé. J’ai dit : “Asseyez-vous!” Voyez?
Et, oh!
la la! tout le monde... Je me suis arrêté net. Elle a fait comme si
elle ne
m’avait pas entendu – de nouveau, j’ai hurlé. Cette fois elle m’a
entendu,
parce que j’ai presque secoué le bâtiment, debout juste là, devant ce
gros
microphone. Et elle s’est assise.
363 J’ai dit :
“Maintenant, pour en revenir à
ce que je disais, combien désirent s’avancer ici, à, et donner leur
cœur à
Dieu?” Et j’ai poursuivi la réunion, vous voyez.
364 Et ce soir-là, au
moment où je me dirigeais
vers le camion, j’ai été encerclé. Et voilà cette bande de femmes qui
étaient
là, comme une bande de poulets, vous savez : “Vous avez blasphémé le
Saint-Esprit.”
365 J’ai dit : “Ah oui?”
J’ai dit : “Comment
pourrais-je blasphémer le Saint-Esprit en suivant les ins-... ce que
déclarent
les Écritures?” Voyez?
366 Et cette femme a dit :
“J’avais un message
qui venait directement de Dieu.”
367 J’ai dit : “Mais vous
le donniez au
mauvais moment, soeur.” J’ai dit : “Je ne...
– Vous
dites que ce n’était–ce n’était pas de Dieu?”
368 J’ai dit : “Je ne
saurais vous dire,
madame.” J’ai dit : “Je–je–je crois que ça l’était, vous voyez.” J’ai
dit :
“C’est ce que je dis dans votre intérêt, là, je dis que ça l’était. Et
je crois
que vous êtes une brave femme, mais vous n’avez pas respecté l’ordre.”
369 Et il y avait là son
pasteur. Je savais
que c’était son pasteur, vous voyez. Et j’ai dit, je–j’ai dit : “Tout
ce que je
peux dire, c’est soit que vous avez été poussée par la chair, ou que le
pasteur
que vous avez, qui vous a formée, ne connaît rien des Écritures.” J’ai
dit :
“Il devrait venir causer des Écritures avec nous pendant un petit
moment. Ce
n’est pas bien, ça, vous ne respectez pas l’ordre. Vous avez causé la
perte de
beaucoup d’âmes avant-hier soir, et de beaucoup encore hier soir, et
vous
auriez fait la même chose ce soir.”
370 Et cet homme a dit :
“Frère Branham,” il a
dit, “je vous demande bien pardon!”
J’ai dit : “Que voulez-vous dire?”
371 Il a dit : “Elle avait
le droit de donner
ce message, vous aviez fini.”
372 J’ai dit : “J’étais
sur l’estrade, et
l’esprit des prophètes est soumis au prophète. Je suis encore sur
l’estrade.”
Et il a dit : “Eh bien...”
373 J’ai dit : “Je n’avais
pas fini mon
Message. Je faisais mon appel à l’autel, c’est-à-dire que je faisais la
récolte. J’ai jeté mon filet, et maintenant je le ramène. N’allez pas
jeter du
fil de fer barbelé là-bas, ou quelque chose qui viendra bouleverser ça,
vous
voyez.” J’ai dit : “J’étais encore en train de ramener mon filet.”
Et–et j’ai
dit : “Elle a fait obstacle à la–à la récolte de ces âmes. Les... Ça
sert à
quoi de prêcher, ou n’importe quoi, si on ne lance pas un appel, qu’on
n’amène
pas les pécheurs à s’avancer? Voyez?”
374 Et il a dit : “Eh
bien, son message était
plus frais que le vôtre. Le sien est venu directement de l’estrade...
Le sien
est venu directement de Dieu.”
375 J’ai dit : “‘Si
quelqu’un croit être
inspiré ou prophète, qu’il reconnaisse que ce que je vous dis, ce sont
les
commandements du Seigneur. Et, s’il l’ignore, eh bien, qu’il l’ignore.
Nous
n’avons pas cette coutume, non plus que l’Église de Dieu’”, je citais
Paul,
vous savez. J’ai dit : “Non, monsieur, ce n’était tout frais en rien!
Il...
Jésus a dit : ‘Que toute parole d’homme soit reconnue pour mensonge, et
que la
Mienne soit reconnue pour vraie.’ Paul a dit : ‘Même si un Ange du Ciel
venait
présenter autre chose que ce qui se trouve Ici, qu’il soit anathème.’”
J’ai dit
: “Monsieur, vous êtes complètement à côté de la plaque.” J’ai dit :
“Qu’est-ce
que vous avez comme église? Je parie que c’est un beau tas de
confusion. Voyez?
Si vous laissez ces gens faire ces choses, comment arrivez-vous à faire
un
appel à l’autel? Elle a un ministère, ils ont tous un ministère, mais
il y a
des moments pour exercer votre ministère, vous voyez, qui sont réservés
à
cela.”
376 Donc, c’est exact.
Non, et si une chose
comme celle-là se faisait dans notre église, comme ceci, par certains
de nos
frères ou sœurs ici, de l’église, qui parlent en langues, alors, les
diacres,
après la réunion, je pense que le conseil devrait avoir une rencontre
avec eux,
dire : “Permettez-moi de vous rappeler ce qui est dit sur une bande,
pendant
quelques instants, vous voyez.” Vous voyez, vous n’êtes que... Ou–ou,
le
pasteur, dites : “Je–je suis sûr que le pasteur désire vous parler.
Pourriez-vous, s’il vous plaît, vous joindre à nous, dans le bureau,
pendant un
petit moment, voyez, frère.” Alors, là, allez dans le bureau, et
parlez-lui
très gentiment. Voyez? Et dites...
377 Mais, bon, s’ils font
beaucoup de désordre
et qu’ils dérangent votre pasteur, vous voyez, si–s’ils dérangent votre
pasteur, alors vous, les anciens, devez vous approcher de cette
personne, et
lui dire : “Un instant.” Si le pasteur vous fait signe de les arrêter,
alors,
c’est que, là-bas, à l’avant, il a discerné que cet esprit, il...
qu’ils sont
en train de couper l’esprit de la réunion, vous voyez.
378 Donc, si le pasteur
s’arrête et qu’il
incline la tête avec respect, alors ne dites rien. Voyez? Ne dites
rien;
laissez faire le pasteur. Mais observez bien votre pasteur. S’il vous
fait
signe, comme ça, que vous devez faire cesser cela, alors approchez-vous
avec
l’amour de Christ, dites : “Mon frère, ma soeur,” selon le cas, “je
crois que
vous ne respectez pas l’ordre, puisque vous dérangez le prophète, vous
voyez.
Il a un message de la part de Dieu. Quand il aura terminé son message,
alors
nous nous occuperons de ça, un peu plus tard.” Vous voyez, si cela le
dérange.
379 Mais si c’est
quelqu’un du dehors, et que
le pasteur, avec respect, s’arrête là et attend un instant, alors il,
probablement qu’il continuera tout simplement après, vous voyez. Donc,
et si
vous remarquez, quatre-vingt-dix pour cent des fois, comme ça, les
interprétations, c’est toujours juste une citation de l’Écriture ou
quelque chose
du genre, c’est donc probablement une manifestation charnelle des deux
côtés.
Vous savez ce que je veux dire là. Voyez? Très bien.
122 .Est-il permis à plus
d’une personne de
prononcer un message en langues, s’il n’y a pas eu d’interprétation?
380 Non. Ils doivent être
apportés un par un.
Voyez? Une personne donne... Une personne parle, après quoi on donne
l’interprétation. Voyez? Ensuite, si quelqu’un d’autre parle,
l’interprétation;
parce que, sinon, l’interprète ne saura pas ce qu’il fait, parce qu’il
y a là
deux ou trois messages projetés vers lui en même temps, vous voyez, ce
qui
serait déroutant pour lui. Et Dieu n’est pas un Dieu de désordre, vous
voyez.
Alors, que quelqu’un parle, et que quelqu’un d’autre interprète. Voyez?
Ensuite... Donnez trois messages, mais que chaque message soit
interprété.
381 Ensuite nous aurons...
Par exemple, si
Frère Ruddell parle et que Frère Neville donne une interprétation,
Frère Fred
doit se taire. Vous voyez, il faut recevoir l’interprétation de cela.
Premièrement, il faut que ce soit jugé, premièrement, pour voir si cela
vient
de Dieu ou pas, en premier lieu. Voyez? Et, très bien. Maintenant, si
Frère
Ruddell parle, que Frère Beeler parle, que Frère Neville parle, le
pauvre
interprète a trois messages du même coup; qu’est-ce que–qu’est-ce que,
va-t-il
savoir où donner de la tête? Voyez? Laissez-le. Donnez le message,
ensuite
taisez-vous, attendez, c’est tout. Si un autre qui est assis près de
lui a une
révélation : qu’il se taise, qu’il se tienne tranquille. Voyez? Et là,
laissez
venir l’interprétation.
382 Alors, à ce moment-là,
mettez-la par
écrit, ensuite voyez ce que diront ceux qui exercent le discernement.
Voyez?
S’ils disent : “Eh bien, cela–cela vient de Dieu.” Très bien, voilà un
message,
vous voyez, posez-le là. Ensuite, attendez un instant. Et, tout à coup,
eh
bien, l’Esprit agit sur lui, alors c’est lui qui parlera. Ensuite,
l’interprète
attend un instant, pour voir ce que dira le Saint-Esprit. Le voilà qui
s’avance, pour annoncer ce message-là, vous voyez. Et alors, il va
mettre ça
par écrit, vous voyez. Et qu’il y en ait trois, chacun à son tour.
123. Frère
Branham, nous savons que vous êtes un messager envoyé par Dieu à cet
âge de
l’église. Nous voyons que les signes mêmes qui accompagnaient Jésus
vous accompagnent,
et nous sommes... comprenons pourquoi certains de ceux qui vous
connaissent le
mieux croient que vous êtes le Messie. Pourriez-vous expliquer la
différence
qu’il y a entre votre relation avec Dieu et celle de Christ avec Dieu?
383 Eh bien, je sais,
frères : c’est vrai.
Vous voyez, mais, attendez, j’ai noté quelque chose à ce sujet, ici, je
ne
prendrai qu’un instant. Vous voyez, c’est souvent mal compris. Voyez?
Mais,
bon, par la personne, parfois. J’aimerais que quelques-uns d’entre vous
prennent
avec moi Luc, au chapitre 3, et au verset 15. Pendant que vous le
faites,
permettez que je vous dise, quand vous l’aurez trouvé, là, c’est Luc 3,
– que,
il se pourrait, c’est... Permettez que je... Je ne vais pas fermer la
porte,
parce qu’il n’y a personne là-bas. Permettez–permettez-moi juste de
vous
transmettre ceci, frères. Vous l’avez entendu, c’est quelque chose qui
circule
partout. Mais disons, je vais vous dire une chose, vous voyez : il faut
que ça
se passe comme ça. Il faut nécessairement que ça se passe comme ça. Si
ce
n’était pas comme ça, je me repentirais de mon message.
