La Séparation D’avec L’Incrédulité

Date: 55-0228 | La durée est de: 1 heure et 41 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère Jack. Et bonsoir, mes amis. Je suis heureux d’être de nouveau ici ce soir, au service du Seigneur. Je suis moi-même un petit peu en retard ce soir, je... Hier c’était vraiment un grand jour pour moi ; et puis, après avoir eu en quelque sorte trois réunions de dure prédication, et ensuite la réunion d’hier soir après avoir quitté aussi la réserve indienne, cela a été plutôt un peu dur pour moi, et je me sens plutôt mal aujourd’hui. Donc je suis très fatigué ce soir. S’il n’était question que de ces réunions-ci, ce serait différent. Ma vie est une...?... après l’autre, partout, je deviens donc un peu fatigué.

            Oh ! c’est vraiment agréable d’être ici ce soir au service de Dieu, et pour prier de nouveau pour les malades ce soir. Nous espérons que pendant cette série de réunions, nous aurons une merveilleuse clôture des réunions, pour les deux prochaines soirées.

2          Ensuite nous irons en Californie, à–à l’Angelus Temple, pour cinq soirées. Le samedi matin nous devons être à la convention internationale des Hommes d’Affaires Chrétiens, qui sera radiodiffusée, et il y aura un petit déjeuner au Clifton, et ensuite nous irons de là à l’Angelus Temple le dimanche, pour commencer et aller jusqu’à mercredi. Et ensuite, le jeudi nous allons commencer au... Je crois que nous...?... là le jeudi et nous commencerons à l’Exposition du bétail pour les Hommes d’Affaires Chrétiens, où nous étions l’année passée, pour cinq soirées ou plus. C’est entre... Toutefois, cela va... Comme...

            Je pense que tout le monde le sait, nous allons avoir un nouveau né très bientôt dans notre foyer, et j’ignore combien de temps je vais pouvoir rester à la prochaine visite là-bas. Ainsi donc, nous espérons tous que le Seigneur nous parlera, et nous bénira dans ces réunions.

3          Ensuite j’irai à–à Macon, en Géorgie. Et je pense que de là, j’irai ensuite au Nord, pour retourner dans le Colorado ; je crois que c’est pour les Hommes d’Affaires Chrétiens, leur convention internationale qu’ils vont tenir à Denver. Et ensuite, peut-être, de là, nous irons à Durban, en Afrique du Sud, et au Tanganyika, et au Kenya, et de là, en Inde. Et il est peut-être possible que nous allions dans beaucoup d’autres pays avant de revenir ici.

            Nous apprécions votre gentillesse et votre fidélité, en étant ici avec nous, et en nous aidant.

            Hier soir, la salle était tellement bondée et tout, il y avait des gens debout le long des murs. J’ai eu pitié des gens, mais pendant la journée, je reçois de petites notes et tout... J’aurais aimé pouvoir lire toutes vos lettres, celles des gens qui relatent comment ils ont été guéris, et ainsi de suite, comment les maladies les ont quittés et tout. Je suis très heureux d’entendre cela. La raison pour laquelle nous sommes ici, c’est pour essayer d’accomplir le service du Seigneur. Nous ne pourrions pas le faire sans votre assistance, peu importe ce que c’est.

4          Si le Seigneur Jésus Lui-même se tenait ici, sous une forme humaine, eh bien, Il ne pourrait pas faire une seule chose tant que vous n’aurez pas d’abord cru qu’Il peut le faire. Lorsqu’Il était ici autrefois, Il a dit qu’il n’a pas pu faire beaucoup de miracles à cause de l’incrédulité des gens.

            Et à l’égard du don de Dieu, ce petit don, oh ! ce petit don que le Seigneur m’a donné, j’apprécie les compliments que les frères ont faits, et ainsi de suite, mais c’est juste une petite chose que le Seigneur nous a donnée, et nous sommes reconnaissants. Ce n’est pas pour moi, c’est pour vous. J’en suis juste l’administrateur.

5          Bien des gens disent: «Oh ! j’aurais souhaité que ce soit moi.» Vous ignorez tout simplement ce que vous désirez, mon frère. Si vous saviez ce que cela implique, eh bien, alors vous n’auriez pas–vous souhaiteriez le contraire. Je souhaite que le Seigneur fasse de moi un orateur, un très bon orateur, afin que je puisse gagner les gens à Dieu. C’est ce que j’aimerais être. Je quitterais les réunions, heureux et fort ; je sortirais, je prendrais un bon souper, j’irais au lit ; je me lèverais le lendemain matin, j’irais en ville, je serrerais la main à tout le monde, je viendrais à la réunion, je parcourrais les allées en serrant la main à tout le monde, oh ! combien j’aimerais faire cela ! C’était l’une de mes plus grandes ambitions. Mais les choses ne sont pas ainsi ; je ne peux pas le faire. Vous ne pouvez pas rencontrer les gens. Vous ne pouvez même pas dire... Certains comprennent mal. Ils vous prennent pour un isolationniste. Je n’en suis pas un ; j’aime les gens, mais vous ne pouvez pas être serviteur de Dieu et serviteur de l’homme en même temps. Voyez? Donc vous devez rester à l’écart dans la prière, et veiller.

6          Juste à l’endroit où je me tiens, des visions affluent là et disent aux gens des choses et ce qui se passe, et parfois cela révèle des choses. Je me souviens ici, je crois que c’était la dernière fois que j’étais dans cette salle. Je logeais ici à l’hôtel (le–peut-être que cet homme est assis ici à l’instant), et le Saint-Esprit m’a élevé, Il a dit: «Maintenant, ne débute pas une ligne de prière aujourd’hui, jusqu’à ce que tu verras quatre hommes habillés en complet noir amener sur une civière un homme se mourant d’une hémorragie.» Et Il a dit: «On l’amènera directement sur l’estrade, et là, il sera guéri.» Et je me souviens que je me suis tenu ici, et j’ai essayé de gagner du temps pendant près de vingt minutes ; je ne disais rien, juste pendant quelque... Quelques ministres savaient cela, parce que je le leur avais dit.

            J’avais dit: «Quelqu’un doit venir, saignant, faisant une hémorragie. Son visage est très rouge.» Et alors, il–les gens l’ont amené derrière, au fond, il lui ont fait traverser l’assistance dans une civière, ils l’ont fait monter ici. Le Seigneur l’a guéri, il est descendu.

7          Je crois que frère Sharrit me disait l’autre jour, j’ai oublié le nom de cet homme, mais il travaille le béton, ou c’est un finisseur ou quelque chose de ce genre. Je me demande si cet homme est dans la salle ce soir. Et... Y a-t-il ici quelqu’un qui le connaît? Y a-t-il quelqu’un? Vous le connaissez, vous? Comment s’appelle-t-il? Je n’arrive... Sheldon? Shelton–monsieur Shelton.

            Et puis, je sais qu’Il avait dit dans la ligne de prière: «Lorsque la ligne de prière défilera devant toi, il y aura beaucoup de choses, mais tu recevras un petit garçon portant un veston sport, qui a un oeil ressorti comme cela. Aussitôt qu’il sera guéri, alors quitte l’estrade.» Vous souvenez-vous de ce qui est arrivé? Il y avait un petit garçon qui portait un veston sport, il est venu et il fut guéri. Voyez? Des choses comme cela arrivent, et vous... Maintenant, lorsque vous parlez aux gens, pendant que cette onction est sur vous, que vous vous mettez à leur parler, alors voilà apparaître la vision qui les concerne. Voyez? Lorsque vous descendez de l’estrade, vous êtes épuisé, alors vous ne pouvez plus les assister. Très bien.

8          Eh bien, nous avons essayé ce soir, comme c’est lundi, c’est plutôt une soirée où on ne tient pas de réunions ; nous allons essayer de parler un tout petit peu de la Parole, c’est en quelque sorte un petit texte simple, le Seigneur voulant, et ensuite nous allons carrément continuer, tenir le service, quelle que soit la conduite du Seigneur. Soit Il appelle les gens à monter sur l’estrade, si nous devions en appeler quelques-uns, soit Il va simplement dans l’assistance, ou toute autre façon qu’Il va conduire cela.

            Et maintenant, je pensais, ces photos... Combien ont ces photos? Les avez-vous dans vos maisons? Bien, c’est très bien.

            Je parlais à un... Quelqu’un m’a dit hier soir ou plutôt m’a envoyé un message par quelqu’un aujourd’hui, que... Aujourd’hui j’étais dans le brouillard. Mais il y avait un... une des dames pleurait ou quelque chose comme cela ici hier soir, elle a vu Cela lorsque Cela est descendu sur l’estrade. Eh bien, maintenant, si vous n’avez jamais vu Cela, voici une plus grande confirmation que c’est la vérité, regardez-En simplement la photo.

            Et ce n’est pas ma photo, frère, soeur, c’est Sa photo à Lui, pas la mienne. Et Il est avec l’Eglise, pas seulement avec moi, Il est avec tous les–chaque chrétien, partout. Chaque chrétien sait que c’est Christ, la même Colonne de Feu qui conduisit les enfants d’Israël. Je crois de tout mon coeur qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Lorsqu’Il était là-bas, c’est Lui qui les a conduits.

9          Ecoutez. Combien ont déjà lu l’Ancien Testament? Faites voir vos mains. Eh bien, c’est très bien. Oh ! tout le monde sait que l’Ange de l’Eternel qui marchait devant le–les enfants d’Israël, c’était l’Ange de l’Alliance, Lequel était Christ. Le savez-vous? Le croyez-vous? C’était certainement le cas. Très bien. Il était dans une Colonne de Feu. Est-ce juste? Eh bien, c’est ce qu’Il était en ce jour-là ; c’est ce qu’Il était–c’est ce qu’on a appelé «hier». Lorsque l’Ecriture a été écrite, ce qu’on a appelé «aujourd’hui»... lorsqu’Il était «aujourd’hui»... Eh bien, c’est ainsi qu’Il a pris la forme d’une Colonne de Feu. Eh bien, nous voyons cela dans la réunion, soirée après soirée, et nous La voyons sur la photo. Le monde scientifique le sait. Cela montre donc qu’Il était effectivement le même hier lorsqu’Il était ici sur terre, et puis aujourd’hui, nous verrons ce qu’Il était. Il allait partout, et Il avait des visions, et Il parlait aux gens, et Il guérissait les boiteux et les infirmes, et Il a Lui-même témoigné qu’Il ne faisait rien jusqu’à ce que le Père Lui ait montré premièrement dans une vision ce qu’Il devait faire. Est-ce juste?

            Le voici qui revient, exactement la même chose, parce que c’est éternel, le même Seigneur Jésus: ce qu’Il a fait aux jours de Moïse, ce qu’Il a fait aux jours de Sa chair ici sur terre, et ce qu’Il fait aujourd’hui, Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement, le même Seigneur Jésus.

10        Maintenant, dans le Livre de 2 Rois, je vais lire ici juste une–une portion des Ecritures, qui se trouve aux versets 14 et 15 de 2 Rois.

            Et étant fatigué ce soir, je vais juste parler un petit peu. Ceci fait que... Jamais auparavant je n’ai fait mon appel à l’autel et apporté une prédication. D’habitude ce sont les managers qui le font, et ensuite j’entre directement et je tiens la ligne de prière. Mais depuis que frère Baxter est parti, eh bien, frère Jack Moore et moi, nous avons convenu que... Il voulait que j’essaie de parler un peu, il a dit... Mais, oh ! la la ! je suis vraiment un piètre prédicateur. Et ainsi, lorsque... Et il a dit: «Oh ! si les gens... Ils s’en fichent que vous disiez ‘his’ ‘hain’t, ‘fetch’, ou ‘carry’, ou ‘tote’. Dites simplement quelque chose, ils vous croiront.» Ainsi, je–j’apprécie cela ; ça me fait du bien de savoir cela. Vous savez, et côté théologie, je–je–je ne connais pas grand-chose du tout au sujet de la Bible, mais ce que je connais, je le connais réellement. Et s’il y a une chose, c’est que j’En connais l’Auteur ; c’est ce qui est meilleur, c’est-à-dire Le connaître Lui qui a écrit cela. Au verset 14 nous lisons ceci:

Elisée dit: L’Eternel des armées, dont je suis le serviteur, est vivant ! si je n’avais égard à Josaphat, roi de Juda, je ne ferais aucune attention à toi et je ne te regarderais pas.

Maintenant, amenez-moi un joueur de harpe. Et comme le joueur de harpe jouait, la main de l’Eternel fut sur Elisée.

11        Maintenant, inclinons la tête, alors que nous parlons à l’Auteur du Livre.

            Notre Bien-Aimé Père, nous nous approchons de Toi ce soir dans le Nom tout suffisant de Jésus-Christ, le Fils bien-aimé de Dieu. Car nous savons qu’Il nous exaucera ; en effet, Il nous a promis: «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Et nous savons qu’Il ne nous exaucera pas en notre nom, ou peut-être qu’Il–Il n’a pas promis de nous exaucer en notre nom, mais Il a promis de nous exaucer en Son Nom. C’est pourquoi nous nous approchons en Le présentant ; et nous réalisons qu’aussi longtemps que c’est Lui que nous présentons, c’est exactement comme s’Il se tenait là, parlant Lui-même en personne. Nous recevons ce que nous demandons, car c’est avec ce genre de foi là que nous nous approchons.

            Nous Te prions de déverser Tes bénédictions sur la Parole ce soir, et que chaque personne qui est dans Ta divine Présence soit bénie avec une grande effusion des bénédictions de Dieu. Et que chaque âme sorte d’ici ce soir, heureuse et en se réjouissant. Et s’il y a parmi nous des étrangers qui n’ont jamais été avec nous auparavant, lorsqu’ils rentreront chez eux ce soir, puissent-ils être en mesure de dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs ce jour-là: «Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous?» à cause de Sa Présence.

