Le livre "Conduite, Ordre et Doctrine de l'Eglise 1 (COD)"
Contenu du livre
• 54-0103E QUESTIONS ET RÉPONSES n° 1
• 54-0103M QUESTIONS ET RÉPONSES n° 2
• 54-0515 QUESTIONS ET RÉPONSES
• 57-0925 QUESTIONS ET RÉPONSES SUR HÉBREUX, 1re PARTIE
• 57-1002 QUESTIONS ET RÉPONSES SUR HÉBREUX, 2e PARTIE
• 57-1006 QUESTIONS ET RÉPONSES SUR HÉBREUX, 3e PARTIE
• 58-0720Е MISE EN PLACE DES DIACRES
• 59-0628E QUESTIONS ET REPONSES
• 59-1219 QUESTIONS ET RÉPONSES SUR LE SAINT-ESPRIT
• 59-1223 QUESTIONS ET RÉPONSES
1
Et je suis heureux d’être de nouveau
ici, ce soir, au service de notre Seigneur. Et là, de vous voir tous
dans la
joie, chanter ces merveilleux vieux cantiques, tous remplis de l’Esprit
et
tout, cela nous réjouit beaucoup.
2
Et c’est avec joie que nous allons
essayer de prendre encore quelques instants ce soir, pour répondre à
une ou
deux questions. Nous avons pris pas mal de votre temps ce matin, mais
j’espère
que vous avez reçu la même bénédiction que moi, j’ai reçue, en parlant
de ces
choses. C’est, vous savez, nous avons beaucoup de choses à dire,
n’est-ce pas?
Et nous avons une Personne dont nous pouvons parler, c’est notre
Seigneur
Jésus.
3
Frère Teddy, s’il me, s’il te plaît,
reste ici encore un instant. On m’a dit qu’il y a un petit enfant
malade dans
la salle.
4
Avant de commencer – comme nous aurons
la communion, nous voulons, ne voulons pas prendre trop de temps, et
peut-être
même que nous aurons un baptême. Alors je–je veux d’abord prier pour
ceux qui
désirent qu’on prie pour eux, là, d’abord prier pour les malades, avant
de
commencer.
5
Et maintenant si, Teddy, si tu veux
bien jouer ce cantique : Le grand Médecin
est proche maintenant . Nous allons faire venir les malades
et demander ici
des bénédictions en leur faveur. Combien de personnes sont là pour
qu’on prie
pour elles, ce soir? Il y a quelques personnes pour qui nous n’avons
pas prié
ce matin. Faites-leur lever la main, si vous...
[espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] ...entendre ce témoignage,
et louer
Dieu pour toutes Ses bontés, louer Dieu, qui est la source de toutes
les
bénédictions. Pas vrai?
6
Maintenant, nous allons aborder sans
tarder ces témoignages, là, et nous allons essayer, ou, excusez-moi,
les
questions. Et j’espère que Dieu répandra Ses bénédictions par–par ce
moyen.
7
Et maintenant, ne me laissez pas
m’attarder trop sur elles. Frère Cox, je vais faire appel à vous pour
que vous
me signaliez, vous et les diacres assis sur la première rangée, que
vous
m’arrêtiez quand je, quand ce sera le moment de servir la communion,
vous
voyez, parce que je retiens les gens trop longtemps. Je vais essayer de
faire
aussi vite que possible. Et alors, si je ne les ai pas terminées ce
dimanche,
je les reprendrai dimanche prochain; non, je vais essayer de terminer
ce soir.
8
Ce sont vraiment de très bonnes questions.
Et je vous le dis, mes amis, s’il n’y avait pas ces réunions de réveil
et ces
choses qui ont lieu en ce moment, j’aimerais consacrer environ une
semaine rien
qu’à cela, à des enseignements bibliques sur–sur la Genèse, l’Exode,
l’Apocalypse et ainsi de suite, et–et passer là des–des moments
vraiment
merveilleux. J’aime beaucoup les questions profondes sur la Bible, de
même que
les enseignements bibliques, tant qu’on ne se met pas à fabuler.
Tenez-vous-en
strictement à la bonne vieille Parole de Dieu, claire et sans mélange;
Elle
vous mènera à bon port. Vous croyez ça, n’est-ce pas?
9
Eh bien là, ce matin, nous avons eu de
très, très bonnes questions, quelques-unes sur les cent quarante-quatre
mille :
qui étaient-ils, et de quoi allaient-ils faire partie? Et–et au sujet
de
l’Épouse. Et, oh, beaucoup de choses, vraiment, des questions très
profondes.
Et il m’en restait quelques-unes que je n’ai pas pu terminer.
10
Maintenant, ce soir, nous allons
commencer tout de suite par celle-ci, et demander au Seigneur de nous
venir en
aide. Or, nous ne pouvons pas ouvrir la Bible; nous pouvons L’ouvrir
comme
ceci, mais il n’y a que Dieu qui puisse L’ouvrir réellement pour nous.
Nous
pouvons tourner les pages. Mais, dans le Livre de l’Apocalypse, quand
Jean a
regardé et qu’il a vu Quelqu’un assis sur le Trône, il n’y avait, –
Celui-ci
avait un Livre dans Sa main, – il n’y avait personne qui était digne de
prendre
le Livre, ni d’En rompre les Sceaux, ni même de Le regarder. Personne
dans le
Ciel, personne sur la terre, personne sous la terre, ni nulle part,
n’était–n’était digne. Et il a vu un Agneau, qui avait été immolé dès
la
fondation du monde. Celui-ci est venu, Il a pris le Livre de Sa main,
et Il a
ouvert les Sceaux; c’était Jésus-Christ.
11
Or, je parlais à un homme cette semaine,
un homme d’affaires très en vue de cette ville, qui me disait, à propos
de
retourner en Afrique et en Inde, il disait : “Voyons, ils viennent de
tuer un
général britannique, là-bas.”
J’ai
dit : “Qu’est-ce que cela a à voir avec moi?”
Il
a dit : “Vous retournez là-bas, où il y a tous ces meurtres, ces
émeutes
raciales, et tout?”
J’ai
dit : “Bien sûr, c’est là qu’on a besoin de moi, c’est là que le
Seigneur veut
que j’aille.”
Il
a dit : “Et si on vous tuait?”
J’ai
dit : “Eh bien, si Dieu veut que je me fasse tuer, je me ferai tuer,
voilà
tout.”
Et
il a dit : “Oh! la la!” Il a dit : “Frère Branham, vous ne devriez pas
penser
comme ça. Eh bien,” il a dit, “peu importe. Je pense que vous êtes
religieux,
et je pense que vous êtes un brave homme,” il a dit, “mais ils ont même
tué
Jésus-Christ.”
J’ai
dit : “Bien sûr, c’était la volonté de Dieu.”
Il
a dit : “Quoi? La volonté de Dieu?” Je... Et cet homme va à l’église
(il a près
de soixante-dix ans), il va à l’église – dès sa naissance il a été
inscrit sur
le registre d’une bonne église de cette ville, et il y a grandi. Et il
n’a
jamais su que c’était la volonté de Dieu que Jésus meure.
12
Eh bien, j’ai dit : “Frère, Il a été
immolé dès la fondation du monde, dès le commencement. Il a été immolé
avant
même qu’Il vienne sur terre.” N’est-ce pas? Il était l’Agneau de Dieu,
immolé
dès la fondation de la terre.
13
Parlons-Lui pendant un instant, en vue
des questions. Maintenant, Père, nous sommes conscients que nous ne
sommes pas
dignes et que nous sommes incapables d’ouvrir le Livre et de Le
regarder. Mais
ce soir, que l’Agneau vienne maintenant – l’Agneau de Dieu qui a été
immolé dès
la fondation du monde – prendre les choses qui appartiennent à Dieu et
les
présenter à l’assemblée. Que le Saint-Esprit porte ces paroles, et que
ce
soient, non pas mes paroles ni les paroles d’un homme, mais que ce
soient les
Paroles de Dieu, adressées à tous les cœurs affamés. Car nous le
demandons au
Nom de Jésus. Amen.
14
La première que j’ai ici (on ne les a
pas replacées ni rien, c’est simplement comme ça qu’elles sont
arrivées) semble
être une très bonne question. D’abord, combien de personnes ici sont
intéressées par les questions? Faites voir votre... Eh bien, c’est
formidable,
ça. Juste pour que je sache.
15.
Bon. À sa mort, est-ce que l’homme va immédiatement au
Ciel ou–ou en
enfer, ou bien s’il doit attendre le jugement?
C’est une très bonne question. Et
elle mérite que–qu’on y réfléchisse bien, parce que c’est une question
qui
intéresse tout homme : que sera-t-il une fois cette vie-ci terminée?
Cela
intéresse tout homme. Bon, eh bien, je, personnellement, je–je ne sais
pas. Ce
que je réponds doit provenir de la Bible.
15
Une dame m’a téléphoné de Los Angeles,
tout à l’heure, un appel qui a dû lui coûter cinquante dollars, un
appel longue
distance d’environ trente-cinq ou quarante minutes, peut-être plus, au
cours
duquel elle cherchait à me faire dire qu’il était juste et légitime
qu’elle
quitte son mari et qu’elle épouse un autre homme. Je refusais. Non!
J’ai dit :
“Ça non!”
Elle a dit : “Eh bien, mon mari est
pécheur, alors que cet homme, lui, est Chrétien.”
16
J’ai dit : “Ça n’a rien à voir. Vous
serez adultère, aussi sûr que deux et deux font quatre.”
Elle a dit : “Eh bien, je suis
atteinte de tuberculose, et si je ne peux pas l’avoir pour mari, je
n’ai plus
de raison de vivre.”
17
J’ai dit : “Vous vous êtes juste
entichée, vous n’êtes pas amoureuse, parce que vous ne pouvez pas
l’être, c’est
tout; puisque votre mari, c’est lui. Et vous avez fait vœu de vivre
avec lui
jusqu’à ce que la mort vous sépare. N’importe quoi d’autre et vous
serez
adultère.” Et elle ne lâchait pas. J’ai dit : “Madame, ça ne sert à
rien...”
Elle a dit : “Si seulement vous me
disiez que c’est en ordre.”
J’ai dit : “Je ne le ferai pas.” J’ai
dit : “Je...”
Elle a dit : “Eh bien, Frère
Branham, nous avons une très grande confiance en vous.”
18
J’ai dit : “Alors, écoutez ce que
j’essaie de vous dire. Je vous dis la Vérité, car je ne peux rien dire
d’autre
que ce que Dieu a dit.” C’est ce que Dieu a déclaré comme vrai, alors
c’est
exactement ça. Voyez? J’ai dit : “C’est comme ça que c’est–c’est censé
être, et
c’est comme ça que ça doit être.”
19
Et maintenant, dans le cas des
questions, nous voulons que ce soit pareil. Or, on pense toujours...
Bon, ici,
vous comprenez bien que, dans cette petite poignée de gens, ce soir, il
y a
probablement toutes sortes d’idées différentes; et nous pensons
qu’elles sont
toutes bonnes, chacune d’elles. Votre idée est bonne, et c’est... Mais,
là, ce
que nous faisons, il faut que nous ayons quelqu’un... Tout comme les
oies, les
canards, n’importe quoi, tous, ils ont, – les abeilles, – tous, ils ont
un
chef. Si la reine des abeilles meurt, vous savez ce qui arrive. Si le
chef des
canards meurt, il faut qu’ils en aient un autre. C’est qu’il faut
absolument
qu’ils aient un chef.
20
Et l’homme aussi, il lui faut un chef;
et le chef, c’est le Saint-Esprit. Et le Saint-Esprit établit dans
l’Église,
premièrement des apôtres, ensuite des prophètes, et ainsi de suite.
Il n’y a pas longtemps, quelqu’un
disait, il disait : “Mais, Frère Branham, nous n’avons pas besoin que
quelqu’un
nous enseigne. Quand le Saint-Esprit vient, il n’y a pas besoin que
quelqu’un
enseigne.” Il a dit : “La Bible dit qu’on n’a pas–pas besoin qu’on nous
enseigne.”
21
J’ai dit : “Dans ce cas, pourquoi ce
même Saint-Esprit a-t-Il établi dans l’Église des docteurs, voyez,
voyez, et
mis l’Église en ordre?” C’est eux qui... Il nous faut des docteurs.
C’est vrai.
22
Mais il ne faut pas quelqu’un... On n’a pas
à vous enseigner en disant : “Tu ne commettras point d’adultère; tu ne
jureras
point, tu ne prendras point...” Ça, vous le savez déjà. Votre propre
conscience, par le Saint-Esprit, vous dit que c’est mal de faire ces
choses.
23
Mais par contre, pour ce qui est de
l’enseignement de l’Écriture, il faut quelqu’un qui est oint du
Saint-Esprit.
C’est vrai. Et Dieu a mis l’Église en ordre par des apôtres et des
prophètes,
et des dons de guérison, et de miracles, et ainsi de suite. C’est Lui
qui a mis
l’Église en ordre, et Il y a placé les docteurs, et ainsi de suite,
pour guider
et diriger Son Église. Et ce matin, nous, comme nous le disions : Jésus
est
au-dessus de la terre, alors que Son corps... Dès que Son corps bouge,
c’est
exactement comme une ombre qui se reflète sur la terre, celle-ci bouge
en même
temps que lui.
24
Or, bien des gens, les adventistes
croient que, quand un homme meurt, il s’en va directement dans la
tombe, et il
y reste – l’âme, le corps et tout le reste – jusqu’à la résurrection.
Et leur...
Ce qu’ils appellent “le sommeil de l’âme”. Eh bien, ça va. Ça va,
pourvu qu’ils
croient Jésus-Christ et qu’ils soient nés de nouveau, ça ne porte pas à
conséquence. Mais, bon, selon les Écritures, là, quand une personne
meurt, si
c’est un Chrétien, s’il est né de nouveau, rempli du Saint-Esprit, il
n’aura
jamais à subir les jugements de Dieu. Voyez? Il va tout droit dans la
présence
de Dieu. Et il n’aura jamais à être jugé, parce qu’il a déjà... Voyez?
25
Je n’ai pas à subir ce que Christ a subi
pour moi. Moi, j’étais un pécheur, mais le jugement que Christ a
subi...
Voici–voici le tout, résumé en quelques mots : Dieu a dit : “Le jour où
tu en
mangeras, ce jour-là tu mourras.” C’était une affaire réglée.
26
Or, Dieu doit tenir Sa Parole. Il ne
peut rien faire d’autre que tenir Sa Parole, parce qu’Il est Dieu. Eh
bien,
alors, Il ne peut pas, alors, Il... Vous êtes séparé de Dieu. Et alors,
vous
êtes né dans le péché, enfanté dans l’iniquité, venu au monde en disant
des
mensonges. Donc, à votre naissance, vous êtes par nature un pécheur.
Donc il
n’y a absolument rien que vous puissiez y faire. Il n’y a rien que je
puisse
faire pour me sauver moi-même, ni vous pour vous sauver vous-même. Ce
qui
compte, c’est ce que Christ a fait pour nous en Dieu, ou, ce que Dieu a
fait
pour nous en Christ. Voyez? La question n’est pas de savoir si moi, je
pense
ceci, ou si moi, je fais ceci, mais plutôt si Lui, Il a fait cela.
27
Eh bien, nous sommes en Lui. Et c’est
Lui qui a subi les jugements de Dieu; c’est Lui qui a pris le jugement
sur Lui.
Lui qui était innocent de péché, qui n’a pas connu le péché, cependant
Il est
devenu péché pour nous. Donc, pourvu que vous soyez en Christ, vous
êtes
affranchi du jugement. “Quand Je verrai le Sang, Je passerai par-dessus
vous.”
Voyez? Voyez? C’est ça. Le Sang, qui nous affranchit.
28
Le pécheur, lui, jamais il... Le pécheur
doit subir le jugement. Et il n’y aura pas que ce jugement-ci. C’est
comme
un–un cercle, ou un arc-en-ciel qui entoure le monde, et qui est formé
par le
Sang de Christ. Tant que vous êtes ici, à l’intérieur... Si Dieu
pouvait
regarder la terre – dans l’état où elle se trouve ce soir – autrement
qu’à
travers le Sang de Christ, Il la détruirait à l’instant même. Il serait
obligé
de le faire. Certainement, Il serait obligé de le faire. C’est de là
que
viendront les jugements.
29
Par contre si, ou, tant qu’un homme se
trouve ici, là-dessous, que cet homme soit un ivrogne, un joueur, un
terrible
incroyant, peu importe, la miséricorde de Dieu fait quand même
l’expiation pour
lui. Et une femme, qu’elle soit – quoi qu’elle soit – une prostituée et
quoi
encore, le Sang de Jésus-Christ fait quand même l’expiation pour elle.