384 Écoutez, frères, je
vous adjure, devant
Christ, vous–vous–vous devez garder le silence sur ce que je vais dire
ici –
mais si vous étiez spirituels, vous comprendriez. Voyez? Ne savez-vous
pas
quelle est la toute première chose qu’Il a dite, là-bas à la rivière?
Ne vous
souvenez-vous pas de ce qu’Il a dit? “Comme Jean-Baptiste a été envoyé
comme
précurseur de la première venue de Christ, ton Message...” C’est le
Message qui
sera précurseur de la seconde Venue de Christ. C’est ce qu’a dit l’Ange
du
Seigneur.
385 Maintenant, maintenant
remarquez. Donc :
“Comme Jean-Baptiste...” Bon, vous avez tous entendu ça. Vous l’avez lu
dans
les livres, et vous l’avez entendu de gens qui se trouvaient là et qui
L’avaient entendu, et tout ça, au moment où l’Ange Lui-même a prononcé
ce
message : “Comme Jean-Baptiste a été envoyé comme précurseur de la
première
venue de Christ, tu as été envoyé avec ce Message, qui sera le
précurseur de la
seconde Venue de Christ.” Donc, “le Message”.
386 Maintenant, si vous
remarquez, et je...
C’est le petit Willie, là-bas, qui a mis mon nom sous cette étoile,
là-bas, et
c’est pour ça que j’ai laissé passer, vous voyez. C’est que je–je ne
pense pas,
– là, je vais être aussi honnête que possible, – je ne pense pas avoir
quoi que
ce soit à voir avec ce messager-là, vous voyez. C’est vrai. Je crois
que,
peut-être, j’ai été envoyé pour remplir un rôle dans Son Église, pour
pousser à
la roue afin de faire avancer ce Message, jusqu’à ce qu’il soit à la
hauteur,
au moment où ce précurseur viendra, car il viendra.
387 D’autre part, je crois
que, du fait que je
suis ce que je suis, je... je crois que j’ai le Message du jour. Je
crois que
ceci est la Lumière du jour, et je crois qu’elle indique ce temps qui
viendra,
vous voyez, je crois que le Message, ce qu’Il a dit là-bas, “le Message
que tu
as”. Or, si vous remarquez, cette Étoile qui s’est levée, à cette
époque-là,
était...
388 Je vais présenter
ça... Je sais que je–je
suis à court de temps, là, et j’ai encore d’autres questions ici, qui
sont
vraiment très bonnes. Je ne veux pas... Il est–il est déjà vingt-deux
heures
passées, alors, et je sais que vous désirez rentrer chez vous. Voyez?
Mais
écoutez bien. Je vais vous montrer quelque chose. Voulez-vous
m’accorder
juste–juste quelques instants de plus? Bien, bien.
389 Maintenant regardez,
permettez-moi de dire
quelque chose. Maintenant, vous les frères, gardez ceci pour vous.
Voyez?
Gardez ceci pour vous, là. Je me dois de bien vous faire comprendre ce
qu’il en
est, parce que vous êtes mon pasteur... vous êtes mes pasteurs, et
tout, vous
voyez, alors je–je me dois de le faire. Et vous êtes des frères qui
travaillent
avec moi, pour le Message. Voyez?
390 Or, pour ma part, moi,
en tant qu’homme,
je suis comme vous, même pire que vous. Je–je–je... Bon nombre d’entre
vous ont
grandi dans un milieu chrétien, et tout ça. “Je suis le pire des
pécheurs”,
comme il a été dit une fois, “parmi vous.” La vie la plus minable, à
mon avis,
qu’on puisse mener en étant un incroyant et un douteur – c’est ça que
j’étais.
391 Par contre, dès mon
enfance, j’ai toujours
su qu’il existait un Dieu, et je savais que quelque chose s’était
produit dans
ma vie. Et ça–ça, c’est incontestable, mes frères. Voyez? Mais
permettez-moi de
dire ceci : il viendra–il viendra un Message, et il viendra un
messager. Je
crois que, s’il s’agit d’un homme, ce–ce sera quelqu’un qui viendra
après moi.
Voyez? Ce sera... Mais ce Message que je prêche est le vrai Message de
notre
jour, et c’est le dernier Message. Vous voyez ce que je suis en train
de faire,
là, frères? Je vous place, vous, dans la même position que moi, puisque
vous en
êtes partie intégrante autant que moi. Vous êtes des messagers de ce
même
Message.
392 Tenez, je vais vous en
faire une
illustration. Je–je pense pouvoir mieux présenter ça en faisant une
illustration. Je vais refermer juste un peu cette porte un instant.
Ceci, c’est
Jésus, et cela, c’est Jésus; bon, je vais placer ceci de ce côté,
Gethsémané, ceci
ici, et là. Or, on ne peut pas... Je n’ai même pas dit ceci devant
l’église,
là-bas. Maintenant souvenez-vous, quelle sorte de lumière (d’étoile) a
conduit
les hommes qui cherchaient la sagesse, “pour nous guider vers Ta
Lumière
parfaite”?
393 Maintenant, je vais
éclaircir quelque
chose ici, pendant un instant, et vous dire quelque chose. Ôtons tout
de suite
cette chose-là de... ce que Willie a fait là, alors disons que c’est
juste.
Disons donc que c’est juste. Moi, je ne pourrais pas dire ça, frères.
Ce serait
d’être un grand prétentieux. Ça, je ne... Même si je le croyais, je ne
le
dirais pas. Voyez? Si quelqu’un d’autre le dit, c’est son affaire.
394 Mais, tenez, par
exemple, on m’a demandé
si je serais d’accord que quelques-uns des frères rendent témoignage de
quelques-unes des choses qui se sont produites. Je n’aime pas monter en
chaire
pour rendre témoignage de quelque chose qui s’est produit pendant les
réunions.
Que l’organisateur ou quelqu’un d’autre le fasse; quelqu’un d’autre
s’en
charge. Je n’aime pas le faire.
395 [Un frère dit : “Ils
sont même venus à
Jean, en disant : ‘Es-tu le Christ?’”–N.D.É.] Oui, c’est ça, voilà où
je veux
en venir. [“‘Es-tu ce Prophète?’”] Il l’a nié. [“Il n’a dit ni l’un ni
l’autre,
il a dit : ‘Je ne suis que celui qui crie dans le désert.’”] “La voix
de celui
qui crie dans le désert.” Il a précisé lui-même sa position.
396 [Un autre frère dit :
“Ils lui ont demandé
s’il était ce Prophète, et il a dit : ‘Je ne le suis pas.’”–N.D.É.]
Oui. Bon.
En effet, le Prophète en question, c’était Celui dont Moïse avait
parlé. Vous
voyez, c’était Celui-là le Prophète, vous voyez. Voyez? Mais il savait
qui il
était, vous voyez. Mais il a bien dit, là, il l’a bien dit, vous voyez,
il a
bien dit : “Je suis la voix de celui...” C’était lui. Il–il a déclaré
ce qu’il
était. Voyez? Mais il était un...
397 Allez-y. [Un frère dit
: “Là, quand Christ
est arrivé, après Jean, ils sont venus à Lui, en disant : ‘On nous a
appris à
croire qu’Élie allait venir avant le Messie.’ Il a dit : ‘Si vous
pouvez le
comprendre.’”–N.D.É.] C’était lui. C’est exact. C’est exact. Et Jean
répétait
constamment : “Je ne suis rien! Je ne suis rien! Je ne suis pas digne
de délier
le cordon de Son soulier!”
398 Mais Jésus, Lui, quand
Il a parlé de lui,
qu’a-t-Il dit? Il a dit : “Qui êtes-vous allés voir?” Oui. Oui.
“Êtes-vous
allés voir un roseau agité par le vent? Ou, qu’êtes-vous allez voir? Un
homme
vêtu de beaux habits, le luxe et tout ça?” Il a dit : “Ceux-là sont
dans les
palais des rois. Mais êtes-vous allés voir un prophète? Oui, vous
dis-Je, et
plus qu’un prophète.” Il était plus qu’un prophète, il était messager
de
l’alliance. Voilà ce qu’il était. Il était plus qu’un prophète. Il a
dit :
“Jusqu’à ce jour, il n’y a jamais eu un homme né d’une femme qui ait
été aussi
grand que lui.” Voyez?
399 Voilà ce que c’était,
vous voyez, il était
messager de l’alliance. Il est celui qui a présenté, qui a dit : “C’est
Lui.”
Tous les autres prophètes avaient parlé de Lui, mais Jean a dit :
“C’est Lui.”
Voyez?
400 Maintenant regardez
bien. Maintenant
remarquez. Les mages ont suivi une étoile. Je vais présenter la chose
d’un
point de vue plus secondaire, vous voyez. Les mages ont suivi une
étoile, ils
ont demandé : “Où est le Roi des Juifs qui vient de naître?” Vous avez
entendu
ce chant. “Nous avons vu Son étoile en Orient, et nous sommes venus
pour
L’adorer.” Vous avez entendu ça, vous l’avez lu dans l’Écriture. Très
bien :
Vers l’ouest tu nous
conduis, toujours nous avançons,
Guide-nous vers Ta
Lumière parfaite.
401 Vous voyez, l’étoile
guidait vers la
Lumière parfaite, parce que l’étoile ne faisait que réfléchir la
Lumière. C’est
là ce qu’on a eu ici, l’autre jour. Voyez? Combien étaient ici
dimanche, ont pu
voir ça? Vous voyez, je venais de prêcher là-dessus. La Gloire de la
Shekinah
s’est reflétée dans l’étoile, et l’étoile réfléchit Celle-ci. De même,
l’Ange
du Seigneur, qui se trouvait ici, sur l’estrade, L’a réfléchie là-bas,
réfléchi
la Gloire de la Shekinah. Exactement la même chose. C’était là,
exactement. De
voir la vraie ici, et de La voir là-bas, réfléchie de ce côté, comme
ça. Voyez?
402 Maintenant remarquez
ceci : or cette
étoile s’était levée en Orient. Pas vrai? C’était une étoile
extraordinaire.
Bien. Et, en fait, qui était l’étoile terrestre au moment de la venue
de Jésus?
Jean, bien sûr. C’est lui qui les a guidés vers cette Lumière parfaite.
Pas
vrai? Ça, c’était en Orient, au moment où Jésus a paru la première
fois. Bon,
et là de nombreuses petites étoiles font leur trajet sur l’horizon,
jusqu’à ce
qu’arrive l’étoile du soir.
403 Et l’étoile du soir
brille le soir.
L’étoile du matin brille le matin. Et toutes deux sont des étoiles de
la même
taille et du même type. Maintenant, faites le rapprochement, et vous
saisirez,
voyez. Voyez, voilà, c’est ça. Donc, ce n’est pas l’étoile, ce n’est
pas elle
le Messie : elle ne fait que refléter le Messie.
404 Or, l’étoile ne
réfléchit pas sa propre
lumière. L’étoile réfléchit la lumière du soleil. Pas vrai? [Un frère
dit :
“Non.”–N.D.É.] Hein? [“Dans un sens. C’est la lune qui fait cela; les
étoiles,
elles, réfléchissent leur propre lumière.”] Oui. Oui, la lune, oui,
elle ré-...
ce que je veux dire, c’est que la lune réfléchit cette lumière. Oui.
Oui–oui.