12        Fais quelque chose ce soir, qui fera que cette réunion soit un peu différente des réunions ordinaires, afin que les gens sachent que Tu es ressuscité des morts. Fais que par le Saint-Esprit cela soit pour les gens un signe incontestable, comme Tu l’avais fait pour ceux qui étaient à Emmaüs, pour montrer que Tu étais ressuscité des morts en ce matin-là de Pâques et que Tu es vivant à jamais.

            Et nous Te remercions pour ceci, après mille neuf cents ans, Tu n’as pas vieilli d’un seul jour. Tu as quitté le temps pour entrer dans l’éternité, et Tu seras le même Aimable Seigneur Jésus éternellement, et aux siècles des siècles.

            Maintenant, veux-Tu bien nous bénir ce soir dans la Parole? Aide-moi, Seigneur, je suis fatigué et épuisé. Bénis l’assistance ; ils sont venus fidèlement toutes ces soirées, et ils se sont entassés ici à l’intérieur. Nous Te prions de leur accorder une bénédiction spéciale ce soir. Guéris tous les malades et les affligés. Fais que chaque personne voie le Seigneur Jésus ce soir, regarde et vive, et soit guérie. Sauve les perdus et les nécessiteux. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

13        Je parlais... de penser au mot sauvé. Tout le monde dit: «Oh ! je crois que vous pouvez être sauvé.»

            Eh bien, sauvé c’est... Vous pouvez être sauvé soit physiquement, soit spirituellement. Le même mot qui est utilisé dans «Ta foi t’a sauvé» est le même qui est utilisé dans «La prière de la foi sauvera le malade.» Et lorsqu’on est perdu, on traduit toujours par sauvé aussi bien pour le physique que pour le spirituel le mot sozo, qui signifie que vous êtes sauvé physiquement ou spirituellement en croyant au Seigneur Jésus-Christ.

14        Notre texte ce soir nous ramène à une–une petite chose qui est dans nos esprits, c’est que nous ne devons pas nous mêler aux incroyants. Les Ecritures déclarent: «Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un même joug. Ne vous mettez pas avec eux sous un joug étranger.» Beaucoup de passages des Ecritures nous enseignent que nous devons nous séparer. La première chose que Dieu a exigée à Abraham lorsqu’Il l’a appelé, c’était qu’il se sépare de son peuple, de sa patrie, et c’est alors qu’Il allait le bénir.

            Eh bien, cela ne signifie pas que vous devez quitter la maison ; cela signifie uniquement que vous devez vous séparer de vos associés du monde. Vous savez, aujourd’hui, les gens regardent, les pasteurs et ainsi de suite... Lorsque les églises élisent leur pasteur, ils veulent avoir un homme de très grande taille, qui mesure six pieds [1,80 m], un homme aux larges épaules, aux cheveux noirs et ondulés, un homme attirant. C’est ce que les gens veulent avoir. C’est juste. Et ils veulent avoir quelqu’un de sociable, qui va à des sorties, et qui raconte quelques plaisanteries, et qui fait quelques blagues, et ainsi de suite. Mais la Bible veut avoir un séparateur. Dieu appelle des séparateurs. C’est juste.

            Le Saint-Esprit nous sépare des choses du monde, des soucis de ce monde ; et toutes nos affections sont portées sur Jésus-Christ. Que nous vivions ou que nous mourions, nous Le servons et nous L’aimons, et nous allons de l’avant, faisant tout ce que nous pouvons pour Le glorifier aux yeux des gens.

15        Maintenant, en ce jour qui correspondait exactement à l’heure de minuit de l’histoire d’Israël... Si vous remarquez, le roi Salomon, au jour du roi Salomon, Israël a connu son époque la plus prospère. Ensuite, le roi Achab, au temps du roi Achab, c’était l’époque la plus sombre. Juste à cette heure sombre d’Israël où Achab a épousé une petite idolâtre, et a introduit l’idolâtrie dans–dans la religion juive, de même l’église du Saint-Esprit s’est mariée au monde et s’est plongée dans l’idolâtrie durant les âges des ténèbres: un très beau type de deux églises.

            Et Achab était un croyant frontalier, c’était juste un type qui croyait assez pour se rendre malheureux. Avez-vous déjà vu de pareilles gens? Eh bien, dans leur conception ils aimeraient aller à l’église et faire ce qui est juste ; ils estiment que cela ferait d’eux une meilleure personne dans la société. Et peut-être qu’à cause des enfants, ils pensent qu’ils devraient peut-être être membres d’une église. Si ce n’est pas là la personne la plus misérable que je connaisse. Je vous assure, la meilleure chose à faire, c’est de s’éloigner complètement du rivage et d’avancer en pleine eau, sinon n’allez pas du tout. Restez simplement chez vous, soit allez jusqu’au bout pour Christ. Dieu désire avoir quelqu’un qui ira vraiment jusqu’au bout, donnez tout ce que vous possédez, votre âme, votre corps, et votre esprit au service du Seigneur.

16        Or, ce croyant frontalier, comme je l’ai appelé tout à l’heure, oh ! il avait plutôt une conception mentale de sa théologie, car il se disait: «Eh bien, Dieu existe, mais peut-être que Baal aussi est dieu, et les autres aussi et ainsi de suite.» Et sa femme l’avait en quelque sorte embrouillé dans cela.

            Vous savez, les amis, je vous assure ce soir, et vous jeunes dames, faites attention à la personne que vous épousez ; vous vous retrouvez bien vite avec un foyer brisé. Et il n’est pas bon de–que des pécheurs et des chrétiens se marient. Ne vous mettez pas sous un joug étranger, car c’est ce qu’avait fait Achab. Elle était une très belle petite créature, oui, au visage tout fardé, avec des yeux comme un lézard, mais elle était une... Le problème, c’était que...

            Savez-vous quoi? C’est la vérité. C’est le... Achab était simplement tombé amoureux d’elle, parce qu’elle était peut-être jolie ; en effet, il ne pouvait pas être tombé amoureux de son caractère, car elle était une meurtrière ; elle était tout le reste. C’est juste. Et Achab était tombé amoureux d’elle parce qu’elle était jolie. Et, il s’est donc entiché d’elle, et alors elle le menait simplement par le bout du nez.

17        Savez-vous que l’homme le plus sage de la Bible, à part Christ, est mort un païen idolâtre, à cause d’un harem de jolies femmes? Salomon. Elles l’ont éloigné de Dieu. Tout à fait.

            Ne vous mettez pas sous un joug étranger. Et j’ai vu bien des gens venir sur l’estrade, être guéris et partir, et se mêler aux incroyants, et leur maladie est immédiatement revenue sur eux.

18        Il y a un homme du nom de docteur Church, un méthodiste, je ne l’ai jamais rencontré. Il a écrit un livre, et il a dit: «Voici pourquoi je ne crois pas en William Branham.» Il a dit: «J’ai rencontré un homme il y a quelque temps, il revenait de l’une de ses réunions, et il avait la prostatite.» Et il a dit: «Il est allé là-bas, et William Branham lui a parlé et a prié pour lui, et il a dit: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous êtes guéri.’» Et il a dit: «J’ai rencontré cet homme une année plus tard, et je lui ai demandé: ‘Qu’en est-il de cela?’ Ce dernier a dit: ‘Eh bien, monsieur Church,’ a-t-il dit, j’étais guéri pendant environ six ou huit mois et, vous savez, la chose est encore revenue sur moi.’ Cela montrait donc que William Branham est faux.» Et chaque année lors d’une campagne, ce même homme reçoit ce groupe de nazaréens et de pèlerins de la sainteté là-bas qui ont rétrogradé cette année-là et qui déclarent qu’ils avaient été sauvés à l’autel. C’est juste. Frère, la guérison dure aussi longtemps que la foi tient bon, le salut de même. Vous pouvez être sauvé ce soir et être perdu la semaine prochaine. Et vous pouvez être guéri ce soir et être de nouveau infirme demain, être de nouveau malade demain. Le médecin peut aller par ici, et hospitaliser un patient, le mettre sous une tente à oxygène, lui administrer de la pénicilline à cause de la pneumonie, et le jour suivant le déclarer parfaitement guéri, et le mercredi suivant cet homme peut mourir de la pneumonie. Est-ce juste? Cela n’était pas un signe qu’il n’était pas guéri, certainement pas.

            La Bible dit: «Lorsque l’esprit impur est sorti d’un homme, il va par des lieux arides, cherchant du repos...?... Et bien vite, il va prendre sept autres démons, puis il revient, il entre par la force.» Si le maître de la maison ne se tient pas là pour le chasser, il entrera et la condition de cet homme sera pire qu’au départ. C’est pourquoi lorsque vous acceptez votre salut, placez les barrières du Sang de Jésus-Christ devant la porte. Ils ne pourront pas entrer.

19        Et puis, lorsque vous êtes guéri, acceptez votre guérison, placez toujours le Sang de Jésus devant vous. Ce ne sont pas vos sensations ; ce n’est pas votre théologie. Il est uniquement question que votre foi soit placée en Jésus-Christ sur base de l’oeuvre achevée au Calvaire, sachant ceci, que vous, vous êtes vous-même mort avec votre sacrifice, comme nous l’avons enseigné hier. C’est la raison pour laquelle le sang de l’agneau ne pouvait pas donner à l’homme la foi qui tue la nature de son péché, car la vie de l’animal qui quittait le sang ne pouvait pas retourner sur l’homme. Mais dans le cas de Jésus-Christ, lorsqu’Il est mort et que le Sang autour de Sa cellule... en effet, Il était le Fils de Dieu né d’une vierge. Et le Saint-Esprit s’était enveloppé de cette cellule née de la vierge, et lorsque celle-ci fut brisée, lorsque nous passons par ce Sang, et que nous L’acceptons comme notre sacrifice, l’Esprit qui était là dans ce Sang, lequel est le Saint-Esprit, revient sur l’homme et le fait entrer dans le Royaume de Dieu. Et il devient une nouvelle créature en Christ Jésus. C’est pour cette raison qu’il peut croire dans la guérison, qu’il peut croire dans tout ce que Dieu dit, car il est une partie de Dieu. Il devient un fils de Dieu, ou une fille de Dieu.

20        Or, Achab avait suivi cette belle jeune femme, et il avait rétrogradé, il a démoli tous les autels de Dieu, et il a bâti ceux de dieux de cette femme. Et elle avait un tempérament colérique comme celui de dix femmes environ. Et les gens devaient lui faire plaisir, lui donner une petite tape, et la cajoler. Alors il a dû tuer les prophètes et tout le reste. Mais Dieu avait quelques personnes qui ne se prosternaient pas devant les Baals.

            Dieu s’est toujours gardé un reste ; Il s’est toujours... Il n’y a jamais eu un temps ou Dieu n’a pas eu au moins un homme sur qui Il pouvait mettre Sa main comme un témoin.

21        Et alors, après toutes les mauvaises choses qu’il a faites, Elie lui a dit que les chiens lècheraient son sang et ainsi de suite... Maintenant, après sa mort, ensuite Joram, son fils régna à sa place, lequel était aussi méchant, aussi frontalier que son père: il avait la même nature. Il ne se détourna point des péchés de la nation.

            Et puis, Moab, pour ainsi dire le demi-frère d’Israël, qui était issu là-bas des enfants de Lot, s’est alors rebellé. Eh bien, il était un grand éleveur des moutons du temps d’Achab, et il a pris...?... lui a envoyé des moutons et de la laine en quelque sorte comme une offrande pour faire la paix. Israël était très puissant du temps d’Achab. Mais après, il s’était affaibli sous le règne d’Achab, et lorsque Joram prit sa place, alors Moab s’est rebellé contre Israël.

22        Eh bien, Joram a dit: «Je vais monter là voir le roi d’Edom, je vais voir s’il ira avec moi, et ensuite je vais aussi aller chercher Josaphat.»

            Or, Josaphat, il y avait eu une scission dans le–en Israël en ce temps-là, entre les Juifs–Juda et–et Israël. Et Joram régnait sur Israël, et Josaphat régnait sur Juda. Et Josaphat était un homme juste, un homme de bien, un homme qui craignait Dieu. Et lorsque Joram est venu le voir, et qu’il a commencé probablement à lui en parler, il a inventorié... de son pays...?... ont pris un dîner ou deux ensemble, ou quoi qu’ils avaient fait, alors sous l’enthousiasme de vouloir montrer les grandes choses qu’ils avaient en tant que nation, il a succombé en s’associant à un incroyant.

23        Comme cela est vrai aujourd’hui ; parfois quelqu’un peut venir, qui est un petit peu élevé dans le monde, qui est peut-être un peu plus instruit que votre pasteur, disant que les jours des miracles sont passés, et que c’est simplement–de ne pas y croire et ainsi de suite, comme cela. Vous vous direz: «Eh bien, c’est un érudit ; il a étudié à tel et tel endroit. Il doit savoir de quoi il parle.» Faites attention ! Vous êtes sur un terrain dangereux. C’est juste. Une fois que vous acceptez pleinement Jésus, restez alors avec Lui de la même manière jusqu’à votre mort. C’est juste. Si vous L’acceptez comme votre guérisseur, peu importe ce qui arrive, tenez-vous-en à cela de toute façon.

            Parfois c’est juste au moment où vient l’heure la plus sombre de votre vie (Dieu vous donnant une petite épreuve pour voir si vous croyez réellement la chose), qu’Il vous révèle réellement la chose, d’une manière parfaite.

24        Bon, lorsque Josaphat est allé et a fait alliance avec Joram, comme quoi il allait l’accompagner dans la bataille, le croyant s’associant à l’incroyant, ou au tiède, juste parce qu’il y avait là-bas un peu plus d’Israélites en Juda, qu’ils étaient un peu plus riches que ceux qui étaient en Juda...