Mais dès
l’instant que son âme quitte son corps, et que cette femme se retrouve
de
l’autre côté, alors elle passe de la miséricorde au jugement. Dieu l’a
déjà
jugée. C’est une affaire réglée. Elle est fichue. Elle est jugée. Elle
est
jugée.
30
Vous vous jugez vous-mêmes par la
manière dont vous traitez le moyen d’expiation pourvu par Dieu pour vos
péchés.
Voyez? Vous vous jugez vous-mêmes. Vous ne jugez pas qu’Il est assez
juste pour
vous pardonner. Voyez? Si vous pensez qu’Il vous pardonnera, confessez
vos
fautes, et Il vous pardonnera.
31
Et puis, par un seul Esprit (remarquez)
nous avons tous été baptisés, pour former un seul Corps. Et, de même
que ce
corps-là a été ressuscité par Dieu, ressuscité des morts, justifié,
assis à Sa
droite avec la puissance et la majesté dans le Ciel, ainsi en est-il de
ceux
qui sont morts en Christ : ils sont en Christ, ils sont affranchis du
jugement,
et ils ressusciteront à la résurrection.
32
Bon, mais maintenant quand nous mourons,
maintenant quand nous mourons, nous allons tout droit dans la présence
du Dieu
Tout-Puissant, dans un corps céleste. Si je rencontrais Frère Neville
là-haut,
si tous les deux nous mourions à l’instant, dans une heure je le
rencontrerais;
je dirais : “Bonjour, Frère Neville”, je lui parlerais. Je ne pourrais
pas lui
serrer la main; il serait dans un corps céleste. Je pourrais lui
parler; il
aurait exactement la même apparence que celle qu’il a là. Moi aussi,
j’aurais
encore la même apparence. Mais, nous pourrions parler ensemble, mais
nous ne
pourrions pas nous toucher, parce que nous n’aurions aucun des cinq
sens : la
vue, le goût, le toucher, l’odorat et l’ouïe. Voyez? Mais nous serions
immortels, et nous nous verrions. Nous vivrions dans les sphères
bénies, près
de l’autel de Dieu. Vous savez, n’est-ce pas, que Jean a vu les âmes
sous
l’autel, qui criaient : “Combien de temps, Seigneur, combien de temps”,
avant
de pouvoir revenir sur terre pour être revêtus?
33
Alors, quand Jésus, qui est maintenant
en nous sous la forme du Saint-Esprit, quand Son corps céleste, le
Saint-Esprit, reviendra dans le corps glorifié, nous serons glorifiés
avec Lui
et serons à Sa ressemblance. Vous voyez ce que je veux dire? Là je lui
serrerai
la main et je dirai : “Voici, Frère Neville.” Alors nous mangerons.
34
Regardez. Jésus a dit à Ses disciples,
au moment où ils prenaient la Communion, Il a dit : “Je ne mangerai
plus du
fruit de la vigne, jusqu’à ce que J’en mange et que J’en boive du
nouveau avec
vous dans le Royaume de Mon Père.” Pas vrai? Voyez? Voilà, c’est ça.
Donc,
nous, quand les morts meurent... Une personne qui est justifiée, qui
est dans
la présence de Dieu, elle entre dans Sa présence en tant qu’être
immortel, et
elle vit dans les sphères bénies de la paix, jusqu’au jour du retour.
35
Or, à une certaine époque, les gens
n’allaient pas dans la présence de Dieu au moment de leur mort, les
justifiés.
Ça, c’était dans l’Ancien Testament. Ils allaient dans un lieu appelé
le
Paradis, et c’est là, dans le Paradis, qu’attendaient les âmes des
justes. Mais
le Paradis était un lieu où Dieu gardait les âmes, dans un genre de
pays des
rêves, jusqu’à ce que le Sang de Jésus-Christ ait été versé; c’est que
le sang
des taureaux et des boucs ne pouvait pas ôter le péché, il ne faisait
que
couvrir le péché. Mais le Sang de Jésus ôte le péché.
36
Avez-vous remarqué que, quand Il est
mort au Calvaire... À Son retour, Il a fait sortir des sépulcres les
saints
morts, qui étaient morts sous l’expiation du sang des taureaux, des
boucs et
des génisses. Et ils sont entrés dans la ville (oh!) et sont apparus à
un grand
nombre de personnes. Quel beau tableau! Oh, si nous pouvions prendre un
moment
pour dépeindre cela. Regardez Jésus, quand Il est mort.
37
Tenez, comme je l’ai souvent dit, je
crois, ici, dans l’église : il y a comme une espèce de–de canal ici,
c’est
là-dedans que vivent les êtres mortels. Chacun d’eux est au milieu de
ce grand
conglomérat d’amusements, d’obscurité et de ténèbres. C’est là-dedans
que
vivent les mortels. Or, ils sont influencés soit par ce qui est de ce
côté-ci,
soit par ce qui est de ce côté-là. Vous ne pouvez pas être ici un être
spirituel – pécheur ou saint – sans subir une influence soit du monde
d’en
dessous, soit du monde d’en haut. Si vous êtes sous l’influence de
ceci, vous
êtes d’en haut. Votre corps céleste attend en haut. Par contre, si vous
êtes
méchant, et hypocrite, et indifférent, votre corps céleste est ici, en
bas, peu
importe combien vous pouvez penser qu’il est là-haut; parce que le
fruit que
vous portez devant les gens démontre de quel endroit vous venez. Donc,
vous
êtes ici ce que vous êtes quelque part ailleurs. Votre vie, que vous
menez ici,
ne fait que refléter ce que sera votre héritage quand vous partirez
d’ici.
Est-ce que vous comprenez?
38
Nous sommes maintenant même (oh, quand
je pense à ça), nous sommes maintenant même glorifiés dans la présence
de Dieu,
des croyants nés de nouveau. “Car, si cette tente où nous habitons sur
la terre
est détruite, nous en avons une autre qui nous attend déjà, dans la
Gloire”,
pas ailleurs, mais là-bas, qui nous attend déjà, maintenant même. Et
ces corps
terrestres gémissent, désirant revêtir l’immortalité. Pas vrai? La
maladie, les
douleurs, les maux, les déceptions, les chagrins et... Oh! je serai
vraiment
content quand cette vieille maison de pestiférés sera fermée
définitivement.
Pas vous? Oui monsieur. Nous pourrons rentrer à la Maison. C’est vrai.
39
C’est que nous sommes, que nous
gémissons, désirant être revêtus, l’Esprit gémit. Oh, quand on regarde
et qu’on
voit toutes ces choses qui nous environnent, tout ce conglomérat de
puanteur,
de péché, de vie mortelle, de tromperie et tout, je pense : “Ô Dieu,
combien de
temps encore cela va-t-il durer?”
40
Un de ces jours, je vais prêcher mon
dernier sermon, je vais poser la Bible, comme ceci, et rentrer à la
Maison. Oh,
quel moment ce sera. Et lorsque cette tente où j’habite sur la terre
arrivera à
sa fin, alors, moins d’une seconde plus tard, je serai dans l’autre,
là-bas;
vous aussi. Oh! la la! Ce n’est pas étonnant qu’ils aient dit :
Je laisserai ce corps mortel
Pour saisir le prix éternel;
Criant, en traversant les airs...
(Bien sûr, en montant.)
41
Or ça, c’est où? Quand le
possédons-nous? Maintenant! “Ceux qu’Il a justifiés, Il les a aussi
glorifiés.”
Et vous rendez-vous compte que notre corps glorifié immortel attend
dans la
présence de Jésus-Christ maintenant même, attend que nous arrivions?
42
Savez-vous, quand un bébé a été engendré
sur cette terre, avant qu’il soit mis au monde, il a une vie, mais il
n’a pas
été mis au monde. Et aussitôt que ce bébé vient au... qu’il–qu’il
commence à,
qu’il naît... Ses poumons sont complètement fermés, il est mort. Ses
muscles
frémissent et se contractent. Mais aussitôt, on n’a qu’à lui donner une
ou deux
petites tapes sur les fesses, comme ça [Frère Branham imite le
bruit.–N.D.É.],
et il [Frère Branham halète.] trouve son souffle. Qu’est-ce qu’il y a?
Dès que
ce corps naturel se forme dans la mère, il y a un corps spirituel qui
attend,
prêt à l’accueillir aussitôt que ce bébé naît.
43
De même, aussi sûr que ce corps
spirituel est en train de se former, il y a un corps naturel qui
attend, prêt à
l’accueillir aussitôt qu’il quittera ce monde. Voyez? C’est l’inverse :
un
retour tout droit à l’Éden de nouveau (voyez?), tout droit.
44
Or là, Dieu... Eh bien, la mort,
ainsi–ainsi la mort perd complètement son aiguillon. Ce n’est pas
étonnant que
Paul ait pu se tenir là et dire : “Mort, où est ton aiguillon? Tombe,
où est ta
victoire?” Il a dit : “Grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la
victoire
par notre Seigneur Jésus-Christ.” Oui monsieur. Si cette tente où nous
habitons
sur la terre est détruite, nous en avons une autre qui nous attend
déjà; alors,
n’y pensez même plus.
45
Maintenant, mon ami, vous qui avez posé
cette question, si vous êtes un pécheur, que Dieu soit miséricordieux
envers
vous. Oui monsieur. Vous êtes non seulement condamné maintenant – mais
pas ici,
non! Vous prospérerez et vous continuerez comme ça. Et c’est uniquement
par la
miséricorde de Dieu. C’est uniquement par la miséricorde de Dieu que
vous
prospérez et que vous faites ce que vous faites. C’est vrai. Mais, un
de ces
jours, si vous êtes un pécheur et que votre âme quitte ce lieu,
celle-ci ira
là-bas subir son jugement, et elle sera condamnée. Et alors, vous serez
rejeté,
et vous serez en proie aux tourments jusqu’au jour où vous serez ramené
ici sur
terre de nouveau. Et vous recevrez un corps immortel, un corps
immortel, qui ne
peut pas mourir, et vous serez jeté dans les ténèbres du dehors, où il
y aura
des pleurs, des gémissements et des grincements de dents. Vous serez
jeté en
enfer, où le ver ne meurt jamais, et où le feu ne s’éteint jamais, et
vous
serez tourmenté pendant tous les âges à venir. Jésus l’a dit. C’est un
tableau
sombre, mais c’est ce que dit la Bible.
46
Si Dieu a frappé le péché d’une si
grande condamnation, et s’Il l’a fait expier à un si grand prix,
qu’arriverait-il si ces esprits iniques étaient un jour remis en
liberté? Nous
nous retrouverions avec la même chose que ce que nous avons eu au cours
des
derniers six mille ans. Pas vrai? Il n’y aura plus jamais une autre
occasion.
47
Maintenant, vous dites : “Eh bien, je
crois que, quand on va dans la tombe, on–on va en enfer.” Votre corps
va en
enfer, c’est vrai. Enfer, ça veut dire “séparation”. Mort, ça veut dire
“séparation”. Votre corps meurt, se sépare, vous quittez vos bien-aimés
qui
sont ici – mais ce n’est pas de ça que nous parlons. “Il est réservé
aux hommes
de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement.” Voyez?
48
Or, quand vous... si vous devez subir le
jugement de Dieu, vous serez jugé par un Dieu en colère. Et Dieu va, a
déjà
déclaré ce qu’Il allait faire. Vous savez donc quel sera votre
jugement, avant
même d’arriver là-bas. Alors, ce qu’il faut faire, c’est d’être sauvé,
et
d’avoir cet être glorifié...
49
Regardez. Si je dois, si mon esprit...
Regardez, nous ne sommes pas une substance morte, nous sommes en vie.
Si–si
mon, si cette chaire, ici, si cette pièce de bois avait en elle la vie
qui est
dans mon doigt, cette chaire, et qu’elle avait en elle une intelligence
pour la
faire bouger, elle pourrait bouger comme mon doigt bouge. Nous ne
sommes pas
constitués de cette sorte de matière-là. Nous sommes constitués
de–de–de–de
cellules, et de vie, et de fibres; et ici, il y a un esprit qui
contrôle tout
cela. Et regardez donc la vitesse à laquelle il doit agir. Regardez un
peu; ma
main touche cela. Maintenant, aussitôt, il faut qu’il y ait une
réaction
négative et une réaction positive. Aussitôt que mon doigt touche cela,
il le
sent. Instantanément, il y a un déplacement, un mouvement vers mon
cerveau –
mon cerveau dit : “C’est froid” – et un retour. Vous voyez avec quelle
rapidité
cela se fait? Cet acte se fait plus rapidement que la pensée, plus
rapidement
que n’importe quoi. Qu’est-ce que c’est? Il y a quelque chose à
l’intérieur,
qui est en vie, et ce nerf agit sur le cerveau. Vous voyez ce que je
veux dire?
Le nerf touche cela, il le sent, ce qui fait dire au cerveau : “C’est
froid.”
Le cerveau dit que c’est froid, à cause de la sensation ressentie par
le nerf.
Oh! la la! Vous parlez d’une constitution!
50
Et puis, tout cela – avec quelle
rapidité Dieu connaît chaque pensée qui nous vient à l’esprit. Tout ce
que nous
faisons, Il le sait.
Donc, quand le croyant meurt, il va
dans la présence de son Créateur, son Dieu. Et le pécheur, quand il
meurt, il
va vers sa destination. Ensuite, au retour... Bon, là je parle des Élus.
51
Par contre, certaines personnes
ressusciteront à la seconde résurrection, et devront comparaître en
jugement
avec le pécheur, pour être jugées avec lui. Je ne veux pas manquer de
traiter
ce point-là. Voyez?
52
Or, il y aura, la première chose qui
aura lieu, c’est la–la venue de l’Épouse. Il y aura des personnes, dans
le
monde... Je, il se peut que vous ne soyez pas tout à fait d’accord
là-dessus,
mais écoutez bien. Juste parce que vous avez accepté Christ comme votre
Sauveur
personnel, ça ne veut pas dire que vous partirez dans l’Enlèvement. Ça,
c’est
pour les Élus, c’est eux qui partiront dans l’Enlèvement. Il y aura un
reste
qui sera laissé ici sur terre, qui passera par la persécution et la
grande
tribulation. L’Église, Elle, sera prise dans l’Enlèvement.
53
Combien de femmes ici savent que,
lorsqu’on s’apprête à tailler une pièce de tissu, on étend le tissu,
comme
ceci, on pose le patron dessus, comme ceci, et on taille le tissu
d’après le
patron. Pas vrai? Et le reste du tissu, c’est exactement le même genre
de tissu
que ce qui est sous le patron. Pas vrai? Mais c’est là le genre de
tissu que
vous prenez. Peut-être que vous le mettrez de côté pour l’utiliser plus
tard,
par contre, le–le tissu dans lequel vous avez taillé ça.
54
Or, qui place le patron? C’est Dieu, par
élection. Amen! C’est Dieu qui, par élection, place le patron. Il a dit
: “Bon,
J’ai choisi, avant la fondation du monde, J’ai placé ceux-ci.” Eh bien,
Jésus a
dit aux disciples qu’Il était avec eux, qu’Il les avait choisis, et
qu’Il les
connaissait, avant même la fondation du monde. Pas vrai? Donc, c’est
Dieu qui
place le patron. Alors, il y aura une Élue qui partira dans
l’Enlèvement. Et il
y aura un groupe de gens qui sont bons, droits, qui mènent une vie
sainte, des
gens qui ont été sauvés par Dieu, mais ils ne seront pas pris dans
l’Enlèvement; et ils ressusciteront à la seconde résurrection, parce
que...
55
Oh, je–j’espère que vous ne vous
fâcherez pas contre moi, ici, si je vous présente quelque chose de
façon très
claire. Voyez? Ne le faites pas. C’est que je–je dois le dire, parce
que je,
quelque chose me contraint (vous voyez?) à le dire. Regardez.
Maintenant
regardez. Là, je dirais ceci : Il y a des gens qui croient à la
justification
par la foi (voyez?), et ils mènent une bonne vie, propre, sainte – ils
croient
aussi à la sanctification, ils reçoivent...
56
Considérez Judas Iscariot. Judas
Iscariot a été justifié lorsqu’il a cru au Seigneur Jésus-Christ et
qu’il L’a
accepté comme son Sauveur personnel – Judas Iscariot. Judas Iscariot a
été
sanctifié, dans Jean 17.17, et il a reçu le pouvoir, dans Matthieu 10,
d’aller
chasser les démons. Et Judas Iscariot est revenu, après avoir guéri les
malades
et chassé les démons, il est revenu en se réjouissant et en poussant
des cris
de joie autant que n’importe quel bon exalté. Pas vrai? La Bible le
dit. Mais,
quand il en est arrivé à la Pentecôte, là il s’est montré sous son vrai
jour.
Maintenant observez cet–cet esprit.
57
Il y a des gens dans le monde
aujourd’hui, des gens qui sont de bons Chrétiens, qui croient à la
justification, ils sont nombreux, des milliers, des millions, à croire
à la
justification. Mais ils ne veulent avoir rien à faire avec la
sanctification.