Maintenant, si–si l’étoile réfléchit sa lumière, alors sa lumière doit
obligatoirement provenir du... de Dieu, puisque c’est, en quelque
sorte, un
glacier. N’est-ce pas? [Le frère dit : “Un soleil.”] Pardon? Elle est
elle-même
un soleil, issu du soleil. [“Ces soleils sont plus loin d’ici que notre
soleil.”] Oui. Et ils, on nous dit que ces soleils-là proviennent du
grand
soleil. Le soleil a craché ces missiles, et ce sont de petits missiles
qui
brûlent, comme le soleil. Donc, ils sont pour nous des soleils
“amateurs”. Pas
vrai? Des luminaires “amateurs”. [“Quelques-uns sont... la plupart
d’entre eux
sont plus grands que notre soleil.”] Je veux dire, pour nous, pour
nous, vous
voyez. C’est de nous-mêmes que nous parlons, là. Très bien.
405 Donc, s’ils sont pour
nous des soleils, ou
des émetteurs de lumière, ils sont une partie de l’émetteur principal.
Voyez?
Le grand soleil nous donne la grande lumière, la lumière parfaite. Les
petits
soleils, ou les petites étoiles, ces corps que nous pouvons voir,
peut-être
qu’ils dépassent de beaucoup le–le soleil qui brille : par contre, ce
qu’ils
reflètent, pour nous, c’est une lumière moindre. Mais ils ne font que
rendre
témoignage d’une lumière. Pas vrai? Alors, quand le grand soleil se
lève, les
petits soleils s’éteignent. Pas vrai? Pour nous ils ne sont pas le–le
soleil,
ils sont des réflecteurs, semblables au soleil. Vous voyez ce que je
veux dire?
406 Or, la plus grande
d’entre elles, le
matin, celle qui proclame l’arrivée du soleil – pour le coucher du
soleil et
l’arrivée du soleil, il y a l’étoile du matin et l’étoile du soir. Pas
vrai?
Les deux étoiles parmi les plus grandes, l’étoile de l’est et l’étoile
de
l’ouest.
407 Alors, là, vous voyez
ce qu’il en est?
Élie était le messager qui devait acclamer, proclamer l’arrivée de
l’étoile de
l’est, et il a été prédit que ce serait lui qui proclamerait l’arrivée
de
la–l’étoile de l’ouest, ou la venue, de nouveau, d’un jour nouveau,
après que
ce jour-ci sera passé. Maintenant vous voyez ce que c’est?
408 L’est, “la lumière
paraîtra au...” Vous
voyez, juste avant que soit proclamée l’arrivée du Soleil sur la terre,
l’étoile du matin en a rendu témoignage, là : “Le Soleil arrive.” Pas
vrai?
Vous voyez, c’est ce qui fait paraître l’étoile du matin. Bon, eh bien,
l’étoile du matin et l’étoile du soir sont des étoiles du même type, et
il y a
de petites étoiles un peu partout entre elles. Vous voyez ce que je
veux dire,
n’est-ce pas? Les messagers.
409 Bon, eh bien, Lui, Il
était considéré
comme l’Alpha et l’Oméga, le Commencement et la Fin, la pierre de Jaspe
et de
Sardoine. Vous voyez ce que je veux dire? Maintenant, comme la venue
de–de
Christ approche, alors le Message que devait prêcher Élie dans les
derniers
jours, si l’histoire se répète... Tout comme l’étoile du matin proclame
la
venue, là, l’étoile du soir proclame la venue d’un jour nouveau, d’un
autre
jour. Voici venir le soleil, alors elle proclame le–le départ du–du
soleil que
nous avons eu et la venue d’un soleil nouveau, vous voyez, d’un âge
nouveau,
d’un temps nouveau qui arrive.
410 Maintenant écoutez, là
: Alors, si Jean a
apporté son message et proclamé la première venue de Christ, et qu’au
dernier
jour Élie arrive, le prophète a dit : “Vers le soir la Lumière
paraîtra.”
Autrement dit, vers le soir il y aurait une Lumière.
411 Le luminaire du soir,
le plus grand
luminaire du soir que nous avons, c’est l’étoile du soir, le plus grand
luminaire que nous avons. Eh bien, alors, elle devra obligatoirement
proclamer
le même message que cette autre étoile. Elle proclame l’arrivée du
soleil, elle
annonce le soleil.
412 Eh bien, nous sommes
maintenant au temps
du soir, les Lumières du soir sont là. Cet âge n’est plus. Vous voyez
ce que je
veux dire? Ce jour est passé, et il y aura proclamation de l’arrivée
d’un autre
Jour.
413 Voyez, c’est qu’en
fait... Si quelqu’un
était à l’ouest, et regardait en direction de cette étoile, elle serait
à
l’est. Alors, voyez, “nous avons vu Son étoile en Orient”, mais ils
étaient, en
fait, ils étaient–ils étaient à l’est, regardant en direction de
l’ouest, de
cette étoile. Pas vrai? Les mages étaient là-bas, en Occident...
là-bas, en
Orient, ils regardaient là en direction de l’étoile occidentale. Vous
voyez ce
que je veux dire? Mais, pour ceux qui étaient à l’ouest, c’était une
étoile
orientale.
414 Vous voyez, comme nous
disons... Je dis
toujours : “En bas c’est en haut.” Qui vous dit que ce n’est pas vrai,
ça? Nous
nous trouvons dans l’Éternité, alors il est possible que le pôle Sud
soit en
haut et que le pôle Nord soit en bas. Nous ne savons pas. Vous voyez,
pour
monter il faut descendre. Voyez? Nous sommes... Nous quitterons ceci;
après
ceci, nous entrerons dans l’Éternité. C’est l’acclamation, la
proclamation de
l’arrivée d’une Éternité, d’un jour différent, d’un temps différent,
et,
totalement différent.
415 Nous sommes maintenant
au temps du soir.
Nous croyons ça. Nous croyons que la venue du Seigneur est proche. Très
bien.
Alors, s’il en est ainsi, dans ce cas, il faut qu’il y ait une Lumière
du soir.
Et la Lumière du soir, selon Malachie 4, devait “ramener le cœur des
enfants
vers les pères”, les ramener au commencement.
416 Or, la première fois
qu’il est venu, il
ramenait le cœur des pères vers les enfants. Ceux qu’il a réunis autour
de lui,
c’étaient les enfants. Il devait ramener les enfants... le cœur des
pères (des
anciens, des vieux pères orthodoxes), les ramener à cette lumière qu’il
proclamait là.
417 Mais, quand il
revient, il doit faire
l’inverse, l’avez-vous remarqué, – avant que le monde soit détruit,
avant “le
jour de l’Éternel, ce jour grand et terrible”, – “ramener le cœur des
enfants
vers les pères” : l’étoile du soir–du soir qui, à cette époque-là,
était
l’étoile du matin. Amen.
418 J’espère–j’espère que
ma perception est
bonne, vous voyez. L’étoile du soir, qui était l’étoile du matin, parce
que
c’est la même étoile. Nous sommes à l’ouest, regardant en direction de
l’est.
Eux, ils étaient à l’est, regardant en direction de l’ouest. C’est
exactement
la même étoile. Vous voyez ce que je veux dire? C’est l’endroit où on
est, vous
voyez, qui détermine si c’est l’étoile de l’est ou l’étoile de l’ouest.
Vous
voyez ce que je veux dire? Très bien.
419 Maintenant elle
ramène... L’un ramène la
foi des pères vers les enfants; et cette fois, il s’agit de “ramener la
foi des
enfants vers les pères”. On a bouclé la boucle, on revient au point de
départ.
Vous voyez ce qu’on veut dire, n’est-ce pas? Vous voyez ce que je veux
dire?
C’est toujours la même étoile. La même chose, le même Message, la même
chose
qui revient, de nouveau. Elle est arrivée ici.
420 Alors, comment
savez-vous dans quelle
direction vous allez? Je crois que l’heure viendra où ils découvriront
qu’en
fait le monde ne se déplace même pas. Je crois ça de tout mon cœur. Je
ne crois
pas... quel que soit le nombre de preuves scientifiques qu’ils
apportent à cet
effet, ou quoi encore. Ils ont présenté beaucoup de preuves
scientifiques
qu’ils ont été obligés de rétracter. Dieu a dit que le monde s’est
arrêté... le
soleil. Je veux dire, que le soleil s’est arrêté, non pas le monde.
Vous voyez,
le soleil. À vrai dire, je ne crois pas que le soleil, je–je–je ne
crois pas
que le soleil fait ce qu’ils disent qu’il fait. Je sais que la lune se
déplace,
et je crois que le–le soleil se déplace aussi. Voyez?
421 Mais certaines
personnes disent : “Il a vu
l’ignorance de Josué, vous voyez, et”, ils disent, “Il a arrêté le... a
dit
que...” Eh bien, il a dit : “Il a arrêté le monde.”
422 J’ai dit : “Dans ce
cas, vous m’avez dit
que ‘si le–si le monde s’arrêtait un jour, il serait projeté dans
l’espace
comme une comète’. Voyez?” J’ai dit : “Alors, qu’est-ce qui s’est passé
là?”
423 Je parlais à M.
Thiess, ici, qui est
enseignant de la Bible à l’école secondaire, – vous savez de qui il
s’agit, –
mais c’est ce qu’il m’a dit. J’ai dit : “Je crois ce que la Bible dit,
que le
monde s’est arrêté...” J’ai dit : “Je veux dire, ‘le soleil s’est
arrêté’.
Josué a dit au soleil : ‘Arrête-toi!’, et il est resté immobile.”
424 Il a dit : “Eh bien,
Il a juste arrêté le
monde, Il a vu l’ignorance de Josué.”
J’ai dit :
“Dans ce cas, faites la même chose par votre intelligence.” Voyez?
425 [Un frère dit : “Je
crois qu’ils peuvent
démontrer scientifiquement pendant combien de temps le–le soleil s’est
effectivement arrêté.”–N.D.É.] Oui, là ils... Ça aussi, je l’ai
entendu. Oui,
ils prétendent – il y a quelque temps, j’ai entendu un astrologue
parler de ça
– qu’ils peuvent le prouver. Et qu’au même moment où ils... qu’il
s’était
produit quelque chose dans l’atmosphère, ils ont vu qu’il s’était
produit
quelque chose dans le ciel, et c’est ce qui aurait ouvert la mer Rouge
à ce
moment-là, et tout. Ils ont prouvé tout ça. C’est quelque chose, ah,
mes amis,
je vous le dis : des astres qui se trouvaient très loin, ailleurs, qui
ont
provoqué quelque chose du genre à ce moment-là. De toute façon, ça,
c’est trop
profond pour nous.
426 Bon, alors, la raison
pour laquelle ce
Message... Ce Message devra vraiment être considéré ainsi, pour prouver
qu’il
est bien ce qu’il est. Or, nous savons, frères, que l’homme ne peut pas
être
Dieu. L’homme, et pourtant il est un dieu, chacun de vous est un dieu.
Vous
avez été créé pour être un dieu, mais pas pendant que vous êtes dans
cette
vie-ci. Voyez? Jésus était un homme, tout comme nous, mais Dieu était
en Lui.