            Comme les richesses de ce monde ont aveuglé les yeux des gens ! Aujourd’hui, c’est ça le problème de notre nation. Eh bien, allez dans les pays des païens, qu’une seule chose se produise dans une réunion où il y a un demi-million de gens, ce qui se produit soirée après soirée ici sur l’estrade, chaque–pratiquement chaque incroyant là présent se frayera aussitôt un chemin jusqu’au Calvaire en pleurant. Les infirmes se lèveront ; les aveugles recouvreront la vue, c’est tout simple. Mais notre nation ici... Pas vous, les gens qui viennent à ce genre de réunions ne sont pas les hautains et les–les riches ; en général ce sont les pauvres gens ordinaires. Mais ce sont eux qui, dit la Bible, L’écoutaient avec plaisir.

25        Mais prenez tout ce monde qu’il y a en Amérique, oh ! la la ! ils sont bien nourris, et...?... Ils n’ont à s’inquiéter de rien. Ils ont tout l’argent qu’ils désirent avoir, ils gagnent des milliers et des millions de dollars par an, et ils ont de belles voitures, de grands pavillons d’été et de grands endroits, et tout. Ils n’ont pas à s’inquiéter. Qu’est-ce que la religion pour eux? C’est juste un endroit où on s’assied, un endroit pour dire: «Eh bien, je suis membre de l’église.»

            Et ils vont chercher l’église la plus prestigieuse et la plus pratique qu’ils peuvent fréquenter. Et savez-vous que ça c’est le camp même de Satan? J’espère que nous ne sommes pas dur à ce sujet mais, souvenez-vous, au Ciel qu’est-ce qui avait rendu Lucifer jaloux? Il est allé au nord et s’est érigé un meilleur royaume ; il voulait avoir un royaume plus grand, plus éclatant, meilleur et plus beau. Le diable travaille toujours avec la beauté. Certainement. C’est pour cette raison que Caïn a offert ce qu’il avait offert comme offrande. Mais il n’y avait aucune beauté dans l’offrande d’Abel, quand il amenait son agneau ; mais Abel avait une révélation spirituelle venant de Dieu, que c’est ce qui serait agréable à Dieu. Et comme nous l’avons dit, c’est seulement par la révélation spirituelle que vous pouvez connaître Dieu. Vous ne Le connaîtrez jamais par la connaissance.

26        Dans le jardin d’Eden il y avait deux arbres: l’un c’était l’Arbre de la Vie, l’autre c’était l’arbre de la connaissance. L’homme a laissé l’Arbre de la Vie pour manger le fruit de l’arbre de la connaissance. Et à la première bouchée qu’il prit, il brisa sa communion avec Dieu. Chaque fois qu’il en prend une bouchée, il se détruit. Il a pris une bouchée de la poudre à canon: observez ce que cela a fait. Il a pris une bouchée de l’automobile ; cela tue plus de gens que toutes les guerres. Il s’est fabriqué une bombe à hydrogène maintenant ; je me demande ce qu’il en fera. Voyez? Il se détruit. Dieu ne détruit rien. L’homme se détruit lui-même par la connaissance.

            Il va au séminaire, il apprend tout au sujet de chaque chose. Ensuite il en revient ; il en sait plus que quiconque d’autre. Il en revient, et il explique tout au sujet du Sang dans la Bible. «Cette partie-ci est inspirée ; cette partie-là n’est pas inspirée.» Ce n’est que ce qu’il veut croire qui est inspiré. Et lorsqu’il fait cela, par cela il se coupe et coupe son assemblée des bénédictions de Dieu. Amen.

27        Il n’y a pas longtemps... Je ne dis pas ceci pour plaisanter ; la chaire n’est pas un endroit pour plaisanter, mais pour faire une remarque. Une petite femme avait un fils ; elle l’a envoyé à... Il avait un appel pour être un ministre–le ministère. Alors elle l’a envoyé à l’école.

            La vieille mère, pendant que son fils était parti, a attrapé la pneumonie et elle était près de la mort. Elle a envoyé chercher son fils pour qu’il vienne auprès d’elle ; en effet, il était possible que son âme soit rappelée. Les médecins l’avaient abandonnée.

            Il y avait une vieille petite dame qui fréquentait une mission là-bas, elle en a entendu parler. Le Seigneur l’a conduite là-haut, et elle est venue, et elle a dit: «Dites, soeur, a-t-elle dit, notre pasteur prie pour les malades, accepterez-vous qu’il vienne prier pour vous?»

            Elle a dit: «Oui, ma chère, j’en serai heureuse.» Ainsi il s’est rendu là, et lui a imposé les mains, et il a prié pour elle ; il a lu Marc 16. Il lui a imposé les mains, il a prié pour elle ; le lendemain la vieille femme était guérie. Alors elle a de nouveau envoyé un message à son fils, lui disant qu’elle se portait bien, qu’il n’était plus obligé de rentrer à la maison.

            Ainsi donc, environ une année plus tard il est rentré à la maison en visite. Il a dit: «Maman, j’aimerais te poser une question.» Il a dit: «Qu’était-il arrivé?» Il a dit: «Tu sais, tu m’avais envoyé un message me disant d’être prêt ; tu voulais que je rentre à la maison, tu étais mourante à la suite d’une pneumonie. Et le lendemain une–une lettre, ou plutôt un télégramme me parvenait, disant que je ne devais plus venir, que tu étais guérie.» Il a dit: «Quel est ce médicament que le docteur t’avait administré, et qui avait changé du coup toute la situation?»

            Elle a dit: «Eh bien, fiston, il faut que je te le dise.» Elle a dit: «Il y a des gens ici dans la ville, dans le bidonville...?... là dans les quartiers pauvres, il y a une petite mission.» Et elle a dit: «Une dame est venue ici et m’a dit que leur pasteur priait pour les malades.» Elle a dit: «Chéri, il est venu ici et m’a lu un passage de la Bible, qui dit qu’il y a des gens qui sont censés imposer les mains aux gens lorsque ces derniers sont malades. Et tu sais, le Seigneur m’a guérie.»

            Il a dit: «Oh ! mère.» Il a dit: «Pareille chose, eh bien, a-t-il dit, ces gens sont des illettrés.» Il a dit: «Ils ne sont pas avisés. Eh bien, a-t-il dit, a-t-il lu Marc 16?»

            Elle a dit: «Oui.»

            «Oh ! a-t-il dit, nous avons appris au séminaire que Marc 16, à partir du verset 9, n’est pas inspiré.» Il a dit: «Ces gens sont des illettrés, ils ne sont pas avisés. Ils ne connaissent pas la Parole telle que nous nous L’avons apprise au séminaire.»

            La petite mère a dit: «Eh bien, gloire à Dieu !»

            Il a dit: «Mère, qu’est-ce qui... Tu te comportes comme eux.» Il a dit: «Qu’est-ce qui t’arrive?»

            Elle a dit: «J’étais juste en train de me dire: Si Dieu peut me guérir avec une Parole qui n’est pas inspirée, que peut-Il faire avec celle qui est réellement inspirée?» Ainsi–ainsi cette base... Ainsi c’est comme cela. Nous...

28        On vous amène là-bas, et on vous injecte le fluide d’embaumement, et on fait sortir de vous tout ce qui est de Dieu, et on vous apprend la théologie. Eh bien, vous ne pouvez pas connaître Dieu par la connaissance. C’est impossible ; Vous devez... C’est par la grâce que vous êtes sauvé, et ce au moyen de la foi. Croyez simplement au Seigneur Jésus-Christ. C’est de cette manière que vous Le connaissez, ce n’est pas par tous vos discours habiles ; cela vous éloigne de Dieu. Plus vous connaissez, plus vous étudiez et essayez de comprendre la chose, moins vous connaissez. Arrêtez d’étudier et de chercher à comprendre ; libérez-vous tout simplement et croyez.

            J’avais coutume de prêcher un petit sermon dans l’Eglise baptiste, je l’avais intitulé: «Libérez-vous et laissez Dieu faire.» C’est juste. Libérez-vous et laissez Dieu faire ; aussi longtemps que vous vous mêlez de la chose, il n’y a aucune issue. Savez-vous qui est mon plus grand ennemi? C’est William Branham? Il fait toujours obstacle à Dieu. Si je peux seulement le mettre hors du chemin, alors Dieu peut se mettre à l’oeuvre. Votre pire ennemi, c’est vous-même. Mettez-vous simplement hors du chemin, et alors Dieu pourra se mettre à l’oeuvre.

            Maintenant, faites attention à celui avec qui vous vous associez lorsque vous allez là et que vous vous retrouvez parmi ces gens: celui-ci se met à vous dire ceci, et celui-ci à vous dire cela. Alors vous êtes tout embrouillé, vous ne savez plus ce que vous croyez exactement.

29        Il y a quelques semaines, ou bien, disons qu’il y a quelques mois plutôt, lorsque je suis revenu d’Afrique, j’avais des amibes. Et on voulait m’interner dans un lazaret lorsque je suis arrivé, parce qu’ils disaient que j’avais des amibes. Vous en connaissez l’histoire. Un médecin m’a pris, il a dit: «J’aimerais que vous preniez du...» C’était de la bouillie de sulfate de baryum qu’il s’agissait.

            Et oh ! il était de mauvaise humeur ce matin-là ; je me suis dit: «Ô Dieu, pourquoi m’as-Tu envoyé ici?»

            Et il buvait cette bouillie de sulfate de baryum.

            Il a dit: «Retenez votre souffle.»

            Et j’ai dit: «Oui.»

            Et il a introduit cela comme ceci, et il a secoué, il a failli pratiquement enfoncer ses mains dans ma bouche. Et il a dit–il a dit: «Etendez-vous sur la table.» Il a dit: «On m’a appris que vous êtes un missionnaire.»

            J’ai dit: «Bien, ai-je dit, je suis donc un missionnaire évangéliste.»

            Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, le médecin m’a dit que vous êtes un prédicateur.»

            Et j’ai dit: «C’est juste.»

            «Vous savez, j’ai étudié cette histoire autrefois.»

            Et j’ai dit: «Vraiment?» J’ai dit: «Qu’est-ce qui n’a pas marché?»

            Il a dit: «Je me suis rendu compte que la chose n’était pas vraie.»

            J’ai dit: «Vraiment?» J’ai dit: «Eh bien, ça fait vingt-trois ans que je suis dedans, et jusque-là je–je ne m’en suis jamais rendu compte.» J’ai dit: «Je trouve simplement que c’est sans cesse plus succulent pour moi.»

            «Eh bien, a-t-il dit, voici de quoi il s’agit, Révérend.» Il a dit: «Vous savez, a-t-il dit, je–j’ai étudié cela pendant quatre ans au séminaire presbytérien.» Et il a dit: «J’ai pris certains livres.» Il a dit: «Vous savez, tous les mahométans, ils ont des naissances virginales, et ils ont toutes sortes de résurrections.» Il a dit: «J’ai fini par découvrir que la chose entière est un non-sens. On ne peut pas comprendre cela.»

            Et j’ai dit: «Docteur, vous essayez de comparer le ridicule au sublime.» J’ai dit: «Il n’y a pas du tout de comparaison à faire. Les gens prétendent avoir cela, mais ils n’en ont aucun témoignage.»

            Il a dit: «Nous non plus.»

            J’ai dit: «Oh ! si, nous en avons.»

            Il a dit: «Il n’y a pas une seule chose que l’on puisse produire pour prouver qu’il existe un Etre surnaturel.»

            J’ai dit: «Allez-vous accepter cela, si cela vous est prouvé?»

            Et il a dit: «Eh bien, comment pourriez-vous le prouver?»

            J’ai dit: «Je peux le prouver, scientifiquement, qu’il existe un Etre surnaturel.» C’est juste.

            Et il a dit: «Je ne crois pas.» Il a dit: «J’ai étudié cela, a-t-il dit, toutes ces différentes choses.»

            Je me suis dit: «Ô Seigneur, accorde-moi la sagesse, car je parle à un homme intelligent, et moi je suis un campagnard.» Je savais donc qu’il me fallait l’assistance de Dieu, alors...

            Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, je ne crois pas que pareille chose existe.»

            J’ai dit: «Bien, j’aimerais vous poser une question, docteur.» Et je–je me suis mis à lui parler ; j’ai dit: «Le problème, c’est que vous cherchez à tout comprendre.» J’ai dit: «J’apprécie la science.» J’ai dit: «Vous avez regardé directement dans mon estomac tout à l’heure, à l’aide de la lumière qui est dans mon corps. Ce petit câble d’un instrument que vous avez introduit là-dedans, et ma lumière a juste montré là à l’intérieur, et vous avez scruté tout mon estomac pour me dire que je n’avais plus aucun symptôme de ces choses ou que je n’avais plus aucun de ces parasites.» J’ai dit: «Eh bien, j’apprécie cela, c’est une bonne chose.» Mais j’ai dit: «Voici le problème: la science ne connaît pas Dieu.» J’ai dit: «Vous avez grimpé sur cet arbre jusqu’à... Et l’arbre de la connaissance ne va que jusque là, et c’est donc le niveau le plus élevé que vous pouvez atteindre.» J’ai dit: «Grimpez aussi haut que vous le pouvez sur l’arbre de la connaissance, puis passez sur l’arbre de la foi, et continuez à croire et à monter comme cela.»

            Il a dit: «Eh bien, j’aurais souhaité pouvoir faire cela.»

            J’ai dit: «Vous le pouvez, si vous croyez.»

            Et il a dit: «Eh bien...»

            J’ai dit: «Avez-vous déjà lu l’histoire du Seigneur Jésus dans la Bible, les choses qu’Il a faites, et tout?»

            Il a dit: «Oh ! oui.»

            Et à ce moment-là le Seigneur m’a donné une vision de quelque chose qu’il avait fait. J’ai dit: «Qu’en est-il de cela?»

            Il a dit: «Comment l’avez-vous su?»

            Voilà ! N’est-ce pas étrange que les gens, les choses mêmes qui apportent la joie et une satisfaction parfaite au coeur de l’incroyant, ils veulent taxer cela d’autre chose?