Disons que ce sont les presbytériens, les épiscopaliens, et ainsi de
suite.
Eux, ils croient à la justification; ils la prêchent. Et c’est bien;
ils ont
raison.
58
Mais alors, les–les nazaréens, les
pèlerins de la sainteté, les méthodistes libres, ils vont plus loin,
jusque
dans la sanctification. Eux, ils croient à la sanctification. C’est
exact! Ils
ont raison. Et ils obtiennent des victoires, et ils poussent des cris
de joie,
et ils louent l’Éternel. Ils sont dans le vrai; ils ont raison. Mais
parlez-leur, aux uns ou aux autres, du baptême du Saint-Esprit et de la
puissance, des signes et des prodiges, et là, tout de suite ils vont se
montrer
sous leur vrai jour. Ils diront : “Je ne veux pas de ça. Je ne crois
pas...” Eh
bien, même mes bons amis les nazaréens croient qu’un homme qui parle en
langues, c’est du diable. Et, mon frère, si vous faites ça, vous...
59
Eh bien, ils ont exclu le Dr Reidhead
des Missions au Soudan, il en était le président, parce qu’il avait
parlé en
langues. Ils ont dit : “On ne peut pas permettre ça.”
60
J’ai dit : “Dans ce cas, vous ne pouvez
pas prêcher comme Paul. Vous ne pouvez pas accepter l’Évangile de Paul,
car
Paul a dit : ‘N’empêchez pas de parler en langues.’” C’est vrai. Mais
eux,
ils–ils disent que c’est du diable. Ils en ont vu beaucoup de
contrefaçons,
alors ils estiment que tout le reste, c’est pareil. Voyez? Mais voilà,
c’est
une église qui a été justifiée et sanctifiée, mais qui nie le fait que
le
baptême du Saint-Esprit est une œuvre différente de la sanctification.
Pourtant
il l’est, il est une œuvre différente. Certainement.
61
Il y a trois éléments qui sont sortis du
corps de Christ. Et ces mêmes éléments, qui sont sortis de Son corps,
sont ceux
au moyen desquels nous devenons une partie de Son Corps. Il y a eu
l’eau (pas
vrai?), le Sang (pas vrai?), et l’Esprit. Et Jésus, l’Écriture dit :
“Il y en a
trois qui rendent témoignage dans le Ciel : le Père, le Fils et le
Saint-Esprit. Ces trois sont Un; ils sont Un. Mais il y en a trois qui
rendent
témoignage sur la terre; ceux-là ne sont pas un,” il a dit, “mais ils
sont
d’accord : l’eau, le Sang et l’Esprit.” Pas vrai?
62
Or, vous ne pouvez pas avoir le Père
sans avoir le Fils. Vous ne pouvez pas avoir le Fils sans avoir le
Saint-Esprit, parce que, mais vous pouvez être justifié sans être
sanctifié. Et
vous pouvez être justifié et sanctifié, les deux, et pourtant ne pas
avoir le
baptême du Saint-Esprit. Voyez? C’est vrai. Ça, c’est l’Écriture. “Ce
sont ces
trois-là”, il a dit, “qui rendent témoignage sur la terre : l’eau, le
Sang et
l’Esprit; et ils sont d’accord.” Voyez? Ils ne sont pas un, mais ils
sont
d’accord, parce que c’est le même Esprit, une mesure de celui-ci. Dieu
nous
donne l’Esprit avec mesure.
63
Maintenant, Luther, par la
justification, c’est ce qu’il a prêché. Pas vrai? Luther a prêché : “Le
juste
vivra par la foi.” Et il avait un grand message. Et c’était là une
portion du
Saint-Esprit. Ainsi Luther, lorsque le message a été proclamé, – Dieu
allait
susciter Son Église et L’envoyer avec quelque chose de plus grand, –
oh! la la!
Luther a dit : “Oh, nous croyons que nous L’avons, ici.”
64
Mais John Wesley a dit : “Oh non!” Lui
et George Whitefield, et les autres, ils ont dit : “Nous croyons à la
sanctification, que c’est là la seconde œuvre bien précise de la
grâce.” Pas
vrai? Et ils ont prêché le Sang. Eh bien, si Luther refusait d’avancer,
voilà,
Dieu allait donner cela aux méthodistes wesleyens. Voyez? Et ils l’ont
reçu. Et
ils ont eu un réveil qui s’est répandu dans le monde entier, et c’était
la
vraie Église.
65
Eh bien, maintenant, quand vient le moment,
voici maintenant les preuves du Saint-Esprit qui arrivent : les signes,
les
prodiges et les miracles. Or, ça, Wesley ne veut pas l’accepter. Bon,
si Wesley
avait été sur terre et que Martin Luther avait été sur terre, le moment
venu,
eux, ils l’auraient accepté, mais après environ deux groupes de–de–de,
après
que quatre ou cinq groupes d’apôtres sont passés, et qu’ils ont ramené
le
filet, là il n’y a plus rien.
66
Maintenant, les pentecôtistes ont reçu
le parler en langues et ils y ont cru. Ensuite ils en ont fait “le
signe
initial”, déclarant que tout le monde devait parler en langues. Ça,
c’est une
erreur. Mais bon, là, ils en sont venus... Ces choses étaient des
traits
caractéristiques, donnés par Dieu. Tout comme moi, j’ai les yeux bleus,
je n’y
peux rien, ou... C’est Dieu qui a donné ça, c’est tout. Ce sont
simplement des
dons qui se trouvent dans l’Église. C’est Dieu qui les y a placés.
“Dieu a
placé dans l’Église...” Voyez?
67
Bien. Mais, quand ils sont arrivés avec
ces choses, bon, ils ont reçu une grande bénédiction, ils sont allés
beaucoup
plus loin que les luthériens ou que les–les méthodistes, que l’un et
l’autre.
Et maintenant, ils se sont organisés, de telle sorte qu’ils sont pires
que les
méthodistes ou que les autres – les pentecôtistes. Et là, ils en sont
au point
où, après le deuxième et le troisième groupes... Il y a une quarantaine
d’années qu’ils ont commencé à recevoir le parler en langues. Mais cet
arbre de
Dieu, il porte neuf fruits différents. Or, vous pouvez avoir n’importe
lequel
de ces fruits-là. Voyez? Dieu les a envoyés, mais ils proviennent tous
de cet
arbre.
Maintenant, la justification,
regardez ça.
68
Regardez l’enseignement de ce matin.
Lorsque le Jugement s’assit et que les Livres furent ouverts. Là Jésus
est
venu, accompagné de myriades de myriades de saints, et alors, le
Jugement
s’assit. Les voilà tous autour, pour le Jugement du Trône Blanc (comme
nous
l’avons vu dans l’Écriture), et les Livres furent ouverts; et un autre
Livre
fut ouvert, celui qui était le Livre de Vie. Et ceux qui avaient été
pris dans
l’Enlèvement jugeaient ces gens. Pas vrai? Ceux qui étaient rentrés à
la
Maison, qui avaient reçu leur corps glorifié et qui avaient vécu la
période du
Millénium, ils étaient là, au Jugement du Trône Blanc, en train de
juger ces
gens. Il a dit qu’Il séparerait les brebis d’avec les boucs.
Maintenant, vous dites, ici : “Mais,
voyons.” Vous dites : “Ça, est-ce que ça arrive... Où ça, Frère
Branham?” Au
Jugement du Trône Blanc.
69
“Mais qu’en est-il de l’Enlèvement?” Eh bien,
au moment de l’Enlèvement... Jésus a enseigné cela sous forme de
parabole. Il
l’a enseigné de bien des manières différentes. En voici une. Il a dit
que dix
vierges étaient sorties à la rencontre du Seigneur. Et quel-... Elles
étaient
toutes vierges, mais quelques-unes avaient de l’Huile dans leur lampe,
et
quelques-unes avaient laissé leur Huile s’écouler. Pas vrai? Et lorsque
l’Épouse... Or, l’Huile, qu’est-ce que c’était? L’Huile, c’était le
Saint-Esprit; la Bible le dit. Maintenant regardez. C’étaient des
vierges. Et
vierge, qu’est-ce que ça veut dire? “Sainte, pure, séparée,
sanctifiée.” Pas
vrai?
70
Si j’avais un petit verre ici, je vous
montrerais ce que... Tenez, prenons par exemple cette bouteille qui est
ici, si
elle était vide et que je la ramassais, qu’elle était sale au
superlatif. Je
veux l’utiliser. Bon, eh bien, la première chose que je dois faire,
c’est la
justification : je la ramasse, parce que je veux l’utiliser. Elle est
sale, je
l’ai trouvée dans la–dans la porcherie, ou là où elle se trouvait.
Maintenant,
si je suis une personne normale, eh bien, je ne veux pas mettre
là-dedans
quelque chose de propre dont je vais devoir me servir. Il faut d’abord
que
je–je remette cette chose-là en état. Alors, le mieux, c’est de la
frotter, de
la nettoyer, et, de la sanctifier. Pas vrai? Or le mot sanctifié,
qu’est-ce que
ça veut dire? “Nettoyé et mis à part pour le service.” Les ustensiles
de
l’ancien temple étaient nettoyés et mis à part pour le service.
71
Alors, voilà l’Église. Dieu les a ramassés
pendant l’âge de Luther : la justification; l’âge de Wesley, Il les a
sanctifiés; et en cet âge-ci, Il les remplit. Voyez? Il place la Vie en
eux. Et
c’est alors Sa Vie, par le Saint-Esprit. C’est le Saint-Esprit qui les
a
ramassés; c’est le Saint-Esprit qui les a sanctifiés; c’est le
Saint-Esprit qui
les a remplis. Voyez? Tout cela, c’est la même Église.
Mais maintenant, regardez.
Maintenant, à notre époque.
72
Or, je pense que Luther, Wesley et tous
ceux-là, bon nombre d’entre eux partiront dans l’Enlèvement. Ils ont
reçu la
portion de l’Esprit qui leur a été prêchée; ils y ont cru.
73
Par contre, dans l’Enlèvement...
Aujourd’hui des gens se sont joints à ces dénominations qui n’ont pas
continué
à avancer. C’est, il n’y a eu qu’une seule dénomination : l’Église de
Dieu; et
Elle, Elle a tout simplement continué à avancer, envers et contre tout.
Mais
ces organisations ont rompu l’unité de ces choses, comme ça. Alors
aujourd’hui
bien des gens regardent le baptême du Saint-Esprit et disent que c’est
une absurdité.
Mais ils ont quand même été justifiés; ils ont quand même été
sanctifiés. Mais
ils disent : “Oh, ces choses, c’est de l’excitation.”
74
Je sais que le diable a mis là toutes
sortes d’épouvantails. C’est là qu’on trouve les bonnes pommes : près
du lieu
où se trouve l’épouvantail. C’est vrai. Allez, pénétrez plus loin,
derrière
cela, allez manger les pommes. Voyez?
75
Donc, voici, alors Dieu a rempli du
Saint-Esprit. Ensuite, Il a établi Son Église en vue de La glorifier. À
la
seconde venue, voici l’Église qui revient, l’Épouse. Maintenant
regardez bien.
Voyez s’ils passent par la période de la tribulation. Il a dit que “ces
vierges, elles étaient venues et avaient dit : ‘Donnez-nous de votre
Huile.’”
“L’Époux vient!” Un son s’est fait
entendre : “Voici l’Époux. Sortez à Sa rencontre.”
Et ces vierges, qui étaient vierges,
saintes, sanctifiées (pensez-y), des personnes saintes, sanctifiées,
mais qui
n’avaient pas le baptême du Saint-Esprit, elles ont dit : “Donnez-nous
de
l’Huile!”
76
Et l’Église a dit : “Nous en avons juste
assez pour nous-mêmes. Allez donc vous mettre en condition par la
prière.” Mais
là c’est trop tard. Alors, l’Église est allée aux Noces, et les autres
ont été
jetés dans les ténèbres du dehors (pas vrai?), où il y avait des
pleurs, des
gémissements et des grincements de dents; et ils ont subi la
persécution, ils
ont souffert, ils sont morts.
77
Jésus est revenu sur la terre. Il y a eu
le règne du Millénium : mille ans avec Lui. Les–les justes et les
injustes sont
ressuscités. Et Ils ont jugé chacun. Les boucs étaient d’un côté, et
les brebis
de l’autre. Et là Dieu a emmené l’Église sur la surface de la terre
pour le
rassemblement où nous nous réunirons tous, avec nos bien-aimés. Voyez?
Voilà la
différence.
78
Or, ces gens, ici... Bien sûr, à notre
mort, si nous sommes en Jésus-Christ, nous allons retrouver ce grand
Corps qui
est là-bas : Jésus-Christ. Si nous sommes des pécheurs, nous allons
retrouver
ce grand corps des incroyants; et Dieu a dit que nous partagerions le
sort des
hypocrites, et tout, en enfer. Amen! Ce n’est peut-être pas tout à fait
clair.
Mais maintenant voyons si nous
pouvons trouver... Il y a juste une petite note ici.
16.
S’il
vous plaît expliquer Exode, le, 24, le chapitre 4, verset 24. Que
signifie ce
passage de l’Écriture, que Dieu avait l’intention de tuer Moïse ou son
fils? Et
pourquoi?
79
Nous savons où ça se trouve, Exode 4.24.
C’est une bonne question. Bon, maintenant nous allons prendre un
instant ici,
pour le lire. Exode 4.24 :
Pendant
le voyage, en un lieu où Moïse passa la
nuit, l’Éternel l’attaqua et voulut le faire mourir.
Combien se rappellent ce qui s’est
passé là? C’est que Dieu avait donné à Abraham, des générations avant
celle de
Moïse, le signe de la circoncision. Ça, c’était l’alliance que Dieu
avait faite
: tous les Juifs devaient être circoncis. Pas vrai? Tout homme devait
être...
C’était un signe.
80
Et nous, aujourd’hui, sommes-nous
circoncis? Par le Saint-Esprit, et non dans la chair.
81
Bon. Donc, Dieu a donné ce commandement
: “Tout mâle doit être circoncis.” Et Dieu, quand Il a appelé Moïse,
pour qu’il
aille là-bas délivrer les enfants d’Israël, Moïse n’avait pas opéré sur
son
fils le signe même qui donnait accès à la délivrance. Vous voyez ce que
je veux
dire?
82
C’est comme si je disais : “Tous ceux de
l’église, là, chacun de vous, vous êtes venus, vous avez été baptisés
d’eau
ici, et nous vous avons inscrits comme membres de l’église. Nous allons
tous
partir dans la Gloire ensemble.” Voyons, frère, ce n’est pas
l’Écriture, ça. À
moins que vous soyez né de nouveau, circoncis par le Saint-Esprit... Il
le
faut. Quelle que soit votre bonté, quelle que soit l’église dont vous
faites
partie, quelle que soit la bonté de vos parents, à moins que vous,
individuellement, vous soyez né de nouveau du Saint-Esprit, vous ne
partirez
jamais dans l’Enlèvement. Voyez? Vous ne pourrez pas partir. C’est là
le signe
même qui donne accès à la délivrance : la circoncision; et la
circoncision se
fait par le Saint-Esprit. Maintenant Dieu...
83
La–la personne qui a posé la question a
demandé ceci : “Est-ce que–est-ce que ce passage de l’Écriture signifie
que
Dieu avait l’intention de tuer Moïse ou son fils? Et pourquoi?” C’est à
Moïse
que Dieu voulait s’en prendre. Et c’est uniquement grâce à Séphora
qu’il a été sauvé
de cela. En effet, Séphora a pris une pierre aiguë, elle est allée
couper le
prépuce de son bébé, et l’a jeté aux pieds de Moïse, en disant : “Tu es
pour
moi un époux de sang.” Pas vrai?
84
Et Dieu aurait ôté la vie à Moïse, mais
peut-être qu’un Ange se trouvait là, pour dire : “Séphora! Réagis, et
vite!”
Voyez?
85
Et Séphora est allé circoncire le bébé.
Elle a dit : “Moïse, tu te préoccupes tellement–tellement de tout le
reste, de
ton voyage, mais ton propre fils n’a pas été circoncis.”
Je me demande, bien des fois, si...
Il m’est arrivé de rencontrer des gens qui disaient : “Oh, gloire à
Dieu. Le
Seigneur veut que je fasse une certaine chose. Il veut que j’aille en
Afrique,
en Inde.”
86
Je disais : “Avez-vous déjà demandé au
laitier s’il était sauvé? Avez-vous déjà demandé au livreur de journaux
s’il
était né de nouveau? Et votre voisin, lui, est-il sauvé?” Voyez? Alors,
c’est
ça la question. Voyez? Si c’est dans votre cœur.