La plénitude de Dieu était en Lui; nous, nous avons une mesure de
l’Esprit.
427 Mais, étant donné que
cette Lumière est
arrivée, et si Elle est bien la Lumière véritable, qui doit proclamer
le
Message que Jean-Baptiste a proclamé, et c’est bien ce qu’Il a dit
qu’il avait
fait, là-bas à la rivière... Et, regardez un peu, comment est-ce que ça
pourrait–comment est-ce que ça pourrait être autre chose? Regardez-moi,
vous
voyez, je n’ai même pas complété mes études primaires. Quand Il m’a dit
les
choses qui allaient arriver, pas une seule de ces choses n’a failli.
Pas une
seule de ces choses n’a failli, à aucun moment. Regardez ce qu’Il a
fait.
Regardez, Il a même...
428 Et j’ai dit aux
frères, bien des années en
arrière, – je ne sais pas lequel d’entre nous est le plus âgé, – mais
je leur
ai dit ces choses, que j’avais vu cette Lumière et de quelle couleur
Elle
était, et tout. Maintenant la photo le montre, que c’est bien vrai. La
vérité
de toutes ces choses a été démontrée. Pas vrai? Eh bien, alors, si
c’est
vrai... Et c’est bien la Lumière.
429 Maintenant, commencez
environ quat-...
[espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] ...plus haut que ce verset
35, là,
ou, je veux dire, le... Commençons vers le verset 14, frère. Qui a le
verset?
Très bien. Commencez vers le verset 14, du chapitre 3 de Luc, là. [Un
frère lit
Luc 3.14-16.]
Des
soldats aussi lui demandèrent : Et nous, que devons-nous faire? Il leur
répondit : Ne commettez ni extorsion ni fraude envers personne, et
contentez-vous de votre solde.
Comme
le peuple était dans l’attente, et que tous se demandaient en eux-mêmes
si Jean
n’était pas le Christ,
Il
leur dit à tous : Moi, je vous baptise d’eau; mais il vient, celui qui
est plus
puissant que moi, et je ne suis pas digne de délier la courroie de ses
souliers. Lui, il vous baptisera du Saint-Esprit et de feu.
430 Très bien. Qu’est-ce
qu’il y avait? Le peuple
était dans l’attente de voir paraître le Messie, à un point tel que
lorsqu’ils
ont vu ce grand ministère oint, d’un homme qui sortait du désert, qui
faisait
sa campagne et qui retournait dans le désert, beaucoup d’hommes, et
c’étaient
ses propres disciples, ont dit : “Il est le Messie.” Ils s’attendaient
à ça,
vous voyez.
431 Alors, si ceci est
bien le vrai Message de
Dieu, précurseur de la Venue, de Jean-Baptiste, le même... comme, la
même
chose, le Message d’Élie, on en pensera forcément la même chose. Voyez?
Donc,
cela répond à cette question, je pense, tout à fait. Voyez? Forcément
qu’on en
pense la même chose. Voyez?
432 [Un frère demande : “Y
a-t-il quelque
chose que nous devons faire pour essayer de venir en aide à quelqu’un
qui se
retrouverait dans ce genre de–de situation conflictuelle? Ou, que
pourrions-nous faire?”–N.D.É.] Il n’y aurait rien à faire, il n’y a
rien que
vous puissiez faire. [“Une mentalité réprouvée... Est-ce qu’on pourrait
alors
finir par avoir une mentalité réprouvée?”] Eh bien, cela deviendrait
une
mentalité réprouvée, si on en venait à ceci : si cet homme, dont on
disait
cela, attestait qu’il était le Messie, alors nous saurions qu’il s’agit
là d’un
faux christ. Voyez?
433 Vous voyez, tant que
l’homme lui-même
garde sa position, vous voyez. Par exemple, ce qu’ils disaient à Jean,
Jean n’a
pas... Il n’est pas fait mention là qu’il ait dit quoi que ce soit à
leur
sujet. C’étaient–c’étaient les–les gens, les–les Chrétiens charmants
qui... ou,
les croyants qui avaient foi en Jean.
434 Ils disaient :
“Assurément, cet homme est
un prophète de Dieu, il n’y a pas de doute.” Ils disaient :
“N’es-tu–n’es-tu–n’es-tu–n’es-tu–n’es-tu pas ce Prophète?”
Il a dit : “Non.”
435 Il a dit : “Mais,
n’es-tu–n’es-tu–n’es-tu
pas le Messie?” Vous voyez, ils–ils pensaient qu’il était réellement
Celui-ci.
Voyez?
Il a dit : “Non.” Voyez?
“N’es-tu–n’es-tu–n’es-tu pas,
qui–qui es-tu donc?”
Il a dit : “Je suis la voix de celui
qui crie dans le désert.”
436 Et là, la Bible dit :
“Comme le peuple
était dans l’attente.” C’était qui, ça? Ses auditeurs, son public, ses
disciples, ses frères. Voyez? Or eux, ils ne voulaient pas lui faire du
tort,
ils ne cherchaient pas à lui faire du tort. Mais, vous voyez, dans leur
cœur,
ils–ils pensaient vraiment qu’il était le Messie.
437 Bon, eh bien, il faut
que l’histoire se
répète, chaque fois. Nous savons ça. Il faut qu’elle se répète.
438 Prenez, par exemple,
dans Matthieu 3, là,
il est dit : “Afin que s’accomplît ce qui avait été annoncé par le
prophète :
‘J’ai appelé mon fils hors d’Égypte.’” Or, ce n’était pas... Ça se
rapportait à
Jésus, le Fils; mais allez chercher la référence : il s’agissait aussi
de
Jacob, le fils. Voyez? Voyez? Toutes ces choses ont plus d’un sens.
439 Donc, maintenant, si
cela... si–si cette chose-là
ne surgissait pas, je continuerais à maintenir qu’elle surgira dans le
futur,
parce que je sais que ce Message vient de Dieu et qu’il est précurseur
de
Christ; et qu’il s’agit bien de l’Esprit et de la puissance d’Élie,
puisqu’il
doit ramener le cœur des enfants. Absolument tout le confirme, donc ça
ne peut
pas faire autrement que susciter quelque chose du genre, parmi les gens
qui
sont vrais, qui–qui croient réellement, et qui sont vos frères et vos
amis.
440 Or, on m’a... J’ai un
médecin ici même,
dans cette ville. Je peux vous parler d’un médecin... Je ne vais pas
vous dire
qui c’est, un ami à moi, qui m’a donné l’accolade en disant : “Billy,
il me
serait facile de te dire que ‘tu es le Messie de Dieu pour ce dernier
jour’.”
Voyez?
J’ai dit : “Docteur, ne fais surtout
pas ça.”
441 Il a dit : “Eh bien,
je ne vois personne
au monde qui ait déjà eu quoi que ce soit, dit les choses et fait les
choses
que tu fais, Billy.” Cela l’a beaucoup aidé, vous voyez. Il a dit : “Je
vais
dans ces églises, je vois ces prédicateurs et tout,” il a dit, “toi, tu
es
différent d’eux, et je sais que tu n’as pas d’instruction.” Voyez? “Et
je sais
que tu n’es pas un psychologue, parce que tu... la psychologie ne peut
pas
faire ces choses.” Voyez?
Et j’ai dit : “C’est vrai, docteur.”
442 Il est inutile d’en
parler avec lui, parce
qu’il ne sait même pas; avec lui, on n’arriverait même pas au premier
but, vous
voyez, parce qu’il ne sait pas ce qu’il faut faire. Mais, c’est ça,
vous voyez.
443 Je connais une femme
de couleur qui habite
dans ma rue, et elle travaille pour un autre homme que je connais, et
la femme
de cet homme a téléphoné, elle a dit : “Cette femme serait carrément
prête à
vous vénérer comme un dieu, parce qu’elle se mourait d’un cancer, et
vous avez
imposé les mains à cette femme et avez dit qu’elle...” Cette femme pour
qui
elle travaille, son mari et un certain médecin (pas le médecin dont je
parlais,
un autre médecin) jouent au golf ensemble, et tout ça, et celui-ci
avait
abandonné son cas. C’était donc la bonne de son copain, qu’il avait
condamnée,
et elle a été guérie, absolument. Et le médecin n’en trouvait même plus
la
moindre trace, de ce cancer. Et, vous voyez, elle serait prête à
dire...
444 Or, ce qu’ils veulent
dire par là, ce
n’est pas ce que je pense qu’ils veulent dire, ou ce que nous supposons
qu’ils
veulent dire. Voyez? Ce qu’ils veulent dire, c’est qu’ils–qu’ils... Ce
qu’ils
veulent dire, c’est qu’ils croient que Dieu est avec nous, en nous,
qu’Il agit
à travers nous, et non pas qu’un individu est Dieu, vous voyez. En
effet, ils
savaient que Jean n’était qu’un homme.
445 Et Jésus aussi n’était
qu’un homme. Jésus
n’était qu’un homme, Il est né d’une femme, Il lui a fallu mourir. Pas
vrai?
C’était un homme, il fallait qu’Il mange et qu’Il boive, Il a eu faim,
Il a
pleuré, Il a eu soif, et tout, c’était un humain autant que vous, un
humain
autant que moi. Mais l’Esprit de Dieu était en Lui, dans Sa plénitude,
sans
mesure. Il était omnipotent, de par cette puissance.
446 Tandis qu’Élie, ce
n’était qu’une portion
de cet Esprit; il avait peut-être été oint un peu au-dessus de ses
frères, mais
ce n’était qu’une portion de l’Esprit. Mais les gens attendaient le
Messie. Et,
en voyant cette portion au-dessus de leurs frères, ils ont dit : “Oh!
la la! ce
doit être Lui!”
447 Mais quand Lui a
commencé à briller, la
petite lumière de Jean s’est éteinte. Voyez?
448 De même, ces petites
lumières
s’éteindront, lorsque Lui viendra, ce glorieux Oint, le Christ du Ciel,
qui
paraîtra de l’orient jusqu’en occident. Et... et... Voyez? Mais Il ne
sera pas
sur la terre, là, le Messie ne sera pas sur la terre avant que le
Millénium
commence. Voyez? Voyez? En effet, l’Église, “nous serons tous ensemble
enlevés
à la rencontre du Seigneur dans les airs”. Il ne vient pas sur la
terre. Il
enlève Son Épouse.
449 Il se sert d’une
échelle, vous savez,
comme... Ça s’appelait comment, déjà, Léo, cette pièce où l’homme a
posé
l’échelle contre la maison? Roméo et Juliette. C’est ça. Il a posé
l’échelle et
a enlevé discrètement son épouse.
450 Maintenant, voici
qu’Il descend par
l’échelle de Jacob, et dit : “Psitt, Chérie, viens par ici.” Vous
voyez, nous
allons monter à Sa rencontre.
451 [Un frère demande :
“Frère Branham, par
rapport à cela, alors, est-ce que ceci serait exact? Ces gens sont
venus à
Jean-Baptiste, et ils voulaient l’appeler le Messie. Une fois, je vous
ai
entendu dire que les Juifs croient que le Messie est Dieu.”–N.D.É.]
Vous dites?