30        Sauvé par la foi, c’est ce que nous croyons... Et la foi, ce n’est pas... Vous n’êtes pas sauvé avec la foi, c’est par la foi que vous êtes sauvé. Ce qui nous fait mal, c’est la chose que vous demandez. En effet, cela résonne dans votre coeur, ou s’établit dans votre coeur, et vous savez que vous le croyez, et vous savez que vous le possédez, avant même que vous l’ayez reçu. Voyez? La foi est une ferme assurance. Et si seulement les gens... Le problème est que les gens essaient de croire pour être sauvés. Ça c’est la foi intellectuelle. Le monde produit une foi intellectuelle, mais il faut que Dieu produise les résultats.

            Or, si votre foi est dans votre pensée, ce n’est pas très bien. Faites descendre votre foi ici. Vous laissez votre esprit raisonner continuellement là-dessus et dire: «Eh bien, maintenant, voyons. Cela a dit ceci ; le médecin a dit ceci, et maman a dit ceci, et papa a dit ceci ; le pasteur a dit ceci.» Eh bien, ça, c’est la foi intellectuelle. «Oh ! je crois la Bible. Oui, oui, je crois que c’est juste mais, vous savez, les gens...» Voyez, vous essayez de raisonner. C’est la foi intellectuelle. Mais lorsque votre foi quitte le domaine intellectuel et que le Saint-Esprit place cela dans l’âme et dans le coeur, vous ne penserez même pas à ces choses. Vous ne chercherez pas à voir quelque chose. La seule chose que vous savez, est que cela va arriver, peu importe qui est la personne qui dit le contraire. C’est ça. C’est dans le coeur ; Dieu met cela là à l’intérieur. Voilà. Lorsque Dieu met cela là à l’intérieur, tous les démons des lieux de tourment ne pourront jamais ôter cela.

            Si vous étiez couché mourant, haletant–haletant en cherchant votre souffle, les râles de l’agonie étant dans votre gorge, cinquante médecins se tenant autour de vous, disant: «Dans les cinq prochaines minutes il ira vers Dieu. Il est en train de s’en aller maintenant» ; mais qu’au fond de votre coeur, vous croyez que Jésus-Christ vous a guéri, cela ne vous dérangerait pas du tout. Aussi certain qu’il existe un Dieu au Ciel, vous vous en tirerez. Oui, oui. Parce que Dieu est lié par le devoir, Il doit tenir Sa Parole. Et vous ne saurez jamais qui est Christ ou ce qu’est la Parole, avant que le Saint-Esprit ne vous le révèle d’abord personnellement dans votre coeur. Alors vous êtes convaincu que Jésus est Seigneur, lorsque votre coeur le déclare. Ce n’est pas lorsque votre connaissance le déclare, lorsque votre coeur le déclare, c’est à ce moment-là que vous le savez.

31        Or, Achab n’avait pas ces qualités, Joram non plus. Ils n’étaient que des croyants intellectuels. «Oh ! oui, j’ai lu là où Moïse avait conduit les enfants d’Israël. Oh ! je–je crois que c’étaient mes aïeux.» C’est de cette manière qu’on considère les choses. Comparez cela avec aujourd’hui.

            «Oh ! nous croyons que Dieu est un Grand Dieu. Oui, nous avons lu là où Il était avec le peuple, oh ! il y a deux mille ans.» Ça, c’est l’intellect. C’est quelque chose que Dieu a fait. C’est comme un homme qui meurt de froid, et on lui peint un grand feu sur le mur, et on dit: «Regarde quel beau feu c’était. Vois-tu cette peinture? Eh bien, nous avons un grand feu qui doit venir. Regarde comment tout le monde s’y chauffait.»

            Tout le monde se réchauffait en ce temps-là, mais qu’en est-il de vous? On ne peut pas se réchauffer à la peinture d’un feu. Vous devez avoir le feu lui-même. Vous devez avoir la même chose qu’eux avaient. Et ce qu’il faut à l’Eglise, c’est un bon réchauffement pentecôtiste à l’ancienne mode, de l’an 33 de notre ère, au Feu du Saint-Esprit, qui ramène la foi dans l’Eglise, la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

32        Eh bien, Achab, dans sa condition de tiédeur, est mort dans cet état-là. Et maintenant, voici venir Joram qui était exactement comme lui, mais ce qui était dommage c’est que Josaphat, un homme juste, qui était en feu pour Dieu, a donné...?... et s’est joint à cet homme tiède. C’est là que les ennuis ont commencé. Un croyant tiède est pire qu’un infidèle. C’est juste. Ô Dieu, hâte le jour où chaque homme sera soit un chrétien, soit un pécheur, et restera le même !

            Remarquez, mais Josaphat, un homme juste, est allé là sous le coup de l’émotion, il est monté sur les murailles, ivre, et il a égaré Israël avec toutes ces choses, en disant: «Certainement, nous irons là-bas, étant donné que nous avons des choses en commun.» Et j’aimerais que vous remarquiez que dans cette grande précipitation, ils sont tous partis avec assez de nourriture pour tenir sept jours, ils firent une marche de sept jours. Et le problème, c’était qu’ils étaient allés sans même tenir une réunion de prière ou sans consulter Dieu. C’est une mauvaise façon d’aller à la bataille, n’est-ce pas?

33        C’est une mauvaise façon pour vous de venir à l’église le soir, vous attendant à être guéri, sans avoir eu un bon et long moment de prière avant de quitter votre maison, en disant: «Seigneur, je–je désire que Tu fasses quelque chose pour moi ce soir. Lorsque j’arriverai là-bas ce soir, que le Saint-Esprit introduise chaque Parole dans mon coeur, et que la foi puisse s’y ancrer, et que je puisse me lever carrément dans la réunion, recevoir ma guérison, et m’en aller parfaitement guéri.»

            A ce moment-là vous serez guéri. Mais si vous prenez un très grand souper, que vous vous disputiez à la maison pendant un moment, que vous fassiez des discussions tout au long du chemin, eh bien, alors, lorsque vous viendrez ici, vous rentrerez probablement tel que vous étiez arrivés. C’est juste.

            Ça pourrait être un peu dur. C’est juste comme... Lorsque j’étais gosse, nous menions une vie difficile. En fait, les choses ne sont pas très faciles aujourd’hui, mais–mais c’était terrible à l’époque. Nous vivions dans une vieille petite cabane, et maman avait coutume de bouillir des peaux de viande pour–pour en extraire la graisse qui servait à fabriquer du pain. Je ne sais pas si vous avez dû faire cela ou pas, on les mettait dans la casserole, vous savez, les peaux de viande. On les achetait au magasin, tout un gros paquet à vingt-cinq cents. Et on les mettait là-dedans et on faisait cela pour le dégraisser, ensuite elle déversait cela dans de la farine de maïs, et nous prenions du pain de maïs et–et–et des doliques. Je ne sais pas si vous tous vous connaissez cela ou pas. Des doliques avec juste du pain de maïs, c’est un très bon repas des gens du Sud, et de la mélasse de sorgho, et de la bouillie de maïs au petit déjeuner. Ainsi donc...

34        Et chaque samedi soir, lorsque–elle s’y prenait à l’ancienne mode. On avait un grand bac en bois de cèdre, et une bouilloire sur le poêle, ou qui était suspendue au-dessus du foyer. Et on y versait de l’eau, et nous tous les petits Branham, nous devions venir prendre bain, tous dans la même eau, le même bac. Et ainsi on la gardait carrément jusqu’au dernier. Et moi, étant l’aîné, j’étais le dernier. Bien sûr, elle–elle lavait d’abord les tout petits, elle versait encore un peu d’eau, elle chauffait cela. Eh bien, j’imagine que beaucoup parmi vous ont connu la même chose. C’est juste. C’est juste. C’est juste.

            Nous sommes–nous sommes tout simplement... En effet, nous pouvons porter des vêtements un peu meilleurs, et avoir une meilleure automobile, toujours est-il que nous sommes juste un tas d’éléments chimiques d’une valeur de quatre-vingts cents. C’est tout. Vous devez être un homme de cent cinquante livres [68 kg] pour valoir cela. Ha !

35        Savez-vous qu’un homme ne vaut que quatre-vingt-quatre cents en termes d’éléments chimiques? Il y a assez d’éléments chimiques en lui, un petit peu de calcium et–et juste assez de lait de chaux pour saupoudrer le nid d’une poule, et, vous savez, juste–juste quelques éléments chimiques, et ensuite vous marchez comme si vous valiez cent millions de dollars. Qu’est-ce que vous êtes de toute façon? C’est ce que nous sommes tous. Après un moment nous allons gésir là au cimetière et pourrir. Mais cette âme, frère, qui est là à l’intérieur ce soir vaut dix millions de mondes aux yeux de Dieu. C’est juste. Vous prenez soin de ces quatre-vingt-quatre cents, mais vous laisserez n’importe quoi entrer dans cette âme. Soyons raisonnables, frère, servons vraiment le Seigneur.

            Et maman, je me souviens qu’elle avait coutume chaque samedi soir, nous n’avions pas suffisamment de vitamines et tout (Vous voyez?), alors nous devions prendre de l’huile de ricin. J’ai pris tellement de cette histoire qu’aujourd’hui je peux à peine supporter de voir un flacon qui en contient. Je me pinçais le nez, et je disais: «Oh ! maman, s’il te plaît, ne fais pas ça. Ça me rend si malade.»

            Elle disait: «Eh bien, écoutez fiston, si cela ne te rend pas vraiment malade, cela ne te fait aucun bien.» Alors peut-être, c’est pareil avec la prédication de l’Evangile. Si nous ne nous montrons pas rudes là-dessus de temps en temps, cela ne vous fera aucun bien. Cela vous secoue. Amen. Est-ce que vous entendez? C’est ce qu’il nous faut, être pris à rebrousse-poil.

36        Vous vous mettez chaque fois dans la vieille ornière. Allons nous ébattre dans les eaux profondes, ne restons pas sur le rivage. Tout le monde est lié par une certaine chose ; ce n’est pas mal. Mais vous vous liez parfois avec quelque chose: «C’est ceci que nous les méthodistes, nous croyons. C’est ceci que nous les baptistes, nous croyons. Voici ce que nous les pentecôtistes, nous croyons.» Mais voici ce que dit la Bible. Amen. C’est ce que... Je crois à ce qu’Il dit. Je peux toujours être membre de l’Eglise méthodiste, ou baptiste, ou de n’importe quelle autre église, mais je désire croire ce que dit la Bible, car le Saint-Esprit en vous vous fera croire cela. Une fois qu’Il entre, Il croit la chose Lui-même. Car vous vous reconnaissez comme étant mort. Amen. Votre vie est cachée en Dieu, en Christ, scellée du Saint-Esprit. Ensuite vous direz que le diable vous a eu. Il ne peut pas vous avoir. C’est vous qui l’avez eu. C’est simplement l’inverse.

37        Eh bien, Achab est allé donc là-bas... Je veux dire, Joram est allé là-bas, et il a fait une alliance, et ils sont partis là dans le désert pour un voyage de sept jours. Ils n’avaient même pas encore fait là la moitié du chemin et, bien vite, ils étaient à court d’eau. L’approvisionnement en eau était coupé, à cause du manque de prière.

            Ne trouvez-vous pas que c’est à bien des égards ce qui se passe aujourd’hui à Phoenix, et partout ailleurs, à travers la nation, le type du Saint-Esprit–l’eau c’est un type du Saint-Esprit, le rocher frappé. «Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point.»

            De même que l’eau a coulé du rocher frappé pour un peuple mourant, afin de l’empêcher de mourir, de même le Saint-Esprit descend pour un peuple mourant. Est-ce que vous le croyez?

38        Vous savez, j’ai vu ici récemment dans un grand musée un tableau de ce rocher qui donnait de son eau. Si ce n’était pas... C’était aussi médiocre que celui dont je vous ai parlé l’autre soir concernant Adam et Ève. Eh bien, il y avait un tout petit filet d’eau qui descendait, une toute petite chose qui avait environ la taille de mon doigt. Si j’avais très soif, je pourrais boire cette eau moi-même et l’assécher.

            Mais écoutez, cela avait abreuvé deux millions de personnes, en plus des chameaux, du bétail et de tout. Frère, c’était une eau qui jaillissait. Le Saint-Esprit n’est pas une toute petite aspersion ; Il est un baptême complet. Vous perdez complètement conscience de tout lorsque le Saint-Esprit vous baptise. Frère, vous pouvez nager dedans. Amen.

39        Eh bien, lorsque j’étais petit garçon, je disais à mon papa que je savais nager. J’étais dans une petite marre ; il m’a amené là-bas, un petit caniveau. Je suis passé par là il y a quelque temps, un vieux petit... d’environ cette profondeur, vous savez, et il voulait me voir nager. Je suis allé là dans les buissons de sassafras, et je me suis déshabillé, je suis descendu et je suis monté sur une petite caisse, je me suis pincé le nez (J’avais environ sept ans.) et j’ai plongé dans cette boue, et elle a simplement volé dans toutes les directions, si bien que je rampais tout simplement dans la boue, mon petit ventre traînant dans la boue. Il se tenait là ; j’ai vu cette mine découragée sur son visage. Lorsque j’ai levé les yeux, il a dit: «Sors de là, va prendre un bain et rentre à la maison.» Voyez? Je...

            C’est ce qu’on devrait dire à certains de ces chrétiens qui rampent aussi dans la boue. C’est juste. C’est exact. Ils rampent dans la boue.

40        Un jour, mon oncle m’a amené à l’arrière d’une barque sur une eau qui avait environ trente pieds [9 m] de profondeur. Je ne cessais de clamer que je savais nager. Il a pris la rame et il m’a fait tomber dans l’eau. Je devais alors prouver la chose.

            Parfois Dieu vous laisse attraper une maladie grave, ou quelque chose du genre ; parfois, une maladie dont le médecin dit qu’il ne peut plus rien faire pour vous, afin de vous empêcher de ramper dans la boue, jusqu’à ce que vous alliez essayer de nager. Amen. Il laisse quelque chose arriver parfois dans votre famille, quelque chose survenir, pour que vous soyez vraiment obligé de nager, d’entrer dans ce puits jaillissant.