87
Il y a un certain temps, une femme est
venue me trouver, ici, en Floride. Et cette petite femme, je ne peux en
aucune
manière... je ne suis pas le juge. Mais il y a un jeune prédicateur qui
s’était
trouvé ici même, il a prêché du haut de cette estrade. Et ce jeune
homme, dans
un autre pays, il s’était marié, il avait une épouse, trois ou quatre
enfants.
Et cette femme-là, elle, était veuve. Ils sont venus du Texas ensemble,
ils ont
fait le trajet jusqu’ici dans une grande Cadillac. Et cette femme est
entrée.
Elle a le droit de s’habiller comme elle le veut, moi, ça ne me
dérangeait pas;
mais cette femme, qui était une Chrétienne, ne le démontrait
certainement pas
par son habillement. Elle était, oh! la la! elle était, elle avait de
très
longs, des espèces de pendants aux oreilles (ou le nom que vous donnez
à ça)
qui descendaient comme ceci, et elle avait tout plein de–de truc sur la
bouche,
et–et–et ses sourcils avaient été épilés, et elle s’était fait d’autres
sourcils au crayon. Et elle a dit : “Frère Branham,” elle a dit, “le
Seigneur
m’appelle à partir dans un pays étranger.”
J’ai dit : “Vraiment?”
“Oui!” Elle a ajouté : “Je pars
là-bas avec cet homme.”
J’ai dit : “Eh bien, si le Seigneur
vous appelle, eh bien, d’accord.” (Mais à voir le fruit, ça ne me
semblait pas
vraiment être le cas. Voyez?)
Et elle a dit : “Vous ne croyez pas
que le Seigneur...?”
88
J’ai dit : “Là, ne me posez pas la
question. Si le Seigneur vous l’a dit, faites ce que le Seigneur vous a
dit.
Mais moi, personnellement, je ne le pense pas. Je vais être honnête
avec vous.”
Elle a dit : “Eh bien, qu’est-ce qui
vous fait penser ça?”
J’ai dit : “Premièrement, vous êtes
une femme mariée, et d’être avec cet homme marié, ça ne donne pas une
très
bonne impression, de rester ensemble ici, dans la ville. S’il y a
quelque chose
qui jette l’opprobre, c’est bien ça. Voyez?” Et j’ai dit : “Alors,
premièrement...”
89
Or cette femme, qu’est-ce qui lui était
arrivé? La même chose que ce qui serait arrivé... Elle avait passé son
temps à
des futilités, sans recevoir le Saint-Esprit, tout comme cette femme,
là-bas,
qui m’a appelé aujourd’hui, qui voulait épouser cet homme, quitter son
mari et
épouser cet homme. Elle s’était retrouvée dans cette situation;
peut-être qu’à
un certain moment elle avait été en contact avec Dieu, mais elle avait
convoité
les choses du monde. Et je lui ai demandé, j’ai dit : “Avez-vous reçu
le
Saint-Esprit?”
Elle a dit : “Pas encore, mais je Le
recherche.”
90
J’ai dit : “Recevez d’abord le
Saint-Esprit, et Lui vous dira quel mari vous devez avoir.” C’est vrai.
Voyez?
Il vous–vous faut... C’est ça. Sinon
vous mourrez spirituellement. Nombreux sont ceux que Dieu cherche ce
soir, et
combien de fois Il a frappé [Frère Branham donne des coups sur la
chaire.–N.D.É.] à leur cœur! Mais une bonne fois Il fermera la porte,
et–et il
n’y aura plus de miséricorde. Voyez?
91
C’est sûr, Dieu lui aurait ôté la vie.
Il a dit qu’Il le voulait. Écoutez ce qu’on lit dans l’Écriture :
Pendant
le voyage, en un lieu où Moïse passa la
nuit, l’Éternel l’attaqua et voulut le faire mourir. (Moïse.
Maintenant regardez
bien.)
Séphora
prit un caillou aigu... une pierre aiguë,
coupa le prépuce de son fils, et le jeta aux pieds de Moïse, en disant
: Tu es
pour moi un époux de sang!
C’est exact. Or, ce n’est pas le
fils que Dieu voulait. Dieu... Ce pauvre petit bébé, il ne savait pas
ce qu’il
fallait faire; il était innocent. Mais le problème, c’était le père du
bébé :
il emmenait le bébé là-bas, il allait délivrer les enfants d’Israël
sous le
signe de la circoncision, et son propre fils n’avait même pas été
circoncis.
Voyez? Alors Séphora a coupé le prépuce au moyen d’une pierre, et l’a
jeté par
terre, en disant : “Tu es pour moi un époux de sang.”
92
17.
S’il
vous plaît expliquer les sens de ce passage de l’Écriture, et quand il
s’accomplira : Ésaïe 4.1. Merci.
Très
bien.
Nous allons simplement prendre le passage, là, vous qui avez vos Bibles
et qui
le désirez; nous allons voir ce qu’il en est. Je n’ai pas eu la
possibilité de
vérifier ça, mais je me suis dit que nous allions bien trouver quelque
chose
comme réponse. Nous y voici.
Et...
(Oh,
oui!) Alors...
Et sept femmes saisiront en ce jour un seul homme, et diront : Nous
mangerons
notre pain, et nous nous vêtirons de nos habits; fais-nous seulement
porter ton
nom! Enlève notre opprobre!
93
Eh bien, frère, on en est presque là
maintenant, tellement c’est corrompu. Dans quel état d’apostasie a
sombré notre
pays! Permettez-moi de dire ceci, mes chers amis Chrétiens.
Permettez-moi de
dire ceci, avec le respect le plus sacré envers chacun : Si jamais il y
a eu...
Et vous, ici, qui avez étudié l’histoire : Nous voilà dans le sentier
même où
s’est produite la chute de chaque bonne nation qui a existé au cours
des âges,
nos mœurs se sont corrompues, nous reprenons le même sentier.
94
Comme je le disais ce matin, excusez-moi
de le répéter. Dans les pays étrangers, des hommes viennent à moi et me
disent
: “Frère Branham, quelle sorte de femmes est-ce que vous avez là-bas?
Eh bien,
toutes les chansons que vous chantez, ce sont des chansons vulgaires
sur les
femmes de chez vous.” C’est ça. Tout ce qu’on chante, c’est un
conglomérat
de–de–de...
95
Eh bien, savez-vous ce qu’il y a? Si
vous voulez que je vous résume ça en quelques mots, je vais vous dire
exactement ce qu’il y a. Le monde s’est retrouvé dans cet état-là parce
que
c’est un Sodome et un Gomorrhe contemporains. Exactement! En
Californie, j’ai
pris un journal. Et je ne me rappelle plus à combien de milliers par
année –
ça, c’est ceux dont ils sont au courant – s’élève l’augmentation du
nombre des
homosexuels. Même le désir naturel de... entre mari et femme, et tout,
les gens
perdent ça. C’est exactement ce que Dieu avait dit qu’il arriverait. Et
leur
propre...
96
Prenez... Voyez qui a la cote de
popularité. Écoutez sur votre poste de radio, ou de télévision, ou ce
que vous
avez, et voyez ce qu’il en est. Ce qu’il y a de pire et de plus
vulgaire, –
s’il y a une chanson sur une femme ou quelque chose comme ça, – c’est
ça qui
obtient la notoriété.
97
Et les choses en sont à un point où,
semble-t-il, nous n’avons plus d’estime pour les femmes de chez nous –
ou, ce
sont les femmes de chez nous qui n’ont plus d’estime pour elles-mêmes,
voilà ce
que c’est. Si la femme se tenait comme il faut, l’homme ne pourrait pas
faire
autrement que marcher droit. Je ne prends pas la défense des hommes,
mais je
sais que c’est la vérité. Oui monsieur! Mais qu’est-ce qu’il y a? C’est
vraiment un–un état de choses terrible, et c’est là, ça existe. Et
c’est selon
l’Écriture. La Bible a déclaré que ce serait comme ça. Alors, comment
pourrions-nous avoir un réveil? Comment pourrions-nous avoir un réveil?
98
Écoutez, mes amis Chrétiens. Il ne reste
que quelques instants, permettez-moi de vous demander quelque chose.
Nous avons
des Billy Graham. Nous avons des Jack Shuler. Nous avons des mouvements
religieux de toutes sortes, qui sillonnent le monde. Au cours des six
ou sept
dernières années, ils ont parcouru les États-Unis à toute allure, mais
il n’y a
aucun réveil. Pourquoi? Les portes sont en train de se fermer. Nous
avons pêché
à la seine et retiré tous les poissons – comme je l’ai dit ce matin –
de
l’étang. Il en reste peut-être encore un ou deux quelque part.
99
Là où Billy Graham a tenu une série de
réunions (je crois que c’était à Boston ou quelque part), ils déclarent
avoir
eu plus de vingt mille conversions en six semaines. Ils y sont
retournés
quelques semaines plus tard, et ils n’en ont pas trouvé vingt.
Pensez-y! Frère,
c’est presque fini. Je pourrais dire quelque chose ici. Voyez?
100 Nous
vivons aux jours dont Dieu avait
annoncé la venue. Nous vivons aux derniers jours. Nous vivons à une
époque où
les hommes... Nous avons beau essayer de penser autrement, la Parole de
Dieu
déclare que nous avons été prédestinés. C’est vrai. Ceux que Dieu a
appelés
viendront à Dieu; et ceux que Dieu n’appelle pas ne viendront pas à
Dieu. Dieu
appelle, et ils refusent, et Il appelle, ils refusent. Bon, je ne dis
pas que
Dieu condamne qui que ce soit. En effet, Il ne veut pas que tous...
qu’aucun
périsse, mais veut que tous arrivent à la repentance. Par contre, du
fait qu’Il
est Dieu, Il–Il le savait au commencement, qu’ils n’allaient pas venir.
Pourtant Il leur a quand même donné une chance, mais ils ont refusé de
venir.
101 Comment,
s’Il ne sait pas ça, comment
a-t-Il su qu’on aurait des voitures sans chevaux? Comment a-t-Il su
qu’il
viendrait des temps comme ceux de maintenant? Pourquoi a-t-Il dit “que
les
hommes seraient emportés, enflés d’orgueil, qu’ils aimeraient le
plaisir”?
Pourquoi tous les prophètes ont-ils prédit, dès le commencement, toutes
ces
autres choses qui allaient arriver? Dieu savait tout. Il sait ce qui va
arriver. Et là il y a des hommes dont Dieu, en parcourant du regard le
cours du
temps, a dit : “Ils ne viendront pas.” Et ils sont tout simplement
condamnés,
voués à cette condamnation, parce que c’est ce qu’ils ont eux-mêmes
choisi.
Amen. Voilà.
102 Et
je crois, mon frère, ma soeur, – je dis
ceci avec le respect le plus sacré et avec la crainte de Dieu dans mon
cœur, –
je crois que l’Amérique a coulé! Elle a perdu tout sens moral. Elle
s’est
dégradée jusqu’à s’avilir. C’est lamentable.
103 Pensez
un peu, là, alors que je dis ceci
en–en réponse à ce passage de l’Écriture, sept femmes qui saisissent un
seul
homme. Pendant la Première Guerre mondiale, la Seconde Guerre
mondiale... J’ai
une–une coupure de journal chez moi. Vous l’avez lu vous-mêmes. Ça
disait :
“Que sont devenues les mœurs des Américaines? Deux soldats sur trois,
de ceux
qui étaient partis outre-mer, leur femme avait divorcé d’avec eux dans
les six
premiers mois.” Deux soldats sur trois, divorcés. Ces femmes sont tout
simplement parties, elles ont déguerpi. Pourquoi ça? Si vous voulez le
comprendre, mes amis, c’est l’esprit de l’époque.
104 Il
nous faut entrer dans l’esprit des
derniers jours quand les derniers jours sont là. Quand vous allez dans
un
dancing, il faut entrer dans l’esprit de la danse, sinon on ne dansera
pas.
Quand vous allez à l’église, il faut entrer dans l’Esprit d’adoration
avant de
pouvoir adorer. Il faut que le monde entre dans l’esprit des derniers
jours
avant que les derniers jours puissent venir, et nous sommes dans
l’esprit des
derniers jours. Dieu a promis que ces choses seraient là, et c’est ce
que nous
avons. Nous sommes dans les derniers jours. Les hommes et les femmes
sont là,
ils dorment, et ils ne s’en rendent pas compte.
105 Et
les mœurs... J’ai rencontré un jeune
homme l’autre jour, à, oh, il y a quelque temps de ça, l’automne
dernier. Nous
arrivions dans une ville. Et il me disait, un jeune homme qui allait à
l’école
secondaire et qui était marié. Il disait : “J’ai épousé cette jeune
fille,
parce que c’était une bonne fille, il fallait que je l’épouse avant
qu’elle
termine ses études secondaires.” Il a dit : “À ma connaissance, depuis
des
années, nous n’en avons pas eu une seule qui soit encore vierge à sa
sortie de l’école
secondaire, ici.” Voyez? Elles ont vraiment perdu tout sens moral.
106 Et
là-bas... en Californie, je suis passé
dans les rues, et à certains endroits les policiers disaient aux gens
de ne pas
rester dans la rue. Il est plus dangereux pour un homme de passer dans
la rue
que pour une femme. Des ruelles sombres. Oh, que Dieu ait pitié! Ne
savez-vous
pas que la Bible a annoncé ces choses?
107 Et
juste avant qu’Il en présente l’ombre
dans Sodome et Gomorrhe, et alors que là-bas, il avait arrivé, ou
plutôt, il
était arrivé la même chose. Et Dieu a fait descendre le feu et a brûlé
entièrement cet endroit. Un poteau indicateur très précis, comme quoi
le monde
entier, quand il en arriverait là, recevrait cette
[espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] chose.
108 Nous
sommes dans les derniers jours.
Certainement. Sept femmes saisissent un seul homme, et disent : “Nous
mangerons
notre pain, et nous nous vêtirons de nos habits; fais-nous seulement
porter ton
nom! Enlève notre opprobre!” Frère, vous n’avez pas à sortir des
États-Unis. De
toute ma vie, je n’ai vu qu’un seul endroit que j’ai trouvé pire que
notre
propre pays, pire que ce que j’ai vu dans les rues et les lieux d’ici.
Et on ne
s’améliore pas. On empire continuellement, tout le temps. Et,
souvenez-vous, je
parle au Nom du Seigneur. On va continuer à empirer. Le seul espoir qui
existe,
c’est en Jésus-Christ. Quoi qu’on fasse.
109 J’ai
crié, j’ai parcouru la nation, ici.
Et Dieu a même ressuscité les morts. Et nous sommes allés dans des
villes; des
gens qui étaient dans des fauteuils roulants depuis des années se sont
levés,
et ils ont marché dans la ville, derrière des camions, en poussant
leurs
voitures à bras, et différentes choses comme ça. Et des femmes, qui
avaient été
déclarées mortes par les médecins, elles avaient en main leurs
radiographies
avec le nom du médecin écrit au-dessus, elles ont été ressuscitées des
morts.
Et la ville, tous, ils restent en arrière et disent : “Hum, de la
télépathie
mentale; une bande d’exaltés.” Oh, on ne peut pas s’attendre à autre
chose qu’à
la damnation! Oh! C’est vrai!
110 Le
jugement est là, et vous serez obligés
de le recevoir. Frère, fuyez la colère à venir, et allez vers
Jésus-Christ
aussi vite que vous le pouvez! Sortez de ces choses! Oui, c’est
l’esprit des
derniers jours. On pourrait dire beaucoup de choses. Je vais me
dépêcher.
18.
Pourriez-vous, s’il vous plaît, nous dire ce que notre Seigneur et
Sauveur
Jésus-Christ attend de nous, quand nous entrons dans la maison de notre
Seigneur pour adorer?
111 Très
bien, c’est une bonne question. C’est
une question tout à fait essentielle, pour n’importe quelle église.
Dieu
s’attend à ce que vous veniez à cette maison, à l’église... Bon,
celle-là, ce
n’est qu’une question, qu’une question posée, comme ça. Ce n’est pas
une
question sur l’Écriture, c’est – mais en même temps ça l’est. Attendez,
je vais
vous dire ce qu’Il a dit. Premièrement, si vous voulez l’Écriture, les
gens
sont censés venir à la maison de Dieu dans un seul but, celui d’adorer,
de
chanter des cantiques et d’adorer Dieu. Voilà ce que Dieu attend de
nous. Il ne
s’attend pas à ce que nous entrions dans la maison de Dieu pour parler
de ce
qui nous concerne, ou d’autre chose, ou pour parler les uns des autres,
ou pour
parler de ce que nous prévoyons faire pendant la semaine; Il s’attend à
ce que
nous venions pour L’adorer. C’est une maison d’adoration. “Et tout doit
se
faire avec bienséance et avec ordre”, a dit Paul, dans la Bible. Tout
doit être
impeccable. Il doit y avoir un message.