[“Je dis : Ces gens sont venus à Jean-Baptiste, pensant qu’il était le
Messie,
le Christ. Une fois, je vous ai entendu dire que, d’après les Juifs, le
Messie
sera Dieu.”] Oui, monsieur. C’est exact – le “rabbin”.
452 [Un frère dit : “Eh
bien, Jean les a
repris, il a dit qu’il ne l’était ‘pas’, que le Christ allait
venir.”–N.D.É.]
C’est exact. [“Mais n’est-il pas vrai que les disciples ont appelé
Jésus
‘Seigneur’? Et ça, Jésus l’a accepté, Il a dit : ‘Vous M’appelez
“Seigneur”, et
Je le suis.’”] Oui. [“Dans–dans Jean 13, le passage où Il a
lavé...?...”] Oui,
Il l’a admis. [“Comme Il était Seigneur, oui, Il l’a admis.”] Il l’a
admis.
[“Il l’a accepté.”] Oui–oui. Mais, vous voyez, Jésus, puisqu’Il était
Seigneur,
quand on Lui a demandé s’Il l’était, Il a dit : “Oui monsieur. Je suis
votre
Seigneur et Maître. Vous M’appelez comme ça, et vous dites bien, car Je
le
suis.” Mais... [“Mais il n’y a jamais eu un autre être qui ait,
qui...”] ...ait
pu dire ça. Non.
453 Par exemple, si... Si
quelqu’un disait que
je suis un dieu, eh bien, je vous le dis, au Nom du Seigneur Jésus :
“C’est une
erreur, ça!” Vous voyez, je suis un pécheur sauvé par la grâce, qui a
reçu un
Message de la part de Dieu. Voyez? Voyez?
124.
L’église locale devrait-elle, ou ne devrait-elle pas, veiller d’abord à
s’acquitter de ses propres, de ses–ses responsabilités locales
(propres), avant
de subvenir à des besoins à l’étranger, dans d’autres pays? Toutefois,
après
qu’elle... ses... après qu’elle a pourvu à ses besoins, il est
Scripturaire
pour l’église locale d’aider l’œuvre missionnaire dans la mesure de ses
moyens?
454 Oui. C’est exact.
Charité bien ordonnée
commence par soi-même, vous voyez. Nous–nous–nous subvenons à nos
propres
besoins, ici, parce que nous... ceci est l’église de Dieu, ou quelque,
votre
petite église, l’église de Dieu. Alors, si vous n’avez même pas les
moyens de
verser un salaire à votre pasteur, si vous n’avez même pas les moyens
de vous
procurer des livres de cantiques et tout ça, vous ne devriez pas
envoyer votre
argent ailleurs. Voyez? Mais, par contre, une fois que vous avez
remboursé
l’emprunt de votre église, et tout, que toutes vos dettes ont été
payées, que
tout est arrangé, fin prêt et que ça roule, alors venez en aide à cet
autre
frère qui a besoin d’un peu d’aide là-bas, vous voyez. Ayez un petit...
455 Je crois que, pendant
que... Si vous êtes
toujours à rembourser l’emprunt de l’église, moi, ce que je ferais,
c’est que
je mettrais aussi en place un petits fonds, quelque part, en vue de
recueillir
des offrandes pour les missions, si les gens ont à cœur de faire des
dons aux
missions. En effet, bien des gens font des dons aux missions, alors
qu’ils n’en
font pas aux églises locales et tout ça. Donc, s’ils ne donnent pas aux
missions, ils vont dépenser cet argent pour autre chose. Alors, je
dirais ceci
: il faudrait avoir une petite boîte destinée aux offrandes pour les
missions,
et je... C’est ce que nous, nous avons essayé de faire.
125. Luc
1.17, s’il vous plaît expliquer la venue de Jean avec “l’esprit d’Élie”.
456 Eh bien, je pense que
nous venons de voir
Luc–Luc 1.17, oui, qu’il est venu avec “l’esprit d’Élie”.
457 [Un frère demande :
“Est-ce là que les
adhérents de la réincarnation puisent leur doctrine?”–N.D.É.] Pardon?
[“Est-ce
là que les gens qui croient à la réincarnation ont pris les rudiments
de leur
théorie?”] Probablement. [“Vous voyez, eux, ils croient qu’il est
revenu
dans...”] Oui. [“...qu’il est revenu dans un autre corps.”] Oui, vous
voyez, il
est vrai qu’un esprit ne meurt jamais. C’est vrai. Dieu reprend Son
homme, mais
jamais Son Esprit. [“Ils disent : ‘Si vous avez été bon, vous
reviendrez
dans–dans quelqu’un de très bien.’”] Oui. Oui. [“‘Si vous avez été
méchant, il
se peut que vous reveniez dans un chien.’”] Oui, ils ont... Oui.
458 Bon, par exemple, là,
en–en–en Inde,
là-bas, nous nous sommes réunis, un groupe d’hommes, comme ceci, et
ils–ils
nettoyaient même le plancher avec un balai à franges : en marchant sur
de
petites fourmis ou quelque chose du genre, ils auraient peut-être
écrasé
quelqu’un de leur parenté ou quelque chose du genre. Vous voyez, ils ne
voulaient pas faire ça. Mais, vous voyez, ça, c’est–c’est du paganisme.
Voyez?
C’est du paganisme. C’est vrai.
126. Paul a
dit aux... Paul a dit qu’il fallait “aspirer aux dons les meilleurs, et
je vais
encore vous montrer une voie par excellence”. S’il vous plaît expliquer
quelle
est cette “voie par excellence”.
459 L’amour, I Corinthiens
13, vous voyez.
“Aspirez...” Prenez I... prenez donc I Corinthiens 13, là, frère. I
Corinthiens, chapitre 13, et maintenant, lisez-en seulement les trois
ou quatre
derniers versets. I Corinthiens 13, les derniers, environ les trois
derniers
versets du chapitre–du cha-...
[Un frère lit I Corinthiens 13.11-13
:
Lorsque
j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant,
je
raisonnais comme un enfant; lorsque je suis devenu homme, j’ai fait
disparaître
ce qui était de l’enfant.
Aujourd’hui
nous voyons au moyen d’un miroir, d’une manière obscure, mais alors
nous
verrons face à face; aujourd’hui je connais en partie, mais alors je
connaîtrai
comme j’ai été connu.
Maintenant
donc ces trois choses demeurent : la foi, l’espérance, la charité; mais
la plus
grande de ces choses, c’est la charité.–N.D.É.]
Oui, la charité. Voyez?
127.
Comment doit-on condamner un frère dont le point faible est de
s’attribuer une
position dans l’église, sans qu’on le lui ait demandé?
Oh! la la! Eh bien, supportez-le, je
pense. Voyez?
Comment
doit-on condamner un frère... On ne doit pas le condamner. ...dont
le–dont le point faible est de
s’attribuer une position dans une église, sans qu’on le lui ait demandé?
460 Par exemple, s’il
tenait à–à être diacre.
Voyez? Et on ne le lui a pas demandé, mais il tient quand même à être
diacre,
vous voyez. Eh bien, si quelqu’un est comme ça, vous savez qu’il y a un
petit
quelque chose, là, vous voyez, une faiblesse quelque part, de toute
façon,
alors, à votre place, je le traiterais avec amour, quoi.
461 Évidemment, jamais on
ne voudrait être
coupable de–de faire une chose pareille, sans savoir pertinemment ce
que l’on
fait. Mettez en poste le meilleur homme possible, sur votre conseil,
vous
voyez, comme ça. Frère, n’allez jamais mettre en poste personne qui...
Éprouvez
d’abord cet homme. Le diacre a plus de responsabilités que le pasteur.
Il doit
être irréprochable, le diacre doit l’être. Voyez?
128. À un
service de communion, un homme s’est avancé à l’autel pour prier. Frère
Branham
était debout, derrière les–les éléments de la communion, pendant qu’on
les
servait, il a dit qu’il “ne pouvait pas s’éloigner pour aller prier à
l’autel
avec cet homme”. S’il vous plaît expliquer.
462 J’ai envoyé mon
adjoint, vous voyez, Frère
Neville. Je me rappelle le soir où c’est arrivé. Je dois rester près de
la
table de communion, vous voyez, même quand... Regardez un peu. Bon, je
n’ai pas
le temps d’approfondir ça. C’est quelqu’un qui est assis ici qui a posé
la
question, bien sûr. Voici ce qu’il en est, frère. Quand–quand vous avez
la
communion, ça, c’est une représentation du corps de Jésus-Christ. Cela
peut
être... Cela doit être tenu sous bonne garde, tout le temps.
463 Regardez, quand Élie a
dit à–à Guéhazi :
“Prends mon bâton,” (il avait béni ce bâton), il a dit, “pars. Et si
quelqu’un
te parle, ne réponds pas. Si quelqu’un te salue, ne le salue pas.
Poursuis ton
chemin, et mets ce bâton sur le petit.” Pas vrai? “Ne lâche pas ce
bâton!” Voyez?
Et c’est ce que je faisais.
464 Par contre, s’il n’y
avait pas eu de
pasteur adjoint qui se trouvait là, présent... J’avais fini de prêcher.
Je me
rappelle quand c’est arrivé. Et je, s’ils, si Frère Neville n’avait pas
été
ici, ou quelqu’un qui puisse venir en aide à cet homme qui était devant
l’autel... Je venais de finir de prêcher, alors, j’étais debout près de
la
table de communion. Et au moment où les gens allaient recevoir la
communion, je
m’apprêtais déjà à–à donner la communion. Frère Neville était juste là,
et
c’est moi qui servais la communion. Donc, Frère Neville se trouvait là.
465 Et si cette personne
s’était avancée à
l’autel pendant que Frère Neville apportait sa prédication, qu’il était
en
train de prêcher? C’est moi qui serais allé auprès de cet homme, devant
l’autel, s’il s’était levé pendant la réunion, pendant qu’il prêchait,
s’il
s’était avancé à l’autel. J’aurais vu que mon frère était, qu’il avait
l’onction de l’Esprit. Il était en train d’exercer son ministère. Il
était un
ministre dans, il était là, dans l’exercice de ses fonctions, un
ministre dans
l’exercice de ses fonctions.
466 Et vous ne devez
jamais laisser les gens
parler en langues, ni interrompre, en aucune façon, un ministre dans
l’exercice
de ses fonctions. Toutefois, si le Saint-Esprit parle à quelqu’un, et
que cette
personne se précipite vers l’autel pour recevoir le salut, eh bien, que
le
ministre poursuive l’exercice de ses fonctions; qu’un pasteur, un
diacre, un
adjoint, s’il y a un adjoint, ou n’importe quel autre ministre, que
lui, il
aille tout de suite auprès de cette personne. Ne dérangez pas le
ministre dans
l’exercice de ses fonctions. Voyez?
467 Et je me trouvais là,
derrière la chaire,
dans l’exercice de mes fonctions, en train de donner la communion. Mon
adjoint,
Frère Neville, se trouvait près de moi. Un homme s’est précipité vers
l’autel,
j’ai dit : “Allez, va auprès de lui, Frère Neville.” Et Frère Neville
est allé
auprès de lui. C’est pour ça que je n’y suis pas allé.