41        Il n’y avait plus d’approvisionnement en eau, ils n’avaient plus d’eau ni pour eux ni pour leurs chameaux, leurs–leurs chevaux et tout. Oh ! Ils étaient complètement troublés et ils ont dit: «Oh ! Dieu nous a amenés ici avec ces trois rois pour être tués ici. Ils vont sûrement nous attraper.» C’était donc un moment horrible de penser ainsi. Mais c’était une bonne chose qu’il y eût un juste parmi eux, de toute façon. Il y avait un homme qui avait un peu de Dieu en lui. Il savait où aller au moment des troubles: Josaphat. Il a dit: «N’y a-t-il pas un prophète quelque part, par lequel nous pouvons consulter l’Eternel et savoir ce qui ne va pas?»

            L’un des compagnons s’est présenté et a dit: «Oui, il y a Elie par là, Elisée.» Il a dit: «Il versait de l’eau sur les mains d’Elie.» En d’autres termes, il avait été associé à quelqu’un de juste. Ah !

42        Vous savez qu’on peut vous juger à partir de vos associés. Ce qui se ressemble s’assemble. Avez-vous déjà entendu cela? C’est la vérité. C’est un vieux dicton, mais c’est la vérité. Vous ne verrez jamais des buses et des colombes communier ensemble. Leur alimentation est différente. Et aussi tôt que Dieu entre dans votre coeur, votre alimentation aussi sera différente. Vous sortirez de ces choses-là.

            Savez-vous pourquoi la colombe ne peut manger au même endroit que la buse? La colombe a une constitution différente ; elle n’a point de bile. Elle ne saurait digérer ces choses-là. Et c’est la même chose. Le vieux corbeau va se poser là. Le vieux corbeau lui peut se poser sur une vieille carcasse, manger cela la moitié de la journée, puis aller là dans le champ pour manger du blé l’autre moitié de la journée. Mais la colombe peut... et manger du blé, mais il ne peut pas manger des carcasses.

43        Alors, vous voyez, vous pouvez avoir quelqu’un qui prétend être chrétien, alors qu’il ne l’est pas, qui prétend être un croyant, alors qu’il ne l’est pas: il va prendre son envol le jour suivant et aller dans un bar, y passer la moitié de la journée, se disputer avec sa femme toute la journée, tirer sur une vieille pipe comme un gros chat, ou quelque chose comme cela, ensuite se dire chrétien. Oui, il fréquente l’église, et il pousse des cris, et se comporte comme tous les autres. C’est la vérité. C’est très tranchant, mais, frère, c’est la vérité. Amen.

            Eh bien, je vais laisser cela pour que ces pasteurs le prêchent. Je ferais mieux de laisser cela. Nous parlons de la guérison divine.

44        De toute façon remarquez. Lorsqu’il est arrivé là, alors il s’est rendu compte, il a dit: «Il y a Elie ; il n’acceptait que la compagnie des hommes droits (Elisée), car il ne s’associait qu’au prophète, à un véritable prophète. Et nous comprenons qu’il avait la double portion. Savez-vous de quoi cela est le type? C’est un type de l’Eglise du Saint-Esprit qui s’associe à Jésus. Le croyez-vous?

            Elisée a regardé, il a dit: «Eh bien, pour...» Lorsqu’il a su qu’il allait être enlevé, qu’il allait passer par la translation, il a parlé à Elisée, il a dit: «Maintenant, attend ici, car je vais à un autre endroit.»

            Et Elisée a dit: «L’Eternel est vivant, et ton âme est vivante, je ne te quitterai point.» Il allait s’attacher à lui. Alors, il l’a mis à l’épreuve. Parfois Dieu vous donne des épreuves (Le savez-vous?), Il vous donne une certaine formation des fils. Oh ! parfois Il vous prépare entièrement comme cela, juste pour voir ce que vous ferez à ce sujet. Voyez?

45        Alors il a dit: «L’Eternel est vivant, et ton âme est toujours vivante, je ne te quitterai point.»

            Il est allé à l’école des prophètes. Il est monté là où se trouvaient tous ces prédicateurs. Et alors, il a dit: «Reste ici maintenant ; je vais me joindre à vous.»

            Il a dit: «L’Eternel est vivant, et ton âme est toujours vivante, je ne te quitterai point.»

            Alors il est descendu au Jourdain, ils ont traversé ensemble le Jourdain à sec. Elie s’est retourné et il a dit: «Elisée, que désires-tu?»

            Il a dit: «Je désire une double portion de cet Esprit.» C’est une bonne chose.

            Il a dit: «Eh bien, tu as demandé une chose très difficile, mais néanmoins, si tu me vois quand tu partiras–quand je partirai, tu recevras cela.»

            Eh bien, pouvez-vous imaginer Elisée le quitter des yeux? Il a gardé ses yeux bien fixés sur lui. Peu importe s’il passait à côté de quelqu’un qui disait: «Eh ! nous avons une meilleure organisation que la vôtre.» Il n’y prêtait pas attention ; il gardait ses yeux fixés sur Jésus, il continuait carrément d’avancer. «Eh, c’est moi qui te le dis, tu vas devenir un fanatique si tu suis cette vieille ligne doctrinale dans laquelle tu te trouves.»

            Mais il a simplement gardé les yeux sur Jésus, il a carrément continué d’avancer. Et pourquoi? Il voulait avoir une double portion. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Et ainsi, écoutez, lorsque Jésus a été enlevé comme un type, la même chose s’est produite.

46        Or, Elie lorsqu’il–Elie est parti, il a jeté son vêtement, et Elisée l’a ramassé, il l’a porté, et il a eu une double portion de l’Esprit qui était sur Elisée–Elie.

            Or, lorsque Jésus se préparait à partir, une femme a dit: «Permets que mes fils soient pris dans le Royaume l’un à Ta droite, et l’autre à Ta gauche.»

            Il a dit: «Pouvez-vous boire la coupe que Je bois?»

            Ils ont dit: «Oui.»

            Il a dit: «Pouvez-vous être baptisés du baptême dont Je suis baptisé?»

            Elle a dit: «Oui.»

            Il a dit: «Vous le pouvez, mais pour ce qui est d’être assis à Ma droite et à Ma gauche, cela ne dépend pas de Moi.» Alors Il a dit: «Ces choses que Je fais, encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez. Car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde. Les choses que Je fais, vous les ferez aussi, et vous en ferez de plus grandes (une double portion) que celle-ci, car–parce que Je M’en vais au Père.» Est-ce juste? C’est correct.

47        Alors, lorsqu’Elie est retourné avec ce vêtement, les gens ont su qu’il avait une double portion. Alors ils sont allés consulter ce prophète. Eh bien, vous savez, cela vous fait un petit peu mal, cette doctrine arminienne. Je ne suis pas strictement calviniste moi-même. Mais, vous savez, cela arrive à un point, et vous savez quoi? Ce prédicateur, bien sûr, ne voulait pas se fâcher, mais sa–sa juste indignation fut enflammée. Il a vu cet hypocrite là-bas, et cet homme juste à ses côtés, il l’a regardé et il a plutôt explosé. Il a dit: «Si je n’avais égard à Josaphat, je ne t’aurais même pas regardé.»

            Oh ! la la ! il s’est fâché. Eh bien, il n’y a qu’une seule chose à faire lorsqu’un homme entre dans cet état, c’est la chose même qu’Elisée a faite. Il a dit: «Eh bien, allez me chercher un joueur de harpe et qu’il se mette à jouer.»

            Et lorsqu’on s’est mis à jouer de la musique, il est entré dans l’Esprit.

            Honte à vous qui ne croyez pas dans la musique. Parfois c’est ce qui amène l’Esprit de l’Eternel. Dieu ne change pas. S’Il aimait cela à l’époque, Il aime cela aujourd’hui. Eh bien, vous direz: «Je...?... il y a.» Si vous ne pouvez pas être Elisée, soyez un des instruments, ou bien soyez une des cordes que joue le joueur de harpe. Faites quelque chose, faites quelque chose pour le Seigneur, car tout cela a fait venir l’Esprit de Dieu. Est-ce juste? La présence du prophète et la musique du joueur de harpe...

48        Et ils se sont mis à jouer un bon vieil hymne sur ces instruments de musique à cordes, et à battre le tambourin, et ils sont tous entrés dans l’Esprit. Et vous savez quoi? Voici autre chose. S’il restait là dans tous ses états à cause de cela, et qu’il y eût ceci, cela et autre, l’Esprit de Dieu ne pouvait pas traiter avec lui. Vous devez sortir d’un tel état. «Je suis un méthodiste. Je suis un baptiste. Le Docteur Dupont ne croit pas dans ceci. Mon pasteur a dit: ‘C’est une absurdité, n’y allez pas. N’écoutez pas ceci.’» Aussi longtemps... Vous ne verrez rien. Vous devez entrer dans l’Esprit. Amen.

49        Alors qu’a fait... Elisée est entré dans l’Esprit, ensuite Dieu a commencé à lui montrer des choses. Et si vous voulez réellement arriver à voir certaines choses, entrez dans l’Esprit.

            Et bien vite, lorsqu’il est entré dans l’Esprit, eh bien, alors tout d’un coup, il s’est levé et il a dit: «AINSI DIT L’ETERNEL, je veux que vous alliez là-bas et que vous fassiez dans cette vallée des fosses (un désert sec comme celui qu’il y a entre ici et la montagne du Sud). J’aimerais que vous y fassiez des fosses, car AINSI DIT L’ETERNEL, vous n’apercevrez point de vent, ni n’entendrez de tonnerre, ni n’entendrez rien, mais ces fosses seront remplies d’eau demain matin. AINSI DIT L’ETERNEL.»

50        Maintenant, la tâche était–était... Ça semblait ridicule pour la pensée charnelle. «Eh bien, Elisée, certainement, si tu voulais que nous ayons de l’eau, tu nous dirais de forer ici quelque part, et d’installer ta pompe quelque part.»

            Mais il a dit: «Allez là-bas, à l’endroit le plus sec qui existe et mettez-vous à creuser des fosses.» Voyez? Il n’y a pas encore d’eau, vous n’êtes pas en mesure de jeter le sable dehors. Mais préparez-vous à recevoir de l’eau. Amen. La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère. En effet, la Parole de Dieu l’a dit, croyez-le de toute façon. Peu importe ce qui arrive, ce que votre esprit essaie de dire, si Dieu l’a dit, que la pensée qui était dans Celui qui a dit cela soit en vous. Amen. Apprêtez-vous.

51        Je peux voir le petit John Doe, un petit soldat qui va là et qui allait plutôt nuire à son prestige, vous savez, il a pris sa bêche, et il s’est mis à creuser comme cela, et il tombe sur un gros pavé. Oh ! la la ! il creuse davantage, il tombe sur une vieille théière, une vieille cafetière, tout ce qui gisait là dans le désert. Il les jette. C’est la seule chose qui... Partout ces vieux douteurs et cette vieille théière se lèvent et disent: «Eh bien, maintenant, docteur Dupont a dit que c’était de la télépathie. Ça ne vaut rien.» Jetez cela ; faites de la place pour l’eau. C’est juste.

            Voici un vieux pavé qui dit: «Les jours des miracles sont passés.» Pourquoi considérez-vous cela comme cela? Jetez cela. Que l’eau remplace cela. Amen. Que la foi prenne la place de l’incrédulité, de l’incrédulité et de la superstition. Jetez cela. En effet, plus profondément vous creusez plus vous aurez de l’eau. Vous devez creuser profondément ; la quantité de l’eau que vous aurez en dépend. Dieu voulait que cela soit creusé profondément. Cela déterminera la quantité d’eau que vous aurez. Alors mettons-nous à creuser immédiatement...?... Rejetez tout fardeau et le péché qui vous enveloppe si facilement. Prenez...?... et l’incrédulité, cette petite chose qui dit: «Eh bien, ce n’est pas possible. Oh ! la la ! le médecin dit ceci, ou...» Le médecin peut avoir raison, au mieux de sa connaissance, mais Dieu dit autre chose: «Si tu crois, tout est possible.» Jetez alors la chose hors du chemin, offrez la chance au Saint-Esprit d’avoir la voie libre dans cette salle ce soir. Peu importe ce que vous avez fait, même si votre péché est rouge comme le cramoisi, ils seront blancs comme neige. Frayez une voie pour cela, faites des fosses.

52        Et le lendemain matin, le... Dieu est descendu et a rempli toutes les fosses, et elles étaient toutes remplies d’eau. Et l’armée étrangère fut poursuivie, et pourchassée, et ils ont pris un–des pierres dans leurs mains, et ils sont allés vers leurs ennemis, et ils ont bouché tous leurs puits. N’était-ce pas une victoire merveilleuse? Non seulement ils ont remporté la victoire, mais ils ont bouché leurs puits (Amen.), ces vieux étangs stagnants auxquels ils buvaient de toute façon.

            Ce qu’il nous faut ce soir, ce sont des gens qui creuseront et qui recevront un petit salut dans leur âme, qui recevront la victoire là à l’intérieur, qui seront guéris, sauvés, remplis du Saint-Esprit, et qui fermeront la bouche à certains de ces vieux critiqueurs qui disent que les jours des miracles sont passés. Jetez la pierre de la foi là-dedans, comme cela, et bouchez la chose. Amen. C’est ce qu’il nous faut ce soir, c’est un tel réveil. Ne le croyez-vous pas? Vous le pouvez, si vous croyez. Amen. Prions.

53        Père céleste, nous T’aimons parce que Tu nous as aimés le premier et Tu nous as accordé Tes bénédictions. Nous T’aimons, parce que Tu as promis que quiconque veut peut venir boire les eaux de la Vie gratuitement, les eaux de la Vie, la Vie Eternelle.

           

            Nous entendons notre Maître dire: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle (Il a déjà pris les eaux de la vie gratuitement, parce qu’il a cru.), et il ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Oh ! comme nous aimons cela, Père, et nous aimons que cela soit déversé sur nous.

            Lorsque Satan tempête tout autour, nous lui citons les Ecritures ; Jésus l’a dit: «Résistez au diable, et il fuira loin de vous.»