112 La
première chose que je dirais, c’est
que, selon les règles observées par l’Église dans l’Ancien Testament,
ou
plutôt, dans le Nouveau Testament, premièrement, les gens entraient
dans
l’église de–de Dieu avec un Esprit d’adoration. Et ils entraient, on
chantait
des cantiques. Et peut-être que le prédicateur prenait la parole, car
il était
un prophète de l’église. (Un prophète du Nouveau Testament est un
prédicateur;
nous savons ça : “Le témoignage de Jésus-Christ est l’Esprit de la
prophétie”,
dit l’Apocalypse.)
113 Alors,
le prédicateur commençait à
prêcher. Pendant qu’il prêchait, là les bénédictions – vers la,
peut-être la
fin de sa prédication – se mettaient à descendre; les gens disaient :
“Amen”,
se mettaient à bénir Dieu. Ensuite, dès qu’il arrêtait de prêcher,
peut-être
qu’un message venait, peut-être que c’était prononcé dans des langues
inconnues
(I Corinthiens 14.13, 14). Alors–alors, s’il n’y avait pas d’interprète
dans
l’église, ces gens devaient se taire – parce qu’ils parlent
effectivement en
langues, mais ils le font devant Dieu. Voyez? Par contre, s’ils parlent
en
langues et qu’il y a un interprète, l’interprète est censé donner le
message.
Toutes les églises sont en train de se rallier à cela.
114 Charles
Fuller, lui qui m’avait tant fait
d’histoires et rebattu les oreilles avec cela quand j’étais là-bas,
maintenant
il l’accepte. Et c’est ce qu’ils font, partout à Long Beach. Oui
monsieur! Là
même, dans–là même, dans la salle, on reçoit les bénédictions de Dieu,
le
parler en langues, l’interprétation des langues et la prière pour les
malades.
Il s’était tenu là et m’avait dit en face : “Frère Branham, je ne crois
pas à
ce genre de chose.”
J’ai dit : “Eh bien, libre à vous.
Ce n’est pas pour les incroyants, Frère Fuller, C’est pour ceux qui
croient.”
Et maintenant il prêche la même chose. Le moment vient, il faut faire
face à la
chose.
115 Bon,
donc, si c’est fait avec ordre, si
c’est là où vouliez en venir... Pendant que le prédicateur parle, tout
doit
garder le silence pour qu’on écoute le prédicateur. En effet, là c’est
la
Parole de Dieu qui est proclamée, s’il prêche sous l’onction. Alors
tous les
esprits des prophètes sont soumis au prophète. Lorsque le pasteur
s’avance sur
l’estrade, qu’il ouvre la Bible, alors l’église devrait garder le
silence,
écouter la... sa lecture de l’Écriture, écouter ce qu’il dira. S’il dit
quelque
chose qui vous plaît, vous pouvez dire : “Amen, que le Seigneur soit
béni!”, ou
ce que vous voudrez. Amen, ça veut dire “qu’il en soit ainsi”. C’est la
Bible
qui dit de faire ça.
116 Ensuite,
après que le message est terminé,
alors, si le prédicateur accorde un moment pendant lequel les gens sont
tous là
à se réjouir, l’Esprit étant présent au milieu des gens, peut-être
qu’Il
enverra un autre message. S’Il envoie un message, celui-ci viendra à
quelqu’un,
et ensuite une interprétation; cela ne consistera pas en, seulement en
une
citation de l’Écriture ou à faire quelque chose. Dieu ne multiplie pas
de
vaines paroles. Au contraire, ce sera un message adressé directement à
quelqu’un, lui dictant de faire une certaine chose, ou bien quelque
chose qui
édifiera l’Église. Ensuite, après avoir reçu cette édification de
l’Église, on
dit...
117 Par
exemple, quelque chose comme ceci :
Quelqu’un se lève, là, et parle en langues; quelqu’un d’autre
interprète et dit
: “AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT, que telle personne aille imposer les
mains à
cette personne-ci, car, AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT, ce soir le moment
est venu
pour sa guérison.” Qu’est-ce que c’est?
Alors, la personne en question dit :
“J’étais assis là; mon cœur brûlait pour ce bébé.”
Maintenant–maintenant on se
lève, en obéissance à l’Esprit, on va imposer les mains au bébé, et il
se
rétablit. Sinon, il y a quelque chose qui ne va pas. Voyez, voyez?
C’est un
message adressé directement.
118 Alors
l’incroyant qui est assis là, il dit
: “Une minute. Dites donc, Dieu est avec ces gens-là!” Vous voyez ce
que je
veux dire?
119 Ensuite
il dira, ou bien : “AINSI DIT LE
SAINT-ESPRIT, que toutes les personnes qui habitent du côté sud de la
ville, à
partir de ce côté-là de la rue Spring, quittent les lieux d’ici deux
jours, car
une tempête va venir balayer tout ce côté-là de la ville.” Alors, voilà
une
prophétie adressée à l’église entière.
120 Alors
quelqu’un – le jugement spirituel –
se lève et dit : “Est-ce que cela venait du Seigneur?” Chacun. Si trois
hommes
intègres se lèvent et déclarent, – des juges spirituels, – déclarent :
“Cela
venait du Seigneur”, alors l’église le reçoit; et tous ceux qui
habitent ce
secteur de la ville quittent les lieux, s’éloignent dans le délai fixé.
Ensuite, si cela ne s’accomplit pas, il faut retenir cette personne.
Voyez?
Vous avez un autre esprit au milieu de vous. Mais si cela s’accomplit,
alors
bénissez Dieu et rendez grâces à Dieu de vous avoir fait échapper à la
colère qui
allait venir. Voyez? Surveillez ces choses-là. C’est ça l’Église en
ordre.
121 Deux
ou trois messages – pas plus de trois
– seront prononcés à une même occasion, comme ça. Tout ce qui est
présenté,
vous voyez, il faut que ce soit fait avec ordre. Premièrement, et
ensuite une
autre, église, une autre chose qui doit se faire avec ordre...
122 Je
ne sais pas. C’est peut-être une femme
qui a demandé ceci. C’est que je, quelque chose d’autre m’est venu à
l’esprit,
alors je ferais aussi bien de le dire. Les femmes, au moment d’entrer
dans
l’église, devaient, selon le Nouveau Testament, devaient entrer et
s’asseoir,
avec le visage voilé, un air triste, et rester là pendant tout le
service. Ça,
c’est conforme à l’Écriture. Bon. Mais je pense que la femme... Bien
sûr. Or,
je ne vous condamne pas, les femmes. Voyez?
123 Une
jeune femme est venue à moi il y a
quelques instants. Non pas... Frère Junior était là, présent, au moment
où est
venue une femme qui avait eu des difficultés. Il n’y a pas longtemps,
ses voisins
s’étaient moqués d’elle parce qu’elle refusait de se couper les
cheveux. Et
elle est allée se couper les cheveux. Ensuite une femme qui habite de
l’autre
côté de la rivière l’a complètement déboussolée, lui a dit qu’elle
allait
prendre, d’une manière spirituelle, attacher ses pieds avec ses
cheveux–cheveux, et à cause d’elle cette femme a développé une phobie.
Cette
femme a presque perdu la raison – elle a deux enfants. Elle ne savait
pas quoi
faire. Elle restait là, comme ça.
124 Un
jour, elle s’est arrêtée en voiture
devant la maison. Le Saint-Esprit est descendu et lui a parlé, Il lui a
dit
qu’elle allait se rétablir, Il a dit : “AINSI DIT L’ESPRIT.” Et là
elle–elle
est restée comme ça pendant quelques jours, et puis elle... Hier
j’allais,
j’avais l’intention d’aller voir cette femme, avec Frère Junior et
Frère Funk.
J’étais à moins d’un demi-mille [d’un kilomètre] de là. Elle était là,
en train
de se peigner les cheveux – maintenant elle a décidé de les
laisser–laisser
pousser, elle dit : “Que les voisins se moquent et qu’ils fassent ce
qu’ils
voudront.”
125 Et
là, le Saint-Esprit n’a pas voulu que
j’y aille. Il lui a parlé, lui a dit que j’étais près de chez elle et
que je
voulais venir. Et hier soir, en vision, j’ai vu venir cette femme, et
je lui
disais quel était son problème; et elle a été guérie dans mon bureau il
y a
quelques instants. Voyez? Pas vrai, Frère Junior? C’est vrai. Il y a
juste
quelques instants de ça. Voyez? Dieu n’a pas voulu que j’aille là-bas,
parce
que la chose n’était pas encore au point. Voyez? Il m’a amené jusque
là-bas, et
c’est là qu’Il a confirmé la chose, pour montrer que ce n’était pas un
homme,
c’était Dieu. Voyez?
Bon. Elle a dit : “Frère Branham,
mon mari veut que j’aie les cheveux longs.”
126 J’ai
dit : “Dieu veut la même chose.”
C’est vrai, car les femmes doivent avoir les cheveux longs. C’est leur
voile.
127 Je
sais que nous, les dames, aujourd’hui,
ou, que vous les dames, plutôt, vous portez des chapeaux. Vous dites
que c’est
votre voile. C’est faux. La Bible dit que le voile de la femme, c’est
sa
chevelure. Et si elle coupe ses cheveux, il est inconvenant pour elle
de prier.
Pas vrai? Ça, c’est l’Écriture. Voyez? Et donc, les femmes doivent
porter de
longs cheveux, peu importe ce que vous, vous voulez en penser; c’est ce
qui est
l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Indiquez-moi donc un seul endroit...
128 Vous
dites : “Eh bien, mes cheveux sont
longs. Vous voyez, j’ai les cheveux jusqu’aux épaules.” Ça, c’étaient
des
cheveux courts. “Christ,” vous dites, “Christ avait les cheveux longs.”
Non,
pas du tout. Christ avait les cheveux jusqu’aux épaules, à ce qu’on
dit.
Ils–ils les ramenaient tout simplement devant, comme ceci, et les
coupaient –
des cheveux jusqu’aux épaules. Regardez le mot grec là-dessus, et vous
verrez.
129 Des
cheveux de femme, l’homme ne devrait
pas avoir de longs cheveux, parce que c’est féminin, ça : très longs
comme
ceci. Mais Il les coupait ici, aux épaules, – c’est comme ça qu’ils les
coupaient, – Il les ramenait de derrière Sa tête, les coupait courts,
comme ça.
Ça, c’étaient des cheveux courts.
130 Donc,
les dames qui ont les cheveux
jusqu’aux épaules, ça, c’est encore des cheveux courts. Bon, je ne dis
pas que
c’est ce qui vous enverrait en enfer ou vous emmènerait au Ciel. Ça n’a
rien à
voir. Mais l’ordre établi pour l’église, c’est que les femmes aient de
longs
cheveux. C’est vrai; c’est vrai. Et d’entrer dans l’église... Et–et de
ne pas
s’occuper du tout des affaires, des affaires sociales, ou, non pas, je
veux
dire des affaires financières de l’église. Et elle doit être
obéissante, et
respectueuse et tout, comme ça, parce que c’est elle, nous dit la
Bible, qui a
causé la première chute. Et c’est vrai; c’est vrai. Maintenant, en
vitesse.
J’espère que ça ne vous a pas froissées.
19.
Question : Comment se fait-il qu’une vision de Dieu
me soit apparue au moment où j’allais prendre la communion, à mon
église?
Verso. (Bon, c’est juste le nom d’une dame; oui, c’est le
nom d’une dame.) Une... Comment se fait-il
qu’une vision de
Dieu me soit apparue au moment où j’allais prendre la communion, à mon
église?
131 Eh
bien, je n’en sais rien, soeur – à
moins que ce soit ceci : Si vous avez vu Jésus en vision, à votre
église, au
moment où vous preniez la communion, Il vous indiquait ceci : que c’est
Lui que
vous receviez, sous forme de symbole. La communion représente le corps
de
Jésus-Christ; et c’est Lui que vous receviez, en symbole, dans votre
corps.
Donc, menez une vie sans tache, menez une vie pure.
132 Écoutez.
Si vous prenez la communion (on
va lire ça, vous allez l’entendre dans quelques minutes), alors que
vous le
faites indignement, vous êtes coupable envers le Sang et le Corps de
Jésus-Christ. Que celui qui prend cette communauté mène une vie droite
devant
Dieu, ou plutôt, qui prend cette communion mène une vie droite devant
Dieu. Ne
la prenez pas indignement. C’est tout simplement...
133 Regardez.
La Bible avait prédit que, dans
les derniers jours, toutes les tables de Dieu seraient pleines de
vomissements.
Et que personne ne serait capable de–de comprendre. Pas vrai? Regardez.
Il n’y
a pas longtemps, je suis allé dans un grand tabernacle. Je ne le
nommerai pas;
vous le connaissez tous très bien. Savez-vous ce qu’ils ont servi, à la
communion? Ils ont pris une miche de pain, de pain vital, de pain
léger, et ils
ont tranché ça. Et un groupe de diacres – d’ailleurs, le prédicateur a
déclaré
que sept d’entre eux étaient des ivrognes... C’est vrai. Et tous, tout
le
groupe, on les voyait qui passaient dans la salle, en parlant aux gens.
Et
quand on a laissé sortir les gens, à la fin du culte, entre l’école du
dimanche
et le culte, presque tous, y compris le pasteur, sont sortis fumer des
cigarettes dehors, puis ils sont revenus à l’intérieur et ont pris la
communion
du Seigneur. Dieu a dit qu’Il ne vous tiendrait pas pour innocents de
cela.
“Beaucoup sont malades et faibles parmi vous, et un grand nombre sont
morts.”
C’est vrai.
134 Il
a dit : “Toutes les tables de Dieu sont
pleines de vomissements, à qui vais-Je pouvoir enseigner la doctrine.”
Il a dit
: “Car c’est précepte sur précepte, règle sur règle, un peu ici, un peu
là.
Retenez ce qui est bon. Car c’est par des lèvres balbutiantes et des
langues
étrangères que Je parlerai à ce peuple. Et voici le repos dont J’ai dit
qu’il
viendrait. Mais malgré tout ça, ils ont hoché la tête et se sont
éloignés, ils
ont dit : ‘Nous ne voulons pas écouter.’” Regardez où nous vivons, mes
amis.
Oh, miséricorde! Réveillez-vous!
135 Oui,
votre vision, soeur. Si vous êtes une
femme bonne, pure, sainte devant Dieu, vous étiez là et Jésus vous
indiquait
qu’Il donnait la communion, que c’est Lui que vous receviez là, en
symbole; et,
si vous ne l’êtes pas, alors il vous adressait cette mise en garde :
vous devez
vous mettre en règle avec Dieu avant de refaire une telle chose.
20.
Je
voudrais savoir ce que signifie ce qui–ce qui suit : I Timothée, 2...
II
Timothée, chapitre 2, verset 16.
136 Un
instant. II Timothée.
[espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] On se réunit. Peut-être que
vous ne
serez pas d’accord sur ce que j’ai dit. On rentre chez nous... Ensuite,
vous
rentrerez chez vous et vous étudierez beaucoup, ce qui servira à faire
de vous
quelqu’un de spirituel. Très bien, II Timothée 2.16, voici ce qu’on y
lit :
Évite
les discours vains et profanes; car ceux qui
les tiennent avanceront toujours plus dans l’impiété,
Oui. Très bien, vous voulez savoir
ce que sont ces “discours profanes”. “Profanes... évite les discours
profanes,
car ils se multiplieront.”
137 Bon,
la première chose, “les discours
profanes, car ils se multiplieront”. Bon, tout ce qui n’est que de
l’espèce de
vieux... que du babillage, sans plus. La Bible dit, Jésus a dit : “Que
votre
oui soit oui, et que votre non soit non, car tout ce qu’on y ajoute
mène au
péché.” Vous n’êtes même pas censés blaguer ni faire le pitre l’un avec
l’autre. Dieu vous fera rendre compte de chaque parole vaine que vous
aurez
proférée. Saviez-vous ça? La Bible dit que vous devrez rendre compte de
toute
parole vaine. Alors, quelle sorte de gens devrions-nous être? Des gens
qui sont
francs, sérieux, pleins d’amour, gentils, jamais un déversement de
sottises,
toujours en train de...
138 Regardez.
Prenez quelqu’un qui commence,
aujourd’hui... J’ai remarqué que c’est mon cas, c’est dans ma nature,
étant
Irlandais; et, de toute manière, j’ai toujours beaucoup de salive quand
il
s’agit de faire le pitre et toutes sortes de singeries. Et de temps–de
temps à
autre, même ma femme me dit : “Allons, Bill!”
Je
dis :
“C’est vrai, chérie.” Elle dit, je joue avec les enfants, je dis, je
fais le
pitre avec eux ou quelque chose comme ça, je dis : “Eh bien, vous
savez, il y a
eu trois grands hommes qui sont sortis du Kentucky.
–
Qui ça?
–
Eh bien, Abraham
Lincoln.
–
Oui.
–
Daniel Boone.
–
Oui.
–
Et votre père.” Quelque
chose comme ça.