468 Par contre, s’il n’y
avait pas eu un
adjoint présent, ni personne qui puisse aller auprès de cet homme,
j’aurais
quitté l’estrade, j’aurais arrêté la communion, je serais allé là et–et
j’aurais mené cette âme au salut. Vous voyez? Mais, étant donné qu’il y
avait
quelqu’un que je pouvais envoyer – c’est que cela m’aurait détourné de
l’exercice de mes fonctions, vous voyez, là j’étais en train de servir
la
communion.
129. Que
peut faire quelqu’un... Que peut faire quelqu’un qui agit comme
accompagnateur
spirituel auprès d’une personne qui recherche le Saint-Esprit, tout en
agissant
en conformité avec les Écritures?
469 Très bien. Citez-lui
continuellement la
Parole, c’est la meilleure chose à faire. La Parole a la Lumière. Dites
seulement : “Frère, Jésus L’a promis. Rappelez-vous, c’est Sa promesse.”
470 Ne le secouez pas, ne
le poussez pas, ne
le bousculez pas, ou quelque chose comme ça. N’essayez surtout pas
de–de...
non, n’essayez pas de Le lui donner, parce que vous ne pouvez pas le
faire.
Voyez? Voyez? Vous... Dieu Le lui donnera. Citez-lui continuellement
les
promesses, c’est tout. Voyez? Restez là, à citer constamment la
promesse. “Dieu
du Ciel, je prie pour mon frère. Ta promesse, c’est que Tu lui donneras
le
Saint-Esprit.”
471 Et puis, si vous
cherchez à
l’encourager... Il dit : “Oh, frère, pasteur, frère,” à la personne qui
est
près de lui, “je–je désire recevoir le Saint-Esprit.
472 – Frère, c’est une
promesse. Dieu a fait
la promesse. Croyez-vous qu’Il a promis? N’en doutez surtout pas. Si
vous
croyez la promesse, le Saint-Esprit viendra vers vous d’un moment à
l’autre,
là. Attendez-vous à Le recevoir. Abandonnez-Lui tout ce que vous avez,
et dites
: ‘Seigneur, je m’appuie fermement sur Ta promesse.’”
473 Donc, citez
continuellement. Alors, amenez
votre–votre–votre–votre sujet, vous voyez, amenez-le à lâcher prise...
Citez
continuellement. Bon, dites : “Dites à Dieu. Bon, vous êtes-vous
repenti?
– Oui.
474 – Alors, dites :
‘Seigneur; Tu as dit que,
si je me repentais, Toi qui es juste, Tu allais me pardonner. Tu as dit
que, si
je me repentais et me faisais baptiser au Nom de Jésus-Christ pour la
rémission
de mes péchés, je recevrais le Saint-Esprit. Maintenant, Seigneur, j’ai
fait
cela. J’ai fait cela, Seigneur. Je l’ai fait. J’attends, Seigneur. Tu
l’as
promis.’”
475 Vous voyez, voilà la
manière de faire,
continuez simplement à l’encourager. Ramenez-le toujours à la Parole.
S’Il doit
venir, Il viendra, c’est le moment.
130. Est-ce
qu’un prédicateur ou n’importe quel Chrétien fait bien de ne pas croire
à...
Non : Est-ce qu’un prédicateur ou n’importe quel Chrétien fait bien de
ne pas
croire à la sécurité Éternelle?
476 Maintenant, voyons un
peu. J’imagine que
ce “...fait...” Voyez si vous lisez la même chose que moi. Lisez-la.
[Un frère
lit la question : “Est-ce qu’un prédicateur ou n’importe quel Chrétien
fait
bien de ne pas croire à la sécurité Éternelle?”–N.D.É.]
Je pensais bien l’avoir lue comme il
faut. Maintenant, eh bien, je...
Est-ce
qu’un prédicateur fait bien de ne pas croire à la sécurité Éternelle?
477 Je serais porté à
croire que le
prédicateur fait... s’il ne sait rien au sujet de la sécurité
Éternelle. Par
contre, s’il est au courant et s’il sait que c’est la Vérité, et qu’il
ne le
prêche pas, il devrait vraiment avoir honte; c’est vrai. Ou n’importe
quel
Chrétien. Maintenant, le Chrétien, là, je dirais au–au Chrétien qui n’a
pas une
très bonne compréhension de la chose...
478 [Un frère demande :
“Ce n’est pas une
doctrine accessible à tous, n’est-ce pas, Frère Branham, devant être
prêchée à
des gens qui n’ont jamais...?”–N.D.É.] Non, non, non. C’est justement
là où je
voulais en venir. Oui. Voyez? Voyez?
479 Bon, vous vous
rappelez ce que j’ai dit
dimanche passé? Si vous êtes prédicateur, trouvez-vous une chaire.
Sinon, que
votre vie soit votre prédication. Vous voyez, c’est la meilleure
manière de le
faire : que votre vie soit votre prédication. Si vous êtes prédicateur,
trouvez-vous une chaire, vous voyez, et allez-y, prêchez. Si vous ne
l’êtes
pas, que votre vie soit votre prédication, voilà, que votre vie soit
votre chaire.
Voyez? Je pense que ça, ça règle bien des choses, pas vous? Voyez?
Voyez? En
effet, nous avons constaté que souvent... Et vous, les frères, faites
cela,
dans vos églises.
480 Souvenez-vous, les
laïques de votre
église, parfois, ils vont chercher à expliquer des choses et à faire
des
choses, il vaut mieux les aviser de ne pas faire ça. Et si quelqu’un
désire
savoir quelque chose, qu’il vienne voir un de... celui qui a été
instruit pour
le faire. Vous voyez?
481 Dites, eh bien, là,
par exemple, si quelqu’un
disait : “Hé, je dis... On me dit que vous autres, à votre église, vous
croyez
à la sécurité Éternelle.”
482 Là, il vaut mieux
faire bien attention.
Vous allez probablement vous mettre dans un beau pétrin, plus que
jamais, vous
voyez, et rendre l’autre pire que jamais. Dites : “Voici ce que je vous
propose
: si vous voulez bien venir poser la question à notre pasteur, vous
voyez.
Vous–vous n’avez qu’à aller lui parler, vous voyez. Nous... C’est
effectivement
vrai, je sais que notre pasteur y croit. Moi aussi, j’y crois, mais je
ne suis
pas apte à étayer... Je ne suis pas prédicateur. Moi, j’y crois, voilà,
c’est
tout ce que j’en sais. J’y crois, parce que je l’ai entendu expliquer
cela par
la Bible, tellement bien que pour moi, il n’y avait pas l’ombre d’un
doute.”
Voyez?
483 Mais il vaut mieux
laisser les–il vaut
mieux laisser les laïques parler de ça avec le pasteur. Et le pasteur,
de son
côté, doit être bien sûr qu’il sait comment répondre. Donc, étudiez ça
à fond,
parce que, bien des fois, ils vont vous mettre dans l’embarras, vous
voyez.
Quoi...
484 [Un frère dit : “Frère
Branham?”–N.D.É.]
Excusez-moi. [“Je me sens un peu culpabilisé, là, mais je–je connais ma
vocation, et j’ai affermi mon élection.”] Oui. [“Vous venez de dire, là
: ‘Si
vous êtes prédicateur, vous devriez avoir une chaire.’”] Oui, monsieur.
C’est
exact. [“Je ne suis pas prédicateur, je suis évangéliste.”] Oui,
monsieur.
[“Mais, ma chaire, c’est celle de tout le monde.”] C’est exact.
[“Seulement
voilà, en ce moment je travaille, je fais un travail physique. Ce n’est
pas un
travail dur, mais je travaille, et je n’ai pas de chaire à moi. Et je
crois que
cette période où je travaille, c’est dans la volonté du Seigneur. Il
m’a dit de
le faire, par la Parole, et l’Esprit en a rendu témoignage. Et je crois
que,
plus tard, des portes s’ouvriront pour que j’accède à la chaire.”] Bien
sûr,
c’est exact. [“Pas vrai?”] C’est exact, frère.
485 Frère, bon, si vous
allez chercher les
vieux livres de l’église, vous verrez là que, pendant dix-sept ans,
j’ai été
pasteur de cette église, je prêchais tous les jours, je prêchais tous
les jours
et je travaillais tous les jours. Voyez? [Un frère dit : “Si vous
travaillez,
c’est une bonne preuve que vous avez réellement été appelé.”–N.D.É.]
Oui. Paul
travaillait, n’est-ce pas? Paul faisait des tentes. [“Je pourrais céder
au
découragement, parce que, comme vous l’avez si bien dit, si je suis
prédicateur, je devrais avoir une chaire. Je suis... Je pourrais céder
au
découragement, mais je sais que Dieu m’a appelé à avoir un travail,
pour un
temps.”] Bien sûr. Paul est allé faire des tentes, n’est-ce pas? Il a
travaillé
de ses mains, pour ne pas avoir à... C’est exact. Bien sûr. [“Oui, oh,
eh bien,
c’est de lui que j’ai eu ça, de Paul.”] Ah. C’est exact. Voyez? John
Wesley a
dit : “Ma paroisse, c’est le monde.” Alors, vous pouvez toujours
accéder à
votre chaire, frère. Les évangélistes vont par tout le monde. N’est-ce
pas
vrai? “Allez par tout le monde.” Alors, votre chaire, c’est le monde
entier.
Oui monsieur.
Question :
131. Est-il
de règle, r-è-g-l-... Est-il de règle que le diacre ou l’administrateur
doive
se conformer à la doctrine de son église? Oui. C’est exact. Ont-ils le
droit
d’ajouter quelque chose aux enseignements ou d’en retrancher quelque
chose, en
raison de leur opinion ou de leur révélation personnelles? Non
monsieur. Non.
486 Que ce soit le diacre
ou l’administrateur,
ils doivent être en harmonie parfaite avec la–avec la doctrine de leur
église.
Ils doivent s’en tenir, de façon parfaite, à l’interprétation des
Écritures de
leur église, parce que, sinon, ils se battent contre la chose même,
ils–ils se
font du tort à eux-mêmes. Voyez? Vous luttez...
487 Autrement dit, c’est
comme si–si–si je
disais que j’aime ma famille et que je cherche à lui donner du poison.
Vous
voyez, même chose. Vous voyez, on ne peut pas faire ça, on...
488 Que ce soit
le–l’administrateur ou le
diacre, lorsqu’ils acceptent cette fonction, ou toute personne qui
occupe une
fonction dans une église, qui représente un certain corps d’église,
vous voyez,
qui représente une église.
489 C’est pour cette
raison que j’ai quitté
l’église baptiste, vous voyez, la toute première fois. Je n’y étais que
depuis
peu de temps, et ils–ils m’ont demandé d’ordonner des femmes
prédicateurs. Eh
bien, je ne pouvais vraiment pas rester. J’ai dit : “Je–je refuse de le
faire.”
490 Et le pasteur m’a
brusqué. “Qu’est-ce que
c’est que ces façons? Tu es un ancien!”
491 J’ai dit : “Docteur
Davis, malgré tout le
respect que je dois à la foi baptiste et tout ce qu’implique mon
ordination, je
ne savais pas qu’ordonner des femmes était un point de doctrine de
l’église
baptiste. C’est une chose qui n’avait pas été spécifiée.”