            Nous Te remercions pour toutes choses. Bénis ceux qui sont ici, ce soir, et qui, peut-être, Père, ne Te connaissent pas, ignorant peut-être qu’avant d’arriver chez eux la vieille voiture fera un accident en cognant le bord de la route, à cause d’un ivrogne qui traverse et... Peut-être leur coeur cessera de battre ce soir, le médecin arrivera en courant à la porte, entrera, mettra son stéthoscope sur le coeur, et dira: «Eh bien, je regrette de vous le dire, mais c’est fini. Il s’en va.» Ils sentiront le froid, la mort se préparer à les emporter, alors ils se demanderont: «Oh ! quand j’étais assis dans l’église, quand le Saint-Esprit frappait à mon coeur, pourquoi n’ai-je pas dit: ‘Oui’?»

            En effet, j’ai une promesse, que si seulement je croyais cela, j’aurais la Vie Eternelle. Ô Dieu, nous devons tous faire face à cela un jour, d’une manière ou d’une autre, nous devons Te rencontrer. La mort se tient à la porte, nous ignorons quand elle viendra, mais puissions-nous être prêts, Père. Et que chaque personne ici se prépare pour cela.

54        Pendant que nous avons la tête inclinée, si l’organiste veut bien jouer Reste avec nous, je me demande... Je sais, mes amis, bien souvent vous–vous entendez un évangéliste prêcher et faire une sorte d’appel, ou dire quelque chose au sujet de maman qui est allée au Ciel. Je n’aimerais pas que vous veniez parce que votre mère est là-bas, j’aimerais que vous veniez parce que c’est le Saint-Esprit qui vous dit de venir.

            Venez sur la base du Sang versé de Jésus-Christ, une voie consacrée qu’Il a consacrée au travers du voile, c’est-à-dire Sa chair, et croyez cela. Il n’y a qu’une seule chose que vous devez faire pour recevoir cela, c’est juste dire du fond de votre coeur: «Seigneur, maintenant j’accepte cela. Je vois ces gens qui sont si heureux qu’ils vont de l’avant. J’aimerais pouvoir être comme cela», dites-vous. Vous pouvez l’être. «Que dois-je faire, Frère Branham?» Elevez simplement votre coeur vers Dieu, dites: «Seigneur, maintenant j’accepte Jésus comme mon Sauveur personnel.» Dites-le sincèrement du fond de votre coeur, et vous ne serez pas obligé de quitter votre place. Dieu est juste là pour le faire. S’Il est près de votre coeur, en train de parler à votre coeur, Il est plus près que n’importe quoi d’autre ; Il est juste à la porte de votre coeur.

55        Pendant que nous avons la tête inclinée, je me demande s’il y a quelqu’un ici ce soir, qui est un étranger, et qui n’est pas en ordre avec Dieu ; voulez-vous lever votre main vers Dieu maintenant, pas vers moi, juste pour que Dieu voie votre main, et dire: «Seigneur, je l’accepte.» Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, vous, vous. Que Dieu vous bénisse, soeur, et vous. Que Dieu vous bénisse, madame, vous, vous, monsieur. Là derrière à droite, y a-t-il quelqu’un là derrière, dites... Que Dieu vous bénisse, vous, vous. Que Dieu vous bénisse. Oh ! c’est merveilleux. Oh ! je vous assure, mes amis, c’est merveilleux, la conviction à l’ancienne mode.

            Ici à ma gauche, que quelqu’un lève sa main, dites... Que Dieu vous bénisse, madame, je vous vois. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu te bénisse, le jeune homme indien. Là derrière, oui, je vous vois. Que Dieu vous bénisse. Oui, tout au fond, oui.

            En haut au balcon, à gauche, il y a quelqu’un là-haut. Que Dieu vous bénisse, jeune dame. Que Dieu te bénisse, chéri, le petit garçon, là. Y a-t-il quelqu’un d’autre? Que Dieu te bénisse, chéri, je te vois. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame. Je vous vois. Oui, monsieur, Dieu vous voit aussi.

            Au balcon à droite, levez la main, en disant: «Ô Dieu, souviens-Toi de moi.» Que Dieu vous bénisse, frère qui levez la main. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous. Quand vous faites cela, je déclare, du fond de mon coeur, si vous me croyez... Que Dieu vous bénisse, mon frère là derrière, le frère espagnol. Si vous me croyez... Que Dieu vous bénisse, la dame assise ici dans un fauteuil roulant, qui acceptez Christ comme votre Sauveur personnel. Voici la Parole de Dieu.

56        «Frère Branham, que dois-je faire?» Acceptez simplement cela. Croyez-le. Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire.» C’est Dieu qui vous dit de lever la main. «Et Je ne mettrai pas dehors tout celui qui vient à Moi. Je lui donnerai la Vie Eternelle.» Maintenant, voici Sa propre Parole: «Celui qui croit en Moi, celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, et il ne vient point en jugement, mais il est déjà passé de la mort à la Vie.» Pourquoi? Il a cru au Fils unique de Dieu.

57        Maintenant, si vous êtes juste... S’il y a quelque chose qui vous tracasse dans le coeur, c’est Dieu. [Frère Branham frappe trois fois sur la chaire.–N.D.E.] C’est Lui qui dit: «Lève ta main.» Il vous parle, disant: «C’est Moi qui suis ici.» Maintenant, j’aimerais que vous leviez la main. Ça ne compte pas tellement que moi je voie cela ou pas ; cela ne change rien. Dieu voit cela. Et souvenez-vous de ceci: je devrai me tenir à côté de chacun de vous au tribunal de Christ. Je devrai vous rencontrer là-bas, et j’aurai des responsabilités vis-à-vis de vous. Si vous croyez de tout votre coeur maintenant même que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, qu’Il est mort à votre place pour vous racheter et vous ramener à Dieu, et si vous acceptez cela de tout votre coeur et levez votre main vers Dieu, si vous l’avez fait, par l’autorité de la Parole du Dieu Tout-Puissant, et que le Saint-Esprit se trouve ici sur l’estrade en ce moment, vous avez la Vie Eternelle à l’instant même où vous le faites.

            Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, là tout au fond. Que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est merveilleux, c’est partout, de nouvelles personnes lèvent la main. Vous, jeune dame. Et vous, jeune fille, une autre. Oui, que Dieu vous bénisse, et vous. Oui, la charmante jeune fille, c’est juste, soeur, qui est là au moment décisif de la vie, ce n’est qu’une jeune fille. Que Dieu te bénisse. C’est ce qu’il faut faire. Suivez le bon chemin.

58        Dieu vous donne la Vie Eternelle à la minute même où vous levez la main et acceptez cela. Il a promis de le faire. Il ne peut pas mentir. Il est Dieu. La Vie Eternelle... Que Dieu soit avec vous maintenant. Est-ce que tout le monde est certain maintenant? Est-ce que le Saint-Esprit... Vous croyez toujours? Y a-t-il quelqu’un qui n’a pas levé la main, qui aimerait juste lever la main, dire: «Maintenant même, j’accepte cela.» Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu te bénisse, petit garçon. Oui. C’est ça. Que Dieu vous bénisse, madame. C’est merveilleux. Que Dieu vous bénisse, madame, maman, oui. Ce sont les nouveaux, oh ! c’est partout. Le Saint-Esprit continue à conduire.

            Maintenant, souvenez-vous tout simplement, alors que vous... Que tout le monde prie. Peut-être qu’entre maintenant et le lever du jour, vous allez quitter cette terre ; si vous êtes conscient à l’heure où vous partirez, vous vous souviendrez qu’à cette réunion, vous aviez levé votre main. C’est juste. Dieu a promis qu’Il le ferait, et Il le fera.

59        Il y a entre cinquante et soixante personnes, ou davantage, qui ont levé la main, peut-être cent personnes ce soir, qui désirent le salut dans leur âme. Très bien. Maintenant, prions pour ces gens qui ont levé la main, pendant que l’orgue et le piano continuent à jouer Reste avec moi. Portons maintenant nos pensées au-delà dans, après... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]–après qu’on aura fait exploser la terre et qu’il n’y aura que de la cendre atomique partout ; Dieu va la ramener dans son cycle normal, de grands palmiers pousseront sur la terre, des sources d’eau fraîche jailliront à gros bouillons, les grands oiseaux voleront d’arbre en arbre, le lion se couchera avec l’agneau... Un glorieux matin, Jésus viendra de ce pays-là au-delà de cette vallée de chagrin où nous vivons, lorsque ces roues mortelles qui tournent maintenant en nous s’arrêteront, notre âme s’envolera ; nous reviendrons dans la résurrection, et vous verrez le Bien-Aimé et les quelques cent personnes de ce soir, qui sont ici même dans l’assistance maintenant, qui ne seront pas partis, partiront alors.

60        Père, nous sommes reconnaissants pour ceci. Nous Te remercions, car c’était Ton Esprit. L’homme, dans son propre esprit, ne peut pas T’accepter, parce qu’il est un étranger. Sa nature est complètement différente. Ils ont entendu la Parole, et ils croient. Et maintenant, Père, je Te prie d’accorder à chacun d’eux la Vie Eternelle, et de les remplir maintenant du Saint-Esprit. Et lorsque cette réunion sera finie, que chacun d’eux puisse se rassembler ici dans cette salle, s’agenouiller devant leur Créateur, Lui rendre des actions de grâce pour le salut de leur âme. Et que chaque personne qui entrera là dans cette salle soit remplie du Saint-Esprit. Accorde-le, Seigneur.

            Et maintenant, veux-Tu bien venir sur scène et guérir les malades. Pour ces nouveaux convertis, peut-être, c’est la première fois pour eux de prendre part aux réunions, qu’ils sachent que Tu es ressuscité des morts, Seigneur, que le même Esprit qui leur a parlé ce soir, pour qu’ils lèvent leur main et T’acceptent, est le même Esprit qui guérira les malades ; si Tu veux bien venir faire cela.

            Alors, Père, viens. Parle-nous maintenant. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen...?...

61        Oh ! vous ne savez ce que cela me fait, je sens comme si le Saint-Esprit est en moi, je pleure tout simplement de joie. Vous... Combien parmi vous qui avez levé la main sentent un changement maintenant? Faites voir encore vos mains, si vous sentez un changement. C’est partout, dans toute la salle, partout, levez vos mains, vous qui–vous qui avez levé vos mains, vous qui avez senti un changement. Oh ! la la ! regardez tout simplement. N’est-ce pas merveilleux? Pourquoi? Quelque chose s’est produit. Le Saint-Esprit est venu dans votre coeur, Il pardonne vos péchés. Jésus est entré.

            Maintenant, cette petite Semence qui est entrée là à l’intérieur va commencer à croître, à croître, à croître, et vous deviendrez très bientôt un véritable saint de Dieu mûr, un vieux vétéran.

62        Bon, j’aimerais maintenant vous demander quelque chose, avant de commencer la ligne de prière. Maintenant, pour ceux qui sont venus pour la première fois, vous qui êtes ici qui n’avez probablement jamais assisté à l’une de ces réunions auparavant, afin que vous soyez certains de savoir cela sans le moindre doute. Je ne prétends pas être un guérisseur. Je ne peux guérir personne, et je ne crois pas qu’il y ait quelqu’un au monde aujourd’hui qui puisse guérir quelqu’un. Je ne crois pas qu’il y ait un médecin capable de guérir quelqu’un. Franchement, ils ne prétendent pas le faire. Et en fait, je n’ai jamais rencontré un ministre dans ma vie qui prétendait guérir les malades. Ils ne font pas cela. Nous vous indiquons seulement la Personne qui vous a déjà guéris. Voyez?

            Maintenant, vous qui avez levé la main, vous n’avez pas été sauvés il y a quelques minutes. Vous avez été sauvés il y a dix-neuf cents ans ; mais vous avez accepté cela il y a juste quelques minutes. Eh bien, c’est la même chose, vous avez été guéris lorsqu’Il est mort pour vous, et aujourd’hui, vous avez accepté cela. Or, le premier moyen et le moyen initial, c’est la prédication de la Parole. «La foi vient de ce qu’on entend, de ce qu’on entend la Parole.»

            Bon, à part cela, Dieu a établi des dons dans l’Eglise, Il était déterminé à faire en sorte que tous aient forcément une chance. «Il ne veut qu’aucun ne périsse, mais que tous aient la Vie Eternelle.»

63        Ainsi donc, voyons ce que Jésus a fait en Son jour. Maintenant, les frères qui sont dans le champ de mission, vous les nouveaux venus, la plupart sortent et oignent d’huile les malades, ils prient pour eux, ils leur imposent les mains. C’est exactement ce que Dieu a dit de faire. C’est exact. Ce sont les dons de guérison. Ils ont une grande foi invincible ; ils prennent le contrôle de cette situation par la foi, et ils malmènent l’ennemi. Ils font cela pour affermir leur propre foi, et la chose disparaît. Certains d’entre eux imposent les mains aux malades ; certains oignent les malades, et prient pour eux. C’est exactement ce que les Ecritures disent de faire.

64        Maintenant, eh bien, c’est leur ministère, c’est de cette manière qu’ils s’y prennent. Eh bien, pour moi, les dons et les appels de ce genre ne sont pas transmis par l’imposition des mains. Vous naissez avec ces dons. Voyez? Vous venez au monde avec. Eh bien, c’est tout aussi naturel pour moi de voir une vision que ça l’est pour vous de prendre un verre d’eau quand vous avez soif. Voyez? Je n’ai rien à voir là-dedans. C’est votre propre foi qui fait cela. Voyez?

            Eh bien, Cela vient sur l’estrade, ce même Ange, quand Il vient, Cela n’a jamais failli jusqu’ici. J’ai confiance qu’Il viendra. Alors c’est votre foi qui fera opérer Cela. Voyez, lorsque l’Ange de Dieu, le Saint-Esprit, Dieu Lui-même, était avec Jésus, une femme a touché Son vêtement. Il n’avait pas eu une vision à ce sujet. Et pourtant, Il a dit: «Je ne fais rien, si le Père ne Me le montre.»