139 Elle
me dit : “Allons, Bill, te voilà
reparti.” Je suis obligé de me retirer dans le petit bureau, quelque
part, et
je dis : “Seigneur, pardonne-moi, je ne voulais pas dire ça. Fais
quelque chose
pour moi; fais que j’arrête de faire ça.” Voyez?
140 Et
chaque jour, je, si je fais ça... Or,
nous parlions du mot rétrograder, ce matin. Quand vous faites ça, vous
êtes
rétrograde. Oui monsieur! Vous devez vous repentir. Pas vrai? Bon, je
ne dis
pas que vous êtes retourné dans le monde et que vous avez fait ceci et
cela,
mais vous avez fait quelque chose. Vous devez vous repentir et mourir
journellement, pour vivre en Jésus-Christ. Donc, chaque, –
journellement, –
chaque jour, vous devez mourir chaque jour, pour vivre en Jésus-Christ.
141 Quand
je fais quelque chose – et il
m’arrive souvent de mal agir. Je suis quelque part, et quelqu’un dit
telle ou
telle chose, et je me permets une petite plaisanterie à ce sujet.
Quelqu’un
dit... Pas une plaisanterie de mauvais goût; en effet, je ne crois pas
que les
Chrétiens font des plaisanteries grossières. Non monsieur! Non
monsieur! Ce
n’est même pas digne de Chrétiens, dit la Bible. Il y est dit de
repousser les
choses profanes de ce genre, les plaisanteries, les blagues et ce genre
de
chose. Non, les Chrétiens ne racontent pas ces choses-là; les Chrétiens
ont des
pensées pures.
142 Mais
si on ne fait pas attention, de temps
en temps, là, un homme, il fera une petite plaisanterie aujourd’hui. Eh
bien,
il pensait qu’il n’y avait pas vraiment de mal à ça, alors il laisse
passer, il
n’y pense plus. Le lendemain, on fait deux petites plaisanteries. Et
tout d’un
coup, on fait quelque chose d’autre. Et voilà, ça mène tout droit dans
le même
vieux système de nouveau. Pas vrai? Tenez-vous loin de cette
affaire-là. Fuyez
ça! Et évitez ce babillage profane.
143 Vous
avez entendu quelqu’un qui arrive...
Je vais juste vous donner un petit exemple. “Madame Doe, savez-vous
quoi? J’ai
vu votre mari. Et je vais vous dire une chose. Pourtant il est diacre.”
Voyez?
Alors...
Bon, ce que j’en pense, dites : “Je
ne veux rien entendre!” C’est ça, et continuez votre chemin. Vous
n’aurez pas à
répéter ça bien des fois, pour qu’ils arrêtent. C’est vrai.
144 “Oh,
sais-tu quoi, soeur? Je vais te
raconter ce qui est arrivé au frère.” Pas seulement la soeur, mais le
frère
aussi. Voyez?
“Frère, je vais te raconter ce qui
est arrivé. Tu sais, si seulement on pouvait se débarrasser de ce
prédicateur,
si on pouvait faire ceci, ou se débarrasser de ce diacre, ou si on
pouvait
faire ceci.” Oh-oh! Il faut vraiment–vraiment–vraiment fuir cette
affaire-là.
145 Il
y a une petite chose qu’il serait bon,
à mon avis, que vous placiez quelque part sur votre bureau, c’est une
petite
chose que j’ai vue en Floride, il n’y a pas longtemps. C’était trois
petits
singes. L’un d’eux s’était couvert les yeux avec ses mains, il disait :
“Ne
vois pas le mal.” L’autre s’était mis les doigts dans les oreilles, il
disait :
“N’écoute pas le mal.” Et l’autre s’était couvert la bouche avec sa
main, il
disait : “Ne dis pas le mal.” Je trouve que c’est bien, n’est-ce pas?
Oui
monsieur! Oh! la la! C’est très bien.
146 Gardez
simplement vos pensées pures et
centrées sur Christ. Vous ne pouvez pas vous contenter de dire : “Mais,
bon...”
Là, vous voyez, si vous ne faites pas attention, vous vous retrouverez
dans une
situation, si vous continuez à penser comme ça... N’allez pas–n’allez
pas
penser que... Allons, vous ne pouvez pas mener une vie tellement
parfaite que
vous ne ferez pas cette erreur-là. Allons, n’allez jamais penser que
vous
arriverez à ça un jour, parce que non, vous n’y arriverez pas. Non
monsieur!
Vous n’êtes pas exempts de péché, il est certain que vous tomberez dans
leur
erreur, de ce côté-ci et de ce côté-là.
147 Mais
un homme qui a été renversé, s’il est
un vrai soldat, il se relèvera. “Seigneur, que je me relève et que
j’essaie de
nouveau.” Mais un lâche, dès qu’il constate qu’il a commis une première
petite
erreur, voilà, comme je le disais ce matin : l’insecte et l’araignée
d’eau
retournent tout droit dans l’eau. Voyez? Il ne peut pas tenir le coup.
148 Donc,
évitez toutes ces espèces de, ce
babillage profane et ces singeries, ces propos. Babillage, ça veut dire
“confusion”. Et la Bible dit : “Prenez garde à ceux qui causent des
disputes au
milieu de vous.”
149 Si
quelqu’un dit : “Ah oui, ah oui”, vous
n’avez qu’à–qu’à dire : “Bonjour. Je suis content de vous revoir.
Merci.” Et
continuez simplement à avancer. C’est la meilleure chose à faire. Ne
les fuyez
pas, mais prenez garde à eux, c’est tout. N’y prêtez aucune attention,
parce
que vous voyez où ça mène.
21.
Où
était Jésus entre Son–où était Jésus entre Son baptême et les trois ans
de Son
ministère?
150 Très
bien. Jésus, aussitôt baptisé, Il est
sorti de l’eau, et l’Esprit l’a emmené dans le désert où Il a passé
quarante
jours et quarante nuits, pour être tenté par le diable. Et Il a été
tenté,
pendant quarante jours et quarante nuits. Il a jeûné, et Il est sorti,
le
diable L’a tenté, lorsqu’Il est sorti de Son jeûne. Il a résisté au
diable au
moyen de la Parole de Dieu, et Il est entré dans Son ministère et a
prêché
pendant trois ans et demi, selon les Écritures.
151 Regardez.
Bien longtemps avant, dans
Daniel, Dieu avait parlé et avait déclaré qu’Il allait prêcher pendant
trois
ans et demi et que, pendant cette période-là, Il allait être retranché
pour
être un sacrifice. Exactement. Dès la fondation du monde Il avait été
destiné à
cela. C’est vrai.
152 C’est
dans Matthieu, chapitre 4, que vous
trouverez ça. Si ça ne correspond pas tout à fait à ce que vous croyez,
ça ne
fait rien.
Bon, celle-ci, je ne, voyons un peu
ce que... Oh, oui. “Où sont les...?” Nous avons répondu à ça tout à
l’heure.
“Où sont les morts?”
22.
À une
certaine époque–à une certaine époque, étions-nous tous blancs ou tous
de
couleur? Sur lequel des deux la malédiction a-t-elle été prononcée?
153 Bon,
pour autant que nous sachions – je ne
saurais vous dire si Adam et Ève étaient–étaient blancs, ou bruns, ou
jaunes,
ou noirs. Je ne saurais vous le dire. Personne d’autre ne le sait, je
pense
qu’il n’y a que Dieu seul; Il était là-bas. Or, dans... Au départ, nous
parlions tous une seule langue et nous formions un seul peuple, et ce,
jusqu’à
la tour de Babel, la confusion. Et là leurs langues se sont
diversifiées. Pour
autant que nous sachions, jusque-là ils ne formaient tous qu’un seul
peuple.
Ils se sont alors séparés et se sont dispersés dans différentes parties
du
monde.
154 Et
quelques-uns, considérez, par exemple,
un animal, considérez n’importe quelle vie qui tire sa nourriture d’une
certaine terre, elle prendra la couleur de celle-ci. S’il y a un
chasseur ici,
suivez-moi pendant quelques instants. Allez au Mexique, et prenez un
coyote;
allez plus haut, en Arizona, et prenez un coyote; allez dans le nord,
et prenez
un coyote pareil; et regardez les trois couleurs. Prenez un monstre de
gila qui
a grandi au Texas, et prenez-en un qui a grandi en Arizona, et regardez
la
différence entre les deux (voyez?), c’est à cause de la terre dont ils
se
nourrissent. Voyez?
155 Maintenant
le Chinois, le Chinois est
une–une personne de race jaune, le Japonais et tout, et le Chinois.
L’Éthiopien, lui, est un–est un homme de couleur, ou, le Noir que nous
avons
maintenant. Lui, il était allé dans ces pays du continent noir, là-bas.
156 Et
ils–et–et ils étaient, et puis les
hommes blancs, eux, c’étaient les Anglo-Saxons, c’est ce que nous
sommes. Et,
ceux de–ceux d’ici, que nous appelons les blancs, eux, ils sont issus
de
l’Angleterre, qui s’appelait autrefois “Terre des Anges”. Parce qu’ils
étaient
blancs, et blonds, et ainsi de suite; et ils se sont dispersés en
Irlande, en
Norvège, et ainsi de suite, par là. Et tous ceux-là sont issus des
Anglo-Saxons.
157 Or,
lequel a été le premier, et lequel a
été maudit? Aucun d’eux. Je sais où vous voulez en venir. Vous voulez
en venir
à Cham, – je sais dans quelle direction vous allez, – au peuple de Cham.
158 Bon,
il y avait Cham, Sem et Japhet. Or
Cham, lui–lui, il n’a pas cherché à cacher la nudité de son père, au
contraire
il a ri et s’est moqué de lui. Et Dieu a prononcé une malédiction sur
Cham,
parce qu’il avait regardé la nudité de son père et qu’il n’avait pas
cherché à
couvrir la honte de celui-ci. Sem et Japhet, eux, ils ont marché à
reculons et
ont jeté leur manteau sur leur père, pendant qu’il était couché là, nu.
Et
alors Dieu a dit à Cham que sa postérité allait servir celle des autres.
159 Or,
si vous avez pensé que c’était une
malédiction de prendre une couleur foncée, eh bien, alors, le Juif
aussi, il
est de couleur foncée. Si vous pensez que c’est le–le, ce que nous,
nous
appelons l’homme de couleur, ou le Noir de ce pays, celui qu’il y a ici
maintenant, alors vous devriez aller en Inde. Les Indiens sont de
couleur
beaucoup plus foncée que les Noirs. Je suis allé dans leurs pays, à
tous les
deux. Il y a le–l’Éthiopien, là-bas, celui qui est de l’Éthiopie, et
l’Africain, l’homme de couleur tel que nous le connaissons aujourd’hui.
Ils
sont là-bas, et beaucoup d’entre eux sont encore primitifs, dans leurs
tribus.
À peu près comme nous, nous étions, quand Jésus est venu.
160 Les
blancs étaient tout aussi primitifs
que les–les indigènes de l’Afrique le sont maintenant, peut-être encore
plus.
Souvenez-vous, il y a deux mille ans, nous étions des membres de tribu,
nus,
là-bas, en train de chasser, munis d’un–munis d’un arc et de flèches,
et d’une
hache de pierre (c’est tout à fait vrai), nous les Anglo-Saxons. C’est
tout à
fait vrai. Qui est quoi, alors?
161 Je
vais vous dire qui est celui qui est
maudit aujourd’hui : celui qui refuse Jésus-Christ. Et c’est tout.
Celui qui
accepte Jésus-Christ est béni.
162 Alors,
vous ne pouvez pas dire... J’irais
chercher l’Esquimau, là-haut dans son pays. Il est là-bas; et cet homme
est de
couleur plus foncée que les gens de couleur que nous avons ici. J’irais
en Inde
chercher les Indiens; et lui, il est, il n’est pas un homme de couleur,
il est
vraiment noir. Il est plus noir que, de couleur vraiment très noire. Et
il est
ce qu’on appelle, et il est Indien. Bon, maintenant, en Afrique, on
trouve
certains Africains qui sont, certains sont de couleur claire, certains
sont presque
comme blancs, et certains ne sont–sont pas tous pareils.
163 Vous
allez voir les Juifs; vous dites que
tous les Juifs ont–ont le teint foncé. Le Juif est brun de peau, oui,
mais j’en
ai vu beaucoup qui avaient les cheveux roux et les yeux bleus, la peau
claire.
Voyez?
164 Donc,
voici toute l’affaire : nous sommes
tous issus d’un même arbre. C’est vrai. Et nous avons tous été maudits,
à cause
de la chute qu’il y a eu en Éden. Et nous sommes tous sauvés grâce à la
résurrection de Jésus-Christ. Voilà, c’est ça. Alors, il n’y a là
aucune
malédiction. Ceux qui sont maudits, ce sont ceux qui ne croient pas;
ceux qui
sont bénis, ce sont ceux qui croient. Donc, ce n’est ni l’un ni
l’autre, mon
ami, ni l’homme noir, ni l’homme de couleur, ni l’homme blanc, ni
l’homme
jaune. Alors, si l’homme noir a reçu une malédiction en étant noir,
alors,
l’homme jaune n’est maudit qu’à moitié. Et donc–et donc l’homme
jaune... Et
puis l’homme brun, il n’est maudit qu’aux deux tiers. Voyez? Et puis
l’Africain, lui, il est maudit à peu près aux quatre cinquièmes. Et
dans ce
cas, celui qui est vraiment maudit, c’est l’Indien, je suppose. Oh! la
la! Quel
non-sens! Non! Ce sont les climats différents et ces choses, là où ces
gens ont
vécu. Ils sont devenus, se sont éloignés et ont formé des tribus, et
ils sont
différents.
165 Regardez
les Amérindiens. Beaucoup d’entre
eux, les Navajos, là-bas, sont une race de gens au teint plus foncé que
les
gens de couleur que sont les Éthiopiens de chez nous, de ce pays – les
Navajos.
Les Apaches sont, eux, ils sont de–de couleur plutôt cuivrée. Et les
différentes tribus. Voyez? Donc, voilà, parmi les Indiens, ici même, on
trouve
ceux qui sont noirs, et presque, et le Cherokee, qui est presque aussi
pâle que
nous, le Cherokee. Et ça, c’est ici même, dans ce pays, les différentes
tribus.
Donc, vous voyez, vous ne pouvez pas dire qu’ils sont à moitié maudits,
qu’ils
sont entièrement maudits. Ils n’ont pas reçu une malédiction en étant
noirs.
Ils n’ont pas reçu une malédiction en étant jaunes, ni en étant blancs.
La
seule malédiction que je connaisse, c’est l’incrédulité à l’égard de
Jésus-Christ. (Je sais, Donny, je dois terminer, c’est l’heure, mais il
me
reste deux questions.)
23.
Bon,
alors. Où sont les tribus dispersées, les dix tribus égarées d’Israël
(Genèse
44.49), la tribu, de Joseph, dispersées dans de nombreuses nations?
Siméon,
Lévi, qui n’avaient pas de patrie à eux, mais qui ont été dispersés
parmi les
dix autres tribus... Où sont les dix tribus? Peut-on les repérer?
166 Oui
monsieur! On peut les repérer.
Géographiquement, on peut les repérer, dans la Bible. Dieu nous dit là
à quel
endroit ils seront dans les derniers jours, et quelle sera leur fin. Et
maintenant même – je viens de lire un livre qui dit que là-bas, en
Israël, où
étaient ceux-là, dont il avait dit que l’un d’eux avait plongé les
pieds dans
l’huile, et tout – Dieu les a tous situés, ils sont installés à
différents
endroits. Et les Juifs retournent tous en Palestine, c’est là que Dieu
a promis
qu’ils seraient dans les derniers jours.
24.
Une
dernière question : Puis-je ne puis croire que
Dieu ait envoyé
des guerres pour exercer un jugement. Je ne puis croire que Dieu envoie
des
guerres pour exercer un jugement. (Écoutez bien pendant un
instant.) Je ne crois pas, comme certains le
croient,
que ce soit Dieu qui ait placé l’épée dans les mains de ces hommes
sanguinaires, de l’ancienne Babylone jusqu’à Hitler, pour qu’ils
fassent périr
des femmes et des enfants innocents parmi, avec les coupables, afin que
soit
exécuté le jugement de Dieu. Que Dieu... mon Dieu d’amour ne ferait
pas–mon
Dieu d’amour (pardon!) ferait pas
cela. Les guerres sont l’œuvre de Satan. S’il vous plaît confirmer
cette
confusion.
167 Bon,
un instant. Celle-là, je ne l’ai lue
que tout à l’heure, c’est pour ça que je l’avais placée en dessous.
Bon, je
veux que vous restiez bien silencieux pendant une minute. Maintenant
présentons
ceci clairement, parce que c’est toute une question. Et il faut
l’aborder avec
respect. Tout de suite après, si vous pouvez nous supporter encore un
peu...