Et il a dit : “C’est bien la
doctrine de cette église.”
492 J’ai dit : “Monsieur,
puis-je être
dispensé d’assister au culte ce soir, ou accepteriez-vous de répondre à
quelques-unes de mes questions?” Voyez?
493 Il a dit : “Je vais
répondre à tes
questions.” Il a dit : “C’est ton devoir d’être présent.”
494 J’ai dit :
“Effectivement, monsieur. C’est
exact. Je suis censé participer à tout ce que fait cette église. J’y
suis, en
tant qu’un des anciens de l’église locale, dans l’exercice de mes
fonctions.”
Et il a dit... J’ai dit : “Pouvez-vous m’expliquer pourquoi, dans I
Corinthiens
14 ou 15, là, ce passage où Paul a dit : ‘Que les femmes se taisent
dans les
assemblées, il ne leur est pas permis d’y parler.’”
495 Il a répondu : “Mais,
bien sûr!” Il a dit
: “Si... Je peux donner la réponse à ça.” Il a dit : “Tu vois, voici ce
qu’il y
avait,” il a dit, “Paul a dit... Toutes–toutes les femmes étaient
assises dans
leur coin, à jacasser comme elles le font souvent. Il a dit : ‘Ne les
laissez
pas faire ça.’ Tu vois?”
496 Et j’ai dit : “Dans ce
cas, expliquez-moi
II Timothée, le passage où Paul a aussi dit, ce même scribe, ce même
apôtre a
dit : ‘Je ne permets pas à la femme d’enseigner, ni de prendre de
l’autorité,
voyez, mais elle–elle doit être soumise. Car Adam a été formé le
premier, Ève
ensuite, et ce n’est pas Adam qui a été séduit, mais c’est la femme qui
a été
séduite.’ Elle est séduite. Or, je ne dis pas qu’elle veut faire du
mal, mais
franchement, elle le fait parce qu’elle est séduite. Elle ne doit pas
enseigner.”
Il a dit : “Est-ce là ton opinion
personnelle?”
497 J’ai dit : “C’est
l’opinion de l’Écriture,
d’après ce que je vois. C’est ce que la Bible dit.”
498 Il a dit : “Jeune
homme, on pourrait te
retirer ton permis pastoral à cause de ça.”
499 J’ai dit : “Je vais
leur épargner d’avoir
à se donner tout ce mal. Je vais simplement le rendre moi-même, Docteur
Davis.”
J’ai dit : “Sans vouloir vous manquer d’égards.” Mais il a refusé. Il a
laissé
tomber, laissé tomber l’affaire.
500 Ensuite il m’a dit
qu’il allait avoir un
débat avec moi sur la question. Et j’ai dit : “Très bien, au moment qui
vous conviendra.”
Mais il–il ne l’a pas fait.
501 Et donc, un–un peu
plus tard, là, quand le
Seigneur m’a parlé, et que le–l’Ange du Seigneur est venu, alors–alors
il s’est
carrément moqué de Cela, vous voyez. Et là je–je lui ai simplement dit,
j’ai
dit : “Eh bien, Docteur Davis, il vaut mieux que je m’en débarrasse
tout de
suite, vous voyez,” j’ai dit, “parce qu’autrement ça deviendrait un
fardeau. De
toute façon, je viens à peine d’être ordonné, donc, c’est quelque chose
qui
deviendrait un fardeau, alors autant m’en débarrasser tout de suite.”
502 Et donc, si je ne
pouvais pas continuer à
faire partie de l’église baptiste, et enseigner la doctrine baptiste,
et
défendre la foi baptiste. Si je l’avais fait–si je l’avais fait, juste
parce
que c’était une église, eh bien, là j’ai tort, vous voyez, je cache
quelque
chose. Et si je–si je–si je suis honnête avec moi-même, j’irai voir les
baptistes (soit mon pasteur ou celui qui pourra me fournir les
explications) et
leur demanderai une–une parole de Vie; s’il peut me montrer avec
précision que
c’est bien conforme à l’Écriture, et que j’en sois satisfait, alors je
le dirai
exactement comme eux le disent, vous voyez, et je serai un baptiste.
503 C’est pour ça que je
suis indépendant.
C’est pour ça que je ne fais pas partie des organisations, c’est parce
que je
ne crois pas aux organisations. De plus, je crois que c’est contraire
aux
Écritures, ça, une organisation.
504 C’est pourquoi je ne
pourrais faire partie
d’aucune organisation et considérer que j’ai raison de faire ça. Voyez?
Par
conséquent, je ne cherche pas à faire entrer des gens pour en faire des
membres, et ainsi de suite comme ça, parce que je crois que nous sommes
membres
par une naissance, nous entrons dans l’Église du Dieu vivant par une
naissance.
Voyez?
505 Nous ne retirons pas
les noms des gens
d’un registre, et nous ne les excommunions pas, et ainsi de suite comme
ça,
parce que je crois que ces choses ne relèvent pas de nos–nos fonctions.
Je
crois que c’est Dieu qui se charge d’excommunier des gens. Voyez? Par
contre,
je crois que l’église, si un frère faisait quelque chose de mal...
506 Par exemple, si–si on
surprenait Frère
Neville, ou Frère Junior, ou Frère... un frère, ici, l’un des diacres
ou des
administrateurs, ou quelqu’un, à faire quelque chose de mal, je crois
que ce
qu’il faut faire, c’est que l’église réunie prie pour ce frère. S’il ne
met
toujours pas sa vie en ordre, alors, que deux ou trois frères aillent
avec lui,
aillent vers lui, pour l’amener à se réconcilier. Et là, s’il refuse,
alors il
faut présenter cela devant l’église. Et alors, là, s’ils refusent
toujours,
c’est à ce moment-là que toute l’église, vous voyez, que le pasteur,
les
anciens et tout, agissent. Je ne crois pas qu’aucun conseil des diacres
n’a le
droit d’expulser quelqu’un de l’église, ni qu’aucun conseil
d’administration,
ni qu’aucun pasteur n’a le droit de le faire.
507 Je crois que si l’on
devait couper la
communion avec quelqu’un, ce serait parce qu’il mène une vie immorale,
ou
quelque chose du genre, qu’il n’est pas digne, par exemple, un homme
qui
viendrait ici et qui salirait nos jeunes filles, ou–ou qui insulterait
nos
femmes, et ce genre de chose là, tout en continuant à professer qu’il
est l’un
des nôtres, ici. Voyez? Bon, s’il est du dehors et qu’il entre ici, eh
bien,
là, nous devons faire quelque chose, mais, quand il s’agit d’une
personne comme
ça, d’une personne immorale qui cherche à coucher avec nos femmes ou–ou
qui
insulte nos filles, ou, vous savez, quelque chose du genre, ou qui a un
comportement indécent avec elles, ou qui sort avec nos jeunes garçons,
qui en
fait des pervertis, ou quelque chose comme ça.
508 Ces choses-là doivent
être réglées sans
tarder, et on doit couper la communion avec ce gars-là et ne pas lui
permettre
de prendre la sainte cène, parce que nous ne devons pas faire ça. Non.
“Si
quelqu’un mange indignement, il est coupable envers le Sang et le corps
du
Seigneur”, cette personne-là.
509 Mais je crois que, par
exemple, quelqu’un
qui dit : “Bon, eh bien, lui, là, il–il est ceci, cela.” Priez pour
lui. Voilà.
510 Je n’oublierai jamais,
à Stockholm, en
Suède, Frère Lewi Pethrus, un grand homme de Dieu. Nous étions à table,
quelques heures seulement avant de revenir en Amérique. Nous avions eu
des
réunions glorieuses là-bas. Et il a dit, Gordon Lindsay a dit : “Qui
est le
surveillant de ce grand corps?” Oh! la la! cent fois supérieur aux
Assemblées
de Dieu, vous voyez. Il a dit : “Qui en est le surveillant?”
Et Lewi Pethrus, très courtois, a
dit : “Jésus.”
Il a dit : “Vos anciens, c’est qui?”
Il a dit : “Jésus.”
511 Il a dit : “Je sais,
c’est vrai, ça,” il a
dit, “nous croyons la même chose au sujet de nos Assemblées de Dieu.”
Il a dit
: “C’est vrai.” “Mais,” il a dit, “disons, par exemple, qu’un–qu’un
frère aille
de travers,” il a dit, “qui a son mot à dire, quand il s’agit de
l’exclure?”
Il a dit : “Nous ne l’excluons pas.”
“Eh bien,” il a dit, “vous faites
quoi?”
512 Il a dit : “Nous
prions pour lui.” J’ai
trouvé ça mignon tout plein! Pour moi, c’est ça être Chrétien : “Nous
prions
pour lui.” Personne ne l’exclut, ils prient pour lui.
513 Il a dit : “Eh bien,
alors, si
quelques-uns des frères sont d’accord,” il a dit, “et que quelques-uns,
eux, ne
veulent plus fraterniser avec lui? Quelqu’un qu’on avait accepté, par
exemple,
un pasteur, vous voyez, qui devient un homme à femmes parmi les... Vous
savez
ce que je veux dire, ce genre de chose là, et que quelques-uns des
pasteurs ne
veulent plus l’accepter dans leurs églises. Vous autres, qu’est-ce que
vous
faites, vous le mettez à la porte de votre organisation?”
514 “Non.” Il a dit :
“Nous le laissons
tranquille et nous prions pour lui.” Il a dit : “Nous n’en avons encore
jamais
perdu un seul. Ils reviennent toujours, d’une manière ou d’une autre.”
515 Il a dit : “Eh bien,”
il a dit, “mais alors,
si...” Il a dit : “Si quelques-uns disent qu’ils veulent l’accepter, et
que les
autres disent que non? Alors, qu’est-ce qui arrive dans ce cas-là?”
516 Il a dit : “Eh bien,
ceux qui veulent
l’accepter, ils l’acceptent; ceux qui ne veulent pas l’accepter, ils ne
sont
pas obligés de l’accepter.”
517 Alors–alors, je trouve
que c’est une bonne
façon de faire, n’est-ce pas, les frères? Et comme ça, nous sommes
“frères”.
518 Maintenant, frères,
j’espère que ces
choses ont apporté quelques petits éléments de réponse, ou quelque
chose, que
nous avons–avons tiré profit de notre réunion ici, ce soir. Je vais
bientôt
partir, là, pour quelque temps, je vais faire des réunions dans
l’Ouest. Je
vous demande bien humblement de prier pour moi.
519 Quelques-unes de mes
réponses ici,
peut-être que beaucoup d’entre elles, peut-être qu’aucune d’entre elles
n’était
juste. Je ne sais pas. Mais, c’est ce que j’ai pu rassembler pour
présenter le
mieux possible ma façon de voir les choses, vous voyez, pour essayer
d’expliquer Cela. Peut-être que les dernières, en particulier, celles
qui sont
arrivées en dernier, je n’ai pas eu le temps de les étudier. Et je n’ai
tout
simplement pas, c’étaient, ce que je veux dire, c’est que c’étaient des
Écritures que nous examinons ici, chaque fois, jour après jour, à
l’église.