65        Mais la femme a touché Son vêtement, elle a dit... Comme Il était devenu faible. Il a dit: «Qui M’a touché? Je suis devenu faible. Une force est sortie de Moi.» Et Il a regardé tout autour, et Il l’a trouvée. Il a dit: «Ta foi t’a sauvée.»

            Eh bien, c’est la femme elle-même qui a fait opérer le don de Dieu, au travers du Fils de Dieu, Jésus-Christ.

            Est-ce juste? Mais maintenant, Dieu, lorsqu’Il Lui montrait un don, eh bien, c’était dif-... Il Lui montrait un–une vision. Jésus a dit, lorsqu’Il est passé à côté de ces infirmes et de ces gens affligés, Il a dit... Il n’a guéri aucun d’eux, sauf un homme qui était sur un grabat. Dans Saint Jean 5, les gens Lui ont posé une question à ce sujet, ils L’ont interrogé, Il a dit: «Eh bien, en vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement. Le Père agit, Moi aussi, J’agis jusqu’à présent, mais Je ne fais rien, à moins que le Père Me le montre.»

66        Maintenant, cela ne signifie pas que vous êtes guéri. Cela signifie que votre foi accepte cela. Vous pouvez accepter cela toutefois en croyant la Parole, maintenant même. Mais Dieu dans Sa miséricorde, ne voulant pas que vous continuiez à être malade, Il a cependant placé toutes sortes de dons dans l’Eglise pour affermir votre foi, pour vous montrer qu’Il est présent.

            Or, lorsqu’Il était ici sur terre, Il y avait une puissance en Lui, car Il connaissait les pensées des gens. Est-ce juste? La femme est venue vers Lui au puits ; Il a dit: «Apporte-Moi à boire.» Vous connaissez la suite de l’histoire.

            Et elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs parliez aux Samaritains», et ainsi de suite.

            Et Il a continué, et Il a capté son esprit. Il lui a dit quel était son problème, Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’en ai pas.»

            Il a dit: «C’est juste, tu en as eu cinq.»

            Maintenant, observez ce qu’elle a dit à cet Etranger ; elle a dit: «je vois que Tu es Prophète.» Elle a dit: «Je sais que lorsque le Messie viendra, Il fera ces choses. Il nous montrera des choses comme cela. Mais comment as-Tu su que c’était cela mon problème? Le Messie, ce sera là le signe du Messie. Mais qui es-Tu?»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Elle est entrée dans la ville en courant, elle a laissé sa cruche d’eau, elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait», a-t-elle dit, elle était tout excitée, bien sûr. Il lui a simplement dit cette seule chose là, mais Dieu aurait pu tout Lui montrer. Le croyez-vous?

67        Ainsi donc, si Jésus est ressuscité des morts, Il n’est pas mort, Il est ressuscité des morts. Il a dit: «Vous ferez aussi les choses que Je fais. Vous en ferez davantage, car Je M’en vais à Mon Père.» Est-ce juste? «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus (C’est-à-dire l’incroyant.) ; mais vous, vous Me verrez, car Je (pronom personnel)–Je serai avec vous, même en vous (Jusqu’à quand? Pendant l’âge apostolique?), jusqu’à la fin du monde. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Que Dieu vous bénisse.

            [Frère Branham s’adresse à quelqu’un.–N.D.E.] Quelles cartes ont été...?... Très bien.

68        Eh bien, prenons par exemple le ministère de frère Roberts, de frère, vous connaissez, Jaggars, et de tant d’autres. Il s’agit–il s’agit d’un contact–contact, par l’imposition des mains, un contact. Dieu ne m’a pas envoyé pour cela. Il m’a envoyé avec un don divin pour élever ou pour prouver à l’assistance que Jésus-Christ est parmi les gens, et pour qu’ensuite ils regardent au Calvaire et vivent. Voilà la différence. Voyez? Il ne s’agit pas de leur imposer les mains, il s’agit de regarder et de croire.

            Mon ministère est un ministère de la foi, croire la chose. Le leur consiste à imposer les mains, à chasser les démons. C’est bon. C’est l’Ecriture. C’est un type de ministère. Ils reçoivent trois cents ou quatre cents personnes chaque soir. Moi je peux en recevoir trois ou quatre, si je le peux. Voilà la différence. Voyez? Mais si un seul–si–s’Il a absolument confirmé que Jésus est ressuscité des morts, et qu’Il est ici parmi nous ce soir, chacun de vous devrait accepter cela, alors que les Ecritures déclarent que c’est pour «celui qui veut, qu’il vienne». Est-ce juste?

69        Maintenant, mon fils a dit qu’ils ont distribué quelques cartes de prière, les cartes de la série Q. Nous ne pouvons pas mettre tout le monde debout ; nous savons cela. Alors nous mettons debout juste quelques-uns ici à côté afin de prier pour eux. Maintenant, la petite carte a–la petite carte porte ma photo au verso, elle porte un numéro. Et c’est la–la lettre appelée «Q» et... Avez-vous dit de 1 à 100? Prenons... Qui a le Q-1? Eh bien, voyons, est-ce que vous avez la carte numéro 1? L’avez-vous, madame? Venez par ici. Deux, qui a le numéro 2? Très bien, monsieur, par ici. Trois, Q-3, voulez-vous lever la main très rapidement? Si vous ne le pouvez pas, dites-le à quelqu’un qui est assis à côté de vous. Jetez un coup d’oeil sur la carte de votre voisin. Trois, voulez-vous lever la main? Trois. Quatre, qui a le numéro 4, voulez-vous lever la main? Quatre? Très bien. Cinq, la carte de prière numéro 5, voulez-vous lever la main? Il pourrait s’agir d’un sourd. Que dites-vous? Tout au fond? Très bien. 5. 6? 6? Très bien. 7? Très bien. Est-ce l’Indien là qui a cela? 7? 8? 9? 10? 11? 12? 13? 14? 15? Maintenant, nous pouvons mettre debout...?.. tous les autres. Mais le problème est le suivant, c’est que vous êtes déjà resté debout trop longtemps.

70        Maintenant, pendant qu’on est en train de former la ligne de prière, pendant juste quelques minutes, j’aimerais vous demander ceci. Combien ici n’ont pas une carte de prière, et cependant, ils croient solennellement que Jésus-Christ est le Fils de Dieu et qu’Il est mort pour les guérir de leur maladie? Voulez-vous lever votre main afin que je la voie? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse.

            Je vais faire ceci sur base des mérites du Seigneur Jésus, sur base du témoignage de Son Saint-Esprit, si vous regardez dans cette direction et croyez de tout votre coeur pendant que le service se poursuit, et ôtez de votre esprit tout doute, et dites: «Je... C’est difficile pour moi de croire, mais je crois réellement que Jésus est ressuscité des morts, et que c’est Son Esprit qui est en train d’agir ici.» Et si vous acceptez l’Esprit de Dieu, que c’est l’Esprit de Dieu qui est ici, observez et voyez s’Il ne retourne pas pour–pour vous dire que vous êtes guéri, ou tout ce dont–ce dont vous avez besoin.

71        Maintenant, je vais vous demander de ne pas vous déplacer, pendant que nous prions pour ces gens.

            Voici quelques mouchoirs. Voulez-vous bien incliner la tête avec moi?

            Notre Père céleste, alors que ces mouchoirs iront là-bas dans diverses parties du monde, vers les nécessiteux, que Ta miséricorde soit sur eux, Père. Accorde que chacun de ces mouchoirs, de ces linges, de ces petites chaussettes et tout qu’il y a ici, des foulards, des cravates, soient placés sur ceux qui sont dans le besoin. Ô Père, je joins simplement ma prière aussi à la leur, en disant: «Seigneur Jésus, aie pitié et accorde leur requête.» Car nous le demandons en Son Nom. Amen.

72        Le numéro 2 manque. Le numéro 2 manque. La carte de prière numéro 2, Q numéro 2? Regardez autour de vous ; que quelqu’un jette un coup d’oeil chez ces gens ici, peut-être... Si vous ne pouvez pas vous lever, ou si vous êtes sourd, ou quelque chose de ce genre... Jetez un coup d’oeil chez votre voisin. C’est peut-être quelqu’un qui est sourd et qui ne peut pas se tenir debout. Peut-être qu’il ne parle pas l’anglais, ou quelque chose de ce genre. La carte de prière Q numéro 2? Voulez-vous... Bien, je–j’ai appelé, si la personne ne vient pas, eh bien... OK. Ted, l’ont-ils trouvée? C’est... Eh bien, cela... Oh ! très bien. C’est très bien. Très bien.

73        Maintenant, j’aimerais que tout le monde m’accorde une faveur, s’il vous plaît. Je sais que c’est difficile, les jeunes. Je suis–j’étais moi-même un jeune ça fait bien des années, alors... C’est un peu difficile, je sais, de rester tranquille, mais essayez de le faire ce soir pour l’amour du Seigneur Jésus, et pour l’amour de frère Branham, et pour l’amour de ceux qui sont dans la ligne de prière. Et puis... Vous voyez, chacun de vous est un esprit. Et alors, ça sera seulement... Vous voyez? Vous êtes... Lorsque j’entre en contact avec cet esprit, peut-être votre mère est assise ici. Peut-être que votre mère est assise ici, ou ici, votre père, et ils veulent être guéris. Peut-être que c’est votre ami, et peut-être que le Saint-Esprit est en train d’agir, et vous faites du bruit, vous vous agitez, ça éloigne cela d’eux comme cela. Je ne peux pas expliquer cela. Vous... Je vous demande juste de le croire. Voyez? C’est juste un contact avec chaque esprit. Et vous surveillez chaque minute pour voir ce que le Seigneur Jésus va faire. Très bien.

74        Maintenant, Dieu Tout-Puissant, viens maintenant, ne veux-Tu pas le faire, Père, pour ces quelques prochaines minutes? Je suis fatigué ce soir, épuisé, mais la Parole, Tu l’as donnée, Seigneur, et j’ai fait du mieux que je pouvais pour apporter ce petit sermon, enseigner les gens à se séparer de l’incrédulité...

            Et maintenant, Père, veux-Tu bien venir maintenant, après que j’ai envoyé toutes ces aimables personnes à Ton Trône, et qu’ils T’ont accepté comme leur Sauveur personnel? Veux-Tu bien venir maintenant, afin que leur foi soit confirmée, par de grands miracles et prodiges du Seigneur Jésus ressuscité? Seigneur, nous avons dit aux gens que Tu n’es pas mort, mais que Tu es vivant, et que Tu es ici. Et maintenant, veux-Tu bien venir ce soir, prendre le contrôle de ce pauvre corps indigne et fatigué? Mais, ô Dieu, c’est tout ce que j’ai à T’offrir. Et je Te crois, et fais que chaque personne ici, son corps soit soumis au Saint-Esprit afin que sa foi parle. Et que le Saint-Esprit vienne vers Ton serviteur et fasse quelque chose qui les amènera tous à croire. Accorde-le, notre Père céleste, car nous le demandons au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen.

75        Maintenant, pour la gloire de Dieu, je prends chaque esprit ici sous mon contrôle, au Nom de Jésus-Christ.

            Maintenant... Soyez simplement respectueux maintenant, autant que vous le pouvez. Pendant que le Saint-Esprit entre dans la salle, mes amis, ce même Ange qui est sur cette photo est ici même en ce moment, et il y a un épileptique ici quelque part, en train de crier. Voyez? Eh bien, c’est le genre d’esprit que j’ai vu. Je–j’aimerais que vous gardiez vos enfants près de vous, s’il vous plaît, parce que cela va d’une personne à une autre. J’ignore où ça se trouve, mais c’est ici. Ayez donc la foi maintenant, croyez. Restez tranquille, et quoi qu’il arrive, restez tranquille. Ne faites que ce qu’Il vous dit de faire. Maintenant, je ne serai plus en mesure de vous parler, ceci s’empare de moi, l’onction est sur moi maintenant. Ainsi je–je vous reverrai demain soir, et en–soyez les petits enfants de Dieu. Soyez respectueux. Allez dans la salle de prière dès que la réunion sera finie et que cet homme me fera sortir. Ainsi, que Dieu soit avec vous, maintenant, et qu’Il vous bénisse.

76        Maintenant, voici la dame qui est ici pour qu’on prie pour elle. Très bien. Est-ce que vous–est-ce que vous croyez de tout votre coeur, madame? Je... Certainement. Maintenant, étant donné que vous êtes la première personne pour laquelle il faut prier ce soir, c’était un... J’aimerais juste vous parler une minute, juste vous parler un petit peu. Et puis, pour ce faire, juste entrer en contact avec votre esprit humain. Maintenant, je sais immédiatement que vous qui vous tenez là si près, vous êtes une chrétienne, une croyante, parce que votre esprit est le bienvenu. Mais Maintenant, si le Seigneur Jésus, s’Il–s’Il se tenait ici, portant ce complet... Maintenant, à ce que–si vous avez besoin de la guérison, je ne sais pas. C’est vous qui le savez. Je n’ai aucune idée du tout sur le motif de votre présence ici. Mais si vous avez besoin de la guérison, Il ne pourrait pas vous guérir maintenant, parce qu’Il l’a déjà fait. Mais alors, Il pourrait faire quelque chose, ou vous dire quelque chose qui amènera votre propre foi à accepter cela, n’est-ce pas? C’est juste.

77        Alors maintenant, ce soir, c’est de nouveau comme la femme au puits et notre Maître: un homme et une femme. Nous sommes probablement nés à des kilomètres de distance, à des années d’intervalle, nous ne nous sommes jamais vus, sinon–dans la vie, et nous sommes juste venus ici et nous nous rencontrons ce soir. Quelqu’un vous a juste donné une carte de prière, et il s’est fait que vous soyez la première à monter ici sur l’estrade. Oh ! vous m’avez vu il y a de cela un–un an. Eh bien, je–je–je ne sais pourtant rien à votre sujet, n’est-ce pas? Non. Je ne sais rien à votre sujet, pas vrai? Très bien. Maintenant, l’assistance, cette femme ici, elle a dit qu’elle m’a vu il y a une année. Eh bien, où? Je l’ignore. Peut-être qu’elle a assisté à une autre de mes séries de réunions ou quelque chose comme ça, lorsque j’étais ici. Elle était probablement assise là et elle m’a vu il y a une année ou quelque chose comme ça, lorsque j’étais ici. Et était-ce quand j’étais ici il y a une année? Je–c’était cela.