168 Je
sais qu’il se fait tard, mais c’est...
Souvenez-vous : mais qu’importe? Allons, avant vous alliez danser toute
la
nuit, et vous trouviez ça tout naturel (voyez?), vous recherchiez les
choses de
ce monde – mais quand il s’agit de la Parole de Dieu, si on dépasse
vingt
minutes, frère, il faut changer le prédicateur. Voyez? C’est honteux.
Paul a
prêché toute la nuit. J’ai prêché, ici même, il y a des années, à deux
et trois
heures du matin. Et les gens marchaient de long en large ici dans la
salle, ils
louaient Dieu – à deux ou trois heures du matin. On voyait des gens,
jusqu’à
une douzaine à la fois qui recevaient le Saint-Esprit – à deux et trois
heures.
Que Dieu ait pitié. Je voudrais tant revoir ça. Mais nous ne pouvons
pas :
cette époque-là est passée. Cette époque-là est passée; le jour est sur
son
déclin maintenant. La nuit approche, et les gens, c’est : “Eh bien, ça
ne nous
dit plus rien, alors... Oh, si seulement ils pouvaient s’arrêter, pour
qu’on se
prépare à rentrer.” Et, c’est à peu près–à peu près comme ça que ça se
passe.
169 Attendez,
je veux vous demander quelque
chose, là. Maintenant je ne vais pas être d’accord avec vous, frère ou
soeur,
je ne sais. Quelqu’un l’a placée ici ce matin. Je l’avais dans ma
Bible, et je
l’ai regardée tout à l’heure. Bon, mais d’une façon amicale, et là, je
ne veux
pas que–que–que vous vous fâchiez contre moi. Je veux que vous écoutiez
attentivement.
170 Et,
souvenez-vous, j’aimerais beaucoup
être d’accord avec vous là-dessus, sur votre décision là-dessus, tout
autant
que j’aurais aimé être d’accord avec cette femme, cette pauvre femme,
tout à
l’heure. Elle disait qu’elle et son mari, ils s’étaient mariés trop
vite; mais
voilà, c’était fait. Mais elle a fait son vœu; elle doit y rester
fidèle. Voyez?
Et là, moi, je dois rester fidèle à la Parole de Dieu.
171 Mais,
alors : “Je ne crois pas,” mais
d’abord, “je ne puis croire que Dieu envoie des guerres pour exercer un
jugement.” Eh bien, mon ami, il n’y a qu’une chose qui cloche dans
votre
croyance, c’est qu’elle est contraire aux Écritures. Oui, Dieu envoie
des
guerres pour exercer un jugement. C’est vrai. Je–je vais vous donner la
référence biblique; je ne vais pas juste lire ça, puis vous dire ce
qu’il en
est.
172 Regardez.
“Je ne crois pas, comme certains
le croient, que ce soit Dieu qui ait placé l’épée dans les mains de ces
hommes
sanguinaires, de l’ancienne Babylone jusqu’à Hitler, pour qu’ils
fassent périr
des femmes et des enfants innocents.” Si je vous disais, au Nom de
Jésus-Christ, que oui, Il l’a fait, et que je le prouvais par la Bible,
à ce
moment-là est-ce que vous le croiriez (voyez?), qu’Il l’a fait, ou, et
qu’Il le
refera? Très bien. Écoutez ceci.
173 Je
ne sais. C’est peut-être mon ami
intime, assis ici, que sais-je; en effet, Dieu, qui est dans le Ciel,
sait que
je ne reconnais même pas cette écriture. Je ne saurais vous dire. Mais
je veux
que vous écoutiez ceci. “Mon Dieu est un Dieu d’amour, mon Dieu est
amour, et
Il ne ferait pas cela. Les guerres viennent de Satan.” Je suis d’accord
avec
vous que les guerres viennent de Satan. C’est exact. Il est prince de
ce monde.
Tous les royaumes et toutes les nations de ce monde appartiennent à
Satan. Dieu
l’a dit dans Sa Parole. Satan a dit : “Ils m’appartiennent.” Jésus a
admis
qu’ils lui appartenaient. Mais Il va hériter de tout ça dans quelque
temps,
Jésus va en hériter. À ce moment-là nous n’aurons plus de guerres. Mais
Dieu
permet à Satan de faire ça, pour infliger des châtiments et pour
exercer des
jugements.
174 Maintenant
je veux vous demander quelque
chose, juste avant de commencer. Je veux que vous me donniez une
réponse à ceci
pour voir. Si vous ne croyez pas que Dieu est un... Vous avez dit qu’Il
ne
ferait pas ces choses. D’abord, pour commencer comme il faut.
Maintenant,
accordez-moi toute votre attention, si vous le pouvez. Écoutez.
Pourquoi est-ce
que Dieu Lui-même a châtié Son propre Fils et L’a fait mourir sur la
croix?
Dieu a tué Son propre Fils, à la croix. “Il a plu à Dieu, dit
l’Écriture, de Le
frapper, de Le meurtrir, de Le blesser.” Dieu a agi ainsi envers Son
propre
Fils, afin de vous sauver, vous.
175 Je
veux poser la question, au sujet de
Saül, le grand roi d’Israël. Dieu lui avait dit d’aller prendre le roi
Og et
tout ce qui lui appartenait, et d’exterminer tout ce qu’il y avait
là-bas :
hommes, femmes, enfants, tout. Et Saül, – il fallait même tuer le
bétail, ne
rien laisser vivre, – et Saül est allé là-bas, et il a épargné une
partie du
bétail. Et Dieu lui a retiré l’Esprit, Il s’est séparé de lui; il est
devenu l’ennemi
de Dieu.
176 Pourquoi
est-ce qu’Élie s’est placé là,
quand Dieu avait remis le vieux roi Og entre les mains d’Achab? Il
avait dit à
Achab de tuer ce roi. Achab a refusé de le faire. Et le prophète Élie a
ordonné
à une sentinelle de... Il a dit : “Frappe-moi avec ton épée.” Il a
reconnu
qu’il était prophète.
Il a dit : “Je ne ferai pas ça.” Et
il a perdu la vie. Ensuite, il a dit à quelqu’un d’autre, il a dit :
“Frappe-moi.” Cet homme l’a frappé avec l’épée et lui a fait une
entaille.
Alors il s’est déguisé, et il s’est placé là. Et voici Achab qui
arrive, dans
son char.
Il a dit : “Qu’est-ce que–qu’est-ce
que tu fais ici?”
Il a dit : “Eh bien, j’avais été
placé en sentinelle; on m’avait confié la garde d’un homme. Il m’a
frappé et
s’est enfui.” Il a dit : “Je l’ai laissé échapper. Et on m’avait dit
que si je
le faisais, je devrais le payer de ma vie.”
Il a dit : “Eh bien, tu devras le
payer de ta vie.”
Il a ôté le bandeau dont il s’était
couvert, et il a dit : “AINSI DIT LE SEIGNEUR, parce que tu n’as pas
fait
mourir ce roi, là-bas, tu le paieras de ta propre vie.” Pas vrai? C’est
l’exacte vérité.
177 Permettez-moi
de vous lire quelque chose,
ici. Que dire de Babylone, quand Josué, quand Dieu a envoyé Josué
là-bas, et
qu’il a exterminé petits bébés, enfants et tout le reste. Et s’il
laissait la
vie à quoi que ce soit... Il a tout anéanti. Les petits bébés
Philistins, il
les a fait périr, tout simplement. Dieu le lui avait ordonné. Et s’il
ne
l’avait pas fait, ç’aurait été au prix de sa propre vie.
178 Dans
quelques minutes, je vais éclaircir
tout cela. Dieu est amour, l’amour parfait; mais vous ne savez pas ce
qu’est
l’amour. C’est pourquoi aujourd’hui les gens ne savent pas ce qu’est la
foi.
Dieu est amour. Il doit demeurer dans l’amour; Il est souverain à
l’égard de Sa
Parole. Et Il doit tenir Sa Parole. Il doit vous aimer. Et, s’Il vous
aime, Il
se doit de vous protéger.
179 Écoutez
bien. Vous parlez d’enfants qui
ont été abattus. Un instant, je vais vous montrer quelque chose ici,
dans les
Écritures, ce que–ce que dit la Bible ici, sur ces choses. Prenons ce
passage,
ici, et écoutez ceci un instant, voyons ce que Dieu a dit. Maintenant,
je lis
dans Ézéchiel, chapitre 9, si vous voulez le noter. Écoutez bien :
Puis
il cria d’une voix forte à mes oreilles :
Approchez, vous qui devez châtier la ville, chacun son instrument de
destruction à la main! (Or,
c’est Dieu qui parle, là.)
Et
voici, six hommes arrivèrent par le chemin de la
porte supérieure du côté du septentrion, chacun son instrument de
destruction à
la main. Il y avait au milieu d’eux un homme vêtu de lin blanc, et
portant une
écritoire à la ceinture. Ils vinrent se placer près de–près de l’autel
d’airain.
La
gloire du Dieu d’Israël s’éleva des chérubins sur
lesquels elle était, et se dirigea vers le seuil de la maison; et il
m’appela,
appela l’homme vêtu de lin blanc, et portant l’écritoire à la main, ou,
à la
ceinture.
Alors...L’Éternel
(E
majuscule-t-e-r-n-e-l,
c’est-à-dire Dieu)... L’Éternel lui dit :
Passe au milieu de la ville, au milieu de Jérusalem,...fais une marque
sur le
front des hommes qui soupirent et qui gémissent à cause
des...abominations qui
s’y commettent.
Et,
à mes oreilles, il (l’Éternel) dit aux autres : Passez après lui dans la ville,
et frappez; et que
votre œil soit sans pitié, et n’ayez point de miséricorde! (Regardez
bien,
verset 6.)
Détruisez,
tuez, détruisez les vieillards, les
jeunes...vierges, les enfants...les femmes (C’est
Dieu qui l’a dit. C’est
Dieu qui l’a dit.);
mais n’approchez pas de quiconque aura sur
lui la marque; et il commença par
les
anciens...par le sanctuaire, et il commença
par les anciens...étaient devant la maison.
180 Autrement
dit, Dieu a dit à ces gens :
“Maintenant, attendez; Je vais d’abord faire une marque sur les gens,
sur ceux
qui sont réellement consacrés à Dieu.” Et Il a fait une marque sur eux.
Il a
dit : “Maintenant”, aux hommes qui avaient l’instrument de destruction,
“passez, et soyez sans pitié, n’épargnez ni femmes ni enfants, ni rien;
au
contraire, tuez, détruisez tout.”
181 Dans
le monde antédiluvien, au moment de
la destruction, alors qu’il y avait sur terre des millions de millions
et des
milliards de personnes, Dieu y a envoyé un vieux prédicateur de la
sainteté,
qui s’appelait Noé, et celui-ci a prêché pendant cent vingt ans, et il
a dit
aux gens d’entrer dans l’arche, et que tous ceux qui n’entreraient pas
dans
cette arche allaient périr. Et le Dieu Tout-Puissant, qui avait
autorité sur
les cieux, a fait descendre les pluies qui ont exterminé des millions
de
vieillards, de jeunes gens, de petits bébés, qui ont été asphyxiés et
ont péri
dans les eaux.
182 Le
Dieu Tout-Puissant – et Il est le Dieu
d’amour, parfaitement. C’est vrai. Forcément. Il aime les Siens. Il
faut qu’Il
soit souverain à l’égard de Sa Parole. Donc, non pas pour soulever une
controverse, mais je ne suis pas d’accord avec vous. Votre Dieu
d’amour...
183 Il
n’y a pas longtemps, je parlais –
c’était peut-être à un témoin de Jéhovah. Cet homme est venu me trouver
et a
dit : “Frère Branham, vous n’allez pas me dire que vous croyez qu’il
existe un
enfer qui brûle?”
J’ai dit : “Ce n’est pas moi qui le
dis, c’est la Bible qui le dit.”
Il a dit : “Vous n’allez pas me dire
qu’un tendre Père Céleste brûlerait Ses enfants? Voyons,” il a dit,
“vous ne
brûleriez pas votre enfant.”
J’ai dit : “Non monsieur!
– Eh bien, alors, si vous, qui êtes
un humain, vous avez assez d’amour pour ne pas faire ça (vous voyez
comme les
gens peuvent déformer la chose), si vous, qui êtes un humain, vous avez
assez
d’amour pour ne pas faire ça, pensez-vous qu’un tendre Père Céleste
ferait
périr Ses enfants?”
184 J’ai
dit : “Jamais!” Il ne fait pas périr
Ses enfants, mais vous êtes l’enfant de qui? Dieu ne fait pas périr Ses
enfants. Il fait tout ce qu’Il peut pour les faire entrer. Mais c’est
le diable
qui a été mis en liberté, qui va faire périr ses enfants à lui. Donc,
Dieu le
permet à Satan, c’est tout.
185 Regardez.
Qui est-ce qui a permis au mal
de venir, et à Satan de détruire le serviteur de Dieu le plus parfait
jusqu’à
Jésus-Christ, – ses enfants et tous ses biens, – Job? Dieu a envoyé un
esprit
malin là-bas, et celui-ci a fait périr tous les enfants de Job, et
tout, juste
pour mettre Son serviteur à l’épreuve. Pas vrai? Bien sûr.
186 Oh,
je pourrais me tenir ici pendant une
heure, à vous montrer ces choses, mon frère, ma soeur, c’est vrai, qui
que vous
soyez. L’Esprit de Dieu, là, ne confondez surtout pas. Les guerres sont
des
jugements exercés par Dieu sur les nations. Les destructions sont
envoyées par
Dieu. La Bible le dit. Et Dieu est un Dieu d’amour, mais Dieu est aussi
un Dieu
de colère. Et vous n’allez pas comparaître devant un tendre... C’est
justement
ça qui a fait du tort à l’église aujourd’hui.
187 “Un
tendre Père, bien sûr qu’Il ne m’en
voudrait pas si je faisais ceci.” Si vous désirez le faire, allez-y,
autant le
faire, parce que l’amour de Dieu n’est pas en vous, dès le départ.
188 Nous
sommes sur le point de prendre la
communion, dans un instant, et je tiens à ce que ceci pénètre
profondément en
vous. En fait, ce qu’il y a dans votre cœur, c’est ce qui produira, ce
qui fera
de votre vie ce qu’elle est. La sorte de semence que vous mettez en
terre
produira selon son espèce. Comment pouvez-vous, à partir d’un–d’un
plant de
maïs, produire un plant de–de stramoine? Vous ne pouvez pas, pas plus
que vous
pouvez, à partir d’un grain de maïs, produire un grateron. Vous ne
pouvez pas
produire cela, parce que ce sont deux natures totalement différentes,
deux vies
totalement différentes. Là... vous–vous pourriez prendre une semence de
stramoine
et une semence d’oignon, et la ressemblance entre les deux est
tellement
parfaite que même le meilleur homme dans ce domaine ne pourrait pas les
distinguer. C’est vrai. La seule chose à faire, c’est de les planter.
Elles ont
toutes les deux la même apparence naturelle, mais plantez-les. Toutes
les deux,
elles produiront; l’une, ce sera de la stramoine, et l’autre, ce sera
un
oignon. C’est tout à fait exact.
189 Vous
dites : “Pourquoi donc, qu’est-ce qui
fait que cette semence – qui a exactement la même apparence que
celle-ci –
produit une sorte de vie différente?” C’est parce que c’est cette sorte
de vie
là qui est en elle.
190 De
même, un homme ou une femme qui fait
profession d’être Chrétien, mais qui ne mène pas cette sorte de vie par
la
grâce de Dieu, c’est de la stramoine. Vous les reconnaîtrez à leurs
fruits. Si
cette chose-là est dans votre cœur, elle rend témoignage de ce que vous
êtes
ailleurs. Si c’est quelque chose de mauvais, cela rend témoignage que
vous êtes
ici, en bas. Quand vous mourrez, il vous faudra tout simplement aller
là où
vous êtes déjà.
Si vous êtes bon, et que vous
êtes–vous êtes bon parce que Dieu a fait de vous quelqu’un de bon et
que vous
êtes né de nouveau, alors vous irez forcément dans cette direction-là,
parce
que cette Vie devra rendre témoignage de ce lieu. Si elle rend
témoignage
d’ici, c’est là que vous irez. Si elle rend témoignage de là-bas, c’est
là que
vous irez. Voyez?
191 Ce
que vous êtes ici... Maintenant retenez
bien ceci. Je vais terminer. Mais ce que vous êtes ici est une
indication que
vous êtes quelque chose d’autre quelque part. Vous avez toujours désiré
vous
trouver dans la perfection, vous, les Chrétiens. Il existe une
perfection, et
cette perfection ne se trouve pas dans cette vie. Mais chaque homme et
chaque
femme ici qui sont Chrétiens, chaque personne ici qui est Chrétienne en
ce
moment, est déjà glorifiée dans la présence de Jésus-Christ. Et vous
avez un
autre corps. Vous ne l’aurez pas à un autre moment, vous l’avez
maintenant
même. Maintenant même, un autre corps vous attend – si celui-ci devait
périr.