J’avais pensé qu’on aurait peut-être quelque chose de très ardu, ce qui
nous
aurait amené à devoir vraiment entrer dans de grands développements,
mais
c’était plutôt des questions d’église.
520 Je suis heureux de
voir que vous maintenez
cette position-là : il n’y a pas de désordre, pas de mécontentement,
pas de
confusion. Pas de question où on contestait Cela, en disant : “C’est
faux, Ceci
est faux, nous ne voulons pas de Cela.” C’était juste des frères
désireux de
connaître quelque chose qui leur permettrait d’affermir leur position,
c’est
tout, là, d’affermir, de resserrer–resserrer un peu plus l’armure, la
resserrer
d’un cran. J’espère que nous aurons l’occasion de nous réunir encore
bien des
fois comme ceci, pour resserrer l’armure.
521 Et, souvenez-vous,
frères, mon armure, à
moi aussi, a besoin d’être resserrée. Alors priez Dieu pour moi, que
Dieu me
vienne en aide et resserre mon armure un peu plus, afin que je ne
prenne pas
les choses trop à la légère. Et la vie que je mène, et les choses que
je fais,
que je les fasse avec un plus grand esprit d’humilité, en étant plus
empressé
de les faire. Et que Dieu me donne un cœur désireux de les faire, plus
que
jamais auparavant. Je fais cette même prière pour chacun de vous. Que
Dieu vous
bénisse.
522 Je vous ai retenus
longtemps, il est
maintenant vingt-deux heures cinquante-cinq.
523 Et maintenant, Frère
Neville, il se peut
que je–je... Là, j’ai appris que c’est seulement un trajet d’environ
neuf cent
quelques milles [mille cinq cents kilomètres] pour me rendre là-bas; je
ne vais
pas partir avant lundi matin. Mais je veux être ici dimanche, pour
l’école du
dimanche, je viens comme ton invité, pour t’écouter prêcher, tu vois,
dimanche.
Tu vois? Mais... Eh bien, frère, oui, frère. Frère Neville, voici la
raison,
frère. Je suis... Je t’aime, et tu as toujours été très attentionné,
m’offrant
la chaire tout comme si–comme si j’étais un ancien supérieur à toi, ou
quelque
chose du genre. Mais je n’ai jamais eu ce sentiment-là, Frère Neville.
Mon
sentiment était que nous sommes frères.
524 Frère Ruddell, et
Frère Junie, et, oh,
vous tous, les frères, chacun de vous, nous–nous sommes des frères
ensemble,
vous voyez.
525 Mais ce qu’il y a...
La raison de ça,
c’est que je suis un tout petit peu enroué en ce moment, vous voyez, et
j’ai
devant moi six semaines consécutives de combat continuel, vous voyez.
Et
je–j’aimerais commencer, si possible, j’ai pensé qu’après la réunion de
ce
soir, ça me donnerait vendredi, samedi et dimanche pour me reposer,
avant de
commencer les réunions là-bas.
526 Et, Frère Junie, dès
que je serai revenu,
en rentrant, à un moment donné, il faut que j’aille vous voir de
nouveau, je
veux aller chez vous. Je suis passé près de votre petite église,
là-bas, hier,
je crois. Ma femme a dit : “Je pense que c’est...” Est-ce bien là, près
de la
voie ferrée, près du parc Glenellen? J’aimerais aller chez vous, parler
aux
gens de Sellersburg. Bien.
527 Frère Ruddell, sois
béni. J’aimerais aller
chez vous, tu as un beau groupe de gens. Tu es resté assis là ce soir,
à
écouter comme si tu étais un vieil ancien, tu absorbais tout ça.
528 Frère Beeler, là-bas,
est un de nos frères
évangélistes. J’espère qu’un jour je pourrai me retrouver dans une de
tes
réunions quelque part, frère, que je pourrai apporter une influence,
avoir
quelques paroles à dire quelque part, pour t’encourager dans tes
efforts. J’ai
toujours eu un bon mot à dire en ta faveur, à tout le monde, toi et
Frère
Stricker, ici, et les évangélistes.
529 Frère Collins, ici,
qui, je crois, sera un
jour un ministre employé à plein temps dans l’œuvre.
530 Des hommes qui sont
des hommes vaillants,
des hommes vaillants, de vrais hommes de foi, que Dieu soit avec vous
tous, et
vous, les diacres, les administrateurs, les frères.
531 Je crois que vous
êtes... Ce frère, ici,
son nom m’échappe. Vous êtes... [Frère Caldwell dit : “Frère
Caldwell.”–N.D.É.]
Caldwell. Vous êtes juste un... Vous êtes un des anciens, ou quelque
chose,
n’est-ce pas, ou juste un... [“Ministre.”] Ministre. [“Je suis un
ministre. Je
faisais partie de l’église de Dieu, je ne pouvais pas prêcher le plein
Évangile
et rester parmi eux. Je ne pouvais pas prêcher le baptême au Nom du
Seigneur
Jésus et rester parmi eux. J’ai obtenu le plus haut permis pastoral
qu’ils émettaient,
mais je leur ai remis ces papiers. Après vous avoir entendu prêcher ces
grands
Messages, je leur ai remis ces papiers, et je suis sorti de
l’organisation.
Maintenant je désire être un des vôtres.”]
532 Merci, frère. Nous
vous souhaitons la
bienvenue dans notre communion. Et nos–nos références nous sont données
d’en
haut. Notre vie, c’est ça nos références. Voilà nos références. “Si Je
ne fais
pas les œuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas.” Voyez? C’est
exact. Voilà
nos références. Et comme ce vieux... Comme Howard Cadle avait coutume
de dire :
“Nous n’avons aucune autre loi que l’Amour, aucun autre livre que la
Bible,
et–et aucun–aucun autre credo que Christ.” C’est exact. “Aucune autre
loi que
l’Amour, aucun autre credo que Christ, aucun autre livre que la Bible.”
533 Et nous sommes–nous
sommes, Frère
Caldwell, nous sommes heureux que vous soyez parmi nous. Vous êtes
sorti d’une
grande organisation. L’église de Dieu d’Anderson, je suppose. [Frère
Caldwell
dit : “Celle de Cleveland.–N.D.É.] Ou, l’église de Cleveland, l’église
de Dieu
pentecôtiste. [“Et autrefois, j’étais pasteur là-bas, à...?...”] Oh,
oui. Oh,
oui, j’y suis déjà allé. Je crois que j’y suis allé avec Frère Neville,
ou,
avec Frère Wood, à un moment donné, nous sommes allés chercher un
chien, ou, un
chien de chasse, chez quelqu’un qui allait à votre église, là-bas. Je
suis
resté à causer sur le perron, là-bas, et ces gens m’ont parlé de vous.
Eh bien,
je suis sûr... [“Mon église.”] Oh? [“Burns.”] C’est ça : Frère Burns.
C’est ça.
[Frère Caldwell raconte un incident.–N.D.É.] Oh? Oui. Oh, Berthe, c’est
ça. Oh,
c’est formidable.
534 Frère Rook, là-bas, il
est maintenant
pasteur, ou évangéliste, je crois. C’est bien ça? Ou bien êtes-vous
pasteur?
[Frère Rook dit : “Simple évangéliste.”–N.D.É.] Évangéliste. Je veux
vous
féliciter, Frère Rook. J’ai appris que vous faites un grand travail
pour le
Seigneur. Vous... J’ai appris que vous êtes allé à Indianapolis, ou que
vous
alliez vous rendre à Indianapolis, vous avez fait des réunions là-bas
et avez
gagné des âmes pour Christ. Que Dieu soit avec vous, Frère Rook. Je
suis
vraiment content de vous voir. Je vous ai vu là-bas, sur votre vieux
tracteur,
là, vous promener là-dessus, en train de fertiliser votre cour, là-bas.
Eh
bien, de voir que vous êtes actif, que vous essayez de faire quelque
chose pour
le Seigneur. Je suis content qu’Il vous ait appelé au ministère,
gardez-Le
toujours devant vous, frère. Que Dieu vous bénisse. Ne faites aucun
compromis,
sur rien; mais, tout en agissant ainsi, faites-le avec l’esprit le plus
doux
possible. Que votre–que votre message soit toujours assaisonné de la
douceur du
Saint-Esprit.
535 Et, Frère Stricker...
[Un frère dit :
“Nous désirons vos prières, à tous. Nous–nous essayons d’établir une
église à
North Vernon.”–N.D.É.] Oh, j’espère que vous l’aurez. Nous prierons
pour vous.
[“Jusqu’à maintenant, tout va bien.”] C’est ça.
Billy, toi, tu vas commencer quand à
exercer ton ministère de pasteur?
536 Docteur Goad et
Docteur Mercier, ici,
je–je–j’espère... c’est comme ça que nous nous appelons entre nous.
Frère Goad
en est au point où je... il mérite vraiment de recevoir un titre,
maintenant il
est capable de charger des cartouches. Oui. Et, Frère Léo, je pense que
nous
pouvons bien lui passer ça, et l’appeler... le laisser conserver son
titre
de–de “Docteur”.
537 Eh bien, “Docteur”
Branham, là-bas, toi,
continue à en prendre bien soin, et à garder les lumières bien
allumées. Et–et,
j’ai une idée, chaque fois que nous aurons une réunion spéciale, je
m’adresserai au conseil pour voir si on ne pourrait pas te donner un
petit
supplément pour ça [Frère Branham rit.–N.D.É.], pour une tâche en
dehors de
l’ordinaire, lorsqu’il faut que tu multiplies les coups de balai et les
allées
et venues, cela fera ton bonheur.
538 Docteur Wood. Je l’ai
appelé “Docteur”,
vous devez vous demander pourquoi. Je ne le nomme pas improprement : il
massacre le bois, le met totalement en pièces, vous savez. Le Seigneur
fait
pousser un bel arbre, et lui, il l’abat et en fait une maison. Je n’ai
jamais
vu une chose pareille, alors je me dois de l’appeler “Docteur”.
539 Frère Taylor, tu es
encore fidèle, à la
porte, pour indiquer un siège aux gens. Voici ce que je pense de toi :
“Je
préfère être un paillasson dans la maison du Seigneur, plutôt que
d’habiter
sous les tentes avec les méchants.” C’est vrai, tout à fait.
540 Frère Hickerson, tu
viens de t’engager
dans cette Voie, et tu montes, tu avances. J’ai désiré ton... Je... Tu
t’es
engagé dans cette Voie, et tu avances, j’admire vraiment ta sincérité
et tout
ce que tu fais pour le Seigneur Jésus. Que Dieu te bénisse à jamais et
qu’Il
fasse de toi un diacre fidèle, frère, et je crois que tu en es un, car
ta
famille est tenue dans la soumission, et toutes ces choses, ce que tu
as été.
541 Frère Fred, tu n’es
pas parmi nous depuis
très longtemps, tu es venu du Canada. Nous ne te considérons plus comme
un
Canadien, nous te considérons comme un pèlerin et un étranger parmi
nous, notre
frère, un administrateur. Toi et Frère Wood, et vous qui remplissez
bien vos
fonctions, avec Frère Roberson, et les autres; Frère Egan, il n’est pas
ici ce
soir.