            Mais maintenant, si le S-... si Jésus est ressuscité des morts. Eh bien, Il connaît cette femme. Moi, je ne la connais pas. Lui sait pourquoi elle est ici. Pas moi. Mais s’Il révèle à cette femme le motif de sa présence et que ce soit la vérité... S’Il peut révéler ce qui s’est passé dans sa vie, eh bien, s’Il connaît ce qui s’est passé dans sa vie, elle saura si c’est la vérité ou pas, alors Il pourra certainement révéler ce qui se passera dans sa vie, et ça sera aussi la vérité, n’est-ce pas? S’Il sait ce qui a été, vous en serez un témoin. Mais si–s’Il le fait, nous serons reconnaissants. Et combien ici diront: «Cela règle la question pour moi. Je vais croire de tout mon coeur»? Que Dieu vous bénisse.

78        Maintenant, soeur, juste pour vous parler un petit instant. C’est comme je l’ai dit: «Nous ne nous connaissons pas.» Je vois que vous avez là mon livre. J’espère que vous prenez du plaisir à lire cela. N’est-ce pas? Avez-vous écrit pour l’obtenir? Eh bien, bien, c’est bien.

            Maintenant, je vous parle juste comme notre Seigneur avait parlé à la femme au puits. Voyez? «Apporte-Moi à boire.» Et Il cherchait à engager une conversation. Voyez?

            Vous–vous avez un esprit humain, moi aussi. Nous sommes tous les deux des chrétiens. Maintenant, il y a... S’il y a quelque chose qui cloche, ou quelque chose dont vous avez besoin, ou quelque chose que vous désirez, votre esprit le sait. Le Saint-Esprit également le sait. Et puis, si Dieu m’a donné un don, alors deux esprits travailleront ensemble. Vous voyez? Alors Il parlera à travers moi pour vous dire ce que vous désirez, et Il vous dira si vous l’aurez ou pas, ou quoi que ce soit, et à ce moment-là, bien sûr, ça sera votre foi qui fera cela. Moi, je ne pourrais pas le faire. C’est votre foi qui devra accepter cela. Maintenant, s’Il le fait, alors vous le saurez. Et comme j’ignore tout à votre sujet, vous devrez reconnaître que cela provient d’une certaine puissance, n’est-ce pas? C’est juste. Alors vous allez accepter que c’est la puissance du Seigneur Jésus.

79        Bon, cette dame est parfaitement consciente qu’il se passe quelque chose, qu’elle est dans la Présence de Quelqu’Un d’autre qu’un homme. Cette Lumière vient se tenir entre cette dame et moi. Et je... Elle a quelque chose qui cloche à la gorge. C’est un–un problème dans votre gorge et dans votre nez, c’est ça votre problème. Et vous désirez que l’on prie pour vous. C’est la vérité. Si c’est la vérité, levez la main. Maintenant, moi étant un inconnu pour cette femme, Il est là. Tout ce qu’Il a dit est la vérité. Or, plus vous lui parlez, bien sûr, plus Cela dira des choses. Maintenant, ce qui vient d’être dit... Tout ce que Cela lui a dit.

            Maintenant, j’aimerais encore lui parler, juste pour voir si le Saint-Esprit dira quelque chose d’autre. Je ne sais pas, mais juste quelque chose... Si je ne me trompe pas, je vous ai dit votre maladie ou ce dont il était question. Mais maintenant, je vois Cela se déplacer de nouveau, si je peux... Maintenant, croyez tout simplement que je suis le serviteur de Dieu. J’essaie simplement de... Oui, je sais que vous le croyez, car vous avez un esprit merveilleux.

80        Oui, je... Vous êtes... C’était dans mes réunions. Vous étiez dans ma réunion, et vous avez été guérie. Et c’était de votre gorge et de votre nez que vous aviez été guérie. Et maintenant, ça se trouve dans vos poumons, et c’est dû à une sorte de brûlure, des brûlures de l’acide. Et vous avez fait un voyage, vous avez été dans un pays où il y en a beaucoup, il y avait quelque chose qui se passait dans un... C’est une aspersion. Un avion passait au-dessus, il aspergeait un produit. C’était au Texas, près de Houston, et cela est entré dans vos poumons, et cela–cela est revenu sur vous. C’est vrai. Que Dieu vous bénisse.

            Votre–votre nom, c’est quelque chose comme Rush ou quelque chose comme cela, Rush, c’est juste. Ça doit être quelque chose comme A. Rush, et vous vivez au 110 North, 11e avenue. C’est vrai. Rentrez chez vous guérie, soeur. Votre foi vous a guérie.

            Ayez la foi. Croyez seulement ; tout est possible. Soyez respectueux, très respectueux.

81        Madame, vous qui êtes assise ici, la main en l’air, en train de prier. Croyez-vous en Lui? Vous voulez guérir de ce mal de tête, n’est-ce pas? Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Vous le croyez? Très bien. Posez votre main sur l’autre dame là qui a la main levée. Elle a l’hypertension. On a mis... souffre de l’hypertension. Le Seigneur Jésus vous guérit maintenant. Partez. Votre foi vous a guérie. Que Dieu vous bénisse.

            C’est vous la patiente, n’est-pas, madame? Croyez-vous que c’est la vérité, que Jésus est ressuscité des morts? Etes-vous consciente qu’il se passe quelque chose? C’est l’Ange du Seigneur. Vous souffrez d’une–une grosseur. C’est une mauvaise chose. C’est un... Elle est en train de se former, elle prend de plus en plus du volume. C’est une multiplication de cellules. Je les vois presser le... C’est–c’est dans–dans l’estomac. La grosseur se trouve dans l’estomac. Croyez-vous que Celui qui voit maintenant toute chose et qui connaît toute chose, va ôter cela de vous? Approchez pour recevoir votre bénédiction. Seigneur Jésus, je bénis cette femme et j’ôte d’elle cette malédiction, devant le Trône de Dieu, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

82        Maintenant, croyez simplement, ayez la foi. Ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur. Je regarde...

            Madame, croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu m’a envoyé en tant que Son serviteur?

            Quelle merveilleuse foi il y a dans l’assistance maintenant ! Oh ! la la ! Oh ! la la ! Oh ! qu’est-ce qui pourrait arriver?

            Une dame... Regardez-moi, juste une minute. Vous avez le cancer. Ce cancer se trouve à la jambe, la jambe gauche, sous le genou. C’est juste. Croyez-vous que Jésus va vous guérir, qu’Il vous a guérie maintenant? Que Dieu vous bénisse. Celui qui prononce ces paroles...?... Seigneur en Son Nom. Ayez la foi. Croyez de tout votre coeur, Dieu vous guérira.

83        Il me semble vous avoir vue quelque part, madame. Je ne sais pas. Mais de toutes les façons, vous êtes ici pour quelque chose. Il n’y a pas beaucoup de choses qui clochent chez vous ; vous avez une grosseur à votre poignée. Vous l’avez cachée, mais cela ne devrait pas l’être. Vous vous préoccupez donc pour quelqu’un d’autre, qui est votre mère. Elle a l’hypertension, n’est-ce pas? Votre mari a... Il est aussi malade. Il a l’arthrite et un problème de l’estomac. Pas vrai? Croyez-vous que vous allez recevoir ce que vous avez demandé? Dans ce cas, vous l’aurez, soeur, si vous vous mettez à croire au Seigneur Jésus. Que Dieu te bénisse.

            Crois seulement. Ayez la foi en Dieu. Jésus a dit: «Si tu crois, tout est possible.»

84        Oui, l’épileptique en question est assis juste là. C’est vous, frère: votre foi L’a touché maintenant.

            Cet homme assis à côté de vous, qui est en train de prier là, souffre de la hernie, il veut aussi être guéri. Pas vrai, monsieur?

            Cette jeune fille assise ici a aussi une hernie, celle qui est assise juste derrière lui. C’est une jeune fille mexicaine. Oui.

            Voulez-vous tous être guéris? Alors tenez-vous debout, messieurs. Dieu Tout-Puissant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je condamne cet ennemi, afin qu’ils soient guéris. Amen. Ne doutez pas. Ayez simplement la foi.

85        Est-ce vous la patiente, madame? Très bien. Croyez-vous de tout votre coeur? Madame, écoutez. Vous êtes consciente qu’il se passe quelque chose. Cela vous a un peu inquiétée, parce que vous êtes juste dans Sa Présence. Mais vous souffrez d’une maladie des nerfs, de la sinusite. Et puis vous avez quelque chose que vous ne voudriez pas que je dise, présentement, un problème domestique. C’est juste. Vous vivez ici à Phoenix, n’est-ce pas? Le numéro de votre maison, c’est le 3046 Garfield. C’est juste. Vous allez trouver que les choses ont changé maintenant. Que Dieu vous bénisse.

            Bonsoir, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Ça vous semble un peu étrange, l’endroit où vous vous tenez en ce moment. Je ne lis pas votre pensée. Vous êtes juste dans Sa Présence. Vous êtes arrivée au stade de la mort. Votre maladie se trouve dans la gorge. Vous avez un cancer dans votre gorge. Et la raison pour laquelle cela vous donne un sentiment un peu drôle, c’est que là où vous vous tenez, c’est par miracle, car pour commencer vous êtes une catholique. C’est juste. Croyez-vous au Seigneur Jésus maintenant, qu’Il épargnera votre vie, et allez-vous Le servir pour le reste de vos jours? Approchez.

            Dieu Tout-Puissant, qui as ressuscité Jésus des morts, épargne la vie de Ton enfant que voici, alors que je condamne le cancer. Et au Nom de Jésus-Christ, que cela la quitte. Amen.

86        Est-ce que vous croyez? Est-ce que vous comprenez l’anglais? Si le Seigneur me révèle ce qui cloche chez vous, allez-vous accepter votre guérison? C’est le diabète qui est dans votre corps, cela est dû... Croyez-vous que Jésus-Christ ôtera de vous ce diabète? Approchez. Dieu notre Père, je Te prie de la guérir. Qu’elle aille maintenant au Calvaire, pour une transfusion de sang et qu’elle soit guérie, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse.

87        Que Dieu vous accorde votre requête, mon bien-aimé frère.

            Approchez, madame. Voulez-vous vous débarrasser de cette arthrite? Marchez là vers l’estrade et dites: «Jésus», et tapez du pied. Très bien. Croyez de tout votre coeur. C’est juste.

88        Oui. Approchez. Est-ce que vous croyez en Lui? Pour commencer vous avez l’asthme. Cela pénètre dans votre estomac, les symptômes de l’asthme vous donnent un trouble de l’estomac. C’est juste. Voulez-vous en guérir? Acceptez Jésus comme Celui qui vous guérit. Ô Dieu, je condamne ce démon qui la tourmente, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Ayez la foi.

89        Voulez-vous guérir de cette maladie de femme, madame? Très bien. Levez vos mains. Cet écoulement cessera ce soir. Si vous croyez de–au Nom de Jésus. Amen.

            Très bien. Approchez, madame.

            La petite mère aux cheveux gris, qui est assise là, ayant la colite, assise... Un problème du côlon ; elle est assise là au bout, en train de prier. Croyez-vous que Jésus va vous guérir, vous en débarrasser? Très bien. Dans ce cas vous pouvez... Oui. Croyez-vous que Jésus vous a guérie? Si vous croyez, vous pouvez l’avoir. Amen.

            Celle qui est assise ici juste en dessous de vous, elle a la même chose: un problème du côlon. Croyez de tout votre coeur, vous l’obtiendrez bientôt. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez aussi l’obtenir. Votre foi vous a guérie. Amen.

90        Voulez-vous aller manger un hamburger? Croyez-vous que Jésus-Christ ôtera de vous ce trouble de l’estomac? Ecoutez, madame, vous faites des crises, c’est comme de la nervosité. C’est juste la période de la vie que vous traversez, vous êtes complètement dérangée, tout va mal. En fait, rien ne va mal. Vous avez un ulcère gastrique, qui vous donne des aigreurs d’estomac et tout ; allez prendre votre souper. Jésus-Christ vous guérit.

            Très bien, approchez. Croyez-vous que Dieu vous guérit de cet asthme? Très bien. Dans ce cas vous pouvez carrément continuer votre chemin en vous réjouissant, en disant: «Gloire à Dieu.»

            Très bien, approchez. Quel est le problème, ô Dieu, qu’il s’agisse d’un problème du coeur, quoi que ce soit, Il guérit cela de toute façon. Ne le croyez-vous pas? Dans ce cas, partez et soyez guéri au Nom de Jésus-Christ.

91        Très bien. Approchez, madame. Oh ! la la ! C’est...?... Croyez-vous de tout votre coeur? Jésus-Christ vous a guérie de la maladie de l’estomac et de tout. Continuez votre chemin, et prenez votre souper. Vous êtes...

            Est-ce que vous croyez? C’est étrange que j’aie dit: «Maladie de l’estomac», n’est-ce pas? Vous aviez la même chose. A part cela, vous avez la sinusite. Et puis, vous voulez que je prie pour votre fille qui est possédée de mauvais esprits. N’est-ce pas vrai? Que Dieu vous bénisse. Partez et recevez ce que vous avez demandé.

            Croyez-vous en Lui de tout votre coeur? Nous ne devrons plus en faire venir dans la ligne de prière, si vous croyez, si vous faites ce que je vous dis de faire maintenant. Tenez-vous simplement debout. Et au Nom de Jésus-Christ, je chasse chaque démon loin des gens. Dieu Tout-Puissant, répands sur cette assistance maintenant...?...

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