Pouvez-vous concevoir cela. Étudiez cela pendant un instant.
192 Savez-vous
que nous pourrions tous nous
retrouver dans l’éternité avant que le soleil se lève demain matin? Or,
si vous
n’êtes pas Chrétien, mon ami, il n’y a qu’une chose qui vous attend.
Vous
devrez forcément prendre cette direction-là. Si vous êtes sur ce
chemin-là,
vous devrez suivre ce chemin-là. Si vous êtes un grain de maïs, vous
produirez
du maïs. Si vous êtes un grateron, vous produirez une vie de grateron.
Maintenant, si vous avez fait partie d’une église quelque part, où on
ne sait
pas et où on n’enseigne pas, et où on se contente de vous laisser venir
à
l’église et être un membre d’église... Vous dites : “Eh bien, Frère
Branham,
mon église enseigne que nous devons accepter Jésus-Christ comme notre
Sauveur
personnel. Si nous croyons au Seigneur Jésus-Christ, nous sommes
sauvés.” Si
votre vie ne correspond pas, vous n’y êtes pas encore.
193 Savez-vous
que le diable croit que Jésus-Christ
est le Fils de Dieu? Savez-vous que Jésus a publiquement... Savez-vous
que le
diable a publiquement confessé que Jésus était le Fils de Dieu? Et il
n’était
pas sauvé. Et il n’aurait pas pu être sauvé; il est le diable. Donc, de
confesser que Jésus est le Fils de Dieu...
194 Savez-vous
que tous ces pharisiens et
sadducéens, tous, ils étaient des gens très pieux et très religieux;
dans leur cœur
ils aimaient Dieu – c’est ce qu’ils pensaient; mais ils n’ont pas vu ce
qu’il
en était du Fils de Dieu, cet Être innocent, ils n’ont pas reconnu
qu’Il était
le Fils de Dieu. Pourtant ils étaient très religieux (pas vrai?), très
pieux,
très savants, ils connaissaient la Bible mieux que tous nos érudits
d’aujourd’hui. Eux dont la seule activité, de génération en génération,
était
de rester là à servir le Seigneur.
195 Maintenant,
regardez ce que dit l’Écriture
: “Dans les derniers jours...” À vous, mes amis Chrétiens, soit dit
avec
l’amour Divin, la Bible déclare : “Dans les derniers jours, les hommes,
il
viendra un temps où les hommes seront emportés, enflés d’orgueil,
aimant le
plaisir plus que Dieu.” Or, n’est-ce pas la vérité?
196 Une
certaine personne – qui est dans cette
salle – est allée à une fête du Nouvel An l’autre soir; et au sous-sol
on
servait des boissons gazeuses, on se divertissait et on se conduisait
n’importe
comment – des soupers où on sert des glaces et tout. Les églises
organisent
même des soirées dansantes. Exactement ce que Dieu leur a dit de ne pas
faire,
ils le font au Nom de Christ. Voici ce que Jésus a dicté à l’Église, et
ça, eux
ils le nient. Jésus – voici Ses dernières paroles, Sa volonté et le
testament
qu’Il a laissé à l’Église : “Allez par tout le monde; prêchez
l’Évangile à
toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé;
celui qui
ne croira pas sera condamné. (Peut-être que votre pasteur s’est arrêté
là dans
la lecture de ce passage. Mais voici le reste.) Voici les signes qui
accompagneront ceux qui auront cru : en Mon Nom, ils chasseront les
démons; ils
parleront de nouvelles langues; s’ils saisissent des serpents ou
boivent
quelque breuvage mortel, cela ne leur fera point de mal; et s’ils
imposent les
mains aux malades, les malades seront guéris.”
197 Or,
voilà ce que Jésus leur a dit de faire
en Son Nom. Ils nient l’existence de cela; au contraire, ils vont faire
exactement l’inverse de ce qu’Il a dit, ils enseignent que c’est du
passé,
qu’il n’y a rien de vrai là-dedans, et ils enseignent la théologie au
lieu de
cela. Oh, ce n’est pas étonnant que nous soyons dans l’état où nous
sommes.
198 Écoutez,
je vais vous dire quelque chose,
mon frère. Quand l’Église en sera au point où elle, où chacun de ses
membres
sera rempli à bloc du Saint-Esprit et de puissance, c’est alors que ces
signes
les accompagneront.
199 Je
pense à saint Paul, là-bas sur l’île,
après qu’il avait fait naufrage. Dieu lui avait donné une vision. Au
bout de
quatorze jours et quatorze nuits... Ils avaient perdu toute espérance
d’être
sauvés, le petit navire était ballotté, comme ça, et ils pleuraient –
quatorze
jours et quatorze nuits. Paul était descendu et il avait eu une vision.
Il
était remonté, et il avait dit : “Prenez courage, car l’Ange de Dieu,
dont je
suis le serviteur, m’est apparu et m’a dit : ‘Ne crains point, car il
faut que
tu comparaisses devant César. Et voici, Dieu t’a donné tous ceux qui
naviguent
avec toi.’”
200 Quand
le navire s’est échoué sur le rivage
et qu’ils se sont retrouvés là, au milieu des indigènes, Paul ramassait
un tas
de broussailles, et il est allé les mettre au feu. Et là-dedans il y
avait un
grand serpent, qui lui a saisi la main. Alors ce serpent a injecté du
venin,
là, dans sa main, ce qui l’aurait tué en moins d’une minute. Les
indigènes ont
dit : “Regardez bien cet homme tomber raide mort; en effet, il mourra
d’ici une
minute.”
201 Il
était enchaîné pour avoir prêché
l’Évangile. C’étaient les gens religieux qui l’avaient lié de chaînes.
Les
meilleures églises de cette époque-là, c’étaient elles qui l’avaient
lié de
chaînes. S’il n’y avait pas la Constitution des États-Unis, elles
feraient la
même chose aujourd’hui. C’est vrai! Attendez seulement qu’il–qu’il y
ait une
rupture un peu plus marquée.
202 Un
serpent lui a saisi la main. Maintenant
regardez bien. Paul n’a pas eu peur. Il a dit : “Jésus-Christ a dit :
‘S’ils
saisissent des serpents, ils ne leur feront pas de mal.’” Donc, il
s’approche,
le secoue dans le feu; il retourne chercher des broussailles et en
remet au
feu; il se retourne, se réchauffe le dos, se retourne de l’autre côté,
se
réchauffe les mains. Les indigènes disent : “Pourquoi est-ce qu’il ne
meurt
pas? Pourquoi est-ce que cet homme-là ne meurt pas? Il devrait tomber
raide
mort.” Mais Paul était tellement rempli du Saint-Esprit (vous voyez ce
que je
veux dire?), tellement rempli du Saint-Esprit que le venin ne l’a pas
empoisonné.
203 Oh,
frère, présentez-moi une église
remplie du Saint-Esprit. Dieu fera en une seule année ce que tous les
théologiens ne sont pas arrivés à faire en deux mille ans. Attendez
seulement
que l’onction de l’Église ait vraiment tout son impact chez ce petit
“reste”
fidèle. Après que les portes des nations auront été fermées, oh, alors
Dieu
oindra une Église. “Que celui qui est souillé se souille encore. Que le
juste
pratique encore la justice, et que celui qui est saint se sanctifie
encore.”
Alors Dieu oindra l’Église de la Puissance de Dieu, et des choses se
produiront. Non seulement à ce moment-là, mais Il le fait maintenant.
204 Observez
les signes et les prodiges.
Ensuite les gens promènent les regards et ils disent : “Eh bien, c’est
du
diable.” Oh, c’est parce qu’ils ne comprennent ni les Écritures, ni la
puissance de Dieu. C’est ce qui leur fait dire ça.
205 Que
le Seigneur vous bénisse. Je suis
désolé de vous retenir jusqu’à cette heure tardive. Il est très rare
que je le
fasse, mais je ne suis pas parmi vous très souvent. Alors, il se peut
que je
n’aie pas répondu à ces questions comme vous l’auriez pensé et tout, –
ces
deux-là, j’y ai répondu ce matin, – si je ne l’ai pas fait, que Dieu
vous
bénisse. Et mon–mon intention n’était pas de–de vous vexer ni rien.
Seulement
il fallait que je dise ce que... Vous me posez la question. Moi, je
fais de mon
mieux pour vous donner la réponse. C’est vrai.
206 Or,
je ne m’y connais pas tellement dans
ces choses, peut-être. Je ne sais rien de ce que je devrais savoir.
Mais il y a
une chose que je sais, c’est que Jésus-Christ nous sauve du péché, nous
garde
du péché, et nous donne Sa puissance et Ses bénédictions.
207 Et
si vous remarquez ce qui se passe tout
autour, que vous observez ce qui arrive aux gens qui reçoivent la
prière...
Regardez, dans les nations, et regardez les signes et les prodiges qui
se
produisent partout. Et regardez l’heure qui vient. Comme ces deux
branches, –
ce sur quoi nous avons prêché ici, il y a quelque temps, – elles sont
sorties
dans la Genèse, et là elles rendent partout témoignage de ce qu’elles
sont.
L’incroyant, très fondamentaliste et très digne dans l’exercice de sa
religion,
mais qui a l’apparence de la piété, alors qu’il renie ce qui en fait la
force.
Et l’Église, qui continue à avancer.
208 Que
le Seigneur Jésus bénisse chacun de
vous, voilà ma prière. Et puissiez-vous mener une vie telle que vous
deveniez
si accablés – puisse Dieu vous amener à devenir si accablés à cause des
âmes
perdues, au point de ne pouvoir trouver le sommeil ni le jour ni la
nuit.
Puisse Dieu accorder au Branham Tabernacle ici, ce privilège, de
devenir si
accablé – même si vous ne poussez jamais de cris, même si vous ne
faites jamais
rien d’autre, peu m’importe, pourvu que vous soyez si accablés à cause
des âmes
perdues, au point de ne pouvoir trouver le sommeil. Quand vous en
arriverez là,
alors le monde se glissera dans ce lieu pour qu’on prie pour eux (c’est
vrai!),
le monde entrera ici pour qu’on prie pour eux. Vous serez connus
partout. Que
Dieu nous donne de Son Esprit, qu’Il nous rende humbles, qu’Il nous
brise, et
qu’Il nous remplisse à bloc de la puissance de Dieu, afin de guérir les
malades, de chasser les démons, d’accomplir de grands signes et des
prodiges.
Quand vous imposerez les mains aux malades et que vous demanderez cette
bénédiction, sans aucune hésitation dans votre cœur, vous croirez que
Dieu va
l’accomplir. Observez le patient, il commencera à se rétablir.
Pourquoi? Le mal
est sorti de lui. Tout comme l’arbre qui était là, que Jésus a regardé,
et qui
ne portait aucun fruit. Il a dit : “Sois maudit.”
Vingt-quatre
heures plus tard, ils sont passés par là. Pierre a dit : “Regarde, les
feuilles
ont déjà commencé à se dessécher.” Il était arrivé quelque chose. La
Parole de
Dieu avait été prononcée.
209 Jésus
a dit : “Ayez foi en Dieu. Car si
vous dites à cette montagne de s’ôter de là, et que vous ne doutez pas,
elle
vous obéira.” Ayez foi en Dieu.
Maintenant c’est le moment de la
communion. Pendant que nous inclinons la tête, je vais demander que
quelqu’un
vienne au piano.
210 Seigneur,
c’est maintenant l’heure, le
moment où peut-être que les hommes et les femmes, Seigneur, partout
dans le
monde, verront que la grande heure du jugement approche, où Dieu jugera
toutes
les nations dans leur situation politique. Partout, en tous lieux, et
tous, ils
devront subir les jugements de Dieu. Et, Père, nous sommes si heureux
de savoir
qu’il y a un moyen d’échapper pour ces gens, pour ceux qui désirent
échapper.
Et cette voie, c’est par Jésus-Christ, qui est la–la Postérité de
David. Et
nous Te remercions, Père bien-aimé, de L’avoir envoyé sur terre, Lui
qui était
l’Intermédiaire vers lequel nous pourrions aller; Tu allais intercéder
pour
nous et ôter nos péchés, afin que nous échappions à la colère et au
jugement de
Dieu. Nous savons que la colère va venir. Et alors, comme Jean l’a dit
autrefois : “Fuyez la colère à venir.”
211 Maintenant,
Seigneur, nous prions, comme
nous allons prendre la communion, ce soir, que Tu nous sanctifies,
Seigneur,
par Ton Sang purificateur; et que chaque péché de ces gens soit
pardonné. Je Te
prie humblement et sincèrement, ô Dieu, de ne pas permettre qu’un seul
d’entre
nous la prenne indignement. En effet, Tu as dit dans Ta Parole que, si
nous le faisons,
alors nous sommes coupables envers le Corps et le Sang du Seigneur.
Maintenant,
Père, fais que ces gens soient saints et consacrés, afin que nous
puissions la
prendre en étant irrépréhensibles.
212 Et
maintenant, Père, nous sommes
conscients que la première fois que la communion a été donnée, c’était
en
Égypte. Et ces gens qui ont pris la communion – l’agneau et le pain –
au moment
de se mettre en route, pendant quarante ans ils ont fait route dans le
désert
et, quand ils sont sortis du désert, il n’y avait pas un seul infirme
parmi
eux. Ils avaient pris la communion.
213 Ô
Dieu, fais miséricorde. Je prie que tous
les malades soient guéris, que tous les perdus soient sauvés. Et ceux
qui sont
formalistes et indifférents, puissent-ils s’approcher des feux de Dieu,
y
réchauffer leur âme. Accorde-le, Seigneur. Pardonne-nous, maintenant,
et
aide-nous. Nous prions au Nom de Ton Fils.
214 Et,
pendant que nous avons la tête
inclinée, je me demande (alors que le frère joue un peu, au piano) s’il
y a ici
une personne qui voudrait lever la main, pour dire : “Frère Bill,
je–je,
sincèrement... pour l’état d’une âme. Je–je–je veux que vous ayez une
pensée
pour moi. Je–je–je veux recevoir le Saint-Esprit.” Voulez-vous lever la
main?
Pour dire : “Ayez une pensée.” Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous
bénisse, et
vous, et vous, et vous, et vous. Que Dieu vous bénisse, et vous. Que
Dieu vous
bénisse, madame, et vous, et vous, et vous, frère. Oh, il y a des mains
partout. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu
vous
bénisse, soeur. Vous, soeur, je vois votre main. Vous indiquez que vous
voulez
recevoir le Saint-Esprit. Que Dieu vous bénisse, frère.
215 Ne
désirez-vous pas avoir une marche plus
rapprochée? Souvenez-vous, mes amis, nous vivons tout près de la venue
de notre
Seigneur. Dieu confirme maintenant Ses Paroles, il y a des signes et
des
prodiges partout.
216 Or,
certainement que Dieu ne permettrait
pas que j’aille dans divers lieux, que je sois oint du Saint-Esprit
afin
d’accomplir des signes et des prodiges, que je revienne prêcher la
Parole, et
tout, et qu’Il y ajoute Sa bénédiction partout, qu’Il accomplisse ces
choses,
sans qu’Il m’ait transmis une certaine conception de Sa Parole. Il
n’accorderait pas ça. Donc, vraiment je sais ce que je dis.
217 Si
vous n’avez pas Jésus-Christ, que vous
n’avez pas le Saint-Esprit, puisse Dieu ne vous laisser aucun repos
tant que
vous n’aurez pas reçu le Saint-Esprit. Ne vous y trompez pas. N’allez
pas vous
contenter d’une de ces confessions faites d’un œil sec, et dire ensuite
que
vous avez reçu le Saint-Esprit. On ne reçoit pas le Saint-Esprit au
moment où
on croit. Le Saint-Esprit, on ne Le reçoit pas du fait qu’on croit.
C’est un
don de Dieu. Paul a dit : “Avez-vous reçu le Saint-Esprit après avoir
cru?” Donc,
croyez-le. Et puisse Dieu vous L’accorder.
218 Maintenant,
Père, quant à ceux qui ont
levé la main, je Te prie de leur donner la Personne du Saint-Esprit à
l’instant. Puisse-t-Il entrer profondément en eux, ce grand nombre, dix
ou
quinze qui ont levé la main. Je Te prie de donner à chacun d’eux le
baptême de
Ton Être. Qu’ils soient remplis du Saint-Esprit, à tel point que les
signes et
les prodiges se produiront dans leur vie, ils verront se produire des
signes de
toutes sortes. Comme Jésus l’a dit : “Voici les signes qui
accompagneront ceux
qui auront cru.” Accorde-le, Père. Nous prions humblement, au Nom de
Ton Fils,
Jésus-Christ. Amen.